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Mariage de Kro et Diia

Ellya
[ 21 mai 1457 ]

Ellya étouffa un bâillement. Elle s'était endormie dans le jardin.

Que faisais-je là-bas...

Ses pas la portèrent vers l'abbatiale sans qu'elle y prête attention. Regard vers le lieu sombre et vide.

%@#"! (= Iesu Christos) Les fleurs! Le mariage!

La panique. Depuis combien de temps rêvassait-elle? Où étaient-ils tous?

La nonne courut vers les cloches et sauta, et tira, de toutes ses forces sur la corde afin de faire le plus de bruit possible.

C'est l'heure, c'est l'heure!

Elle manqua de s'étaler au sol à cause d'un banc qui trainait par là - dans l'abbatiale, oui - alors qu'elle se dirigeait de nouveau vers le potager pour les fleurs.

Edit pour cohérence de date, d'où le changement.
Safranne LaFiole
Un réveil éprouvant : Le bruit des cloches raisonnant dans ma pauvre tête encore alourdie par la beuverie de la veille. Arrêtez les donc!! , avais-je envie de crier.

Mais les cloches continuaient leur vacarme, inlassablement.. les sons se déformaient dans mon esprit encore paralysé par l'abus de boisson. Ding DIng Donc devenait alors Dinggggggggg Diiiiiiiiiiiiiiia Kroooooooooooo... me rappelant ce jour inespéré: le gros lourdot prenant femme. Non, je ne pouvais pas manquer ce jour, dusse-je rendre le contenu de mon estomac dans le bénitier.

J'attrapai ma nouvelle toge. Celle que l'on venait de coudre. Les toutes nouvelles et toutes...serrées. Je n'avais pas eu le temps de l'essayer, mais... serrée, vraiment totalement étouffante.

Engoncée dans ma toge qui me faisait ressembler à une péripatéticienne tout juste rhabillée de son dernier travail.

Et c'est ainsi moulée que je me présentai dans la lueur des vitraux, devant une assemblée qui se rassemblait dans l'édifice. Ellya était là, essoufflée et des fleurs plein les bras. Qui la toisait de haut en bas. Je penchai mes lèvres près de son oreille.


C'est pou' le fantasme de l'ami Kro. Faut bien exciter un peu ses sens. C'et pas l'sermon qu'on va lui faire qui va l'rendre bon sur la paillasse!

_________________
Ellya
Fleurs trouvées, Ellya retourna au pas de course vers l'abbatiale. Les cloches avaient rempli leur rôle, les retraitant arrivaient. Pour son plus grand soulagement.

La jeune nonne se mit à chercher Diia des yeux afin de lui remettre le bouquet mais ne la vit nul part. Elle commençait à se dire qu'elle aurait plus de chance de trouver la future mariée à Confess' quand elle tomba nez à nez avec La Fiole.

Encombrée par les végétaux, elle ne vit pas de prime abord la tenue de la gitane et ne réalisa vraiment la présence de cette dernière qu'en sentant son souffle sur son oreille.

Air chaud et intime qui se balada sur son lobe, caressant furtivement sa joue qui se colorait au rythme des paroles de sa sœur.

Son cœur se mit à battre. Vite. Trop vite. Elle mit cela sur le compte de son innocence quant aux choses de l'amour et aux choses de " la paillasse ". Il est vrai qu'elle avait toujours la même réaction physiologique quand quelqu'un abordait un tel sujet.

Et donc, comme d'habitude dans ces moments-là, elle prit un petit air outré assorti d'un
"Ooh! Safranne! ".

Et c'est à ce moment qu'elle comprit réellement les paroles de la sœur. Baladant son regard de haut en bas, rougissant de plus belle, elle découvrit les formes - ma foi plus que généreuses - de la confessoeur.

