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[RP] - Maison Wolback

margot_wolback
Citation:
"Noz vat Margot, désolé de te déranger à une heure aussi tardive, je voudrais te demander certaines choses, aurais tu un moment à m'accorder ? Je ne serais pas long."


Euh.... Voui....
La blonde se demande ce qu'elle aurait d'intéressant à lui dire, mais bon... Le meilleur moyen d'avoir la paix, c'est de répondre à ses questions pour pouvoir passer à autre chose!

Mais pas question qu'elle bouge ses fesses de la porte d'entrée, une fois installé, on ne sait jamais quand ils décident de partir. Elle s'accote donc au battant, et regarde Modano.


Noz vat. Vas-y, demande moi ce qui t'intéresse. Mais fais vite, j'suis déjà à la bourre pour mes rondes.

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Modano_lancedragon
"Aurais tu aperçu dernièrement des choses étranges dans les rues de Vannes, des gens que tu n'avais jamais vu qui trainaient dans les impasses, des conversations pour le moins inhabituelles, bref quelque chose d'anormal ? Nous sommes presque sur maintenant qu'une entité se terre dans la ville, une groupe dont on ignore le but et le lieu de rassemblement."
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margot_wolback
Citation:
Aurais tu aperçu dernièrement des choses étranges dans les rues de Vannes, des gens que tu n'avais jamais vu qui trainaient dans les impasses, des conversations pour le moins inhabituelles, bref quelque chose d'anormal ?


Moue sceptique... S'ils sont si terribles que ça, elle les voit mal s'attrouper en pleine rue.
Désolée, j'ai rien vu Modano. Et pourtant, je suis sur les remparts tous les soirs. Mais à part quelques couples qui se retrouvent dans le noir, rien qui ne vaille la peine d'être signalé.

La blonde se redresse, et prend son épée pour sortir, accompagnant par là même son visiteur sur le pas de la porte.

Je ferais plus attention, je te tiens au courant si quelque chose de bizarre me revient.
Noz vat, je suis désolée de t'expédier, mais...


Un petit salut, un léger sourire pour atténuer le côté expéditif de la situation, et Margot s'éloigne déjà en direction de la mairie.
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margot_wolback
[Peut-on changer en une nuit?]

Sortie de taverne, sourire aux lèvres...
Un peu de temps avant de prendre les rondes... Ces rondes, qu'il finit par détester, jaloux du temps passé loin de lui. En même temps, elle ne va pas s'en plaindre, c'est toujours agréable de sentir qu'elle lui manque.

La blonde rentre chez elle, le sourire impossible à détacher de ses lèvres. Un peu cyclique la fille, moral dans les chaussettes il y a peu, et là, elle voit tout en rose! C'est l'Abbé Zounours qui devrait être content!

Patience ne dit plus rien depuis longtemps.
Elle lui a préparé son bain, laissant la chemise propre à proximité, les pétales de roses flottant sur l'eau chaude, le drap étalé au fond du bac de bois.
Huummm, se glisser avec bonheur dans l'eau, fermer les yeux.
Laisser les pensées l'envahir, souvenir de certains baisers, de regards...
Ils ont failli se perdre, et rien ne dit que la situation ne se renouvellera pas, mais il faut savoir profiter de l'instant présent, de l'amour quand il est là...

Ce soir, enfin, de bon matin, ils se sont donné rendez-vous. Sera-t-il là? Elle l'imagine monter sur les remparts à ses cotés, profiter ensemble du lever de soleil sur l'océan. Ou au contraire, profiter de la naissance de l'aube pour disparaitre, main dans la main, dans un endroit connu d'eux seuls.

Margot laisse ses mains glisser sur son corps dénudé, profitant du savon parfumé. Imaginant quel effet cela peut faire lorsque ce même corps est caressé par un autre. Rien que le souvenir des doigts chauds et forts au creux de son dos lui donne des frissons. Imagination, quand tu nous tiens!

