Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6   >>

[RP] De l'audace, des damoiselles, et des enchères !

Vero5
Distraite, troublée, définitivement pas à l'aise depuis les huit jarres de miel...
tournicote comme une abeille autour, ne sachant pas vraiment quoi faire de son malaise.

S'approche et s'éloigne, étrange sensation de danger, d'impuissance, impression confus mais fortement présent.
Capte un mot et tétanise


Soie vierge...

Terifiant.. déplacé, dit d'un ton bas froid et affreusement suggestif.

Reviens à ses sens et pétillante viens se placer entre le tapis et Flore..
Happe le bras du Messire


Ai je bien entendu?
De la soie vierge!
Expliquer moi donc cette technique! Je n'en ai jamais vu ca doit être une pur merveille..
la laine j'ai connaissance ..mais de la soie je ne savais pas qu'elle puisse l'être!


Regarde la pièce, volubile et bavarde l'entraine, la main fermement posée sur la tapis
au devant de l'estrade. Hausse la voix et regarde Attché et Kylée..


Qu'Aristote et ses pauvres vous remercie vivement du plus profond de leurs âmes.
Quel générosité, quel magnanimité tout cela pour une demi douzaine d'œufs ou une soirée en taverne.
Je me demande bien lequel parmi ses deux choix vous avez fait....

_________________
Atchepttas
Atchepttas se détendit un peu.. L'attention de la plupart du public était en train d'être reporté par le mini scandale déclaré par le sieur pour la précédente candidate. Tant mieux, la jeune femme pourra souffler un peu. Se montrer comme ca, fasse à autant de monde était un supplice, même si c'était pour la bonne cause. Elle qui avait plutôt l'habitude d'agir dans l'ombre, la voilà qui offrait ses talents de séduction pour un œuf ou une bière en échange d'un peu de charité.
Elle reporta son attention sur Kylee et lui souffla :


Hum...Ma chère, je crois que tu devrais intervenir. Ton animation est en train de tourner en scène d'esclavagisme pour la dénommée Flore. Et si ca continue, Vero va mordre quelqu'un.

Elle lui adressa un petit sourire en attendant sa réaction
_________________
Kylee
Occupée à chercher un éventuel "acquéreur" pour Atch parmi la foule de badauds, la Vicomtesse ne surveillait que du coin de l'œil les échanges entre Flore et le marchand (le fait que l'homme soit marchand était une de ses déductions personnelles). Mais les armoires à glace qui le suivaient de près n'étaient pas pour rassurer notre Kylee, malgré l'intervention de Véro.

Et puis Atch' s'approcha et lui susurra ces quelques mots doux...


Hum...Ma chère, je crois que tu devrais intervenir. Ton animation est en train de tourner en scène d'esclavagisme pour la dénommée Flore. Et si ca continue, Vero va mordre quelqu'un.

Zut zut zut. De toute manière rien ne tournait rond dans la vie d'Aurore depuis quelques temps...

D'un pas décidé, elle se rapprocha du petit groupe qui s'était formé sur le côté de l'estrade.


Il y a un problème ?
Si vous regrettez votre achat, messire, vous pouvez toujours revenir sur votre décision...
Mais soyons clairs sur ce point, c'est une boîte d'œufs ou une bière en taverne. Rien de plus. J'ai donné ma parole de femme d'église.


Et elle le toisa, de haut en bas, impassible, et les mains sur les hanches.
_________________
Pouyck.
Tout juste revenu à Aix, qu’il retrouvait après un long séjour dans sa contrée d’origine, tout en marchant dans une rue le jeune Ottoman était occupé à rajuster son turban dont la couleur mettait en valeur son teint bronzé et ses yeux verts quand il entendit des cris, des rires…

Ils provenaient de la Grand Place d’Aix tout près. Pris de curiosité, Pouyck se dirigea vers le centre de la place non sans mal vu la foule d’hommes présents…Il se demandait ce qui pouvait bien provoquer un tel enthousiasme, lorsque que poussé, tassé, par la foule il déboula finalement devant une espèce d’estrade sur laquelle il vit une présentatrice luxueusement habillée clamant des slogans…

