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[RP] "Le relais toulois" L'auberge des voyageurs

Duncan.


La dame qui l'avait gentiment accueilli tôt dans la matinée, revint et apporta deux verres accompagnés d'une bouteille dont elle avait dit que c'était de la Mirabelle.
Duncan se souvint alors qu'il fallait qu'il en ramène au moins deux caisses à la demande de son Lieutenant, de son Capitaine et du Major d'intendance de Tournai.


Merci dame pour ce verre et pour le bain et la chambre aussi.
J'irais dès que j'aurais goûté à cette Mirabelle dont on m'a dit beaucoup de bien.


Il leva son verre en direction du sire avec lequel il conversait afin de trinquer.

A la santé des Toulois et des Lorrains en général.

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--Danlort
Danlort dit le solitaire à la demande des propriétaires des lieux que sont Floche et crc57 se trouve aujourd'hui au Relais Toulois. Sa mission surveiller de jour comme de nuit, mais surtout la nuit les allers et venues des voyageurs pas question de regarder là où il ne faut pas c'est ce que lui avait bien fait comprendre son vieil ami Shrek. Non il fallait que chaque visiteur se sente en sécurité et bien à l'auberge, son rôle faire en sorte que tout ce déroule de la meilleure façon pour chaque messire ou gente dame de passage dans le village de Toul. Il faut dire aussi que le gaillard est imposant, pas loin de deux mètres et taillé comme un bûcheron. Une force colossale qui lui a rendu services à plus d'une occasion. Brigands et forbans n'ont qu'à bien se tenir devant un tel adversaire.

Danlort fait sa ronde aux abords de l'auberge, en cette fin du mois d'octobre 1456 les nuits sont fraîches et notre homme bien qu'habitué aux pires difficultés trouve que le climat est de plus en plus froid, signe d'un hiver certainement rigoureux. Il marche d'un pas lourd et sur à la fois, ses yeux observent les moindres mouvements dans l'obscurité. Notre homme se glisse tel un félin d'un endroit à un autre sans faire de bruit, habitude de ces anciennes missions, mais de cette période il n'en parle guère seul son ami Shrek et quelques autres connaissent son passé, mais il sait que personne ne parlera, ils sont tous liés par un secret.

Il poursuit sa ronde passant d'une bâtisse à une autre, reste un moment aux aguets puis ne constatant rien d'anormal poursuit son chemin. En passant devant la salle d'accueil il remarque la présence de deux messires entrain de discuter et boire de la mirabelle devant un bon feu. Il sourit et reprend sa marche tout en songeant aux lendemains difficiles après une soirée à consommer de la mirabelle ou autre alcool fort. Danlort le solitaire passe ainsi sa nuit à scruter les alentours afin que chaque client puisse passer un séjour tranquille en ce lieu. Au levé du jour il disparait et se repose quelques heures avant de reprendre sa tâche et nul client ne sait que durant la nuit un homme veille sur leur sommeil.


Duncan.


Après quelques verres et une bonne discussion, Duncan se décida à aller prendre le bain qu'on lui avait préparé.
Il arriva dans la salle d'eau où quelqu'un c'était chargé de rajouter de l'eau chaude afin de la garder à température.

Le jeune homme, toujours aussi éreinté, la Mirabelle n'ayant pas aisé à le remettre en forme, de déshabilla lentement avant de plonger une main dans l'eau afin d'y prendre la température avant d'y entrer...il ne faudrait pas qu'il se brule ...

L'effet relaxant du bain se fit ressentir à peine fut il rentré dedans. Il se mouilla le visage, espérant que ça lui redonne une peu de vigueur mais rien y faisait, la fatigue était bien installée.
Le jeune homme se plongea entièrement dans le bain, la tête sous l'eau, resta ainsi quelques secondes puis se releva, s'étirant de tout son être avant d'essuyer l'eau sur son visage qui l'empêchait d'y voir clairement.
C'est à ce moment qu'il vit une servante prendre ses habits, du bout des main et faisant un tête d'écœurée. Le jeune homme l'interpella.


Que faites vous avec mes affaires ? Vous n'allez tout de même pas me laisser nu, aux yeux de tous, à la sortie du bain ?