La seule fois où elle a failli se donner à un homme, rien ne s'est déroulé comme elle le souhaitait, pour son plus grand bien tout bien réfléchi. Il ne l'aimait pas. Et pour une demoiselle, quand elle a le choix, elle préfère être traitée comme un objet rare plutôt que comme une catin parmi les autres.


Comment se passera la première fois? Si elle en croit Lallie, ce n'est qu'une formalité. Mais en même temps, ce grand début change tout une vie. Toute une façon de considérer la gente masculine...

Efen... A sa façon de la regarder, de la toucher... Tendresse, passion, partage, confiance...
Tout ce qui sort de son imagination fertile. La réalité sera surement tout autre, mais il n'y a qu'en essayant qu'elle le saura. Ce soir... Ou un autre soir... Mais une fois dans ses bras, elle acceptera de n'en sortir qu'au lendemain, s'endormir contre lui...

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margot_wolback
[Où rien ne se passe comme on l'imagine...]

Ça fait plus d'une semaine que ses pensées divaguent. Depuis qu'il est de retour, et qu'elle se prend douche froide puis pluie brulante...
Rien de tel pour la rendre vulnérable, elle ne sait plus du tout maitriser sa vie.
Un coup blanc, un coup noir... Le mélange des deux? Inexistant...

Les tours de garde sont faits seule, elle attend le matin, espérant voir une ombre se détacher des murailles, mais rien.
Peut être ce matin?? Peut être viendra-t-il à sa rencontre? Ne le voir que peu de temps en taverne lui pèse...
La blonde a besoin de présence. De se coller contre lui, profiter de sa chaleur et de la sécurité de ses bras...

Peut-être...

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Efenwel713
ainsi Margot avait parlé d'un balcon...et ce n'étais pas pour déplaire a l'encapuchonné qui avançait discrètement dans le jardin...
Efen mon grand, pourvu que Margot n'ai pas oublier de te parler de ses chiens ou d'un garde du corps un peu trop paranoïaque
c'est qu'il ne tenait pas a se faire coincer le moustachu...serait il devenu froussard après tant de temps passé a ne rien faire à Vannes...
il s'approcha doucement de la bâtisse et nota que les jardins était entretenus avec goûts...
un balcon, un balcon...se chuchota t-il c'est pas ce qu'il manque ici...
Efen mon gugusse te fait pas pincer
il regarda au dessus de sa tête, un balcon et une fenêtre grande ouverte...héhé...il se rappela les dire des son maître d'arme..."un voleur niais passe par la porte, un voleur habile passe par la cheminée, un voleur alcoolique passe par la cave, une ombre passe..."
ce soir il passerais...
d'une extension il s'agrippa au balcon et d'une traction se hissa dessus.
il enjamba la balustrade et le fourreau de Niënor tinta dessus...
"inutile de dégainer" se dit il...
il écarta doucement les rideaux qui lui masquait la pièce et aperçu le reflet d'une chevelure blonde dans le miroir...il se retourna doucement, Margot lui tournait le dos...visiblement il ne la dérangeait pas...
Efen fouilla son aumônière y pris une pomme et, tout en restant caché sur le balcon, la fit rouler au pied de Margot
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margot_wolback
[A l'aube d'une aube nouvelle?]

Retour de ses rondes. Le ciel commence à peine à se colorer, à sortir de ses brumes sombres...
Margot rentre dans sa chambre, ouvre la fenêtre pour profiter de la fraicheur et des odeurs si fines à ce moment de la journée. Puis retourne à sa coiffeuse.
Se préparer pour dormir une grande partie de la matinée, réparer ce que le manque de sommeil inflige à ses paupières...
La blondeur est dénattée, les cheveux longuement coiffés. Effet reposant que de sentir la brosse dans les fils de soie.

