[RP] Hey ho, Hey ho, tous à la mine!

[Au Château … l’usage de stupéfiant est recommandé pour la santé]

Dédales de goulets, des portes à foison et de l’émoi … huissiers et appariteurs s’emploient, un empressement anime la bâtisse et ça se voit.
Salle du conseil … enfin, c’est à la peine qu’il pénètre dans le lieu. Bondir sur le premier siège venu et tendre les esgourdes, ouvrir les yeux.
Bien grand ! Armées de pioches, Dame Ptitefleur lance les hostilités … une chasse au caillou. Certes différent de ce qu’il connaît, mais soit ! S’il ne sort des bureaux, il finira pas sentir presque bon et ça il ne le conçoit.
Empressé le bougre … une affiche, une pioche et vogue le bourrin. Des lèvres qui s’emploient sur celle de sa grenouille, et devant lui s’ouvre le chemin.


[Orthez … La mine parle aux mineurs …]

Nimbé d’une pelisse, l’ombre glissait dans les venelles de la cité. Dur, le cuir de l’harnachement usait le derme du facétieux conseiller.
Tantôt au trot, sitôt au pas, il rôdait à la fraiche. Ronde vespérale en des murs austères, augure de jours rêches.
Derniers jours passés à consigner, mimines usées par la plume … assez ! Recouvrer l’âme de la terre et des hommes … Se déterrer de l’écueil confortable qu’il venait de connaître et s’abandonner.
Etals qui de vident de leurs essences … seuls les viosses œuvraient, ces ventres à pattes se battaient pour un fragment de viande altéré.
Des badauds se prenaient encore à fantasmer auprès d’éventuels prétendants à la mairie, trognes connues qu’il saluait du haut de sa monture, esquissant un sourire verni.

Le silence qui se faisait ne parvenait à masquer les sabots qui frappaient le pavé, non quatre fers mais ceux d’une escouade qui, à sa suite, s’employait.

L’en aurait presque oublié ce pour quoi il avait été missionné … une vulgaire affichette mais ô combien précieuse. Vulgaire … si Dame Leslou découvrait ses pensées, misère, folie furieuse.
Mairie … terminus! … étape à dire vrai. Seulement afficher l’annonce avec … Regard inquiet.

Nom d’une vierge pendue ! Lieutenant … maillet, clous ! Dites-moi que vous avez ?

Pas nu pour un écu, Fitzz n’en était dépourvu ! Cadrage, débordement sur annonces au style … déjà vu.

POM, POM, POM, AIEEEEEEEEEE, POM, POM, …. Silence qu’en dit long, insultes tues pour des raisons évidentes … POM, POM.



Quolibets qui fusent dans les rangs et un annulaire pointé en leur direction, fait taire ces manquements.
Bon faut dire que le doigt, maculé de sang en disait long. De la pioche, il n’était plus question, à d’autres occupations, il allait s’atteler … il ne serait coron.

Suite de la prescription, direction la mine et veiller à y établir un campement, et accessoirement combler son pauvre membre meurtri et rougeoyant.

Ordres qui fusent devant le gisement, pas de temps à égarer. Les hommes s’affèrent à hisser les toiles en attendant que jour se lève et laisse les premiers mineurs se présenter.

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un petit page passa la porte du bureau, essayant de voir la comtesse derrière un amas de papiers

Comtesse, houhou Comtesse, je vous rappelle que vous devez à la mine aujourd'hui

Vi vi j'arrive

Amléiane se leva de son siège, fit un geste vers la pioche donnée par Dame fleur tout en jetant un regard vers la fenêtre

HAAAAAAAAA, mais ... toutes ses pierres dans la cour

Dame, c'est les livraisons de la nuit, Messire Varden n'a point pris le temps de ranger et puis vous savez Dame Fleur va tellement vite à les utiliser que cela n'est point la peine de les rentrer.


Tu as bien raison, Inutile de ranger cela , nous en avons tellement besoin, ce n'est pas grave, j'escaladerais.


Chemin faisant, Améliane réflechit, mine d'or ou mine de pierre!!!

