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[RP] Eglise Saint Etienne de Sant Brieg.

Ftn_andenmarv
de" nouveau chez moi se dit ftn, en pénétrant dans l'église, il ne savait pourquoi, mais il n'allait chercher le repos de son âme qu'en sa bonne église de Saint Brieuc, sa mission était terminé et pendant cette dernière des combats avaient eut lieu aussi eut il une pensée pour ses compagnons tombés pendant son périple lui n'avait rien eut il ne pouvait que venir remercier Aristote d'avoir veillé sur lui

il s'installa, toujours à l'écart, et médita
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(clic sur la bannière, réservé aux ami(e)s uniquement et mes Suzerains^^)
Clemence_
Main dans la main, Clémence et Pimpom gravirent les marches de l'église. Ils poussèrent la lourde porte et entrèrent. L'église était magnifique, tout était calme et tranquille.

Ils s'approchèrent ensemble de l'autel ou se trouvait le curé qui était là en train de prier. Ne voulant pas le déranger, ils attendirent un peu, puis, comme le temps leur semblait long, Clémence se mit à toussoter pour attirer l'attention.

Le curé releva la tête et les regarda attentivement.

D'une petite voix, Clemence, jetant un oeil à Pimpom, dit :

Excusez nous mon père mais nous venons vous voir car nous désirerions nous faire baptiser et donc faire notre pastorale. Nous voudrions savoir quand nous pourrons commencer.....

Clemence sourit à Pimpom et attendit la réponse du curé....
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Pimpom
Il ne savait pas quoi dire . . . Clémence avait déja tout expliquer ou presque . . .
"Comprennez mon Père,on s'aime. . .Je l'aime . . . "

Il n'arrivait pas a dire autre chose . . . il l'aimait d'un amour incroyable et il tenait vraiment a aller jusqu'au bout . . .

"Je voudrais tellement qu'on soit baptiser à St Brieuc . . . Puis par la suite marier . . . "


Ils regarderent ensemble le curé qui n'avait pas prononcer un seul mot encore . . . Il avait sur son visage un sourire amusé . . . L'expérience sans doute . . .
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Esse quam videri (Etre plutot que paraitre)
Missanges
J’étais arrivée ce matin dans cette belle ville ou j’espérais y voir mes amis. Le temps de mettre Nuage à l’écurie, de faire un brin de toilette. Et me voilà partie dans les ruelles de la ville.

Le convoi pour la Provence auquel j’avais adhéré, n’avait finalement pas dépassé la ville d’Angers. Remontant tranquillou vers mon chez moi, mon cher Moulin qu devait m’attendre. Je prenais le temps de m’arrêter dans chaque ville profitant de mes amis, rencontrer d’autres personnes.

Que de rire en taverne, la Bretagne devait cumuler toutes les personnes les plus agréables.

Poussant la grande porte d’entrée, j’entrai dans le corps principal, avançant le long de la nef ancienne. Ma main se posant sur les rangées de chaises alignaient, mon regard parcourant cette grandeur. Dans un coin les chandelles vacillaient au gré des courants d’air.

La dernière fois que j’étais dans ce lieu, c’était pour célébrer le mariage de Mimi et Damien. J’avais hâte de les revoir et de descendre quelques verres en taverne avec eux. Une telle pensée dans ce lieu ! Bien ! Ce n’est pas un pêché, c’est juste rendre service…Faire marcher le commerce… Et puis derrière la sacristie… Hein ! Il y a le vin de messe…Ce n’est pas nous qu’on le boit tout de même….

Je choisis un banc pour faire une prière, m’agenouillant je récitais mon credo.


Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.
Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.
Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.
Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.
AMEN




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Chulada
Chulada entra dans l'église et alla prier devant l'autel. La charrette et les deux chevaux attendaient devant l'église mais elle voulait prier pour leur voyage à son époux adoré, ses enfants, sa sœur de cœur et sa fille et elle-même. Le voyage allait encore être long. Et les dangers surement pas loin. Chulada n'avait eu qu'un regret ne pas avoir pu assister à une messe dans la ville où elle avait tant vécu. La jeune femme se releva et après avoir allumé un cierge sorti de l'église qui sait pour combien de temps elle y remettrait les pieds. Elle retrouva son groupe et prit la route pour Rohan.
Madeline
Dimanche de mai, dimanche ensoleillé, dimanche endimanché.
Madeline de Blain se rend à l'église pour assister à l'office dominical en compagnie de sa fidèle Augustine pour qui, c'est tout les jours dimanche quand il s'agit de prier.

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Anguillerusee
Arzhel a écrit:
/SPAN>
Citation:
Nomination au sien du Diocèse de Rennes

Nous, Monseigneur Arzhel de Montfort-Toxandrie, Archevêque suffragant de Rennes, Baron de Menezalban et médaillé Grand Officier de l'ordre Sainte Kyrène,
Devant le Très-Haut et la Sainte Église Aristotélicienne,
Reconnaissons avoir ordonné Messire Hugo, aux charges de Diacre de Saint-Brieuc.

Conformément au Droit Canon, il pourra dorénavant officier l'intégralité des cérémonies, hormis l'ordination, à savoir les messes, les baptêmes, les mariages, les funérailles.
Il aura également à charge de veiller au maintien de la spiritualité au sein de la ville de Saint-Brieuc et à veiller sur les âmes.

Il reçoit de même le titre de prêtre de la Sainte Église Aristotélcienne et reçoit les vêtements sacerdotaux et le médaillon relatifs à sa charge et son statut.

D'al Lun 7 a viz Mezheven 1458
Monseigneur Arzhel de Montfort-Toxandrie,
Baron de Menezalban,
Médaillé Grand Officier de l'Ordre Sainte Kyrène



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David_le_charretier
Après une nuit trop courte David descend les marches de l’église. Sa bosse le fait souffrir après les longs voyages à travers les bois, ses premiers longs voyages, loin d'Agen sa ville de naissance, loin de sa famille.

La Croix du Christ est un repaire que le jeune vagabond utilise quand il arrive en pleine nuit dans les villes.
La rosée à rendue les pavés glissants, il arpente alors les rues des quartiers de Saint Brieuc, prudemment s’aidant de son bâton. La Grand-Place se présente à lui et quelques carrioles lourdement chargées de marchandises le croisent, les marchants se retournant ouvrent des yeux méfiant sur l’enfant et crient : « AU BOSSU ! AU BOSSU ! »

Au centre de la place se trouve la fontaine..... Il s'en approche et rit en voyant des pigeons prendre le bain matinal dans une flaque d'eau. La fontaine aux robinets de bronze crache avec force l'eau fraiche et limpide. Il s'en abreuve, s’assied sur la première marche et sort le pain auquel il applique d'un geste rapide la Bénédiction avec son couteau.

Ne gaspillant jamais la nourriture trop précieuse il jette toutefois quelques miettes aux volatiles qui font manège autour de lui. Il se privera oui, mais ces oiseaux sont comme lui, cherchant la générosité et la bonté d'une âme.
Se nourrir du pain qu'il a acheté le matin même à une boulangère aux habits élégants, un pain frais et croustillant aux senteurs de blé et de noix était pour lui une bénédiction du Seigneur. Il n'avait pas osé regarder le visage de celle qui lui tendait... Sa main crispée, retenant les écus pour ne pas les perdre, il les avait posé sur une petite planchette située à sa hauteur puis s'en est aller.


Claudiquant et déséquilibré par sa bosse il passe devant le Bureau des Voyageurs pour se présenter, puis retourne près des colonnes de la Maison de Dieu.


- Belles Dames et Damoiselles au bon cœur, un denier pour un bossu. Messires vous que Dieu à paré d'élégance, un écu pour un misérable vagabond... Dieu vous le rendra vous le savez bien.

Tendant sa petite main aux passants, il demande l'aumône, espérant récolter les deniers nécessaire pour le pain de demain.
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Missanges
Cela faisait maintenant sept jours, que j’étais à St Brieuc. Nekkron m’avait prêté quelques fois sa barque pour aller pêcher. Et j’avais entendu dire récemment qu’elle avait coulé. J’espérais de tout mon cœur ne pas en être la cause.