Elle se regarde dans l'eau du miroir, admirant les reflets d'or grâce à la lumière d'une chandelle. Reste pensive quelques instants.
Encore un matin pour rien... Encore un matin sans lui... Ce n'est pas faute de l'attendre, pas faute de l'espérer.

Un léger bruit la fait se retourner en direction de la fenêtre. Les rideaux qui masquent les jardins se lèvent mollement, sans doute sous l'effet d'une légère brise. La jeune fille écoute, respiration retenue. Mais plus rien..., ce doit être un passant dans la rue, un chien ou un renard qui furète...


Elle s'étire sur son tabouret, les yeux qui se ferment, la longueur de la veille commence à se faire sentir. Au moment où elle se lève du tabouret pour retirer ses braies et sa chemise, un autre bruit se fait entendre. Plus proche celui là...
Un bruit de roulement, d'un objet au son mat qui roule et tangue sur le plancher de bois! Une pomme!!
Une pomme, qui, innocemment, avance jusqu'à toucher son pied nu.

Le signe est on ne peut plus évident. Et ce qu'il signifie encore plus... Il est venu...
Les joues se couvrent de carmin, le cœur commence une sarabande que lui seul saura arrêter. La main posée sur la coiffeuse est légèrement tremblante.

Mais elle ne peut rester sans rien faire. Ne pas parler, pour ne pas alerter Patience qui dort dans une chambre non loin. Mais ne pas le laisser partir, pas maintenant.
Margot se lève, et se dirige vers le rideau à pas de loup, dernière barrière. Qu'elle l'ouvre, et elle le fait entrer dans son intimité.
(Sans mauvais jeu de mot^^)
Elle se glisse derrière le velours, un petit sourire aux lèvres, tellement contente de le savoir ici.


Efen...
Hmm, qu'elle aime prononcer son nom, ces deux syllabes qui représentent tant de choses.
Les bras se lèvent, se rejoignent à l'arrière du cou, les lèvres se trouvent, attirées irrésistiblement...
Le jour qui se lève les sort de l'ombre. Tout doucement, comme pour leur laisser le temps de profiter...
Ne pas se faire voir... Le rideau, complice, les laisse passer de la clarté à l'obscurité, toujours liés.

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Efenwel713
retranché derrière les rideaux de velour, Efen entendit sa pomme rouler, le battement de son coeur s'était accéléré. il savait que la pomme ferait son effet, il savait aussi qu'il bravait l'interdit et que s'introduire dans la chambre d'une jeune fille en passant par le balcon, même avec sa complicité, risquait d'être mal vu, mais ce n'était pas Margot qui le lui reprocherais.
cette dernière pensé le réconforta.
Il attendais sur le balcon, encapuchonné, avec le petit sourire malicieux de l'enfant qui s'appréte a faire une grosse blague.
Un sourire étira le coin de ses lèvres quand il entendit les pieds d'un tabouret frotter sur le parquet, puis un petit moment de silence, une tension palpable entre les deux âmes soeurs bien qu'elle ne se voyent pas.
Efen la sentait, il voyait déjà ses cheveux blond il sentait déjà le soupcon de muget parfumant ses vêtements, il se noyait déja dans la pronfondeur de son regard...comme il ne regrettait pas d'être monté sur ce balcon.
Un rideau de velour les séparait il sufisait de l'écarter.
Des pas précipités et discrets, puis une petite main timide qui se glisse entre les deux rideaux pour les écarter...
Efen fit un pas en avant et tomba dans les bras de Margot, ou bien peut être est-ce l'inverse....peu importe dans ces moments là...
Il l'enlaca par la taille alors que sa petite blonde se pendait à son cou. Efen à peine reveillé, Margot tout jouste endormie, une belle bande de fatigués tiens!
Dans son étreinte elle l'attira dans la pièce. Efen était conscient d'entre dans un royaume, dans un sanctuaire que Margot déféndait farouchement, il entrait dans son monde dans son rêve...
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margot_wolback
Ses bras autour d'elle. Sa main qui la cambre contre lui.
Margot oublie tout le reste.
Oublie qu'elle l'a attiré dans un endroit qui ne devrait être réservé qu'à un mari. Sa chambre de demoiselle...
Oublie que Patience ne dort pas loin et peut les surprendre à n'importe quel moment...