Arrivant devant les entrées des mines, elle vit Galessin, le doigt meurtri, elle eclata de rire, elle ignorait ce qu'il avait pu se faire mais devina bien vite que seul un outil avait pu mettre son doigt dans cet état, ha galessin et l'outillage, une grande histoire de désamour tout ça. Elle lui lança un petit signe de la main

Coucou chéri, je me suis décidé pour la mine d'or, avec un peu de chance, j'aurais une pépite, soigne bien ton doigt et à ce soir

Elle entra dans la mine, après avoir pris avoir pris la peine de s'y inscrire.

[Au Paddy Tirambic]

Paddy s'était fait fabriquer une pioche neuve de qualité supérieure par un forgeron de Lourdes et celle-ci était accrochée dans la taverne. Aux clients qui demandaient pourquoi il y avait une pioche accrochée ainsi, Paddy leur disait :

Cette pioche me sert à aller travailler dans la mine de fer qui est sur la route de Pau une fois la taverne fermée le soir.D'ailleurs vous pourriez y venir vous aussi y travailler quelques jours toutes les semaines... J'ai toujours quelques bouteilles avec moi.

Puis le soir quand les derniers clients étaient partis et que Paddy avait rangé la tirelire dans un endroit secret connu de lui seul, il décrochait la pioche et prenait la paire de gants qu'il s'était confectionné dans son atelier. Il y tenait à ces gants car souhaitait éviter d'avoir les mains remplies de cal. Son épouse tenait à ce qu'il garde des mains douces pour qu'il puisse lui prodiguer des caresses.
Il glissait alors dans sa besace une miche de pain, un bon morceau de jambon séché et quelques bouteilles puis après avoir éteint la torche et fermé la porte, il prenait la route.


[Sur le Chemin de la mine]

Paddy s'arrêtait volontiers dans les taverne qui se trouvaient sur son chemin afin de voir si il ne pouvait pas emmener un ou 2 vagabonds désœuvrés avec lui... Mais le plus souvent ils étaient déjà tous dans leur paillasse.


[A la mine]

Quand il arrivait tard dans la nuit à la mine, il commençait par se restaurer un peu et surtout se désaltérer. Il saluait les mineurs qui étaient là et après avoir enfilé ses gants, il empoignait sa pioche et se mettait à creuser jusqu'au petit matin.
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Paddy_versifiet de Ouiskai - Taverne Au Paddy Tirambic - Bailli du Béarn -

Acar, ce jour de visite en Orthez en avaict profisté pour aller travailler en la mine de pierre de cette bonne cité.

Il pensa à tout ses amis, faisant surement de mesme, céans, dans les quatres villes, aimée.

Le labeur n'attendaict pas...
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"Fleeuuur!

Content de vous trouver.
Je vous cherchais, c'est notre maire Lelmax qui m'a indiqué la route: pas si loin de la mine en fin de compte

Comme tous les gens de la ville j'ai reçu votre courrier et j'y ai réfléchi dans un sanctuaire ou l'inspiration foisonne: une taverne généreuse en boisson pétillante.

Je me permets de reprendre votre courrier pour répondre à vos questions, ensuite je vous conterai les visions dont mes égéries m'ont fait la grâce."

1/ Connaissez-vous le chemin pour vous rendre aux mines? Si oui, pouvez-vous me l'indiquer?
Oui, mais je préfèrerais vous y accompagner un jour pour vous faire découvrir une galerie abandonnée que j'ai retrouvée lors d'un lever.
Je pourrais ainsi vous faire part de mes connaissances en lithologie: à partir de la faille de votre choix je pratiquerai un forage qui sans nul doute saura vous faire découvrir un bijoux rose et noir plus merveilleux que vous pourriez vivre en rêve

2/ Connaissez-vous l'utilité des mines pour la gestion d'un Comté? Si oui, pouvez-vous m'en faire part? Si non, souhaitez-vous la connaître?
Pas exactement, mais cela semble logique. Et si l'on en juge par les remous que cela provoque je suis convaincu que c'est indispensable.
[b]
3/ Pensez-vous qu'un salaire de 15.50 écus soit attractif pour attirer les travailleurs? Si non, à quel salaire seriez-vous prêts à vous rendre à la mine plusieurs fois par semaine, voire tous les jours, sachant que la trésorerie du Comté n'est pas des plus florissantes?[/b]
Ce salaire est un peu plus haut que dans d'autres villes. Cependant ces autres villes ne proposent pas assez d'emplois annexes pour que les travailleurs s'y refusent.

