[RP]C'est noël, c'est noël, c'est noêl...

--Lescomplices

Creuse, creuse facile à dire !
Et dire que je l’ai suivit à cause des futures lapines me suis encore fait avoir moi.

Ils entendirent du bruit Panpan s’arrêta net !

Pépé t’entends y a quelqu’un je sens …

Oui ben c’est bizarre là l’odeur pas des femelles putois, ni…
Il se redressa et se retrouva nez à nez enfin museau à un tas de boule de neige.

Ben regarde Panpan y a un gros bonhomme de neige là.
Une carotte pépé y a une carotte j’vais aller l’a chercher j’ai faim moi !
Mais t’es pas fou dans ta tête Panpan si on t’attrape !
Mais je ne risque rien...

Panpan s’approcha doucement en rampant grimpa doucement sur le bonhomme de neige tendit la pate pour attraper la carotte quand tout à coup les yeux du bonhomme de neige s’ouvrirent.
Il ouvrit la bouche.

AHHHHHHHHHHHHHHHH

Il se retrouva dans la neige la tête la première on n’apercevait qu’une petite queue et deux petites pattes qui bougèrent…
Pépé avait observé toute la scène non ce n’était pas possible Panpan son ami il fallait qu’il aille l’aider tampis. Il rampa Panpan, Panpan tu m’entends je vais d’aider.

Il tira sur la queue n’y arrivant pas. Il entendit un cri venir de loin .

Quel andouille mais ce n’est pas vrai !!!
Oh pardon Panpan tout ça pour une carotte !! Pour une lapine j’aurais compris mais une carotte !!!

Il prit dans ses mains les deux pattes de Panpan et tira dessus comme il pouvait. Au bout de quelques efforts il réussi enfin.
Pauvre Panpan il avait la tête toute rouge.

Je ne sais pas ce qui me retient …

Je crois que si ! Regarde tu vas finir en civet ! Y a plein d' humain et …

Il ouvrit de grands yeux !

Le bonhomme de neige y bouge !!

Quoi ! Quoi !

Vite Panpan vite. !!! Attends je vais cacher nos traces

Il se mis a péter .Une odeur se dégagea …
Ils partirent sans demander leurs restes !!

Vroqu

Vroqu se retrouva soudainement repoussée par deux gros oiseaux noir et blanc qui enveloppèrent Alf de leurs ailes. Elle se remettait de sa surprise quand elle vit arriver, en plus un lapin et un putois.

Namého je rêve! se dit-elle en se frottant les yeux, mais non je ne rêve pas rhoooooooo mais le foret est devenu enchanté ou quoi là?

D'un coup elle sentit une odeur nauséabonde lui arriver dans les narines et cria

Aaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhh nooooooooooooooooooooon mais il nous empeste ce putois..... allez allons nous en, on reviendra quand l'air sera purifié!
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Alfred555

Alfred, après être passé au village pour reprendre des forces, se reposer, se réchauffer, manger un bout et boire une bonne bug, revint en tirant une charrette pleine de cadeaux que les gens avaient déposé en mairie. Il allait les déposer devant le grand sapin illuminé de pleins feux, et était suivi à distances des habitants, impatients de découvrir leurs cadeaux.

Il renifla un peu, fit le tour de la clairière pour vérifier que le putois n’était plus dans les parages, et commença à disposer les cadeaux devant l’arbre de Noël.

Il déposa les paquets, de façon harmonieuse … enfin du mieux qu’il pouvait, on ne peut pas dire que l’art était son fort. Des paquets, on en trouvait de toutes sortes : des gros, des petits, certains à formes bizarres, d’autres disparaissant sous des nœuds énormes, tous très colorés.

Il recula pour voir l’ensemble. Quelle beauté !

Chaque paquet avait une étiquette, permettant à chacun de retrouver le sien.

Il faisait le tour de la clairière, pour observer les surprises et les airs de chacun, ce qui avait été offert, et voir si cela correspondait aux souhaits et désirs des convives.

Il passa devant Astérie et Mrendas, et regarda.

Héhé … un bon pour un mandat ! Je crois que tu as été exaucé, dit-il en rigolant. Et toi Astérie ?

Mais qu’est-ce donc ? Un masque ? … Ah oui … les masques qu’ont les médecins pour soigner les pestiférés. Eh ben, quel cadeau ! Celui qui t’a offert ça connaissait bien ton métier.

Il continua, et croisa Jospinette, Sandrine et Mike, qui venaient de déballer les leurs.

Jos !! Quel tonneau énorme ! C’est pour toi toute seule ? dit-il en riant.

Il vit alors Mike et son luth, puis voyant le cadeau de Sand, prit ses jambes à son cou.

Oulah … je sens que je vais être le premier à rôder ce … truc

Chemin faisant, il vit Brunnhilde du Walhalla qui exhibait fièrement sa hache à double tranchant.

Un vrai cadeau pour Viking !

Elle discutait avec Vroqu, quelque peu sceptique devant son cadeau.

Oohh … des racines de mandragore en forme de … oulah … je crois qu’il y a eu erreur, ce n’est peut-être pas tout à fait ce dont tu rêvais pour Noël … ou alors en chair et en os ? Il partit vite avant de se faire souffleter.

Tout en rigolant, il continua son tour. Un peu plus loin, Liss regardait son cadeau, ébahie.

Ton arbre à mots ressuscité Liss !

Il continua et arriva devant sa Choue, qui avait déballé son cadeau, toute contente, et lui tendait le sien. Il l’embrassa tendrement, puis commença à défaire le sien.

M’enfin ! C’est quoi ça ! Je voulais un oreiller en plumes de pingouin !

Enfin bon … au fond de lui, il était content, il allait pouvoir se vautrer sur son fauteuil comme il aimait si bien le faire. Il allait amener SON fauteuil en tav’, comme ça il aurait toujours une place !

Il entendit alors des cris. Il s’en rapprocha, et vit Ysandre, l’air choqué, comme à son habitude en fait. Arrivé sur place, il comprit la cause de ces cris : George avait commandé pour Noël la tête de sa chère et grande amie Armoria de Mortain ! Rien que cela !

Et Ysa ? Ben comme toujours, un poulpe.

Il revenait vers sa Douce, lorsqu’il failli buter contre un tas de cadeaux. Etonné, il regarda les paquets, puis l’étiquette.

Olah. On dirait que ces paquets ne sont pas tous jeunes. Et je ne vois pas leur destinataire à l’horizon. Tant pis, ce sera pour l’année prochaine … ou peut-être pas …

Joyeux Noël à tous !!

