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Veillée au coin du Feu

--L_anecdotier
Riggins :



Tim s'assit a coté de laurentide et ecoute les histoires de sofio.

elle en fait de longues tirades ...

Il se souvient de ses discours enfllammés sur la place d'arme, elle savait remuer les hommes.
Il prend le saucisson des mains de laurentide et croque dedans.

Et ta ligne a toi aussi, avec ton age, attention a ta santé, point trop de cochonnaille
--L_anecdotier
Laurentide :



Voila la visite de mon ami qui s`assit au prêt de moi.il semble avoir une de ses faim

Merci Riggins de prendre soins de ma santé, tu pourrais m`en laisser un peut quand même.
--L_anecdotier
Damealine :



Damealine se sentant déplacée dans cette assemblée où tous se connaissaient et avaient des souvenirs communs, décida de s'éclipser sur la pointe des pieds, 
--L_anecdotier
Pascale :



Entendre Sofio raconter la prise de Chateauroux...
La blonde a soudain devant les yeux l arrivée des armées du BA face aux remparts de Bourges....
Dans le silence troublé par le crêpitement des flammes qui essaient de dévorer le bois sec, la voix de la jeune femme s élève...


Nous sommes arrivés a l aube..."Nuées ardentes" et "Terribles"...

Imaginez , pour ceux qui n y était pas...
Le bruit des pas de milliers d hommes....la poussière qu ils soulèvent a leur passage...

La cavalerie .... Centaines de chevaux avec en tête les couleurs du BA, le drapeau de la COBA...
Les archers qui suivent....Les hommes d armes...Les béliers... Les catapultes.... Les chariots de ravitaillement....


Elle ferme un instant les yeux...entend encore le hennissement des chevaux... les armes qui tapent contre les armures a chaque pas...

L attaque est pour le lendemain...Une nuit sans sommeil en prévision...
je me souviens du regard de ses hommes valeureux qui m accompagnent..que je croise dans le campement...fierté, détermination et tous prêts a défendre le frère qui sera à ses cotés durant la bataille...


Les yeux verts cherchent ceux qui étaient présents....Chope de bière qu elle boit lentement ...
Son récit..elle va le continuer...mais peut être que d autres veulent raconter....
--L_anecdotier
Riggins :



Tim écoute le récit de pascale.

Il ne souvient pas que la bataille a eu lieu le lendemain de leur arrivée devant la ville mais il ne dit rien.

Il tend le saucisson a laurent et prends un morceau de pain et commence a manger en silence.
--L_anecdotier
Lostris :



Lou avait tendu l'oreille à la conversation de deux soldats qui passaient rapidement dans le couloir.
Sofio... l'ancien Capitaine... oui... à l'entrée de la caserne... une veillée... plein de soldats.. un grand feu... à boire... et à manger.
Elle se hâta de ranger le dossier qu'elle regardait puis attrapa deux bouteilles dans la petite armoire de son bureau. Elle n'avait pas eu le temps de faire tellement de réserves, dommage, faudrait se contenter de ça...
Elle sortit en claquant la porte derrière elle et partit d'un pas rapide vers l'entrée.

Un brouhaha lointain... Des rires... Des ombres près d'un grand feu...


Elle s'approcha, tenant une bouteille dans chaque main.

Bien le bonsoir ! Il manquait peut-être du liquide ? J'amène du renfort...

Rire clair et regard vers le groupe. C'est qu'il y en avait du monde déjà. Sourire aux souvenirs qui affluent.
--L_anecdotier
Pascale :



Elle tend a nouveau sa chope vers Meren...Se demande qui a pu dormir cette nuit là...

Au lever du jour ...les chefs de section donnent leur ordres...."Soldats formez les rangs!"

...les archers prêts a enflammer leur projectiles...
les catapultes prêtes a tirer...Les soldats prêts a engager...

les visages impassibles des anciens...dans leur yeux la froideur de ceux qui savent...
les visages fiers et heureux des jeunes...dans leur yeux, l inconscience de ceux qui ne savent pas encore...

Il y a du brouillard ...On distingue a peine les murs de Bourges...Pas un bruit..ce silence avant chaque bataille est effrayant..

