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[RP] L'arbre aux počtes...

--Dsp
Oui bon d'accord, après les colères le coeur d'artichaud. Soit, elle aussi avait le droit de fondre et de se sentir en fusion. Moments magiques d'échanges intenses.
Explosion volcanique comme des gerbes d'étincelles en son esprit, elle venait de lui déposer un pli, en sa demeure, et se dit qu'elle irait bien le cacher aussi dans le creux de l'arbre envoûtant.


"A l'aube de nos nuits
Quand s'alanguissent nos jours
Que se suspend le temps
A mes lèvres, à ton souffle,
Eveillant nos sens nos désirs
Qu'à ton frôlement je frémis
Que tu trembles devant mes atours
Qu'il n'y a plus ni passé ni présent
Alors enchevêtrés on s'emmitouffle
Jaillissant soudain l'envie : Ultime Plaisir !
Extase intense..."

Elle plia le petit parchemin et le glissa dans une fente sur le tronc puis s'en fut retourner au charbon.
--R....
Capuchon pour cacher son visage et le sourire inspirée par la femme arrivée récemment dans sa vie pour la remplir de bonheur.
Il prit le chemin vers lr birn connu arbre des poèmes. Il y deposa une copie du ''poème'' qu'il lui avait fait.
Il n'était pas bon pour ce genre de trucs, mais elle appréciait ses efforts. Elle lui en faissait souvent.. C'étai la moidre des choses en retour de faire un effort pour elle...




Si j'étais un bon poète, je te dirais...
...que je veux me perdre dans l'univers de tes yeux merveilleux.
Si j'étais un bon poète, je te dirais...
...que je veux bouillir sous la chaleur de tes caresses et ton corp en flammes.

Si j'étais un bon poète...
...les mots suffiraient pour t'exprimer mes sentiments.
Mais, alors voudrais-je vraiment être un bon poète?
Ou prefererais-je qu'ils parlent de leurs propre voix.

Me fondre avec toi dans un baiser intense...
et entrainer nos corps dans une danse infinie.
Que la lune, notre seule temoin, envie notre amour.
Et que le temps s'arrête quand nous serons ensemble.

Pour te dire, entre deux caresses, combien... je t'aime.


Il partit ensuite la retrouver...
Alexandre.


Alexandre fit un petit tour à l'arbre pour y constater que des anonymes y venaient toujours et l'inspiration de ceux-ci était aussi un régal pour les yeux.

Alexandre prit un parchemin et une plume et se laissa aller à quelques vagabondages d'esprit...


Citation:
Ecoute moi mon petit Capitaine,
Je dis petit car tu me fais de la peine.
Espères tu être grand un jour
A faire le coq au milieu de la cour ?

Des promesses, des engagements, des jolis mots
Capitaine ! tes paroles tombent à l'eau
Paye à tes soldats ce que tu leur dois
Quel intérêt il y a de voter pour toi !

Capitaine et Chevalier
Vos titres essayez donc d'honorer
Et venez de suite poser dans ma main tendue
La solde due, rien que de modestes écus...

Alexandre.

_________________

...blasone realizzato da Dama Puffetta in dono all'amico Alexandre ...medalha oferecida por Dama Bandida Miranda Carvalho ...bannière réalisée et offerte par Dame Claire_g



Victoire_von_dumb


Certes, Auryn parfois s'emportait. Son tempérament de feu lui valait nombreuses critiques et jugements hâtifs. Mais elle savait pertinemment les limites à ne point dépasser, les faux pas à ne commettre. Elle savait en outre que l'erreur est humaine, mais que celle-ci une fois comprise doit s'admettre et être réparée au mieux, pour ensuite éviter d'être reproduite. Hors, ce n'était visiblement le cas de tous ici, y compris ceux qui prétendaient valoir mieux que les autres pour telle ou telle raison. On utilisait de bons arguments dans de magnifiques théories...Sans appliquer ensuite cette dernière à la pratique. Dans tout cela, un mot en particulier fut trop souvent prononcé par des personnes en ignorant manifestement le sens profond. Un mot que, pourtant, on se doit de ne guère utiliser à la légère, surtout lorsqu'on dit appartenir à un rang qui, non seulement se respecte, mais en premier lieu se mérite...

