Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 23, 24, 25, ..., 30, 31, 32   >   >>

[RP CULTE]Basilique Sainte-Concorde /Basilika Heiligen-Stimm

Nicolasdecues
Anteu a écrit:
Citation:
Nous, Monseigneur Anteu von Krumme, archevêque métropolitain de la province ecclésiastique de Besançon, par la présente condamnons l'acte de violation qu'a subi la ville de Pontarlier en ce jour et cette nuit.
Nous appelons à la lutte sans faille face aux Lions de Juda, hérétiques, galeux, et batards qu'ils sont!
Nous soutenons pleinement la population de Pontarlier, et nous invitons les paroissiens à prendre les armes face à ces rejetés du Très-Haut.

Chassez l'hérétique! Brulez les! Jusqu'au dernier!

Que la sagesse d'Aristote soit avec vous!
Je vous bénit habitants de Pontarlier!


Monseigneur Anteu von Krumme



Faict à Besançon le 14 février de l'an de grâce 1457
pnj
Reginae lit attentivement le parchemin posé devant la porte close de la basilique. D'ailleurs il apparaît clairement au vu des lieux qu'aucun culte n'a été célébré ci lieux depuis un bon moment maintenant. Seul un moment de félicité divine en compagnie d'Aileron avait réussi à attirer la foule ici, quelques temps auparavant. A croire qu'il fallait de la volupté pour remplir les églises sous joug Romain.

La jeune Sicaire trouve ce cher Anteu tout simplement...adorable. Il a envoyé à travers tout le royaume des plus ou moins jolies missives, dénonçant les vilains méchants, mais à aucun moment, oui..aucun, celui ci a daigné venir sur le terrain défendre la cause qu'il pense juste.

Quel bel exemple que d'un dignitaire censé juger de la Foi des autres. Comment le Très Haut aurait il pu donner un tel pouvoir en un être aussi couard?

Elle reste ainsi un moment devant la basilique, à observer le vide et écouter le silence ..monacal.
Nicolasdecues
Citation:
A l'assemblée des fidèles.

La disparition de Messire Nekroman et de son épouse nous a tous touché.
Une messe sera dite en leur mémoire en l'Eglise de Fribourg ce Dimanche.

N'apportez ni fleurs ni couronne.

Ceux qui le souhaiteront pourront venir exprimer leurs pensées, leur tristesse, leurs voeux et leur soutien à sa famille et à ses amis.

Nicolas, Diacre de Fribourg.
Nicolasdecues
Louissnow
sur la place, midi

EN CE JOUR MAUDIT DU 0 MARS 1457, LE TRÈS HAUT NOUS A ENLEVÉ UN GRAND LAUSANNOIS.

DEPUIS LES DÉBUTS ET MALGRÉ PARFOIS L'ADVERSITÉ, MESSIRE DJOCK FÛT DE TOUS LES COMBATS. DE PROCUREUR À MAIRE, DE POLICE A MARCHAND, IL A ÉTÉ POUR LAUSANNE D'UNE AIDE PRÉCIEUSE ET PRÉSENT.

regardant l'assistance

IL LAISSE DANS LE DEUIL SON FILS FRED ET TOUTE UNE GRANDE FAMILLE, LAUSANNE.

C'EST POURQUOI JE DÉCRÈTE AUJOURD'HUI QUE LA JOURNÉE DU 11 MARS 1457 SERA JOUR DE DEUIL CANTONAL POUR LAUSANNE EN L'HONNEUR DE MESSIRE DJOCK ET DE SA FAMILLE.

ICI (halle de Lausanne)AURONT LIEU LES FUNÉRAILLES ET VOS BONS COMMENTAIRES DÈS DEMAIN. JE DEMANDE AUSSI A NOTRE BON DIACRE , messire Joel DE BIEN VOULOIR NOUS DIRE QUELQUES MOTS POUR LE REPOS DE L'ÂME DE MESSIRE DJOCK.mort de Djock
_________________
Louissnow
fier Lausannois, fier membre de la famille Snow
Les événements font plus de traîtres que les opinions.(Chateaubriand)
Tchantches
Tchantchès avança sur la place et s'adressa à son amis Louis.