Pour des commodités IRL, nous avons choisi, l’auteur du RP et moi, de faire le déballage dès ce soir, pour que les personnes nommées dans ce topic puissent avoir leurs cadeaux, mais surtout leur contenu, le jour de Noël.

Par ailleurs, rien n'empêche des personnes citées ou non citées ici d'ouvrir d'autres cadeaux.

Merci de votre compréhension, et joyeuses fêtes à tous.

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Ysandre

Qu'elle fut choquée ou pas, Ysandre fit remettre par Ventraucou moults présents à l'attention de ses proches.
Le serviteur resta néanmoins fort perplexe devant celui destiné au sieur Alfred:

Etonnant non?
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Alfred555

Tiens ! Bonjour Ventraucul, tu vas bien ? Tu n'es pas au travail ? Pourtant je suis sûr qu'il y a des jeunes gens à espionner dans leur ébats amo... enfin, bref. La duchesse Ysandre doit bien s'amuser à écouter tes récits.

Ah ? Tu as quelque chose pour moi ? Mais qu'est-ce que ...

Il fit de grands yeux ronds pendant que Ventraucou lui expliquait à quoi cela servait.

Et en plus c'est un cadeau d'Ysandre ?? Diantre, on aura tout vu. Les duchesses ne sont vraiment plus ce qu'elles étaient. Je sens qu'il y en a deux qui vont bien s'amuser avec ça, trouvant que ça va très bien aller avec le cadeau de Sand ... hum ...

Je ne suis pas sorti de l'aubergine avec ces deux là ...

Il partit en râlant.
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Sandrine28

Sandrine avait suivi Alfred, comme tous les autres villageois, elle avait aussi quelques cadeaux à donner.

Quand Alf, lui donna son cadeau, elle sourit et lui tendit un petit paquet également.

Tient j'ai également un cadeau pour toi, ca va te servir quand j'aurai essayé le mien sur tes fesses.

Elle éclata de rire et lui donna un petit coup de martinet sur son séant. puis elle alla voir jos qui était déjà entrain de boire son tonneau.

Hééééééé tu m'en laisses un peu hein

Elle lui tendit son paquet aussi.

puis elle alla vers Vroqu et lui tendit un gros paquet.

Maintenant que tu n'es plus maire, tu vas pouvoir retourner faire de l'exercice en foret.

Elle se dirigea vers son époux, qui tenait kelson dans les bras, elle les embrassa tous les deux, pas de la même manière bien évidemment, puis posa les cadeaux devant eux.

ne te trompe pas mamour, les ours sont pour Kelson.

Elle prit alors son fils dans les bras, lui tendit un des trois ours.

Alfred555

Tu m'étonnes, Sand. J'avoue être surpris par tant de sollicitude de ta part ! Venant de toi, je me serai attendu à quelque outil de torture, une chaise à clou, une cage ou même un pot de miel pour ... enfin bref.
Mais merci pour ce coussin ... royal, hé hé ... pour asseoir ma royale bêtise.

Ta majesté des fous te salue bien bas, Sandrine. Il s'inclina devant elle, à ras de terre.
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Vroqu

J'espère que nos lecteurs auraient eu autant de plaisir à nous lire que ce que nous avons eu de faux rires pendant cet RP. Un grand merci à tous les participants ainsi au LJD Alfred pour avoir passé autant de temps à mettre les cadeaux en place et sans oublier les animaux qui sont arrivés autour du sapin^^

JOYEUX NOEL A TOUTES ET A TOUS
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Sandrine28

héhé c'est la trève de noel alf

JOYEUX NOEL A TOUS

Mrendas

Mrendas était très surpris des présents que tout un chacun offrait. Il ne savait quoi dire.

je suis ému devant tant de bonté et d'attention de tous. Je ne sais pas quoi vous offrir MAIS ce que j'ai à vous dire est sincère.

Joyeux Nôel à vous tous. Chaleur, joie et sourire remplissent vos coeurs.

Il salua tout le monde et s'en alla dans sa mairie mais avant il alla voir son aimée qui l'attendait surement.

Mikep

MikeP, ému de tant de tendresse de la part de son épouse (vi vi alf, je te disais qu'elle était devenue heuh presque sage) prit son nounours et s'en alla jouer......avec les deux autres et son fils Kelson! Merci mon amour, je vous aime tous les deux!! (heuh pas toi Alf hein^^)....ah viiiii t'as vu l'épée alors là je te dis pas mon ami-....faudra r'appliquer hein. Et les boutons de manche eh ben je les met de suite, ça fait bonne impréssion pour un ambassadeur hein......^^
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Brunnhilde

Brunnhilde tenait fierement sa hache, un bien joli présent que ses amis lui offraient là. Elle s'approcha deux, allat les remercier et souhaita un joyeux noel à toutes les personnes présentes.
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--Kelson

Kelson jouait avec son papa et les ours qu'il avait recu pour noël, il était bien enmitouflé, juste ses petites mains qui sortaient. Il essayait d'attraper les oreilles du plus petit des trois.

Et il pensa :
Norf mais pourquoi j'arrive pas à attraper ses oreilles, ca sert à quoi ces mains alors

Il regarda son père, il jouait avec lui, Kelson lui sourit et voulu lui dire.

Dis papa, comment tu fais toi ?

Il essaya encore et encore, n'y arrivait toujours pas. Du coup il se désinterressa de l'ours et regarda ce qu'il se passait autour de lui. Tout le monde se faisait des bisous, lui il aimait que les bisous de sa maman et de son papa.

Norf mais pourquoi ils s'embrassent tous

Miramaz

[Le lendemain de Noël]

La Mirette avait été très sage et gentille toute l'année, c'est pourquoi elle avait demandé en récompense pleins de cadeaux à tous ses amis, en bonne place sur la liste figurait une houppelande, un bisou et un n'amoureux, connaissant la générosité de ses proches elle était sûr d'avoir tout ce qu'elle réclamait comme toujours. Le jour de Noël oh quel miracle ses cadeaux préférés étaient en passe de la rejoindre, la houppelande lui avait été promis, le n'amoureux étais arrivé, il ne manquait plus que le bisou, mais pas n'importe quel bisou et surtout pas de n'importe qui, celui qu'elle voulait l'attendait au pied d'un sapin Saint-Aignanais d'après l'offreur dudit cadeau. Après moultes grognements et sur la demande insistante du bisouilleur elle s'était finalement rendue dans la jolie ville où elle avait habité quelques temps, après un tour des tavernes avec retrouvailles arrosées de bug et une longue attente seule elle s'était décidée à aller chercher son cadeau elle-même, après tout un sapin décoré avec un cadeau empaqueté ça ne devait pas être très compliqué à découvrir.

