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[RP] L'arbre aux počtes...

Dina1821
Dona Dina aime les arbres, quand elle vit celui, vite, elle grimpa au sommet pour y deposer son poeme, afin que son promis entende sa voix qui l appelle :

S eule, au milieu des bleuets et des edelweis S
L ibre et allongee a contemplerle cie L
A moureuse, j ai crie votre nom a tout v A
V ite, il est devenu mon Leitmoti V
A rdente, je prie pour qu il le rest A
Fallen-angel
Voyageuse , anonyme parmi d'autres , elle se promène . Et soudain , au détour d'un chemin , elle aperçoit cet arbre .
Curieuse , elle s'approche . Elle regarde , elle observe et puis elle sort un morceau de parchemin et grate ces quelques mots

Faire ne puis sans deuil et déplaisir
Ce qu'il convient et force est que je fasse.
Devoir requiert ce qu'empêche désir ;
Amour retient ce que raison pourchasse.
Un bien me rit et l'autre me menace ;
Dont entre deux convient que je soupire.
Las ! je veux trop ; mais crainte me retire,
Qui ne permet que mon mal je découvre.
En ce tourment adieu je viens vous dire,
La larme à l'oeil, sans que ma bouche s'ouvre.


Et puis elle s'en va , comme elle était venue , silencieuse et discrète.
_________________
Don't embrace the past
And don't fool yourself.
Your time is now
Mickia
Mickia s’approchât de l’arbre…

Elle avait déjà rencontré toutes sortes de lieux,
dédiés a la poésie…mais un arbre …pourquoi pas… ?

Elle prit sa plume et son parchemin…et griffonnât ces quelques mots…



    Sous un ciel pluvieux
    Elle le rencontra… par hasard
    Pourquoi n’a t’elle pas baissé les yeux
    Plutôt que de croiser son regard… ?

    Le piège s’est refermé sur eux …
    C’est trop tard…
    Il n’y a pas d’amour heureux !
    Obligé d’avancer dans le brouillard…


Mickia, repartit vers la ville, espérant y trouver un peu de joie…
_________________
Mickia
Mickia, revenant de sa promenade matinale,
fût de nouveau attirée vers le drôle d’arbre…
L’endroit lui rappelait trop son arbre et sa cabane…

Avec un soupir …elle prit la plume et écrivit sans hâte
sur un parchemin qui se trouvait là…


    Ils se sont croisés avec les mots…

    Pour le plaisir ils jouaient avec les mots
    Pour discuter ils avaient le choix des mots
    Pour s’aimer ils s’échangeaient de tendres mots
    Pour finir ni l’un ni l’autre n’eut le dernier mot

    Pour conclure ils se quittèrent sans un mot.


Mickia, reprit doucement, le chemin de la taverne.

_________________
Rollin
*Rollin était passé plusieurs fois devant l'arbre dont Yzalba, tout à la fois amie, amante, compagne et mère de ses enfants, lui avait longuement parlé, l'œil brillant, la pupille claire...*

*Et voilà qu'au détour de la venelle maintes fois empruntée, un bruit de feuilles mortes accueillait sa démarche assurée.*

*Des feuilles mortes...*

*Les dizaines de feuillets laissés-là par les Chambériens, jonchaient le sol au pied du grand arbre centenaire. Le vent avait arraché la moitié de ceux qui pendaient à ses branches... La pluie printanière avait haché menu la demi du reste... et tous gisaient, ballottés dans un crissement funeste.*

*Rollin s'arrêta, scrutant de ses iris sombres le champ du désastre.*

N'est-il donc plus de rêves en cette Cité? Plus rien qui fasse le cœur des hommes languir et chanter?

*Sa voix profonde n'avait été qu'un murmure bien vite emporté sur les ailes délicates de Zéphyr.*

Allons, Savoie, n'y a-t-il donc plus une âme de poète qui parcourt tes chemins, qui sautille d'herbe en herbe et bondit et vole de la terre jusqu'aux nues pour y clamer et la douleur et la joie?...

