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[RP] Panneau d'affichage

Gaiadagoult
Citation:

Soleure - Solothurn cherche en urgence une personne pouvant fournir au moins 20 PEA.

Le salaire sera 20 talers par 10 PEA.

Veuillez contacter Ravenastre ou Angar pour plus amples informations
(si possible en alémanique ou anglois)

_________________

Adjointe au Rectorat Université - Ambassadrice du canton de Genève - CaC Confédérale - Ancienne Chancelière de l'Helvétie -
Albunea
Au centre de la place publique, Bulle plantée la criait a qui voulait l'entendre :



Oyez Oyez,

Messires, Damoiselles et belles Dames !

Les fils et filles de la lune arrivent dans votre comté, pour un spectacle hors du commun.

Joignez vous à eux en gargote pour en prendre plein les mirettes !

Approchez et prenez place, le spectacle va commencer …




_________________
--La_bonne


Cela faisait maintenant quelques jours que la Bonne était sur les routes et faut dire que l'épuisement commençait à ce faire ressentir, mais elle avait eu des consignes très strictes en partant! et ces consignes, était qu'elle devait placarder un parchemin avec une adresse d'une maison réservé aux adultes de ce Royaume et c'est ce qu'elle fit, ne voulant décevoir sa maîtresse qui avait été si bonne avec elle.
Arriver à Grandson "toute tremblante par ce froid d'hiver qui c'était installer bien tôt pour la saison" la Bonne traversa le village à la recherche du panneau des propagandes "Tableau qu'elle trouva d'ailleurs très facilement"
Une fois qu'elle fut devant, elle sortit alors de son sac un grand parchemin puis un clou. Elle regarda ensuite autour d'elle, cherchant du regard un caillou "Qu'elle trouva tout aussi facilement" et c'est caillou d'une main et affiche et clou de l'autre qu'elle commença à donner plusieurs coups pour qu'il s'enfonce.
Une fois qu'elle eut fini son oeuvre, la Bonne se recula d'un pas et vérifia si l'affiche n'était pas de travers.
Son travail proprement fini, elle jeta le caillou par terre et repris la route jusqu'au prochain village.




Cliquez sur le parchemin
Tudieu




Par la présente, moi, Tudieu, Avoyer de Murten, en vue de déplacements de groupes douteux sur le territoire helvete et en regard des événements récents, déclare nos frontieres fermées aux groupes armés étrangers. Un laisser-passer officiel doit ^tre demandé au Lieutenant-Général Blair ou a moi-m^me pour toute personne ou groupe, helvete ou non-helvete, pour traverser le Canton de Murten.

Fait a Murten, ce vingtieme jour de décembre 1458



Tudieu
Avoyer de Murten
.tofy
Tofy ne trouvait trace du decret bourguignon, craignant pour certains voyageurs elle se permit d'afficher




Que l'on n'hésite point à dire et diffuser sans limites d'aucun genre qu'en ce jour où la levée de ban a été annoncée, Nous, Angélyque de la Mirandole, Grascieuse Duchesse de Bourgogne, sçavoir faisons ce qui suit :


- Que, la Loi Martiale étant instaurée de par la Levée du Ban, les frontières bourguignonnes sont fermées à partir d'aujourd'hui ;

- Que l'on demande à tous les sujets étrangers au Duché de Bourgogne et y présents en ce moment de quitter le Duché dans deux jours maximums sous peine de plainte suivie par procès près Notre Cour de Justice ;

- Que, sauf par autorisation dument demandée et obtenue, il est interdit d'emménager en Bourgogne ;

- Que toute demande de laissez-passer devra etre adressée au Prévost des Maréchaux, Baron Athos de la Bronze dict Olivier1er, ou au Capitaine de l'OST, Dame Jusoor de Blanc-Combaz.


Que nul ne voie dans cette mésure autre intention que garantir la sécurité à notre Beau Duché, en cet instant menacé par l'héresie du sans-nom.


Faict le Seizième Jour du Mois de Décembre de l'An de Grasce Mille Quatre Cent Cinquante Huit auprès du bureau du Porte-Parole et Sécrétaire Particulier Julien de Lancastre.

Sa Grandeur Julien de Lancastre a proposé ; Sa Grasce Angélyque de la Mirandole a approuvé et ratifié.
Atila
Atila lu et relu avec attention chaque mot du parchemin en affichage.

