[RP/IG] Eglise Notre-Dame de Loches

Nous, La curie romaine autorité suprême par la grâce de Dieu, déclarons et définissons par la présente:

Chapitre premier: La Révélation divine. Les deux sources de la Foi.

La Sainte Trinité toute puissante, qui a crée l'homme et toute la nature dans un mouvement de Son Amour infini, n'a pas voulu que cet homme soit abandonné aux ténèbres de l'erreur. c'est pourquoi Dieu tout puissant s'est révélé aux hommes.
Il s'est révélé tout d'abord dans la doctrine lumineuse et les enseignements d'Aristote, doctrine dont l'équilibre annonçait de manière prophétique l'Enseignement de la Lumière aux hommes par le Christ Notre Seigneur.
L'union de ces deux enseignements donna naissance à la Sainte et Immuable Eglise Aristotélicienne.

Chapitre deuxième: harmonie de la Foi et de la Raison:

Nous croyons fermement que la Vérité est une, et que la Révélation du Christ s'harmonise avec la saine intelligence de la nature et de l'âme humaine que nous trouvons dans la Doctrine d'Aristote. Foi et Raison sont comme les deux facettes d'une même réalité. Cette vérité constitue donc un seul ensemble harmonieux d'une grande beauté, ensemble qui est comme le reflet de la beauté sublime de l'union harmonieuse des trois Personnes Divines de la Sainte Trinité. Par Aristote, emblème de la Raison, les pauvres d'esprits apprendront la science, et par le Christ, porteur de la Foi, les savants progresseront dans la sagesse et dans la piété.
Car la pureté de la Foi dépend de la pureté des idées. Et sans la Foi les idées sont vaines. L'équilibre divin trouve là son fondement.

L'étude de la philosophie et de la théologie doit être développée dans cet esprit d'union, et les théologiens seront conscient que de la beauté et la pureté de leur doctrine découlera l'image que les fidèles se feront de la beauté même de Dieu.
Ainsi les Livres Saints de la Révélation du Christ et ceux de la Révélation du Logos écrits par Aristote devront être lus de concert et se complètent mutuellement.

Chapitre troisième: Des idées dans l'Eglise.

Cet équilibre et cette harmonie de la Foi se retrouve dans les membres de l'Eglise Aristotélicienne: certains, mystiques par essence, cherchent dans l'imitation du Christ la voie de la connaissance. Leurs idées les mènent dans les sphères de l'absolu, en contact direct avec la divinité. Ce sont eux qui tiennent pour vraies les idées suivantes:

1) Les choses sont des copies des Idées.
2) La beauté sensible est une image de la Beauté éternelle que l'âme a toujours déjà contemplée.
3) Le bonheur est une forme de contemplation, que le sage doit s'efforcer d'atteindre.
4) La métaphysique est la science des causes premières.

D'autres par contre, confiants en la raison, ont pour maitre Aristote et suivent sur ses traces la connaissance de la vérité par le raisonnement, avec comme fondement de leur Foi les idées suivantes:

1) L'essence des choses est dans les choses-mêmes, et leur donne forme.
2) La beauté résulte de certaines proportions et de certaines mesures et rythmes harmonieux.
3) L'homme sage doit participer à la vie de la cité.
4) La métaphysique est la science de ce qui est, en tant qu'il est : de l'étant en tant qu'étant.

Chaque croyant participe plus ou moins de chacun de ces groupes, mais tous oeuvrent d'un seul coeur à la gloire de l'Eglise et à l'amour de Dieu.

Chapitre quatrième: Le pouvoir d'interprétation de l'Eglise.

La Sainte et Immuable Eglise Aristotélicienne est seule qualifiée pour interpreter l'enseignement divin. C'est le Souverain Pontife lui seul, avec ou sans consultation des évêques de l'univers Aristotélicien, qui fixe la doctrine de l'Eglise. Toutefois il aura garde du dépot de la Foi, et il devra le conserver avec soin et déférence, sans rien changer d'essentiel dans ce que ses prédecesseurs auront institués dans le dogme, suivant en cela les inspirations de l'Esprit de Vérité. Il veillera ainsi en bon pasteur au maintien de l'unité de la Foi, de l'harmonie de la doctrine, et la concorde des croyants.

Qu' attendez-vous de moi, archevêque? lança-t-il en ayant conscience des résonnances qu' avait sa voix sur la pierre.

Et il attendit une réponse, espérant au fond de lui un rôle à jouer, espérant que l' on demanderait son engagement.

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Félicitations d'être entré en ces murs, et d'admirer la beauté de ce lieu.
Vous y sentez-vous bien?
Si oui, vous pourrez très bien répondre à votre question.
Quel est le déisr qui s'exprime en votre fort intérieur?

