[RP] Hey ho, Hey ho, tous à la mine!

Chloe_de_chesnais

Chloé l’écoutait parler. Il disait venir d’une contrée lointaine, et pourtant la pointe d’accent lui laissait soupçonner qu’il avait fréquenté plus d’une fois les tavernes et les marchés du sud.
Le Sud… avec son soleil, sa température battant des records et évidemment son ciel bleu…
Son Ciel bleu oui... Alors que faisaient-ils dans une mine sombre, a ne pouvoir voir que jusqu’au bout de leur nez ? Sans pouvoir voir a qui ils s’adressaient ?

Puis un léger rire sortie de la bouche de Bénédicte, quand elle sentie l’insistance de l’homme vis-à-vis de sa personne ici.

Vous m’aiderez ? Alors je pourrais vous confier ma pioche, vous travaillerez pour moi et en échange de cela, je parlerais, toute la journée s’il le faut… Enfin, jusqu’à ce que vous ne puissiez plus supporter le son de ma voix. M’enfin d’ici là, dites le moi, et n’usez point de votre pioche pour me faire taire.

Les paies sont données à la sortie de la mine, je vous reverserais la mienne, si cela vous convient ?

Chloé regarda le jeune homme.
Ben quoi ? Après tout il a raison, une dame enceinte n’a pas a se trouver ici. Et en tant que guérisseuse, elle sait très bien que les femmes enceintes doivent se ménager et éviter tout effort. Puis, il ne fallait pas lui proposer de l’aide.
On ne propose jamais de l’aide à une de Chesnais, sans s’en sortir indemne.

Alors quand dites-vous ?
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Apophis

Apophis se trouvait tout hébété devant la dame, elle lui avait promptement dit :

Citation:

Les paies sont données à la sortie de la mine, je vous reverserais la mienne, si cela vous convient ?

Il savait qu'une dame enceinte ne devait travailler surtout en mine, alors il dit:

Je travaillerais même pour 10 femmes enceinte, car les femmes surtout enceinte doivent se ménager, alors si je doit travailler a vot'place j'le ferais m'dame !!!!

Souriant de son plus beau sourire, et même pas un sourire forcé, il lui prit la pioche des mains et commença son travail.
La dame fut quelque peu surprise et elle pris place sur un rocher légèrement arrondi pour pouvoir y poser son postérieur.
Apophis s'était déjà activer à la tâche quand tout d'un coup se retournant vers la dame:

Vous êtes bien silencieuse ...... n'aviez vous pas dit que vous parleriez toute la journée ???
Alors chacun son boulot !!!

Puis sourire aidant, il se remit à piocher énergiquement.

Clemenceii

Le dîner peut consistant de sa mère la veille avait eu un impacte sur les études du matin, qui furent hautement improductives, de la jeune Clémence.
Arrivé le midi, un bon repas de viande et légume s'impose et lui permet de se sentir un peu mieux.
Une fois habillée de ses vêtements "à tout faire", la petite file à la mine pour quelques heures de travail. Ceci afin d'aider son comté, mais surtout les Béarnais qui ont bien besoin des denrées offertes par les mines, si précieuse.

Comme à son habitude clémence se saisit d'une pioche plus petite que la moyenne, les enfants dans les mines étant loin d'être rare puis se dirige vers son lieu de travail.

Lorsqu'elle commence, Clémence se met à fredonner une chanson . Chanson dont elle ignore l'origine, mais le rythme lui plait et cela suffit.

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Aider Son Comté, c'est s'aider soit même => Allez à la mine quelques jours par semaine.
Gamine brune, cheveux long et épais, yeux bleu de sa mère, ~1m25

Chloe_de_chesnais

Chloé laissa la pioche aller dans la main de l’homme qui l’avait aidé quelques minutes plus tôt, et avec qui finalement elle venait de sympathiser. Les deux mineurs s’enfoncèrent un peu dans la carrière. Puis Bénédicte trouva un caillou légèrement rond pour s’asseoir sans abimer son fessier bien trop sensible.

Quelques minutes passèrent, l’homme avait déjà commencé à piocher, quand il s’arrêta pour lui faire remarquer que leur « pacte » n’était pas respecté par les deux parties. Chloé avait, elle posé sa main sur son ventre légèrement trop douloureux ses derniers jours. Il se durcissait petit à petit. La Dame Blanche lança un sourire au mineur, tout en restant légèrement soucieuse. Elle faisait glisser sa main de haut en bas, de gauche à droite, pour calmer le démon avec qui elle partageait son corps depuis déjà des mois.

Oui oui évidement, alors par où commencer.

Première pause, c’est que comme ça, la dame de Chesnais avait du mal à trouver des sujets à raconter à un inconnu. Mais qu’importe après tout ?

Parlons des rumeurs de Paris. Celles-ci sont toujours plus qu’agréables et marrantes à entendre. On peut toujours tout savoir sur les vies du beau monde de la Grande Ville.
Par exemple, une rumeur court sur la princesse et actuelle Grand Maitre de France. A ce qui parait, elle aurait trompé le prince bâtard de France. Et son amant l’aurait mise enceinte ! Vous imaginez la situation de la couronne ? Je n’aimerais pas être à la place de la princesse.

Chloé releva le museau vers le mineur, qui ne semblait pas fort apprécier les ragots de Paris.

Norf, eee, humm. Une épidémie de peste fait rage en Limousin. J’espère que celle-ci ne s’étendra pas jusqu’à nous.
Il ne manquerait plus que ça, la mort du peuple Béarnais à cause de la peste.

Bénédicte s’arrêta de nouveau, quand une nouvelle douleur lui plia le ventre. Elle calmait sa respiration, la douleur serrait s’estomper.
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Apophis

Apophis entendit quelques rumeurs sur la grande Paris, il ne relevât rien et ne dit mot, quand la dame changeât de sujet il ne put s'empêcher de faire la remarque:

Le prince bâtard de France ??? une princesse enceinte de son amant ???
mais dites moi sa ne sentirais pas le vécu sa ? on dirait que ....

Retenant ces derniers mots, il lâchât la pioche et accouru vers la dame qui semblait souffrir.

DAME ?? DAME ?? sa va aller ?? vous avez mal ou ???
allongez vous ....

Apophis sans réfléchir retirât son haillon et le posa a terre pour que la dame puisse se détendre en s'allongeant dessus.
Restez assise ainsi sur un rocher dur comme un roc ne pouvait pas être confortable.
Apophis ne se rendit même pas compte qu'il était en tenue légèrement peu convenable .. mais qu'importe la dame ne se sentait pas très bien .... et il avait mis des sous vêtements et de toute manière au fond d'une mine on ne voit pas grand chose.

Chloe_de_chesnais

La douleur semblait de plus en plus intense, et Chloé avait de plus en plus de mal a la calmer et la cacher. Pliée en deux, les deux mains avaient rejoins son ventre, avant que le mineur ne fasse pareil. En quelques secondes, et sans même s’en rendre compte, Bénédicte se retrouva allongée sur le sol de la mine, devant un homme à moitié nu (bien heureusement elle ne pouvait le voir à cause de la douleur et du manque de lumière.)

La Baronne regardait autour d’elle, voyant un léger flou couvrir de plus en plus son regard. Tout devenait de plus en plus abstrait, sauf la douleur qui elle s’accentuait au fil du temps.

Allez chercher du monde ! Je… je ne me sens pas bien... Le Bébé, il …

Aucun son ne pu sortir de plus. Coincé dans sa bouche, à bout de souffle. Son visage grimacé de douleur. Il était trop tôt, bien trop tôt pour que cet enfant ne sorte du ventre de sa mère. A peine six mois, il ne survivrait pas dans le monde, s’il décidait de sortir aujourd’hui, dans cette mine d’or béarnaise, aussi lugubre que les douves de son château en Berry.
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Apophis

Apophis un peu paniqué ne savait pas trop quoi faire, il posa sa main sur le ventre de la dame et sentit le petit diable bouger si fort qu'il crut que le ventre de la dame n'explose au fond d'la mine.
Il aurait pas l'air malin si sa arrivait, il fallait trouver un docteur ou quelque chose qui y ressemble du moins.
La dame lui avait dit d'aller chercher du monde mais il ne fallait pas la laisser seul, mais si il n'y aller pas qu'allait t'il arriver ..

Dame ne bougez pas je reviens immédiatement.... et .... heu ... le laissez pas sortir ok ? moi je serais pas quoi en faire ....

Il se leva, très légèrement vêtue, juste un léger tissu, de quoi cacher ses parties intimes en fait;

(je sais pas comment on appelait un slip au moyen age .... mdrrr)

et il courut vers la sortie pour aller chercher de l'aide en hurlant:

HOOOOOOOOOOOOOOO HEYYYY HOOOOOOOO !!!!!!!
AIDEZ MOI AU SECOURS LAAAAAAA !!!!
UNE DAME A BESOIN D'AIDE !!!
VIIIIIIIIIIITE !!!!!!

(joueurs de tout bord venez participer .... apparemment on aurait bien besoin d'un docteur !!! merci de jouer le jeu du RP on est la pour sa non ?? )

Apophis

Apophis revint prés de la dame qui semblait un peu dans le coma.
Il lui mit une claque et lui tint a peu prés ce langage :

HEY HEYYY .... hoooo !!! DAME !!!!!
SA va aller y'as un docteur qui arrive il prépare sa besace de médocs !!!
Tenez le cout hein ???

Il prit la main de la dame et commença à masser son ventre ..... après tout il n'était pas docteur mais un massage n'as jamais tuer personnes .

Loupameth

Monter sur son cheval loupameth arrive à la mine sous les recommandations de messire Apophis , descend , prend ses ustensiles et pénètre dans la mine .
Il essaie de ce diriger dans le noir ce cogne la tête contre les parois des poussières piquent la gorge , il continue son chemin difficilement et guidé par des cris de douleurs aigus arrive devant la dame qui ce tortille dans tout les sens .

Calmez vous madame je suis la , voyons cela .. ho ... mais ... je vois que vous attendez un bébé et il semble arriver mais la ici pour moi sa me semble impossible d intervenir il faut aller au grand jour et le mieux serait d'aller à mon centre de soins . je vais vous donner un calmant et après je vais voir avec messire Apophis s'il ne peut pas me trouver deux perche de bois pour faire un brancard que nous attellerons a mon cheval .

Une fois administré le calmant il ce tourne vers Apophis et lui dit .

Allez dépêchez vous a me trouver de quoi faire un brancard et vite le temps presse moi je reste a coté de la dame .
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Apophis

Apophis acquiesça de la tête et partit de ce pas fouiner dans tout les sens pour trouver des ballastes de bois.
Dans une mine y'as bien sa se disait t'il.

Au bout de quelques minutes qui lui semblait interminable il réussit à dénicher ce qu'il cherchait et les ramenât a messire loupameth.

Voila j'espère que sa vas allez avec sa ...

Dolleka

Au Nooooooordh', c'etait Mauu-Lee-Hooooonnnnn,... La terrrr'....
Trainant derriere elle sans meme s'en rendre compte sa pioche qui ricoche sur le sol et racle les parois a chaque pas, Dolleka arpente un des couloirs de la mine en bramant a tue-tete une chanson du temps des parents de ses parents, ou il est question de mines et de pioches. Vetue de ses nippes de la veille et exhalant une sereine odeur d'alcool, elle semble bien etre passee directement de la taverne a la mine.

..Les Hommmm', ils minaient au foooonnnd.

Elle tombe nez a nez avec Apophis, ce qui interrompt net la cacophonie chantante. Profitant de ce repit, les voutes de la mine decident d'attendre un peu pour s'en remettre au lieu de s'effondrer.

Apophis est en train de s'agiter en tous sens et de demonter de petites poutres de bois, qui parsement la mine.

Aahh bon, c'est du bois maint'nant, qu'y faut piocher ?