4/ Pensez-vous que le fait d'offrir un pain à 2 écus pour trois jours de mine (ou une paire de chausse pour une semaine de mine offert par certaines villes) soit suffisant pour attirer les béarnais? Si oui, avez-vous déjà demandé votre pain à 2 écus auprès du Comté? Si non, avez-vous une idée de ce qui pourrait être attractif pour remplir nos mines?
Non, non, et oui *

5/ Pensez-vous que le fait de faire un RP en gargotte sur le travail à la mine, permettant de faire participer tous les béarnais soit une bonne idée? Si oui, pourquoi seuls les conseillers y participent? Si non, pourquoi, selon vous, ce n'est pas une bonne idée?
Oui excellente idée, s'il n'y a que les conseillers c'est uniquement parce que ceci ne s'adresse qu'aux conseillers * (le prend pas mal hein! je vais expliquer aussi)

6/ Pensez-vous que la communication soit satisfaisante pour demander à tous les béarnais de venir fréquenter les mines? Si non, en quoi elle ne vous parait pas satisfaisante, afin que nous puissions l'améliorer?
La communication c'est le pouvoir... peut-être y as-t'il un manque de pouvoir?

7/ Enfin, pensez-vous que des animations autour de la mine serait une bonne chose, certaines villes comme Lourdes l'ayant en projet?
Je ne connais pas le projet de Lourdes. L'idée d'animation est bonne, après tout dépend de sa qualité (c'est comme comparer DJ Jean-Mi et sa disco mobile à un concert de Madona)

8/ Quelle amélioration souhaiteriez-vous voir appliquer concernant les mines?
Héhé, c't'à moué!
Mineur n'est pas un travail socialement valorisant.
Les habitants cherchent des titres, des charges, des hauts faits de guerre, la richesse, le pouvoir.
Qui m'écoute? Les conseillés? Vous ne pourrez donc pas contredire ces propos.
Cependant, il faut bien avouer que certaines charges, certains titres font prendre conscience de la réalité de l'économie: VOUS, vous savez l'importance de la mine. Les autres non.
L'information servira uniquement à rameuter les prétendants à vos places et les bardes taquins, même si elle se doit d'être (conformément aux règles démocratiques qui régissent la municipalité).

Les muses m'ont chanté trois couplets, la Boulasse entonnais le refrain:

Couplet 1: de l'offre promotionnelle au discrédit

Personne ne peut promettre aux gens gloire à la mine, en revanche, il est possible de promettre richesse...
La paire de chausse est motivante pour les vagabonds.
A l'heure actuelle, 7 jours de travail à la mine apportent 108.5écus.
On ajoute 50 écus de base et on retranche 7 repas à 6 écus, on obtient 116.5 écus. 2 jours à l'église, et voilà, l'habitant se bourre bien la gueule à la taverne, passe citoyen et part de la mine bien chaussé pour ne plus y revenir... cette politique n'est vraiment pas adaptée au long terme.

La paire de chausse n'intéresse pas les autres. Leslie_1 qui a posté son emploi du temps montre une chose flagrante: avec un élevage ou un champ, il est impossible de fréquenter la mine aussi régulièrement que souhaité. Trois jours de mine d'affilée et on loupe sa traite des vaches ou autre...
Pour le pain à 2écus, cela engendre des complications de gestion. Pour vous cela semble simple, mais pour un nouvel arrivant c'est un véritable effort presqu'insurmontable que de savoir à qui demander, comment demander et surtout d'être sûr que le "marché" sera tenu (si cette personne a su voir l'offre faite...)

J'ai lu une phrase dans le genre: "si vous apportez la preuve que vous avez travaillé tant..."
On prouve comment? C'est effrayant ^^

La muse fut implacable: ce ne sont pas les cadeaux qui motiveront les foules, mais les salaires. La mairie se discrédite en vendant ses places à la mine comme des tapis sur le marché.