Elle était donc parti seule dans la forêt lointaine bravant le froid et la neige qui lui glaçaient la peau et les os, une torche à la main elle avançait lentement la nuit étant tombée depuis quelques temps déjà. Elle finit par suivre des traces de pas encore visible pour être sûre de ne pas se perdre, sans savoir si elles étaient dues au passage de bûcherons ou aux pieds de ceux venus admiré LE sapin. S'enfonçant dans la neige et râlant contre l'inconfort de sa jupe humide se collant contre sa peau nue, elle finit par aboutir dans une clairière, levant les yeux en sentant l'espace s'agrandir elle resta bouche bée en voyant l'arbre se dresser majestueusement au centre. Vroqu avait fait du beau travail, et l'arbre resplendissait encore à la lueur de la torche, elle en fit rapidement le tour à la recherche de cadeaux à emprunter à leurs destinataires mais elle ne trouva rien au pied du tronc.

Elle décida de s'attaquer aux branches les remuant dans tous les sens, en faisant tomber la neige par plaque, rien sur les branches les plus basses, elle n'eut pas d'autre choix que de retrousser sa jupe jusqu'à la taille, d'enlever ses bottes et de grimper pieds nus, s'accrochant à l'écorce gelée pour atteindre les plus hautes. Après quelques minutes d'efforts où elle avait manqué chuter une bonne dizaine de fois, toute transpirante malgré le froid, elle finit par apercevoir un minuscule paquet tout au bout d'une branche, c'était le sien forcément, sans plus réfléchir, à califourchon sur ladite branche elle s'avança en rampant, sans se rendre compte que la branche ployait sous son -léger- poids. Elle eut juste le temps de refermer sa main que la branche craqua, la faisant chuter lourdement, sa rencontre avec le sol fut quelque peu amortie par le tapis de neige et elle s'en tira sans trop de mal, le paquet toujours dans la main.

Elle se releva bien vite pour échapper au froid mordant, prit juste le temps d'enfiler ses bottes avant de se jeter sur le paquet déchirant l'emballage parcheminesque. Elle sourit en y découvrant le cadeau tant attendu, un bisou Alfounien et se mit à hurler de joie espérant que cela fasse venir l'Ours. Alfouuuuuuuu! Alfouuuuuu viens vite!! Elle prit la minuscule carte entre ses doigts et la posa contre sa joue, tout près de la commissure des lèvres, là où elle voulait son bisou. Toute émue elle restait là, sautillant d'un pied sur l'autre, hésitant sur la suite, attendre ici ou le rejoindre chez lui? Dans le doute elle ne bougea pas et admira son cadeau, imaginant toutes sortes de choses plus farfelues les unes que les autres.
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Zoko ad eternam

Alfred555

Alfred passait tranquillement d'un villageois à l'autre, en fredonnant et marchant allègrement. Tout à coup, il entendit des cris dans le lointain.

Alfouuuuuuuu ! Alfouuuuuu viens vite !!

Se demandant ce qui se passait, il couru dans la direction des cris. Mais le vent qui sévissait lui indiqua une mauvaise direction. Il arriva devant sa chérie, tout en sueur.

Ambre ? C'est toi qui as crié ? Que t'arrive-t-il ?

Devant l'étonnement de sa Chérie, il se rendit compte que ce n'était pas elle qui l'avait appelé.

Mais qui cela peut-il bien être ...
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C'est noël, c'est noël, c'est noêl...

Vroqu

Vroqu était partie tôt de la taverne ce soir et avait filé en vitesse, une hache sur l'épaule et une lampe dans une main, dans la forêt. Elle chercha pendant un long moment, examinant les arbres les uns après les autres, puis fini par trouve celui qu'elle cherchait.

Ha le voilà, il est parfait !!!

Elle posa la lampe sur le sol et prit la hache des deux mains et se mit à couper l'arbre qui tomba à terre quelques temps plus tard. Elle alla poser la hache à l'orée et revint prendre l'arbre. Le tirant de ses deux mains, petit à petit elle regagna l'orée et le hissa debout, trouva un moyen de le stabiliser, puis s'affaira autour.

Au bout de quelques temps elle recula et admira son travail

Finalement elle s'est dit qu'elle allait en chercher un autre et faire profiter tout le Berry, tout en espérant que cela mettra un peu de gaieté dans les coeurs de tout le monde.
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Alfred555

Alfred arriva devant le sapin. Il avait promis à Vroqu, qui l'avait planté, de venir le voir ... et de lui parler.

Mais quelle idée lui était donc passée par la tête ? Parler à un arbre de Noël ... On aura tout vu !

Alfred, le tribun qui murmurait à l'oreille des sapins de Noël ...

Bonjour, Ô sapin ...

Et là, il se trouva bien bête ... que pouvait-on bien raconter à un sapin ?

... heu ....

Alfred se gratta un peu la tête, à réfléchir ... qu'est-ce qu'il avait l'air idiot.

Ben moi c'est Alfred, je tribune Saint-Aignan, et comme tu es nouveau ici, je te souhaite la bienvenue. Si tu as des soucis, envoie moi un pigeon, sinon tu peux aller voir à mon bureau, hein, tout est expliqué. Je t'ai enregistré dans mes fichiers comme étant né le 13 décembre 1457, jour de la sainte Lucie, fête des Lumières. Quel honneur, pour un illuminé. Heu ne le prend pas mal, hein, mais c'est qu'avec toutes ces bougies ...

Tu m'excuses de ne pas te faire la bise, mais tu piques.
Tu vas bien ? Tu ne te les gèles pas trop, dehors, tout seul ? C'est bête, Vroqu ne t'a pas planté de copains à côté avec qui discuter, jouer au ramponneau, parler des dernières modes de guirlandes et de boules ...
Aujourd'hui, je ne t'ai pas amené de cadeau, Levan a fermé l'open-tav', et on n'a plus de bug. Tu bois de la bug, toi ? Tu préfère peut-être l'eau glacée et la neige. Tu fais des sapins de neige ? Et la pipe, tu la mets où ? Les épines en neige, ça doit être dur à faire, quand même. Enfin bon, c'est pas trop mon soucis, hein. C'est toi qui vois, ça reste une idée.

Bon c'est pas que je m'embête, mais il se fait tard. P't'être que je repasserai te voir. Ou p't'être pas ... enfin je verrai, ça dépendra si Vroqu râle ou pas.
Aller, bonne soirée sapin.

Manquerai plus qu'il me réponde, en plus, marmonna-t-il.