Il comprit qu’il s’agissait d’une vente aux enchères et se mit à chercher des yeux les lots à gagner..après tout il était plutôt homme de chance et puis ses fioles pouvaient l y aider…des fois qu’il y aurait un beau lot à gagner… Tout à coup il comprit que l’enjeu n était pas ordinaire.. des Femmes ! et des plus jolies ! Il éclata de rire, un marché à l’ottomane en Provence !! décidément ! ces provençaux étaient un peu turcs dans l’ame…une bonne chose !!

Tout à coup il y eut un grand tumulte, et il vit une jeune femme, visiblement un lot, qui venait d être attribuée juste à coté de lui..à un bel homme visiblement ottoman tout comme lui..

Il entendit celui-ci déclarer entre haut et bas:

« Chère enfant, je suis Sindbad. J'ai gagné cette enchère. Vous êtes mienne et pouvez m'appeler maître. Venez, n'ayez aucune crainte. Je suis un maître juste. Vous serez bien traitée. »
De prime abord Pouyck trouva la situation comique en ce qu’il n’aurait jamais imaginé retrouver le parfum de sa patrie ici, sur la Grand Place d’Aix..Amusé il écoutait la conversation d’une oreille tout en suivant le début de l’enchère suivante..une Signora inconnue..

« La cadi ... juge a admis cette enchère et a bien précisé que vous étiez ... vendue » Disait le Messer ottoman. Pouyck devait faire un effort pour entendre le dialogue noyé dans le vacarme ambiant:

« Ce qui devrait bel et bien faire de vous ma propriété, encore que les usages soient différents d'une contrée à l'autre ... devrait pouvoir s'arranger. » Le plus surprenant dans cet échange était ce ton de salon comme s’il s’agissait d’un échange de politesses..

Entendant la jeune femme, mal assurée et un peu interdite du tour que prenait la chose, qui répondait tout juste
« J'ai cru comprendre "maître"... Avez-vous bien lu le règlement » Pouyck comprit le quiproquo qui, pour être drôle, n’en était pas moins dangereux…

Il s’avança, non sans avoir rajusté sa chemise caftan soulignant ses épaules musclées, un sourire aux lèvres, et apostropha le noble égyptien :
Eh que vois je Messer ! Un compatriote !! Il s’intercala souplement entre le Messer et la jeune Signorina, serrant vigoureusement la main du Sieur.
Messer seriez vous venu pour agrandir votre harem ? ici ce n’est point l’usage, la Dame peut tout autant choisir que l’Homme et le harem n’est point toléré..c’est pour cela qu’il y a ici de nobles Dames appelées maitresses en de charmants bordels… je peux vous indiquer les bonnes adresses…c’est référencé au Guichet d’Accueil des Visiteurs en Provence à Aix. Que de la haute qualité pure chère… heu pur chair !

Au surplus , ici les lots féminins sont livrés avec une rame dont elles savent fort bien se servir ! Vous ne voudriez pas avoir des cals au cou ?

Allons donc mon ami, ils se sont mis à la mode ottomane, mettons nous à la Provençale..c’est fromage ou dessert ! Une douzaine d’œufs ou un tête à tête en taverne…que choisirez vous ?


Jetant un œil à sa ceinture ou pend son cimeterre luisant sous le soleil, puis regardant le messer droit dans les yeux Pouyck lui dit d’un ton aimable mais ferme:

je vous invite avec plaisir à boire un thé en ma modeste demeure après avoir choisi le gage de la Signorina que voici…Œufs ou Bière en taverne et rien au dessous de la ceinture…D’autant que la Signorina est ma nièce ! Je ne tiens pas à la voir orner un harem toute Flore qu’elle est !