Mais non messire, je prend vos affaires afin de les laver...c'est qu'ils dégagent un forte odeur vos habits ... Nous vous apporteront de quoi vous couvrir.

Duncan laissa la servante partir, espérant tout de même que l'odeur partirait et qu'il ne leur prendrait pas l'envie de tout brûler ...

Après quelques instants de relaxation, le jeune homme fut emporté par la fatigue, ses lourdes paupières se fermèrent toutes seules, son corps se détendit et il partit dans ses songes sans même s'en rendre compte.
Il fallait croire qu'il n'occuperait pas sa chambre et que le bain lui était bien plus confortable...

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Crc57
crc57 fait un dernier passage dans les différentes pièces de l'auberge afin de s'assurer que les employés n'ont rien oubliés avant de partir se coucher. A l'extérieur des bâtiments il sait que son vieil ami Danlort se charge de la tranquillité des clients en faisant ses rondes discrètement mais efficacement.

Il croise alors une des servantes qui se dirige vers les lavoirs. Il s'étonne de voir l'expression du visage de cette dernière qui ressemble fort à une grimace.
Eh! bien ma fille que ce passe t'il, que transportez vous ainsi avec cette mine effrayante ?.

Messire Shrek je vais de ce pas au lavoir pour nettoyer les vêtements de Messire Duncan. l'un de nos clients. Actuellement il est au bain, et l'odeur de poisson qu'il dégage lui comme son linge tout cela a besoin d'un bon décrassage!.

Oui effectivement je suis au courant pour le client arrivé avec une charrette de poissons. Faite ma fille et ne lésinée pas sur la lessive pour que notre messire retrouve des vêtements digne de ce nom et sans odeurs gênantes!.

La servante poursuit son chemin tout comme crc. Il aperçoit sous la porte des bains un liseré de lumière et s'étonne de ne pas entendre le clapotis de l'eau. Il entre et fait un rapide point du regard dans la pièce. Dans l'une des baignoires il remarque une tête qui descend doucement vers le liquide encore fumant. Non d'une pipe notre homme c'est endormit dans son bain, il va se noyer le bougre!.

crc presse le pas et attrape fermement le corps par le bras gauche en tirant vers le haut.
Eh! bien messire vous voulez déjà nous quitter, mais de cette manière ce n'est pas très bon pour la renommée de notre auberge. Sinon dans votre chambre il y a un très bon lit pour dormir, c'est mieux que l'eau de ce bain qui va refroidir je vous l'assure!.

Tout en prononçant ces mots le visage de crc exprime un sourire amusé. Son interlocuteur lui semble revenir d'ailleurs.
Je vous laisse, séchez vous avec la serviette qui se trouve sur le petit meuble à votre droite, ensuite passez les vêtements sur le porte linge et passez une bonne nuit dans votre lit. A plus tard messire!.

Crc57 tourne les talons laissant notre homme tout à son étonnement.
Nous ferons les présentations demain au petit déjeuner je vous y attendrez, après le chant du coq!.
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Ma liberté s'arrête ou celle des autres commence.
Duncan.


Ciel menaçant, léger rafraichissement de l'air humide, brouillard que s'épaissit et des marécages à perte de vue. Il fallait qu'il sorte de cet endroit, ne pas s'arrêter de marcher, courir même. Il ne pouvait pas s'arrêter, il s'enfoncerait dans les marécages et ne s'en relèverait pas mais la fatigue se faisait de plus en plus pesante et ses jambes avaient de plus en plus de mal à se sortir de cette boue qui ne cherche qu'à l'engloutir.

Il avançait de plus en plus difficilement, ses jambes s'enfonçant de plus en plus, obligé de s'aider de ses bras pour les arracher de la boue jusqu'au moment ou...ses forces l'abandonnèrent, impossible de se sortir de ce piège.
Il s'enfonça de plus en plus, jusqu'aux hanches puis la taille et enfin il ne restait plus que les bras et la tête qui sortaient des marécages lorsque tout à coup, sorti de nul part, deux mains attrapèrent les siennes, il ne pouvait pas distinguer le visage de celui qui le tirait hors de ce marécage. Une fois sortit de là, il s'approcha afin de remercier l'homme ....