Et, peut-être est-ce à cause de la fatigue, peut-être à cause de son réveil brutal, ou encore peut-être à cause de sa surprise...toujours est-il qu'au lieu de renvoyer illico presto la jeune femme dans sa cellule se changer, elle laissa ses yeux se poser sur le corps de la bohémienne et en admirer les courbes...
Sophie_Ancee
Les cloches... oui, c'était aujourd'hui qu'avaient lieu les épousailles du prévôt Kronembourg... jour très important pour lui et jour de fête pour l'ordre cistercien.

Sophie se réjouissait d'avance d'une telle occasion de partager un grand moment de bonheur avec tous ses freres et soeurs.

Elle s'empara donc de son exemplaire du livre des vertus et laissa la le nouveau formulaire A56 de la commission de sécurité des installations monastiques que Frere Roger lui avait demandé de préparer (les nouvelles normes prévoyant que les issues de secours devaient nécessairement faire 1 pouce de large par quintal de moine (et moniale) présent dans l'abbaye).
Sur le chemin, elle réfléchissait à un moyen de rendre amusante la nécessaire pesée de tous les moines et moniales et se demandait bien à combien de quintaux elle arriverait...

C'est donc perdue dans ses pensées qu'elle entra dans l'abbatiale sans vraiment prêter attention aux personnes présentes. Ce n'est qu'en arrivant quasiment à la hauteur de ses deux soeurs qu'elle se rendit compte que soeur Ellya semblait bien perplexe... sans que Sophie n'ai la moindre idée de ce qui pouvait provoquer cette rougeur finalement habituelle chez la naïve amatrice de colliers de fleurs.

Elle salua donc d'une voix douce ses deux soeurs :


Bonjour mes soeurs ! Alors, ou sont nos tourtereaux?
Aradiia
Les cloches retentissaient a tout va, son pas se faisait plus vif…
Le froissement des jupons de sa robe de mariée s’accordait à sa marche précipitée dans les couloirs. Aradiia voyait ce jour depuis déjà si longtemps, que rien ni personne qu’elle pourrait croiser dans l’abbaye puisse changer le cours de cette journée tant souhaitée.
*Voila nous y sommes enfin ! Je vais être la femme de Kro ! *

Les yeux dans le vague un instant, le cœur s’accéléra puis un sourire tinta ses lèvres, elle pensait encore et toujours à lui…

La jeune femme arriva légèrement essoufflée devant les portes de l’abbatiale, un rayon de soleil balayait les dalles de l’entrée. Un coup de vent apporta comme une caresse des senteurs fleuries, elle l’huma avec délice. Un mélange de glycines et de lilas fut la dominance fragile qui vient lui chatouiller les narines.

Diia passa la porte quand son regard se porta directement sur Ellya qu’elle rejoignit rapidement. Sa chère marraine était accompagnée de deux sœurs visiblement habituées des lieux, elle les salua en inclinant la tête, s’attardant sur l’accoutrement étrangement équivoque de l’une d’elles. Elle regarda quelques secondes la jeune femme en fronçant légèrement les sourcils, avant de s’adresser aux soeurs avec un sourire timide.


Bonjour mes sœurs, je suis Aradiia la promise de votre protecteur messire Kronembourg, nous désirons nous unirent dans cette si belle église en votre compagnie, j’espère !

Elle prie un temps d’hésitation, puis s’approchant d’Ellya elle lui chuchota.

Tu as vu ce matin, mon kro ?
Eloin
DONG ! DONG ! DONG !

Ah, ces maudites cloches ! Toujours à sonner lorsque le sommeil vous trouve enfin, après une nuit à se tourner et se retourner dans la mince paillasse. Elle avait passé sa nuit à se demander si elle faisait le bon choix de quitter le Maine, si la Guyenne ne finirait pas par l'ennuyer un jour, si elle ne finirait point par se lasser de cette famille pour laquelle elle estait si présente ce jourd'hui... Tant de questions qui l'avaient empêchée de trouver le sommeil, alors que les ronflements de certains moines luy parvenaient, assourdis par la distance et la lourdeur des portes des cellules, rythmant ses pensées.
Eloin prit son oreiller et se dissimula dessous, espérant que le bruit en serait ainsi atténué et luy permettrait de dormir.


DONG ! DONG ! DONG !