C’est que le rocher dont la barque avait malencontreusement caressé y était peut être pour quelque chose. J’avais bien vu de l’eau s’infiltrée par le fond mais elle était tellement rafraîchissante sur mes pieds que j’en avais omis d’en rapporter les faits.

Mes pensées se firent rêveuses tout à coup s’envolant vers la mer. Fermant les yeux je voyais une crique, le sable fin, les vagues, le bonheur quoi …

Les cloches de l’église ressentirent, me réveillant de mon état de béatitude. Je prenai soudain conscience que je depuis mon arrivée j’avais oublié l’église. C’était pourtant pour moi mon lieu de visite à chaque passage dans les villes de mes voyages. Trop de chose en ce moment mais aucune excuse seul Christo avait ce pouvoir.

Je pris rapidement le chemin de l’église. Se dressant imposante devant moi mes pieds se mirent à monter les marches. Une voix me fis tourner la tête

Belles Dames et Damoiselles au bon cœur, un denier pour un bossu. Messires vous que Dieu à paré d'élégance, un écu pour un misérable vagabond... Dieu vous le rendra vous le savez bien.

Mes yeux se portèrent sur une jeune personne dont je n’aurai pas su donner l’âge. Sa main était tendue pour récolter quelques piécettes sans doute au vu de son apparence pour manger.

M’immobilisant devant sa personne je me baissai pour être à sa hauteur. Mes yeux dans les siens je lui faisais un sourire.

Bonjour je m’appelle Missanges mais tout le monde me nomme Miss. J’avais envie de le tutoyer tant son regard était gentil mais en ce moment je recevais tellement de courriers cherchant la petite bête que cela en devenait usant et je ne savais plus trop comment parler.
Je choisis comme toujours l’élan de mon cœur.

Et toi comment te nomme tu ? Lui prenant la main je lui donnai quelques écus. Puis ouvrant ma besace je sortis du pain. Tiens il est frais de ce matin. Et comme j’avais le temps je m’assis à côté de lui pour discuter.
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David_le_charretier
David voyant une ombre s'approcher sourit puis tendit la main espérant récolter un denier. Une personne aux habits couleur de la pureté et les armes sur le côté s'approche de lui. Elle se baisse se mettant à son niveau. En premier lieu sans osé lever les yeux, il se rappelle son incursion dans une fête il y a quelques jours, où une dame aux mêmes habits l'avait croisé sans l'apercevoir... et ce parfum de fleurs d'oranger, de cannelle et de lavande qui arrivait tel une brise de septembre: Oui c'était bien elle.

Je m'appelle David belle dame, je viens de là-bas. Mes parents sont d'Agen. Il montre le Sud de son petit doigt maigrichon.

Elle lui prend doucement la main. Sa main est douce est fraiche comme l'eau des torrents en début de printemps, un contact qui lui donne alors un bien-être merveilleux. En une fraction de temps il eut en mémoire l'image de celle qui l'a mit au monde il y a dix longues années, il ne sait plus exactement.
Des écus tintent puis se retrouvent dans sa paume, un pain rond et chaud se glisse sur ses genoux.
Il relève le nez et fixe de ses yeux bruns la jeune personne en souriant.


Ooh votre seigneurie! Merci! Merci grandement pour ces présents! Que Dieu vous protège et vous accorde mille bénédictions. Je prierai pour vous et ceux que vous aimez.

Le mendiant pose son bâton à la vertical et avec un effort il se soulève et se met sur les genoux.
Pressant ses mains et croisant les doigts, il se met devant la damoiselle, quelques larmes glissants de ses yeux.Les mains tremblantes il se hâte de mettre les écus dans sa vieille bourse de cuir, cadeau de sa mère lors du départ de la maison familiale.

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Missanges
Ooh votre seigneurie! Merci! Merci grandement pour ces présents! Que Dieu vous protège et vous accorde mille bénédictions. Je prierai pour vous et ceux que vous aimez.

