Oli13
il était une fois...ainsi pourrait commencer l'histoire, loin de l'imagination, et des fantasmes de toutes sortes, les chemins de la vie mesnent parfois aux retrouvailles.....
il était une fois , dis ai je, loin des cités françoyses, proche de ce pays que l'on nomme Italie, caraque marchande, naviguait le long des cotes Méditerranéennes, comme à son habitude...
pres d'un port génois, rassemblement de marchands, faisant escale pour y remplir les cales, d'objets plus scintillant les uns que les autres, la caraque avait mis bas les voiles
l'équipage, pied à terre depuis la veille, profitait pour boire et chanter.
hélas la boulasse n'est point seule à veiller.... en cette nuit noire aussi le mal rosdait.
la caraque esseuler, mes parents endormis
ayant deux mastins pour seul garantie
se fit prendre d'assault par dix et un bandits
qui pour butin s'en prendre, laissa tout deux sans vie
c'est plus tard que je compris,
enlevé par ces bandits
ce qu'allait m'apprendre la vie
l'honneur à tout prix!
mes parents occis
de 5 à 10 ans je vie de rapine et autres raccourcis
allegeant les bourgeois, et autres érudits
je portais sur mon dos tout le poid du mépris
alors que je fus pris,
par sergent de prévosté aigris
tant par son age, que par sa morne vie
viel homme m'aida, et je m'enfuis
il m'éduqua tant bien que mal, et de la vie
tout ce qu'il fallait savoir, m'apprit
jouant avec mots et chiffres, jusqu'à prendre pour lui
les maux, les medisances et le mépris
il était agé, mais avait pour lui
les connaissances du monde, et l'amour d'autruis
grand sage, hermite, sa vie , il avait choisie
et sur mes parents, et ma soeur, beaucoup m'avait appris
à sa mort, destin funeste qui contraste avec la vie
à la recherche de ma seule famille, je me mis
parcourant le royaume, et de ma soeur, cherchais signe de vie
n'ayant pour description que de vague on dit
à tous je le dis !
100 écus donnerais à iceluy
qui par information et lieux précis
me donnera d'elle signe de vie
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il était une fois , dis ai je, loin des cités françoyses, proche de ce pays que l'on nomme Italie, caraque marchande, naviguait le long des cotes Méditerranéennes, comme à son habitude...
pres d'un port génois, rassemblement de marchands, faisant escale pour y remplir les cales, d'objets plus scintillant les uns que les autres, la caraque avait mis bas les voiles
l'équipage, pied à terre depuis la veille, profitait pour boire et chanter.
hélas la boulasse n'est point seule à veiller.... en cette nuit noire aussi le mal rosdait.
la caraque esseuler, mes parents endormis
ayant deux mastins pour seul garantie
se fit prendre d'assault par dix et un bandits
qui pour butin s'en prendre, laissa tout deux sans vie
c'est plus tard que je compris,
enlevé par ces bandits
ce qu'allait m'apprendre la vie
l'honneur à tout prix!
mes parents occis
de 5 à 10 ans je vie de rapine et autres raccourcis
allegeant les bourgeois, et autres érudits
je portais sur mon dos tout le poid du mépris
alors que je fus pris,
par sergent de prévosté aigris
tant par son age, que par sa morne vie
viel homme m'aida, et je m'enfuis
il m'éduqua tant bien que mal, et de la vie
tout ce qu'il fallait savoir, m'apprit
jouant avec mots et chiffres, jusqu'à prendre pour lui
les maux, les medisances et le mépris
il était agé, mais avait pour lui
les connaissances du monde, et l'amour d'autruis
grand sage, hermite, sa vie , il avait choisie
et sur mes parents, et ma soeur, beaucoup m'avait appris
à sa mort, destin funeste qui contraste avec la vie
à la recherche de ma seule famille, je me mis
parcourant le royaume, et de ma soeur, cherchais signe de vie
n'ayant pour description que de vague on dit
à tous je le dis !
100 écus donnerais à iceluy
qui par information et lieux précis
me donnera d'elle signe de vie
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