Souriant à la jeune fille, dont il s’était rapproché autant que le permettait la décence durant l’échange, il acheva « Eh bien ma nièce, souffrirez vous que je partage votre gage ? En bon ottoman je connais le règlement local».

Pouyck rit non sans voir l’incertitude pointer sur le visage du Messer faire face à l’ombre du soulagement sur celui de la jeune femme
--Sindbad
Sindbad fut agrippé par la femme qui l'avait accosté plus tôt ... elle avait une poigne de fer.

Peu importait. Ses hommes entouraient la damoiselle Flore ...

Il lui suffirait de concentrer l'attention sur lui, sur elle, sur ce tapis ... Yussef était tout à fait capable d'escamoter la damoiselle récalcitrante.


Citation:
Ai je bien entendu?
De la soie vierge!
Expliquer moi donc cette technique! Je n'en ai jamais vu ca doit être une pur merveille..
la laine j'ai connaissance .. mais de la soie je ne savais pas qu'elle puisse l'être!


Il répliqua sur le même ton pendant qu'elle l'entrainait vers l'estrade.

J’ai connaissance de moult étoffes.

Mais la technique de fabrication de celle-ci est un secret jalousement gardé.

Vous sentez la douceur du tissu ?

On dirait qu’il a été fabriqué par 100 mains fines et habiles.


Il se prît au jeu, montrant avec de grands gestes grandiloquents, lorsqu'elle lui dit tout de go.

Citation:
Qu'Aristote et ses pauvres vous remercie vivement du plus profond de leurs âmes.
Quel générosité, quel magnanimité tout cela pour une demi douzaine d'œufs ou une soirée en taverne.
Je me demande bien lequel parmi ses deux choix vous avez fait....


Sourire, toujours sourire, en espérant que Yussef et ses hommes ne fassent pas les imbéciles.

Un honnête homme sait être généreux. Et l'aumône grandit celui qui la fait.

Mon choix est fait ...


La fille ... la fille ... que faisait donc Yussef ?

A ce moment, la Cadi intervint en personne ...


Citation:
Il y a un problème ?
Si vous regrettez votre achat, messire, vous pouvez toujours revenir sur votre décision...
Mais soyons clairs sur ce point, c'est une boîte d'œufs ou une bière en taverne. Rien de plus. J'ai donné ma parole de femme d'église.


Femme d'église ... un détail qui lui avait échappé.

La femme qui lui serrait toujours le poignet ... il pourrait lui trancher le sien d'un coup de lame, même si cela gâchait sa valeur.

Elle avait le regard brillant, déterminé … celui des anciens galériens qui n’avaient plus rien eu à perdre. Il saurait la maîtriser, comme il maîtrisait ses hommes.

Il fût tenté, l'espace d'un instant.

Yussef escamoterait Flore de Lendelin, peut-être l'une ou l'autre femme de tête autour d'eux ... ils fuiraient ... pas loin … il y avait plus à perdre qu’à gagner.

Non.

S'il voulait une autre chance, il devait rester libre de ses mouvements.

Yussef attendait, impassible, prêt.

On dit que les femmes de ce pays peuvent être plus redoutables que les hommes. Du moins sont-elles plus alertes et courageuses.

Il devait battre en retraite.

Un ange passa.

Puis il sourit à belles dents, se tournant vers la cadi, la saluant de sa main libre.


Il semblerait qu'il y ait eu un malentendu, en effet, sage Cadi.

J'avais cru comprendre que vous aviez vendu cette dame aux mille qualités.

C'est chose courante en ma contrée. Et l'on ne traite pas mal ces femmes pour autant, je vous l'assure. Une dame d’une telle qualité est un trésor que l’on chérit.

J'avais cru comprendre que le servage rattachait toujours des hommes et des femmes, et leurs enfants, à leurs seigneurs et maîtres en ces contrées et qu'il en allait par conséquent de même en ces contrées qu’en la mienne, à quelques coutumes près.

Mais si vous avez engagé votre parole sur votre foi que l’enjeu de l’enchère était autre, je ne puis que vous suivre.