Je l’écoute, souriant à ces mots.

Je ne suis que Miss, et Dieu m’a Béni divinement lorsque j’ai été adopté. J’ai le père le plus fabuleux qui soit, ainsi qu’un frère et récemment une personne chère à mon cœur et venue compléter cette bénédiction.

Sortant un mouchoir de ma poche je lui essuyai ses larmes. Je le regardai me faire une prière. Puis ses mains glissèrent son argent dans une bourse légèrement usée. Assise à ses côtés je l’observai à la dérobée.
La pierre de la marche menant à l’église était froide. Un air léger venait jouer avec les mèches de mes cheveux. Mon regard se porta vers le ciel ou quelques nuages semblaient faire une course.

Passant ma langue sur mes lèvres devenues subitement sèches. Mes grands yeux verts se reportèrent sur David et je l’aidai à se relever.


Relève-toi David ne mets pas un genou à terre devant moi garde cela pour le seigneur.
Dis-moi ? As- tu pour dormir ce soir. Je ne suis pas de cette ville mais j’ai des amis qui ont une maison ici. Et sachant leur gentillesse tu pourras y passer la nuit.


Moi j’habite à St Pol un village tout près. Tu ne peux rater ma maison c’est un moulin et la porte est toujours ouverte. A l’étage il y a un lit pour les voyageurs tu peux t’y installer si tu le souhaites.
Mais en ce moment il est vide je suis ici et mon père est parti sur Angers pour une mission militaire.

Oui !Tu peux t’y installer si tu veux. C’est un moulin extraordinaire, de la fenêtre de ma chambre on y voit la mer et l’air à un parfum d’iode et de prunàvampi. Je souris en lui disant cela il ne devait pas connaître. Me penchant à son oreille lui murmurant… C’est une boisson de notre village.

Puis il y a l’odeur chaude du froment écrasé lorsque mon père fait sa farine. Et si tu sais écouter, tu peux entendre une mélodie lorsque les voiles sur les ailes se frottent selon la force du vent.

Fermant les yeux je revis ses quatre ailes tourner, comme il me manquait soudain.

Tu as de la famille ?

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David_le_charretier
L'enfant se découvre peu à peu, lentement il fait glisser sa capuche de ses cheveux qui laisse apparaitre alors des cicatrices rougeâtres sur son visage. Il la coince entre ses jambes et sourit bien mal à l'aise cependant.
Dévisageant la jeune personne, suivant son regard vers le ciel, David abandonne ses affaires à même le sol et s'empresse de partir en boitant dans la direction du marché
.

Espérant que la dame soit toujours là il se dépêche et revint avec un tesson de cruche cassée. Il remonte les quelques marches, essoufflé de cette course et tend le tesson en souriant.

Voila douce dame pour calmer l'ardeur du soleil sur votre peau et sur vos lèvres, je ne peux que vous donnez mes prières et l'eau de la fontaine qu'Elohim donne à satiété.

Il attend en baissant la tête peur d'avoir une réprimande pour ses paroles puis délivre quelques mots, les yeux rêveurs.

Oui votre seigneurie, j'ai père et mère, aussi frère et sœur répondant aux noms d'Adelin et de Séverine, mais voila longtemps que je ne les ai vu. Je ne sais s'ils se portent bien, je ne sais si j'aurai des nouvelles encore.
Ma mère voulait voir un jour le bout de la terre...


Il cherche maladroitement sous ses haillons et sort un plan usé, déchiré et montre un endroit. Il lit: B..B..est. Non B..rest. Je désire être ses yeux et revenir chez moi pour lui dire comment est la fin de la terre.

Pardonnez aussi mon audace, mais le temps est beau et clément, je dormirai sous les colonnes de la Sainte Eglise. La voute des cieux est si belle, parsemée de mille feux. Je m'endors ainsi, pensant à ceux que mon cœur aime.
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David_le_charretier
Heureusement l'ombre des colonnes s'étire lentement donnant un souffle d'air rafraichissant, pas encore assez frais mais permettant de respirer sans contrainte. La journée meure lentement donnant aux fleurs asséchées l'espoir d'une rosée bienfaisante.
Il n'a plus sentit ce parfum de l'autre jour. Une pensée vint à son esprit mettant dans ses yeux bruns un fin brouillard: "Pauvre David, les fleurs blanches des pommiers ne sont pas pour toi. Elles ne restent que peu de temps."


