[RP] Eglise Saint Etienne de Sant Brieg.

"Ca s'est bien passé finalement, malgré ton tract tu t'en es très bien tirée. Alors ça ne te donne pas des idées ?"

Heu ... des idées de quoi? De mariage? Ben, comme tu sais ... je devais ... mais il est encore parti sur son île .. pour longtemps!

"- Allez, tu peux me le dire à moi.... avoue que devant l'hotel,tu te voyais déjà mariée !! Rhoooo , levant les yeux au ciel, il n'y a pas de mal tu sais ? est-ce que tu as pu voir qui était ton futur ? hummmm alors ? alors ?"

Zakarine se mit à rire

Pu voir mon futur???

Aujourd'hui c'est la fête ! Pas de pensées tristes, hein? Allons à la réception voir s'il y a quelque chose d'intéressant à boire plutôt !
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Jub fondit en larmes , il etait tellement heureux pour sa fille.Il alla vers elle pour l'embrasser et serrer la poigné de son gendre , en les felicitant tout deux.
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Juben de Massilireizh

Niveaelle regarda Jj dans les yeux et dit ...

Je le veux...

Niveaelle embrasse follement son époux...Se retourna vers tous leur amis avec les yeux remplis de larmes de joie et un sourire plus radieux que jamais...

Niveaelle & Jj se dirigèrent tous deux vers la sortie...

Ils parlèrent tous les deux aux invité présents

La fète se déroule à coté les amis !

JJ tenait fier ment sa femme par le bras et répondait

aux félicitations de leur amis.

Il était encore ému, mais ne voulait pas le montrer.

Il les invitait à les suivre et se rendre vers la salle du banquet,

où ils pourraient se restaurer et s'abreuver et danser toute la nuit durant,

et même le jour suivant, s'ils le voulaient bien.

il embrassa de nouveau nive, puis ensemble se dirigèrent vers la salle ,

suivis par les nombreux invités pressés de festoyer.


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fäelivrin na nin hervess an-ui

mela fäelivrin të vín gwinig

Tout et toujours ensemble

Grunen et Bidulette avaient suivi la cérémonie avec émotion et intérêt. Un jour, ils seraient à la place des mariés.
Ils ne se privèrent pas de féliciter les nouveaux mariés et suivirent gentiment le mouvement de foule en se tenant l'un contre l'autre. Ils étaient heureux pour JJ et Nive.
Grunen se pencha alors vers Bidulette et lui murmura : toi aussi, tu auras une robe aussi belle, ma fée.

Ils prirent la direction de la salle des festivités. Le chouchen allait couler grave !
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- J'étais arriver sur place avec les trois autres gardes de nuit...

J'étais aller sur le coté de l'église avec un autre garde, les deux autres étaient restés devant l'église...Je suis tomber sur les vitraux cassés...

Une femme dont la maison est voisine de l'église est venue nous voir, elle nous a dit qu'un homme barbu se faufilait entre les maisons et qu'il a disparu dans une ruelle...

Le maire me regardait, il buvait mes paroles, cette affaire semblait l'énerver. Il me répondit.

- Bien, vous allez continuer la surveillance cette nuit.

Cela faisait quelques semaines qu'Elsie n'avait pas poussé la porte d'une église. Le besoin se faisant ressentir, la rousse s'y rendit sans attendre davantage, prit place devant la statue d'Aristote. Elle s'agenouilla, leva son regard vers le Très Haut, les yeux humides, les mains jointes, les doigts entrelacés si fort qu'ils blanchirent.

Les pensées de la jeune femme, ses prièrent se tournèrent vers celle grâce à qui elle était toujours de ce monde. Sa soeur de coeur se trouvait en ce moment face à ces maudites armées aveugles et sanguinaires, dénuées de tout scrupule ou quelconque conscience.

Elsie s'en remit au Très Haut, qu'il la protège son amie, qu'il prenne soin d'elle, comme elle même aurait aimé le faire. La jeune femme resta un long moment ainsi, occultant volontairement toute possibilité de la perdre, de ne jamais la revoir.

Desserrant progressivement l'étreinte de ses mains, dans un chuchotement inaudible, le regard toujours levé, elle fit une prière de remerciements pour les derniers jours, plus qu'heureux aux côtés de celui qui partageait désormais sa vie.

La rouquine apaisée se releva, se signa et remonta l'allée entre les bancs déserts. La main sur la poignée de la porte, prête à sortir, elle se retourna, adressa un dernier regard vers la statue, comme pour s'assurer d'avoir été entendue. Elle s'éclipsa alors, regagnant les rues plus animées du village.
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***************Les Doigts d'Or De Gloria Regni (RR, NK, SK)***************

A quand remontait la dernière fois qu'elle avait poussé les portes d'une église?
Elle avait beau réfléchir et penser que c'était inconvenant, Luaine n'avait pénétré dans un lieu sanctifié depuis Lyon, il y a de cela des dizaines de lunes.
La jeune femme voulait éviter la cohue du dimanche où les grenouilles de bénitier se pavanaient souvent et préféra le calme des vêpres pour se diriger vers le lieu sacré.

Une prière pour sa mère, une prière pour remercier la Sainte des causes perdues, pensait elle aussi à se faire confesser pour son crime en terre dauphinoise?
Surement.
Luaine était pieuse mais son église était surtout dans son coeur. Elle n'aimait pas porter sa foi comme on affiche un vulgaire pamphlet. Une petite croix était suspendue entre ses seins, bien caché.