Je suppose que c'est votre jeunesse et votre fougue qui vous font vous exprimer ainsi en cet instant.
Le comportement déplaisant de certains, d'après votre appréciation, ne doit pas vous conduire à condamner l'ensemble.
Des cas isolés ont toujours existé, mais n'en faites pas une généralité.

HRP: Non bibineloden ne parlait pas de moi. Arrête de me citer à tout va, si tu veux dire que tu t'es emporté ne mets pas de "nous".

de quoi parlez-vous?du comportement de qui?

Dites moi Monseigneur, avez vous reçu des candidatures pour devenir curé de notre paroisse?

J'ai hâte que nous organisions des scéances de compréhension de la Bible, et je sais que votre évêché vous prend beaucoup de temps.

Nomination de Dame Zora_la_rousse
au poste de Diaconesse de Loches.

Suite à son désir de servir notre Église plus concrètement,
Nous, Poltau, Archevêque Métropolitain de Tours,
devant le Très Haut et sous le regard d’Aristote,

Attribuons la Charge de Diaconesse de la Paroisse de Loches
A Dame Zora_la_rousse.

Elle aura donc le droit de dispenser les Messes, Baptêmes, Mariages et Enterrements.

Que le Très-Haut l'accompagne dans sa tâche !

Fait à Loches,
le 1er février de l'an 1457.

Lochoises, Lochoies,
Bonjour, je suis soeur Zora,
votre nouvelle Diaconesse, désormais ce sera moi qui m'occupera de la paroisse et des affaires religieuses de Loches.

Afin de pouvoir gérer aux mieux les Messes, Baptêmes, Mariages et Enterrements, je vous prie de bien vouloir en faire la demande à Monseigneur Poltau et de m'adresser une copie.

Pour m'aider aux tâches coutumières de la paroisse, je recherche 2 Accolytes. Notre église nécessite de la motivation et du don de soi. Les critères requis sont la croyance en notre Sainte Mère l'Eglise Aristotélicienne et être vagabond ou paysan résidant à Loches depuis plus d'un mois.

Merci à tous et toutes du bon accueil que vous me ferez en ces lieux.
Plus particulièrement, je tenais à remercier du fond du coeur le conseil municipale de Loches pour son trés chaleureux accueil à la mairie. Cet accueil fut si intense en émotion, que monsieur le maire (P3) m'en a esclu de mon ancien poste de conseillé. Que notre Seigneur, dans sa grande Générosité lui pardonne. Amen.

Que Dieu vous bénisse.

Annonce de l'Archevêque

Loches, le 14 février 1457.

Mes Enfants,

Vous le savez, dans chaque ville, il faut un Curé et deux Diacres, afin que la foi Aristotélicienne soit vraiment présente.
De plus, cela vous permet de vous faire baptiser, de vous marier, et d'avoir conseils auprès des Clercs qui sont présents et à votre écoute.

Pour devenir Curé, il faut être Théologien, cela demande beaucoup d'effort.
Sans Curé (ou Abbesse pour le féminin), pas de messe In Gratibus (IG).

Régulièrement, les Clercs, donc vos Diacres et Curés, aident les plus démunies, de leurs propres deniers.

Pour tout cela, je fais appel à vous, à vos dons.

Vos dons alimenterons une caisse, que je me charge de tenir, et de vous rendre publiquement les comptes.

Cette caisse permettra de fournir aux futurs Curés ou Abbesses, un prêt à taux zéro, pour que vous puissiez avoir des messes.
Cette caisse servira aussi à mettre en place diverses activités d'animation de l'Eglise.
De plus, nous pourrons aussi, suivant les ressources et donc vos dons, aider un peu plus les nécessiteux, voir les soldats en mission, mais aussi les Clercs en mission.

J'en appelle donc à votre générosité, la plus minime soit elle.

Chaque don sera bien entendu noté et répertorié dans un livre de compte, et la Sainte Eglise vous en sera reconnaissante.

Alors, pensez y, et contactez vos Diacres ou Curés pour cela, en m'envoyant une copie de votre geste, afin que je puisse l'enregistrer.

Je compte sur vous tous, sur votre participation active, pour le bien de tous.

Restant à votre écoute,

Bien à vous,
Votre Archevêque,
Poltau.

INVITATION

Nous,

Poltau, Archevêque Métropolitain de Tours,

avons le plaisir de vous inviter à la cérémonie d'Ordination de la Future Abbesse Zora_la_rousse.
Cette cérémonie sera célébrée en la Cathédrale de Tours (sur la gargotte).

Elle débutera ce vendredi 20 mars 1457.

