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[RP/IG] Eglise Notre-Dame de Loches

--Sacristain
Le sacristain vint ranger l'intérieur de la belle église de Loches,
prépara tout ce qu'il fallait pour le prochain office.

Un bon moment passa, il alla se préparer pour sonner les cloches.

Rhiana
Rhiana arriva très tôt à l'Eglise
Elle entra, se signa et prit place sur un prieur, et plongea dans la prière en attendant le debut de l'office

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--Sacristain
Le sacristain commença à sonner les cloches, quand il vit arriver Alberius.
Lui Alberius alla à la sacristie pour se mettre en tenue et préparer l’office.



((((DING)))) ((((DANG)))) ((((DONG))))
Alberius
Bonjour à vous tous, mes frères et sœurs.

Vous êtes nombreux aujourd’hui dans la maison de Dieu.

Proclamons tous ensemble votre foi en récitant le credo :




Prions pour tous ceux qui sont dans le besoin ou dans la peine.

Mais plus encore prions pour ceux que nous n’avons pas encore retrouvés, pour ceux que la guerre a emportés, pour ceux qui sont frappés dans leur chair et dans leur cœur.

Prions le Très Haut.


Toute la foule se plongea dans la prière, le silence était profond, entrecoupé des pleurs de jeunes enfants et des « chut » de leurs parents.
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Rhiana
Rhiana écouta attentivement l'office et récita le credo


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Karl06
Karl entra dans l'église, il se signa;
il vint se placer à côté de son épouse.
un petit peu en retard il récita le credo a la suite de l'officiant

Citation:
Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN
[/img]
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Shanaelle
Shanaelle avait promis à Alberius d'aller à la messe , elle avait flané dans les rues du village et avait manqué le début de l'office elle pénétra discrétement dans l'église se signa et se mit a réciter le credo


Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN

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Alberius
Chacun de nous a péché ces derniers jours. Nous demanderons donc pardon pour tout le mal commis. Répétez bien après moi:

Je confesse à Dieu Tout-Puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.


Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.



Toute la foule se plongea dans la prière, le silence était profond, entrecoupé des pleurs de jeunes enfants et des « chut » de leurs parents.
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Rhiana
Rhiana écouta Albérius, une glissant dans celle de son époux, un sourire échangé avec Karl
Sourire au enfants près de leur parents, l'avenir de notre village pensa t-elle

puis d'une voie clair demanda pardon



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Alberius
Alberius monta en chaire pour y lire un extrait du Livre des vertus




Citation:
Aristote : "Une cité idéale, parfaite, où tous vivaient en une fabuleuse harmonie. L’équilibre y était si solide que nul n’aurait pu le rompre, pas même la venue d’un étranger comme je l’étais dans mon imaginaire. J’y ai fait intrusion, y ait importé mes mœurs, que je dirais à présent corrompues, mais j’y ai été accueilli comme un frère."
Sargas : "Quels étaient ses principes, maîtres ?"
Aristote : "Cette cité est organisée selon le principe de trois cercles concentriques, ou trois classes de citoyens si tu préfères.
Je commencerai par te décrire ce qui constitue la plus basse de ces classes, à savoir celle des producteurs, la classe d’airain. Ils constituent la majorité, et vivent paisiblement de la culture de leurs champs et de l’élevage de leurs bêtes. Ils prennent ce qui est nécessaire à leur subsistance, et à celle de leurs familles, dans leur propre production, et donnent le reste aux classes supérieures. Si ces hommes constituent la base de la cité, leur sort est cependant enviable. Ils connaissent les joies de la tranquillité, d’une existence simple au service de la collectivité. Ils s’adonnent à l’activité physique qu’exige un travail régulier, et qui maintient leur corps en condition, meublent leur temps libre par la contemplation des choses de la nature, par l’éducation des enfants que ces gens là placent en très haute considération, et par la prière, adressant leurs louanges à Dieu qui leur a donné les plaisirs dont ils sont bénéficiaires.
La seconde classe de citoyens, la classe d’argent, est celle des gardiens, des soldats. Ceux là sont autorisés à l’oisiveté, et profitent, en temps de paix, d’une subsistance gratuite qui leur est fournie par les producteurs. Ils philosophent, admirent eux aussi les bienfaits de la nature, s’instruisent quel que soit leur âge, s’entraînent au maniement des armes. En temps de guerre, ils se font les plus fervents défenseurs de la cité. Leur courage n’a pas d’égal, et ils donneraient leur vie, sans hésitation, pour la conservation de la communauté, ou pour défendre leur foy qu’ils placent en très haute estime. Et au retour des combats, ils sont accueillis comme des héros. On dépose sur leurs têtes des couronnes de lauriers, on les traite comme des princes, et de fabuleux festins sont tenus en leur honneur. Ils sont portés en triomphe par le peuple, et aimés par les femmes.
La troisième classe de citoyens est celle des philosophes rois, la classe d’or. Ceux là sont les plus anciens, recrutés parmi les gardiens qui se sont montrés les plus braves, les plus aptes au commandement, et les plus doués en matière de philosophie. Leur seul bien est la raison, car ils sont délivrés de leurs possessions terrestres. Leur foy en Dieu est leur seule arme. Ils s’illustrent par la pratique des vertus de la manière la plus parfaite. Ils sont un exemple pour tous, et le peuple est heureux de sacrifier un peu de sa propriété pour assurer la survie de ses maîtres. Les philosophes rois constituent le gouvernement de la cité. Ils décident collégialement de ses destinées. Ils sont également les ministres du culte rendu au Tout-Puissant, et là réside leur légitimité. On tient leur pouvoir comme inspiré par le Très-Haut, de part leur condition de prêtres. Ils organisent l’ensemble de la cité, planifient la production, rendent la justice, et légifèrent."



