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[RP] [Divisé] Cathédrale d'Artois

Alexius


Alex observa un instant Florence et fut heureux de l'avoir à ses côtés.
Il écouta avec attention le prêche de monseigneur Will_II etse plongea dans ses prières intérieures.
Il écouta les magnifiques musiques enveloppant l'assemblée et sourit intérieurement à ses idées confuses. Il se plongea pieusement dans sa méditation.
Florence.la.douce


Florence observa le jeune homme pendant qu'il priait. Elle fut émue de voir sa sincérité. L'homme qu'elle connaissait auparavant n'avait rien à voir avec celui qu'elle découvrait à ses côtés. Il était plus " humain" et d'un sensibilité peu commune. Ses grands yeux verts ne quittait pas ce visage illuminé à cet instant, pieusement concentré sur ce que son coeur se réservait le droit de garder secrètement.
Les chants devaient certainement ouvrir les yeux de Florence également. Elle comprit bien des choses tout à coup. Le pourquoi de sa colère quand elle lui annonça qu'elle partait, ses lèvres pincées quand elle lui parlait de Lord ou de Jjaques. Il se disait heureux pour elle mais elle comprenait qu'elle l'avait fait souffrir s'en même le savoir. Elle poussa un soupir discret et déposa sa main sur les siennes. Elle lui offrit à cet instant un sourire radieux, emplis d'un sentiment nouveau. Elle aurait voulu lui murmurer tout ce dont son coeur était emplis en ce moment même mais il est vrai que ce n'était ni le lieu, ni l'instant. Elle referma sa main sur les doigts du jeune homme et pria à ses côtés.
Mun
Mun après avoir prit place sur un des bancs libre récita le Credo joignant les mains laissant son esprit vagabonder vers son aimée tout en se demandant ce que le coursier lui avait apporté comme parchemin.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Les voix résonnaient dans le lieu Saint, les fidèles Artésiens étaient nombreux autour de lui.

- "Que le Seigneur soit avec vous !", repris une nouvelle fois l’Evêque
Puis les cœurs d'une seule voix entonnèrent l’Alléluia que chaque fidèles chanta.
Le chant terminé alors que les douces paroles emplissaient toujours la cathédrale Mun se retourna un instant croyant reconnaître une personne.
Brunehautdartois
Brunehaut avait promis au père Dark de venir assister à l'office religieuse qui se tenait dans la cathedrale StVaast.
C'est quelque peu en retard qu'elle pénétra dans le magnifique edifice religieux, elle se fit le plus discrete possible et se glissa le long de l'allée exterieur pour s'installer aupres de son filleul qu'elle avait repéré.
Il recitait dejà le crédo, qu'elle entreprit de reciter avec lui de concert
Quand il tourna son regard en sa direction elle lui fit un petit sourire et un clin d'oeil.


Désolée, je suis affreusement en retard, tu aurais pu passer me chercher, tu sais bien que je ne suis jamais a l heure nulle part!

Elle chuchota discretement tentant de se faire la plus silencieuse possible
Non loin devant eux elle reconnut un tres charmant couple, Flo et Alex, tient donc, ils se frequentent de plus en plus ces deux là, apres le bal, la cathedrale.

Un petit sourire eclaira son visage, elle etait ravie pour Flo, elle l'appréciait beaucoup, elle etait toujours charmante et agreable.

_________________
Choupinette73
Assise aux cotés du premier maréchal ,Choupi suivait la messe ,ne laissant aucun mots lui échapper .

Elle joint sa voix à celle de Mun pour le Credo et récita doucement:

Citation:
Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.


L'eveque prononça ces mots

"Que le Seigneur soit avec vous !"