Citation:
Hommes et femmes, de trop et de peu, de foi, de loi ou de joie: Venez, voyez!
Orage gronde, sous la divine colère de Celui que quiconque ne peut tromper
Noir est ce jour, en témoigne l'austère vêtement arboré par éléments déchainés
Nulle excuse désormais n'est nécessaire, Ciel et Terre pour l'éternité endeuillés
Et dans leur funèbre marche, ensemble ils portent haut des valeurs oubliées
Unis sous une bannière que tous semblent avoir, de maintes bassesse souillé
Réveillez-vous, soldats et chevaliers! Car on enterre aujourd'hui votre dignité....

_________________


Alexandre.


Un petit passage furtif à l'arbre pour constater que la plume d'Auryn venait redonner la sève vitale et colorée au chêne vieux mais résistant.

Ah l'honneur, on aurait pu en parler des heures en finissant par se taper dessus dans une taverne où on aurait trop bu.

En attendant ces joyeux moments, Alexandre rédigea un petit poème dont il ne tût point le nom de celle qui l'avait inspiré...


Citation:
HYMNE A APHRODYTI

Aphrodyti, vous êtes comme la déesse immortelle
Vos si beaux sourires enchantent les vies
Pour les hommes ébahis vous êtes si belle
Vos yeux font fondre leur coeur ravis

Les cœurs humains pour vous chantent à l'unisson
Et votre bouche fait pâlir d'envie.
Un regard suffit pour un frisson
Voyez je vous regarde, je suis transi...

Et c'est vous qui, rythmant les divines étoiles,
Faites tressaillir d'amour le cœur de l'univers
Afin que l'harmonie dont vous soulevez le voile,
Apprenne aux hommes, à composer des vers.

Soyez sûre que votre beauté fait votre gloire,
Et que, domptant les flots, ô mère des amours,
Les Cyclades en fleurs écoutent votre histoire
Mon encens à vos pieds s'exhalera toujours.

Alexandre.

_________________

...blasone realizzato da Dama Puffetta in dono all'amico Alexandre ...medalha oferecida por Dama Bandida Miranda Carvalho ...bannière réalisée et offerte par Dame Claire_g



_eileen_
Elle n'avait rien compris ... un instant avant heureuse malgré quelques chamailleries et l'instant d'après... seule !

C'est l'âme contrite mais la tête haute et digne, ne se sentant pas le moins du monde responsable de sa condition, qu'elle se dirigea une dernière fois vers l'arbre qui avait abrité quelques instants de sa vie.

Eileen s'assit au pied du tronc, puisa l'énergie vive nécessaire à l'écriture dans le sol gelé, sentant les vibrations d'un arbre qui paraissait endormi par le sommeil d'hiver mais qui ne demandait qu'à voir poindre l'essence d'une saison printanière pour porter haut ses bourgeons et ses glands en une explosion semblable à un feu de la St Jean. En attendant, c'était les mots qui explosaient sur ses branches, enchâssés dans de petits rouleaux telles des corolles protectrices gardiennes des secrets les plus intimes.

Poussant un immense soupir qui se perdit dans la brise du vent, la jeune femme savait que désormais ses heures à Chambéry étaient comptées. Elle qui avait pourtant prévu de s'installer içi par amour. AHH... l'amour...

Elle sentit bien quelques larmes la gagner, une angoisse lui étreindre un instant les tripes mais, en chassant la pensée, elle se mit à songer au coeur inconstant qui la blessait tant, et la colère prit le pas sur la tristesse immanquablement.

Affutant les mots comme on aiguise une lame, trempant sa plume dans l'encre acide vitriolée de l'amertume, elle allait apposer sur le velin le fiel d'un coeur désabusé par autant d'ingratitude que d'irrévérence à son encontre. Mais se ravisa. La médisance et la vilénie n'étant point son fort se rabaisser à de telles extrémités pour exercer une vengeance qui ne l'atteindrait même pas serait renier qui elle était avant tout : une femme digne ! et digne d'être aimée avec respect... mais certainement plus par lui qu'on se le dise !

Aussi, prise par l'envie de montrer un autre visage que celui d'une loque larmoyante gémissant après un amour perdu et fermant les yeux pour n'imaginer que le meilleur la jeune femme se prit à espérer, soupirant après une inspiration plus gaie. C'est alors que jaillit la lumière, éclairant les ténèbres épaisses de son esprit et les sonorités glissèrent silencieusement sur le parchemin.