Refrain de la Boulasse:
Tends moi ton verre mon p'tit trouvère
J't'en ressers une: encore un foi
Toutes ces bubules seront pour toi
L'inspiration qui t'es si chère


Couplet 2: communauté minière

La démarches de Tarbes ne semble pas efficace. Lourdes semble avoir agi sur un autre concept: "l'event"
De toute manière les trop ambitieux refuseront la mine: "c'est pour les nains".
Vous connaissez sans doutes les célèbres 7 nains. Pourquoi étaient-ils 7?
Vous ne le savez pas? Je vais vous l'apprendre:
Ils sont 7 comme les jours de la semaine, il travaille chacun 1 jour par semaine et les 6 autres encouragent le travailleur de leurs chants et de leurs danses (si c'est vrai!!). Ils travaillent ensemble car ils forment une véritable communauté et y vont avec plaisir pour partager un moment joignant l'utile à l'agréable.
Nous ne sommes pas des nains donc on ne peut pas faire comme eux.
En revanche, pour former une véritable communauté minière il faut un rendez-vous fixe et quotidien pour tous les mineurs.
Pour mettre cela en place il faudrait des animateurs volontaires pour réunir les mineurs en lieu et heure, et pourquoi pas préparer des thématiques tel que les quizz à la Rox, ou tout autre jeu... (les gens viennent ici pour le contact social, nous sommes tous dans le même cas).
Si cela marche, réserver les places aux mineurs du jour convaincra d'aller à la mine.
Vous montrez déjà l'exemple, allez! Un p'tit effort de plus! Je vous dédierai une fable


Refrain de la Boulasse:
Tends moi ton verre mon p'tit trouvère
J't'en ressers une: encore un foi
Toutes ces bubules seront pour toi
L'inspiration qui t'es si chère


Couplet 3: Demande de travail et population

Les points ci-dessus ne seraient pas à l'ordre du jour s'il y avait assez de monde en cette ville.
Pour remplir les mines, il faut trouver des habitants.
Des expéditions de recruteurs rémunérés pour voyager et récompensés par une prime pour chaque habitant "rabattu" serait un projet assez intéressant.
Il ne manquerait qu'à discuter des arguments que ces recruteurs mettront en avant pour promouvoir Tarbes.
De même, l'accueil est primordial. Pour ma part j'ai beaucoup apprécié le comité tarbais. Il faut continuer ainsi, voir faire encore mieux si c'est possible.


Conclusion:

Je conclue par la seule proposition concrète que je puisse faire:
Sourit malicieusement:
Je suis très inquiet voyez-vous.
La pratique des instruments requiert une grande dextérité des doigts.
Je pioche mais je crains qu'à l'usure ma pratique se dégrade.
En échange d'une paire de gants je pourrais éventuellement exercer mes compétences de scalde pour rythmer les coups de pioches et exalter la mine qui n'en sera que plus productive


Gravure de moi dans une semaine

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Apophis esquissa un sourire à la dame qui se présenta à lui.
Quand il l'entendu dire :

Il ne put s'empêcher de lui sourire encore plus franchement juste avant d'ajouter :

Heu ... moi je suis messire Apophis... venue d'une contrée lointaine ..
enchanté !

Il ne lui fit pas un baise main comme il aurait pu le faire en taverne car au fond d'une mine cela ne donnait pas le même effet et cela aurait pu être présenter comme incongru.

Il ne put s'empêcher d'insister :

Moi je vous aiderai tout le temps que vous le souhaitez mais ..... * fronçant les sourcils* je ne trouve pas qu'une dame de votre classe est quoi que ce soit a faire dans une mine ... surtout dans votre état, et peu importe que l'on veut aider son comté ou pas sa santé passe avant tout.

Se rendant compte qu'il fut un peu trop .... direct il se ravisa quelque peu :

Heu ...... enfin moi je dit sa vous savez... je dit rien .... c'est pas moi qui est enceinte.

Il savait qu'une dame enceinte ne devait travailler surtout en mine, alors il dit:

Je travaillerais même pour 10 femmes enceinte, car les femmes surtout enceinte doivent se ménager, alors si je doit travailler a vot'place j'le ferais m'dame !!!!