Nous comptons sur votre présence et participation.

Fait à Tours,
le 19 mars de l'an 1457.

Poltau, Archevêque Métropolitain de la Province de Tours,

Pour des raisons de sécurité et représentant la Garde Episcopale de la Province de Tours,

Je décrète la fermeture des lieux Saints,de la Cathédrale et des églises du Duché de Touraine jusqu'à nouvel ordre.

Je fais exception pour les salles de pastorales à l'Archevêché.

En ce jour de Grâce,26 Mars MCDLVII

Le Très Haut réside là où vit Sa Parole.

C'est dans notre vie que, du matin au soir, coule entre les rives de notre maison,
De nos rues, de nos rencontres, la Parole où le Créateur veut résider.
C'est dans notre esprit qui nous fait nous-mêmes à travers les actes de notre travail,
De nos peines, de nos joies, de nos amours, que la Parole du Très Haut veut demeurer.

La phrase du Seigneur que nous avons arrachée au livre des vertus
dans une messe du dimanche matin ou dans celle d’un baptême ou d’un mariage, ou lors de nos études, ou en écoutant les autres, elle ne doit plus nous quitter, pas plus que nous quitte notre vie ou notre esprit.

Elle veut féconder, modifier, renouveler la poignée de main que nous aurons à donner, notre effort sur notre tâche, notre regard sur ceux que nous rencontrons, notre réaction sur la fatigue, notre sursaut devant la douleur, notre épanouissement dans la joie.

Elle veut être chez elle partout où nous sommes chez nous.
Elle veut être nous-mêmes partout où nous sommes-nous.

La Parole du Seigneur, elle exige notre respect ;
si notre vie a des pauses possibles, nous gardons cette parole
elle exige que notre esprit s'occupe exclusivement d'elle,

Elle veut que l'on prie sur elle dans l'oubli de tout ce qui est si peu à côté d'elle.

Veni, creator, Spiritus,
Mentes tuorum visita,
Imple superna gratia
Quae tu creasti pectora.
Qui diceris Paraclitus,
Altissimi donum Dei.
Fons vivus, ignis, caritas
Et spiritalis unctio.
Tu septiformis munere,
Digitus paternae dexterae.
Tu rite promissum Patris,
Sermone ditans guttura.
Accende lumen sensibus
Infunde amorem cordibus,
Infirma nostri corporis
Virtute firmans perpeti.
Hostem repellas longius
Pacemque dones protinius;
Ductore sic te praevio
Vitemus omne noxium.
Per te sciamus da Patrem,
Noscamus atque Filium;
Teque utriusque Spiritum
Credamus omni tempore.
Deo Patri sit gloria,
Et Filio, qui a mortuis
Surrexit, ac Paraclito
In saeculorum saecula.
Amen.

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Nomination de Messire Thimothée au poste de diacre de Chinon

Suite à son désir de servir Notre Eglise plus concrètement,
Nous, Hermine Hanke, Archidiaconesse du diocèse de Tours,
devant le Très-Haut et sous le regard d'Aristote

Attribuons la charge conjointe de diacre de la paroisse de Chinon à Messire Thimothée. Il aura donc le droit de dispenser messes, baptêmes, mariages et funérailles. Il devra également travailler conjointement avec le diacre déjà en place : Frère Prince du Sud.

Cette nomination sera confirmée ou infirmée par le prochain Archevêque Métropolitain de Tours.

Que le Très-Haut accompagne Messire Thimothée dans sa tâche !

Fait à Tours,
le 9 septembre de l'an 1457

Et c’est de cette manière, que, marchant de village en village, Christos répandait ainsi la bonne nouvelle aux foules qui s’assemblaient. A chaque fois, les gens étaient frappés de la justesse de ses paroles et de la puissance de ses mots. Si bien que la renommée de Christos se répandit en Galilée jusque dans les recoins les plus éloignés, et que les foules venaient de plus en plus nombreuses sur les places où Christos parlait.

Il disait souvent : "Aimez Dieu comme Il vous aime et vivez en toute amitié avec les autres, comme vous l'a enseigné Aristote." ou " Croyez en l’amour que Dieu vous porte, et aimez Dieu à votre tour. "

Et il répétait: "Que votre solidarité ne connaisse pas de frontières ! Souvenez vous, mes amis, qu'Aristote vivait dans un pays d'une culture peu tolérante pour les autres peuples. Aujourd'hui, vous devez savoir que toutes les nations ont droit au respect et leur peuple à la liberté et à notre amitié."

Enfin, il concluait: "De même, la solidarité et l'amitié ne sauraient être restreintes par une frontière des sexes. Car les hommes comme les femmes sont les enfants de Dieu et en cela, ils sont égaux."