Toujours embrumee et sans se poser de questions, Dolleka empoigne elle aussi un morceau de bois et emboite le pas d'Apophis, qui est reparti en gallopant dans l'autre sens.
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Loupameth

Penché sur dame Chloe_de_chesnais , Loupameth était inquiet en regard de la tournure des événements . En attendant messire Apophis il se penche sur le ventre de la dame colle son oreille dessus et vu les bruits il fait la grimace .

Je vois madame , il va falloir vous accoucher ici je ne peux vous emmener au centre , trop tard , mais avant j'aimerais vous sortir d'ici car je n'y voit rien , alors calmer vous, respirez à fond , essayer de vous contrôler en attendant que je puisse vous sortir de cette endroit malsain pour vous et le bébé .

Au même moment Apophis arrive avec les bois demander ; il regarde

Parfais , bon maintenant nous allons travailler ensemble d'accord ? aller fabrique moi un brancard solide surtout pas de bétises ...! je vais chercher des cordes et couvertures qui sont dans les fontes de mon cheval , je reviens .

A ce moment il entend des cris et voi arriver une dame légèrement imbibée d'alcool , il ce retourne et remarque
que cette personne à suivit Apophis pour certainement donner un coup demain .

Pardon madame mais si votre état le permet vous tombez bien , donner donc un coup de main à fabriquer ce brancard et tenez compagnie à dame chloe_de_chesnais qui est entrain de nous mettre son bébé au monde , je reviens vite avec des couvertures .

Courbé pour ne pas se cogner la téte , comme pour entrée , il fonce à la sortie prend les couvertures et cordes puis fait demi tour , trébuche , tombe a terre déchire ses braies a la hauteur du genoux

M.....de j'ai bousillé mes braies

Il ce relève ce frotte les genoux et repart en boitillant , pénétre dans la mine avec difficulté et arrive , balance les cordes et les couvertures .

Allez faite vite et dite moi quand vous serez opérationnel .
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Apophis

Apophis n'avait même pas remarquez la dame qui l'avait suivi, il était trop préoccuper pour sa ...
Il se retourna sur elle quand messire loupameth fut parti :

Allez dame on va faire un p...ain* ... heuuuu .. un bête de brancard !!!!

Messire Loupameth revient avec couverture et corde et les balançât à ses pieds.
Apophis les ramassa et s'exécutât à la tâche, il commença à mettre parallèle les 2 bastin de bois et tendit la couverture a dame dolleka :

Attachez la corde au bastin comme sa et vous passez la corde par la

et ensuite vous faites comme ceci, et pour finir un bon nœud par le dessous.

Une fois tout terminez Apophis se relevât et dit :

Loupameth a y'est on as finit !!!

Apophis était plutôt fière du résultat et souriât à dame dolleka.

Dolleka

Dolleka rejoint enfin le petit groupe et constate de quoi il s'agit.
Et M....alediction! .. Faut pas faire ca ici, ma dame, on va vous sortir de la.

Le choc de la decouverte dissipe instantanement les vapeurs d'alcool. Comme un automate, elles suit les directive d'Apophis: attraper le bois, passer le linge, faire un noeud, serrer tres fort... Enfin le brancard semble pret.

Dolleka teste la resistance de l'assemblage. Ca a l'air suffisamment solide, pourvu que la dame ne bouge pas trop.

Elle retourne sur ses pas et trouve un vieux seau d'eau de pluie pres d'un goulet de la mine. Arrachant un bout de ses nippes, elle humidifie un epais morceau, et revient vers la dame, qui a le visage crispe de douleur.

Dolleka s'agenouille pres de la dame. Elle pose delicatement le visage de la dame sur ses cuisses, et lui rafraichit le visage avec le linge. Le visage de la Dame perle de sueur, ses fins cheveux sont colles sur son front.
Elle lui tient des propos encourageant pour la calmer, tout en surveillant d'un oeil inquiet son ventre, esperant ne pas soudainement en voir sortir une mare de sang!
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Chloe_de_chesnais

Tout va si vite. Elle qui n’aurait jamais dû être là, dans cette mine sombre pour ce Comté, qui ne serait jamais qu’elle donnerait vie à cet enfant dans le pire endroit qu’y puisse exister.
Elle qui aurait dû être avec son fils et son époux, chez elle encore dans son lit, se retrouve prête à accoucher alors qu’il n’est surement pas le moment de le faire vu le lieu et la date.

Tout bouge autour d’elle, alors que Chloé semble perdue, comme si toute cette agitation la laissé partir dans une deuxième vie, où peut-être était-ce les plantes que l’homme lui avait donné. Mais qui était-il d’abord lui ? Il ne s’était pas présenté, peut-être était-ce un brigand qui profiterait de ses faiblesses pour la droguer et la kidnapper et finir par demander une rançon à son époux. Peut-être faisait-il lui aussi partie de « La Rose »…
Ou peut-être était-il médecin.

Bénédicte se sentait de plus en plus fatiguée, des paupières lourdes qui ne restaient d’ailleurs ouvertes que grâce (ou à cause) aux douleurs de son ventre. Quand elle sentie sa tête se soulevée légèrement et venir se reposée sur un support beaucoup plus agréable que le sol de la mine.
La Baronne releva les yeux et vit une dame, un linge humide se posa sur son front, alors que les deux hommes continuaient à s’activer autour d’elle.

Difficile, mais elle devait le dire, Chloé entre-ouvra la bouche.

L’en…Fant ne doit pas… encor...e… arriver. Il est trop… tôt !

Une nouvelle douleur, lui serra les dents et lui crispa le visage. Sa main vint se poser sur son ventre à nouveau. Plus le temps passait, plus les douleurs étaient fortes et rapprochées. L’enfant n’aurait pas dû naitre, mais elle n’en avait qu’une envie, pour que la douleur arrête.
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Hey ho, Hey ho, tous à la mine!

Ptitefleur2006

[Ce Rp qui s’ouvre a pour finalité d’accompagner la campagne du Conseil Comtal « journées mines ouvertes », afin d’égayer au travers de l’écriture les projets dudit conseil.
Donc, chacun est libre de venir poster sa petite histoire dans la mine, anecdote croustillante, accident malheureux, enfin tout ce qui peut ou est censé se passer dans une mine. L’histoire est libre, à vous de l’écrire.

Cependant, pour des raisons de clarté, il est conseillé, voire fortement recommandé de baliser chacun de vos posts en indiquant le lieu ou la mine dans laquelle vous vous trouvez.
On esquivera toute interaction sur d’autres personnages sans leur accord tacite ou tout super pouvoir que personne n'est sensé détenir.

Dernier point, un petit screen au début, milieu ou fin de post montrant que vous avez travaillé à la mine serait le bienvenue.

Sur ce, bon jeu à vous et amusez-vous]

À proximité du Château de Pau et en son sein

Fleur qui se dirigeait vers le Château munie de pioches s’arrêta devant une affiche…

L’affiche parlait des mines et de sa reconquête.

Elle sourit, c’était une bien belle affiche en vérité.

Depuis qu’elle avait pris son poste de Commissaire aux Mines au sein du Comté, Fleur avait compris l’importance de la fréquentation de leurs mines pour l’économie du Béarn.

Sans pierre, sans fer, l’entretien de ces dernières ne pouvaient pas se faire et moins les mines étaient remplies et plus le coût d’entretien augmentait.

Il fallait absolument que les béarnais comprennent l’importance du remplissage des mines, car cela avait un impact sur le Comté, mais également sur leur ville et à plus petite échelle sur eux.

Il était temps de montrer l’exemple et d’entraîner les Conseillers Comtaux à sa suite pour piocher de la pierre ou du fer, à défaut d’or.

Fleur continua sa route et arriva aux portes du Château.

Elle était bien mal prise avec ses 12 pioches sous le bras.

Elle demanda au garde de lui ouvrir la grille et de se faire annoncer auprès de la Comtesse et des conseillers, elle avait un présent à leur remettre.

Fleur sourit à cette idée et se mit à penser en continuant son chemin : « Si seulement, ils savaient à quoi s’attendre… mais il n'était pas dit que les Conseillers et même la Comtesse resteraient dans leur fauteuil bien assis pendant que de pauvres béarnais se tuaient à la tâche dans nos mines. Nous devons absolument leur montrer l’exemple. Je me demande bien comment je vais arriver à les en persuader. »

Après avoir déambulé dans différents couloirs, elle arriva enfin à la Salle du Conseil.

Toujours munie de ses pioches, elle entra et vit l’air intrigué de la Comtesse et des 10 autres conseillers.

« Votre Grâce, Mesdames et Messires les Conseillers,

Il m’est venu une idée, vous la trouverez sans doute loufoque mais elle mérite de vous être exposée.
Depuis longtemps, nous nous plaignons du manque de fréquentation de nos mines, et bien nous allons montrer l’exemple aux béarnais et nous y rendre tous ensemble, leur montrer que quelque soit notre poste ou notre rang, nous sommes avant tout béarnais comme eux tous et que si nos mines sont bonnes pour eux, elles le sont pour nous aussi.

Pour ce faire, je vous ai apporté à tous, sans exception, une pioche.

À défaut de ramasser de l’or, nous piocherons du fer ou de la pierre.

Il ne faut pas oublier que le fer et la pierre nous sont nécessaires pour entretenir et améliorer nos mines, alors je vous propose dès aujourd’hui de tous nous retrousser les manches et d’aller sur le champ à la mine!»

Fleur les observait, elle sentait leurs réticences les abandonner… il lui semblait que son discours avait réussi à les convaincre.

Elle patienta, attendant leur réponse qui ne serait certainement pas longue à venir, et s’apprêta à se rendre ensuite à la carrière de pierre située entre Tarbes et Lourdes.

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Galessin

[Au Château … l’usage de stupéfiant est recommandé pour la santé]

Dédales de goulets, des portes à foison et de l’émoi … huissiers et appariteurs s’emploient, un empressement anime la bâtisse et ça se voit.
Salle du conseil … enfin, c’est à la peine qu’il pénètre dans le lieu. Bondir sur le premier siège venu et tendre les esgourdes, ouvrir les yeux.
Bien grand ! Armées de pioches, Dame Ptitefleur lance les hostilités … une chasse au caillou. Certes différent de ce qu’il connaît, mais soit ! S’il ne sort des bureaux, il finira pas sentir presque bon et ça il ne le conçoit.
Empressé le bougre … une affiche, une pioche et vogue le bourrin. Des lèvres qui s’emploient sur celle de sa grenouille, et devant lui s’ouvre le chemin.

[Orthez … La mine parle aux mineurs …]

Nimbé d’une pelisse, l’ombre glissait dans les venelles de la cité. Dur, le cuir de l’harnachement usait le derme du facétieux conseiller.
Tantôt au trot, sitôt au pas, il rôdait à la fraiche. Ronde vespérale en des murs austères, augure de jours rêches.
Derniers jours passés à consigner, mimines usées par la plume … assez ! Recouvrer l’âme de la terre et des hommes … Se déterrer de l’écueil confortable qu’il venait de connaître et s’abandonner.
Etals qui de vident de leurs essences … seuls les viosses œuvraient, ces ventres à pattes se battaient pour un fragment de viande altéré.
Des badauds se prenaient encore à fantasmer auprès d’éventuels prétendants à la mairie, trognes connues qu’il saluait du haut de sa monture, esquissant un sourire verni.

Le silence qui se faisait ne parvenait à masquer les sabots qui frappaient le pavé, non quatre fers mais ceux d’une escouade qui, à sa suite, s’employait.

L’en aurait presque oublié ce pour quoi il avait été missionné … une vulgaire affichette mais ô combien précieuse. Vulgaire … si Dame Leslou découvrait ses pensées, misère, folie furieuse.
Mairie … terminus! … étape à dire vrai. Seulement afficher l’annonce avec … Regard inquiet.

Nom d’une vierge pendue ! Lieutenant … maillet, clous ! Dites-moi que vous avez ?