Le cœur entonna un chant et Choupi écouta les voix résonnaient dans la cathédrale ,elle s'aperçut que Mun se retournait et se demanda ce qu'il pouvait bien regarder ,mais elle ne bougea pas .
Thomahug1
Thomahug attendit que chacun ait parlé puis, prenant le livre qu'on lui tendait, lut à haute voix, pour chacun entende :

Citation:
Alors, Dieu, d’une voix douce et apaisante, me dit: “Vois, comment risque de finir le monde que tu aimes tant. Il sera détruit par l’eau, la terre, le vent et le feu. Mais n’aie crainte, car si vous vous montrez vertueux, vous pourrez éviter ces inutiles souffrances. Et que ceux qui vivent dans la vertu ne s’inquiètent pas, car jamais Je n’oublie ceux qui M’aiment.”, me dit le Très Haut. Je vis en effet les nuages s’en aller, les vents se calmer, les flammes mourir. Mais la terre trembla de plus belle…..Les humains s’installèrent le long des étoiles, sur ce que l’on appelle la voie lactée. Ils s’organisèrent alors en une file qui semblait interminable. Certains avaient l’air heureux d’attendre le Jugement Divin, d’autres versaient de chaudes larmes, regrettant de n’avoir pas su écouter les paroles divines transmises par le prophète Aristote et Christos, le messie. Les anges attendaient patiemment les humains sur le soleil. Et sur la lune, les démons crachaient leur haine à la face des futurs jugés……


Et Dieu me parla: “Vois. Ces hommes et ces femmes qui sont maintenant unis dans l’attente du jugement de leur âme. Je vous ai faits aspirant à la vertu et J’ai fait celle-ci de telle manière que si l’un d’entre vous la pratiquait, elle se communiquerait aux autres.” Je reconnaissais là l’enseignement d’Aristote et les paroles de Christos! “Il y avait un but à cela, ajouta-t-il, Me servir, M’honorer et M’aimer, mais aussi vous aimer les uns les autres. Je suis la main invisible qui guide vos pas, mais nombre d’entre vous se sont détournés de Ma Parole.”……


Voilà pourquoi je vous révèle cela. La vertu doit guider chacun de nos pas. Chacun doit la transmettre à son prochain. Telle est la Parole de Dieu. Ne vous échappez pas de la sage voie de sa main, ou viendra le jour où le monde disparaîtra et où nous seront tous jugés !
Kolmar
Kolmar sorti de la sacristie et avanca calmement vers le centre du coeur d l'edifice. Il regarda chaque membre present dans la nef de la cathedrale. Il ne vis aucun membre du conseil. Peu etre que kolmar ne pouvait les apercevoir d'ou il etait.

Puis d'une voix forte et chaude il prit la parole:


Alors mes sœur mes frères, et vous tous les autres humains qui nous faites l’honneur d’écouter la voix du Seigneur, d’où êtes-vous ? De quel coté de la Barrières êtes-vous ? Ange ou Démon ?

Vous pouvez vous posez la question toute votre vie, la réponse vous ne l’aurez que le jour de votre jugement et cela sera le dernier !

Il n’y a que notre Créateur qui vous dira si vous avez eu assez de vertu sur cette terre !!! La voie, la seule voie que vous devez suivre est celle de l’Amitié et du Respect. Mais là, je n’entends que haine et violence !!! La grande Honte pour certain c’est que les ecclésiastiques s’occupent des âmes des vivants ! La grande faute des hommes de foi c’est oser dire aux politiciens que les âmes des vivants nous nous en occupons ! Certains vont hurler mais je leur dis calmement que s’il s’imagine que MOI, Père Kolmar, vais laisser les élues du peuple faires ce qu’ils veulent sous prétexte qu’ils sont élue, qu’ils se mettent le Doigt dans l’Œil !!! Et que les insultes basses si proche des chausses reflètent le bien peu d’argument ! Messieurs je suis et je reste dans la vie de la citée et comme les études latines sont obligatoires pour suivre la voie de l’église ! Oui je m’occupe de la vie de la Cité et quoi que vous en disiez je fais ferais de LA POLITIQUE !!!! Et si cela vous ennuie je m’en moque… Ah oui vous pouvez m’insulter, insulter l’Eglise, et donc par là : Dieu, et la Création. Moi je vous respecte vous. Pas votre violence, ni votre haine … Je laisserai le Créateur lors de votre dernier procès faire ce qui lui semble juste !