Souriant de son plus beau sourire, et même pas un sourire forcé, il lui prit la pioche des mains et commença son travail.
La dame fut quelque peu surprise et elle pris place sur un rocher légèrement arrondi pour pouvoir y poser son postérieur.
Apophis s'était déjà activer à la tâche quand tout d'un coup se retournant vers la dame:

Vous êtes bien silencieuse ...... n'aviez vous pas dit que vous parleriez toute la journée ???
Alors chacun son boulot !!!

Puis sourire aidant, il se remit à piocher énergiquement.

Chloé laissa la pioche aller dans la main de l’homme qui l’avait aidé quelques minutes plus tôt, et avec qui finalement elle venait de sympathiser. Les deux mineurs s’enfoncèrent un peu dans la carrière. Puis Bénédicte trouva un caillou légèrement rond pour s’asseoir sans abimer son fessier bien trop sensible.

Quelques minutes passèrent, l’homme avait déjà commencé à piocher, quand il s’arrêta pour lui faire remarquer que leur « pacte » n’était pas respecté par les deux parties. Chloé avait, elle posé sa main sur son ventre légèrement trop douloureux ses derniers jours. Il se durcissait petit à petit. La Dame Blanche lança un sourire au mineur, tout en restant légèrement soucieuse. Elle faisait glisser sa main de haut en bas, de gauche à droite, pour calmer le démon avec qui elle partageait son corps depuis déjà des mois.

Oui oui évidement, alors par où commencer.

Première pause, c’est que comme ça, la dame de Chesnais avait du mal à trouver des sujets à raconter à un inconnu. Mais qu’importe après tout ?

Parlons des rumeurs de Paris. Celles-ci sont toujours plus qu’agréables et marrantes à entendre. On peut toujours tout savoir sur les vies du beau monde de la Grande Ville.
Par exemple, une rumeur court sur la princesse et actuelle Grand Maitre de France. A ce qui parait, elle aurait trompé le prince bâtard de France. Et son amant l’aurait mise enceinte ! Vous imaginez la situation de la couronne ? Je n’aimerais pas être à la place de la princesse.

Chloé releva le museau vers le mineur, qui ne semblait pas fort apprécier les ragots de Paris.

Norf, eee, humm. Une épidémie de peste fait rage en Limousin. J’espère que celle-ci ne s’étendra pas jusqu’à nous.
Il ne manquerait plus que ça, la mort du peuple Béarnais à cause de la peste.

Bénédicte s’arrêta de nouveau, quand une nouvelle douleur lui plia le ventre. Elle calmait sa respiration, la douleur serrait s’estomper.
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A la recherche d'un joueur pour faire vivre pnj homme

La douleur semblait de plus en plus intense, et Chloé avait de plus en plus de mal a la calmer et la cacher. Pliée en deux, les deux mains avaient rejoins son ventre, avant que le mineur ne fasse pareil. En quelques secondes, et sans même s’en rendre compte, Bénédicte se retrouva allongée sur le sol de la mine, devant un homme à moitié nu (bien heureusement elle ne pouvait le voir à cause de la douleur et du manque de lumière.)

La Baronne regardait autour d’elle, voyant un léger flou couvrir de plus en plus son regard. Tout devenait de plus en plus abstrait, sauf la douleur qui elle s’accentuait au fil du temps.

Allez chercher du monde ! Je… je ne me sens pas bien... Le Bébé, il …

Aucun son ne pu sortir de plus. Coincé dans sa bouche, à bout de souffle. Son visage grimacé de douleur. Il était trop tôt, bien trop tôt pour que cet enfant ne sorte du ventre de sa mère. A peine six mois, il ne survivrait pas dans le monde, s’il décidait de sortir aujourd’hui, dans cette mine d’or béarnaise, aussi lugubre que les douves de son château en Berry.
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A la recherche d'un joueur pour faire vivre pnj homme

Penché sur dame Chloe_de_chesnais , Loupameth était inquiet en regard de la tournure des événements . En attendant messire Apophis il se penche sur le ventre de la dame colle son oreille dessus et vu les bruits il fait la grimace .

Je vois madame , il va falloir vous accoucher ici je ne peux vous emmener au centre , trop tard , mais avant j'aimerais vous sortir d'ici car je n'y voit rien , alors calmer vous, respirez à fond , essayer de vous contrôler en attendant que je puisse vous sortir de cette endroit malsain pour vous et le bébé .