Pas nu pour un écu, Fitzz n’en était dépourvu ! Cadrage, débordement sur annonces au style … déjà vu.

POM, POM, POM, AIEEEEEEEEEE, POM, POM, …. Silence qu’en dit long, insultes tues pour des raisons évidentes … POM, POM.

Quolibets qui fusent dans les rangs et un annulaire pointé en leur direction, fait taire ces manquements.
Bon faut dire que le doigt, maculé de sang en disait long. De la pioche, il n’était plus question, à d’autres occupations, il allait s’atteler … il ne serait coron.

Suite de la prescription, direction la mine et veiller à y établir un campement, et accessoirement combler son pauvre membre meurtri et rougeoyant.

Ordres qui fusent devant le gisement, pas de temps à égarer. Les hommes s’affèrent à hisser les toiles en attendant que jour se lève et laisse les premiers mineurs se présenter.

Varden

[Au Château, Hissez haut hoooohohohooooo ... Dans son bureau, et c'est l'plus beau hooooohohohooooo]

Un pain ... Deux pains ... Trois pains ... Quatre pains ... Cinq pains ... Six pains ...

Toc Toc Toc

Six pains ... Ne pas oublier ... Six pains ... Un regard qui se soulève du stock du Comté ...

J'ai déjà dit, on ne me dérange pas quand je fais des calculs complexes !!! C'est un monde ici quand même ! Il faut que je parle François ou bien ?

Soupir ... Six pains ... Se lever se son fauteuil ... Six pains ... Ne pas oublier ... La porte, l'ouvrir ... Six pains ...

Six pains pour quoi ?

Regard interloqué du gosse ... Il a jamais vu un Commissaire au Commerce de sa vie, ce page ou quoi ? Non mais franchement, on recrute n'importe qui dans ce Château ... Y en a qui vont se retrouver sans emploi vite fait ...

Sourire mi-figue mi-raisin, il est pas très loquace l'envoyé express ... Les yeux montent lentement vers le ciel puis redescendent sur l'enfant ...

Allez y jeune homme, je n'ai encore jamais mangé de page ...

Quoique ... Ça pourrait peut être s'exporter ... Regard de biais vers le gamin ... Sourire innocent et flamme intense dans les yeux ...

Dis moi, dis moi, dis moi ... Êtes vous déjà allé visiter l'Aragon jeune page ?

Le gosse recule, pas sûr qu'il apprécie la plaisanterie ... Aucun humour ces pages de nos jours ...

Moi M'sieur le Commissaire, c'est M'dam' la Commissaire qui m'envoie, elle d'mand' tou' l'monde d'urgence dans la salle du Conseil

Six pains ... A failli oublier ... Et pas envie de reprendre à zéro ... Pas encore ...

Bon il va falloir décoder, apparemment c'est ultra secret encore ...

Padadidada ...

Fleur l'envoie pour une urgence ?

Stupeur ...

Une piécette au gamin et qu'il déguerpisse, pas sûr qu'elle soit au Vicomte celle là d'ailleurs ... Il mangera un peu moins ce soir ...

Retour dans le bureau. Pour sûr qu'il avait les stocks de la veille quelque part ... Pas là. Pas là. Pas là non plus. Là ? Ah non. Peut être ... Non !

Et ce papier où il avait fait un petit jeu dans l'après midi ? Pour se distraire, faut pas toujours penser qu'au travail non plus ... Alors le titre :

Inventaire des marchandises du Comté

...

Raclement de gorge ... Lecture rapide ... Aïe !

Bon ... Un petit coup du revers de la main sur ses habits froissés et il y allait ... Oh sans le papier, pas besoin d'emmener ça ...

Entrée d'un pas convaincu dans la salle du Conseil et Fleur trônant au milieu avec ses pioches ...

Demi tour droite !

Sortie de la salle du Conseil d'un pas convaincu !

Argh ! On étouffe le CaC ... Ah non c'est Améliane qui tire le poisson rouge par le col de sa chemise ...

J'allais chercher ma tenue de mineur ...

Toutes façons c'est pas zuste ! Toujours les mêmes qui sont favorisés ...

Oreille distraite qui enregistre les informations ... Puis le déclic ... Les mines ? Ah oui problème vital s'il en était qui occupait plus de la moitié de son temps ...

Ah ... Il était ... missionné ...

Oh mais moi je peux pas, j'ai un mot du médecin, je supporte pas les mines !

Le regard de Fleur est sans équivoque ...

Bon on le lui dira pas alors ...

Le Vicomte saisit la pioche, c'est lourd une pioche mine de rien ... moins maniable qu'une épée en plus ...

Et une affiche mise dans la main, il la déroule ... Très beau papier et beau texte ... Ah il faut pas dire que c'est de lui ? La gloire était à portée de main pourtant ... Bon le nom est mis en bas quand même !

Sourire satisfait.

[Mauléon ... Je vous ai compris ! Enfin j'crois ... Enfin p'têt ...]

La réflexion fut longue sur le chemin mais il en était de la solidarité du Comté ... Fallait pas manquer ça ...

Direction la mairie ! Heureusement, au Conseil on savait manier le maillet et la pointe ...

Hey vous là bas ! Oui vous là avec l'air ahuri ! Ben oui j'vous cause ...

Regard de haut en bas ...

Vous voudriez pas gagner une petite piécette par le plus grand des hasards ? Si ? Bon tant mieux mon brave, pointez moi ça !

Et le Conseil vous remercie !

Il était doué, c'était déjà ça de gagné ... Hop deux écus à la volée, c'était pas mal payé pour deux pointes et quatre coups de maillet et puis on était jamais à l'abri d'un accident !

Pioche sur l'épaule ! Direction la mine !

Citation:

Il n'y a pas de mines exploitables ni de grands chantiers... Allez plutôt voir du côté de votre village...

Quoi ? Mais c'est la journée des empêcheurs de tourner en rond ou quoi ? Scandaleux !!! Bouuuuhhhhh le Conseil !!!! Hein ?

Mais ... Mais ... Mais ... Retour en arrière rapide ... Le Conseil il en est membre ...

...

Retour au panneau d'affichage de la Mairie ...

Alors ... Alors ... Klem nommée émissaire remplaçante non ... Le Discours d'Améliane non plus ... Ah tiens là ...

Opération reconquête des mines ... Rassurons ... Mauléon ... Ouverture prochaine ... Mauléonais restez vigilants ...

Ah oui c'était bien ce qu'il avait rédigé ...

*Moment de solitude*

Demi tour gauche !

Levée de pioche, la voix s'élève !

Bon ça va bientôt ouvrir c'est écrit !!! Donc venez pas râler ! Non mais suffit de lire quand même !

Mauléonais dès que ça ouvre ... TOUS A LA MINE !!!!

Quelques regards intrigués se tournent vers lui ...

*Moment de solitude deuxième*

Bon c'est pas le tout mais il avait des mines à faire rouvrir ... Vite ...
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Leslou_1

[au château]

Leslou s'applique sur une prochaine affiche.

Un peu de bleu par ici.

Elle se recule et observe, se rapproche, change de pinceau et ajoute une touche de jaune.

Nouveau recul et sourire.

Ben voilà parfait ! Je n'ai plus qu'à la laisser sécher et je pourrais retranscrire le texte.

Elle range alors les pinceaux et la palette dans un seau en vue de les laver à la fontaine. Dépose le seau devant la porte et va chercher son mantel, car il fait frisquet dehors.

C'est alors qu'un garde ouvre la porte assez violement et renverse le dict. seau.

Dame le Porte Parole, on me fait vous dire de vous rendre à la mine.

Leslou regarde le seau puis le soldat qui se rend alors compte de sa bourde. Il se précipite pour tout ramasser.

Vous répondrez que je ne peux m'y rendre, la mine de Mauléon et fermée.

Citation:

Vous ne pouvez pas travailler dans la mine d'or, au nord-est de Mauléon, car elle est fermée.

Le soldat remet le seau en place et sort, suivi de Leslou, le seau à la main, direction la fontaine.

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Varden

[Au Château - Salle du Conseil-]

Oui allez y, mettez moi ça là ... Oui ça rentre j'vous dis ! Ayez confiance !!! Ah ! Un peu plus à gauche ... Voilà !

Merci !

Matinée mouvementée au Conseil Comtal ... Livraison de cailloux !!! Alors là, on pourrait y aller à la mine !!! A toutes les mines !!!

Qu'on vienne pas lui dire que c'était fermé !!! La p'tite Fleur avait donné l'ordre de laisser les mineurs entrer !!! Il fallait qu'ils y viennent !!!

On se réjouissait d'avoir remplie les trois mines trois jours de suite ... C'était bien, très bien mais il fallait continuer, entraîner les mineurs à venir plus régulièrement !

Bon, il avait plus qu'à espérer que les mineurs voient l'ouverture ...

Une petite note à la Fleur ...

Citation:

De rien pour les cailloux !

Ah elle en serait heureuse c'était sur !

Espérons que la Comtesse Grenouille crierait pas trop de voir tant de pierres sur le dallage de la salle ... Et puis bon ... Aux grands, maux les grands remèdes !

Hop hop hop ! Pioche à la main, retour vers Mauléon au plus vite !

[Mauléon donc -> Cette histoire a une vraie cohérence tout de même !]

Arrivée conquérante ! Pioche sur l'épaule, il attire le regard le Varden ... Depuis quelques jours, on le voit faire des allers retours vers la mine ...

Vérification d'usage ...

Arrivée devant la mine d'or ... Ouverte ...

Citation:

Vous pouvez travailler dans la mine d'or, au nord-est de Mauléon, pour un salaire de 15,50 écus
(capacité maximale : 75 personnes)

Un pas ... Deux pas ... Trois pas ...

Ohé Ohé !!! Y a quelqu'un ???

Ohéohé y a quelqu'un ...

...

Au moins y a de l'écho ...

Retour en arrière !!! Où qu'ils sont les Mauléonais encore ...

Hého !!! Mauléon !!! Ta mine d'or est ouverte !!! OUVERTE !!! Venez tous y travailler dans la joie et la bonne humeur !!! Aujourd'hui ... Aujourd'hui devenez chercheurs d'or !!!
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Leslou_1

[2ème jour, Mauléon]

De trés bonne heure, avant de se rendre au chateau, Leslou passe par la mine voir si elle est réouverte. Quelle bonheur, elle l'est. Leslou décide donc de travailler à la mine avant d'aller à son bureau.

Citation:

Travail
pour le Comté/Duché

Elle prend sa pioche et entre. Elle s'enfonce dans les galeries et un peu plus loin rencontre Varden.

Et bien décidement, on se croise partout en ce moment.

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Khalamite

[Orthez - Hors la ville vers les mines]

Dimanche ... dimanche matin. Khalamite a faussé compagnie à sa vieille dragonne, la folle voulait la traîner à l'église !
Escapade par la fenêtre de sa chambre, à l'auberge, logis où la famille bigarée a établi son campement en attendant de trouver masure digne du nom Villandras.
Une petite fugue matinale à travers les rues de la ville, pour humer un semblant de parfum de liberté. Et de rues en ruelles, de quartiers en places, voilà Khalamite parvenue aux portes de la ville. Sur le chemin qui mène aux mines, elle traîne avec langueur ses chausses et son ennui. Au loin elle perçoit le son des cloches de l'église battant le rappel des fidèles. Zut ! elle aura raté la messe !

Le dépit mal joué est de courte durée; du mouvement au bout du chemin éveille l'attention. Un étendar qui flotte et porte les couleurs du comté mais surtout un cri qui ne tient en rien du sus guerrier.

POM, POM, POM, AIEEEEEEEEEE, POM, POM, ….

ça traficote là-bas, y du mouvement, des huées donc de la vie. Khalamite accélère le pas pour atteindre rapidement l'entrée des mines.

Oh ! l'gars là ... j'le connais ...