Il referma son livre dans un bruit sourd, et prit une profonde respiration.

Voilà le songe que fit un jour Aristote à propos d'une cité merveilleuse où tous vivent dans le bonheur, la foi et le respect, peu importe la classe. Pourtant ce songe n'est pas si lointain. En fait, il n'est qu'à un coup de bêche, une prière, un sourire, un don... Cet idéal enviable est pourtant bloqué en notre cité par l'envie, l'orgueil... Ces paysans qui regardent les riches avec envie, ces riches qui ne posent jamais le regard sur les paysans, trop orgueilleux pour daigner porter respect à la base de notre société.

Que manque-t-il au paysan pour être heureux? La foi le guide, l'amour le porte, le travail le nourrit et l'occupe. Sa proximité de la nature le rapproche de la Création où il peut se complaire à réfléchir sur le sens de l'existence, la nature de Dieu et le rôle de l'humanité. Le voilà comblé de bénéfices et dépourvus d'artifices. Vous avez compris qu'il ne manque donc une chose au paysan pour connaître le bonheur, la conscience. Qui d'entre-vous ne réalise un tant soit peu la chance qu'il possède d'être enfant de Dieu et d'être au service de notre communauté prenant assise sur votre travail?

Et vous, fortunés, avez-vous donc déjà oublié que vous avez aussi traient, que vous avez vous aussi connu la sensation de la terre labourée sous vos pas? Les légumes que vous consommés aujourd'hui ne sont rien d'autre que le produit de ces gens que vous ne daignés jeter un regard. Que l'éducation que vous recevez ce jour est permis par le travail constant de ces paysans.

La société est l'œuvre de Dieu donné aux humains. Nous avons donc le devoir de veiller à son bon fonctionnement avec foi et courage.


Alberius descendit de chaire et retourna derrière l'autel.
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Alberius
Partageons à présent le pain, symbole de notre communion

Alberius morcela le pain et en tendit à un morceau à tous les fidèles.



Puisse la Lumière guider vos pas en ces prochains jours et que ma parole devienne la votre.



Je vous souhaite une bonne journée.

Alberius rangea le nécessaire et alla parmi les fidèles sur le parvis pour discuter avec les fidèles sur le parvis.
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Shanaelle
Shanaelle fut ravie d'avoir assisté a l'office du dimanche , Alberius avait fait une jolie messe , certes elle s'était un peu perdue dans ses pensées durant l'office mais heureuse d'y être allée , elle se devait de parler à Alberius , car elle avait découvert des choses de son passé qui laisserait à penser qu'il est son frére , elle n'en avait pas l'absolue conviction , mais ses nombreuses recherches l'avait conduite à Loches .
Elle ne savait trop comment aborder le sujet avec lui , la sortie de la messe n'était guére le lieu idéal pour parler de choses aussi importantes , aussi elle laisserait passer un peu de temps avant de lui faire part de ses découvertes du passé , qui plus est ses informations étaient peut être fausses et elle n'avait pas envie d'être déçue de suite .
Elle le salua et prit le chemin du village .

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--Sacristain
Le Sacristain avait entendu Alberius rentrer très tard, et lui même s'était rendormie ce matin, et OHHHHHHHHHHHHHH, horreur, l'heure était déjà bien avançée, il se leva en vitesse et alla vite fait à l'église pour sonner les cloches et avertir le Diacre que l'heure de la messe était dépassée.


Alberius
Alberius arrivant en courant, s'habilla en vitesse et s'installa à l'entrée pour accueillir chaque paroissien.


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Alberius
Alberius rejoignit l'Autel, déçu de constater que son Eglise était désertée.


Bonjour à vous tous,
Soyez les bienvenus pour la messe dominicale dans la maison de Dieu.
Aujourd'hui nous allons parler du libre arbitre.
Puis nous allons communier en partageant l’hostie en signe de fraternité.

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