*Le Liégeois s'assit entre les épaisses racines de l'ancêtre, appuyant son dos contre le tronc solide à l'écorce lacérée de rides profondes. Il ferma les yeux... un instant... un instant seulement... entre ses doigts la brise délicate faisait vibrer un morceau de parchemin où il avait reconnu l'écriture d'Yzalba.*

*Les musiques du cœur et les chants de l'âme s'élevèrent dans le silence de son esprit: Les stances mélodieuses des anciennes Gestes, le souffle mélancolique des Rotrouenges douloureux, le jeu subtil des assonances d'un Lai courtois. Tous ces mots que, parmi tant d'autres, il avait du apprendre par l'oreille et retenir et dire... Toutes ces paroles merveilleuses qui disaient l'amour, la vie, la foi...*

*Rollin rouvrit les yeux et essuya ses paupières humides d'un revers de manche. Le cœur déchiré, l'âme nue, il ne pouvait supporter de voir déserté cet endroit. Se relevant d'un bond, il lança haut vers le ciel un tonitruant:*

CHANTE! CHANTE DONC, SAVOIE!
_________________
Bailli de Savoie, Co-Mestre de la Corporation des cueilleurs de fruits de Chambéry.
Ysaure
Se promenant aux alentours de Chambéry, Ysaure, fraîchement débarquée de sa Provence natale, s'émerveilla devant cet arbre dont les couleurs pâlissaient tristement, mais dont les mots résonnaient encore dans toute la vallée.
L'instant était magique et en elle se fit comme un appel. Elle s'adossa au tronc et de sa voix cristalline se mit à entonner une douce mélopée :


(sur l'air de : A la claire fontaine)


A la douce fraîcheur
D’un beau matin d’été,
J’ai trouvé la demeure
D’un arbre coloré.

J’arrive, Ô fière Savoie,
Ouvre moi grand tes bras.

Sous les feuilles de l’arbre,
Des poèmes fleurissaient,
Comme douces palabres
A mon cœur murmuraient.

J’arrive, Ô fière Savoie,
Ouvre moi grand tes bras.

Chante, chante Savoie !
Chante moi les couplets
Des ruisselets en joie,
Aux torrents exaltés.

J’arrive, Ô fière Savoie
Ouvre moi grand tes bras.

J’ai perdu ma Provence
Souillée par les combats,
Pour un homme sans conscience,
Que je n’oublierai pas.

J’arrive, Ô fière Savoie
Ouvre moi grand tes bras.

Je voudrais que ta force,
S’insinue dans mes veines,
Telle l’eau des montagnes,
Ruisselle le long des plaines.

Chante, Chante Savoie !
Chante, chante pour moi !

Brancaleone
Quelqu'un chantait derrière l'arbre aux poèmes...

Cela faisait bien longtemps que ce n'était arrivé. Pas depuis l'assaut des Gênois, au moins, pensa Brancaleone. Encore un coup de ce jardinier de Rollin, ajouta-t'il pour lui même. Cet homme a le don de faire pousser les belles choses, sous ses airs de paysan bourru.

Et la chanson était belle, pour le fait. La voix aussi était agréable, et notre ancien brigadier en oublia-t'il la raison de sa promenade et resta là, appuyé au mur d'un entrepôt, à écouter la chanson.

Quand elle fut terminée, il fit claquer ses mains une paire de fois, puis s'approcha pour féliciter la dame qui de son chant avait arrosé le vieil arbre sec.