Passant vigoureusement sa manche sur son visage comme pour se réveiller et effacer ces perles qui coulent lentement, il décide, comme avant chaque départ d'une ville, d'aller à l'église prier pour les habitants.

La porte est entr'ouverte; l'abside est désert. Respirant à pleins poumons l'air frais qui se présente, il avance, plonge la main dans le bénitier, se signe dévotement puis avance en pénitent dans la nef et s'arrête au chœur devant Christos.

Ses mains agrippent le dossier du banc et fermant les yeux il s'unit avec le Chœur le temps d'une prière:

"Sanctus, Sanctus, Sanctus
Dominus Deus Sabaoth
Pleni sunt coeli et terra
Gloria tua
Hosanna in excelsis
Benedictus qui venit in nomine Domini
Hosanna in excelsis

Bénissez Seigneur la dame au bon Cœur ainsi que toutes les œuvres de ses mains.
Amen"


Il récite plusieurs fois la prière puis David se signe est recule lentement, le cœur plein de confiance et de reconnaissance. Demain il part vers le bout de la Terre.
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Gaby8
Gabrielle entra discrètement dans l'église et s'assit.

Depuis son arrivée à Saint Brieux, elle n'avait pas pris le temps de venir.
Cela faisait quelques jours qu'elle n'avait pas connue cette plénitude. Ce bien-être.

Elle ferma les yeux et savoura cette instant. Tout lui avait manqué, le silence, l'odeur des bougies...


Après quelques instants, elle alluma un cierge et pria. Elle embrassa sa bague.

A tout jamais mon amour...

Ce moment lui avait fait du bien. Elle ne se sentait plus seule.

Elle se rassit un court instant et sortit.
Missanges
Sa capuche glisse lentement de sa tête faisant dresser en l’air ses cheveux comme mu par une force mystérieuse. Le vent taquin d’aujourd’hui s’empresse de les agiter dans tous les sens. Je regarde souriant ce dénuement lorsque mon sourire se fige.

N’osant trop l’observer je remarque ces cicatrices sur son visage mon ventre se contracte. Ma stupeur passagère se dissipe au même instant une douleur en moi se fait vive. J’essaye de conserver mon de sang froid je ne veux pas le blesser davantage. Mais mon estomac fait éclore une colonie de vers qui gargouille douloureusement. Aspirant en frémissant une bouffée d’air j’ouvre la bouche pour lui parler. Mais claudiquant sur ses jambes, le voilà qui part subitement.

Je regarde ce petit bonhomme partir je ne comprends pas. Mon regard se porte sur son baluchon resté là sur la marche, je ne sais que penser. Puis une forme lointaine se rapproche et je le vois revenir tenant en ses mains un pichet.

Je l’écoute, émerveillée de sa gentillesse Je me relève et dépose mes lèvres sur sa joue faisant claquer un doux baiser. Merci David je ne crois pas avoir fais courir un garçon aussi vite que toi !

Attentive à ses paroles lorsqu’il me parle de ses parents mon regard parcourant le petit parchemin sortit de sa poche.

Brest ? Mais c’est à côté de chez moi David, j’y aie beaucoup d’amis. Puis je réalise soudain que Chu et Riebben sont partis et Pitch… Mais reste Sga et plein d’autres.

Entrons faire une prière, je lui prends sa main puis tous deux nous montons le peu de marche qu’il reste et je le laisse s’avancer dans l’église restant derrière lui je vois passer Gaby une jeune femme dont j’apprécie la compagnie et je récite une prière pour remercier Christo d’avoir mis sur ma route l’homme que j’aime et qui me donne tant de bonheur. Cet homme qui se nomme Nekkron.

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