Il ordonne et vocifère à une troupe molle et ricanante. Serait-ce lampion qu'il brandit à bout du bras ? Méprise, visiblement l'homme ne s'apprête pas à pénétrer l'antre sombre de la mine mais s'adonne au bricolage ... un affichage qui lui coûte un doigt et des colibets. Oh le beau chef de guerre !

Ola sieur Galurin d'Marteau ! Qu'est-c'vous faites là ? Et c't'affiche ?

Khalamite colle ses mirettes sur l'affichage sans attendre de réponse.

Oh ! Opération mines ! Et des récompenses ? Hum ... mouais ... 'fin, du pain, c'pas c'que j'cherche. Mais si l'comté l'a b'soin d'nos bras ... pourquoi pas ...

A l'entrée de la mine, un homme préposé aux inscriptions des travailleurs. Déjà quelques habitants arrivent et font la queue. Apposer son nom, prendre une pioche et suivre les flèches ... Le salaire est inscrit. Tiens, ça paye plus pour la mine d'or ... Va pour la mine d'or, y a encore de la place.
La gamine s'approche du préposé, décline identité contre une pioche.

Pioche sur l'épaule, elle revient vers Galessin assis sur une souche, suçant son bobo sanguinolant pendant que sa troupe s'active à planter son campement.

Et vous ? t'fais quoi ? V'montez une infirmerie ? t'viens pas à la mine ? r'marque, c'normal, les chefs de guerre, on les trouve jamais au front, hein !

Mine narquoise, elle sourit devant l'ours blessé. Peut-être pourrait-elle lui offrir un bandage ... peut-être.

Ameliane

un petit page passa la porte du bureau, essayant de voir la comtesse derrière un amas de papiers

Comtesse, houhou Comtesse, je vous rappelle que vous devez à la mine aujourd'hui

Vi vi j'arrive

Amléiane se leva de son siège, fit un geste vers la pioche donnée par Dame fleur tout en jetant un regard vers la fenêtre

HAAAAAAAAA, mais ... toutes ses pierres dans la cour

Dame, c'est les livraisons de la nuit, Messire Varden n'a point pris le temps de ranger et puis vous savez Dame Fleur va tellement vite à les utiliser que cela n'est point la peine de les rentrer.

Tu as bien raison, Inutile de ranger cela , nous en avons tellement besoin, ce n'est pas grave, j'escaladerais.

Chemin faisant, Améliane réflechit, mine d'or ou mine de pierre!!!

Arrivant devant les entrées des mines, elle vit Galessin, le doigt meurtri, elle eclata de rire, elle ignorait ce qu'il avait pu se faire mais devina bien vite que seul un outil avait pu mettre son doigt dans cet état, ha galessin et l'outillage, une grande histoire de désamour tout ça. Elle lui lança un petit signe de la main

Coucou chéri, je me suis décidé pour la mine d'or, avec un peu de chance, j'aurais une pépite, soigne bien ton doigt et à ce soir

Elle entra dans la mine, après avoir pris avoir pris la peine de s'y inscrire.

je ne sais pas faire un screen avec juste le bout prouvant que j'y suis , mais j'y suis promis !!!

Telya

Une lumiére d'un blanc laiteux filtra à travers les courtines . Telya dormait profondément quand Ninon vint tirer les rideaux .

M'dame , c'est l'heure .

Elle se retourna en grognant , tirant sur sa tête la couverture de fourrure. Elle ne voulait pas sortir de son lit douillet pour affronter le froid et surtout .... surtout .... Fleur et sa mine.

M'dame , monsieur votre époux , m'a demandé de vous reveiller

Nan mais de quoi il se méle , pensat elle .
Elle ouvrit un oeil , vit la servante debout au pied du lit . Geoffroy s'était levé et elle ne l'avait pas entendu .

5mn dit elle à la servante tout en se retournant et en se blotissant dans les couvertures

M'dame , monsieur votre époux a beaucoup insisté . Il a dit que vous deviez aller à la mine aujourd'hui .

Elle grogna et serra ostensiblement la couverture contre elle pour bien signifier qu'elle ne se leverait que si elle en avait envie.
Elle ouvrit un oeil , la servante etait toujours là . Attendant patiemment qu'elle daigne se lever.
Elle sentit qu'elle ne la laisserait pas en paix tant que son pied menu n'aurait pas touché le sol froid du carosse.

Elle lui jeta un regard noir et se leva enfin.
Frissonante , elle fit une toilette rapide et prit les vetements que la chambriere lui passa.
Des braies ? Elle soupira et enfila ce vetement masculin qu'elle trouvait for laid meme s'il etait pratique pour travailler .

Quelques temps plus tard , aprés avoir pris un solide petit dejeuner , elle se retrouva devant l'entrée de la mine . D'autres conseillers etaient là .

Quelques minutes plus tard , un cri strident monta des entrailles de la terre . Celui de la duchesse qui venait d'apercevoir une araignée...
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Paddy_versifiet

[Au Paddy Tirambic]

Paddy s'était fait fabriquer une pioche neuve de qualité supérieure par un forgeron de Lourdes et celle-ci était accrochée dans la taverne. Aux clients qui demandaient pourquoi il y avait une pioche accrochée ainsi, Paddy leur disait :

Cette pioche me sert à aller travailler dans la mine de fer qui est sur la route de Pau une fois la taverne fermée le soir.D'ailleurs vous pourriez y venir vous aussi y travailler quelques jours toutes les semaines... J'ai toujours quelques bouteilles avec moi.

Puis le soir quand les derniers clients étaient partis et que Paddy avait rangé la tirelire dans un endroit secret connu de lui seul, il décrochait la pioche et prenait la paire de gants qu'il s'était confectionné dans son atelier. Il y tenait à ces gants car souhaitait éviter d'avoir les mains remplies de cal. Son épouse tenait à ce qu'il garde des mains douces pour qu'il puisse lui prodiguer des caresses.
Il glissait alors dans sa besace une miche de pain, un bon morceau de jambon séché et quelques bouteilles puis après avoir éteint la torche et fermé la porte, il prenait la route.

[Sur le Chemin de la mine]

Paddy s'arrêtait volontiers dans les taverne qui se trouvaient sur son chemin afin de voir si il ne pouvait pas emmener un ou 2 vagabonds désœuvrés avec lui... Mais le plus souvent ils étaient déjà tous dans leur paillasse.

[A la mine]

Quand il arrivait tard dans la nuit à la mine, il commençait par se restaurer un peu et surtout se désaltérer. Il saluait les mineurs qui étaient là et après avoir enfilé ses gants, il empoignait sa pioche et se mettait à creuser jusqu'au petit matin.
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Paddy_versifiet de Ouiskai - Taverne Au Paddy Tirambic - Bailli du Béarn -

Catcat64

Acar

Acar, ce jour de visite en Orthez en avaict profisté pour aller travailler en la mine de pierre de cette bonne cité.

Il pensa à tout ses amis, faisant surement de mesme, céans, dans les quatres villes, aimée.

Le labeur n'attendaict pas...
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Dotch

{Orhtez, centre ville}

Habituellement, Dotch se rendait à la bibliothèque où elle étudiait soit seule, soit avec un professeur, malheureusement plus souvent seule qu'avec un Erudit. Ce jour là, elle devait se rendre à la mine pour montrer le bon exemple, en tant que conseiller c'était bien logique...

Tenue adéquate enfilée, un vieux pantalon de cavalière, une vieille veste des gants pour éviter de trop s'abîmer les mains, et voilà qu'elle était prête pour se rendre au fin fond de la terre.

{Dans la mine}

Comme quelques autres personnes, la Duchesse écouta les recommandations du contre maître, avant de prendre une pioche et de pénétrer dans la mine. Suivant un jeune homme qui marchait en tête lanterne en main, ils descendirent dans les entrailles de la terre, avant de se mettre à piocher et extraire les cailloux...

Ptitefleur2006

[Tarbes, sa maison aux bords de l’Adour]

Ce matin, Fleur sortit de sa maison qui surplombait l’Adour.

Elle jeta un regard vers le fleuve, empreint à un moment de nostalgie.

Elle avait du mal à ne pas se diriger vers l’Adour qu’elle affectionnait tant.

Elle s’était habituée à prendre, chaque matin, le Nénuphar flottant et à ramer aussi loin qu’elle pouvait pour y taquiner le goujon.

Ses nouvelles responsabilités lui avaient fait prendre conscience que l’on ne faisait pas toujours ce qu’on avait envie et que le Comté avait besoin de toute sa main d’œuvre disponible pour remplir les mines, afin de piocher les ressources nécessaires à leur entretien.

Pour le moment, les mines d’or et celle de fer se remplissaient aisément.

Là où le bas blessait c’était les carrières de pierre.

C’est donc en soupirant et en traînant de la patte qu’elle se dirigea vers la carrière de pierre qui se situait entre Tarbes et Lourdes.

[Carrière de pierre entre Tarbes et Lourdes]

Pioche en main, après avoir travaillé deux jours à la mine d’or, Fleur décida de montrer le chemin aux tarbais pour la carrière de pierre, qui était à privilégier.

De la pierre, du fer et de l’or, voilà un cocktail parfait pour un Comté qui tourne bien, encore faut-il que toutes les mines soient remplies et à leur rendement optimal.

Le 1er objectif du Comté est de remplir les mines, ensuite rehausser et égaliser les salaires des mines et enfin pour finir améliorer leurs mines pour obtenir les rendements optimaux.

Elle espérait sincèrement que les béarnais voyant leurs conseillers comtaux travailler au coude à coude dans les mines finiraient par les rejoindre.

C’est ainsi qu’à toutes ses pensées pour tenir au mieux son poste, Fleur entra dans la mine et cria à qui voulait l'entendre :

"OUH OUH Y A QUELQU'UN?"

Elle commença à casser de la pierre en sifflotant, sans attendre la réponse.

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Leslou_1

Entre deux voyages avec son promis, Leslou se rend dans les mines dés qu'elle le peut.

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Leslou_1

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Ptitefleur2006

Fleur insistait pour que les béarnais remplissent leurs mines, et elle y travaillait sans relâche, rabâchant encore et encore que le travail à la mine c'était bon pour la santé.

Citation:

30-11-2008 05:05 : Le Comté vous a reversé 45,50 écus d'arriérés de salaires.
07-12-2008 05:04 : Le Comté vous a reversé 46,50 écus d'arriérés de salaires.

Fleur travaillait à la carrière de pierre 6 jours par semaine, elle s'accordait un petit repos sur l'Adour tous les vendredi, elle espérait vivement que les béarnais fassent de même.

À eux tous ils arriveraient à rendre leur Comté fort et prospère, mais cela prenait d'abord un effort de chacun, un petit geste solidaire

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Rocabar

"Fleeuuur!

Content de vous trouver.
Je vous cherchais, c'est notre maire Lelmax qui m'a indiqué la route: pas si loin de la mine en fin de compte

Comme tous les gens de la ville j'ai reçu votre courrier et j'y ai réfléchi dans un sanctuaire ou l'inspiration foisonne: une taverne généreuse en boisson pétillante.

Je me permets de reprendre votre courrier pour répondre à vos questions, ensuite je vous conterai les visions dont mes égéries m'ont fait la grâce."

1/ Connaissez-vous le chemin pour vous rendre aux mines? Si oui, pouvez-vous me l'indiquer?
Oui, mais je préfèrerais vous y accompagner un jour pour vous faire découvrir une galerie abandonnée que j'ai retrouvée lors d'un lever.
Je pourrais ainsi vous faire part de mes connaissances en lithologie: à partir de la faille de votre choix je pratiquerai un forage qui sans nul doute saura vous faire découvrir un bijoux rose et noir plus merveilleux que vous pourriez vivre en rêve

2/ Connaissez-vous l'utilité des mines pour la gestion d'un Comté? Si oui, pouvez-vous m'en faire part? Si non, souhaitez-vous la connaître?
Pas exactement, mais cela semble logique. Et si l'on en juge par les remous que cela provoque je suis convaincu que c'est indispensable.
[b]
3/ Pensez-vous qu'un salaire de 15.50 écus soit attractif pour attirer les travailleurs? Si non, à quel salaire seriez-vous prêts à vous rendre à la mine plusieurs fois par semaine, voire tous les jours, sachant que la trésorerie du Comté n'est pas des plus florissantes?[/b]
Ce salaire est un peu plus haut que dans d'autres villes. Cependant ces autres villes ne proposent pas assez d'emplois annexes pour que les travailleurs s'y refusent.