Alfred s'en retourna lentement sur ses pas, se demandant bien pourquoi il avait promis ça à Vroqu ...
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--Sapin

Le sapin commençait à trouver le temps long depuis que Vroqu l'avait planté là, et orné de tous ses bougies et guirlandes. Il avait passé la nuit à éclairer le forêt et puis la journée à regarder passer le monde sans que personne s'approche pour lui parler ou déposer un cadeau à ses pieds mais il se dit que c'était un peu tôt que cela viendrait plus tard... quand soudainement un homme vint enfin lui dire bonjour et Ô en plus commença à lui parler.

Le sapin n'osa pas lui répondre, il ne savait pas si on avait déjà vu des sapins qui parlent mais il écouta avec plaisir, heureux de plus se trouver seul. L'homme dit même avoir enregistré sa naissance et le sapin trouva dommage de pas pouvoir aller voir ça, c'est surement le seul sapin au royaume d'avoir un extrait de naissance officiel et il en était plus que FIER!

Dommage que je n'ai pas de bouche ni de dents, se dit-il, car plus beau sourire que ce que je ferais n'existe pas.

L'homme lui parla de ramponneau, de bug, de bises, d'épines et de neige. Les épines et la neige, il connaissait mais le reste que pouvaient-ils être?

Et puis l'homme lui souhaita une bonne soirée et fit pour s'en aller.

L'arbre, triste d'un coup, se demanda ce qu'il pouvait faire pour le retenir, et secoua ses branches pour voir avec consternation la neige s'envoler et couvrir l'homme d'une couverture blanche.

OUPS !!!

Alfred555

Alfred s'en allait tout juste, lorsqu'il se retrouva recouvert d'une forte couche de neige. Tout étonné, il regarda le ciel : Il ne neigeait pourtant pas. Il se retourna, et regarda le sapin, qui avait retrouvé son vert naturel, et ne supportait plus de neige.

Fichu vent, marmonna-t-il.

Puis, se reprenant : Bizarre bizarre, on ne peut pourtant pas dire que ça souffle beaucoup ce soir.

Il grommela encore, et regarda l'arbre, l'air interrogateur. Perdu dans ses réflexions, il ne se rendit pas compte que le temps passait. Tout d'un coup, revenant à ses esprit, il se rendit compte qu'il avait grand froid, et voulu repartir. La neige avait cependant gelé sur lui, et il se retrouva bloqué.

M'enfin ... c'est bien ma veine.

Il essaya de se secouer dans tous les sens, pour se dégager, mais rien n'y fit.

Norf ... encore un peu et on pourrait croire à une farce de Vroqu.

Il se remit à s'adresser à l'arbre :

Tu n'aurais pas été dressé par Vroqu à me faire tourner en bourrique ?? Quoiqu'elle n'ait pas grand chose à me reprocher. Encore, ce serait Ysandre qui t'aurait planté, j'aurais deviné tout de suite, mais là ...

Mais on se les gèle ici en plus ! Tu fais comment pour résister à ce froid, toi ? Au fait, je n'ai même pas ton nom pour mon registre. Enfin on va mettre SapindeVroqu, ça devrait aller. À moins que ce nom ne soit refusé par le duché ... Dis tu pourrais pas faire la causette ? C'est pas qu'il se fait tard, mais je m'emmerde là. Et je crois qu'on est là pour un bout de temps... pas jusqu'au dégel, j'espère ...

Manquerait plus que des gamins viennent par ici, et surtout qu'ils me plantent une carotte ou une pipe ... je n'ose même pas imaginer où.

Alfred frissonna rien qu'à cette pensée, en plus du froid qu'il éprouvait.

Pauvre de moi ...
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Euphrasie

Zie avait entendu parler en taverne d'un beau sapin que Vroqu avait hissé et décoré à l'orée de la forêt, sa curiosité étant la plus forte, elle supplia son coeur, quand la nuit fût tombée de l'emmener voir le sapin.

Mon coeur, c'est notre premier noël ensemble et en plus le premier du futur mini de nous, faut absolument aller voir ce beau sapin, tu sais que c'est le roi de la forêt et qu'il doit avoir mis sa belle parure... ! Lui dit elle en clignant des yeux !

Sou prit sa douce par la main, en ce moment faut dire qu'il cédait au moindre de ses caprices et la belle le savait bien, et c'est en chantonant une chansonnette de leur invention qu'ils arrivèrent près du majestueux sapin.

Mon beau sapinnnn, roi des forêtttttss que j'aime ta verdureeeee..... !
Rhooo ! Comme on chante bien mon ange, regarde il est bien grand ce sapin et magnifiquement décoré, oh ! Sou comme je suis heureuse, c'est bientôt noël, je vais mettre pleins de cadeaux autour du sapin pour toi, pour notre famille, pour nos amis..., elle lui sourit et l'embrassa avec passion.

Elle remarqua un énorme tas de neige à côté du sapin, elle se demanda ce que Vroqu voulait faire avec ça ? Une sculpture ? Enfin la forme de départ était très originale et elle se dit qu'elle pourait peut être l'agrémenter, il lui vint une idée !

Mon coeur passe moi ton charbon, s'il te plait... !

Et elle se mit à dessiner deux gros yeux noirs, un nez tout rond, une bouche rieuse et deux grosses belles moustaches, elle regarda son chef d'oeuvre et partie d'un grand éclat de rire.
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--Lescomplices

Panpan le lapin et son ami de toujours pépé le putois avait remarqué de la lumière qui venait de la forêt.
Dit Panpan t’as vu las bas y a d’la lumière on va voir y a p’êtes des belles putois hein et des belles lapines.
Pourquoi Pépé y aurait des belles lapines. !
Tu sais bien Panpan quand y a d’la lumière les femelles elles aiment ça...
Ben oui c’est vrai pépé. On y va mais chut car ma mère elle ne veut pas que je m’éloigne de trop du terrier.
Ne t’inquiète pas Panpan.
Je prends de quoi manger et offrir hein si j’rencontre une belle p’tite lapine.

Tout content il tapa le sol avec sa patte ...
Ils arrivèrent vers le lieu d’où sortait toute cette lumière.

Ben dit donc Pépé ! T’as vu ça c’est beau hein !
Ah oui c’est beau ! Mais elles sont où les belles putois.
Elles ne sont pas encore arrivées !

Ils s’approchèrent doucement et observèrent un homme était là. Ils se regardèrent...

Ben qu’est ce qu’il à tu crois pépé qu’il parle au sapin ?
Ben peut être....
On va s’approcher...
Et attention Panpan c’est que c’est un homme et tu sais qu’il aime bien les lapins surtout avec de la sauce …

Panpan s’arrêta net et se mit à ramper, Pépé beaucoup moins courageux attendait plus loin mais la curiosité aidant il s’approcha également.
Ils entendirent l’homme parler au sapin ils se regardèrent se demandèrent si il n’était pas un peu fou. Lorsqu’ils aperçurent un autre humain mais cette fois –ci c’était une femme !
Ils se cachèrent tant bien que mal.