Il est là... Il n'y a plus que ça qui compte.
Enfin le voir, le sentir... Pas envie de se réveiller, de réaliser...
La blonde et son brun, l'ombre et la lumière...

Les lèvres se détachent, la capuche tombe.


Efen... Tu es venu...
Un peu tôt pour prendre le thé non?


Un petit sourire amusé. La bougie sur la coiffeuse éclaire le regard azur qui souhaite se noyer dans l'autre.
Garder le contact, les deux corps collés l'un à l'autre se détachent doucement, mais les mains ne se quittent pas.
Margot se recule, le laissant observer son monde à elle.


Bienvenue chez moi mon amour... Tu es le seul...

En le disant, elle réalise... Une rougeur inonde ses joues. Mais l'amour qu'elle lit dans les yeux d'Efen la rassure.
Elle prend le temps de l'observer, d'admirer son corps solide et délié, de caresser son torse à travers la chemise, s'arrêtant sur le cœur qu'elle sent battre à l'unisson du sien. Temps de la découverte...

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Efenwel713
Efen se laissa envahir par une sensation de bonheur et d'appréhension mêlé, à en juger pas les chuchotis de Margot, elle n'étais pas seule et Efen ne comptait pas compromettre pour sa présence ici.
Leurs mains c'étaient liées, leurs regards aussi, mais Efen détacha les siens des profondeurs azurs pour jeter un coup d'œil circulaire. La pièce était à l'image même de Margot: simple et belle, ici pas de froufrou inutile pas de tapisserie, pas de fil d'or.
Il régnait dans la chambre une atmosphère à la foi simple et douillette. Le regard d'Efen s'arrêta dans le miroir qui reflétait un second lui, il sourit doucement en comprenant subitement combien sa lourde cape sombre et ses v^vêtements de cuirs pouvaient porter à confusion.

Les yeux de charpentiers du moustachu reconnurent des meubles de bonne facture simple et robuste, la pièce sentait l'huile de lin et le muguet...

à ton image...envoutant et magique...il faudrait vraiment que tu viennes chez moi un jour...ça te ferais un drole de choc

Efen inclina la tête et osa aventurer sa main libre sur la hanche de Margot et il la serra fort contre lui...

et oui...en effet...il est un peu tôt pour le thé...
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margot_wolback
Citation:
Il faudrait vraiment que tu viennes chez moi un jour... Ça te ferait un drôle de choc


Choc... Choc dans sa tête, choc dans son cœur... Qu'a-t-elle fait? Il est là, dans cette chambre qui fut son refuge. Jamais, plus jamais ce ne sera pareil... Jamais, plus jamais elle ne pourra oublier l'ombre dans son miroir.

La blonde essaye de s'imaginer son Chez Lui, d'après ce qu'elle connait de lui. La terre est chez lui. Elle l'imagine dans une grotte, dans une cabane, et le trouve décalé dans cette maison.


Paradoxe que ces deux êtres qui sont réunis par l’amour, mais que tout sépare…
Elle est matérialiste, elle est attachée à quatre murs, synonyme de sécurité, ce dont elle a toujours rêvé depuis sa naissance, elle, pauvre petite orpheline…
Il est une ombre, il va et vient, ne s’attache à rien qu’à sa vie. Un passant… Éternel passant, qui regarde les autres vivre dans leurs biens matériels avec commisération…

Elle l’accepte chez elle... Non, elle l'a voulu, fortement souhaité, espérant on ne sait quoi, peut être le retenir… Il vient la voir elle, mais il n’est que de passage…
Passage dans sa chambre de jeune fille innocente, passage dans ce cœur qu’il ravage de son absence, passage dans cette vie de blonde rêveuse et idéaliste.

