Vaxilart
Le Baron Vaxilart entrait en la ville de Chalon en compagnie de plusieurs nobles, militaires, et basilics qui avait accepté de le suivre lorsqu'il était Duc, et de faire payer aux brigands de Reims qui viendraient s'en prendre en Dijon. La mission en ce jour était bien différente. Il y avait un bon moment que le curé de Chalon était surveiller par les services secrets de Bourgogne... L'homme à la soutane était louche... Il y cachait plusieurs secrets, et une croyance bien particulière. Mais finalement, ne trouvant aucune preuve tangible, le Duché avait dut se résoudre à le laisser professer et habiter Chalon.
Un soupçons de surprise, mais surtout une forte colère, avait assaillit le Conseil lorsque ce dernier fut avertit de la dernière messe du père Lingus. Messe au cour de laquelle il avait proposé à ses paroissien de lire les livres d'Averroes! (Averroes = Hérétique fou!) L'homme qui se disait le dernier prophète du Seigneur! L'hérétique avait trop longtemps profité de la maison de Dieu Chalonnaise pour y gagner la confiance des gens et ainsi user de cette confiance afin de les corrompre au Mal!
En pénétrant en Chalon, déjà l'odeur de l'hérésie, du crime, et du Lion de Juda empestait les champs, les chaumières, les roches, l'herbe et les fleurs. L'odeur de la pitié, de ceux qui furent utilisé et trompé par un homme qui se disait garant de leur âme. Le Baron en chemin, avait prier Christos et Aristote afin que ceux-ci pardonne à la Bourgogne sa vision flou, et aux paroissiens chalonnais leur ignorance. Il espérait de tout son coeur que Christos saurait reconnaître les siens et les trompés! Et il espérait de tout son coeur, que l'évêque M4dboris avait gardé les registres des baptêmes et mariage professé par le traitre. "Christos ait pitié de tes fils. Aristote éclaire la Bourgogne. Averroes brûle en enfer!"
Arrivé en ville, l'armée se sépara. Certains à cheval partirent patrouiller les rues et garder les entrée. D'autres, dont le Baron, se dirigèrent vers le presbytère. Les sabots encore chaud des chevaux faisaient fondre la neige sous leur pas. Cette vision plut au Baron, car ils n'étaient pas ici en représentant de la Bourgogne, mais ils étaient les cavaliers de l'apocalypse venu punir les hérétiques. Au nom du Seigneur, au nom de la Sainte Église Aristotélicienne. Arrivé devant la porte, le groupe descendit de cheval. Quelques uns se dirigèrent vers l'arrière de la maison, et d'autres montaient les marches de la véranda. Le Baron devant la porte, y cogna. Sans un mot, ne voulant pas effrayé le bougre.
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Un soupçons de surprise, mais surtout une forte colère, avait assaillit le Conseil lorsque ce dernier fut avertit de la dernière messe du père Lingus. Messe au cour de laquelle il avait proposé à ses paroissien de lire les livres d'Averroes! (Averroes = Hérétique fou!) L'homme qui se disait le dernier prophète du Seigneur! L'hérétique avait trop longtemps profité de la maison de Dieu Chalonnaise pour y gagner la confiance des gens et ainsi user de cette confiance afin de les corrompre au Mal!
En pénétrant en Chalon, déjà l'odeur de l'hérésie, du crime, et du Lion de Juda empestait les champs, les chaumières, les roches, l'herbe et les fleurs. L'odeur de la pitié, de ceux qui furent utilisé et trompé par un homme qui se disait garant de leur âme. Le Baron en chemin, avait prier Christos et Aristote afin que ceux-ci pardonne à la Bourgogne sa vision flou, et aux paroissiens chalonnais leur ignorance. Il espérait de tout son coeur que Christos saurait reconnaître les siens et les trompés! Et il espérait de tout son coeur, que l'évêque M4dboris avait gardé les registres des baptêmes et mariage professé par le traitre. "Christos ait pitié de tes fils. Aristote éclaire la Bourgogne. Averroes brûle en enfer!"
Arrivé en ville, l'armée se sépara. Certains à cheval partirent patrouiller les rues et garder les entrée. D'autres, dont le Baron, se dirigèrent vers le presbytère. Les sabots encore chaud des chevaux faisaient fondre la neige sous leur pas. Cette vision plut au Baron, car ils n'étaient pas ici en représentant de la Bourgogne, mais ils étaient les cavaliers de l'apocalypse venu punir les hérétiques. Au nom du Seigneur, au nom de la Sainte Église Aristotélicienne. Arrivé devant la porte, le groupe descendit de cheval. Quelques uns se dirigèrent vers l'arrière de la maison, et d'autres montaient les marches de la véranda. Le Baron devant la porte, y cogna. Sans un mot, ne voulant pas effrayé le bougre.
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