L ordre est donné...haut et fort à l artillerie

Déclenchez les feux de l enfer!!!

le bruit des trébuchets lançant leur pierre sur les murailles résonnent comme un marteau dans une forge
les catapultes envoient leur flammes a l intérieur des remparts
les archers allument leurs flèches...
Dans le ciel du jour nouveau des milliers de flammèches passent les murs de la ville...

L impatience se ressent parmi nous...

En retour , des nuées de flèches viennent sur nous...

Levez vos boucliers!!

les cris des premiers touchés...comme une averse de grêlons quand elles touchent les pavois...

A l assaut!!

Le bélier porté par une vingtaine d hommes s avance... battement régulier contre les portes ...les échelles sont amenées contres les murs ..

Attendre la brèche...l ouverture qui nous fera entrer...

Déja , çà ferraille en haut des murs...la première vague est repoussée ...des chutes...des cris...
j aperçois soudain au dessus des portes d énormes chaudrons fumants qui se renversent lentement sur le bélier et les hommes qui prennent feu...qui hurlent...

le deuxième assaut suit..nouveau belier...nouveaux hommes...nouvelle montée en haut des murs...

Nous nous rapprochons ....la porte va céder.....


la blonde s arrête a nouveau...fait soif....
--L_anecdotier
Linoa :



Le temps semblait s'être arrêté. Les flammes dansaient, léchaient les pierres qui délimitaient leur foyer, rouge, toujours plus rouge, comme le sang qui semblait omniscient. Sang de la chaire, sang de l'âme ou sang du coeur...
Rasta, non loin d'elle qui continuait à espérer quelque chose d'une coquille vide... Il ne devrait pas... Il n'y avait rien à attendre d'un corps dans âme...
Lin ne disait mot, les danseuses de flammes retenaient son attention, imprégnaient ses prunelles chaleureusement. Le temps était définitivement arrêté, le seul rythme des craquements du bois et des battements de plus en plus lents de son coeur.
Plus rien des autres bruits, plus de voix, de chocs de bouteilles, de rires joyeux, il ne restait rien que ces flammes qui l'absorbaient toute entière petit à petit. Drôle sensation de bien être qui la submergeait. Ses sens se brouillaient un peu plus mais elle s'en fichait bien. Son corps s'extasiait devant les flammes dansantes. Cela faisait du bien, si le temps pouvait continuer à être arrêté... Tout ce qu'elle espérait, c'était que l'on ne profite pas de son état... Mais elle leur faisait confiance, bien plus qu'ils ne pouvaient le croire.

Doucement, elle revenait à la vie, son poid s'alourdissait à chaque seconde, un air guilleret s'installait, l'alcool faisait son effet.
Une voix familière lui titilla les oreilles, des brides commençaient à lui parvenir, les images se dessinaient de plus en plus distinctement, d'autres flammes, petites mais nombreuses, des bruits sourds, des traits de lumière rouge, toujours le rouge tirant sur l'orange, dans un sens, puis dans l'autre.

De nouveaux bruits, de métal cette fois, une masse marronâtre s'était levée, des flammèches s'écrasaient dessus puis tombaient au sol, restant allumées. De longues trainés de rouge orangé frappaient les murs de pierres, des "boum" résonnaient dans sa tête, des hurlements de courage et de détermination et eux qui s'avancent, emplis de fierté et de vaillance, puis... Tout se brouille à nouveau laissant place au feu de joie, dur réveil...
--L_anecdotier
Guy_kdr :



Perdu dans ses dossiers, Guy entendit du bruit, des aller-venus dans les bureaux adjacents.
De loin il perçu la voix de Papy.


Suivez-moi il y a une étrangeté à l'entrée de la caserne

Puis des bruits de cavalcade...Etrange. Se levant du bureau, il passa une tête par la fenêtre...Plusieurs soldats marchaient déjà en direction de la forêt. Froncement de sourcils. Aller voir ? Laisser Papy s'en charger ? Regard vide en direction des dossiers. Aller, encore quelques parchemins à écrire.
Une quinzaine de minutes plus tard il entendit quelqu'un revenir dans le couloir. Sûrement le vieux Silec. Ouvrant dans le couloir. Non, ce n'est qu'un soldat.


Hey, Soldat !

Le jeune homme se campa bien droit face à lui.

Oui Major. A vos ordres.

Repos. Auriez-vous vu l'administrateur militaire ?