Messire je m'associe à votre peine, vous perdez un ami et un grand Lausannois, je perds un Noble Noir et aussi un frère d'arme.

Je m'associe à votre douleur et vous fais part de ma profonde affiction.

_________________
pnj
Puisse Aristote reconnaitre en cet être les bonnes actions qu'il a accompli et l'accueillir auprès de lui pour la vie Éternelle.
Nicolasdecues
Citation:




    La tolérance envers l’hérésie : vertu ou faiblesse ?
    Texte destiné à l'universalité des fidèles et aux évêques de l'aristotélisme.



    La tolérance, c’est reconnaître implicitement et tacitement l’erreur sous des prétextes
    humanistes. Ceux qui se complaisent dans la tolérance le font par indécision ou faiblesse !



    La vocation de l’homme vertueux, de l’homme de foi ou de l’homme du monde n’est-il pas
    de lutter contre l’erreur et la perversion morale, et non de s’en accommoder ou de la tolérer ?
    Tolérer, c’est accepter, ou selon l’étymon, endurer et supporter, une croyance que l’on sait
    être fausse. Est-il vertueux de laisser son prochain se complaire dans une foi erronée ?

    La tolérance est une fausse vertu pour ceux qui l’utilisent mal à propos, car elle n’est
    bienveillante et vertueuse que dans un seul cas : celle où elle est exprimée entre fidèles et
    imprégnée de l’amitié aristotélicienne. Dans les autres, elle n’est que dédain et cynisme.

    La tolérance est la vertu des faibles quand ceux-ci l’expriment envers les hérétiques. Ils
    tolèrent l’erreur, l’insulte et l’outrage sous le prétexte fallacieux de l’amitié aristotélicienne
    et de « l’amour divin en l’homme », quel qu’il soit. Trop timorés pour prendre position, ou
    envahis par une idée fétide d’amitié universelle, ils se complaisent dans cette idée.

    Le fidèle qui tolère une liberté de culte ou de croyance et qui se trouve à la tête d’un
    gouvernement commet là deux crimes : l’un envers son peuple, et l’autre envers Dieu. Le
    premier est qu’il maintient délibérément et tacitement une partie de la communauté dans
    l’ignorance et l’erreur de façon cynique, mais surtout dans une destinée qui la mènera
    inexorablement aux portes de l’enfer sélénite. Le second est qu’il accepte que le Père
    universel auquel il croit et qu’il aime soit injurié et bafoué par une partie de son peuple. Et
    sous quel prétexte ? Celui du libre arbitre ou de la liberté de for ? Comment l’homme peut-il
    penser que le libre arbitre puisse dédouaner un homme d’outrage envers le Ciel ?

    La politique du Malin n’est-elle pas de plaider en faveur d’une tolérance infinie et universelle
    entre toutes les créatures humaines ? Car il sait que sans lutte, cette tolérance permettra de
    gagner un peu plus de terrain chaque jour dans le cœur des esprits faibles ou indécis.

    La perversion de la bête sans nom gagne d’ailleurs le cœurs de tous les hommes, quels qu’il
    soient. Même si les clercs sont sans doute ceux qui sont les mieux prémunis pour s’y opposer,
    ils n’en sont pas pour autant immunisés. Voilà pourquoi certain prélat se laissent tenter par un
    discours que nous jugerions déviant.

    L’une des vertus aristotéliciennes majeures est la tempérance, non la tolérance. Une religion
    qui tolère les autres ne songe guère à la propagation de sa Foi et de sa Vérité. En outre
    critiquer le magistère spirituel de l’Eglise et ses actions incitant à la conversion sous le
    prétexte qu’Elle étouffe les libertés, c’est pécher contre Dieu et l’humanité pour les raisons
    que nous avons déjà évoquées, à savoir, laisser en connaissance le peuple ou l’hérétique dans
    l’ignorance et l’erreur. Ceux qui font de la tolérance universelle leur credo sont sur le chemin
    de l’apostasie.

