Langelot
[En taverne]
j'étais encore tout au moment magique, qui venait de se produire entre moi et ma belle, quand la tavernière arriva. Dame Ralas nous salua ma belle et moi.
La conversation s'engagea. On m'avait refusé un emploi et je me plaignis de devoir encore travailler à la mine. Mes mains me faisaient tellement mal d'y avoir si souvent travaillé.
Pour mon plus grand bonheur, Dame Ralas se trouva être également infirmière. Elle examina avec attention mes mains blessés, laissant apparaître du pus à divers endroits. Elle alla chercher derrière son comptoir un onguent pour me soigner. Une application midi et soir, me dit-elle
J'étais gêné, je ne pouvais pas payer. J'essayais de lui expliquer quand le médicastre arriva. Mes mains furent vites entre les siennes et il m'expliqua avec force détails ce que je risquais. Il me parla de sa scie et de ce qu'il comptait en faire pour endiguer le mal. L'onguent me suffirait. Sans mains, on travaille quand même moins bien.
[Le lendemain, devant la maison du médicastre]
Je m'étais appliqué à ôter le pus. J'avais ensuite appliqué l'onguent au matin. Ca m'avait soulagé. Je voulais montrer mes mains au doc. Peut-être la vue de mes mains guérissantes avec cet onguent le dissuaderait d'utiliser trop fréquemment la scie. Je toquais à sa porte.
j'étais encore tout au moment magique, qui venait de se produire entre moi et ma belle, quand la tavernière arriva. Dame Ralas nous salua ma belle et moi.
La conversation s'engagea. On m'avait refusé un emploi et je me plaignis de devoir encore travailler à la mine. Mes mains me faisaient tellement mal d'y avoir si souvent travaillé.
Pour mon plus grand bonheur, Dame Ralas se trouva être également infirmière. Elle examina avec attention mes mains blessés, laissant apparaître du pus à divers endroits. Elle alla chercher derrière son comptoir un onguent pour me soigner. Une application midi et soir, me dit-elle
J'étais gêné, je ne pouvais pas payer. J'essayais de lui expliquer quand le médicastre arriva. Mes mains furent vites entre les siennes et il m'expliqua avec force détails ce que je risquais. Il me parla de sa scie et de ce qu'il comptait en faire pour endiguer le mal. L'onguent me suffirait. Sans mains, on travaille quand même moins bien.
[Le lendemain, devant la maison du médicastre]
Je m'étais appliqué à ôter le pus. J'avais ensuite appliqué l'onguent au matin. Ca m'avait soulagé. Je voulais montrer mes mains au doc. Peut-être la vue de mes mains guérissantes avec cet onguent le dissuaderait d'utiliser trop fréquemment la scie. Je toquais à sa porte.