Il sourit sans tressaillir devant le regard de braise de la Cadi.

Je suis un homme de parole et ne me dédierai pas : un accord est un accord au regard de ... la Loi.

Il arrive que l'on perde. Ainsi va la vie. Il arrive que l'on gagne. Ainsi va la vie.

Je poursuivrai mes affaires et regagnerai demain ce que j’ai perdu aujourd’hui.


Un « compatriote » arriva.

Il devait s’être acclimaté aux coutumes de l’endroit, assez pour présenter la damoiselle Flore comme étant sa nièce ou pour parler de boire de l’alcool.

Il doutait que cet homme eût connu les mêmes lieux que lui … en d’autre temps, … en d’autres lieux …

Quant à se servir d’une rame, il pourrait lui apprendre, quand il le souhaitait.

Sindbad parvint à garder son sourire aimable. C’était lui qui faisait sa force, en toutes circonstances.

Il répondit d’un ton aimable.


Cela me fait chaud au cœur de rencontrer un compatriote en ces contrées étranges.

J’accepte votre invitation, avec gratitude.

Quant à l’enjeu, je ne bois pas, ma ... mes coutumes me l'interdisent. Et je vois mal pourquoi je jetterais des œufs sur une damoiselle d'une telle qualité.

Que Flore de Lendelin choisisse elle-même la personne avec laquelle elle boira ce verre.


Il se tourna vers la damoiselle Flore, faisant discrètement signe à Yussef de s’écarter tout en la saluant.

Tel est mon bon plaisir.
Zorane
la tournure des échanges autour de l'enchère sur Flore laissa Zorane sans voix...elle se recroquevilla dans un coin incapabble de bouger...du regard elle suppliait roland de la rejoindre...un sourir réussit a percer quand un bel homme aux yeux verts vint s'interposer en ramenant le donateur à la raison...les enchères pouvaient reprendre normalement
_________________
Istanga
Je suis de loin cette mascarade qui me rappelle à un passé pas si lointain, où j'ai assisté à de véritables ventes d'esclaves. Ma soeur a fait fureur, ce qui est normal, puisqu'elle est ma soeur. Et mes décoctions, autour desquelles je laisse planer une aura magique, y sont pour quelque chose aussi.

Elle me paraît bien accaparée par les loups bavant devant elle, mais je surveille de près celui qui a emporté l'enchère. Je ne connais que trop ce genre de mâle onctueux et doucereux comme le miel qu'il propose. Derrière se cache un prédateur. Je n'aimerais pas que Flore goûte aux "joies" du harem, elle ne le supporterait pas.

Je m'avance donc, la main posée sur le pommeau de ma dague, lorsqu'un autre homme, du même teint dénotant des origines communes, fait son apparition et paraît calmer l'affaire. Je n'en continue pas moins d'avancer vers le groupe, arrive près de ma soeur, pose ma main sur son épaule, lui parlant à voix basse, bien qu'intelligible par quiconque tendrait l'oreille.

Eh bien, ma Gol! Si je m'attendais à pareilles enchères en Provence! Etes-vous devenus fous? Ne savez-vous pas quelles personnes perverties par une culture répugnante sont capables d'apparaître ici? De vous considérer comme marchandises? De luxe, certes, mais des marchandises!!!
L'humour et l'oeuvre caritative qui sont à l'origine de cette "vente" restent inaccessibles à certains esprits...

_________________
--Les_veuves_noires



Un homme revêtu d'une cape noire se fondit dans la foule déjà bien amassée devant l'estrade.

