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[RP] [Divisé] Cathédrale d'Artois

---fromFR>Thelvynotep
Un ciel maussade pour accueillir un évenement empli d'une tristesse sans fin. La bise glaciale qui hantait le parvis de l'Eglise était aussi mordante sous la grande voûte. Le glissement du vent hurlait lugubrement en résonnant sur les hautes colonnes, et se mélaient aux pleurs des personnes présentes pour dire au revoir à Olivier de Richebourg.

Thelvy se sentait le souffle court, peinant sous le fardeau de la douleur intérieur, douleur amplifiée par la sollenité de la cérémonie, mais empreinte d'une certaine résignation apaisante.
La vie suit son chemin, nous dit le Père Kolmar.

La vie suit son chemin...

Le Baron de Houllefort se glissa délicatement aux côtés de la Baronne pour rendre hommage au nouveau né nouvellement baptisé.

Avec un sourire léger, il posa sa grande main épaisse et caleuse sur le petit ventre, tandis que son esprit s'envolait dès années en arrière.

Lui même avait grandi sans un Père pour le guider. Il savait à quel point il était dur de se faire une place en ce monde gangréné, et que la vie lui jouerait bien des tours...Mais il venait d'entrer dans la Famille d'Aristote et Christos par le baptême, aussi sans doute était il un peu plus protégé face à l'adversité...

Puis Thelvy leva les yeux vers Patience, et parvint à lire dans la profondeur de ce regard blessé et de ce coeur meurtri, toute la force d'esprit et la détermination de cette jeune mère-veuve, à qui le destin avait joué bien vilaine farce.


Le Baron glissa lui glissa ces quelques mots.

Sois en Paix Victorine. Le petit est entre de bonnes mains pour affronter le monde de demain.
Sa Famille le protégera en toutes circonstances, tant qu'il vivra en ce monde.

Puis il déposa un baiser léger sur son front avant d'ajouter d'une voix presque inaudible...

Crois moi, ce voyage te fera beaucoup de bien...

Il sortit ensuite de la batisse, l'esprit embrumé de milles pensées.
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Disciple Elleurcien et Vandussien
Jehanne
Jéhanne n'aurait manqué cet hommage pour rien au monde...
Elle était arrivée en Artois que depuis la veille et avait regagné Calais le jour même pour se reposer quelques heures et se rafraichir quelque peu de son dernier voyage en Normandie, où elle avait appis le drame.

Elle regagna Arras dans la matinée et attendit le cortège pour se joindre à lui, mais était restée en retrait.
Sa douleur était grande et se lisait sur son visage.

Elle avança péniblement vers la cathédrale qui accueillait les fidèles venus de toutes parts du Comté, puis y pénétra à son tour.
Elle se signa après avoir délicatement trempé le bout des doigts dans le bénitier prévu à cet effet.

Elle prit place, toujours en recul, afin de prier Le Très Haut en mémoire du Baron défunt.

Une fois de plus ses pensées allèrent à l'épouse d'Olivier et à cet enfant qu'il laissait derrière lui...
Jéhanne adressa aussi une prière pour que tous deux aient la force et le courage d'affronter le vide de cette disparition.

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pnj
Khis avait promis à sa soeur qu'il l'accompagnerait jusqu'à Arras en cette triste journée, pour les funérailles d'Olivier. Ainsi se trouvait-il à ses cotés lorsqu'elle entra dans l'église, lorsqu'elle se signa et avança vers le centre de l'église.

Lui-même n'avait jamais vraiment connu Olivier. Du moins, pas directement. Bien sur, ses poèmes étaient réputés pour être parmi les plus jolis d'Artois. Mais de l'Homme à proprement parler, Khis ne savait rien.

Il était triste pour Patience et leur enfant. Il savait qu'elle avait un tempérament fort, un tempérament de Richebourg. Mais il est parfois des peines que même un tel caractère n'arrive à surmonter.

Arrivé devant Patience et leur enfant, Khis ne sut quoi dire. Il la regarda d'un air plein de chagrin, mais également d'un air qui se voulait rassurant, comme pour dire qu'elle se devait de surmonter tout ceci, au moins pour le petit, et qu'elle aurait toute l'aide dont elle aurait besoin de la part de toutes les personnes qui se trouvaient là en ce jour.
Snuffymage
Snuffymage, qui était venu expréssement d'Azincourt pour assister à la messe d'enterrement, fut frappé par le grand nombre de personnes présentes.
Assis sur les bancs ou debouts, pleurant ou affichant des mine graves, toutes les classes sociales paratageaient le deuil.
Les visages tristes montraient à quel point Olivier avait été aimé.