4/ Pensez-vous que le fait d'offrir un pain à 2 écus pour trois jours de mine (ou une paire de chausse pour une semaine de mine offert par certaines villes) soit suffisant pour attirer les béarnais? Si oui, avez-vous déjà demandé votre pain à 2 écus auprès du Comté? Si non, avez-vous une idée de ce qui pourrait être attractif pour remplir nos mines?
Non, non, et oui

*

5/ Pensez-vous que le fait de faire un RP en gargotte sur le travail à la mine, permettant de faire participer tous les béarnais soit une bonne idée? Si oui, pourquoi seuls les conseillers y participent? Si non, pourquoi, selon vous, ce n'est pas une bonne idée?
Oui excellente idée, s'il n'y a que les conseillers c'est uniquement parce que ceci ne s'adresse qu'aux conseillers

* (le prend pas mal hein! je vais expliquer aussi)

6/ Pensez-vous que la communication soit satisfaisante pour demander à tous les béarnais de venir fréquenter les mines? Si non, en quoi elle ne vous parait pas satisfaisante, afin que nous puissions l'améliorer?
La communication c'est le pouvoir... peut-être y as-t'il un manque de pouvoir?

7/ Enfin, pensez-vous que des animations autour de la mine serait une bonne chose, certaines villes comme Lourdes l'ayant en projet?
Je ne connais pas le projet de Lourdes. L'idée d'animation est bonne, après tout dépend de sa qualité (c'est comme comparer DJ Jean-Mi et sa disco mobile à un concert de Madona)

8/ Quelle amélioration souhaiteriez-vous voir appliquer concernant les mines?
Héhé, c't'à moué!
Mineur n'est pas un travail socialement valorisant.
Les habitants cherchent des titres, des charges, des hauts faits de guerre, la richesse, le pouvoir.
Qui m'écoute? Les conseillés? Vous ne pourrez donc pas contredire ces propos.
Cependant, il faut bien avouer que certaines charges, certains titres font prendre conscience de la réalité de l'économie: VOUS, vous savez l'importance de la mine. Les autres non.
L'information servira uniquement à rameuter les prétendants à vos places et les bardes taquins, même si elle se doit d'être (conformément aux règles démocratiques qui régissent la municipalité).

Les muses m'ont chanté trois couplets, la Boulasse entonnais le refrain:

Couplet 1: de l'offre promotionnelle au discrédit

Personne ne peut promettre aux gens gloire à la mine, en revanche, il est possible de promettre richesse...
La paire de chausse est motivante pour les vagabonds.
A l'heure actuelle, 7 jours de travail à la mine apportent 108.5écus.
On ajoute 50 écus de base et on retranche 7 repas à 6 écus, on obtient 116.5 écus. 2 jours à l'église, et voilà, l'habitant se bourre bien la gueule à la taverne, passe citoyen et part de la mine bien chaussé pour ne plus y revenir... cette politique n'est vraiment pas adaptée au long terme.

La paire de chausse n'intéresse pas les autres. Leslie_1 qui a posté son emploi du temps montre une chose flagrante: avec un élevage ou un champ, il est impossible de fréquenter la mine aussi régulièrement que souhaité. Trois jours de mine d'affilée et on loupe sa traite des vaches ou autre...
Pour le pain à 2écus, cela engendre des complications de gestion. Pour vous cela semble simple, mais pour un nouvel arrivant c'est un véritable effort presqu'insurmontable que de savoir à qui demander, comment demander et surtout d'être sûr que le "marché" sera tenu (si cette personne a su voir l'offre faite...)

J'ai lu une phrase dans le genre: "si vous apportez la preuve que vous avez travaillé tant..."
On prouve comment? C'est effrayant ^^

La muse fut implacable: ce ne sont pas les cadeaux qui motiveront les foules, mais les salaires. La mairie se discrédite en vendant ses places à la mine comme des tapis sur le marché.

Refrain de la Boulasse:
Tends moi ton verre mon p'tit trouvère
J't'en ressers une: encore un foi
Toutes ces bubules seront pour toi
L'inspiration qui t'es si chère

Couplet 2: communauté minière

La démarches de Tarbes ne semble pas efficace. Lourdes semble avoir agi sur un autre concept: "l'event"
De toute manière les trop ambitieux refuseront la mine: "c'est pour les nains".
Vous connaissez sans doutes les célèbres 7 nains. Pourquoi étaient-ils 7?
Vous ne le savez pas? Je vais vous l'apprendre:
Ils sont 7 comme les jours de la semaine, il travaille chacun 1 jour par semaine et les 6 autres encouragent le travailleur de leurs chants et de leurs danses (si c'est vrai!!). Ils travaillent ensemble car ils forment une véritable communauté et y vont avec plaisir pour partager un moment joignant l'utile à l'agréable.
Nous ne sommes pas des nains donc on ne peut pas faire comme eux.
En revanche, pour former une véritable communauté minière il faut un rendez-vous fixe et quotidien pour tous les mineurs.
Pour mettre cela en place il faudrait des animateurs volontaires pour réunir les mineurs en lieu et heure, et pourquoi pas préparer des thématiques tel que les quizz à la Rox, ou tout autre jeu... (les gens viennent ici pour le contact social, nous sommes tous dans le même cas).
Si cela marche, réserver les places aux mineurs du jour convaincra d'aller à la mine.
Vous montrez déjà l'exemple, allez! Un p'tit effort de plus! Je vous dédierai une fable

Refrain de la Boulasse:
Tends moi ton verre mon p'tit trouvère
J't'en ressers une: encore un foi
Toutes ces bubules seront pour toi
L'inspiration qui t'es si chère

Couplet 3: Demande de travail et population

Les points ci-dessus ne seraient pas à l'ordre du jour s'il y avait assez de monde en cette ville.
Pour remplir les mines, il faut trouver des habitants.
Des expéditions de recruteurs rémunérés pour voyager et récompensés par une prime pour chaque habitant "rabattu" serait un projet assez intéressant.
Il ne manquerait qu'à discuter des arguments que ces recruteurs mettront en avant pour promouvoir Tarbes.
De même, l'accueil est primordial. Pour ma part j'ai beaucoup apprécié le comité tarbais. Il faut continuer ainsi, voir faire encore mieux si c'est possible.

Conclusion:

Je conclue par la seule proposition concrète que je puisse faire:
Sourit malicieusement:
Je suis très inquiet voyez-vous.
La pratique des instruments requiert une grande dextérité des doigts.
Je pioche mais je crains qu'à l'usure ma pratique se dégrade.
En échange d'une paire de gants je pourrais éventuellement exercer mes compétences de scalde pour rythmer les coups de pioches et exalter la mine qui n'en sera que plus productive

Gravure de moi dans une semaine

Sepro

Sepro travaillait à la mine de fer au nord de Lourdes chaque jour depuis huit jours et, certes, ses finances n'étaient pas celles d'un roi, mais elle lui permettaient de manger décemment chaque jour. Toutefois, il souhaitait encourager l'effort général de remplissage des mines. C'est pourquoi il alla afficher la preuve de ses état de service au bureau des mines local. S"adressant à la responsable lourdaise, il indiqua :

Gill, j'ai travaillé chaque jour dans la mine depuis huit jours à compter de dimanche dernier inclus. Pour que cela ne passe pas pour de vains mots, j'en apporte ici la preuve.

Toutefois, il me paraît indécent de réclamer ici quoi que ce soit. Si tu peux doubler la ration de pains des deux suivants qui viendront réclamer le leur, j'en serais ravi!

Puis, quittant le bureau, il ajouta d'une voix forte :

N'oubliez pas la mine : il en va de la santé de notre beau comté et ... la santé de notre comté, c'est notre santé!!!
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Plan et table du cadastre (cliquez ici!)

Apophis

Apophis avait travailler durant 2 jours dans la mine de fer, au nord de Lourdes et en avait légèrement baver...
Mais il ne se plaignait pas, après tout c'est lui même qui avait poser baluchon dans cette ville qu'il commençait a bien aimer.

Aujourd'hui il travailler dans l'autre mine à la carrière de pierre, au nord-est.

Il ne parlait pas beaucoup mais travaillait énormément, grâce a la pioche qu'on lui prêtait chaque jour il réussissait à extirper beaucoup de roche.
Cela semblait ridicule comparer aux tas que pouvait faire les autres mineurs bien plus balèze que lui et bien plus expérimenter.
Il se dit qu'un jour il arriverait bien faire un tas semblable ou du moins équitable.

En attendant fallait pas chomer ......

Ysengrine

... fallait pas chômer et la saison des blés (et des chaumes) finie, Ysengrine y était allée de son coup de pioche aussi, dans la mine d'or près d'Orthez...

Maintenant la voilà qui se rend vers la grand place et le Château, curieuse de savoir ce qu'il est advenu d'un courrier qu'elle a envoyé il y a quelques temps

Après quelques détours et pérégrinations, la voilà qui demande une audience à dame Fleur, expliquant laborieusement sa requête à un greffier du château

Bonjour, je suis Ysengrine, artisan à Orthez. J'ai envoyé une réponse au courrier de dame Fleur et comme je passais par ici je voulais savoir si elle était disponible pour parler de cette proposition... Voilà... Si vous voulez bien transmettre... j'attends là...

Ysengrine s'assoit sur un banc dans le couloir et se plonge dans la lecture d'un petit livre relié en cuir noir qu'elle sort de sa besace

Ptitefleur2006

Fleur revenait de la messe qui avait été donnée en l'honneur de Saint-Corentin.

On lui fit savoir qu'une certaine Dame Ysengrine lui demandait audience au sujet des mines et qu'elle attendait sur un banc dans le couloir.

Fleur sourit et s'avança vers la dame.

Elle la salua.

"Bien le bonjour Ma dame,

Dame Ysengrine, je présume, on vient de m'avertir de votre demande d'audience, enchantée, je suis fleur.

Votre missive m'est bien parvenue, on me la remise dès votre envoi.

Je serai ravie d'en discuter avec vous dans mon bureau.

Je vous invite donc à me suivre."

Fleur se dirigea vers son bureau et invita Dame Ysengrine à s'asseoir dans un des fauteuils en face de son bureau, pendant qu'elle prenait place à son tour.

Elle sortit la lettre de la Dame en question et commença :

"Avant que nous débattions sur la question des mines et votre proposition, j'aimerai éclaircir un point.

Dans votre lettre, vous m'indiquez, je cite :

Citation:

Curieuse démarche d'abord que de demander comment vous en sortir : n'est ce pas pour trouver des solutions que vous avez été élue ? Je suis un peu gênée par votre façon de procéder. J'espère que nous aurons l'occasion d'approfondir le sujet, je ne veux point juger sans vous connaître mieux.

Je tiens juste à vous indiquer que j'ai pris l'iniative de mener cette enquête, afin de connaître l'avis des béarnais sur la question et non pour qu'ils trouvent eux-mêmes des solutions.

Nous avons mis en place plusieurs choses qui ne fonctionnent pas des masses, de ce fait, je souhaitais savoir ce qu'en pensait les habitants de notre Comté et j'ai donc écrit aux béarnais dans ce sens, afin d'en toucher le plus grand nombre.