T’inquiète Panpan s’ils approchent je leur pette dessus ….

--Lescomplices

Panpan se mit à taper de la patte au sol. Pépé qui le regardait lui fît de gros yeux.

Arrête Panpan ! On va nous découvrir !
Ben ce n’est pas grave t’as dis que tu leur Pétra dessus mais t’as raison attend car je risque aussi …

Pépé sourit d’un petit air malicieux se tourna releva sa queue tourna légèrement son postérieur ….

Pépé arrête si tu pète maintenant pas de jolie putois tu vas les faires fuir.
Les femelles putois elle aiment ça Panpan dit plutôt que se sont les petites lapines qui n’aiment pas …
Aller Pépé on va s’approcher encore non attend il a bougé !
Panpan creuse tu sais faire !

Il creusa un trou et à peine eu t’il terminer qu’une boule de poil lui tomba dessus.

Ben t’en a mis du temps ! J’ai failli attendre !
Tu m’écraaaase Pépéééééééé!!
Dis j’suis gros !
Pas t’ai gros mais tu m’écrase et j’ai …
Tu n’aurais pas pu faire un trou plus grand !
Plus grand plus grand toi alors tu ne manque pas d’air !!
Non ça va et toi ?
Et on va faire quoi maintenant ?

Panpan s’arrêta net colla une oreille sur le museau de Pépé j’entends quelque chose …

Des voix se faisaient entendre et ils étaient tout les deux coincés au fond du trou c’était à voir un lapin et un putois !
Pépé soupira …Maintenant les belles putois vont croire qu’il y a personne et vont partir …
Les belles putois Pépé on s’en fichent !
Quoi on s’en fiche !!
Pépé ont est coincé dans un trou des humains peuvent nous attrapé et je ne veux pas servir de civet de lapin ! Et toi tu pense au belles putois ah Pépé tu n’es pas croyable !
Ben oui je suis Pépé beau putois j’ai une réputation ! Tu as raison si on se fait prendre au moins qu’il ni ai pas de belles putois la honte ! Dans un trou avec un lapin ! Ma réputation sniff ! Fait quelque chose !!!
T’as réputation et moi alors ! Tu veux que je fasse quoi ?
T’es un lapin creuse !

--Bonhomme_de_neige

Le bonhomme de neige, après s'être fait gribouiller dessus par Euphrasie, commençait à trouver le temps long, surtout qu'il faisait toujours grand froid, bien qu'il ne neigeât plus. Il essayait de regarder les bêtises qui lui avaient bien pu être faites par Euphrasie, mais il était trop gelé pour faire un quelconque mouvement. Il n'avait plus qu'à attendre, encore et encore, qu'une bonne volonté passe par là, et surtout le reconnaisse.

Des bruits bizarres l'inquiétaient un peu ... des grattements, des bruissements et même des chuchotis .... tout cela ne le rassurait guère. La nuit commençant à tomber (avec un peu de malchance elle allait lui tomber sur le pied, en plus), il se dit qu'il n'allait pas très bien dormir. Les bruits angoissants continuaient, on aurait même dit une bagarre ou une dispute. Même en pleine forêt, au milieu de nulle part, ça râlait et jaspinait. Il se dit qu'il n'était pas prêt de sortir de l'aubergine ... ou plutôt de la glace.

Vroqu

Ca faisait quelques jours que Vroqu avait déposé le sapin à l'orée de la foret et qu'elle n'était plus revenue le voir. Noël s'approchait à grands pas, elle décida donc d'aller voir s'il était encore debout.

Arrivant sur les lieux quelle surprise de voir que quelqu'un avait fait un bonhomme de neige juste à côté et de surplus lui avait dessiné des yeux, un nez une bouche et une moustache. Elle se marra en le voyant et s'approcha pour en faire le tour. Oh mais que voyait-elle ? Un mantel bleu et une cape rouge qui dépassaient par derrière!

Hummmmmmm étrange se dit-elle mais quelqu'un doit se cacher la dessous! Norf de norf ce n'est pas possible il doit être complétement congelé!!!

Elle se gratta la tête pis se dit : naaaaaaaaan personne n'est aussi idiot que se cacher sous la neige.
Le regarda de nouveau et pensa qu'une belle carotte serait bien mieux comme nez et qu'il lui faudrait une écharpe et un chapeau haute forme.

Vroqu partit en courant chercher dont elle avait besoin et revint terminer le travail

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--Pamabibipingouin

Ils avaient marché pendant longtemps, se sont perdus plusieurs fois, étaient bien loin de leur d'habitation mais en arrivant dans un village dans le Berry avaient entendu parlé d'un certain Alf qui, apparemment aimait bien leur race. Donc ils étaient bien décidés de le trouver, qui sait peut être qu'il pourrait leur remettre dans le droit chemin pour chez eux.

Dans le foret ils aperçurent une lueur de lumière et se dirigèrent dessus pour voir un arbre illuminé devant eux et un drôle de bonhomme gelé qui semblait fait de neige. Ils avancèrent doucement, se balançant sur chaque côté et avec crainte, chez eux on ne voyait rien de la sort.
Bibi pingouin leva la tête vers Ma pingouin puis vers Pa pingouin cherchant dans leurs regard l'assurance dont il était loin de ressentir. Enfin voyant que rien ne bougeait tous trois arrivèrent vers le bonhomme en neige et se mit à lui renifler, poussant quelques coups de becs dans ses flancs. Ils firent le tour et virent tout comme Vroqu quelques instants plus tôt du tissue bleu et rouge qui dépassait derrière.
Bibi pingouin tira sur le rouge et arracha un bout....

héhé se dit-il, c'est marrant cette histoire là,

et attrapa cette fois ci le bleu et tira de toutes ses forces. Le tissue semblait plus résistant et Bibi pingouin dû lâcher prise et tomba sur le dos!

Squiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiqueeeeeeeeeeeeee, cria-t-il en se débattant pour essayer de se remettre debout.

En l'entendant Ma et Pa pingouins vint, en se dandinant à droit et à gauche aussi vite qu'ils purent, à son secours. Pa pingouin pensa aussitôt que c'était le bonhomme en neige qui avait causé la chute et une fois son fils de nouveau sur ses pattes, de rage il l'approcha et se mit à lui picoter très vite et très fort.

Et prends ça, dit-il en langage pingouin, et ça et ça!!!

Quand soudainement Ma pingouin poussa à son tour un cri, elle avait entendu des bruits venant de derrière un des arbres de la foret.