Surtout par son épouse, visage livide et éploré plus que tous les autres.
---fromFRRomarin
A la fin de l'office, juste avant que les cloches ne sonnent à nouveau, Romarin s'était levée et avait fait signe à Kolmar en lui montrant un feuillet puis était venue à ses côtés. Sans préambule, la voix cassée, mais courageusement, la jeune fille si pleine de vie qu'on appelait "Petiote" fit la lecture de ce conte que les artésiens connaissaient déjà ...

La mort et le bouffon.

Il était une fois, il y a bien longtemps un bouffon qui avait tant mangé qu'on le disait proche du trépas au castel du Comte. Tout le monde était bien triste. Ce petit homme avait un humour si grand que tous aimaient à se raconter ses pitreries et ses frasques, les seigneurs et les dames durant leur somptueux dîners pour réjouir leurs hôtes, les soldats pour tromper l'ennui sur leur chemin de ronde, les enfants à la chapelle tandis que le vieux moine officiait, jusqu'aux cygnes des douves quand le temps était maussade. Mais à présent, tout le monde avait une humeur d'ours et la morosité semblait couler dans les flots gris des petits rus que pleurait le talweg, car la mort était venue au chevet du bouffon ...

Lorsque celle-ci s'approcha de lui dans sa belle houppelande noire, le bouffon ne résista pas ... au plaisir de lui raconter en pensée les meilleures blagues qu'il connaissait avant de décéder. Il était ainsi le bouffon du Comte ... Il suffisait de lui donner un public, et même sa dernière heure venue, il tentait encore d'amuser jusqu'à la mort elle-même. Celle-ci rit à s'en mordre les côtes, tremblant comme la quintaine touchée par cette arme inattendue, tant et si bien qu'à la fin ... le bouffon ne mourut point ! Car le pitre s'esclaffant avec elle recracha l'osselet de poulet qui s'était coincé dans sa gorge durant le repas. Tout le monde était bien soulagé, du sénéchal au cagot, à travers tout le Comté ! La joie revint crépiter comme le feu sur les torches des gardes, frétiller comme le poisson dans les rets des pêcheurs, chanter comme les trompettes aux banquets des grands nobles.

Tout le monde était bien soulagé à un petit détail près ... Plus personne ne mourait ! Et la quiétude un moment revenue dans la région s'en alla à nouveau rejoindre les oubliettes ... Que se passait-il donc ? La mort elle-même était-elle morte ? Cela ne se pouvait pas ! Mais où donc était-elle alors ? Le temps s'écoulait et plus personne ne décédait malgré les souffrances et la vieillesse. Plus personne n'héritait non plus alors que s'amassaient dans les coffres des vieux marchands les richesses rapportées par les aunes de tissu et les nombreuses denrées vendues sur les marchés du Comté. Les jeunes comme les vieillards, tous en avaient assez. Aristote et Satan eux-mêmes étaient d'accord pour une fois, ne voyant plus arriver à leurs portes les ouailles qui avaient fait preuve de fidélité à Dieu ou en avaient manqué. Il fallait trouver une solution. Oui, il fallait retrouver la mort.

Un jour, alors que la cloche sonnait none, le bouffon qui jusque là n'avait rien dit, n'y tint plus. C'est qu'il avait trouvé quelque chose après le départ de la mort qui avait peut-être un lien avec sa disparition. Il se rendit donc au cimetière près de l'église et là il l'attendit. Jusque là, il n'avait pas osé le faire car il craignait qu'elle ne le prit avec lui. Il avait déjà survécu à une rencontre et ne voulait pas retenter l'expérience. Mais à présent, la situation était trop grave.

Enfin minuit sonna et il la vit, errant parmi les tombes comme une âme en peine à la recherche de quelque chose, sa grande capuche abaissée sur sa tête comme si elle voulait cacher sa tristesse. Le bouffon s'approcha d'elle et lui tendit ce qu'il avait trouvé chez lui la veille de sa disparition. C'était une dent ! Une dent que la mort avait perdu chez le bouffon tandis que ses mâchoires s'entrechoquaient de rire. Délicatement la mort prit celle-ci et la replaça dans sa bouche. C'est qu'elle était coquette la sombre demoiselle et adorait séduire. Il n'était pas question pour elle de se présenter avec une dent en moins devant un beau chevalier tombé à la bataille. La mort s'inclina devant le bouffon puis elle se retira. Elle avait tant de travail en retard ! Le bouffon, quant à lui, fit rire encore longtemps tous les gens du Comté et vécut jusqu'à un âge extrêmement avancé, au point que certains disaient en souriant que la mort était bien loin d'avoir une dent contre lui ...