Oui Major, j'étais avec lui il y a quelques instants. Il est resté à l'extérieur, il y a une veillée dans la forêt, à peu près en face de la tour Nord.

Cachant sa surprise, le Major le remercia et le laissa poursuivre sa route.
Une veillée...Et personne ne le prévient!
Ils allaient pas être déçus les bougres


Ouvrant le tiroir de droite, retirant le double fond, Guy en sortit les bouteilles que Vincentte lui avait amenées en secret. Une belle prise, mais pas suffisant. Aristote savait combien de monde il y avait là bas.
Après avoir décroché du mûr son accessoire principal pour la scène qui allait suivre, le soldat sortit du bureau et prit la direction des réserves de l'intendance....Saisissant la bonne clé du trousseau, deux tours de clés et banco. Il poussa la porte doucement afin d'en limiter les grincements. Bien. Alors...de la boustifaille. Ces saucisses sèches devraient faire la faire. Pas trop de nourriture non plus. Manger, c'est tricher, comme on dit. Puis ses yeux se posèrent sur les tonneaux planqués derrière. Instant de doute. Ohh c'est bon il le remplacera plus tard. Mais comment la transporter . Le Major se mit alors en quête d'une...ah !!! voilà!! parfait. Chargeant le tonneau de bière, les saucisses et les bouteilles dans cette espèce de brouette en bois, le voilà parti furtivement en direction de la sortie après avoir refermé la porte derrière lui sans un bruit.

Passant les gardes à l'entrée sans aucun commentaire si ce n'est deux regards ahuris, Guy arriva quelques longues minutes plus tard. Ses préparatifs lui avaient prit pas mal de temps, et progresser en pleine forêt avec une brouette pleine quand on ne voulait pas faire de bruit était un véritable défi. Qu'il finit par relever après moultes efforts et jurons étouffés.

Arrivant à l'orée de la clairière où tout le petit monde était installé, certains passablement émêchés vu leur voix et la hauteur de certains rires. Il fit le tour des visages, jusqu'à ce que son regard se pose sur....Oui, c'était bien elle. Emotions mitigées. Il était content de revoir son amie, et surpris de la revoir ici. Puis il se remémora leurs dernières lettre et compris. Bien sûr. Ce retour aux sources.
Laissant la brouette là où elle était, il fit lentement le tour de la clairière, tous sens aux aguets, pour se poster dans le dos de Sofio. Chemin faisant, il en profita pour écouter les recits des différents narrateurs. Chacun y allait de son vécu du conflit et c'était...agréable ? réconfortant ? une fierté, plutôt , que de les voir tous partager leurs expériences.

C'était Pascale qui s'y collait, maintenant. Son récit tenait tout le monde en haleine. "Déclenchez les feux de l'enfeeeer !!" etc. Tout le monde était tout ouï.
Guy sorti l'instrument qui avait récupéré dans son bureau. Le porta à ses lèvres, guettant le moment opportun.

Puis ce moment arriva. Il était temps de passer à l'action.


le deuxième assaut suit..nouveau belier...nouveaux hommes...nouvelle montée en haut des murs...

Nous nous rapprochons ....la porte va céder.....


Pause. C'est maintenant. Les lèvres à l'embouchure de la trompette, il y met tout son souffle.

PPPPPPPPPPPOOOOOOOOOIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIINNNNNNNN
Puis s'élançant, épée au poing, en un éclair....Si Silec nous fait pas une crise cardiaque avec ça ^^
Les soldats, plus ou moins hébêtés par l'alcool, réagissent trop lentement.


VIIIIVE LE BERRY LIIIIIIIIIIIIIIIIIIIBRE !!!!!!!!!

Sautant sur Sofio, le voilà qui la renverse au sol, allongé sur elle. Encore une fois ce flashback lui revient. Situation identique, sauf que elle était sur lui, dans le bar du mess. Elle l'avait agressé, renversé au sol pour tenter de l'embrasser !!!
Dans un simulacre de répétition de cet instant, le Major colla une grosse bise sur le front de l'ex soldate, un grand sourire aux lèvres.