Flap flap flap flap flap flap firent ses ailes et nos trois pingouins s'en allèrent vite se cacher pour observer la suite des événements.

--Bonhomme_de_neige

Alfred, toujours coincé dans son bloc de neige glacée, transformé en bonhomme de neige, quoique bien habillé maintenant avec son chapeau, sa carotte et son écharpe, continuait à se les geler grave. Quand Vroqu était passée, voyant un bout de sa cape et de son mantel dépasser, il avait eu un regain d'espoir, pensant que son calvaire allait finir. Eh bien non, cette fichue mairesse avait simplement sourit, en lui déposant l'écharpe, le chapeau, les morceaux de charbon ... dessus, sans même se préoccuper de lui.

Vroqu, au secours, c'est moiiiii ... Alfred, ton tribuuunn. T'as pas encore remarqué ma disparition au village ? mais il ne pouvait toujours pas articuler un mot, et Vroqu ne remarqua rien, bien évidemment.
Maire indigne, pensa-t-il.

Une fois Vroqu partie, il recommença à se mort-fondre, en râlant et pestant en pensée sur le mauvais sort qui s'acharnait contre lui, se disant qu'il allait vraiment devoir attendre le dégel pour s'en sortir. Et encore, dans quel état !

Les heures passaient, et Alfred s'endormit, bien au froid. Heureusement que sa cape l'enveloppait quelque peu convenablement ... Il fut réveillé par des pas furtifs sur la neige. Tout con-gelé qu'il était, il mit un peu de temps à reprendre ses esprits.

Hein ?? Où-suis-je ? Où vais-je ? Où cours-je ? Heuuu non, je ne peux bouger. J'ai pris racine en tout cas, courge que je suis. Dans quel état j'erre ? Brrrr ... toujours prisonnier de cette fichue neige. Tenace en plus !

Les pas se faisant plus insistants, il se mit à écouter.

Qu'ois-je ?

À cette pensée, il se remémora un moment de taverne. Ca discutait avec Ysandre, Vroqu, Mike, Sandrine, Jospinette, Ambrelus, et certainement d'autres encore, de poules, de basse-cour, et de haute-cour pour faire plaisir à Ysandre, toujours choquée par tout et par rien. Haute-cour composée exclusivement de dindes et d'oies, les coqs se pavanant et leurs poules et poulettes restant relégués à la basse-cour. Il avait alors pris la parole, tout fou qu'il était, dans un élan de débilité et d'intelligence dont il avait le secret :

Oyez, oyez ... oyez, oyez ... c'est du verbe "ouïr". Oyez, oyez ... le verbe ouïr, c'est un verbe très difficile à conjuguer. Au présent ... au présent, ça fait j'ois. Eh bien, si au lieu de dire "j'entend", je dis "j'ois", les gueux vont penser que ce que j'entend est joyeux... alors que ce que j'entend peut-être particulièrement triste ! Il faudrait préciser... Ô Aristote, que ce que j'ois est triste !
J'ois. Tu ois... le chien qui aboie le soir au fond des bois ... Il oit. Oyons-nous, vous oyez, ils oient... c'est bête.
L'oie oit. Et l'oie l'oit. Ce que nous oyons, l'oie l'oit-elle ? Et si au lieu de dire "l'oreille", on dit "l'ouie", alors là ... L'ouie de l'oie a ouï. Pour peu que l'oie appartienne à Louis, alors là ... L'ouie de l'oie de Louis a ouï. Ah oui ? Et qu'a ouï l'ouie de l'oie de Louis ? Elle a ouï ce que l'ouie de toute oie oit. Et qu'oit toute oie ? Toute oie oit quand mon chien aboie le soir au fond des bois, toute oie oit Ouah, Ouah, qu'elle oit, l'oie.
Au passé, ça fait j'ouïs ... ya vraiment pas de quoi !

Le bruit se répétant, des-cons-centrés, il arrêta son délire, et se mit à observer ce qui ce passait. Écarquillant ses pupilles, il cru n'en pas revenir ses yeux. En fait d'oie et de haute-cour, c'étaient des pingouins qui se dressaient devant lui ! Lui qui rêvait d'un oreiller en plumes de pingouins ... et là il avait l'air bien bête face à eux, tout con-gelé (et cons-typé, à force de se retenir) qu'il était. Il regarda le pingouin qui l'observait, de sa haute silhouette, avec un air con-descendant. Croyant à une hallucination, il se demanda s'il n'était pas grand temps d'aller à con-fesse, et si ce n'était pas le châtiment divin qui lui tombait dessus. Les voyant con-verser, en langage pingouin, bien entendu, puis voyant le gamin pingouin, déjà une terreur a priori, se mettre à couiner, il se dit que c'était peut-être réel. Idée con-firmée lorsque le plus grand des dadais se mit à lui picorer avec force le bas de la neige, faisant un beau trou dans sa cape.

M'enfin, ça coûte cher tout ça, tu peux pas faire gaffe toi ! Retourne chez toi ... heu avant donne moi de tes plumes, que je puisse me faire un oreiller en plumes de pingouin, ce serait bête de ne point en profiter... alors que le pingouin ne pouvait ni l'entendre, et encore moins le comprendre.

Tout d'un coup, les trois con-pères prirent leurs jambes ... enfin leurs pattes à leur cou, et Alfred les vit se réfugier du plus vite qu'ils pouvaient, en se dandinant de gauche et de droite, derrière un arbre. Alfred, se demandant ce qui se passait, attendit. De toutes façons, que pouvait-il bien faire d'autre ?

Tirade sur l'ouie tiré du répertoire de Raymond Devos, remodelé à la sauce RR. Hommage à son génie de l'emploi de la langue française.

Vroqu

L'avant veille de noël Vroqu revint vers le sapin et en arrivant vit quelques oiseaux très étranges tourner autour du bonhomme en neige. Elle n'osa pas s'approcher de peur de les effrayer mais resta cachée pendant de longues minutes en train de les voir faire. Elle étouffa ses rires pendant que le plus gros se mit à donner des coups de becs, il avait l'air bien en colère. Mais à fur et à mesure qu'il faisait des trous dans la neige, elle vit encore du tissue bleu et rouge et soudainement émit un cri de stupeur.

Mais... mais... mais je reconnais, ce sont les habits d'Alf, oh mon dieu mais c'est bien lui en dessous de toute cette neige, rhàlàlàlà mais qu'a-t-il encore fait pour se retrouver dans une situations pareille!