Olivier le Gentil.

Romarin sourit faiblement en regardant l'assemblée. Elle aurait tant aimé que son père soit ce bouffon-là et vive jusqu'à un âge avancé pour encore les charmer de ses pitreries. Elle ne dit rien de plus et se retira, le coeur triste.
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---fromFRpatience
"Ce voyage te fera beaucoup de bien... " Victorine sourit à son cousin. Faire ce projet lui donnerait la force, l'envie ... peut-être. Le baiser du Baron de Houllefort lui procura un peu de chaleur, et les signes d'amitié des personnes présentes un peu de réconfort.

Victorine se tourna pour confier Nicolas à Rox sa désormais marraine. Les deux Dames Blanches échangèrent un regard. Elle savait combien ce geste était lourd de sens pour l'avenir. Elle avait confiance.

Un parrain, Kolmar, pour lui faire goûter les joies de la taverne après la messe. Une marraine, Rox, pour lui faire battre la campagne à la poursuite des pires criminels. Ce choix aurait-il plu à Olivier ... Certainement elle aurait prétexté que l'un était d'une grande bonté et l'autre poursuivait l'idéal chevaleresque. Certainement il aurait acquiessé avec un sourire tendre. Victorine sentit les larmes monter et se détourna vers les artésiens venus présenter leurs condoléances, pour, d'une voix faible, remercier chacun d'être venu honnorer la mémoire d'Olivier.

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Maeva83
Elle prit maladroitement mais délicatement l'enfant dans ses bras, elle était gênée de cette maladresse, mais oh combien honorée par cette marque de confiance et d'amitié dont elle faisait l'objet.

Il ne faisait aucun doute qu'elle le chérirait, le protégerait et guiderait ses pas vers sa destinée.
Son coeur débordait déjà d'amour pour ce petit être sans défense qu'on lui confiait. Les yeux embués par l'émotion, le coeur triste de faire ses derniers adieux au Baron, elle déposa un baiser sur la joue de Victorine, et se mit un peu en retrait pour bercer tendrement le petit Nicolas qui commençait à s'agiter.

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Alazaïs
Alazaïs avait passée la semaine à Varesnes, au coté de Patience, sa présence lui semblant réconfortante, malgrès le peu de paroles échangées. C'est donc tout naturellement qu'elle l'avait accompagnée à la Cathédrale d'Arras dans son propre véhicule, sachant imminent le voyage diplomatique de la Baronne... Sur que celà lui ferait un bien fou! De nouvelles connaissances hors de ce Comté où elle étoufferait... Alazaïs superposait ces émotions à la situation...

Comme à son habitude, elle était resté dans le fond du bâtiment.
C'était étrange d'assister successivement à des funérailles et à un baptème... Personne ne savait vraiment quelle attitude adopter... Même l'enfant semblait avoir senti cette pesenteur: il était si silencieux...
Constance_de_cleves
100drine était arrivée discrètement, elle avait troqué sa robe orangée pour une tenue beaucoup plus sobre. Elle n'avait pas amené son fils pour cette triste messe mais tenait vraiment à y assister.

Elle ne connaissait pas trop Olivier. La première fois qu'elle l'avait rencontré c'était à son propre mariage il y avait bien longtemps. Elle aurait aimé le connaître plus mais on ne peut pas lutter contre la géographie : leurs villages n'étaient pas tout proches. Toujours est-il qu'elle avait toujours apprécié de le voir. Elle sourit en se rappelant tous les jolis noms qu'il lui avait donné à l'université. Cet homme était un véritable charmant, un être adorable...

Quelle tristesse elle avait ressentie en apprenant sa mort. Elle ne pouvait pas vraiment dire qu'elle avait été soulagée en sachant qu'il avait eu la chance de connaître son fils, elle ne parvenait pas à décrire ce sentiment. La vie était parfois bien injuste mais on ne pouvait rien y faire.

