Breiz24
Ses mains explorent. Vagabondent sur le large torse, se perdent sur la peau plus douce du ventre. Suivent la longue trace argentée, tâtonnent à la recherche de l'emplacement le plus doux.
Elle lui offre sa gorge, les yeux clos, et en retour il la serre contre lui. les deux mains, brûlantes, plaquées contre son dos. Il a abandonné le gant.
Ainsi, lui aussi, s'offre, sans limites.
Elle, elle s'enivre. Elle a oublié qui elle est. Elle s'en moque. Elle n'est que sensations, elle n'est que ce désir, qui monte, encore, comme s'il était possible de le désirer plus à chaque vague.
Bassin contre bassin, cambrée, les yeux grand ouverts, elle lutte avec le tissus. La chemise la gène. Elle veut voir ce corps, elle veut le goûter, le sentir. Toucher ne suffit plus. Elle veut s'y fondre. Elle tire sur les cordons du col, dénoue les nuds, d'une main tremblante. De l'autre, elle se retient à lui. Elle refuse de briser le contact. Elle refuse d'abandonner sa peau. La main droite est plaquée dans le dos du blond, le bout des doigts pianote, palpe, pétrit, alors qu'enfin le col cède.
La main gauche passe à nouveau sous le tissus, remonte le long du bras, s'infiltre dans la manche, s'attarde au creux du coude, là où la peau si fine est sensible.
La dextre remonte le long du dos, emportant le tissus avec elle, explorant les muscles, jusqu'à la lettre honnie, jusqu'à l'épaule, jusqu'au biceps.
Elle tire encore sur la chemise, la fait passer par dessus la crinière blonde, elle est avide de cette peau dissimulée.
Le vêtement choit. Elle se serre contre lui, les deux bras l'enlaçant, une main errant, à nouveau, dans son dos. Elle ne bouge plus. Elle respire son odeur, la bouche entrouverte. Et, lentement, elle lève son visage et vient goûter sa peau, au creux de son épaule.
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Elle lui offre sa gorge, les yeux clos, et en retour il la serre contre lui. les deux mains, brûlantes, plaquées contre son dos. Il a abandonné le gant.
Ainsi, lui aussi, s'offre, sans limites.
Elle, elle s'enivre. Elle a oublié qui elle est. Elle s'en moque. Elle n'est que sensations, elle n'est que ce désir, qui monte, encore, comme s'il était possible de le désirer plus à chaque vague.
Bassin contre bassin, cambrée, les yeux grand ouverts, elle lutte avec le tissus. La chemise la gène. Elle veut voir ce corps, elle veut le goûter, le sentir. Toucher ne suffit plus. Elle veut s'y fondre. Elle tire sur les cordons du col, dénoue les nuds, d'une main tremblante. De l'autre, elle se retient à lui. Elle refuse de briser le contact. Elle refuse d'abandonner sa peau. La main droite est plaquée dans le dos du blond, le bout des doigts pianote, palpe, pétrit, alors qu'enfin le col cède.
La main gauche passe à nouveau sous le tissus, remonte le long du bras, s'infiltre dans la manche, s'attarde au creux du coude, là où la peau si fine est sensible.
La dextre remonte le long du dos, emportant le tissus avec elle, explorant les muscles, jusqu'à la lettre honnie, jusqu'à l'épaule, jusqu'au biceps.
Elle tire encore sur la chemise, la fait passer par dessus la crinière blonde, elle est avide de cette peau dissimulée.
Le vêtement choit. Elle se serre contre lui, les deux bras l'enlaçant, une main errant, à nouveau, dans son dos. Elle ne bouge plus. Elle respire son odeur, la bouche entrouverte. Et, lentement, elle lève son visage et vient goûter sa peau, au creux de son épaule.
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