L'église de Saint Brieuc lui faisait face. Les vêpres allaient sonner et Luaine poussa la porte imposante de la bâtisse. Elle remonta fin châle de dentelles pour couvrir sa tête et trempa le bout de ses doigts dans le bénitier incrusté dans le mur de pierre. Une légère courbette en se signant devant la statue accroché à l'autel puis elle franchit la travée centrale pour se rendre vers les premiers rangs un peu vide.
Luaine se sentit sereine comme toujours dans une église et s'agenouilla sur le prie-dieu, les mains l'une contre l'autre avec en leur milieu, un rosaire.
La jeune femme ferma les yeux pour trouver les mots et pria.

Une prière pour le repos de sa mère.
Une prière pour remercier la sainte des causes perdues pour avoir retrouver enfin la trace de son père.
Une prière pour demander à Christos de veiller sur elle et les gens qu'elle aime.
Une prière pour remercier ses amis Dionis et Khadgar et ses bienfaiteurs.

Un long moment de recueillement puis les cloches sonnèrent et ce son lourd et puissant pénétra en elle comme des l'onde de l'eau lors de ricochet.

Ses doléances et remerciements finies, Luaine ouvrit les yeux et chercha du regard un curé. Oserait elle expier sa faute?
Il ne pouvait en être autrement car elle portait cela sur la conscience depuis Lyon.
Une confession était nécessaire.

L'église semblait vide et calme.

Luaine se leva et chercha avec plus d'attention un homme d'église.
C'était bien sa veine, pour une fois qu'elle était décidée. Si il n'y avait personne, elle repartirait.
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La Mélie avait exprimé avec force mécontentement le travail que cela lui avait demandé de nettoyer tout le fourbi, il avait décidé de passer voir l'étendue des dégats..

Une jeune femme, qu'il n'avait jamais rencontrée, semblait attendre dans la nef.
- bonjour, je suis le recteur de cette paroisse, auriez vous besoin de quelque chose ?
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Luaine sursauta soudain comme ci elle avait été prise en flagrant délit, pourtant la conscience tranquille.
Un homme d'église se tenait en face d'elle alors qu'elle avait la tête tournée. Il était trop tard pour reculer.

Bonsoir...Mon père. Je cherchais justement quelqu'un.

Un homme d'église devant elle, très pieuse, Luaine avait presque l'impression de parler à Dieu directement. Un salut respectueux de la tête vint appuyé son bonsoir.
Sa voix devint presque audible dans ce lieu sacré. La résonance qu'il existait dans les églises la poussa à parler à voix basses pour ne pas déranger le peu de personnes qui priaient.

Je voudrais me confesser. Il y a t il un jour de confesse particulier?

"Pas Dimanche, pas Dimanche"... se dit elle dans sa caboche.
Trop de monde présent pour oser rentrer dans un confessionnal. Il fallait la discrétion d'un soir de vêpres pour cela.

Elle avait peur de la punition divine de n'avoir expier ses fautes depuis si longtemps.
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Le Vidame de Bretagne avait du faire le voyage de la capitale jusque Saint Brieuc. Il avait été prévenu que des gens irrespectueux envers l'Eglise Aristotélicienne avaient jeté des pierres au travers des vitraux de l'église de Saint Brieuc.

En tant que gouverneur militaire de la Garde Episcopale Bretonne, Monseigneur Killdragon avait pour fonction de défendre non seulement les prélats Bretons, mais également ses lieux Saints.

Agacé par ce manque de respect pour la foy Aristotélicienne, il s'était rendu accompagné de quelques Gardes Episcopaux jusque Saint Brieuc afin de garder son église et d'enquêster sur cette malencontreuse affaire. Il posta des Gardes dans des endroits stratégiques. Les autorités étaient prévenues et la Sainte Inquisition ne tarderait pas à l'être.
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Seblebeau qui attendait une reponse du curé depuis une semaine decida d'aller voir a l'eglise s'il ne s'y trouvait pas.... il ouvrit la grande porte qui grinça assez fort pour prevenir de son arrivée et entra...il se sentait tout p'tiot là dedans dans c'te grande masure!!

ohé!! y a quelqu'un?

Seb qui etait un peu enervé d'attendre se sentait un tout p'tit peu impressionné par le lieu..
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Les prunelles d'un vert ardent dans celles du curé en attendant sa réponse, Luaine n'avait pas fait attention aux gardes épiscopaux, ni aux vitraux cassés. Elle avait été prise dans la ferveur de sa prière et de chercher un homme d'église.

Elle attendait patiemment que le recteur lui réponde quand les portes de l'église se mirent à grincer. c'était un moment délicat l'entrée dans un lieu saint car même si on ne voulait déranger personne dans ses méditations, le bruit strident des gongs de la porte se faisaient entendre.

Luaine tourna instinctivement la tête sur un homme qui entra dans l'édifice religieux. Elle ne semblait pas reconnaitre cette homme un peu trop loin d'elle plus la brune se retourna sur le recteur pour sa réponse.

Soudain un "ohé!! y a quelqu'un?" résonna dans le lieu saint.
Luaine fronça les sourcils en regardant ce sacripant qui n'avait apparemment aucune manière. La bienséance dans une église voulait un minimum de calme et de méditation sauf les quelques jours de festes comme celle de mardi gras.
Les visages des quelques personnes présentes se tournèrent vers le nouvel arrivant dans des yeux furibonds.

Je crois que je ne suis pas seule à vous chercher. Mais certains ne le font pas de manière discrète. Vous semblez être un homme demandé.

Luaine sourit en coin au recteur attendant toujours sa réponse pour les confessions.
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