Elle alla présenter une nouvelle fois ses condoléances les plus sincères à la livide Patience. Elle n'aimait pas la voir dans cet état, encore plus blanche que ses vêtements. Elle comprenait sa douleur, compatissait, aurait voulu en prendre une partie...

Elle sourit au petit être qui était dans les bras de son amie Rox. Il était silencieux, ressemblant à un ange...

100drine ne trouvait pas les mots pour dire tout ce qu'elle ressentait. Elle se contentait pour la plupart des personnes présentes de fait un signe de tête.

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qui a du fromage de brebis?
Ombeline
Ombeline tout comme Albanus, se para d'une tenue sombre pour venir à l'enterrement du Frère Olivier. Sa mort laisserait sans doute un immense vide dans le coeur de tout ce qui avaient un jour eu la chance de croiser son chemin. Elle n'y croyait toujours pas et pourtant c'était l'horrible réalité. Beaucoup de monde s'était déplacé pour lui rendre un ultime hommage. Elle n'était point croyante mais de plus en plus la religion commençait à faire son chemin en elle.

Albanus après avoir discuté auprès d'amis, tout aussi touchés, la rejoignit afin d'entrer dans la Cathédrale. Ils virent Patience, les traits pâles mais toujours aussi digne, et belle malgré la douleur qui la traversait, trempant ses doigts dans l'un bénitier, se signer puis après quelques instants de recueillement devant le cercueil rejoindre le premier rang. Elle avait avec elle, un jeune nourrison, Ombeline supposa que ce fut son fils. Sa gorge se serra en les voyant. Elle s'accrocha au regard d'Albanus, elle ne prononça aucune parole mais fut heureuse de ne pas être seule en ce jour , fut heureuse de l'avoir à ses côtés et réalisa cette chance. Il posa sa main sur la sienne, et la prit puis ensemble ils prirent place sur l'un des bancs. Avec recueillement, Ombeline écouta l'office. Elle fut émue en entendant Kolmar s'exprimer sur le mari de Patience et encore plus de voir à quel point cette jeune fille calme si habituellement pleine de vie récitait l'une des oeuvres de son père avec courage.
Oui, le Frère Olivier laisserait un vide... L'office fut suivi du baptême du petit Nicolas... Ses pensées allèrent vers Patience, Romarin et le petit Nicolas.
Une fois, l'office achevée, de concert, ils allèrent présenter à nouveau leurs condoléances à Patience.

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---fromFRAnonymous
Elle avait hésité longuement a venir jusqu'ici pour dire ses adieux à ce parain qu'elle avait peu cotoyer par sa faute a elle elle se l'avoua bien tristement.

Devant les portes, le son du glas, elle s'était reculée incapable de franchir le seuil.

Son coeur battait trop fort.

Comment pouvait-elle etre là ? Pourtant, pour Olivier elle le fit. Jamais il n'aurait hésité, lui qui croyait fermement en l'amour d'Aristote.

A l'intérieur, elle vit le cercueil, elle chancela. La mort était renfermé dans ce bois. Tenebrae ferma les yeux. Se reprit en respirant bien calmement.

Ne surtout pas s'évanouir. Elle était ici pour Olivier et Patience.

Elle s'avança donc, effleura des doigts ce lit éternel dans lequel dormirait Olivier. Pas Basilus.

NON! ne pas penser à ça.

Voyant le Père Kolmar, Tenebrae s'accrocha a cette vision après avoir saluer du regard Patience. Elle ne pourrait pas aller vers elle. C'était au dessus de ses forces. Tenant dans ses bras son enfant, Elle sentit les larmes envahir ses yeux. Qu'elle les ferma pour endiguer ce flot déplacé.

La voix de Kolmar la calma qu'elle les réouvrit ne fixant que lui ou le devant.

Ce n'est que lorsqu'elle entendit à nouveau les cloches, qu'elle comprit que c'était fini. Qu'Olivier, disparaitrait a jamais de leur vue mais resterait a jamais dans leur coeur.

Elle attendit le signal de la fin, titurant ses mains qui tremblaient de plus en plus. Pour une rare fois, elle avait le dos bien droit et la tete bien haute. Dissimulant ainsi toute la douleur que son coeur et son ame contenait. Dès qu'elle sortirait d'ici, elle partirait sans se retourner. Ne remettant jamais plus les pieds dans une église.

