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[RP/IG] Eglise Notre-Dame de Loches

Miramaz
Mira ecoutait Zora finir la cérémonie quand elle vit l'abbesse devenir rouge , elle semblait suffoquer, finalement elle tomba au sol dans un grand fracas. Mira la regarda quelques secondes, tétanisée, puis se leva et courut vers elle..
Au début en murmurant puis de plus en plus fort elle répéta le nom de l'abbesse:

zora..Zora..Zora répondez moi..que vous arrive-t-il? ZORA?

Paniquée Mira approcha son oreille de la poitrine de Zora mais elle n'entendit rien..ni respiration ni battement de coeur.. ne sachant pas quoi faire elle regarda Tibetain toujours debout au meme endroit et lui cria d'aller chercher un médecin..elle ne savait meme pas s'il en restait un en ville..
_________________
Tibetain41
Aprés un long moment d'absence, Tibetain revient à lui. Tout hébété, il regarde autour de lui. Il ne voit personne. Il remarque quelques bancs en désordre. Il se dit que ce n'est pas cette fois ci qu'il sera baptisé. Il remet les bancs en place, s'isole sur le coté de la nef, s'agenouille et prie le Trés-Haut de prochainement lui accorder le baptéme. Tout à sa priére, il se demande ce qui a bien pu se passer.
Minlawa
Le Père Minlawa entra dans l'Eglise pour y nommé un nouveau diacre. Il avança vers l'autel et se retourna vers l'assemblée.

Que ceux qui vont être ordonnés diacres s'avancent

Il attendit de .levan. S'avance vers lui avant de reprendre.
pnj
Levan arriva, il s'avanca vers le prètre
Minlawa
Le Père Minlawa regarda les fidèles et prit la parole.

Ici présent devant nous, .levan..Il est un fervent fidèle de l'Église Aristotélicienne et de plus il souhaite devenir diacre. Son choix est murement réfléchie, il veut devenir diacre pour enrichir sa foi et pour venir en aide aux fidèles de Loches qui ne peuvent plus avoir de messe en l'absence de curé. De plus, il est un des nombreux séminaristes de Tours.

Maintenant, reprenons tous ensemble:



Citation:
Veni, creator, Spiritus,
Mentes tuorum visita,
Imple superna gratia
Quae tu creasti pectora.
Qui diceris Paraclitus,
Altissimi donum Dei.
Fons vivus, ignis, caritas
Et spiritalis unctio.
Tu septiformis munere,
Digitus paternae dexterae.
Tu rite promissum Patris,
Sermone ditans guttura.
Accende lumen sensibus
Infunde amorem cordibus,
Infirma nostri corporis
Virtute firmans perpeti.
Hostem repellas longius
Pacemque dones protinius;
Ductore sic te praevio
Vitemus omne noxium.
Per te sciamus da Patrem,
Noscamus atque Filium;
Teque utriusque Spiritum
Credamus omni tempore.
Deo Patri sit gloria,
Et Filio, qui a mortuis
Surrexit, ac Paraclito
In saeculorum saecula.
Amen.



Fils bien-aimé, avant d'être ordonné diacre, il convient que tu déclare devant l'assemblée ton intention de recevoir cette charge. Veux-tu être consacré à la diaconie de l'Église par l'imposition de mes mains et le don du Saint Esprit ?

Veux-tu accomplir ta fonction de diacre avec charité et simplicité de cœur, pour aider l'évêque et ses prêtres, et faire progresser le peuple aristotélicien ?

Veux-tue, garder le mystère de la foi dans une conscience pure, et proclamer cette foi par la parole et par tes actes, fidèles au Livre de Vertus et à la Tradition de l'Église ?


.levan. Tu t'engage donc :
A exercer la charité et l'accueil des plus pauvres,
A prier pour l'Église, son peuple et le monde.


Le Père Minlawa s'arrêta un petit moment, il regarda fixement .levan. Avant de reprendre.

.Levan., promets-tu de vivre en communion avec moi et mes successeurs, dans le respect et l'obéissance ?