Duncan sortit de son rêve, ou plutôt de son cauchemar, voyant un homme qui lui parlait mais il ne comprenait pas ce qu'il lui disait. Le jeune homme avait encore l'esprit embrouillé par ce cauchemar, il scruta la pièce, se demandant un instant où il se trouvait puis regarda, d'un air perdu, l'homme qui se retirait de la pièce.

Il reprit ses esprit au bout d'un instant, regardant par la fenêtre tout en sortant du bain.


Mon dieu, je me suis endormit et le temps à passé trop vite !


Il se hâta de s'essuyer et de s'habiller, il remarqua au passage que ces vêtements n'étaient pas les siens...Pas le temps de se poser des questions, le CAC devait l'attendre.
Il repartit vers le hall d'accueil mais il n'y avait plus personne, chacun vaquant à ses occupations. Il sortit un morceau de parchemin sur lequel il écrit :


Citation:
Merci pour votre accueil ainsi que pour les vêtements.
Je ne pourrait certainement pas repasser par ici avant mon départ, gardez mes vêtements en échange de ceux ci et acceptez un petit dédommagement.

Cordialement,

Duncan de Clairambault


Il prit quelques écus de sa besace qu'il posa sur le parchemin, il y avait de quoi payer sa chambre ainsi que de rembourser les vêtements empruntés.

Duncan sortit de l'auberge et alla récupérer sa carriole afin de rejoindre le CAC de Lorraine pour effectuer les échanges et ensuite s'en retourner chez lui...

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Crc57
crc57 peu après le champ du coq de la ferme voisine se lève et se débarbouille afin d'être complètement réveillé. Il fait encore frais dans la pièce, signe que la température est en baisse. Il regarde dans la cheminée il reste quelques braises rouges mais pas assez pour réchauffer les murs. Il prend deux ou trois buches qu'il place dans les flammèches et à l'aide du tisonnier redonne vie au feu qui se mourrait.

crc enfile ses vêtements puis descend dans le hall d'accueil. Sur le comptoir il aperçoit un parchemin sur lequel sont posés 15 écus. Il ouvre le document et prend connaissance du contenu.

Citation:
Merci pour votre accueil ainsi que pour les vêtements.
Je ne pourrait certainement pas repasser par ici avant mon départ, gardez mes vêtements en échange de ceux ci et acceptez un petit dédommagement.

Cordialement,

Duncan de Clairambault


Après la lecture il repli le morceau de parchemin qu'il glisse dans sa poche et se dirige vers les cuisines. Bon si notre messire Duncan ne revient pas, eh! bien nous attendrons sa prochaine visite pour lui rendre ses vêtements!.
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Spb1144
De passage à Toul pour affaires, spb se dit qu'il allait se loger au relais mais une fois rendu devant la gargotte décida d'aller voir ailleurs
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pnj


Cheveux aux reflets roux accentuant la blancheur laiteuse de sa peau. Les pieds nus et sales. Une robe en haillons. Son odeur la précède.

Par une porte de service elle se faufile dans l’auberge.

Elle a bien une bicoque à l’orée des bois, mais point de feu. De la nourriture elle n’en rêve même pas. Pas de quoi la payer et plutôt mourir que de se vendre.

Elle glisse discrète vers l’âtre et se blottit dans un coin, se faisant aussi petite possible
Crc57
En ce début de nuit du deux novembre de l'an de grâce 1456 crc57 fait une dernière fois le tour des pièces de l'auberge. Il ne s'inquiète pas pour l'extérieur sachant que son fidèle ami Danlort le solitaire veille.

Dehors il fait froid l'hiver arrive bientôt. De plus c'est pleine lune ce qui fait encore chuter la température d'avantage. Par une fenêtre, il distingue un voyageur qui marque un temps d'hésitation à l'entrée de l'auberge avant de rebrousser chemin. Tiens étrange, pourquoi ne frappe t'il pas, il aurait dû rencontrer Dan sur son passage!.

crc regarde çà et là si tout est en ordre, éteint parfois une chandelle oubliée, range un ustensile afin que personne ne s'y heurte et se blesse. Tout semble être tranquille jusqu'au moment ou il pénètre dans la pièce jouxtant la salle à manger. Une drôle d'odeur lui prend au nez. Ah! quelle est cette odeur, pourtant les animaux restent à l'écurie!.