Mais c'est qu'il insistait, le moine sonneur, ce matin ! Pourtant ce n'estait point dimanche, la messe dominicale n'estait point à l'ordre du jour !
Avec un soupir rageur, elle sortit de son lit et enfila sa chemise de lin lavée la veille et sentant bon le savon ramené de Marseille
par un marchant ambuland qui estait souvent aux marchés bordelais, et passa ensuite sa toute nouvelle tenue de moniale, taillée dans les longueurs de tissu offertes par dame Solore. Une belle coupe, ni trop près ni trop loin du corps, de longues manches cachant ses mains comme elle aimait en porter, et un voile bien plus agréable à porter que l'ancien, grasce à un cercle de fer cousu dans un repli du tissu. Elle traversa le couloir des cellules, passa une porte et un couloir, puys une nouvelle porte, et se retrouva dans l'Abbatiale.

Et retrouva la mémoire en voyant la jeune Aradiia dans une fort belle tenue. Le mariage... LE MARIAGE... LA cérémonie qu'elle avait promis de célébrer aux deux jeunes gens, célébration qu'elle avait failli rater pour la laisser lachement dans les mains de soeur Ellya. Elle se félicita, lors, d'avoir mis sa nouvelle tenue, qui ferait pour l'heure office de vesture de cérémonie.
Un sourire sur les lèvres, elle s'avança droit sur la soeur portière, et salua les deux aultres soeurs.


Excuse-moy, Ellya, j'avais malencontreusement oublié que ce jour il me faut célébrer ce fameux mariage !

*Je sens que cela va estre une sacrée cérémonie, vu le caractère du promis...*
Pensée bien ingrate pour elle qui avait comme précepte de ne point médire sur les gens, mais le personnage du protecteur de l'Abbaye estait par trop extra-ordinaire pour qu'elle s'y attarde un tant soit peu !


Souhaites-tu m'aider dans cette célébration ?

Son regard est attiré par la vesture de soeur Safranne, bien plus osée que la sienne, au point que mesme soeur Ellya semblait en estre troublée. Il faudrait veiller au grain avec cet accoutrement, car la jeune femme attirerait encore plus qu'avant le regard des hommes. Et des mâles, il y en avait une bonne légion, à Noirlac !

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Utilisez MSN pour me joindre uniquement en cas d'urgence, SVP.
Kronembourg
[ Dans le couloir ]



Mon Dieu, c'était épouvantable. Jamais il ne saurait faire face après ce qui venait de se passer.

Diia... le couloir où elle lui avait fait si mal sans raison ... la douleur, l'atroce douleur qui le torturait à l'entrejambes... l'indigestion de navets engloutis la veille, le mal de crâne qui ne le quittait plus depuis des jours.
Le témoin manchot décédé, l'obligation de faire des courbettes devant Enosch, les gifles qu'il avait reçu récemment pour avoir tenu des propos misogynes en taverne.... Un cauchemar total.

Et ces cloches qui n'arrêtaient pas de sonner, et le Kro qui n'osait pas entrer à l'intérieur de l'Abbatiale. Paralysé de peur et de douleur il avait presque envie de se sauver plutôt que de faire son entrée en tenant ses parties intimes à deux mains, recroquevillé sur lui-même dans une démarche tordue.

Bon sang, mais quelle mouche avait piqué Diia ?
Elle avait sûrement cru bien faire en lui empoignant son intimité de la sorte. Elle si jeune, elle qui ne connaissait rien à la vie. Si jeune, si jeune, peut-être même trop jeune !
Dos au mur du couloir menant à l'abbatiale, Kro réfléchit tout à coup.
Il fallait qu'il médite une dernière fois dans un endroit calme et apaisant en attendant que la douleur se passe. Perplexe, il prit la direction des latrines d'un pas titubant.
Ellya
Enveloppée dans la douce chaleur émise par les battements irréguliers de son cœur, elle se mit à divaguer au rythme de ses pensées.

Étreinte par ce feu ami, elle le laissa, curieuse, s'infiltrer en amant.

