Vaxilart
Les cris, les murmures, les paroles vaquait dans l'air enfumé d'une taverne de Chalon à intervalle régulier. Les serveuses sillonnaient entre la foule dense et caverneuse. Vu du dessus, le fond était indistinguable et s'y cachait sans doute moult trésor. Vaxilart était là, amarré au comptoir, les cheveux flottant soufflé par le souffle inégale des occupants. Attaché à son honneur détruit, à son état de noble, à son échec, à sa déprime, à sa honte, la sueur coulait sur son front. L'air chaud de la cheminé, des occupants qui ruminaient réchauffant un christ déchu.
Christos et Aristote, s'ils revenaient aux hommes seraient les premiers pendu. Ils avaient, et cela le Vicomte en était sûr, totallement raté leur cible. Ils avaient parlé de liberté, de connaissance, et savoir, et de Vérité. Naïf, tu y as cru! Foutaise, comment un peuple pourrait jamais se contenter d'idéaux? Le seul intérêt de cette masse inerte, déjà morte dans l'âme, déjà pourri dans la tête, était le gain. Ils ont suivie Christos pour ses miracles, ils ont suivie Christos car il leur donnait du pain! Mais Christos en quittant ce monde s'en était allé, et le pain divin avec! Donnez leur du pain! Et vous serez sain! Celui qui offrira du pain au peuple vaincra. Celui qui leur dira la vérité, celui qui croira aux idéaux, sera le premier renié par 3 fois, comme St-Pierre renia le Christ.
Il était personne, attaché au comptoir, tenant dans sa main sa choppe tel le crucifie d'un fervant croyant. Et comme lui, trahis, anéantis, il se l'enfonçait dans la gorge. Les yeux grands ouvert, Vaxilart ne pouvait s'empêcher de la fixer. Elle... était atteignable. L'eau les séparant était fluide, navigable. Elle était libre, libre, de faire tomber les hommes, de les mener à la mort. Lui, était amarré, attaché, bloqué. Je suis personne. La tempête purificatrice de la veille le glaçait encore. Il n'était pas celui qui en était sortit grandit, remercier des puissances. Il était celui qui en était puni, celui qui en sortait coupé en deux. Et désormais, plus jamais il ne pourrait se détacher de son mat qui l'amarrait. Pour lui commençait une odyssée, vers une mort certaine, les pactes couperaient son fil, et là seulement l'objet de son désir serait atteignable dans l'absolue... La vie est absurde! Hier je semais mon champs. T'as vue ma vache? AAAAtchouMMM! Je ne suis personne! Mais avant, il regarderait comme personne, même pas rusé, cette dame. Dangereuse, le teint vieillie par cette rage. Ô de Raôul, inatteignable désir, centre de soi, de son être, des êtres. Elle avancerait. Elle s'avançait. Elle avançait.
_________________
Christos et Aristote, s'ils revenaient aux hommes seraient les premiers pendu. Ils avaient, et cela le Vicomte en était sûr, totallement raté leur cible. Ils avaient parlé de liberté, de connaissance, et savoir, et de Vérité. Naïf, tu y as cru! Foutaise, comment un peuple pourrait jamais se contenter d'idéaux? Le seul intérêt de cette masse inerte, déjà morte dans l'âme, déjà pourri dans la tête, était le gain. Ils ont suivie Christos pour ses miracles, ils ont suivie Christos car il leur donnait du pain! Mais Christos en quittant ce monde s'en était allé, et le pain divin avec! Donnez leur du pain! Et vous serez sain! Celui qui offrira du pain au peuple vaincra. Celui qui leur dira la vérité, celui qui croira aux idéaux, sera le premier renié par 3 fois, comme St-Pierre renia le Christ.
Il était personne, attaché au comptoir, tenant dans sa main sa choppe tel le crucifie d'un fervant croyant. Et comme lui, trahis, anéantis, il se l'enfonçait dans la gorge. Les yeux grands ouvert, Vaxilart ne pouvait s'empêcher de la fixer. Elle... était atteignable. L'eau les séparant était fluide, navigable. Elle était libre, libre, de faire tomber les hommes, de les mener à la mort. Lui, était amarré, attaché, bloqué. Je suis personne. La tempête purificatrice de la veille le glaçait encore. Il n'était pas celui qui en était sortit grandit, remercier des puissances. Il était celui qui en était puni, celui qui en sortait coupé en deux. Et désormais, plus jamais il ne pourrait se détacher de son mat qui l'amarrait. Pour lui commençait une odyssée, vers une mort certaine, les pactes couperaient son fil, et là seulement l'objet de son désir serait atteignable dans l'absolue... La vie est absurde! Hier je semais mon champs. T'as vue ma vache? AAAAtchouMMM! Je ne suis personne! Mais avant, il regarderait comme personne, même pas rusé, cette dame. Dangereuse, le teint vieillie par cette rage. Ô de Raôul, inatteignable désir, centre de soi, de son être, des êtres. Elle avancerait. Elle s'avançait. Elle avançait.
_________________