Elle fit du bruit et les oiseaux coururent se mettre à l'abri, elle en profita donc de vite plonger ses mains dans la neige et la jeter sur le sol libérant petit à petit le pauvre Alf, raide comme une statue de bronze. Ses lèvres bougeait légèrement mais ses yeux la suppliaient.

Une fois la neige enlevée, elle se défit de sa cape et enveloppa Alf dedans et le frotta énergiquement le voyant tourner du bleu au rouge vif mais tremblant comme une feuille.

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Alfred555

Alfred grelottait ... enfin la délivrance.

Vroqu ... brrrr .... tu es pass...ss...ss...ssée devvvvant moi pp...pp...plusieurs ffois, et tttu nn...nn'as rien vu !! aglaglagla ...Je te manquais ss..ssi peu en mmairie ??

Il grelottait de plus belle, et Vroqu l'emmitoufla dans sa cape, en le frictionnant pour le réchauffer.

Mais tu te rends compte du temps que j'ai passé là dessous ?? Je ne sais même pas comment j'ai pu m'en sortir vivant ! On est même venu me gribouiller dessus ... ralala. Je la retiens celle-la !

Il se reposa un instant, aux côtés de Vroqu qui continuait son manège pour lui redonner des couleurs.

Ah, cela va beaucoup mieux maintenant. Merci Vroqu !

Tu m'excuses, mais là j'ai une urgence. Ca fait heu ... longtemps que je me retiens, et heu ... j'ai un besoin urgentissime d'aller cueillir une rose.
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--Pamabibipingouin

Avant que Alf puisse partir, les trois oiseaux qui avaient vu toute la scène, comprirent d'un coup que celui qui était sous les traits d'un homme de neige était celui qu'ils cherchaient. Ils sortent alors en vitesse de leur cachette et vinrent finir de le rechauffer.

Alfred555

Aaaah ... Vroooqu on m'attaque ! Au secoooours ! Ils vont encore me picorer comme ils l'ont déjà fait !

Alfred se retrouva coincé entre les deux grands pingouins et n'eût plus trop le choix. Il reste donc là tandis que les oiseaux s'affairaient à le couver et lui souffler dessus pour le réchauffer encore.

Heuu ... merci, mais là je commence à avoir vraiment très chaud ...

Il leur serra la nageoire affectueusement.

Et sinon vous voulez quoi ? Connaître le chemin de la mer ? Ben vous voyez le Cher là bas ? Vous plongez, et vous en suivez le cours.

Il se demanda ce qu'ils avaient bien pu comprendre à son blabla.

Sinon vous pouvez rester pour les fêtes, hein. D'ailleurs, j'aimerai bien un oreiller en plumes de pingouin, ça vous dirait de m'en donner un peu ??

Il se dit qu'il était tombé bien bas ... il avait parlé à un sapin, il avait déliré, il s'était pris pour un bonhomme de neige, et maintenant, il parlait à des pingouins ... bientôt il allait voir des mammouths roses.
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--Lescomplices

Vroqu

Alfred555

Héhé … un bon pour un mandat ! Je crois que tu as été exaucé, dit-il en rigolant. Et toi Astérie ?

Jos !! Quel tonneau énorme ! C’est pour toi toute seule ? dit-il en riant.

Un vrai cadeau pour Viking !

Elle discutait avec Vroqu, quelque peu sceptique devant son cadeau.

M’enfin ! C’est quoi ça ! Je voulais un oreiller en plumes de pingouin !

Et Ysa ? Ben comme toujours, un poulpe.

Il revenait vers sa Douce, lorsqu’il failli buter contre un tas de cadeaux. Etonné, il regarda les paquets, puis l’étiquette.

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Ysandre

Qu'elle fut choquée ou pas, Ysandre fit remettre par Ventraucou moults présents à l'attention de ses proches.
Le serviteur resta néanmoins fort perplexe devant celui destiné au sieur Alfred:

Etonnant non?
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Alfred555

Sandrine28

Sandrine avait suivi Alfred, comme tous les autres villageois, elle avait aussi quelques cadeaux à donner.

Quand Alf, lui donna son cadeau, elle sourit et lui tendit un petit paquet également.

Elle lui tendit son paquet aussi.

puis elle alla vers Vroqu et lui tendit un gros paquet.

Maintenant que tu n'es plus maire, tu vas pouvoir retourner faire de l'exercice en foret.

Elle se dirigea vers son époux, qui tenait kelson dans les bras, elle les embrassa tous les deux, pas de la même manière bien évidemment, puis posa les cadeaux devant eux.

ne te trompe pas mamour, les ours sont pour Kelson.

Elle prit alors son fils dans les bras, lui tendit un des trois ours.

Alfred555

Vroqu

JOYEUX NOEL A TOUTES ET A TOUS
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Sandrine28

héhé c'est la trève de noel alf

JOYEUX NOEL A TOUS

Mrendas

Mikep

Brunnhilde

--Kelson

Miramaz

Zoko ad eternam

Alfred555

Miramaz

Après avoir attendu de longues minutes, frissonnant sous le vent tourbillonnant, elle finit par se dire qu'elle n'avait pas pris la bonne décision, et qu'elle allait geler ici avant sans voir personne et surtout pas l'être détesté. Sa décision était prise elle allait rentrer au village, et chercher Alfou, au pire elle demanderait à Vroqu, celle-ci savait toujours où le trouver. Elle secoua ses vêtements pour y enlever la neige, se frictionna pour se réchauffer un peu et se mit en chemin le cadeau glissé dans son corsage. Retraverser la forêt la torche à la main en tremblant de froid n'était plus aussi simple qu'à l'aller, elle ne voyait plus trop les traces qu'elle avait fait à l'aller, d'autres les coupants en plusieurs endroit et finit par se perdre, arrivant dans une autre clairière vide cette fois-ci. Gelée, agacée, se sentant idiote d’avoir voulue aller seule voir ce maudit sapin, ne sachant plus comment retrouver son chemin, elle décida de fermer les yeux, de ne plus tenir compte des traces qu’elle ne voyait plus guère, se fiant seulement à son odorat et à son ouïe elle avança à l’aveugle bras tendu devant elle pour ne pas se cogner.