Le Père attendit que le futur diacre réponde.
pnj


Le futur diacre reprit avec le prètre le texte :
Le futur diacre a écrit:

Veni, creator, Spiritus,
Mentes tuorum visita,
Imple superna gratia
Quae tu creasti pectora.
Qui diceris Paraclitus,
Altissimi donum Dei.
Fons vivus, ignis, caritas
Et spiritalis unctio.
Tu septiformis munere,
Digitus paternae dexterae.
Tu rite promissum Patris,
Sermone ditans guttura.
Accende lumen sensibus
Infunde amorem cordibus,
Infirma nostri corporis
Virtute firmans perpeti.
Hostem repellas longius
Pacemque dones protinius;
Ductore sic te praevio
Vitemus omne noxium.
Per te sciamus da Patrem,
Noscamus atque Filium;
Teque utriusque Spiritum
Credamus omni tempore.
Deo Patri sit gloria,
Et Filio, qui a mortuis
Surrexit, ac Paraclito
In saeculorum saecula.
Amen.


Puis il dit encore :

Je veux consacrer à la diaconie de l'Eglise par l'imposition de vos mains et le don du Saint Esprit.
Je veux accomplie la fonction de diacre avec charité et simplicité de coeur pour aider l'évêque et se prêtres, et faire progresser le peuple Aristotélicien.
Je veux garder le mystère de la foi dans une conscience pur, et proclamer cette foi par la parole et pas les actes, fidèles au Livre de Vertus et à la Tradition de l'Eglise.

Je promets de vivre en communion avec vous et vos successeurs dans le respect et l'obéissance.








Minlawa
Le Père Minlawa sourit en écoutant les réponses de l'ordonnant. Après un petit moment de pose il s'exclama.


Que le Très Haut protège cet homme des impures et fasse de lui/elle un de tes fidèles !
Que le très saint Aristote, insuffle la Raison dans ses pensées,
Que Notre Créateur le bénisse, car il/elle a choisi de servir à la diffusion de Sa parole !
Que le très saint Christos insuffle la paix dans son cœur et le guide comme il a guidé les Apôtres
Que cet homme/femme devienne le guide des croyants vers la paix, l’amour et le paradis solaire.
Par Christos qui consacra les Apôtres et par le pouvoir qu’il nous a transmis de perpétuer ce geste,
Moi Père Minlawa, je te nomme diacre pour que tu sois le relais de la vraie foi dans la communauté des fidèles.

Levan, avec l'accord de Mgr Marclancien, tu es nommé diacre pour la gloire du Créateur et de son Eglise terrestre. Désormais tout acte de blasphème fait contre toi serra une injure envers le Très Haut lui-même.



Maintenant, je te laisse la parole et prendre soin de tes nouveaux fidèles.
pnj


.Levan. sourit et prépara la messe :

Heu Mon frère, vous êtes le bienvenue à la messe :

.Levan. a écrit:


.Levan. était devenu diacre afin de célébrer à nouveau une messe dominicale.
Cela faisait un moment, qu'il n'y avait plus de cérémonie. Après le décés de l'abesse Zora_la_rousse, l'église était très calme.
.Levan. se préparait dans la sacristie. Il alla sonner les cloches de l'église.




.Levan. se dit que certains habitants se demanderont ce qu'il peut bien se passer à cette heure dans l'église qui était très calme.

.Levan. se rendit à l'autel afin d'accueillir les fidèles qui arrivaient.




Mes enfants,
C'est avec un grand plaisir que je vous accueil dans notre belle église de Notre Dame de Loches en ce dimanche 3 mai 1457 et je vous remercie d'ètre venu assister à la messe.

Commenþons, je vous pris, par la demande de pardon au Seigneur pour nos péchés.




Je vous invite à présent de réciter le crédo tel qui nous a été renseigné.



Je vais vous lire un passage de la vie de Saint Thomas.

/SPAN>
Saint Thomas a écrit:


Le miroir aux princes

Thomas se trouva donc au service du comte du Languedoc. Ce dernier venait chaque soir prendre conseil, soucieux qu'il était de conformer sa politique aux principes aristotéliciens, que Thomas semblait fort bien connaitre.