Salut ! Tu reconnais ton pote Guyguy

Une blague débile, mais marrante, à voir la tronche de certains soldats debout, arme au poing, prêts à l'embrocher.
--L_anecdotier
Sofio :



C'est l'instant des récits, la nuit est bien tombée découvrant son alliée la lune qui par moments se cache et se découvre, c'est une nuit, comme elle n'en a plus vécue depuis bien longtemps, elle se sent en sécurité, elle se ent bien et loin de tous le reste, et plus rien n'a d'importance ce soir que vivre le moment présent, avec des gens qu'elle connaît, avec ceux qui ont été et qui seront toujours sa famille; entendre leurs voix, entendre leurs rires, c'est comme si elle ne les avait jamais quitté.

Doucement le feu spectateur involontaire de la nuit ranime son brasier, il contemple lui aussi de ses flammes puissantes, les récites de chacun, par moment il s'emballe, pour crépiter haut dans le ciel, puis doucement revient lécher sa source, en mordillant un petit bout de bois et englober l'arbre qui se meurt en son sein, le temps va passer, elle espère que cette soirée restera pour tous gravée en leurs esprits.En écoutant pascale raconter,elle s'amuse a graver sur un bois un nom a la pointe de sa dague, un geste machinal, qu'elle répète lettres après lettres, juste trois lettres LEL, ces trois lettres entaillent déjà le bois profondément, et elle s'acharne a approfondir la source, pour creuser encore plus ce bois, comme si ces lettres devaient rester jusqu'à la fin des temps gravés dans ce bois, comme si ces lettres pouvaient représenter autre chose que la stupidité du geste.


Les rires et les godets ont cessé pour ne plus entendre que le son d'une voix qui narre, on écoute , on pense , défois on acquiesce de la tête, a les silences qui tuent, a les noms que l'on ne citera pas, a les actes qui nous font frémir, puis parfois........


PPPPPPPPPPOOOOOOOOIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIINNNNNNN


Assourdissant le truc le machin que tu te demandes si la truie est en train de mettre bas ou si c'est le taureau en rut qui se fait une ânesse, mais pas le temps , rien que déja.....


VIIIIVE LE BERRY LIIIIIIIIIIIIIIIIIIIBRE !!!!!!!!!



Elle se sent plaquée au sol, a même pas eu le temps de réagir, que déjà un truc en rut lui a foncé dessus, si c'est encore une espèce d'animal, baveux elle lui collerait bien, un coup a ses parties intimes, mais généralement cela .....

Un souffle fétide sur elle et la ...l'inimaginable l'abominable, le truc hideux qui ferait vomir toute personne normalement constitué, le truc qu'elle redoute le plus au monde après les prières se produit, elle reçoit un ......berkkk bisous???????


Salut ! Tu reconnais ton pote Guyguy


Arffff lui , le violeur buccal est de sortie, elle le fusille du regard, a des envies la de meurtre, il se tiens sur elle, il la prend pour une monture ou quoi, il doit être déjà bien entamée lui aussi d'alcool, il se commence seul ou quoi, peut être qu'il a une minette ici dans la caserne ou ......un minet , la pensée l'effleure, elle chasse vite l'image de Garcimore de devant sa tête, non , non pas parceque on l'a jamais vue avec quelqu'un qu'il doit se taper guy forcément non je me trompe la, enfin la serait bien que le truc sur elle se pousse de la quoi, pas le temps des mamours la, alors elle s'approche de son oreille avec un large sourire
, le sourire ravageur de l'hypocrisie, celui que l'on nomme aussi parfois le sourire des éléctions, et elle lui chuchote doucement.


T'as deux secondes pour cesser de me chevaucher a deux, la dague que j'ai dans les mains mettra terme a jamais a ton appellation d'homme capich...


Puis d'une voix forte afin que tous entendent mais toujours avec le sourire ravageur .

Héé guytounet ca fait plaisir de te voir ici, tu m'a encore sauté dessus comme a deux ans ca te manquait ca hein, sacré comique va, vous savez que a deux années de ca guy m'a sauvagement agressé dans la taverne du mess, il a commencé par éteindre la bougie seule source de lumiére pour venir ensuite m'embrasser comme un cochon, puis quand il a vu que son baiser m'a choquée il a clamer a tous être innocent, je l'ai traîne de force chez le capi de l'époque et vous savez ce qu'il a osé faire la bas?????.....le bougre vil......