- Dame vos airs étaient fort beaux, et j'en suis fort émouvementé. Si vous lui ouvrez de la sorte les oreilles, nul doute que la Savoye vous ouvrira les bras. Et les miens sont à vostre service, faute d'y mettre ma voix qui comparée à la vostre ne semblerait que croassement de batracien poitrinaire. Encore bravo !
Ysaure
Toute à sa chanson, les yeux mi clos baignés par les rayons d’un soleil chaud perçant le feuillage clairsemé de l’arbre, Ysaure n’entendit pas l’homme s’approcher.
La jouvencelle, surprise par les applaudissements, ouvrit des yeux noisette apeurés sur l’homme qui la félicitait.
Elle se croyait seule…ainsi cet homme avait entendu son ode à la Savoie.
Elle rosit de plaisir sous les compliments et répondit de sa voix fluette légèrement brouillée par une intimidation passagère :

Je vous remercie, Messire mais l’endroit est tellement emprunt de charme et de poésie que la mélodie et les vers me sont venus tout naturellement. Je suis bien aise qu’ils vous plaisent.

Elle lui sourit puis continua, oubliant soudain sa pudeur :

Mon père m’a vanté la Savoye telle une femme farouche qui ne se laisse pas apprivoiser facilement mais qui une fois, en confiance, dévoile sa beauté, ses secrets émois et ses profonds tourments. Est-ce vrai ?
Dans ma Provence natale, les gens sont chaleureux et souriants mais si vous les rencontrez deux jours de suite, il leur arrive d’oublier qu’ils vous ont vu la veille !
J’attends tant de la Savoie ! Il me tarde de m’installer dans cette belle région pour découvrir les saveurs et parfums des plantes de vos montagnes, les paysages enneigés des crêtes qui côtoient les nuages, des veillées au coin du feu à écouter les légendes peuplées de loups et d’elfes des montagnes.


Le visage de la jeune Ysaure s’illuminait à l’évocation de tant de promesses. Réalisant soudain qu’elle parlait à un étranger, elle reprit son souffle et termina ainsi :

Excusez moi, je m’emporte..
Brancaleone
- Allons, ne vous excusez point. Il est vrai que ces terres rocailleuses ne sont point sans charmes pour qui n'a pas peur d'y laisser sang et sueur. Point sans charme, mais point sans dangers non plus. Prenez garde, ici le loup revêt souvent la toison du mouton. Mais vous semblez assez déniaisée pour ne point vous y laisser prendre, sauf votre respect.

Il s'inclina alors une dernière fois.

- Je suis Brancaleone, da Norcia, ancien brigadier en cette cité et savoyard d'adoption. J'aurai aimé prolonger ceste conversation, mais certaines affaires ne sauraient attendre. Souffrez toutefois que je réitère mon offre, et si un jour vous avez besoin de bras, ou tout simplement l'envie d'apprendre le nom des étoiles ou des monts qui vous entourent, envoyez-moi missive. Au plaisir, jeune rossignol.
Ysaure
Je vous remercie encore, Messire da Norcia ; je n'oublierai pas votre proposition.
Quant aux loups, je tâcherai de les débusquer avant qu'ils ne fassent qu'une seule bouchée de moi.
.répondit la demoiselle, en s'inclinant également dans une charmante révérence.

Déjà l'homme partait, suivi du regard rieur de la demoiselle.

" Flûte ! J'ai oublié de lui dire mon nom..se dit elle un instant plus tard. Cela n'est pas bien grave, après tout. J'espère qu'il se souviendra du rossignol de l'arbre aux poèmes."

La jeune fille caressa de sa main délicate l'écorce craquelée de l'arbre puis prit le chemin de l'auberge où elle logeait. Le lendemain, elle serait chez sa tante à Annecy...tout au moins, l'espérait-elle.
Rollin
*Au début de la saison des pommes et des noisettes, Rollin revint près du grand arbre au feuillage de papier... Ses suppliques de l'été n'avaient sans doute pas été vaines... et pourtant...*

*Entre les racines vénérables l'herbe repoussait dru, témoin insolant de l'abandon des lieux. Le compagnon-cueilleur passa sa large main sur le vieux tronc ridé. Une caresse rassurante et amicale, comme l'on fait pour dire à un parent "je suis là, ne t'inquiète pas", ou pour soutenir un ami à la veille d'une importante bataille...*

*Extirpant un billet de sa besace de toile bise, Rollin attrapa une branche basse et l'y lia. Rien de plus que quelques mots d'une écriture hésitante, quelques syllabes qui pourtant, sonnaient comme une mélodie enivrante:*

Citation:
Si fait, doulze perle qui s'este fait mienne,
Oncques n'ai vu si parfaite Chambérienne.
Cortoise face & joliettes façons,
Ramaintefois ont près li Liégeois en lour lacs.
Et l'asme & le cœur vont huchant à l'unisson,
Qui sitant me fait grant & si déliciouse dolour, las!