Un beau jour, le seigneur vint lui annoncer sa volontÚ de guerroyer contre un comté voisin. Ces pourceaux ont porté atteinte à mon honneur, je vais leur donner un bonne leçon, dit-il. Thomas exprima son désaccord en ces mots : Monseigneur, vous ne pouvez faire couler le sang des fidèles pareillement, pour une question qui ne touche qu'à votre honneur . Le comte fut mécontent, et demanda à Thomas quelle était la raison de ce démenti. Thomas lui répondit ainsi : Avec tout le respect d à votre rang, il faut que vous sachiez que votre glaive ne peut être sorti de son fourreau que sur injonction de l'Eglise, au moins avec sa bénédiction.

Le comte ne partageait nullement cette position, et le fit savoir ainsi : Mais je suis un prince. En cela, je fais comme bon me semble. Tu m'avais dit tant et qu'il fallait bien distinguer ce qui est de la sphère spirituelle, de ce qui est de la sphère temporelle, n'est-il pas ? Voilà bien, la guerre entre comtés, une chose qui échappe à l'esprit. Il n'y a rien de plus terrestre. Thomas lui répondit : Certes, Monseigneur. Mais cela ne signifie pas que les deux sphères soient sur un pied d'égalité. Tout pouvoir vient de Dieu par le peuple. L'autorité temporelle n'est autonome qu'autant qu'elle conserve ce principe en mémoire. Elle ne peut donc gouverner que dans le respect de la norme qui la fonde, par là même avec l'assentiment de l'Eglise. Elle doit conformer ses actions aux opinions du clergé, et en particulier à celle de sa Sainteté le Pape, souverain de tous les souverains .

Le comte n'appréciait que moyennement ces propos, et le fit savoir à Thomas : Ce que tu dis est faux. Je tiens mon pouvoir du peuple, certes, mais avant tout du roy qui est mon suzerain. L'Eglise n'a rien à voir là dedans. Je veux bien qu'elle me conseille, comme tu le fais, mais qu'elle m'impose, jamais ! Mortecouille !. Thomas ne se démontait point, et rétorqua au seigneur : Le roy tient aussi son pouvoir de Dieu. Et comme le peuple ne fait qu'exaucer la volonté de Dieu en vous plaþant sur votre trône, votre pouvoir est de nature divine par le haut et par le bas. Le glaive que vous brandissez vous est confié par Dieu, certes pas directement, mais Dieu étant la cause première de toutes les causes et de tous les effets, nul doute qu'il est aussi la cause de votre autorité. Or, l'Eglise étant dépositaire de la parole divine, vous devez lui obéir. C'est ainsi, à moins que vous ne vous rabaissiez à la condition de tyran.

Le comte, dans sa colère, eut ces mots : Et quand bien même je serais tyran ! Je doute que Dieu me foudroie sur l'instant. Et Thomas de conclure : Certes, non. Mais vous seriez précipité en enfer par le peuple révolté. Si un titulaire du pouvoir se fait tyran, l'Eglise doit appeler celui qui lui a confiéson pouvoir, c'est à dire le peuple, à se soulever contre lui et à cliquer sur l'option de prendre d'assaut le château, autrement dit à accomplir la volonté de Dieu.

Le comte en eut assez de discutailler, et saisit Thomas par le col, afin de le jeter hors de son château. Tu n'es qu'un piètre conseiller. J'en trouverai un autre. Par ma foi, tu es un boulet ! .

Et Thomas de se retrouver, une fois encore, dans l'errance.


Le pouvoir des grands hommes, quand ils contrôlent les armes, est puissant. Il est nécessaire pour garantir l'ordre et la paix, pour protéger le bon peuple qui ne sait manier les armes. Il est nécessaire d'avoir des hommes puissants comme nous en sommes entourés pour nous laisser le temps de travailler pour notre pain de tous les jours, et ne pas nous inquiéter de notre sécurité du lendemain.
Mais prenons garde à cette puissance!


.Levan. fit un effet de manche plutôt réussi pour appuyer son propos.