Il releva légèrement sa capuche afin d'élargir son champ de vision. Ce qu'il vit provoqua en lui un mélange d'admiration et de haine. Face à lui, deux femmes. La Sainte-Nitouche et la Ysgarde.
Les rumeurs étaient donc vraies ? Mais comment Atchepttas avait-elle pu survivre ? Il était présent lorsqu'il vit son chef abattre son épée sur elle. Il la vit s'effondrer et se vider petit à petit de son sang. Lorsque ses amis arrivèrent pour la sauver, la jeune femme était déjà dans un bien mauvais état. Un moment d'inattention lui avait profité pour fuir la bataille. L'homme s'était ensuite caché plusieurs jours en forêt avant de regagner la ville la plus proche sous couverture d'un simple marchand ambulant.
Le Seigneur avait été averti de leur échec. Sa fille illégitime était toujours en vie, mais il lui semblait que cette situation lui convenait. La loyauté au combat passait avant tout. Atchepttas avait vaincu les Veuves à l'aide de ses amis, elle avait donc le droit de vivre.

Jack ne l'entendait pas de cette façon. Sa montagne d'or était en train de se pavaner aux côtés de sa copine et l'homme commençait à perdre de plus en plus patience. Mais que faire....



Profites encore tant que tu peux ma jolie... se murmura-t-il

Ses pensées furent interrompues par deux hommes ne connaissant apparemment rien aux règles de ce stupide défilé.
Serrant sa mâchoire, la dernière Veuve commença à jouer machinalement avec sa dague, bien cachée sous sa longue cape.
Iskander
Flore avait accepté son invitation.

Iskander en était heureux, plus qu'il ne saurait dire.


Puis ...

Un homme le bouscula.

Il eut une absence ...

Des voix parlant à travers un voile d'eau.

Puis plus rien.

...


Un montant de bois dans le dos.

Des gens autour de lui ...

L'estrade.

Vero tenant le poignet d'un homme en caftan.

Des gens sur scène.

Flore ... parlant avec une femme sans visage.

Tout tourne.

Vero ... l'air ... d'acier.

Pourquoi ne lâchait-elle pas l'homme ?

Un sifflement.

Le sol s'abaisse ... non .... le regard se lève.

Des mouvements.

Vero encore. Son regard. Sa respiration. Presque les battements de son coeur.

Une main se pose sur celle qui tient le poignet.

Une voix venue de loin.


Vero ... Vero ... laisse ... ta main est faite pour dessiner.

Pas pour tuer.


Son regard à elle, ... son regard à lui.

Un regard vers le sol ...

Qui se rapproche.

...

Plus rien à nouveau.

...

Des visages. Des ombres.

La voix venue de nulle part.


Je vais bien.

...

Vero, s'il te plait ... dessine-moi un bébé.
Flore
Flore vit des hommes de la suite de Sindbad s'approcher un peu trop à son goût. Elle avait certainement affiché une mine inquiète pour que l'oriental détourne la conversation vers un tapis de soie. Certes, ce n'est pas commun un ouvrage si finement travaillé de par nos contrées mais pourquoi me parle-t-il de cela maintenant ? se dit Flore moyennement rassurée par la suite des événements.

La Dame de Beausoleil est manifestement touchée par cette étrange impression. S'engouffrant dans la brèche, elle flatte l'étoffe présentée tout en s'interposant subtilement dans leur petit groupe improvisé. Flore se sent moins seule, prête à tout éventualité et garde un oeil sur les serviteurs de Sindbad.

L'intervention de Kylee ramène le gagnant à la raison. En apparence du moins. Flore a le sentiment que cette agitation ne faisait pas partie des plans de Sindbad. D'autant que cette discussion animée attire l'attention d'un bel inconnu, également d'origine orientale. Hum, décidément, la Provence est prisée par ces jeunes hommes dont le charme est indiscutable, malgré des traditions envers les femmes assez étranges.


Pouyck a écrit:
D’autant que la Signorina est ma nièce ! Je ne tiens pas à la voir orner un harem toute Flore qu’elle est !
Eh bien ma nièce, souffrirez vous que je partage votre gage ? En bon ottoman je connais le règlement local.