Angélyque de la Mirandole s'était donc prononcée, il ne s'était donc pas trompé sur cette mesure où il fallait lire entre les lignes des écrits de la Duchesse de Bourgogne pour comprendre et faire savoir, comme il l'avait fait semaine dernière, aux conseillers de Berne que les forces armées de Bourgogne se rapprochaient de l'Helvétie.

Que nul ne voie dans cette mésure autre intention que garantir la sécurité à notre Beau Duché, en cet instant menacé par l'héresie du sans-nom.

Cette fermeture de leur frontière et la menace d'hérésie était à nouveau un faux prétexte pour guerroyer sur nos terres.

_________________

LJS a écrit: "si on a pris le temps de coder les révoltes et les bandits, c'est pour que les joueurs se révoltent et jouent les bandits."
Creart25.
Rome a écrit:
Citation:






    De la Prise d'Annecy


    Nous, Cardinaux de la Sainte Eglise Aristotélicienne et Romaine, réunis en Sacré Collège, devant le Très-Haut et sous le regard d’Aristote,


    Apprenons avec horreur la prise ce jour de la ville d'Annecy par les hordes sauvages de la créature sans nom, après plusieurs jours de résistance héroïque des armées savoyardes assistées de plusieurs soldats des Saintes Armées.

    Assurons le Peuple Savoyard du total soutien de La Sainte Eglise Aristotélicienne face à cette terrible épreuve qui le frappe avec tant d'infamie.

    Relançons l'appel à tous les Peuples Aristotéliciens de préter secours et assistance aux Glorieux Savoyards.


    Ad Majorem Dei Gloriam

    Donné à Rome le XX du mois de Décembre de l’an de grâce MCDLVIII de Notre Seigneur.



    Pour le collège des Cardinaux, Son Eminence Vincent Diftain d'Embussy, Archidiacre de Rome.


Atila
Atila s'était levé à l'aurore ce premier jour d'hiver pour apprendre que Annecy n'appartenait plus à la Savoie, à l'Empire, mais depuis ce jour à la grande Helvétie, aussi ne fut-il pas surpris d'obtenir confirmation par un parchemin affiché sur la grande place.

Dans son regard, il ne ressentait aucune sensation de joie ou de douleur pour la capitulation de cette ville de Savoie.

En tant que ferme défenseur du Peuple et de tous les Peuples, il veillerait aussi bien dans son village de Grandson que dans toute l'Helvétie pour que ce Peuple d'anneciens soit respecté comme il se doit. Ce Peuple était enfin Libre et indépendant après avoir subi depuis des lustres l'oppression.

C'était maintenant à eux de faire le bon choix, aimer notre Pays ou le quitter.

Atila connaissait depuis son enfance et depuis trop longtemps les écritures menaçantes du collège des Cardinaux, aussi l'oeil du borgne s'attarda sur une phrase toute faite, un cliché rouge sang qu'il connaissait par coeur...

Relançons l'appel à tous les Peuples Aristotéliciens de préter secours et assistance aux Glorieux Savoyards.

Par cette relance de cette nouvelle menace émanant de la Curie Romaine on devait traduire leur volonté de faire couler le sang d'innocents...

Nous, collège des Cardinaux. Nous, puissante Curie avons pouvoir depuis des siècles de faire tomber par vengeance tout un Peuple réuni par sa cohabitation sur les terres d'un même Pays qu'il soit Lion de Juda, réformé, athée ou aristotélicien.

La puissante Curie Romaine n'autorisait pas les différentes croyances, elle s'était toujours démarquée par sa seule religion comme le faisait un Roy ou un Empereur pour opprimer ses sujets.

Atila n'était pas fier de savoir que beaucoup de sang avait coulé parmi le Peuple savoyard mais il était heureux d'apprendre qu'un de leur quatre villages ne serait plus sous la contrainte matérielle et morale de l'impérialisme et de la volonté d'expansion et de domination de la Curie et de l'ensemble de son Clergé.

En lisant mot à mot le message de l'Archidiacre de Rome, il savait que l'Helvétie devait maintenant s'attendre au pire et se préparer à cette guerre pour combattre de TOUTES SES FORCES un ennemi qui crie vengeance à travers tous les Royaumes.