L’Artois tremble, des voix s’élèvent, hurlent, mais non de non nous somme tous Artésiens ! Alors je souhaite que nous vivions en Harmonie entre nous mais aussi avec tout nos voisins qu’il soit de la maison d’à coter de la notre, ou du village voisin ou encore d’un autre comté !!!

Gouverner c’est dit-on prévoir…… Que prévoyez-vous dans la haine et les altercations ? La paix ??? Je respecte le régent élu le poste et la fonction. Je lui demande le même respect en retour. Je n’ai aucun doute et je suis sur que cet homme le fera, j’attends le même respect de ces plus fideles aboyeurs… Je ne suis pas en accord avec votre politique si elle va vers le sang et la guerre. Je serai votre plus fidele serviteur si vous avancer vers la voie de l’Amour, la raison et la compassion… j’attends en signe d’Amitié un geste vers l’Eglise d’Aristote… Même si vous n’êtes pas totalement d’accord avec elles ? Je vous avoue Messire le Comte que je ne suis pas totalement en accord avec vous. Je sens venir cependant des signes et des gestes d’apaisement….

Que l’Esprit soit au dessus des querelles d’hommes et que chacun d’entre nous avance vers la vertu... »
Fihafihafiha
Encapuchoné, un jeune homme s'avança vers la cathédrale, monta les marches puis dépassa la grande porter, marchant tout le long du couloir qui menait à l'eau sacrée où il trempa ses mains, puis s'évapora le visage.
L'autel, là, devant lui, de ses yeux attristés et peinés, tout ce qu'il cherchait en ce moment est le calme, se chasser les idées, les mauvaises surtout, des évènements passés lui troublent l'esprit.

Le jeune homme se défit de son capuchon aussitôt qu'il le puisse, agenouillé devant l'autel, faisant face au signe de la croix accrochée devant lui, il se mit à murmurer légèrement entre ses dents.


Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.


Fiha garda ses yeux fermées, plongeant dans ses idées tantôt clairvoyantes, tantôt sombres, ne sachant où se mettre, quelques mots se murmuraient entre ses lèvres, probablement des prières, inaudibles, qui durèrent longtemps, à croire qu'il avait des milliers de choses à dire, peut être à confesser, qui sait.

Plus le temps passa, plus son calme lui revenait, peu à peu, ne se souciant point de ce qui se passait derrière lui, ni de ce qui pouvait se passer, tout ce qu'il savait c'est qu'il est là, en maison de Dieu, entrain de prier pour lui, ses proches, les âmes parties et les prochaines, des fois un sourire lui parvint aux lèvres, d'autres des larmes coulères sur celles-ci, jusqu'ici, il n'a toujours pas fini ...
Darkdragonlord
Ce fût au tour du père DarkDragonLord de sortir de la sacristie et de s'avancer vers l'autel. Il reconnaissait beaucoup de ses paroissiens parmi les fidèles réunis.

Il ouvrit son livre, légèrement nerveux à la pensée que ses professeurs de latin étaient présent, et commença sa lecture.


Afin de nous faire pardonner de nos péchés, Prions ensemble, et Confessons nous en recitant après moi pour ceux et celles qui maitrisent le latin:



Maintenant pour tout le monde, en Français


Après, le curé d'Arras s'écarta un peu, pour la poursuite de la cérémonie.
Florence.la.douce
Florence gardait sa main sur celle d'Alexandre. Elle lui sourit tendrement. Et oui! Messire d'Appérault , Coordinateur des Bourgmestres et faisant partie du Haut Conseil était bien à l'église en ce beau jour. Il était là pour écouter la parole du Très Haut. Il était là pour lui mais aussi pour elle. Le couple le plus controversé d'Artois se tenait côte à côte devant les émissaires de Dieu. Etait-ce là le présage d'une union qui allait peut être apaiser certains esprits échaudés? Si le Comte acceptait cette union, ne serait ce pas la preuve de sa grande clémence également et de son souhait sincère de maintenir la paix? Sans le vouloir, les deux jeunes gens étaient au centre d'un enjeu stratégique. Mais ils n'y étaient pour rien, ils avaient simplement ouvert leur coeur l'un à l'autre. Florence écouta le Père Kolmar et ouvrit de grands yeux étonnés. Certaines de ses paroles lui firent dodeliner de la tête. Les lèvres closes pourtant, elle était très concentrée sur les paroles du prêtre. De temps à autre, elle regardait Alexandre avec tendresse et angoisse. Puis vint le tour du Curé d'Arras.
Elle joignit les mains et répéta pieusement les paroles Saintes