    D’aucuns se questionneront sur une tolérance tacite qu’impose certain concordat au sein de
    comtés, voire de royaumes ; l’Eglise n’agit là que par calcul et raison. Faisons d’ailleurs
    allusion à notre discours prononcé en août MCDLVI où nous disions que « la créature sans
    nom est sans cesse à notre porte, et que la peur engendrée par les guerres, fussent-elles
    saintes, est de son entreprise » et que nous devions lutter « contre cette peur avant que
    d’imposer une image sublimée de la cité idéale entrevue par le prophète. La précipitation
    de sa mise en place annihilant tous les espoirs futurs de la voir naître éclatante ». Toujours
    valable, ce raisonnement nous pousse parfois à tolérer, non par lâcheté mais avec raison, une
    hérésie afin de mieux avancer, et de rendre la Vraie Foi toujours plus grande, toujours plus
    accessible et son règne plus éclatant encore.

    Vice ou vertu, la tolérance l’est selon l’état d’esprit dans lequel l’on s’exprime et agit ; mais
    soyons clair, il s’agit d’un vice lorsqu’on immole le triomphe de la Vraie Foi sur l’autel de la
    tolérance. La tolérance n’est vertueuse que lorsqu’elle ne contrevient pas aux lois divines et
    prophétiques.



    Aaron de Nagan, Cardinal.
    Le VIII mars de l'an MCDLVII, jour de la Bienheureux Norv.


pnj
Citation:
L' École de l' Edelweiss est l'unique école de Suisse à vous former, enfants et adultes, à toutes les situations rencontrées dans votre. La connaissance de notre passé, la maitrise des langues, l' algèbre et les mathématiques économiques, la place de l' Église Aristotélicienne dans le monde.
Chaque fin d'année, un examen des professeurs sanctionne les connaissances acquises, le passage en classe supérieur est soumise à l'obtention de cet examen.


Citation:
Classe jaune :
Catéchèse
- Le particularisme de la religion Aristotélicienne
- Le fondement du baptême.
Lecture/écriture
- Acquisition de la lecture.
- Acquisition de l'écriture.
Sport


Citation:
Classe rouge :
Allemand
- Acquisition du vocabulaire de base.
- Acquisition des conjugaisons de bases.
espagnol
- Acquisition du vocabulaire de base.
- Acquisition des conjugaisons de bases.
Histoire
- Les racines de l' Europe.
-La naissance de la Suisse.
Géographie
- Connaissances de bases.
Catéchèse
- La vie d' Aristote.
- Le statut du Christ.
Mathématiques
- Additions, soustractions, et multiplications.
Français
- Orthographe.
Sport


Citation:
Classe verte :
Allemand
- Vocabulaire courant.
- Conjugaison de second niveau
espagnol
- Vocabulaire courant.
- Conjugaison de second niveau
Géographie
- Les différents royaumes, Tome 1.
- Institutions de la Suisse.
Histoire
- Création du Royaume de France.
- Rome, une ville éternelle.
Français
- Rhétorique.
- Dialectique.
Mathématiques
- Initiation à la géométrie.
- Division.
Catéchèse
- L'amitié Aristotélicienne
- Les deux sources de la foi.
Sport


Citation:
Classe bleue :
Espagnol
- Vocabulaire courant cycle 2.
Allemand
- Vocabulaire courant cycle 2.
Français
- Développement des connaissances acquises.
Mathématiques
- La redécouverte des théorèmes de Thalès et Pythagore.
- Initiation à la comptabilité agraire.
Histoire
- L'exception Suisse, un état fédéral.
- Le monde connu.
Géographie
- Les différents royaumes, Tome 1.
Catéchèse
- Le mal.
- Les fins dernières.
Sport

Citation:

Classe blanche :
Espagnol
- Langue courante dernier cycle.
Allemand
- Langue courante dernier cycle.
Français
- Évolution de la langue française.
Mathématiques
- Initiation à la comptabilité artisanale.
- Étude de cas de la comptabilité cantonale.
Histoire
- La Suisse, un état Indépendant, et fort.
Géographie
- La Suisse, un état central.
Catéchèse
- La place de l' Homme dans l' Église Aristotélicienne.
Sport


Balbutachon, évêque de Lausanne
Aurelien87
Mgr Aurélien commençait à en avoir plus que marre des menaces et agissements inconsidérés de la nouvelle avoyère, qui ne cherchait qu'à ralumer une guerre. Il posa son affiche bien en vue pour que nul dans toute la Confédération helvétique, n'ignore les agissements lamentables de cette nouvelle avoyère..