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LJS a écrit: "si on a pris le temps de coder les révoltes et les bandits, c'est pour que les joueurs se révoltent et jouent les bandits."
Bubu.alias.bub
Suivant son frère de coeur depuis pas mal de temps, Bubu s'attarda à l'écouter et se sentit fière d'être Helvète et sa soeur.
On touchera jamais à mon frère...Celui ou celle qui le fait, je le défonce.

Bubu pensait comme lui.
Elle était pour le peuple et elle se battrait pour lui.
Helvète, on l'est de naissance certes...
Mais c'est autre chose et il nous faut défendre ce en quoi en croit!


Bubu continua à écouter son frère et plus il parlait, plus elle souriait.
Atila est de retour.
Manque plus que Morgann et le tout est fait!

_________________
Creart25.
Que de pensé que de pensée!

Il voyait là un homme bien pensif, mais n'avait-il peut etre rien à dire d'inteligent.

Puis se tournant vers une femme

Et que pensez vous des savoyard qui on été malmener et n'on pas demandé cette guerre?

Saviez vous que c'était des lions de juda qui sont venu piller sur nos routes, puis se reparti bien mal.

Puis ce son des hommrs hélevete qui sont venu chercher à nouveau querelle.

ET ainsi de suite jusqu'a nous déclarer la guerre il y a peu alors que la Savoie n'avait rien demandé!

La savoie était souverenne en ses terres, comme les helvete le sont en leur terre! Alors pourquoi voller la terre d'annecy, pourquoi voler l'argent de nos voyageurs? et aussi pourquoi nous imposé de soit disant rêve!

Ne vous étonnez pas de recolté ce que vous avez déclaché!

Et ne nous faites pas ce que vous ne voulez pas que l'on vous fasse! Car pour l'instant il semble bien que ce soit les hélvete qui soit en terre savoyarde et non l'inverse. Ce n'est pas la savoie qui vous envaie!

Nous aussi on defend ce que l'on croit et ce que l'on croit et ce que l'on voit c'est que notre terre est volé au profils de peu d'entre vous! Car ce son vos chefs qui récupereront l'avantage! Rendez nous annecy! L'armée d'helvetie à voler annecy après avoir voler et corrompu son marché pendant des jours malgré qu'il affirmé en taverne ne pas être là.
Lemagefreng


Citation:
Lettre adressée au conseil confédéral au nom des Lieutenants-Généraux des armées des Cités de Lausanne, Fribourg et Sion et de la Cité souveraine de Lausanne

Nous, les Lieutenants-Généraux des Cités susmentionnés et la Cité de Lausanne, demandons au Conseil confédéral de démissionner. La demande ne porte pas sur tout le Conseil. Cependant, nous nous voyons contraints de demander à ce que le Conseil soit purgé des conseillers ayant abusés de leur charge ou ne représentant pas convenablement les onze Cités souveraines.

La demande porte sur :

1. Andaevin
2. Caméliane
3. Tous les conseillers confédéraux présents en Savoie.

Andaevin pour son ingérence lors de cette affaire. Il aurait dû savoir ce qui se passait. Or il n'est pas réfutable qu'il ignorait que Caméliane avait donné l'agrément à la fourbe armée de Meliandulys. A moins qu'il ne le savait, ce qui serait plus grave encore : il aurait délibérément menti aux autorités de toutes les Cités souveraines.

Caméliane pour son abus de pouvoir. Elle n'avait aucunement le droit de reconnaitre la fourbe armée de Meliandulys comme étant une armée confédérale - réunissant donc l'accord de toutes les autorités souveraines. Cependant, elle l'a fait sachant pertinemment que ce n'est pas même la majorité qui soutiendrait cet odieux acte. Cet acte qui pourrait être fort utile aux armées unis des onze Cité - grâce au prestige élevé - est nuisible quand il sert des intérêts particuliers - ceux de la perfide Genève. Nous rajoutons contre elle le fait qu'elle se déplace elle-même en Savoie et propage donc l'idée que c'est les onze Cités souveraines qui veulent cette guerre.

Tous les conseillers présents en Savoie car le Conseil semble s'être uni en partie à faire cela. Or il est notoire que toutes les Cités souveraines ne sont pas en faveur de cette attaque et ne veulent pour la plupart qu'assurer la défense de leur territoire. Cette défense, engendrée par le fait que les conseillers donnent une image de Cités belliqueuses, alors que seule la perfide Genève l'est, et occasionnant des coûts qui devraient donc revenir à Genève. Ce dernier point reste à voir...