Je confesse à Dieu Tout Puissant, A tous les Saints
et à vous aussi mes amis,
Parce que j'ai beaucoup pécher en pensées en parole en action
Je supplie tous les Saints et vous mes amis de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution, et la rémission de tous mes péchers.
Mun
S’est lorsqu’il vit la personne s’avancer baissant son capuchon, qui lui cachait la moitié du visage que Mun le reconnu.
Son air triste, les épaules abattues se dirigeant vers l’autel.
Fihafihafiha, un ami de longue date si loin d Lorraine se promettant de le rencontrer dés la messe terminée.

Un prêtre que Mun ne connaissait se déplaça devant l’autel

Afin de nous faire pardonner de nos péchés, Prions ensemble, et
Confessons nous en recitant après moi pour ceux et celles qui maîtrisent le latin:

Il avait l’air inquiet était se son premier office
Entendant les paroles en latin, un sourire éclaira le visage de Mun remerciant intérieurement son professeur, ami et supérieur. Le Préfet des Vidames son Eminence Kad qui lui avait appris les rudiments, à cet un instant une pensée parti vers lui souffrant de la maladie qui le tenait loin de la citadelle
.

Le Premier Maréchal s’agenouilla baissant la tête joignant les mains.
Confiteor deo omnipotenti
Et ommes sanctis et yobis fratres
Quam peccayi nimis cogitatione
Mea culpa Mea culpa Mea maxima culpa
Ideo precor omnes sanctos et vos fratres
Orare pro me ad dominim deum nostrumtres


Certain que l’accent n’y était pas ce que bon nombre de fois Kad lui avait bien souvent reproché. Mais quel belle occasion que de le remercier de cette manière.
pnj
[RP ouvert à tous]

4h du matin ...

C'était dans un état de solitude extrême que les pas de Stellie l'amenèrent devant la cathédrale, comme d'habitude des frissons envahirent le corps de la belle, suivie d'une douleur dans son âme...
Une chaleur écrasante qui la força à courber l'échine et à gémir, c'était le pouvoir de la foi.


Pitié...

Elle leva ses yeux et avait l'impression que toute les gargouilles la regardaient avec haine ou pitié c'était des mélanges d'émotions qui tourmentaient la marquise. La tête lourde et chancelante, son cœur qui explosait sous la torture, il le fallait cette nuit...

Elle avança vers l'édifice comme si elle lutait contre des forces invisibles qui l'en empêchait, mais le courage de la jeune femme était de fer, il fallait qu'elle LUI parle il fallait régler les comptes....

Un grincement de porte, et la voilà à l'intérieur, éclairée par les faibles lueur des cierges, douces couleurs jouant sur sa peau, douces lueurs courant vers la nuit sombre, douces flammes des âmes qui la sentait avancée dans ce lieu saint. Elle ! Marquise de Blain, cette femme qui avait vendu son âme au sans nom le jour de la mort de ses enfants... Les statues suivant son chemin de croix, d'un regard inquisiteur.

La pauvre Stellie rampait maintenant à genoux écrasée par la force du très haut, chaque avancée était une épreuve mentale, il fallait qu'elle puise au plus profond de son esprit pour y arrivé. Alors elle s'accrocha à ses souvenirs, elle repensa aux derniers mois avec Papes son compagnon, la possibilité d'un avenir...Elle repensa à ses amis qui ne l'avait pas jugé malgré ses caprices et son instabilité...luxure...orgueil....mensonges...Chaque avancée donnait lieu à des images par flash, sa tête lui tourné et son ventre était rempli de spasmes.

Elle arriva enfin devant l'autel et avec courage regarda au centre, se sachant seule, elle prit la parole avec haine et rage.


Pourquoi me rendre la vie ? Hein !
si c'est pour me faire vivre tout ceci ?
à quoi bon ?