Au même moment Apophis arrive avec les bois demander ; il regarde

Parfais , bon maintenant nous allons travailler ensemble d'accord ? aller fabrique moi un brancard solide surtout pas de bétises ...! je vais chercher des cordes et couvertures qui sont dans les fontes de mon cheval , je reviens .

A ce moment il entend des cris et voi arriver une dame légèrement imbibée d'alcool , il ce retourne et remarque
que cette personne à suivit Apophis pour certainement donner un coup demain .

Pardon madame mais si votre état le permet vous tombez bien , donner donc un coup de main à fabriquer ce brancard et tenez compagnie à dame chloe_de_chesnais qui est entrain de nous mettre son bébé au monde , je reviens vite avec des couvertures .

Courbé pour ne pas se cogner la téte , comme pour entrée , il fonce à la sortie prend les couvertures et cordes puis fait demi tour , trébuche , tombe a terre déchire ses braies a la hauteur du genoux

M.....de j'ai bousillé mes braies

Il ce relève ce frotte les genoux et repart en boitillant , pénétre dans la mine avec difficulté et arrive , balance les cordes et les couvertures .

Allez faite vite et dite moi quand vous serez opérationnel .
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Dolleka rejoint enfin le petit groupe et constate de quoi il s'agit.
Et M....alediction! .. Faut pas faire ca ici, ma dame, on va vous sortir de la.

Le choc de la decouverte dissipe instantanement les vapeurs d'alcool. Comme un automate, elles suit les directive d'Apophis: attraper le bois, passer le linge, faire un noeud, serrer tres fort... Enfin le brancard semble pret.

Dolleka teste la resistance de l'assemblage. Ca a l'air suffisamment solide, pourvu que la dame ne bouge pas trop.

Elle retourne sur ses pas et trouve un vieux seau d'eau de pluie pres d'un goulet de la mine. Arrachant un bout de ses nippes, elle humidifie un epais morceau, et revient vers la dame, qui a le visage crispe de douleur.

Dolleka s'agenouille pres de la dame. Elle pose delicatement le visage de la dame sur ses cuisses, et lui rafraichit le visage avec le linge. Le visage de la Dame perle de sueur, ses fins cheveux sont colles sur son front.
Elle lui tient des propos encourageant pour la calmer, tout en surveillant d'un oeil inquiet son ventre, esperant ne pas soudainement en voir sortir une mare de sang!
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Dolleka soutient la tête de la Dame, qui a l'air de s'affaiblir de plus en plus.
Celle-ci parvient à articuler dans un râle :

L’en…Fant ne doit pas… encor...e… arriver. Il est trop… tôt !

Je suis bien d'accord, pense Dolleka. Mais j'fais quoi, moi? Je mets une main pour l'empêcher de sortir?

Essayant de toutes ses forces de ne pas céder à la panique qui la gagne, elle entame avec l'énergie du désespoir une prière à la Sainte Providence pour que le toubib revienne le plus vite possible...
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le brancard terminé loupameth se penche vers dame chloe_de_chesnais .

Bon madame ne vous faites pas de soucis ça va aller je suis le médecin de lourdes ^pour vous servir , nous allons vous sortir de cette endroit poussiéreux et sombre tenez vous prête ça risque de chahuter

se tournant vers dame Dolleka.

Dolleka pouvez vous sortir aller faire du feu , faite chauffer de l'eau et trouver moi des linges propres , s'il vous plait et vite , Apophis tu es pret ? prend le devant moi l'arriére et nous emmenons cette dame dehors en douceur si possible

D'un geste brusque Apophis souléve le brancard et d'un pas hésitant , trébuchant de temps en temps ils arrivent enfin à la sortie de la mine , une fois dehors loupameth crie à son compagnon de brancard .

Va vers le feu que Dolléka à préparé aprés tu ira chercher deux rondins de bois

Arriver prés du feu il pose le brancard délicatement. Son regard se tourne vers dame chloe_de_chesnais .



Je suis désolé de vous secouer comme ça mais il le fallait et dans votre état il faut faire vite malheureusement je pense que votre bébé va naitre je fais mon possible pour que ça se passe bien .

