Belleayla
Ayla laisse derrière elle la bruyante cité de Matixco et senfonce dans la forêt immense. Ses jambes sont déjà griffées par les épineux lorsquelle sursaute au moment où le cri dun singe hurleur se fait entendre. Elle lève la tête, le singe vient de sauter sur larbre voisin dans un cri puissant, relayé immédiatement par ses congénères qui limitent. Le silence réapparaît entrecoupé par les cris des oiseaux.
Elle traverse péniblement lespace sauvage remplit darbres immenses aux pieds parsemés darbustres à fruits ou à coques. Lhumidité accentuée par la chaleur ambiante, ralentissent la traversée dans lespace tropicale. Le cur de la forêt de Matixco.
Elle enjambe en souplesse les racines proéminentes recouverte de feuilles épaisses dun vert profond. Quelques envolées soudaines lui rappel sur son passage la présence des chauves-souris fières habitantes des lieux. Ses mocassins senfoncent dans la terre meuble chargée deau. La marche est difficile et déjà la sueur perle sur son front. Dun revers du bras elle séponge à laide de la manche de son huipil.
Un bâton dans la main elle tente de réveiller et faire fuir les éventuels serpents somnolents au soleil. Les nombreux insectes aussi sont présents. Sa marche bien que lente est assurée, totalement remise de son dernier combat, elle part vers le seul lieu Ce lieu elle lavait déjà repéré a sa première visite, un lieu magique, un lieu où la terre et leau vive en parfaite harmonie.
Le soleil perce à travers les feuilles de la canopée et dun coup inonde le visage de la belle de sa lumière. Un espace plus ouvert soffre devant elle, une chute deau souvrant sur un lac. Un havre de paix au milieu du tumulte de la cité de Matixco.
Elle sapproche un peu, des roseaux bordent le petit lac tandis quelle écoute le bruissement de leau qui sécoule de la pierre et fait dénormes ronds dans leau qui viennent sétendent et se répandre jusqu'à ses pieds.
La sérénité envahie les lieux loin des gloussements permanents. Le calme est maître de l'endroit.
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Stoppez le flood...Grrrr
Elle traverse péniblement lespace sauvage remplit darbres immenses aux pieds parsemés darbustres à fruits ou à coques. Lhumidité accentuée par la chaleur ambiante, ralentissent la traversée dans lespace tropicale. Le cur de la forêt de Matixco.
Elle enjambe en souplesse les racines proéminentes recouverte de feuilles épaisses dun vert profond. Quelques envolées soudaines lui rappel sur son passage la présence des chauves-souris fières habitantes des lieux. Ses mocassins senfoncent dans la terre meuble chargée deau. La marche est difficile et déjà la sueur perle sur son front. Dun revers du bras elle séponge à laide de la manche de son huipil.
Un bâton dans la main elle tente de réveiller et faire fuir les éventuels serpents somnolents au soleil. Les nombreux insectes aussi sont présents. Sa marche bien que lente est assurée, totalement remise de son dernier combat, elle part vers le seul lieu Ce lieu elle lavait déjà repéré a sa première visite, un lieu magique, un lieu où la terre et leau vive en parfaite harmonie.
Le soleil perce à travers les feuilles de la canopée et dun coup inonde le visage de la belle de sa lumière. Un espace plus ouvert soffre devant elle, une chute deau souvrant sur un lac. Un havre de paix au milieu du tumulte de la cité de Matixco.
Elle sapproche un peu, des roseaux bordent le petit lac tandis quelle écoute le bruissement de leau qui sécoule de la pierre et fait dénormes ronds dans leau qui viennent sétendent et se répandre jusqu'à ses pieds.
La sérénité envahie les lieux loin des gloussements permanents. Le calme est maître de l'endroit.
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