Quelques minutes de plus, et elle eut compris.
Quelques minutes de plus, et elle eut inconsciemment agi, guidée par les quelques rares instincts qui avaient encore maitrise sur l'homme.
Les flammes auraient dansé dans ses yeux, son corps avec elles.


Bonjour mes soeurs ! Alors, ou sont nos tourtereaux?


Flèche de réalité dans la bulle pécheresse. Ignorée d'un grognement peu subtil.

Tu as vu ce matin, mon kro ?

Deuxième assaut. Froncements de sourcils qui surplombent les yeux rêveurs.

Excuse-moy, Ellya, j'avais malencontreusement oublié que ce jour il me faut célébrer ce fameux mariage !


La chaleur s'éteint, le brasier s'essouffle. Il ne reste que la sœur et ses formes envoutantes.

Souhaites-tu m'aider dans cette célébration ?

Sortie du rêve, d'un rêve, la jeune nonne tourna un visage quelque peu endormi vers Eloin.


Et bien...

Le temps de se rappeler, et d'oublier.

Je peux t'aider, oui, si tu en as besoin, répondit-elle en gratifiant sa sœur d'un sourire.

Elle se tourna ensuite vers sa filleule, remettant les fleurs à la future mariée.


Voi-là! Tu es ravissante. Et non, je n'ai point vu ton fiancé. Mais ne t'inquiètes pas, le bougre ne devrait pas tarder.

Deuxième sourire, rassurant cette fois. Il ne fallait pas qu'elle panique, la belle mariée.

Tu n'as rien oublié?
Dzerva
Je venais d'arriver dans cette sublime abbaye...
Tout ici fait rêver !!
je m'installe au fond, heureuse d'être présente pour célébrer ce marriage !

Et sans refouler des rêves de moi et Fred ici, bientôt...
Enosch
[Ventadour, comté du Limousin, trois jours plus tôt, place de la mairie]


Du haut de l’estrade le Vicaire de Ventadour regardait les villageois massés en grand nombre. Au moins la moitié des âmes de la bourgade. En contrebas, la populace beuglait à qui mieux mieux :

-NON NE PARTEZ PAS MON PERE ! COMMENT ALLONS-NOUS FAIRE SANS VOUS ?

Le sergent du village, quinquagénaire à la voix sourde, essuya quelques larmes sur son visage, d’une façon très digne. Dans la cohue se mêlaient larmoiements, quelques éclats de voix, bousculades en tous genre afin d’être plus prés du vicaire. Une femme tenant son jeune enfant en bas âge hurla tout à coup :

-C’est insupportable, je préfère me suicider que de vous savoir loin de nous !

Enosch leva le bras, et le silence se fit.

-Ma sœur, ce serait péché que de vous jeter dans le lac !
Deux jeunes demoiselles du premier rang regardaient le vicaire, sourire polisson, et l’une des deux dit à sa compagne :
-Ce qu’il parle bien notre vicaire, et en plus il est mignon !
Enosch porta le regard sur les demoiselles, et leur sourit, arborant une fierté et une hauteur que seul les puceaux peuvent se permettre.
Soudain à l’autre bout de la place, une clameur encore plus forte se fit entendre. Un coup d’œil affuté du vicaire confirma que c’était bel et bien un rassemblement en faveur de son adversaire à la course pour la mairie. Le Sir Ragondin.
Ragondin, économiste passable, mais politicien demago hors pair, promettait la distribution de cadeaux en tout genres aux villageois. Puis il désigna du doigt le vicaire. Les regards teigneux se tournèrent vers lui. La tension se fit plus lourde et le ventre d’Enosch gargouilla. Au loin un coq chanta. Enosch vit une chose voler à travers ciel, décrivant une parabole. Le petit objet rouge s’approcha, et vint s’écraser sur son visage.
Le coq chanta à nouveau…
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Enosch ouvrit grand les yeux et se redressa de son lit. Il secoua la tête tentant de sortir de ce mauvais rêve qui le hantait depuis une semaine, depuis qu'il avait perdu les élections pour une voix de difference. Puis il se rappela qu’il était venu le jour de son voyage pour son retour à l’Abbaye afin de célébrer le mariage de cet écervelé mais sympathique soldat Kronembourg.


