Breiz24
Je suis à toi... Je suis à toi... Tu es à moi!
Les corps basculent, se cherchent, s'inversent. Ne pas briser le rythme de la danse. Ne pas délier la dextre et la sénestre enlacées.
Elle abandonne ses lèvres, se redresse, en appui sur sa main gauche, se cambre légèrement vers l'arrière. Ne pas interrompre la danse. Elle s'offre à sa vue, elle s'offre aux Azurs. L'argent sourit. L'argent observe. la dextre vient suivre la longue ligne à la couleur étrange, s'en repait, avant de glisser vers la peau tendre du ventre. Effleurant à nouveau la douce ligne blonde, du bout des doigts, du bout des ongles. Le faire frissonner. Le faire soupirer. Le faire frémir. Le faire gémir.
Elle chasse d'un souffle une mèche de cheveux, que le vent s'évertue à rabattre contre son visage, et crispe sa main gauche sur le torse du géant quand ce dernier effleure sa cuisse, remontant lentement vers l'objet de son désir. Alors, c'est elle qui frissonne et soupire.
Elle ne brise pas le rythme. Elle prend appui sur la poitrine du blond, légèrement, et poursuit l'ondulation des hanches, l'accélère, suivant les caresses qu'il impose. La torture délicieuse se poursuit, l'inonde de lames, brûlantes, écarlates, du plaisir qui enfle à l'étouffer, proche, si proche du paroxysme.
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Les corps basculent, se cherchent, s'inversent. Ne pas briser le rythme de la danse. Ne pas délier la dextre et la sénestre enlacées.
Elle abandonne ses lèvres, se redresse, en appui sur sa main gauche, se cambre légèrement vers l'arrière. Ne pas interrompre la danse. Elle s'offre à sa vue, elle s'offre aux Azurs. L'argent sourit. L'argent observe. la dextre vient suivre la longue ligne à la couleur étrange, s'en repait, avant de glisser vers la peau tendre du ventre. Effleurant à nouveau la douce ligne blonde, du bout des doigts, du bout des ongles. Le faire frissonner. Le faire soupirer. Le faire frémir. Le faire gémir.
Elle chasse d'un souffle une mèche de cheveux, que le vent s'évertue à rabattre contre son visage, et crispe sa main gauche sur le torse du géant quand ce dernier effleure sa cuisse, remontant lentement vers l'objet de son désir. Alors, c'est elle qui frissonne et soupire.
Elle ne brise pas le rythme. Elle prend appui sur la poitrine du blond, légèrement, et poursuit l'ondulation des hanches, l'accélère, suivant les caresses qu'il impose. La torture délicieuse se poursuit, l'inonde de lames, brûlantes, écarlates, du plaisir qui enfle à l'étouffer, proche, si proche du paroxysme.
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