Citation:

J’ ACCUSE :


J’ ACCUSE l’Avoyère Nefti de traitrise à l’égard de la Confédération Helvétique.

J’ ACCUSE l’Avoyère Nefti de bafouer les lois de la Confédération Helvétique.

J’ ACUSE l’Avoyère Nefti de crime et délit contre l’Eglise aristotélicienne

J' ACCUSE L’Avoyère Nefty de bafouer la charte cantonale de Genève :



Codex Confédéral :
Article 1.3 : Les lois fédérales priment sur les lois cantonales.
Article 2.2 : La religion officielle helvète est celle de l’Eglise Aristotélicienne.
2.1.1.Crimes et délits contre la personne
Est considéré comme crime ou délit contre la personne les atteintes à la personne physique et/ou morale ainsi qu'à ses biens matériels et immatériels (comme sa réputation).
Une personne morale est une entité justiciable, comme un individu, une famille, un conseil municipal, une association d'individus type « les joyeux lurons du port », l'église aristotélicienne, etc. (Est reconnue comme personne morale l'entité justiciable définie comme telle par le juge fédéral. )

Code cantonal :
Article 6

1) La liberté de culte est garantie à Genève, sans faire de prosélytisme la Sainte Eglise Aristotélicienne est la religion de la Confédération Helvétique pour cela elle est de droit présente à Genève
2) Tout postulant à la fonction de maire doit reconnaître la Sainte église Aristotélicienne et ne pas avoir de fonction au sein de la Sainte église
Article 9.3 :
3) Le maire est le seul à pouvoir promulguer une loi, un décret ou un règlement. Il ne pourra néanmoins aller à l'encontre d'une loi ou d'un décret de la Confédération Helvétique si ceux ci ont été votés par les maires et membres de l’assemblée fédérale
Article II.3
Le pouvoir municipal reconnait l'Eglise Aristotélicienne comme religion cantonale et dominante, mais reste fondamentalement laïque et garant de la liberté de culte à Genève, dans les limites du droit et du respect de l'ordre public.
Article II.4
Afin de garantir la liberté de culte à Genève, nul membre du clergé de quelque religion ne peut prétendre à se présenter aux élections communales. Tout contrevenant à cet article se verra poursuivit pour trahison.


L’avoyère Nefti, dans son décret du 2 avril 1457, refuse de reconnaitre l’autorité de l’Evêque légitime de Genève, autorité suprême pour les paroisses de Genève et d’Annecy, qui dirige la communauté des fidèles de l’Eglise Aristotélicienne, selon le Droit Canon de ladite Eglise Aristotélicienne.
L’Avoyère Nefti, dans son décret du 2 avril 1457, supprime la liberté de culte à Genève, liberté garantie par l’article II.3 du code juridique cantonal, et de l’article 2.2 du code confédéral.
L’Avoyère Nefti, dans son décret du 2 avril 1457, se rend passible de crime ou délit à l’encontre de l’Eglise Aristotélicienne, tant sur la personne physique de l’Evêque légitime de Genève, en l’interdisant de pratiquer son ministère dans le lieu qu’il a acheté de ses propres deniers, et qui n’est pas la Cathédrale Saint Pierre, que la mairie de Genève a annexée indument, et en contradiction avec le droit cantonal qui prévoit que nul ne peut porter atteinte aux biens de la personne morale qu’est l’Eglise Aristotélicienne.


J’ ACCUSE l’Avoyère Nefti , par un décret non discuté, ni voté par le Conseil Municipal, de vouloir mettre en péril la sécurité du canton de Genève et de la Confédération Helvétique.