Espoir flou, espoir latent, espoir en désespérance
Secrète, volage, lueur ou folle engeance
Phénix sans cesse renaissant de ses cendres
Ecartant tout obstacle tant qu'on en a à revendre
Rage de vivre, combat sans merci permanent
Annonciatrice heureuse de bonheurs rémanents
Noyant le désespoir, brisant le carcan lascif,
Caressant mon âme, dernier et ultime lien chétif,
Espérance, toi que je chéris... aujourd'hui, sauve ma vie !

Roulant l'écrit comme si elle roulait sa vie passée içi, elle ne se retournerait pas et partirait sans regrets. L'espérance la portait vers ailleurs. Cela suffirait-il à la tenir en vie ?... seul le temps le dirait...

Alexandre.


Alexandre fit son petit tour quotidien pour lire les nouvelles jolies phrases légères et rafraichissantes.

Il en trouva bien sûr car l'arbre était demandeur et les gens ravis de lui donner la vie.

Il voulut rendre hommage à sa douce amie en lui composant ces quelques vers, ne sachant pas de quoi serait fait le lendemain...


Citation:
A mie depuis toujours discrète et fidèle
U ne larme coule sur ta joue tendre et rosie
R ien ne peut faire que je t’oublie ma belle
E t m’en allant loin, tu restes dans mes rêveries…

E ncore enchevêtrés au petit matin
L a chaleur de ton corps excite le mien.
L ions nos êtres livrés aux doux plaisirs !
A imons nous follement avant de mourir…

Alexandre.

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...blasone realizzato da Dama Puffetta in dono all'amico Alexandre ...medalha oferecida por Dama Bandida Miranda Carvalho ...bannière réalisée et offerte par Dame Claire_g



Alexandre.


Un dernier passage à l'arbre avant que le vent emporte toutes ses jolies feuilles de couleurs et de mots chantants.

Le printemps dans moins de deux mois se chargerait de faire revivre le vieil arbre en sommeil.

Derniers mots pour un adieu...

Citation:
Attirante et gracieuse beauté irlandaise
Une main posée sur votre épaule dénudée
Ravive en moi pulsions et braises
Ya-t-il plus belle femme à se damner
N‘écoutant que mes envies je viens vous aimer…

Alexandre.

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...blasone realizzato da Dama Puffetta in dono all'amico Alexandre ...medalha oferecida por Dama Bandida Miranda Carvalho ...bannière réalisée et offerte par Dame Claire_g



Gabriel_de_belrupt


Ragnarock arriva à l'arbre des poètes, il trouva un endroit ou personne n'avait alors écris, il dessina un cœur et tout en disant son poème haut et fort il l'écrivit.

Mon ange...

Tandis que cette hiver froid s’écoulait doucement,
Je vous ai alors rencontré, intrigué, mais intéressais,
J’ai apprit à vous connaître, et de même à vous apprécier.
Qui aurait pus le prévoir il n’y à pas si longtemps,

Que d'un sourire si charmeur, vous avez réussit a enflammer mon cœur,
Que de ses cendres il renais de lui même, et appelle l'incendie,
Comme le chant du phœnix, revenant encore une fois à la vie,
Venant me chanter chaque jours que je ne dois plus avoir peur.

Mon amour pour vous ne cesse alors de grandir, et cela me rend heureux
Alors dans mon regard, cette lueur si rouge, tel un brasier Majestueux,
Représentant ma passion par une flamme qui me brûle les yeux,
Eux, qui ne cherchent qu'à vous voire afin de ne plus être malheureux.

Vous, qui êtes arrivée dans ma vie comme un ange tombée du ciel
Un ange, à qui mes lèvres et mes douce caresse sont destinée
Un ange, si doux et si sensible, qu'on se demande si c'est bien elle.
un ange nommé Aphrodyti, a qui ma vie est dévoué.


Ragnarock
Elisea


Elisea était revenue depuis peu à Chambéry. Elle avait retrouvé celui qu'elle aimait. Et elle voulait laisser une trace de son amour pour lui.
C'est chez elle, voyant son homme dormir que son inspiration est venue. Elle prit un bout de parchemin, sa plume et son encrier et commença à dévoiler ses sentiments, à écrire ce que son coeur lui dictait.



Citation:
Je suis là assise sur cette chaise,
Te regardant avec mon regard de braise
Je te regarde, tel un ange endormi
Sentant cet amour qui m'envahit.

T'avoir près de moi, à mes côtés
Me donne la force de croire et d'espérer
De croire en ton amour
Et d'espérer qu'il dure toujours.