Cette demande en restera une, sauf si elle est refusée. Auquel cas, nous nous verrions contraint de hausser le ton vis-à-vis du Conseil confédéral.

Nous souhaitons des bons vœux de fin d'année au reste du Conseil confédéral qui semble faire son travail, et même très bien.


Les Lieutenants-Généraux de :

Lausanne
Fribourg
Sion






Les Cités de :

Lausanne
Grandson




Les citoyens :

Helene_helvetie
Percyval Bright dict Seiji der Worcester, révolté et pas qu'un peu.











Freng rajouta un petit panneau :

Citation:
Tous ceux qui approuveraient le fond de cette lettre peuvent apposer leur signature sur la présente.

_________________
Marquis de Lavaux-Oron et de Pays-d'Enhaut
Seiji
[Indépendant de toutes les histoires que je peux mener en Halle.]



Seiji se baladait depuis son retour de chez les moines dans les recoins de la Confédération qui lui était accessible. Ces Genevois, quel pourriture! Enfin, heureusement qu'il ne l'était pas tous. Ce qui était pas plus mal. A dos de son cheval, il galopait comme un fou jusqu'à ce qu'il arrive, ou repasse, en Gargote Helvétique et tombe sur une affiche de son canton et de deux autres, Fribourg et Lausanne. Deux cantons qui n'étaient pas infectés eux aussi... espérons le en tout cas!

Arrivé au bout de sa lecture, il lâcha un sourire de contentement et sorti son sceau familial qu'il apposa au bas de la lettre en lieu et place de signature. Que ceux qui ne serait pas content viennent le trouver.


Citation:
Lettre adressée au conseil confédéral au nom des Lieutenants-Généraux des armées des Cités de Lausanne, Fribourg et Sion et de la Cité souveraine de Lausanne

Nous, les Lieutenants-Généraux des Cités susmentionnés et la Cité de Lausanne, demandons au Conseil confédéral de démissionner. La demande ne porte pas sur tout le Conseil. Cependant, nous nous voyons contraints de demander à ce que le Conseil soit purgé des conseillers ayant abusés de leur charge ou ne représentant pas convenablement les onze Cités souveraines.

La demande porte sur :

1. Andaevin
2. Caméliane
3. Tous les conseillers confédéraux présents en Savoie.

Andaevin pour son ingérence lors de cette affaire. Il aurait dû savoir ce qui se passait. Or il n'est pas réfutable qu'il ignorait que Caméliane avait donné l'agrément à la fourbe armée de Meliandulys. A moins qu'il ne le savait, ce qui serait plus grave encore : il aurait délibérément menti aux autorités de toutes les Cités souveraines.

Caméliane pour son abus de pouvoir. Elle n'avait aucunement le droit de reconnaitre la fourbe armée de Meliandulys comme étant une armée confédérale - réunissant donc l'accord de toutes les autorités souveraines. Cependant, elle l'a fait sachant pertinemment que ce n'est pas même la majorité qui soutiendrait cet odieux acte. Cet acte qui pourrait être fort utile aux armées unis des onze Cité - grâce au prestige élevé - est nuisible quand il sert des intérêts particuliers - ceux de la perfide Genève. Nous rajoutons contre elle le fait qu'elle se déplace elle-même en Savoie et propage donc l'idée que c'est les onze Cités souveraines qui veulent cette guerre.

Tous les conseillers présents en Savoie car le Conseil semble s'être uni en partie à faire cela. Or il est notoire que toutes les Cités souveraines ne sont pas en faveur de cette attaque et ne veulent pour la plupart qu'assurer la défense de leur territoire. Cette défense, engendrée par le fait que les conseillers donnent une image de Cités belliqueuses, alors que seule la perfide Genève l'est, et occasionnant des coûts qui devraient donc revenir à Genève. Ce dernier point reste à voir...

Cette demande en restera une, sauf si elle est refusée. Auquel cas, nous nous verrions contraint de hausser le ton vis-à-vis du Conseil confédéral.

Nous souhaitons des bons vœux de fin d'année au reste du Conseil confédéral qui semble faire son travail, et même très bien.


Les Lieutenants-Généraux de :

Lausanne
Fribourg
Sion






Les Cités de :

Lausanne





Les citoyens :

Percyval Bright dict Seiji der Worcester, révolté et pas qu'un peu.