Elle marchait à pas lents, effleurant les branches du bout des doigts, essayant de se guider aux bruits des bêtes dans les étables, à l’odeur des repas cuisant dans les cheminées, se rapprochant petit à petit du village malgré les nombreux détours la menant à un champ ou une masure isolés. Elle finit par arriver à un endroit où les odeurs étaient plus fortes, le vent moins violent et les bruits un peu plus nombreux, ici un meuglement, là-bas un bêlement, encore ici le cri d’une mère, plus loin les rire d’un enfant. Ouvrant les yeux elle sut qu’elle était enfin de retour, elle voulut aller immédiatement en taverne réclamer son cadeau mais transie elle préféra se sécher et se changer avant. Elle se dirigea donc droit vers la taverne de son amie Sad, elle en avait encore la clef pour s’en servir de refuge à chaque passage à SA, elle alluma plusieurs torches et se dirigea droit vers le comptoir, se glissant derrière, elle se déshabilla et posa ses habits trempés devant la cheminée éteinte, avant de chercher de quoi se sécher. Une fois fait, elle enfila une longue chemise blanche, et se servit de ses vieux haillons comme d’une jupe n’ayant pas d’autres vêtements secs. Elle disposa deux torches près des frusques humides et elle s’assit en tailleurs devant attendant de pouvoir sortir à nouveau. Son cadeau dans la main gauche, elle se mit à rêvasser pour faire passer le temps, imaginant un monde impossible, où elle aurait tout ce qu’elle voulait, perdue dans ses rêves elle était sourde et aveugle à ce qui pouvait se passer autour d’elle.
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Zoko ad eternam

Alfred555

Alfred, fatigué par sa soirée, et surtout par les évènements qu’il avait vécus auparavant, rentrait chez lui en rêvassant de tout et de rien. Il marchait dans la neige, heureux que tout le monde ait trouvé son compte, mais progressait difficilement en raison du vent qui s’était levé, et de la neige qui s’était remise à tourbillonner. Le chemin avait tendance à disparaître par endroit, et il devait lutter pour ne pas se perdre. Le froid le tenait au corps et il frissonnait en tremblant comme une feuille. La fatigue aidant, il prit la mauvaise direction à l’intersection et se retrouva à une autre entrée du village que celle où il était sensé arriver.

Se remettant un peu de ses esprits, il chercha à voir où il se trouvait, recherche rendue difficile avec la pénombre de la nuit et le peu de lumière dans le village. Il avançait à tâtons, lorsqu’il vit une fenêtre illuminée. Il s’approcha pour prendre ses repère, puis se rendit compte que c’était la taverne du Chaperon Rouge. Mais … cette taverne n’était-elle pas fermée depuis que sa propriétaire, Sadnezz, avait quitté Saint-Aignan ? Curieux, il regarda par la fenêtre. Quelqu’un était là, dans la grande salle commune, assis près de plusieurs torches allumées. Intrigué, il se glissa sans bruit dans la pièce mal éclairée, et s’approcha. Une jeune femme se tenait là, assise en tailleur, dos à lui, et qui semblait n’avoir pas remarqué sa présence. Il s’approcha, la silhouette lui paraissait familière. Observant la personne, il eut soudainement l’illumination. Mira ! Miramaz, la jeune tourangelle qu’il avait connue avant la guerre, et avec qui il avait eu de bons moments bien arrosés en taverne. Mira la terreur, Mira la douce emmerderesse absolue… Mira la mercenaire, ayant escaladé en coup de vent les remparts de Saint-Aignan pendant le siège de la ville pour passer le voir. Elle avait l’air perdue dans ses rêveries, emmitouflée dans une longue chemise en soie. Se rapprochant, il remarqua qu’elle tenait un papier dans sa main. Le saisissant délicatement, quelle ne fût pas sa surprise de voir l’étiquette au nom de Mira, et surtout le cadeau auquel elle était accrochée. Un bisou de lui ! Oh stupeur.

Mira ?

N’obtenant pas de réponse, la jeune femme toujours perdue dans ses rêves, il s’accroupit devant elle, et lui fit un tendre bisou sur la joue, au coin de la lèvre.
Il lui chuchota à l’oreille : Joyeux Noël, Mira.
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Amliss

Liss attendit que l'endroit soit désert , sans savoir pourquoi Noël la rendait toujours triste et elle ne voulait en rien ternir le bonheur des autres.ça ne l'empêchait pas d'aller visiter ce bel arbre.une grand histoire avec elle que les arbres .
Elle fut très surprise de voir une étiquette à son nom aussi elle regarda bien pour être sur de ne pas se tromper puis après un moment d'hésitation déchira le paquet .
Un arbre a mot qui fâche ! elle sourit a l'arbrisseau se disant voila qu'il boude celui la , pas content d'avoir été délaisser .
De ses mains ,elle creusa tant bien que mal a fin de libérer le plus de racines,mit toute ses forces pour l'extraire de la terre gelée.
Et lui dit toi que je connais un petit coin ou tu pourras pousser.
Son précieux fardeau sur le dos elle prit le chemin du village quand un doute la figea, un fit demi tour retourna au sapin ,s'essuya les mains sur sa robe sur sa robe et du bout des doigts sortit de sa poche un bonnet qu'elle laissa a l'endroit de son présent.
elle y accrochât une étiquette

Citation:

Bonnet de lutin facétieux à l'intention alf :
pour que tu éclaires toujours notre monde de
ta fraicheur et de ta bonne humeur

liss

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Alfred555

[Le lendemain]

Alfred, après une bonne nuit de repos, retourna contempler le sapin, et surtout nettoyer la clairière des papiers qui avaient pu y être laissés.
Gardons notre forêt propre et en bon état !
Le chemin était bien plus aisé que la veillé, la neige ayant cessé de tomber, et le vent s'étant calmé. Un léger brouillard recouvrait l'orée de la forêt, créant une ambiance quelque peu inquiétante, mais qui ne dérangeait pas Alfred plus que de mesure. Le chemin était bien visible, de par les traces de pas dans la neige des fêtards étant rentrés chez eux tard dans la nuit. Alfred en était même à se demander comment certains avaient pu rentrer sans bérouette...

Arrivé dans la clairière, il fit le tour de l'arbre et ramassa de ci, de là, quelques objets égarés où quelques détritus oubliés.

Tiens, un fût vide... ça m'aurait étonné. Enfin bon, au moins il va servir.

Il l'ouvrit, et déposa à l'intérieur tout ce qu'il avait pu ramasser.

Eh bien, ça se remplit vite ! Encore heureux, je pourrai le rouler en revenant.

Continuant son ménage, il découvrit un paquet délaissé.

Diantre ! Quelqu'un aura oublié son cadeau.

Il se pencha, le prit dans ses main et examina l'étiquette. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'il vit que le présent lui était adressé. Un bonnet, voilà qui allait lui tenir chaud pour finir l'hiver. Il était accompagné d'un mot :

Citation:

Bonnet de lutin facétieux à l'intention alf :
Pour que tu éclaires toujours notre monde de
ta fraicheur et de ta bonne humeur

Liss

Il en eut la larme à l'oeil, bien que celui-ci pétilla de bonheur.
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[RP]C'est noël, c'est noël, c'est noêl...