Tout en avançant vers le feu qui crépite dans la cheminée, l'odeur devient encore plus prenante. Puis tournant la tête il aperçoit dans un coin blottit tel un animal peureux une jeune femme au visage laiteux, cheveux aux reflets roux vêtue de haillons. Il connaît bien ce type de comportement alors avec des gestes simples et sans brutalité il fait comprendre à l'inconnue qu'il ne lui veut pas de mal. Il s'approche d'elle tente de la rassurer en lui adressant un sourire.
Damoiselle comment êtes vous entrez ? vous avez froid je suppose ? faim sans doute ? rassurez-vous je suis le Maistre des lieux ! parlez je vous écoute ! personne ne vous fera de mal, vous me comprenez ?.

crc reste en face de l’inconnue et attend ses réponses.
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pnj


Somnolente, bruit de pats lointain. Instinctivement Aliénor se recroqueville sur elle-même tentant de se confondre avec le mur auquel elle est adossée. Surtout ne pas faire de bruit, ne pas attirer l’attention. Tel un animal sauvage elle étudie ses moyens de fuite, de défense et d’attaque. Ses yeux vifs, illuminés par le feu tout proche, vont du bâton enflammé dans la cheminée à la porte de service et de la porte de service au tabouret bancale qui se trouve à porté de main.

L’homme approche, la lumière rougeâtre qui s’échappe de l’âtre accentue sa carrure. L’ombre de l’homme semble s’étendre à l’infinie. Elle retient sa respiration. Ultime instinct de survie

Trop tard il l’a deviné, il l’a vu.

Il parle, il lui parle. Qu’elle étrange attitude. Il parle, il ne hurle pas, il ne tente pas de la rosser. Ce tavernier ne tient donc t il pas à ses clients ? Elle va les faire fuir, il devrait la jeter dehors, dans la fange. Intéressée, comme le chien qui attend sa pâté, elle oublie pour un temps le tison qu’elle aurait pu si aisément brandir. Elle se redresse et bredouille des quelques phrases


Ne me rossez pas. Je serais partie avant l’aube. Laissez-moi juste réchauffer mes os. Ne me battez pas. Je ne vous volerai rien.
Crc57
crc57 vois la jeune femme apeurée se recroqueviller d'avantage sur elle même. Ses yeux voyages d'un endroit de la pièce à un autre, puis reviennent au point de départ. Il note toutefois une expression de surprise sur le visage de celle-ci lorsqu'il lui parle. Au bout d'un moment elle se lève et répond.
Citation:
Ne me rossez pas. Je serais partie avant l’aube. Laissez-moi juste réchauffer mes os. Ne me battez pas. Je ne vous volerai rien.

crc lui sourit et tout en reculant légèrement.
N'ai pas peur, il n'est point dans mon intention de te rosser ou te battre. Je vais à la cuisine ne bouge pas, je vais voir si mon Maistre queu n'a pas laissé quelque chose à manger. Reste auprès du feu et réchauffe toi, je reviens!.

Au bout d'un petit moment crc reparait dans la pièce, il tient dans ses mains du pain, du jambon fraichement fumé et découpé ainsi qu'un petit récipient duquel s'achappe une bonne odeur de potage. S'approche de la jeune femme et lui tend ces quelques aliments.
Tiens mange, nous parlerons ensuite!.
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Feeetelfe


Les premiers flocons du mois de Novembre commençaient à tomber,Fée marchait en fredonnant une belle chanson qu'elle affectionnait tout particulièrement "J'envoie valser"...

Aujourd'hui elle avait un peux de temps et avait rendez vous avec son filleul paco pour déjeuner,c'était aussi l'occasion de venir enfin à l'auberge de son amie Floche.

Devant elle une ancienne demeure , entouré de grands peupliers devenant tout blanc avec la neige , tout était magnifique féerique l'endroit était vraiment très agréable,elle regarda le panneau .. et oui c'est bien ici ..

Oh Floche !!!
C'est moi Fée !!!