Embrasser le capi, et ben on peut dire qu'en a qui ont pas froid aux yeux hein, mouais méfiez vous les filles, de lui, méfiez vous si il vous dit de sa petite voix innocente......oh la bougie vacille , un courant d'air et ca peut s'eteindre, vous savez ce que cela veut dire en vérité ca??!!!!!!!!!!ca veut dire , je e met dans le noir je t'embrouille et je te fais ton affaire greluche!!!!!!


Elle le regarde, et dit


deux
--L_anecdotier
Guy_kdr :



Et bien au moins, son caractère était toujours aussi pourri.

Lui chuchotant des menaces à l'oreille, le regard sincèrement assassin, le sourire de Guy disparait, le bleu azur se fait plus sombre.
Il ne pipe mot et se dégage souplement, l'oeil lançant un "arrête ton char, pas avec moi Soso". A moins que le mercenariat l'ai réellement changée, et que leur amitié ne soit plus...
Ils s'étaient toujours taquinés, vannés, mais là...

Puis elle prend la parole à voix haute, sourire plaqué aux lèvres, racontant toujours le même mensonge sur cette affaire. Ils savaient tous deux ce qu'il s'était vraiment passé, mais bon, c'était de bonne guerre qu'elle essaie de garder la face.

Le Major rit à gorge déployée. Salue tout le monde à la cantonnade avant de se tourner à nouveau vers Sofio.


Ahhh tu changeras jamais, hein ? Pour votre information chers amis, elle m'a embassée quoiqu'elle en dise. J'en fais toujours des cauchemars réguliers, au passage, et je ne te remercie pas.
Je l'ai amenée chez le Capi de l'époque, qui lui a foutu une semaine de cachot bien méritée. Ca par contre, reste un très bon souvenir !
Et tes calomnies ne prennent pas, tout le monde sait ici que je suis très amoureux de dame Legowen, ma fiancée depuis peu d'ailleurs. Elles sont donc en toute sécurité avec moi, pour autant qu'elles aient pu ne pas l'être à une quelconque époque, ce qui n'est pas le cas.
Rien que pour ça les dames n'entreprendront rien avec moi par peur de représailles violentes de celle-ci je pense.


"Deux." Quoi deux, je suis déjà debout, bougresse.

Enfin si ça peut me faire pardonner de cette mauvaise blague, vous trouverez un tonnelet de bière et de la cochonaille dans les buissons, derrière

Lorgnant les cadavres de bouteilles éparpillées et les maigres réserves restantes.

On dirait qu'il était temps.
Excuses moi Pascale pour l'interruption ^^ tu peux poursuivre.


Sortant une des bouteilles de Vincentte de sa poche intérieure, une fois assis Guy fait péter le bouchon dans un "pop" sonore, s'enfile une bonne rasade avant de tendre la bouteille à son propriétaire originel dans un clin d'oeil.
--L_anecdotier
Laurentide :



Hé bien que de récit, je reste bouche-b devant de telle mésaventure
--L_anecdotier
Pascale :



Eprouvant silence.... quand un bruit discordant arrachant l intérieur des oreilles....
Cri de dément!!
D un bond , la blonde est debout , voit une masse informe se jeter sur Sofio...Le Sénéchal s apprête a embrocher l inconscient qui ose venir interrompre cette nuit réservée a la grande famille...rengaine l épée dans le fourreau...

L idiot de Guy!! ...tient il si peu a la vie??

La vitesse a laquelle il se relève ne laisse aucun doute sur les murmures que Sofio a pu lui susurrer a l oreille...Sa mine déconfite en dit long...Pascale éclate de rire et reprend sa place...Rire qui en déclenche d autres...

Le Major semble un peu trop sur de lui quant a son succés auprés des femmes...Vaut mieux lui laisser ses illusions...La jeune femme continue de se marrer en douce...Boit un coup de gnôle et tant la bouteille a son voisin..voisine..ben tient!
Elle sait même plus...

Guy se tourne vers elle ...l invite à continuer son récit...cette vision du conflit...
Regard vert sur les flammes...Elle prend un tison et remue lentement les braises....


Ah oui!! ou en étais je...
Le deuxième assaut...La cavalerie est prête à s engouffrer dans le passage que le deuxième bélier est en train de leur tracer...
Les chevaux piaffent en sentant l impatience grandissante de leur cavaliers...l épée a la main , ils n attendent qu un signal pour éperonner leur monture ....Un signal...
Il m appartient de leur donner...ni trop tot..ni trop tard...
Mon coeur bat a toute vitesse...