*Ha non, c’est vrai , diacre à présent…que dieu nous pardonne*

Apres s’être lavé les fesses à l’eau froide dans une bassine, ce qui lui donnait toujours un regain d’énergie, Enosch attrapa son baluchon et sortit de la pièce miteuse qui lui servait de chambre, dans ce bouge infame du centre ville.
En bas des escaliers, le serviteur attendait Enosch afin de percevoir sa paye d’un écu pour avoir préparé son cheval.

-Tenez mon brave ! Et surtout ne vous inquiétez je serais vite de retour.
Le vieux grommela.
-Oui, oui, c’est ça et puis ça nous fera des vacances à nous aussi.
Avant de filer.

Enosch ouvrit la porte de la taverne, la claqua en sortant et sauta dans sa charrette en direction de sa cher abbaye Saint Arnvald de Noirlac.


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kamazone

[Le Jardin des Délices]

Couchée sur le ventre, coudes à terre (non nuage en fait), joues dans les mains et pieds relevés en éventail à l'arrière, Kama vient jeter un oeil dans le monde des vivants

La Sicaire est devenue grasse pulpeuse comme un ti cochon de lait grâce à l'abondance de mets exquis et l'absence d'activité. Faut dire que vivante, elle se dépensait, notamment les derniers temps dans l'Armée du Salut, armée Républicaine dans laquelle elle était chef de lance et recruteuse pour le Lion de Juda, à Pontarlier. Sans parler des heures passées à s'envoyer en l'air avec son Tendre, Aileron.

Tout en mangeant un bon morceau de fromage du coeur de la meule Hélvète, Kama se dit qu'elle irait bien prendre des nouvelles du moinillon taupinard..comment qu'il s'appelle déjà..ah oui, Enosch.

Léger remuement du bout du nez, et téléportation immédiate à Noirlac. C'est bien la vie de Jardinère Délicieuse..y'a pas à dire. Ca vaut le coup de se battre pour la Vray Foy Réformée dans sa vie.

Et là à Noirlac..SURPRISE

Kronembourg..le Kronembourg ..qui se marie.

Kama a une reminiscence de souvenirs agréables en observant l'homme. Kro..rares sont les hommes qui ont fait frémir la feu Sicaire, et l'espace d'un instant, d'une parenthèse, d'un laisser aller ou...quoi d'autres? Son coeur avait chaviré pour ce bourrin. Allez comprendre l'alchimie et la volonté du Très Haut parfois.

Au Jardin des Délices, on ne peut être que heureux, et il n'y a ni remord, ni regret. On regarde sa vie avec détachement, considérant que le tout constitue une âme, et que la vie a été belle.De plus, dans ce même Jardin des Délices, les âmes pures adorent s'amuser. Kama a soudain son sourire mutin angélique qui apparaît …

Aujourd'hui, c'est fête ! Et pour commencer, y'a pas de mariage heureux si il n'est pas pluvieux il paraît.

Sur la route où Enosch voyage et au dessus du l'abbaye, le ciel s'assombrit, et une pluie battante débute. Peu à peu...des vents violents se lèvent.

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Sicaire du Lion de Juda Morte

Anciennement toujours quelques douceurs à portée de main

bridgess1961
Montée sur Aubade, son ânesse ou plutôt l'âne emprunté au Manoir de Kiwi, Bridg s'était rendu à l'abbaye pour le mariage de ses amis, le chemin lui avait semblée plus long que lorsqu'elle l'avait parcouru à pied, cela était dû au fait d'être rester assise sur le dos de celle ci et de ne pas vraiment savoir comment faire de l'équitation, chaque fois qu'elle retombait sur le dos d'Aubade, lui rappellais les douleurs des glissades de tavernes, à la différence que personne lui tendait un polochon ou un coussin pour la soulager et compatir avec elle
Après un certain temps sur le dos d'Aubade, Bridgess ne put s'empêcher de laisser échapper des sons à chacun des pas de son animal qui semblait tendre les oreilles se demandant ce que sa maîtresse voulait bien lui dire.
-Aouch aiie aye ayii ....
-Ahhh ce qu'on ne ferait pas pour des amis.^^