Nashia


Nashia afficha la lettre que lui avait transmise le frère Cedrick... Son ami prenait des risque inconsidéré et elle avait peur pour sa vie... Nash s'en alla prié le trés haut pour sa survie.


Citation:
Chers Sicaires,

Je me nomme Cedrik Thorvaldson. Je suis l'Aumonier de l'Armée Savoyarde.

Je souhaite me rendre auprès de Monseigneur Bourrike et de ses fidèles paroisiens afin de prier pour le salut des braves de cette guerre lors de la Saint Noel.

J'aimerais donc bénéficier d'un laisser passer pour arriver sain et sauf à Annecy.

Il est bien sur à noter que je n'ai aucune intention belliqueuse et que je viens à Annecy uniquement pour suppléer à l'Eveque de Geneve, blessée par vos armées.

Je me présenterai donc ce 25/12 aux portes d'Annecy avec ma crosse et un drapeau blanc afin de passer les murailles d'Annecy.

Quelque soit la réponse à cette lettre, je me dirigerai vers nostre ville.

Bien à vous,

Cedrik Thorvaldson
Aumonier de l'OST Savoyard
Seigneur de la Compôte
Ancien Procureur Ecclésiastique de Vienne et de la Tarentaise.

_________________
En deuil...
Andaevinn


Au Nom du Conseil, et de la volonté de voir se résoudre pacifiquement la crise qui oppose Genève et la Savoie,

Nous soutenons la demande de Messer Cedrick pour apporter le soutien que demandent ses fidèles.

Nous espérons que les autorités Annecyennes accéderont à cette requête et permettront à tous de passer une Saint Noël dans de bonnes conditions.

Berne, le 23ème du 12ème mois de l'an de Grasce 1458.

Andaevinn, Chancelier des Helvètes, Duc d'Arlanda


_________________
Chartres
Chartres avait une affiche à installer. Elle se dit que à cet endroit cela aurait été pas mal....

Citation:



La Duchesse de Savoie en son conseil

Au peuple d’Annecy pour toujours et à jamais savoyard,


Salut!


Le 11 décembre dernier, la République de Genève a, par une lâcheté qui la caractérise bien, violé l’intégrité de notre territoire, attenté à la sécurité de la Savoie et assiégé notre bonne ville d’Annecy.

Nous nous battons et nous nous battrons jusqu’à ce que plus la moindre parcelle de sol savoyard ne se trouve entre les mains de ces hérétiques.

En cette sainte journée de Noël, doit-on considérer que le dernier mot a été dit ? L'espérance doit-elle disparaître ? La défaite est-elle définitive ?

Non !

Croyez-nous, faites confiance à votre duché, nous qui vous parlons en connaissance de cause, nous vous le disons que rien n'est perdu pour la Savoie, rien n’est perdu pour Annecy.
Même en n’utilisant pas les mêmes moyens qui nous ont vaincus la victoire viendra.

Car la Savoie n'est pas seule ! Elle n'est pas seule ! Elle n'est pas seule !
Elle a un vaste Empire derrière elle.
Elle fait bloc avec l’Église qui tient la mer des croyants entre ses mains et lutte du coté du bien, le nôtre.

Nous, Pisenlit Montrevault, Duchesse de Savoie, actuellement à Chambéry, invitons les officiers, les soldats Savoyards, ainsi que tous les habitants qui se trouvent en territoire d’Annecy ou qui viendraient à s'y trouver, avec leurs armes ou sans leurs armes.
Nous invitons les bourgeois et les paysans qui se trouvent en territoire d’Annecy ou qui viendraient à s'y trouver, à ne pas perdre espoir.


Quoi qu'il arrive, la flamme de la résistance ne doit pas s'éteindre et ne s'éteindra pas.


Demain, comme aujourd'hui, Nous serons là !
Demain, comme aujourd’hui, Nous défendrons la Savoie !
Demain, comme jadis, Annecy sera libre !

Soyons Solidaires, Soyons Savoyards

Qu'Aristote nous garde.

Donné au Château Ducal de Chambéry,
Le 25ème jour de décembre de l'an de grasce 1458.


Pisenlit Montrevault
Duchesse de Savoie
Baronne de Candia
Dame de Lescheraines




_________________

http://hospitalsavoyard.xooit.fr/index.php
Lieutenant recruteur d'Annecy - Dame de Miagliano
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