J’ ACCUSE l’Avoyère Nefti, par ses actes inconsidérés, de vouloir allumer une guerre de religion dans le canton de Genève et dans la Confédération Helvétique.


J’ ACCUSE l’Avoyère Nefti de vouloir, comme elle l’a dit publiquement en mairie de Genève, interdire à terme la pratique du culte de l’Eglise Aristotélicienne.

Pour toutes ces raisons, je demande que l’Avoyère Nefti soit traduite devant le tribunal confédéral pour répondre de ses actes iniques.


Fait à Geneve, ce 4 Avril 1457, scellé de mon scel pour que nul ne doute de l'autenticité dudit texte

Mgr Aurélien Maledent de Feytiat
Eveque de Genève



_________________
Nefti
Nefti lut avec attention l'affiche d'Aurélien.
Puis retourna se coucher en baillant. elle avait du travail à faire à l'avoyerie, et les gesticulations d'un curé de campagne ne l'interessaient guere. A Geneve de toute maniere, tant qu'il n'avait pas été élu, il ne représentait que lui même...
Hobb


Hobb eut une copie du message Ad Populis de Mgr Aurelien de Genève.
Le Teutonique pinça les lèvres, son visage blêmit. Il lui fallait se rendre à Genève dans les meilleurs délais, l'Eglise devait être protégée par le bouclier de la vraie foi face au stupre, de la fange, de la vulgarité en un mot de ce que véhiculait les réformés.


-" DEUS MANUM DUCIT"

_________________
Hobb

_________________
pnj
Citation:




De Ecclesiae Dei fondis
Bulle pontificale « Des fondements de l'Eglise de Dieu ».


Préambule : Le Dogme de la Sainte Eglise Aristotélicienne, Universelle et Romaine, et les statuts qui régissent ses membres.



Partie I : Doctrines et fondements de l’Eglise de Dieu

Article 1 : L’Eglise Aristotélicienne est la Seule, Unique et Légitime Institution du Tout Puissant.

Article 2 : L'Eglise Aristotélicienne est Seule détentrice de la Vérité Divine et de la Vraie Foi. Elle est habitée par l’Action Divine et est l’organe par lequel s’exprime sur Terre et sur la communauté des fidèles la volonté du Tout-Puissant.

Article 3 : L’Eglise Aristotélicienne tire son nom du prophète Aristote, qui fut le premier à révéler la vérité divine. Elle fut instituée par Christos.

Article 4 : En tant qu’institution spirituelle, universelle et divine, sa mission est de propager l’aristotélisme aux peuples et aux nations dans l'optique de les guider sur le chemin qui mène au Paradis Solaire.

Article 5 : Il n’est pas d’autre prophète qu’Aristote et Christos. La symbiose de leur révélation constitue le message divin, parfait et immuable. Leur message est complémentaire et indispensable à la compréhension de l’autre et de la foi aristotélicienne.

Article 6 : Le Dogme de l'Eglise Aristotélicienne est fondé sur les textes des livres et forment le socle des croyances inaliénables et nécessaires. (1)

N.B. : On entend par "textes des livres" ceux contenus dans le Livre des Vertus, ainsi que les textes doctrinaux et les écrits des Saints.

Article 7 : Seul un concile extraordinaire, rassemblant l'ensemble des évêques de l'aristotélisme, peut remettre en question, modifier ou affiner un dogme.

Article 8 : Le Livre des Vertus regroupe les livres du Mythe Aristotélicien, les Vitae d’Aristote et de Christos ainsi que celle des Archanges. Ces textes sont sacrés et constitue les fondements de la Religion Aristotélicienne. Ils ont valeur dogmatique.

Article 9 : Les Doctrines de l’Eglise Aristotélicienne forment le cadre de la croyance aristotélicienne. Édictées par les théologues et docteurs de l’Eglise, elles ont valeur dogmatique.