À l'analyse des réponses reçues, je ferai parvenir les réponses à mon questionnaire en expliquant pourquoi les mines sont vitales pour un Comté, et pourquoi chacun d'entre nous devrait faire l'effort d'aller à la mine une ou deux fois par semaine, ainsi que les améliorations qui y seront apportées.

J'espère que vous comprenez mieux ma démarche et je suis à votre écoute pour toute proposition."

Fleur se tut et attendit que la Dame lui fasse part de ses impressions et propositions.

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Ysengrine

Ysengrine s'assoit face à la Conseillère, bien droite et les mains sur ses genoux

Elle sourit, amusée, à l'évocation de la petite pique qu'elle n'a pu s'empêcher de glisser au début de sa lettre

A ces mots :

Citation:

en expliquant pourquoi les mines sont vitales pour un Comté, et pourquoi chacun d'entre nous devrait faire l'effort d'aller à la mine une ou deux fois par semaine

la jeune femme fronce un peu les sourcils

Quand Dame Fleur finit son intervention, Ysengrine sourit et poursuit

Passons sur mes propos préliminaires : je sais combien votre tâche est difficile, et je vous reconnais le mérite de tout faire pour la mener à bien. Ce n'est pas si fréquent, et je vous remercie, en tant que béarnaise, pour cela

Maintenant pour ce qui est de ma proposition...

Ysengrine se penche en avant

... je pense donc que vous devriez essayer de vous appuyer sur d'autres produits que le pain. Tant qu'à revendre un produit à perte voyez vous, de 4 écus environ, je pense que vous devriez viser un produit plus recherché. Le pain en effet n'est le repas essentiel que pour les très jeunes vagabonds ou pour celles et ceux qui sont devenus étudiants.
Comme l'essentiel de la population est composée de paysans... et que les paysans doivent rechercher des aliments plus chers... c'est aussi le cas de beaucoup d'artisans d'ailleurs... Je crois qu'il serait plus attractif de procéder de la même façon mais avec les fruits, les légumes, le lait, le poisson ou la viande : pour un paysan un morceau de viande à 15 écus mettons, ou deux fruits pour 14 écus, cela constitue une aubaine.

On établit ainsi une mutualisation des nécessités : il vous est nécessaire d'avoir des gens à la mine, il est nécessaire aux paysans et artisans de se nourrir de denrées rares. Puisque vous établissez une remise de 4 écus pour 3 jours de travail à la mine, portez cette remise sur des denrées plus recherchées et plus nécessaires.

Ysengrine cherche un flacon de vin du regard... regrette de ne pas en voir, se dit que ce serait malpoli de se servir comme ça... puis reprend son raisonnement :

Je parlais dans mon courrier de l'armée, c'est un exemple pour illustrer mon propos sur la mutualisation des nécessités : pour les soldats il est impératif de manger de la viande. Les officiers ne peuvent que vous entendre, si vous proposez de rendre leurs soldats plus forts pour un prix modique... enfin modique... disons inférieur au marché en tout état de cause...
Cela reviendrait donc à passer une sorte de contrat avec l'armée : celle ci vous fournit des mineurs, en échange vous fournissez à ses soldats de la viande.
Ainsi vous êtes assurée d'une main d'oeuvre régulière, et l'armée est assurée de voir sa valeur combattive progresser.

Voilà, en résumé, les grandes lignes de l'idée que je tenais à vous soumettre. Qu'en pensez vous, Dame Conseillère ?

Maintenant assoiffée, Ysengrine fouille les moindres coins de la pièce du regard en espérant y voir un flacon d'alcool... ou de n'importe quoi même de l'eau... non quand même pas...

Ptitefleur2006

Fleur écouta sans mot dire Dame Ysengrine.

À un moment donné, elle la vit chercher du regard quelque chose.

Elle réfléchit, et se dit qu'à force de parler, la dame devait avoir soif, amusée, elle la laissa terminer sa proposition.

Ensuite, elle se leva et se dirigea vers une armoire où se trouvait une bonne bouteille de jurançon avec quelques verres.

Dame, partageriez-vous avec moi un petit verre de jurançon?

Il paraît que cela ouvre l'appétit.

La voyant accepter, elle sourit et elle servit deux verres et en tendit un à Dame Ysengrine.

Santons! À l'avenir de notre Comté!

Fleur but une gorgée après avoir trinqué avec la dame et poursuivit :

Bon, revenons à nos moutons... heu non à nos mines

J'avoue que votre idée est très intéressante.

Il est vrai que nous nous sommes attachés au pain pour les vagabonds et les paysans, mais nous pourrions, enfin si mes collègues sont d'accord bien entendu, envisager de proposer de la viande, du poisson ou des fruits à un prix inférieur à celui que nous trouvons sur le marché.

Nous pourrions alterner chacune de ces denrées par semaine, une semaine on proposerait la viande, une autre du poisson, une autre des fruits et pourquoi pas une autre du pain.

Enfin, cela se ferait sur un court terme dans un premier temps... un mois par exemple, pour voir si cette solution est bénéfique pour nos mines, car il ne faut pas oublier non plus que nous ne roulons pas sur l'or.

De toute manière, je vais soumettre votre suggestion dès la fin de notre entretien au conseil comtal.

Notre Cac sera plus à même de nous dire si c'est envisageable.

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Ysengrine

Ysengrine avale son verre d'un trait, puis se ressert sans vergogne

Excellent ce vin héhé... ça change de la bière... Pour cette question des moyens ce n'est pas compliqué, ça dépend de vos stocks... La question principale est celle du nombre de mineurs que vous souhaitez voir travailler dans les mines. Partant de ce nombre, vous extrapolerez facilement le budget de l'opération et l'investissement de départ.

Se rendant compte qu'elle a fini le cruchon de vin, Ysengrine semble perplexe... hésite... se lève un peu vite puis

Hum voilà voilà vous avez tous les éléments... je reste à votre disposition par courrier bien sûr...

Elle se dirige vers la porte

Avec votre permission... j'ai été très honorée de vous rencontrer... au revoir au revoir...

La jeune femme disparaît, laissant la porte entrouverte et maudissant son manque de manières...

Ptitefleur2006

Pas de soucis Ma dame, je ne manquerai pas de vous adresser une missive si cela s'avérait nécessaire.

Fleur la vit se lever et prendre congé précipitamment...

Intérieurement, elle éclata de rire et se dit : "Quelle femme étrange, on aurait dit qu'elle avait le feu aux fesses à partir aussi vite...en tout cas, elle a eu une excellente idée..."

Fleur se dirigea, à son tour vers la porte, et se dirigea vers la salle du Conseil, ses collègues devant vaquer à leurs occupations, elle laissa une note avec la proposition que lui avait soumise Dame Ysengrine et la posa sur la pile des affaires à traiter du jour.

Ses collègues allaient finir par la maudire à entendre parler incessament de mines

mais cela méritait d'être soulevé.

Elle referma la porte derrière elle, puis partit se changer pour prendre la direction de la carrière de pierre.

Une journée de plus à piocher mais comme elle le disait le travail c'est la santé!

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Chloe_de_chesnais

[L’homme qui est inventé dans mon rp, peut-être joué par quelqu’un si un rp vous intéresse au fond d’une carrière.]

De retour en Béarn depuis quelques jours seulement. Chloé n’était pas encore sortie de chez elle. Le voyage l’avait épuisée depuis la Gasconne, et la demoiselle avait encore eut envie de rêver du jeune enfant de sa Duchesse. Un magnifique héritier pour le Duc de Gasconne.
Des petits yeux plissés, tout comme sa peau. Des doigts qui ne devaient même pas mesurer le quart de ceux de la Baronne. La Dame Blanche l’aurait bien croqué de bisous tellement il était beau. Mais elle avait préféré embrasser son amie et repartir en Béarn pour lui laisser la chance et le bonheur de profiter de leur nouveau né.

Y’a-t-il vraiment plus belle reconnaissance dans la vie que la naissance d’un enfant ?

Chloé en doutait, d’où ses rêveries si longues. Mais il était temps pour elle de sortir à nouveau. Que faire ? L’Adour ? Elle en avait désormais trop peur, depuis son accident à Dax, même près de la rive.
La demoiselle s’était donc baladée dans le village de Tarbes. Par-ci, par-là, sans but.

Vêtue de ses braies de cavaleries, d’une chemise qui par habitude aurait dû être bien trop grande pour elle, et pourtant, son ventre la remplissait bien… Ses bottes pour monter son cavales, et le mantel qu’elle avait volé quelques temps plus tôt à son époux. Il ne serait lui en vouloir de se couvrir pour ne pas attraper mal et au risque de perdre son héritier.
Ses cheveux étaient libres. Quelques mèches s’étaient même faufilées sur le devant de ses épaules alors que d’autres flottaient au rythme des pas de la Dame Blanche.

Quand elle entendit un raffut monstre un peu plus loin en face d’elle, derrière des tas de branches. La demoiselle s’approcha curieuse. A peine arrivée qu’un homme la pointa d’un doigt, après tous les autres villageois

Vous là ! Que faites-vous ici encore ! La Mine est encore vide ! Dépêchez vous de prendre une pioche !

Chloé écarquilla les yeux, la mine ? Travailler à la mine ? Si son époux le savait, elle pouvait être sur qu’il demanderait à sa dame de compagnie de ne plus jamais la faire sortir jusqu’à la naissance de son héritier. Quand elle croisa à nouveau le regard de l’homme, un regard à la fois noir et glacial.

Quelques pas en arrière, Chloé ôta le mantel bien chaud qui la protégeait de se maudit froid d’hiver. Elle le posa sur un tas de pierre à l’entrée de la mine. Et après quelques regards en arrière, elle entra dans le couloir qui la mènerait jusqu’à l’échelle pour descendre dans les profondeurs du Béarn pour aller chercher de l’or. Pardi, elle ne serait pas dans une mine d’or sinon !

Elle arriva devant l’échelle qui descendrait à cru vers le bas de la mine, dangereusement difficile. Rien qu’à l’idée de devoir se baisser pour atteindre le sol, et pouvoir poser un pied dessus était dur à concevoir. Quand une main arriva près de sa tête, Chloé sans regardait qui cela pouvait être, sans servit pour s’aider à se baisser, et commencer à descendre sur cette échelle, bien trop dangereuse après avoir lâché la main qui d’ailleurs ne semblait pas très habituée à la mine vu sa douceur.

Quelques minutes plus tard, Chloé se trouva enfin en bas, soulagement. Elle releva la tête pour voir tout ce qu’elle venait de descendre, avant de la redescendre rapidement, pour éviter de se retrouver les fesses à terre, prise de vertige. Elle aperçue alors l’homme qui l’avait aidé entrain de descendre, mais elle continua son chemin, sans l’attendre, dans les couloirs du souterrain. Quand elle entendit à nouveau une voix derrière elle.

Hey Ho Mademoiselle, vous oubliez votre pioche !

Chloé se retourna, et vit le même homme aux mains douces tendre une pioche en sa direction. Joues rougissantes, la dame blanche, fit marche arrière, et attrapa la pioche. La pénombre de la mine l’empêcha d’observer le visage de l’homme et de savoir si elle le connaissait ou non.
Elle regarda alors les ombres qui contournaient son visage et son corps et lui dit.

Merci Messire

Puis elle attrapa une lanterne, qui serait lui montrer le chemin, pour aller piocher durant toute la journée. Si un jour on lui avait dit qu'une Baronne irait à la mine... Quoi que l'ennuie nous fait souvent faire des choses idiotes, alors pourquoi pas la mine ?

Citation:

Travail
pour le Comté/Duché

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Apophis

Apophis travaillait déjà depuis plusieurs jours dans ces mines.
Il commençaient à bien connaitre les recoins de celles-ci et commençait à s'y plaire malgré la noirceur qui se dessinait sous ses yeux et la fatigue aidant.

Mais malgré cela il ne perdait pas sa bonne humeur et continuer ses aller-venu en mines et dans la rue la ou il dormait étant donner qu'il travaillait durement pour pouvoir acquérir son 1er champs et ainsi évoluer dans la société.