Tu es celui qui m'a redonné ma force
Tu es celui qui m'a redonné l'espoir
L'espoir de vivre une vie sans entorse
L'espoir de toujours y croire ..

C'est à travers ces mots d'amour
Que je veux te dire que notre histoire durera toujours
C'est a travers ce poème
Que je veux te dire que je t'aime.



L'inspiration d'Elisea lui venait rien qu'en le regardant dormir. Elle l'aimait, elle sentait cet amour profond qu'elle avait pour lui. Elle avait peur de ressentir autant de chose, autant d'amour pour cet homme qui avait dès a présent envahie son coeur, envahie ses pensées .. Elle avait peur de resouffrir. Mais elle savait aussi qu'elle pouvait lui faire confiance et qu'il était sincère.
C'est un sourire aux lèvres qu'elle alla accrocher son poème sur l'arbre, pui retourna chez elle, rejoindre son homme.

Le vert est seulement autorisé pour les censeurs - Smiley.






--Mandy_la_spadassin
Sifflotant sur son chemin le long duquel elle égraine ses parchemins Mandy eu soudain un crise de poésie. Elle s'amuse donc a réciter les vers qui lui viennent en tête, tout haut, sans se cacher, bien trop amusée pour ça.

Beau parleur et vantard,
Pour moi mes mots valent de l’or.
A ma gloire je veux un étendard,
Pour moi le grand Matador.

Pourtant je ne vaux pas un radis,
Moi qui suis seulement armé de mon salsifis.
Mon pauvre petit appendice que j’encense,
Alors que celui est simplement rance.

A vous mesdames je dirai ces mots,
Ceux que vous aimez entendre.
Me vantant alors que je ne suis qu’un sot,
Juste pour dans mon lit vous étendre.

Ne croyez point que tout s’arrêtent ici
Après vous mesdames j’aurai vos maris
De leurs fortunes et de leurs amis
Je les priverai sans permis.

Prenez garde qui que vous soyez,
Hommes, femmes, enfants je vous aurai
Car moi je suis le plus fort.
Moi le grand Matador.
--Mandy_la_spadassin
Elle s’apprête à partir quand elle se fait interpeller, Mandragore hésite, répondre ou ne pas répondre ? Puis curieuse elle se retourne pour écouter, des fois que cela pourrait avoir un intérêt. Face à son interlocuteur elle croise les bras et écoute, lâche un hoquet de rire au mot ami, en voilà un qui se trompe grandement sur la place qu’il pense avoir en ce qui la concerne. Pour elle il n’est rien ce qui le place bien loin d’un ami mais bref si cela peut lui faire plaisir, elle ne dit rien, elle le laisse palabrer, feignent un léger intérêt.
Après tout elle n’a rien d’autre sur le feu pour le moment, écouter un coupable se défendre pourquoi pas, une occupation comme une autre.

« qu’est ce qu’il est ennuyant … j’aurai du partir» se dit-elle juste avant qu’il ne parle de poutrage, là c’est plus fort qu’elle, son rire lui échappe, un rire franc, un rire aux éclats qu’elle ne dissimule absolument pas, aux risques de vexer le pti rien du tout qui se prend pour un homme. Autant tout le reste de son discourt était à mourir d’ennui sur place autant ce genre de menace la cloue de rire. Pour quelles raisons pourrait-elle se faire poutrer ? Parce que lui le demande ? Parce que l’égo de ce triste sire en a prix un coup ? Son rire redouble à cette pensée puis elle tente de se reprendre, avec bien du mal. D’un geste de la main elle essuie une larme venue perler à ses yeux tant elle a rit d’un coup puis Mandragore le regarde, essayant de garder un visage sérieux et une voix pas trop entrecoupée de rire.


Si me faire poutrer veux dire faire mourir de rire comme maintenant c’est fait, du moins ce n’était pas loin, vous êtes sur la bonne voix.


Mandy porte la main à sa bouche pour se racler la voix puis elle ajoute toujours en retenant son rire qui menace de revenir à la moindre inattention

Sinon vous avez pensé à vous faire soigner ? Je vous savais malade mais pas à ce point, cela devient foutrement sérieux là … quoique …. Sacrément drôle aussi !