Sur les chemins, il croisait des malades et des infirmes, et nous vîmes alors des choses extraordinaires : il suffisait que Christos touche un lépreux ou un aveugle pour que son handicap disparaisse. Les malades, à son approche, se sentaient revivre, et pleins d’un nouvel espoir. Les muets se remettaient à parler, les sourds à entendre, les aveugles à voir, les paralysés à marcher, et tous, ensuite, bénissaient Christos et le Très haut, les louant et les remerciant de toute leur âme.

Un jour, notre petite troupe de pèlerins recueillit même un homme très mal en point, qui venait de se faire agresser sur une route. L’homme n’avait plus grande force, et ne pouvait plus marcher. Il n’avait pas bu depuis longtemps. Alors Christos se tourna vers l’homme assoiffé, et lui dit :

" Lumière, Lumière, tu es la lumière au sein de la lumière. Ta foi te fait lumière et t’a sauvé ! "

Nous n’avions pas d’eau pour abreuver le pauvre homme, mais Christos nous dit : " Ce n’est pas grave, il n’aura qu’à boire dans mes mains. "

Et, de fait, Christos s’agenouilla, joignit ses mains pour en faire une coupe, qu’il tendit au malheureux. Alors, l’incroyable arriva, les mains de Christos se remplirent d’eau et l’homme put boire à satiété.

Lui ayant ensuite donné à manger, nous le chargeâmes enfin sur nos épaules et le conduisîmes jusqu’au village où il habitait.

Acclamons la parole du Seigneur !

Christos nous dit : "Aimez Dieu comme Il vous aime et vivez en toute amitié avec les autres, comme vous l'a enseigné Aristote."
C'est là le message premier que nous devons recevoir. Aimer Dieu. L'aimer car Il nous a créé, Il a créé la nature qui nous entoure, qui nous nourrit. L'aimer car Il nous aime comme ses enfants que nous sommes tous.
Christos rajoute d'ailleurs : " Croyez en l’amour que Dieu vous porte, et aimez Dieu à votre tour. "
Vivez en toute amitié avec les autres, car nous sommes tous frères et soeurs, tous enfants du seigneur. Nous devons nous aimer au sein de la Cité, nous devons nous soutenir, nous devons nous venir en aide lorsque cela est nécessaire, car si l'on se met en marge de la société, qui sera là pour nous aimer ? Qui sera là pour nous soutenir dans nos moments difficiles de la vie ? Qui sera là pour nous relever quand nous serons tombés ? La Cité est un édifice fragile, et chaque citoyen est une brique. Si l'une des brique de l'édifice se fissure, l'édifice ne s'écroulera pas si le mortier est solide. Si par contre le mortier ne colle pas, la brique fissurée va se désolidariser du mur, et les autres briques vont se fissurer à leur tour et l'édifice risque à tout moment de s'effondrer.

Christos rajoute encore : "Que votre solidarité ne connaisse pas de frontières ! Souvenez vous, mes amis, qu'Aristote vivait dans un pays d'une culture peu tolérante pour les autres peuples. Aujourd'hui, vous devez savoir que toutes les nations ont droit au respect et leur peuple à la liberté et à notre amitié."
Cet amour que nous avons pour nos prochain ne doit pas s'arrêter aux portes de la Cité, mais au contraire doit être diffusé au-delà de nos frontières, car nous sommes tous les enfants de Dieu. La guerre est la manifestation du péché d'orgueil ! Pourquoi estimer que nous sommes plus aptes à posséder telle ou telle terre plutôt qu'un autre ? Pour la richesse ? Mais la seule richesse qui soit, c'est celle du coeur, de la solidarité, de l'Amitié. Ne l'oubliez pas mes frères.

Christos dit aussi : "De même, la solidarité et l'amitié ne sauraient être restreintes par une frontière des sexes. Car les hommes comme les femmes sont les enfants de Dieu et en cela, ils sont égaux."
Nous ne devons pas nous laisser emporter par nos différences physiques. Certes les hommes et les femmes n'ont pas le même corps, mais ils ont bel et bien la même âme, et c'est en ce sens qu'ils sont les enfants de Dieu et méritent tous de recevoir l'Amour de Dieu le Père.

Christos diffusait son message sur les chemins. Il réalisait des miracles. Dieu lui a donné ce pouvoir pour montrer aux hommes incrédules qu'Il l'avait choisi parmi tous pour Le représenter, pour faire entendre à chacun Son message d'Amour.

Si vous ne deviez retenir qu'une chose : aimez-vous les uns les autres et oubliez vos querelles !

Ainsi soit-il !