Pour son 5 ème jours il aperçut une dame un peu perdue au ventre arrondi, il la vit ne pas trop pouvoir se baisser pour descendre dans la mine et il décidât de l'y aider sans dire mot.
Elle ne le regardât même pas et descendis à son rythme, Apophis vit qu'elle avait complètement oublier sa pioche, sans doute était elle perdue en ses pensées et il décidât de la lui rapporter.

"Hey Ho Mademoiselle, vous oubliez votre pioche ! "

Elle le remercia et prit une lanterne, il ne put s'empêcher de lui faire remarquer :

Heeuuuu ... pardonnez moi damoiselle mais ...enfin .... une dame enceinte ne devrait elle pas se reposer ??

La dame, quelques mèches sur le devant des épaules, ne put s'empêcher de sourire avant de répondre ....

Chloe_de_chesnais

Main gauche levée en avant pour porter la lanterne et lui permettre de savoir où elle mettrait les pieds. Alors que sa main droite tenait la pioche, bien trop lourde pour son pauvre bras, bien trop habitué a porter une simple plume. A peine quelques pas de fait, quand elle entendit à nouveau la voix faire échos dans les couloirs de la carrière. Chloé se retourna, elle n’avait pourtant rien oublié cette fois-ci…
Quand il lui parla de sa grossesse. Sourire aux lèvres, la Dame Blanche répondit.

Cela n’est point une maladie, et malgré la difficulté pour me baisser et attendre l’échelle, j’ai pu trouver une main pour m’aider.
Se reposer n’empêche pas d’aller travailler quelques heures pour notre bon Comté. Je vous fais confiance pour ne point l’ébruiter quand nous serons sortie d’ici.

Chloé se stoppa, relevant légèrement la lanterne vers le jeune homme face à elle.

Mais je manque à tout mes principes, je suis Chloé Bénédicte de Ch… enfin non Chloé Bénédicte d’Hourden. M’enfin, Chloé suffira.

La Baronne lança un nouveau sourire au jeune homme, il semblait nouveau dans le coin ou alors pas du genre râleur sinon, elle aurait reconnu son visage malgré la faible lumière de la lanterne.

Si un jour on m’avait dit que je me présenterais au fond d’une mine, je ne l’aurais pas cru.
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A la recherche d'un joueur pour faire vivre pnj homme

Apophis

Apophis esquissa un sourire à la dame qui se présenta à lui.
Quand il l'entendu dire :

Citation:

Si un jour on m’avait dit que je me présenterais au fond d’une mine, je ne l’aurais pas cru.

Il ne put s'empêcher de lui sourire encore plus franchement juste avant d'ajouter :

Heu ... moi je suis messire Apophis... venue d'une contrée lointaine ..
enchanté !

Il ne lui fit pas un baise main comme il aurait pu le faire en taverne car au fond d'une mine cela ne donnait pas le même effet et cela aurait pu être présenter comme incongru.

Il ne put s'empêcher d'insister :

Moi je vous aiderai tout le temps que vous le souhaitez mais ..... * fronçant les sourcils* je ne trouve pas qu'une dame de votre classe est quoi que ce soit a faire dans une mine ... surtout dans votre état, et peu importe que l'on veut aider son comté ou pas sa santé passe avant tout.

Se rendant compte qu'il fut un peu trop .... direct il se ravisa quelque peu :

Heu ...... enfin moi je dit sa vous savez... je dit rien .... c'est pas moi qui est enceinte.

Chloe_de_chesnais

A la recherche d'un joueur pour faire vivre pnj homme

Apophis

Apophis se trouvait tout hébété devant la dame, elle lui avait promptement dit :

Citation:

Les paies sont données à la sortie de la mine, je vous reverserais la mienne, si cela vous convient ?

Clemenceii

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Aider Son Comté, c'est s'aider soit même => Allez à la mine quelques jours par semaine.
Gamine brune, cheveux long et épais, yeux bleu de sa mère, ~1m25

Chloe_de_chesnais

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Apophis

Chloe_de_chesnais

A la recherche d'un joueur pour faire vivre pnj homme

Apophis

(je sais pas comment on appelait un slip au moyen age .... mdrrr)

et il courut vers la sortie pour aller chercher de l'aide en hurlant:

HOOOOOOOOOOOOOOO HEYYYY HOOOOOOOO !!!!!!!
AIDEZ MOI AU SECOURS LAAAAAAA !!!!
UNE DAME A BESOIN D'AIDE !!!
VIIIIIIIIIIITE !!!!!!

(joueurs de tout bord venez participer .... apparemment on aurait bien besoin d'un docteur !!! merci de jouer le jeu du RP on est la pour sa non ?? )

Apophis

Loupameth

Apophis

Dolleka

Loupameth

Apophis

et ensuite vous faites comme ceci, et pour finir un bon nœud par le dessous.

Une fois tout terminez Apophis se relevât et dit :

Loupameth a y'est on as finit !!!

Apophis était plutôt fière du résultat et souriât à dame dolleka.

Dolleka

Chloe_de_chesnais

A la recherche d'un joueur pour faire vivre pnj homme

Dolleka

Dolleka soutient la tête de la Dame, qui a l'air de s'affaiblir de plus en plus.
Celle-ci parvient à articuler dans un râle :

L’en…Fant ne doit pas… encor...e… arriver. Il est trop… tôt !

Je suis bien d'accord, pense Dolleka. Mais j'fais quoi, moi? Je mets une main pour l'empêcher de sortir?

Essayant de toutes ses forces de ne pas céder à la panique qui la gagne, elle entame avec l'énergie du désespoir une prière à la Sainte Providence pour que le toubib revienne le plus vite possible...
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Apophis

Fobia était la, toujours légèrement vêtue ...
Il ne savait pas quoi faire de plus, il s'avouât intérieurement qu'il était carrément perdue et se sentait inutile maintenant.

Pour ne pas céder à la panique il s'assit en face de dame dolleka et caressa la visage de la dame de chesnais.
Il regardât dolleka dans les yeux et lui dit:

Sa va allez !! le doc est la !! il vas s'en occuper !

En fait il paniquait car il voyait que tout tournait à la catastrophe mais il ne laissât rien transparaitre et resta la prés de la dame à essayez de la calmer

Loupameth

le brancard terminé loupameth se penche vers dame chloe_de_chesnais .

Bon madame ne vous faites pas de soucis ça va aller je suis le médecin de lourdes ^pour vous servir , nous allons vous sortir de cette endroit poussiéreux et sombre tenez vous prête ça risque de chahuter

se tournant vers dame Dolleka.

Dolleka pouvez vous sortir aller faire du feu , faite chauffer de l'eau et trouver moi des linges propres , s'il vous plait et vite , Apophis tu es pret ? prend le devant moi l'arriére et nous emmenons cette dame dehors en douceur si possible

D'un geste brusque Apophis souléve le brancard et d'un pas hésitant , trébuchant de temps en temps ils arrivent enfin à la sortie de la mine , une fois dehors loupameth crie à son compagnon de brancard .

Va vers le feu que Dolléka à préparé aprés tu ira chercher deux rondins de bois

Arriver prés du feu il pose le brancard délicatement. Son regard se tourne vers dame chloe_de_chesnais .

Je suis désolé de vous secouer comme ça mais il le fallait et dans votre état il faut faire vite malheureusement je pense que votre bébé va naitre je fais mon possible pour que ça se passe bien .

En attendant loupameth couvre la dame d'une chaude couverture et va se laver les mains .
Bon alors Dolléka cette eau chaude arrive ? tu as des linges ?
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Dolleka

Sachant qu'elle ne serait qu'une gêne pour le transport de la Dame, Dolleka file ventre à terre en direction du village.

Les mines sont situées au Nord de la ville. Dolleka se souvient être passée à maintes reprises, en allant à la mine, devant une petite métairie, ouverte les jours de grand commerce, dans laquelle elle trouvera sûrement ce qui lui faut.
Cette métairie est située à l'extérieur de l'enceinte de la ville, presque dans les champs. Dolleka s'y engouffre comme un chat de village poursuivi par une meute de chiens féroces.

..hhhh... Adi-shatz, Mes-sire! fait-elle une fois à l'intérieur. Je suis une travailleuse de la Mine Comtale, et l'une de mes.. minières est sur le point d'accoucher!

L'homme qui est là se tourne vers elle d'un air surpris. Il la dévisage des pieds à la tête. ..Puis-je vous emprunter des linges, de l'eau, une marmite?
Aah, ben ouais, pour sûr. Faites. Ma j'peux point vous aider, Dame, à transporter tout ça. J'a la Mad'lon qu'est partie à Tarb' visiter sa fillotte, 'lors j'suis tout seul. J'a un' tit' brouett', derrière la métairie, vous pouvez la prendre, ma 'faudra la ram'ner. J'a du linge dans le meub' qu'est là, vous pouvez prendre. J'm'en vais vous préparer l'eau.

Pendant qu'il allume du feu sous un grand chaudron à soupe, Dolleka file à l'arrière du bâtiment. Elle y trouve la brouette, avec laquelle elle repart à l'avant de la bâtisse. A l'intérieur, elle farfouille dans le meuble et y prend une grande pile de linge propre.
Le tenancier arrive, portant la grande marmite fumante. Il la pose sur la brouette et la cale avec quelques linges. Puis il se tourne vers Dolleka :

Tenez Dam'zelle. C'est une fiole de sels. La Mad'lon en eut grand usage pour me donner mes trois garçons. M'est d'avis qu'vot' minière pourrait n'avoir usage aussi.
Dolleka remercie grandement le tenancier, et repart, aussi vite que possible sans renverser sa charge.

Elle a l'impression qu'il n'y a jamais autant eu de trous, de bosses et de nids-de-poule sur le chemin. Enfin elle arrive à l'entrée de la mine. Il y a sur la droite un foyer, que les mineurs utilisent pour se réunir et se détendre, avant et pendant leur dure tâche. En ce moment il est encore désert, aussi Dolleka grimpe à l'intérieur du cercle de pierres pour allumer le feu.

Quand le feu prend enfin, elle accroche la marmite au montant de fer que les mineurs ont échafaudé à partir de pioches brisées, et pose deux linges sur l'ensemble, pour qu'ils se réchauffent à la vapeur produite.

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Apophis

Apophis enfin sortit de cette satane mine, ayant poser le brancard pré du feu, détalla sous les ordres de loupameth pour aller cherchez des rondins de bois.

Il revenu les bras bien charger et en jeta quelques unes dans le feu pour lui redonner de la vigueur.
Il s'occupait du feu car il ne savait pas trop quoi faire d'autre à vrai dire ...

Dolleka

Enfin les hommes arrivent, et posent difficilement le brancard au sol.
Apophis part en courant, et revient les bras charges de branchages pour entretenir le feu.

Pendant ce temps, Loupa s'occupe de la Dame, lui murmurant des mots encourageants.

Dolleka qui venait a la rencontre d'Apophis pour le debarrasser de quelques branches devint soudain blanche comme un linge.
Elle laisse tomber sa branche sur ses pieds, et pointe un bras tremblant vers la Dame:

Elle perd... Elle perd....

Les yeux agrandis, Dolleka fixe au sol une trainee de liquide brun et rouge qui s'agrandit sous le brancard.
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Apophis

MAZEEEEEEETTE !!! vindiou de vindiou de sacrebleu !!!
Bordel eu'd'cul !!!!!!! mé que ce qu'on peu t'y faire nous ??

Voila comment apophis parlait quand il était très tendu et stresser.
Apophis paniqua d'un coup tournant en rond et s'arrachant les cheveux.

ben dite donc ... heu d'que ce qu'on fait la ???

Apophis regardât messire loupameth attendant un miracle.