La créature Sans Nom sait se servir de ces doses de sentiment de puissance pour inciter les hommes trop faibles et trop éloignés du Très-Haut pour les faire plonger dans les vices de l'orgueil, de la colère, et de l'envie, qui conduisent ces hommes à se croire tout permis!
Vous, fidèles, croyants, vous devez être auprès de ces hommes pour leur rappeler qu'ils sont garants de votre protection, et vous doivent le respect en ne prenant pas de risques inconsidérés qui pourraient mener nos vies au calvaire.


Le diacre reprit sa respiration et remit ses manches en place.

A présent, célébrons ensemble l'amitié Aristotélicienne.



Lorsque tout les fidèles eurent communier, le diacre se dirigea à nouveau vers l'autel afin d'annoncer aux villageois que la messe était terminé.



Pour les annonces, contactez moi par pigeon pour une confession ou pour un baptème ou encore pour un mariage ou un décés.
Saint Thomas a écrit:




































Tibetain41
Le coeur léger, remplit d'un espoir nouveau, je pénétrai dans l'édifice sacré. Le calme régne. La nef est déserte. J'en profite pour m'agenouiller dans un coin et je prie.

Le chemin avait été long et éprouvant. La récompense n'en sera que meilleure. Je l'aurai vendredi. La ténacité était-elle une caractéristique indipensable pour rejoindre la grande Famille Aristotélicienne? si tel était le cas, j'ai cette caractéristique.
pnj


.Levan. arriva et prépara la messe

.Levan. a écrit:


.Levan. Était la pour célébrer maintenant sa deuxième messe dominical mais il espérait qu‘il y aurait plus de monde.
Cela faisait un moment, qu'il n'y avait plus eu de monde dans l‘Eglise.
.Levan. se préparait dans la sacristie. Il alla sonner les cloches de l'église.




.Levan. se rendit à l'autel afin d'accueillir les fidèles qui arrivaient.



Mes enfants,
C'est avec un grand plaisir que je vous accueil dans notre belle église de Notre Dame de Loches en ce mercredi 6 mai 1457 et je vous remercie d'être venu assister à la messe.

Il accueillit de suite la chorale pour chanter



clike gauche sur l'image, et vous aurez la musique qui accompagne les paroles.


Commençons, je vous pris, par la demande de pardon au Seigneur pour nos péchés.



Je vous invite à présent de réciter le crédo tel qui nous a été renseigné.



Je vais vous lire un passage de la vie de Saint Thomas.



/SPAN>
Saint Thomas a écrit:



Passage du Livre des Vertus

Alors, l’homme et la femme frappèrent leurs frères et leurs soeurs. Prenant couteau et hache en main, chacun frappa l’autre en une tempête de violence et de destruction. Ils venait d’inventer la guerre, qui atteignit son paroxysme lorsque chacun se mit à brûler la maison et à dévaster les champs de l’autre. La Créature Sans Nom vint à nouveau près de ceux qui l’écoutaient et leur dit que la violence et la haine leur permettrait dorénavant de dominer leur prochain.

L’homme prit alors la femme et la femme prit l’homme. Le fort abusa du faible et le faible subit le fort. Tous s’unirent en une orgie bestiale de stupre et de violence. Leurs corps mêlés reflétaient les flammes des maisons qui brûlaient. La nourriture était dévorée, la boisson engloutie. Les paroles suaves encourageaient les gestes indécents. Une véritable orgie de débauche avait lieu. Et de l’amour de Dieu il ne fut plus question.


Dans ce passage du livre des Vertus, il nous est rappelé que l’Homme peut se laisser aller au péché et à la destruction. Nous avons là un passage ou les enfants de Dieu se laissent aller écouter la créature qui n’est pas nommée. Ils tombent dans le péché, ils oublient qu’ils doivent être Amour et tendre la main. Ils ont même l’arrogance de vouloir dominer autrui. Souvenez-vous d’Oane par qui nous sommes devenus les enfants de Dieu, il a bien indiqué que nous devions être amour et surtout ne pas imposer notre domination. Les hommes en oublient le message délivré : Aimons-nous, respectons-nous.