Son amie l'invita à entrer , ce que Fée se précipita de faire , elle lui fut la bise, et pénétra dans l'auberge.

Hmmm qu'il fait chaud chez toi floche, c'est vraiment beau !!!
Comme je l'imaginais ...

J'aimerai une table pour deux Floche si c'est possible ..
pnj
Paco comme d'habitude marchait lentement, son regard se baladant de son côté dans les rues de Toul... Il était heureux de pouvoir déjeuner avec Fee sa marraine qu'il appréciait tant...
Il la suivait toujours un peu rêveur, et se rendit compte, au bout de quelques secondes que Fee, s'était envolée... un coup de baguette ? Il ne savait comment, mais il s'était, une nouvelle fois perdu dans les rues de Toul...

« Comment faire... Appeler à l'aide ? …. Non... »

Alors il se mit à courir, arpentant les rues de gauche à droite, d'avant en arrière, de bas en haut, trébuchant, sur chacun des obstacles qu'il pouvait rencontrer... Panique... Panique...

« Mais quel Ane je fais ! » se disait-il...

La neige tombait doucement sur les toits de Toul... Et Paco gelait petit à petit... Puis soudain...

« L'AUBERGE des voyageurs !!! Ca y'est j'y suis !!! Pourvu que Fee ait pu m'y attendre ! »

Il entra rapidement dans la dite Auberge, salua tout le monde d'un geste de la main et commença à chercher la jolie Fee sa marraine, dans la grande salle où un feu bienveillant redonnait des couleurs à ses orteils de glace... L’hivers se mettait bel et bien en place à Toul…

« Ahhh tu es là Fee, tu m’as attendu ! Je suis désolé pour mon retard, tu sais… Je me suis encore perdu… »

Il était essoufflé… Ses joues étaient rougies par le froid, une longue course et la honte qu’il avait d’avoir ainsi pu se perdre alors qu’il n’avait qu’à suivre la jolie damoiselle…
Il prit place en face de Fee, et se releva brusquement…

« Bonjour Miss Floche, quel impoli je fais ! »
Dans sa précipitation, il ne l’avait même pas vue…
« Décidément… J’enchaîne les gaffes aujourd’hui… Désolé Floche… »

Et enfin, il put s’asseoir en face de Fee…
« Je n’étais jamais venu ici, c’est un endroit charmant… Merci de me l’avoir fait découvrir Fee… »

Il regardait, admirait le soin avec lequel cette auberge était tenue… La déco agréable, de celles qui font se sentir bien… Et ce feu… Une merveille pour qui comme lui était de glace… Même si « de glace » devant Fee, il le savait bien, il ne pourrait le rester longtemps… Et déjà son sourire dégivrait ses joues rouges…

« Ca va toujours Fee ? Mon retard t’aura peut-être permis de faire tes affaires… non ? »
--Omaneleopard
A la demande de Floche Omaneléopard se présente à la table de Fee et Pacoreb. Le couple est entrain de discuter de choses et d'autres quant elle arrive à leur hauteur.
Bonjour, Gente Dame et Messire, permettez moi de vous présenter la nouvelle carte des menus, notre Maistre queu Labrioche vient de la réaliser ce matin même!. Je vous laisse regarder, vous me faite signe lorsque vous aurez choisi!.

Omane adresse un sourire et s'éloigne d'un pas tranquille et souple vers une autre table qui sollicite l'escuyère de table.



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Feeetelfe


Fée riait aux éclat tellement capo la faisait rire , quand soudain une jolie demoiselle s'approcha de leur table esquiva un sourire et leur donna gentillement la nouvelle carte des menus ...

oh qu'elle est belle !! hmmm ca m'ouvre l'appétit .

Fée regarda au dessus de la carte le petit visage de son tendre filleul , et lui fit un gentil sourire ...

hmmm que ça a l'air bon tout ca il y a même un dessert !!!

on va se régaler cap ...

Fée riait en regardant les petite grimaces de gourmandise que faisait cap ...

Merci cap d'être la avec moi, ca me fait tellement de bien de rire ... j'en ai besoin en ce moment ...

Fée referma la carte et fit signe à la demoiselle pour passer commande .
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