Elle arriva finalement, à l'abbaye, attacha Aubade à l'écurie et après les conseils d'usage à son ânesse ..le ciel sembla s'assombrir, Bridgess se couvrit et reserra son écharpe, leva les yeux vers le ciel en pensant.
*Etonnant tout de même comme la température peut être changeante parfois^^ tout peut arriver dans cet abbatiale finalement*

Bridgess se depécha de se rendre au mariage dans l'abbatial.

En arrivant à l'abris du temps qui devenait vraiment maussade, Bridgess se lissa les cheveux, le vent ayant défait sa coiffe puis lissa ses habits, elle jeta un regard encore vers l'extérieur et se dit tout bas.

-Arff pourvu que le Très Haut retrouve sa bonne humeur avant la fin de la messe, c'est que je dois repartir après moi,

Enfin regardant dans la salle de l'abbatiale et les invites déjà arrivees elle salua de la main Diia, regarda à gauche et à droite mais ne vit nul part le Kro,bien pour une fois elle serait en avance
elle ne reconnu pas toutes les retraitantes sauf Dzerva et lui fit aussi un sourire amicale.
Certainement que tous arriveraient en même temps.
Bridgess pris place sur un banc légèrement en retrait, et le temps d'attendre que tous soient arrivés elle plongea dans ses souvenirs...

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rosy76
Apprenant qu' enfin, le mariage de Dia et de son futur barbu allait commencer, Rosy et Piesek chevauchèrent le baudet. Le chemin était long pour atteindre Noilac et la pauvre bête avait de la peine à avancer. C'est alors que lui vint une idée. Descendant de l'animal, Rosy rechercha un morceau de branche d'au moins un mètre de long, sortie de sa besace un bout de laine qu'elle accrocha à la pointe du bois. Puis enfin, l'une des carottes apportés au cas où son bicounet aurai eu un petit creux pendant le voyage. La canne à pêche improvisée fini, la damoiselle regrimpa et l'utilisa comme attrape cou.... A la vue du légume, le bestiau bava d'envie de pouvoir le déguster à toutes les sauces possibles. Il se mit à galopper tel un Pégase qui prend son envol. En moins de temps qu'il ne fallait, le petit couple était à la porte de l'abbaye. Piesek enmenna le bourrin à l'écurie.

Ils rentrairent dans la chapelle où devait se dérouler la cérémonie. Bridg était déjà arrivé, ainsi que Dzerva. Ils les rejoingnirent et les bisouillèrent, s'installant à leurs cotés.
elmichele
Elmichele etait coincée dans la conciergerie depuis.......tellement de jours qu'elle etait affamée et deshydratée!!!!mais voilà la soeur Ellya etait
venue puis repartie tres vite ,la laissant plantée là, d'ailleurs elle avait en
effet pris racine,avait dormi debout,epuisé les quelques pains rassis de son baluchon ,bu les chopes qu'elle avait amenées en cadeau et avait commencé à dépérir ,jour apres jour...
elle avait hurlé,tambouriné à la porte,pleuré meme ,imploré ,ragé, s'etait
tordu les mains et griffé les joues...
et là,effarée elle entendait sonner les cloches de la cérémonie ,que faire ????

Au secourrrrrrrrs ,je ne veux pas mourir enfermée ici !!!!!A l'aide!!!!!
AU SECOURSSSS DIAAAAA ,KROOOOOOO!!!!!
nono44
nono etais tellement pris par son travail a la mairie qu'il en ariva en retard au mariage de kro et de diia

il se faufilla et alla s'asseoir pres de rosy at piesiek et les autres blayais qui etais venu

il les salua au passage a attendi la suite de la ceremonie



ouffffff apperement tout le monde n'est pas arriver
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