Li jour d'huy me veut placer en votre soubvenance,
Féal d'amours & transis lige servant…

+R+


*Un léger sourire aux lèvres, Rollin laissa derrière lui, l'arbre-ami et son premier poème laissé à chanter dans le vent.*
_________________
Bailli de Savoie, Co-Mestre de la Corporation des cueilleurs de fruits de Chambéry.
Aphrodyti
Il y avait bien longtemps qu'elle n'etait venue ici, des souvenirs remontaient a la surface de sa memoire, pas vraiment tous tres bons. Elle soupira et sortit un petit bout de parchemin, couchant ses sentiments du moment.



Indifference dans sa ville et dans sa vie
Nefaste indifference qui ronge l'ame
Dans l'ombre meme en pleine lumiere
Invisible mais si vive douleur
Fantome sans cesse a la recherche
Fantome en desespoir de trouver
Envie de hurler a perdre la voix
Retrouver l'ivresse des premiers jours
Et rencontrer et rire et jouer
N'avoir qu'un desir a present
Coucher son nom sur la pierre
Et passer l'eternite dans l'indifference


Elle l'accrocha quelque part sur l'arbre, mais sans serrer vraiment le bout de ficelle. Le petit message partirait au fil du vent, passant de l'indifference a la disparition complete.

Les tavernes lui manquaient, son moral s'en ressentait vraiment.
_________________
Vanassaricardi


Regardant la nature qui se prohibait devant moi, quelques mots soufflants par le vent..voici ce que cela donna..


Mon coeur n'a plus de mot
Les mots de mon coeur disparus à jamais
Jamais j'oublierais les doux moments
Moment de plaisir, d'envie et de peine
La peine disparaitra mais pas les larmes
Mes larmes bouillonnent comme le feu
Le feu de se coeur jaillit dans mes veines
.




Continue à marcher suivant le vent...qui me pousse vers d'autres chemins.
Minoucat
Aujourd’hui est une chance
Car mon coeur est en transes
Vers lui tourné à jamais
Mes yeux dans son regard de jais
C'est mon amour, ma romance
Je t'aime mon Atlance...

Hier était sombre silence
Dans la nuit sans défenses
De tristesse me languissais
Le sourd passé me hantait
Il a chassé ma souffrance
Je t’aime mon Atlance…

Demain sera brillance
Car enfin j'ai confiance
En un avenir enfin gai
Avec lui je partagerai
Les pas d une même danse
Je t’aime mon Atlance…
_________________
Galopin
Citation:
Toi, dans un samedi d'automne;
Avec un simple baiser à conquis mon coeur,
À changé ma vie d'un ton monotone,
Et me fais vivre le bonheur!

Aujourd'hui, malgré les interdits,
Et le distance "Je t'aime"
Je rêve, avec toi de faire ma vie,
Et comme pour Quasimodo être ta bohème!

Le matin, je pense à toi,
Et toute la journée, j'ai envie d'être dans tes bras
Mes pensées et mon coeur sont à toi,
Ma vie ne rime à rien sans tes bras!

Depuis, que tu es entré dans ma vie,
Tu me fais découvrir la vie en rose,
Et à fait renaître mes rêves et mes envies
Mon coeur devant toi, est en pause.

Tu m'es plus précieux que l'or,
Je te veux pour l'éternité.
Je t'aime, je t'adore,
Et me comble de ta gentillesse et ta beauté.

_________________
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