*commence à sangloter*

Au départ figures toi je pensais que c'était pour me rendre plus forte mais ton sadisme à t'acharner sur moi m'a rendu folle !

Pourquoi ? alors que j'ai mis des mois à accepter le baptême et que j'ai ensuite suivi ta voie, en étant une épouse fidèle et une mère modèle, mais tu m'as abandonné et enlever un par un mes cinq enfants ! si ce n'est pas là de l'acharnement !


*s'effondre en larmes*

Je t'ai renié le jour même où j'ai revu la lumière du soleil ! J'ai gouté à tous les vices et surtout celui de la luxure ! alors maintenant cela te donne une excuse et je t'en prie vas y continue ! tu entretiens le malin qui me ronge au lieu de me sauver !

Lâche que tu es ! vas y présente toi devant moi que je plonge ma dague dans ton cœur afin de te voir à mes pieds t'étouffer dans ton sang !


Stellie s'affala sur le sol de pierre à bout de force, le visage ruisselant de larmes, c'était là une femme qui avait besoin d'aide et surtout celle de l'église....

Elle ne bougeait plus les bras en croix vidant ses dernières réserves d'énergie, le froid s'insinuait en elle...des nausées l'enveloppaient...des vertiges ....le visage du malin qui ricanait sur elle, satisfait de son travail. Enfin elle avait cessé de lutter.Seul un exorcisme pouvait aider cette jeune enfant égarée.
Alexius


Alexandre sentait la douce chaleur émanant du contact de sa main avec celle de la douce mairesse de Péronne.
Le jeune homme sourit. Il observa la belle d'un regard en coin et admira sa posture, droite et fière...
Décidément, la plus belle dame d'Artois se tenait bel et bien à ses côtés pour cette messe. Ils formaient le couple le plus improbable d'Artois...
La mairesse de Péronne, nièce du comte d'Artois et le descendant de Champenois et de Normands... Une union qui provoquerait à coup sûr beaucoup de remous.

Alex serra plus fort la main de la douce Florence et pria:


Aristote notre père à tous,
Pardonnes-moi mes pêchers et permets-moi d'aimer et de me faire aimer sans entraves.
Je supplie tous les saints, et particulièrement sainte Boulasse, de nous permettre de surmonter nos malheurs.
Que le Très Haut entende ma prière, puisse-t-elle être accordée.


Il se redressa un peu et jeta un regard plein de tendresse versFlorence, un regard d'excuse pour ce qu'il lui infligeait, un regard d'amour pour ce qu'il ressentait...
pnj
Citation:
La tolérance envers l’hérésie : vertu ou faiblesse ?
Texte destiné à l'universalité des fidèles et aux évêques de l'aristotélisme.



La tolérance, c’est reconnaître implicitement et tacitement l’erreur sous des prétextes
humanistes. Ceux qui se complaisent dans la tolérance le font par indécision ou faiblesse !


La vocation de l’homme vertueux, de l’homme de foi ou de l’homme du monde n’est-il pas
de lutter contre l’erreur et la perversion morale, et non de s’en accommoder ou de la tolérer ?
Tolérer, c’est accepter, ou selon l’étymon, endurer et supporter, une croyance que l’on sait
être fausse. Est-il vertueux de laisser son prochain se complaire dans une foi erronée ?

La tolérance est une fausse vertu pour ceux qui l’utilisent mal à propos, car elle n’est
bienveillante et vertueuse que dans un seul cas : celle où elle est exprimée entre fidèles et
imprégnée de l’amitié aristotélicienne. Dans les autres, elle n’est que dédain et cynisme.

La tolérance est la vertu des faibles quand ceux-ci l’expriment envers les hérétiques. Ils
tolèrent l’erreur, l’insulte et l’outrage sous le prétexte fallacieux de l’amitié aristotélicienne
et de « l’amour divin en l’homme », quel qu’il soit. Trop timorés pour prendre position, ou
envahis par une idée fétide d’amitié universelle, ils se complaisent dans cette idée.

