Jehan
Ivre ... soûlé de paroles ! Pour la première fois de sa vie, Jehan regrettait d'avoir à son bras une drôlesse. Et, alors qu'ils s'approchaient de l'entrée, une autre commère rose s'accrocha à lui. Il était coincé, perdu et sentait comme un piège se refermer sur lui. Une petite voix lui disait que le Comte s'était débarrassé de deux bien lourds fardeaux et en était certainement soulagé. Il ne put même pas saluer comme il se devait la fameuse "baleine". Elle ne lui en laissa pas le temps. Elle était pire que la première ! Qu'avait-il fait à Aristote pour mériter un tel sort ? S'amuser avec quelques poules ne justifiait pas une pareille épreuve !
Ils passèrent devant l'homme qui accompagnait les deux furies. Jehan lui lança un regard désespéré. Mais le coquin n'eut qu'un sourire moqueur à son égard. Point compassion en ses yeux. Et impossible d'émettre le moindre son désespéré. Les nouvelles venues jacassaient si fort que toutes les poules du château réunies n'auraient pu rivaliser. Maudites gallinacées qui avaient entraîné sa perte ! A vous dégoûter de la volaille !
Même si le flot de paroles obscurcissait son cerveau, quelques mots arrivèrent à rester gravés. Toujours ce "presque père", mais en plus venaient se rajouter "presque mère" et "Roudoudou de toi". Sa curiosité étant la plus forte, il décida de commencer la visite par les cuisines. Il se doutait que ces filles ne seraient certainement pas insensibles à un bon cru du domaine, après avoir presque tâté du tire-bouchon. Ainsi, il pourrait peut-être découvrir le mystère qui entourait leur visite. De plus, il se sentait une petite faim à force de côtoyer la volaille. En outre, son lièvre marinait à sa ceinture rien qu'au contact des vêtements d'Ork qui semblaient avoir être rincés à la mirabelle. Mais surtout, des gardes et la paysannerie s'étaient approchés, attirés par le bruit, et commençaient à les montrer du doigt en riant.
Là, s'en était plus que ne pouvait supporter un chevalier. !
Direction les cuisines !
Ils passèrent devant l'homme qui accompagnait les deux furies. Jehan lui lança un regard désespéré. Mais le coquin n'eut qu'un sourire moqueur à son égard. Point compassion en ses yeux. Et impossible d'émettre le moindre son désespéré. Les nouvelles venues jacassaient si fort que toutes les poules du château réunies n'auraient pu rivaliser. Maudites gallinacées qui avaient entraîné sa perte ! A vous dégoûter de la volaille !
Même si le flot de paroles obscurcissait son cerveau, quelques mots arrivèrent à rester gravés. Toujours ce "presque père", mais en plus venaient se rajouter "presque mère" et "Roudoudou de toi". Sa curiosité étant la plus forte, il décida de commencer la visite par les cuisines. Il se doutait que ces filles ne seraient certainement pas insensibles à un bon cru du domaine, après avoir presque tâté du tire-bouchon. Ainsi, il pourrait peut-être découvrir le mystère qui entourait leur visite. De plus, il se sentait une petite faim à force de côtoyer la volaille. En outre, son lièvre marinait à sa ceinture rien qu'au contact des vêtements d'Ork qui semblaient avoir être rincés à la mirabelle. Mais surtout, des gardes et la paysannerie s'étaient approchés, attirés par le bruit, et commençaient à les montrer du doigt en riant.
Là, s'en était plus que ne pouvait supporter un chevalier. !
Direction les cuisines !