Article 10 : Les écrits des saints donnent un cadre aux doctrines de l'Eglise Aristotélicienne. Ce sont les enseignements de nos prédécesseurs dans la foi ayant vécu les vertus aristotélicienne de manière héroïque dans une intimité toujours plus grande avec Dieu. Ils sont la Tradition vivante et sans cesse renouvelée de l'Eglise, éclairant les mystères sacrés révélés par les prophètes.

Article 11 : Le Livre des Hagiographies constituent un codex de biographies historiques des saints ayant vocation à servir à l'édification spirituelle et sociale du monde actuel par l'exemple de vies multiples qui témoignèrent du Soleil de manière héroïque dans leur foi et leurs vertus à leur époque.

Article 12 : Tout humain étant enfant de Dieu, aucune ségrégation basée sur d’autres critères que la foi, la vertu et le mérite ne doit avoir lieu au sein de l’Eglise Aristotélicienne.

Article 13 : Un Bienheureux est un défunt aristotélicien béatifié par la Sainte Eglise au regard de sa vie passé, exemplaire, vertueuse, digne d’exemple social et spirituel pour la communauté aristotélicienne.

- Article 13 bis : Les règles et procédures menant à la béatification sont reprises dans le Droit Canon sur la Congrégation du Saint Office.


Article 14 : Un Saint est un Bienheureux canonisé par la Sainte Eglise au regard de sa vie passé, plus exemplaire, plus vertueuse, encore que celle du Bienheureux, et digne d’exemple social et spirituel pour la communauté aristotélicienne.

- Article 14 bis : Les règles et procédures menant à la canonisation sont reprises dans le Droit Canon sur la Congrégation du Saint Office.


Article 15 : Les Pères de l’Eglise sont les fondateurs de l’Eglise Aristotélicienne à ses débuts et lors du Renouveau de la Foi sous les pontificats des Très Saints Pères Nicolas V et Eugène V.

Article 16 : Les Docteurs de l’Eglise sont d'éminents théologues ou canonistes ayant produit ou travaillé sur des textes doctrinaux, dogmatiques ou canoniques d'importance universelle.

Article 17 : Une hétérodoxie est une action contraire aux Dogmes aristotéliciens, aux doctrines édictée et au Droit Canon de la Sainte Eglise, portant préjudice à la communauté des croyants et à la Sainte Institution de Dieu, par l’induction en erreur des enfants du Très-Haut.

Article 18 : Les hétérodoxies sont de quatre types : hérésie, schisme, paganisme et athéisme.

Article 19 : Les hétérodoxies sont poursuivies par la Sainte Inquisition dans les limites qui lui sont dévolues et assignées.

Article 20 : L'Eglise Aristotélicienne distingue deux natures différentes pour les charges, statuts et actions de ses membres. Ces natures différences peuvent être In Gratebus (Dans les Grâces) ou Res Parendo (Choses qui Paraissent).

- Article 20 bis : La nature In Gratebus regroupe les choses qui existent par la Grâce du Créateur. L'abréviation correcte employée dans le Droit Canon est IG

- Article 20 ter : La nature Res Parendo regroupe les choses qui paraissent par elles-mêmes tout en découlant de la Création. L'abréviation correcte employée dans le Droit Canon est RP.



(1) Le livre des vertu disponible dans la Bibliothèque romaine n'est pas complet car il s'agit d'une traduction. Le texte original complet est rangé dans les archives secrètes de Rome, les théologues du Saint Office travaillent à finir sa traduction.



Texte canonique sur les Fondements de l'Eglise de Dieu,
Donné et entériné à Rome par le Sacré-Collège sous le pontificat du Très Saint Père Eugène V le dixième du mois d'avril, le vendredi, jour de la saint Saint Nicolaïde, de l'an de grâce MCDLVII.

Première publication par feu Son Eminence Jeandalf le onzième du mois de février, le dimanche, de l'an MCDLV ; revu, cacheté et publié à nouveau par Son Eminence Aaron de Nagan, Cardinal-Camerlingue, le treizième jour du mois d'avril, le lundi de Pâques, de l'an de grâce MCDLVII.


pnj
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 23, 24, 25, ..., 30, 31, 32   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)