En attendant loupameth couvre la dame d'une chaude couverture et va se laver les mains .
Bon alors Dolléka cette eau chaude arrive ? tu as des linges ?
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Loupameth bredouille quelque chose que Dolleka ne comprend pas, et part en courant, sûrement pour chercher son attirail, car les choses ont l'air bien plus compliquées que prévu.


Dolleka change de place et s'approche des jambes de la Dame. Celle-ci semble avoir les pires difficultés à simplement respirer, exhalant un râle avec chaque souffle.


Réprimant sa répulsion, elle attrape le bord des vêtements de la Dame, et les roule dans chaque sens, révélant le ventre bombé, et les cuisses de la Dame. Elle s'accroupit en face.

Dis-moi, Apophis, t'as déjà accouché une de tes vaches? lance-t'elle vers l'avant. Moi, mes moutons, c'est des mâles...



Euhhh, Salut Gilli! Dis, pousse-toi, t'es dans la lumière du feu.


Tandis que Gillianne, qui vient d'arriver, se pousse, elle aussi stupéfaite par la scène à laquelle elle assiste, Dolleka se penche. Elle tente de glisser sous les fesses de la Dame un linge qu'elle avait à la main, et annonce rapidement à la nouvelle arrivante:

Eh bien y'a cette Dame qui est en train d'accoucher, on vient juste de la sortir de la mine, et on est pas rassurés du tout.



..APO!! Donne-lui une baffe et prends les sels! Elle s'évanouit !! Il faut qu'elle soit là pour pousser !!



La voix tremblante, Dolleka se tourne vers Gillianne :

Gillianne, s'il te plait, cours au village, je crois qu'il va falloir un prêtre.


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Gill prit les lingettes humides que lui tendit son mari, elle ne s 'attendait surement pas a un pareil événement en venant ici ce matin. Elle se plia près de la Dame et commença a lui passer doucement le linge sur le visage en lui murmurant des mots d'encouragements.

Courage ma bonne dame, allez respirez comme moi, essayer de suivre mon rythme.
Elle se mit a respirer a petit coup, mais la dame était tellement faible qu'elle n'y arrivait pas. Inquiète , elle jeta un regard anxieux a son mari.

Mais elle savait qu'il faisait de son mieux pour le bébé et la dame. Donc elle ne dit pas un mot et continua de réconforter la dame qui souffrait horriblement.
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Bannières du Béarn
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Après avoir récupéré l'enfant , un petit garçon mort né , Loupameth effondré par les événements malheureux se retire enveloppant le bébé dans un linceul puis le pose délicatement au pied de l'arbre .
Catastrophé , malheureux pour son premier accouchement , voir le résultat le déprimait mais , vu les circonstances c'était vraiment préférable , car il avait bien vu que ce bébé n'était pas à termes .
Le moment de découragement passé et après que dame Dolleka est fini de préparé dame Chloé_de_Chesnais , pour l'emmener à sa destination , il se penche sur elle

madame votre enfant est malheureusement mort , c'était un garçon , maintenant je dois vous emmener à votre destination , avec le corps de votre bébé . Je vais en ville chercher une carriole pour pouvoir faire le voyage dans de bonne condition , courage ça va aller

Il quitte la dame monte sur son cheval , part au galop , arrive chez lui accroche la petite carriole , puis va chercher de la paille en garni la carriole et repars aussitôt à la mine .
A son arrivée il s'approche de la dame .

madame je vais vous prendre dans mes bras , vous installer dans ma carriole sur la paille , accrochez vous a moi

Une fois installée il va chercher le bébé l'installe lui aussi au fond de la carriole , fait un petit signe d'encouragement à dame Chloé_de_Chesnais, salut dame Dolléka , Apophis et Gillianne .

merci beaucoup pour votre soutien vous avez été formidable et merveilleux , maintenant je pars emmener cette dame qui a besoin de repos et qui fera le nécessaire pour l'enterrement du bébé .

Il monte sur le devant de la carriole , jette un regard derrière lui pour vérifier si tout va bien , puis se retourne et crie
Allez ...hueee princesse va d'un bon pas !!.
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