Le fidèle qui tolère une liberté de culte ou de croyance et qui se trouve à la tête d’un
gouvernement commet là deux crimes : l’un envers son peuple, et l’autre envers Dieu. Le
premier est qu’il maintient délibérément et tacitement une partie de la communauté dans
l’ignorance et l’erreur de façon cynique, mais surtout dans une destinée qui la mènera
inexorablement aux portes de l’enfer sélénite. Le second est qu’il accepte que le Père
universel auquel il croit et qu’il aime soit injurié et bafoué par une partie de son peuple. Et
sous quel prétexte ? Celui du libre arbitre ou de la liberté de for ? Comment l’homme peut-il
penser que le libre arbitre puisse dédouaner un homme d’outrage envers le Ciel ?

La politique du Malin n’est-elle pas de plaider en faveur d’une tolérance infinie et universelle
entre toutes les créatures humaines ? Car il sait que sans lutte, cette tolérance permettra de
gagner un peu plus de terrain chaque jour dans le cœur des esprits faibles ou indécis.

La perversion de la bête sans nom gagne d’ailleurs le cœurs de tous les hommes, quels qu’il
soient. Même si les clercs sont sans doute ceux qui sont les mieux prémunis pour s’y opposer,
ils n’en sont pas pour autant immunisés. Voilà pourquoi certain prélat se laissent tenter par un
discours que nous jugerions déviant.

L’une des vertus aristotéliciennes majeures est la tempérance, non la tolérance. Une religion
qui tolère les autres ne songe guère à la propagation de sa Foi et de sa Vérité. En outre
critiquer le magistère spirituel de l’Eglise et ses actions incitant à la conversion sous le
prétexte qu’Elle étouffe les libertés, c’est pécher contre Dieu et l’humanité pour les raisons
que nous avons déjà évoquées, à savoir, laisser en connaissance le peuple ou l’hérétique dans
l’ignorance et l’erreur. Ceux qui font de la tolérance universelle leur credo sont sur le chemin
de l’apostasie.

D’aucuns se questionneront sur une tolérance tacite qu’impose certain concordat au sein de
comtés, voire de royaumes ; l’Eglise n’agit là que par calcul et raison. Faisons d’ailleurs
allusion à notre discours prononcé en août MCDLVI où nous disions que « la créature sans
nom est sans cesse à notre porte, et que la peur engendrée par les guerres, fussent-elles
saintes, est de son entreprise » et que nous devions lutter « contre cette peur avant que
d’imposer une image sublimée de la cité idéale entrevue par le prophète. La précipitation
de sa mise en place annihilant tous les espoirs futurs de la voir naître éclatante ». Toujours
valable, ce raisonnement nous pousse parfois à tolérer, non par lâcheté mais avec raison, une
hérésie afin de mieux avancer, et de rendre la Vraie Foi toujours plus grande, toujours plus
accessible et son règne plus éclatant encore.

Vice ou vertu, la tolérance l’est selon l’état d’esprit dans lequel l’on s’exprime et agit ; mais
soyons clair, il s’agit d’un vice lorsqu’on immole le triomphe de la Vraie Foi sur l’autel de la
tolérance. La tolérance n’est vertueuse que lorsqu’elle ne contrevient pas aux lois divines et
prophétiques.



Aaron de Nagan, Cardinal.
Le VIII mars de l'an MCDLVII, jour de la Bienheureux Norv.
Enylesor
De passage, Eny, ne pouvait s'empêcher de "entrer", en une église.....
Elle gardait en mémoire son Baptème quelques-temps plus tôt..
Que de souvenirs, en franchissant les portes....... La nef, si jolie!

Se rapprocha, se mit à genoux sur un "Prie-Dieu", pencha la tête et récita la Prière apprise........... Le Crédo.

Le calme de la Batisse respirait la Plénitude du moment.
Elle était heureuse, elle savait son Fils en sécurité, et elle, allait accomplir ce pourquoi, elle avait choisit de Vivre.
Elle demanda de lui pardonner tout ce qui pourrait arriver. Mais la Vie était tellement bizarre.

Se leva, et pris le chemin de sa destinée..............
_________________
FSF = Vrij Leven - Zo Blijven -
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