J’espère que vous entendrez là le message du Très-Haut.

A présent, célébrons ensemble l'amitié Aristotélicienne.




Lorsque tout les fidèles eurent communier, le diacre se dirigea à nouveau vers l'autel afin d'annoncer aux villageois que la messe était terminé.



Pour les annonces, contactez moi par pigeon pour une confession ou pour un baptème ou encore pour un mariage ou un décés.

Baptème de Tibetain41 ce vendredi 8 mai 1457 à 5 heure 30.
La prochaine messe sera célébré ce dimanche 10 mai à 10 heure voire 11 heure.
Saint Thomas a écrit:
























Tibetain41
Emerveillé par la cérémonie, je me dirige vers notre diacre .Levan.

Félicitations, c'était une bien belle cérémonie. Quel plaisir de voir ce lieu à nouveau utilisé. Encore merci.

Une fois tous les fidéles sortis, je m'emploie à remettre de l'ordre. Je me dis qu'un bon nettoyage est nécessaire.

Eh puis il faudra remettre des fleurs.

J'ai parlé à voix haute. Il n'y a que le Trés Haut qui m'a entendu.
pnj
Lylilouan toujours en vadrouille dans Loches, passa devant l'église....elle gravit le parvis , et entra dans l'église.....
Premier pas dans ce lieu sacré......elle aperçu un messire qui était attentionner a faire son nettoyage, elle s'installa donc au fond de l'église, s'asseya sur un banc et ferma les yeux pour prier et pour retrouver toute quiètude.....
Tibetain41
Je suis d'excellente humeur. C'est le jour. Tant attendu. Le grand jour!
Je monte le parvis, pousse les portes. La nef est devant moi, vide. Mes pas résonnent. Aprés un instant de recueillement je me mets au travail. Ordre et méthode. D'abord, enlever les fleurs fanées, vider l'eau des pots. Puis, ranger les livres, les bancs. Aprés, un bon coup de balai. Enfin, remettre des fleurs et de l'eau dans les pots. Cà va m'occuper une bonne partie de la journée. Je souhaite que mes amis pensent à moi et viennent m'aider.

Une derniére priére, et au boulot!
Miramaz
Mira apres un passage en taverne , décida de passer a l'Eglise pour la preparer pour le bapteme de son filleule. En chemin elle rammassa de jolies fleurs qui sentaient bon ,un peu de branches vertes pour faire jolie puis poussa la porte de l'Eglise.
A cause du contraste entre la jolie matinée ensoleillée et le sombre calme de l'eglise, elle ne vit tout d'abord rien, puis quand ces yeux s'habituerent elle finit par apercevoir une silhouette qui semblait affairée.
Mira s'approcha et reconnut Tib, elle posa ses fleurs sur un banc, s'approcha sans bruit, lui mit les mains sur les yeux en souriant et dis:


Alors Prêt pour ce soir? Pas trop peur de rentrer dans la grande famille Aristotélicienne?

En attendant sa reponse elle disposa ses fleurs autour de l'autel
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Tibetain41
Des pas dans mon dos.Je n'ai pas le temps de me retourner. Des mains sur mes yeux. Miramaz! Je savais que je pourrai compter sur elle pour m'aider à préparer l'église pour la cérémonie.

Trés chére marraine, tu as bien vu que mon calme n'était qu'apparent. Mais si je suis inquiet, ce n'est point de rejoindre la grande famille Aristotélicienne. J'attends ce moment depuis bien longtemps. Non, ce qui m'angoisse un peu, c'est que c'est la 3émé fois que nous nous retrouvons pour célébrer mon baptéme. Par 2 fois, la cérémonie a été interrompue par un décés. La superstition n'est point un sentiment qui habite mon esprit, mais comprend bien que je serai totalement rassuré une fois l'acte consacré.

Sur ces paroles, je la rejoins pour terminer les préparatifs. Il est vrai que sa présence me rassure. J'adresse une priére silencieuse vers le Trés Haut. Je ne pense pas qu'il éprouvera, une fois de plus, ma détermination à vouloir rejoindre la grande famille d'Aristote.
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