Tenebrae fit tout de meme une petite prière, pour que le coeur de Patience ne s'endurcisse pas comme le sien. Seulement, elle comprendrait que trop bien si cela s'avérait être le cas.
Judowarrior
Eloigné de Bertincourt par une longue mission,Judowarrior n'avait put se déplacer à temps pour assister à la messe dites en l'honneur d'Olivier.

Il n'arriva donc que tard,il ne comprit pas tout de suite,mais il semblait que l'on célébrait en même temps un baptême,celui d'un jeune enfant.

Cela lui rappela qu'il fut certainement le dernier à avoir été baptisé par le frère Olivier...

Il se rappela sa bonté et son dévouement pour Aristote...il se rappelait surtout que tout deux avait un peu la même motivation pour aider leurs semblables.

Il resta un moment à l'écart,constatant que nombreux étaient venue,signe que l'homme était apprécié.

Il ne resta pas longtemps,car une autre mission l'attendait déjas,il se glissa donc vers la dépouille et déposa une rose d'un blanc éclatant,puis il repartit aussi discrètement qu'il était venue,pressant le pas pour ne pas avoir à s'arrêter...

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---fromFRaristochate
Aristochate, toute de sombre vetue, s'asseya au fond de la cathedrale pour se recueillir aupres d'Olivier le gentil, et de sa famille...


Les larmes coulerent le long de ses joues quand elle pensait a la douce Dame Patience et leur enfant... Elle pensait a Romarin, qu'Olivier avait elevé...

Aristochate soupira et regarda la foule venue rendre hommagea OLivier, ils etaient nombreux car c'etait un homme adoré par le peuple artesien..

Aristochate se rememora la "malheureuse" aventure de dame patience dans les pivoines d'Olivier le Gentil.. a l'epoque, il etait encore pretre mais son coeur vascillait entre Patience et Aristote... ¨Patience s'etait rendue chez lui, et s'etait evanouie dans son jardin de pivoine. Olivier etait venu chercher Aristochate lui demandant de porter secours a la jeune femme... Aristochate l'avait aidé a remettre Patience sur pieds, mais voyant les yeux d'olivier remplit d'inquietude pour la jeune femme, Aristochate n'eut pas besoin d'un dessin pour s'eclipser doucement les laissant seuls....

en sortant de chez Olivier ce jour la, son coeur battait fort... elle voulait tant que ses deux etres se retrouvent et s'aiment.... elle y croyait, oui.. l'amour! olivier et patience!!!



Aristochate, meme dans cette cathedrale lugubre, souriat en repensant a cet episode....



Olivier, mon ami, merci pour votre gentilesse et votre bonté... Je vous ai apporté l'amour dans votre jardin, et vous m'avez accordé votre confiance ce jour la.... je vous regretterai a jamais... merci d'avoir enrichit ma vie, merci pour vos poesies, merci pour tout....

elle essuya une larme et murmura

je vous promet de veiller sur votre fils..... merci olivier, et bon voyage la haut!


aRISTOCHATE leva la tete pour voir si elle pouvait laisser le bouquet de fleurs blanches qu'elle avait apporté... blanche en pour le courage de Patience, blanche pour la pureté d'olivier....

elle se leva et posa son bouquet aupres de l'autel....

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pnj
Citation:

A tous les fidèles,

La Province de Reims, dont notre diocèse fait partie, a une nouveau vidame en la personne de Fabrizio05.

Je profite de l'occasion pour lancer un appel aux vocations !

La Garde Episcopale a pour objectif de protéger l'Eglise et ses clercs, mais elle est aussi au service de tous les fidèles. C'est un complément utile et nécessaire aux armées comtale et aux milices communales.

Vous êtes aristotéliciens ? Vous voulez vous battre pour un idéal ? Vous aimez l'aventure ?

Alors engagez-vous dans la Garde Episcopale

Pour cela, contactez Fabrizio05 dans les locaux de l'archevêché de Reim ou à son domicile.

Qu'Aristote vous garde !

Maîsse Arsouye
Archevêque de Cambrai

Faict à Azincourt le 9 février 1456

pnj
Ce mercredi matin Maîsse Arsouye pénétra tôt dans la cathédrale. Aujourd'hui, il devait ordonner Ced93 à la prêtrise. Ce serait un grand moment pour ce clerc. L'archevêque était un peu fébrile. Il aimait beaucoup cette cérémonie et il tenait à ce qu'elle soit parfaite.

Il attendit l'arrivée du candidat.
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