Gillianne

Gill venait visiter la mines après avoir passée la journée a son moulin. Elle voulait s'assurer que tout se passait bien, et remettre les pains chauds a ceux qui les avaient bien mérités. Mais a son arrivée , un groupe était réunit et avait l'air anxieux. Puis en s' approchant , elle aperçut un son mari.

Elle avança encore plus vite et essaya de se faire un chemin pour le rejoindre.

Mais bon sens de bon sens , que se passe t'il ici? Quelqu'un peut m'expliquer?
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Dolleka

Loupameth bredouille quelque chose que Dolleka ne comprend pas, et part en courant, sûrement pour chercher son attirail, car les choses ont l'air bien plus compliquées que prévu.

Dolleka change de place et s'approche des jambes de la Dame. Celle-ci semble avoir les pires difficultés à simplement respirer, exhalant un râle avec chaque souffle.

Réprimant sa répulsion, elle attrape le bord des vêtements de la Dame, et les roule dans chaque sens, révélant le ventre bombé, et les cuisses de la Dame. Elle s'accroupit en face.

Dis-moi, Apophis, t'as déjà accouché une de tes vaches? lance-t'elle vers l'avant. Moi, mes moutons, c'est des mâles...

Euhhh, Salut Gilli! Dis, pousse-toi, t'es dans la lumière du feu.

Tandis que Gillianne, qui vient d'arriver, se pousse, elle aussi stupéfaite par la scène à laquelle elle assiste, Dolleka se penche. Elle tente de glisser sous les fesses de la Dame un linge qu'elle avait à la main, et annonce rapidement à la nouvelle arrivante:

Eh bien y'a cette Dame qui est en train d'accoucher, on vient juste de la sortir de la mine, et on est pas rassurés du tout.

..APO!! Donne-lui une baffe et prends les sels! Elle s'évanouit !! Il faut qu'elle soit là pour pousser !!

La voix tremblante, Dolleka se tourne vers Gillianne :

Gillianne, s'il te plait, cours au village, je crois qu'il va falloir un prêtre.

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Loupameth

En regard de la tournure des événements , Loupameth se précipite vers la dame suite aux cris pousser par Dolléka et à la vue du liquide qui se répandait sur le sol il hoche la téte , son regard devint sombre .
Au méme moment il voit surgir sa femme , surpris mais heureux à la fois il se dit qu'il lui faut de l'aide et vu les circonstances avoir deux femmes avec lui pour accoucher une autre dame c'était ma foi mieux .

Gilli tu es la tu tombe bien , avec Dolléka vous allez vous occupez de la dame , ne vous affolez pas mais je crains le pire pour le bébé à mon avis il n'est pas vivant .. mais bon .. on verra bien . il faut vite l'accoucher car sinon c'est la dame que l'on risque de perdre .

Il se tourne vers Apophis

Nous deux nous allons soutenir la dame , tu prend un linge humide et tu lui passe sur le visage , moi je vais contrôler les opérations ; aller mesdames au boulot et vite il faut finir cette accouchement , aprés je dois emmener cette personne à l'Ordre de la Dame Blanche , dés que le bébé sera sorti

Aussitôt il se penche sur la dame lui adresse des mots d'encouragement .

courage madame un petit effort , dés que ces dames seront prête elle vous dirons de pousser très fort en bloquant votre respiration et vous serez soulager . Après comme promis je vous emmène

Il fait signe à Gilli et Dolléka de lancer le travail , en surveillant le comportement de la dame
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Gillianne

Gill prit les lingettes humides que lui tendit son mari, elle ne s 'attendait surement pas a un pareil événement en venant ici ce matin. Elle se plia près de la Dame et commença a lui passer doucement le linge sur le visage en lui murmurant des mots d'encouragements.

Courage ma bonne dame, allez respirez comme moi, essayer de suivre mon rythme.
Elle se mit a respirer a petit coup, mais la dame était tellement faible qu'elle n'y arrivait pas. Inquiète , elle jeta un regard anxieux a son mari.

Mais elle savait qu'il faisait de son mieux pour le bébé et la dame. Donc elle ne dit pas un mot et continua de réconforter la dame qui souffrait horriblement.
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Chloe_de_chesnais

Tout allait de plus en plus vite. Les douleurs de plus en plus fortes, rapprochées. Les mouvements sur le brancard pour la ramener à la surface. Chloé avait l’impression de connaitre cela pour la première fois, se rappelant de la naissance de ses jumeaux qui s’était merveilleusement bien passé. Pourquoi souffrait-elle autant aujourd’hui. Pourquoi n’était-ce pas aussi simple que la première fois ?

Quand on posa le brancard au sol, à la surface de la mine, une douleur encore plus forte que les autres surgit, même celle-ci ne pu être contenu entre les lèvres de la Baronne.
On pu certainement entendre dans les nœuds à la ronde. Un :

Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhh !!!!

Et c’est à ce moment là, qu’elle sentie un liquide chaud lui parcourir l’entre jambe et se rependre sur ses jambes. Le monde s’affole un peu plus autour d’elle. Les douleurs sont toujours aussi prenantes, et malgré son envie de fermer les yeux pour se reposer quelques secondes entre deux douleurs, elle lutte, lutte pour vérifier chaque geste des personnes autour d’elle.
Quand elle entendit quelques mots sortirent de la bouche du dit « médecin », Chloé essaya de se relever avec force et détermination. Puis il s’approcha d’elle pour la rallonger et lui expliquer comment cela se passerait et qu’après il l’amènerait chez les dames blanches.

La Baronne le regardait, larmes aux yeux, d’avoir entendu l’homme dire que l’enfant était surement déjà mort. Elle n’en revenait pas. Les perles salées coulèrent sur ses joues, quand elle sentie la douleur qu’elle ne pouvait plus maitriser et qui lui fit commencer le travail.
En même temps qu’elle pouvait on entendit un …

Baptiiiiiiiiiiiiiiiiste !!!!!!!!! aaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhh !!!

Le cris raisonna dans toute la mine, alors qu’elle commençait à pousser, et sentant que quelque chose arrivait entre ses jambes. Ses doigts se resserraient dans ses linges pour s’aider à pousser, pour s’imaginer la main de son époux.
Pourquoi ne l’avait-elle pas prévenu ? Pourquoi n’était-il plus si proche l’un de l’autre depuis quelques temps ? Pourquoi avaient-ils décidé de se marier et avaient-ils brisé tout l’amour qu’ils se portaient ?

Une nouvelle douleur cessa sa réflexion qui n’était surement pas l’heure de faire, de nouveau pousser pour aider l’enfant à sortir. Chloé espérait que tout cela serait bientôt fini. La douleur devenait de plus en plus insoutenable et la fatigue plus prenante.

Aaaaaaaaaaah !!!

La fin du cri annoncé la fin de la douleur ou plutôt de la contraction. Chloé sentait de plus en plus, et elle se doutait que la prochaine poussée serait celle de la libération. Et il ne fallut pas longtemps pour que celle-ci arrive.

Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhh !

Et la délivrance fut… La Baronne n’entendit rien, aucun cri, et plus aucun courage pour se soulever et voir l’enfant.
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Apophis

Apophis l'air perdue, l'œil troublée ne savait pas trop comment s'y prendre.

Écoutant les ordres de loupameth il aidât a soulever la dame pour y mettre un linge.
Voyant tout le monde s'afférer, gillianne avait pris les devant pour passez le linge humide sur le front de sa compagne de galerie.

Il ne la connaissait pas depuis bel lurette mais il s'était attachez à elle, la 1ére personne à lui avoir décrocher un sourire en galerie, la 1ére à avoir plaisanter avec lui au fond de cette mine, Apophis était inquiet.
Il ne savait pas trop quoi faire pour se rendre utile, il vit chloé pleurer de petites larmes qui ruisselèrent sur ses joues rouge de douleur puis il la vit chercher une main amicale ou du moins une main qu'elle connaissait, Apophis n'hésitât pas une seconde et il prit la main de la dame dans la sienne.

Elle était moite et tremblante mais il voulut la rassurer comme pour lui signifier qu'il était encore la ...
Elle poussa des cris et au bout de quelques poussées la dame fut soulagée, comme si on lui avait retirer un poids.
Il la vit la regarder dans les yeux et lui fit un sourire comme pour la réconforter, il savait que le bébé n'allait pas vivre mais il fallait que la dame s'endorme le plus paisiblement possible, du moins le temps d'arriver jusqu'à chez ces "dames blanches".

Dolleka

Dolleka se releva et s'approcha de Loupameth, qui enveloppait l'enfant dans un linge.
A sa mine sombre, à l'immense tristesse qui émanait du médecin, Dolleka comprit que l'enfant était mort.
Elle regarda par dessus le bras de Loupa, et vit un petit visage de porcelaine, aux yeux fermés, dont la teinte rappelait étrangement celle des pierres.

Elle détourna les yeux, et se mit à pleurer.
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Loupameth

Après avoir récupéré l'enfant , un petit garçon mort né , Loupameth effondré par les événements malheureux se retire enveloppant le bébé dans un linceul puis le pose délicatement au pied de l'arbre .
Catastrophé , malheureux pour son premier accouchement , voir le résultat le déprimait mais , vu les circonstances c'était vraiment préférable , car il avait bien vu que ce bébé n'était pas à termes .
Le moment de découragement passé et après que dame Dolleka est fini de préparé dame Chloé_de_Chesnais , pour l'emmener à sa destination , il se penche sur elle

madame votre enfant est malheureusement mort , c'était un garçon , maintenant je dois vous emmener à votre destination , avec le corps de votre bébé . Je vais en ville chercher une carriole pour pouvoir faire le voyage dans de bonne condition , courage ça va aller

Il quitte la dame monte sur son cheval , part au galop , arrive chez lui accroche la petite carriole , puis va chercher de la paille en garni la carriole et repars aussitôt à la mine .
A son arrivée il s'approche de la dame .

madame je vais vous prendre dans mes bras , vous installer dans ma carriole sur la paille , accrochez vous a moi

Une fois installée il va chercher le bébé l'installe lui aussi au fond de la carriole , fait un petit signe d'encouragement à dame Chloé_de_Chesnais, salut dame Dolléka , Apophis et Gillianne .

merci beaucoup pour votre soutien vous avez été formidable et merveilleux , maintenant je pars emmener cette dame qui a besoin de repos et qui fera le nécessaire pour l'enterrement du bébé .

Il monte sur le devant de la carriole , jette un regard derrière lui pour vérifier si tout va bien , puis se retourne et crie
Allez ...hueee princesse va d'un bon pas !!.
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Chloe_de_chesnais

Surement trop fatiguée pour comprendre ce qu’il venait de se passer. Chloé s’était rallongée, et s’était laissé rhabiller. Elle entendait des murmures autour d’elle, sans vraiment comprendre ce qu’il se disait. Etait-ce le début des vilains ragots qu’une Baronne qui met bas dans une mine et laisse un bonhomme mort pour héritage à son époux ?

Qu’importe, la Blanche n’avait pas le courage pour s’apitoyer sur son sort, ou essayer de savoir ce que les gens pensaient d’elle. Finalement, elle n’avait rien à faire du regard des autres, mais elle avait surement peur de celui de son époux, quand il apprendrait la nouvelle.
Puis regardant la dame qui lui avait épongé le front quelques temps plus tôt elle lui dit.

Allez chercher mon époux, Drizz d’Hourden, dites lui de venir…à l’Ordre de la dame blanche à l’Ecu Vert, je vous en conjure !

Elle se sentie soulever du sol. Puis plus rien, le trou noir durant de longues heures qui lui parurent une éternité…

La suite là

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A la recherche d'un joueur pour faire vivre pnj homme

Apophis

Apophis vit partir le doc avec dans sa charrette la dame.
Dame gillianne et dame dolleka partirent avec lui.
Ne voyant plus rien a faire il rentrât chez lui se reposer, sa journée ne fut pas des plus facile...
Il espérait tout de même revoir chloé sur pied d'ici peu et en bonne forme !!!

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