Un nuage passe lui aussi, menaçant. La vie est ainsi faite, d'orages et de beau temps.


Le regard azur se perd de nouveau dans les prunelles dorées par la bougie. Et là, le brouillard se dissipe, plus rien d'autre ne compte.

Cette main sur ses hanches, chaude et solide... Ce corps qui se presse doucement contre le sien. Ces yeux qui laissent deviner tant de possibilités. Le reste de la maison s'évapore, il ne reste plus rien que cette pièce, que leurs respirations mêlées...
Que cette valse hésitation, emballement cardiaque, noyade cornéenne...
Respiration haletante...
Je veux, je veux pas... J'ai envie mais j'ai peur... Envie de quoi d'ailleurs?
Le corps tremble, s'offre et se recule. Les lèvres vermillons s'entrouvrent, comme pour gouter l'éphémère...
Les mains commencent à explorer le pays inconnu face à elle, se glissent sous la chemise, profitant de la chaleur, de la douceur de la peau... Tête relevée pour ne pas le quitter des yeux, puis baisers déposés dans le creux de son cou...


http://www.youtube.com/watch?v=_tCoDtqZo14
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Efenwel713
un léger vertige en replongeant dans le regard...comme s'il avit peur de se noyer dedans...
la distance qui les séparait n'était plus...les sens était différent, le monde devenait vague et flou...une poussière comparé a cet amour que les deux hypnotisés se portaient mutuellement...
les temps avait disparu il ne restait que le rêve...éveillé cette fois
les lèvres au goût de pommes rencontrèrent la bouche vermeille de Margot doucement...surement sans un mot

deux mains se glissèrent sous sa chemises et Efen frissonna...elle était froide mais venait ici pour se réchauffer...
Efen serra Margot contre lui, il la senti frissonner elle aussi...peut être étais-ce aussi le froid...

les mains d'Efen s'aventurèrent dans le dos de la jolie blonde a qui il avait tout donné ou presque...a qui il avait tout abandonner...
elle remontèrent le dos comme on remonte une piste, une rivière elle jouèrent avec le nœud du laçage du bustier de velours
la folle valse de deux innocents...l'un le redevenant en oubliant le passé, l'autre n'ayant pas eu a le subir deux êtres qui n'aurait pas du se rencontrer mais qui avait défié les cordes du destin et qui essayaient maintenant de s'y retrouver...
ce matin il était venu, par envie, par folie aussi...par folie d'un amour...d'un amour qu'il ne lâcherais pas, qu'il ne laisserais pas mourir...

il détacha le nœud...

http://www.youtube.com/watch?v=2AOXR5Uj8G8
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margot_wolback
Tes baisers... Tes mains au creux de mes reins.
Cette chaleur qui irradie, qui me fait vibrer, trembler, brûler.


La blonde ne réfléchit plus, elle est dépendante.
Dépendante de cet homme, de ses sourires, de ses baisers. Et pour l'instant, dépendante des mains qui remontent le long de sa colonne, trop lentement à son gout.
Retient les soupirs qui débordent ses lèvres. S'accroche à ses épaules comme à une bouée.

Le bustier tombe dans un bruissement, glissant le long du ventre, des cuisses, et s'étalant à leurs pieds. Bruit ténu, mais qui semble résonner dans toute la chambre.
Ils retiennent leur respiration, excitation ou crainte... Un ange passe, les yeux se retiennent. Les mains ne bougent plus, les lèvres gonflées font une pause.

Une chemise contre une chemise. Un bruit dans le couloir, la maisonnée ne va pas tarder à se lever avec l'aurore.
Partir ou rester?
Des remords ou des regrets?
Il n'est pas trop tard pour se réveiller. Encore faut il en avoir envie.
Mais ce que l'onyx révèle à l'azur... Il lui dit: Fais moi confiance, je t'aime et je serais là pour toi... Fais moi confiance ma Belle.

