--Lapetoule
[ HRP Une fois la mise en place terminée ce RP sera ouvert à tous ceux qui veulent participer à condition de créer un PNJ d'enfant merci de me prévenir par MP avant. Bon jeu à tous]
Dans les rues de Nancy, jour du couronnement de la duchesse de Lorraine
Deux gamins se promenaient tranquillement dans les ruelles de la capitale. Ils faisaient un chahut de tout les diables, ce qui nétait pas du goût de tout le monde, surtout en ce jour ou tout le gratin lorrain célébrait lavènement de la nouvelle duchesse, Floche de Réaumont Kado'ch, avec toute la solennité voulue, à labri derrière les portes de la basilique, sise dans lenceinte du chanteau de Nancy. Mais, les joyeux bambins eux, sen fichaient pas mal, ce quils voulaient, cétait samuser. Et ne fallait-il pas que jeunesse se passe ?
Il y avait beaucoup denfants dans la ville de Nancy et ils aimaient à se retrouver tous ensemble jouant à cache-cache, à saute-moutons, faisant la course ou se déclarant la guerre entre bandes rivales. Mais, ces deux-là étaient inséparables ... Il sagissait dune petite fille crasseuse à la mine tantôt boudeuse tantôt rieuse et dun petit garçon malingre encore plus sale.
La Pétoule, comme on la surnommait, était secrètement amoureuse de son compagnon de jeu, mais elle noserait jamais le lui dire car bien sûr... elle ne voulait surtout pas perdre son amitié.
Le temps était à la neige et les villageois saffairaient pour la plupart sur les marchés de Noël en préparation des fêtes. Les enfants tous complices quils étaient, samusaient à sauter par dessus uen barrière et à se canarder de marrons ou encore à se rouler dans la neige. Ils étaient trempés jusquau fin fond de leurs culottes courtes
Zai une idée !
s'écria la drôlesse.
Il faut quon zavance que en zsssautant dans la neige la plus molle là su'le côté, ou que y'en a le plus, tu vois comme ça * joint le geste à la parole * dans les plaque. Le premier qui tombe le nez dedans , doit aller taper chez quelquun et se moquer de la personne qui ouvre, daccord ?
Sans attendre la réponse de son ami, la Pétoule commença ses bonds trempant joyeusement ses bas qui au fur et à mesure tombaient sur ses mollets
Dans les rues de Nancy, jour du couronnement de la duchesse de Lorraine
Deux gamins se promenaient tranquillement dans les ruelles de la capitale. Ils faisaient un chahut de tout les diables, ce qui nétait pas du goût de tout le monde, surtout en ce jour ou tout le gratin lorrain célébrait lavènement de la nouvelle duchesse, Floche de Réaumont Kado'ch, avec toute la solennité voulue, à labri derrière les portes de la basilique, sise dans lenceinte du chanteau de Nancy. Mais, les joyeux bambins eux, sen fichaient pas mal, ce quils voulaient, cétait samuser. Et ne fallait-il pas que jeunesse se passe ?
Il y avait beaucoup denfants dans la ville de Nancy et ils aimaient à se retrouver tous ensemble jouant à cache-cache, à saute-moutons, faisant la course ou se déclarant la guerre entre bandes rivales. Mais, ces deux-là étaient inséparables ... Il sagissait dune petite fille crasseuse à la mine tantôt boudeuse tantôt rieuse et dun petit garçon malingre encore plus sale.
La Pétoule, comme on la surnommait, était secrètement amoureuse de son compagnon de jeu, mais elle noserait jamais le lui dire car bien sûr... elle ne voulait surtout pas perdre son amitié.
Le temps était à la neige et les villageois saffairaient pour la plupart sur les marchés de Noël en préparation des fêtes. Les enfants tous complices quils étaient, samusaient à sauter par dessus uen barrière et à se canarder de marrons ou encore à se rouler dans la neige. Ils étaient trempés jusquau fin fond de leurs culottes courtes
Zai une idée !
s'écria la drôlesse.
Il faut quon zavance que en zsssautant dans la neige la plus molle là su'le côté, ou que y'en a le plus, tu vois comme ça * joint le geste à la parole * dans les plaque. Le premier qui tombe le nez dedans , doit aller taper chez quelquun et se moquer de la personne qui ouvre, daccord ?
Sans attendre la réponse de son ami, la Pétoule commença ses bonds trempant joyeusement ses bas qui au fur et à mesure tombaient sur ses mollets