Hop, un renfort de plus. Flore enchaîne : Oh, mon oncle ! Vous voila de retour .Comme vous voyez, la Provence ne manque pas d'imagination quand il s'agit de festivités pour de nobles causes.
Lui sourit et sur le ton rassurant d'une nièce qui serait réprimandée par son oncle Non, non il n'est pas question de harem.S'adresse amicalement à Sindbad en prenant soin de se positionner auprès de ses alliés.
Il est vrai que l'apparence, compte tenu de vos origines, était trompeuse.
Croyez que je n'oserai jamais imposer ma présence à vie à un homme, qui penserait avoir fait une bonne affaire. Si vous saviez ... j'ai très mauvais caractère.
Rit
L'enchère remportée débouche sur une alternative : des oeufs ou une soirée en tête à tête en taverne, dans le respect des bonnes moeurs. Dame Kylee est diaconesse. Elle ne peut tolérer la moindre entorse à la morale aristotélicienne.
A son oncle tout fraîchement autoproclamé : Je constate en effet que vous avez moults sujets autour des quels converser. Si ceci permet au Seigneur Sindbad de mieux appréhender notre culture, je ne m'y oppose nullement.

Flore aperçoit sa soeur. Ouf, là elle est sûre d'être tirée de ce mauvais pas.

Istanga a écrit:
Eh bien, ma Gol! Si je m'attendais à pareilles enchères en Provence! Etes-vous devenus fous? Ne savez-vous pas quelles personnes perverties par une culture répugnante sont capables d'apparaître ici? De vous considérer comme marchandises? De luxe, certes, mais des marchandises!!!


Lui sourit Allons, allons, c'est un malentendu. Tout s'arrange. Je ne suis pas mécontente de l'arrivée de quelques renforts quand même. Clin d'oeil

A ce moment, le serviteur recule, ce qui confirme l'avantage naturel pris par la cadette des Lendelin.

Sindbad a écrit:
Que Flore de Lendelin choisisse elle-même la personne avec laquelle elle boira ce verre.


Votre proposition vous honore, Seigneur Sindbad. Fait mine d'hésiter. Il se fait que je vais avoir besoin d'une escorte de Marseille à Aix dans les prochains jours. Je ne peux décemment, vu votre rang, vous demander pareille faveur. De surcroît, je ne vois pas bien non plus ce qu'une femme pourrait faire dans vos conversations, entre mon oncle et vous. Dès lors, je souhaiterais boire ce verre avec Messire Iskander, qui sera peut-être intéressé par cette mission de garde du corps. L'observe, visiblement affaibli. Euh, si son état de santé le permet.

N'ajoute rien. Elle a réfléchi à ses mots, le mieux possible en ces circonstances, afin de ne pas vexer l'oriental.
_________________
Vero5
Vent de Fer, Vent de soie un air balaye la place et des impressions divers la submerge, bousculée par des bribes éparses ses craintes s'estompe pour faire lieu a d'autre plus ténues plus sournoises, aimerait que ses vibrilles la laisse, qu'il a quitte parfois, qu'ils s'échouent et se brisent.

Prends conscience qu'elle a happé, qu'elle a entrainé ...qu'elle à encore son poignet dans sa main. Que l'acier ne sert a rien que le vent la porte a présent. Écoutant enfin les vrais mots résonnant venu du fond des ages, lâche enfin son emprise, laissant d'autres le prendre en mains à leurs façons.

Redeviens transparente et plane dans l'inconnu, s'éloigne de sa route et s'échoue, étourdi, épave. Se retrouve à genoux non loin de la scène. Regarde ses mains, ses outils...faire défaire, surveiller la fleur et veillant que les choses puissent reprendre le chemin.

Echec, Impuissance, Solitude
Un regard
Espoir


"Quand le mystère est trop impressionnant, on n'ose pas désobéir"

La main s'éveille libre et apprivoisée, à même la poussière lui indique du la ou son regard doit se porter...fluide le doigt dessine des lettres

I S K A N D E R

S'adosse au montant et le redresse doucement, juste pour que le regard s'élève un peu prends une feuille et esquisse à pleine main.... la vie.


_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)