Margot regarde Efen... Efen ne lâche pas Margot. Elle s'écarte de lui, doucement, avec crainte. Espérant qu'il ne tourne pas les talons, pas encore. Un doigt se pose sur les lèvres masculines, pendant que les pas l'éloignent.

Les doigts tremblants tâtonnent le long de la porte pour trouver la serrure, et tourner doucement et silencieusement la clé ouvragée. Les jeux sont faits. Elle revient sur ses pas, sur la pointe des pieds. Se moquant de ce que pourra penser Patience de cette entorse aux habitudes.

Se colle contre lui, sans mot dire, il n'en est nul besoin. D'une pichenette, la cape est détachée et s'effondre à terre. Ses mains retrouvent le chemin de son torse, visitent cette terre inconnue, redescendent, se saisissent des pans de tissu pour faire passer la chemise par dessus la tête brune. Plus envie de trainer. Sentiment d'urgence... Les doigts glissent sur la peau douce, explorant... Les lèvres suivent.
Un homme, une femme.

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Efenwel713
les cliquetis de la clef dans la serrure...les dés était jetés...cette fois ils étaient seuls...ils avaient leur temps, tout leur temps...
la cape s'écoula comme de l'eau sur le sol dans un bruit feutré, la chemise suivit, Efen avait pris soin de retirer ses dagues et les lourds bracelets de force qui les retenaient...
ses mains se calèrent sur hanches de Margot, ses mains se glissèrent sous la chemise sur la peau douce et chaude elle remontèrent pour aller se croiser a milieu de son dos et l'attirer contre lui...
la sirène avait refermé ses filets et elle tenait sa proie...une proie consentante et docile...
instinctivement, amoureusement Margot l'entraina vers le lit à baldaquin et ils tombèrent dessus dans un bruit de tissus froissé et de bois contrarié...
les lèvres se cherchèrent se trouvèrent...les yeux mis clos... les cheveux mêlés
les jambes s'entrelacèrent et une petite main habile tira le baldaquin...
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margot_wolback
[A travers les limbes...]

TOC TOC TOC!
Ce bruit qui résonne au milieu du silence. Les amants emmêlés ouvrent un œil. Ils avaient plongé dans un sommeil bienheureux, l'un contre l'autre. Oublieux du temps et de la situation.
Les rideaux du lit laissent entrevoir la lumière du soleil, surement haut dans le ciel.
Margot s'étire doucement, écartant une mèche de son visage, et laissant trainer ses doigts sur le corps doux et musclé à ses cotés. Un sourire étire ses lèvres, oublieuse du bruit qui vient de la tirer de ses rêves.


TOC TOC TOC!
Une Patience inquiète laisse entendre sa voix.
Demoiselle!! Margot?? Vous... Vous allez bien?

D'une voix endormie, la blonde lui répond...
Oui Patience... Je vais bien....
Un petit coup d'oeil sur le brun à ses cotés, l'idée du danger rend l'affaire pétillante.
Je vais très bien... Mais... La ronde cette nuit m'a épuisée, et puis, je ne sais pas ce que j'ai, mais je suis éreintée...
Je... Je vais me lever bientôt...
Ou pas.

Les pas décroissent dans le couloir.
Margot se laisse couler de nouveau sur le lit, se blottissant sur l'épaule près d'elle.

Alors mon cher? Que fait-on? On se lève, ou...
Une légère rougeur trouble à peine son sourire... L'éclat des yeux azurs fait penser au premier matin du monde.
Ce qu'elle lui a offert, ce qu'il lui a appris, personne ne pourra jamais le défaire...
Pas si fatiguée que ça la demoiselle, envie de vérifier que la suite peut être aussi bien, meilleure même que la première fois.
Les lèvres se retrouvent...

Patience attendra...

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