Un grand fracas!!!

Mon attention est détournée par le pan de mur qui vient de s écrouler...

La pietaille se précipite , avec a leur tête les chefs d infanterie...
Ils disparaissent au travers ...tels des passe-murailles....Combien en ressortiront?...
Pas le temps de réfléchir...

Je lève mon bras armé...le redescend a l horizon de cette maudite porte....craquements sinitres...Elle cède...
Mon hurlement sera t il entendu parmi tout les bruits assourdissants..plus le temps...

En avaaant !!!

Talonnade dans les flancs....faire galoper les quelques centaines de mètres qui me sépare de la brèche ouverte sur Bourges..
A mes cotés les centaines de cavaliers ....

Passer les murs ...commencer a frapper...Durement...pour tuer...Les coups qui transpercent les corps...je les compte plus..
La robe blanche de mon camarguais se recouvrent peu a peu d éclaboussures vermeil...
Comme dans un rêve cauchemardesque, les cris s estompent..on ne les entend plus tellement il y en a ...
la lame s enfonce...ressort..et va en toucher un autre...
En face de toi, ceux ne sont plus des hommes...juste... L ennemi !!! ..Et tu frappes..tu frappes..tu ne regarde plus ou ni comment..

Soudain , on me saisit la jambe...


La blonde frémit...s interrompt...Cet instant ou tout a failli basculer...

Elle a besoin de boire encore...pour se redonner ce courage que tous ont eu..cette vaillance...
pour oublier la peur qui l a saisie a cet instant précis...
--L_anecdotier
Japhet :



Japhet avait cru comprendre qu'une décision avait été prise par les très haute caste formée par ses supérieurs hiérarchiques... En fait, il était tellement en bas
de l'échelle des galons que toute la caserne passait avent lui. Il retournait donc vers la caserne pour prendre des nouvelles de son sort quand il entendit des cris, des rires, et
meme une trompette résonner dans la nuit. Il approcha et vit des silhouettes se dessiner dans la lulière d'un feu de camp sous les murs de la caserne. Il reconnut quelques voix dont celle de
Pascale et de rv sensé statuer sur son sort. Il s'approcha encore et déclara.


Ah ben si j'avais su que c'est comme ça que se passe mon conseil de discipline, je serai resté!

Puis il devina Soso dans la lumière
--L_anecdotier
Pascale :



Sans vraiment y réfléchir, la blonde ajuste le goulot à ses lèvres...fait descendre le liquide au fond de sa gorge...
Revers de main sur sa bouche...


Après....Un retour de bras en arrière...Mon bouclier vient frapper mon assaillant...
Déséquilibrée, je me retrouve malgré tout au sol...

Les bruits s amplifient à nouveau...
Sur moi ..une lourde épée se précipite...tente de s abattre...contrée par un bras auvergnat...Sauvée par ...par qui...j en sais rien...
Le temps de me retrouver sur mes deux jambes, le soldat inconnu est lui même frappé durement...peut être même mort...

Levant a nouveau mon écu qui se brise face a un nouveau coup porté...

Sans réfléchir, je m empare d un autre estoc..Rage et fureur...
Un fer dans chaque main..je taille ...j enfonce dans les chairs ennemies...je trace un chemin au BA..
Avec mes frères auvergnats, j ouvre la route a la victoire de la COBA ...

Le bruit de la bataille s estompe peu a peu...dans l odeur de sang.... de chairs grillées parmi les gémissements...
le berrichon se meurt...le berrichon laisse tomber les armes... lève les bras...le berrichon se rend...

Les épées victorieuses montent lentement désignant le ciel...

Lentement ...Mais de plus en plus fort... d une seule voix....Les vaillants et fiers soldats de la COBA se font entendre

BA...BA....BA...[size=32]BA..[/size]

La voix de Pascale s amplifie elle aussi au mot BA...Dans ses oreilles résonnent encore cette clameur d allégresse conquérante et triomphante
Le sourire agrandit par la fierté d avoir combattu au coté de ses compagnons...
Sa main tenant toujours la bouteille.. Elle la lève bien haut...


Force et Honneur !!

Boit encore une longue rasade...

A qui le tour??
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