Et la voilà repartit dans un nouvel éclat de rire, pas moyen de le retenir malgré toute sa bonne volonté. Après une bonne minute elle ajoute en s’éloignant, la main qui ne lui tient pas les cotes faisant le signe du salut

Aller je vous laisse, j’ai du travail moi, je ne vais pas avancer avec vous mais revenez de temps en temps, un éclat de rire comme cela par semaine ça ne me fera pas de mal.

La jeune femme encore secouée de rire s’éloigne d’un pas léger se disant qu’une bonne marrade comme ça va lui donner de quoi rire pour la semaine et lui donner du cœur à l’ouvrage.
--Mandy_la_spadassin
Sur le départ Mandragore s’arrête, se tourne à peine pour écouter les dires suivant puis rit de nouveau, vraiment amusée, encore un qui a besoin d’un auditoire pour exister, sans intérêt. De plus il continue à se montrer fort impolie à la tutoyer de la sorte, enfin, il ne faut pas trop en demander à ce genre de personnage, pour lui une phrase sans insulte doit être déjà un miracle alors la politesse ….Mandy l’écoute, moins attentive, l’esprit déjà ailleurs puis afin de clore la conversation elle se montre très directe en passant sur le côté brigand, pure fabulation qu’elle ne compte pas démentir, après tout elle se moque bien de sa réputation.

Si je ne suis rien comme vous dites, pourquoi dont perdre votre temps à me parler ? Si vous chercher quelqu’un pour déverser votre flot d’âneries peut être devriez vous allez en taverne, là bas vous trouverez bien un ivrogne assez ivre pour vous écouter parler.


Mandy le toise du regard, le regardant de haut en bas, absolument pas impressionnée par un idiot pareil qui joue les hommes alors qu’il n’est au final qu’un vil vantard.

Sur ce je vous laisse, comme dit le dicton il vaut mieux être seule que mal accompagnée et là ....

Elle laisse volontairement sa phrase en suspend pour rester polie mais ajoute un sourire qui en dit long, un sourire qui pourrait dire " à comme je comprends que vous soyez obligé de mentir sur vos conquêtes, qui voudrait être touché par une telle abomination ? Pas même une catin pour le double du prix à coup sur !". Puis, se tournant pour reprendre le chemin qu’elle avait entamé un peu plus tôt elle se ravise, se disant que benêt comme il est il lui faut bien une petite précision en plus pour bien comprendre qu’elle s’en va. Elle se met donc face à lui puis refait le signe « au revoir » de la main en ajoutant.

Vous voyez ceci là Mandy indique de sa main libre son autre main qui s’agite, ceci veut dire au revoir, ou aussi que je m’en vais, que je ne vous écoute plus. Je vous le précise vu que vous semblez n’avoir pas compris la première fois. Mais rassurez vous je ne le dirai à personne, je comprends bien que se soit dur à comprendre pour vous, penser avec ses braies plutôt que sa tête ça laisse des séquelles.

Un dernier sourire amusé puis elle s’en va, cette fois pour de bon et pas pour brigander comme il le dit, il y a bien plus amusant à faire que les poches des voyageurs mais elle ne prend pas le temps de lui expliquer, il faudrait des lunes !
--La_louise
La vieille, qui aimait bien venir lire les poemes lors de ses recherches de petit bois pour son feu, vit des gens en grande discution. Un homme , une femme. Celle ci tourna les talons et partit.

La Louise reconnu l'homme. Ah ! Le fameux don juan de la Savoie !

Dites donc mon p'tit gars, ici c'est fait pour ecrire de la poesie, pas insulter les dames qui vous resistent. Et pis, elles ont bien raison de vous resister, parce que vous etes un sacre "salopiaud".

La vieille ricana . Comme elle ne savait pas ecrire, elle recita une petite poesie en levant la tete vers l'arbre.


Mefiez vous mesdames
Mefiez vous du renard
Il rode, il tourne autour de vous
Montre son beau pelage roux
Mais c'est pour mieux vous croquer
Qu'il deploie tant de charme,
Pour mieux vous delaisser
Qu'il s'apitoie sur son lard


Tout sourire, la Louise s'en retourna a son ramassage.
Fernal
Moralité:

Il n’est pas né le gaillard,
La bourse en sautoir,
Qui pincera croupion
De la Mandy.

Il n’est pas né le gaillard,
La bourse en sautoir,
Qui tâtera téton
De la Mandy.

Mandy, Mandy
Qui donc troussera ta jupe ?
Mandy, Mandy
Qui troussera ton jupon ?
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