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[RP] [Divisé] Cathédrale d'Artois

Flapend
FLAPEND se met agenou et demande au prête:

-j'aimerai me faire batisé, J'ai un parain civil.
Darkdragonlord
Prenez contact avec moi par messagerie et je regarderai je que je peux faire pour vous, mon enfant. Vérifier que votre pastorale est faite et autres détails.

J'attends de vos nouvelles.
Viny31
Viny entra machinalement dans le bâtiment sans faire attention que c'était l'église. Puis il leva les yeux et s'aperçut du lieu :

Mais qu'est-ce que je fous là moi pfffff, n'importe quoi

Il ressortit de cet endroit glacial et sombre en haussant les épaules
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Lndil
Lndil s'était levé de bonne heure... comme d'habitude en fait.
Il était rentré tard du Domaine de Guînes... sa Douce semblait tenir à la tradition.
Il en souria encore.

De la fenêtre du salon de son appartement d'Arras, il pouvait voir le clocher de la cathédrale.
Il finit son petit déjeuner simple afin qu'il ne lui porte pas trop sur l'estomac car cette journée serait riche en émotions... il en avait un peu le tournis rien que d'y penser.
Il pria Aristote que rien ne viennent les déranger de la journée.

Ensuite il s'habilla comme à l'accoutumée et, prenant sa tenue pour cette grande journée, il prit la direction de la cathédrale.
Il devait déja y avoir effervescence là bas. Il passerait par la ptite porte de la nef... il avait la chance d'en avoir la clé puisqu'il avait été nommé diacre d'Arras.

Il y avait effectivement pas mal d'activité... il se glissa sur le coté et rentra dans la petite salle adjacente pour se préparer. Il y rencontrerait peut être Darkdragonlord, le prêtre d'Arras même qui officierai pour leur mariage.
Le vicomte de Lens jeta tout de même un oeil dans la nef pour voir s'il n'y avait aucun soucis... a priori non, les arrangements floraux était tous bien disposés.

Il décida donc de s'habiller... après une profonde respiration.

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Chany




La veille à Péronne

Chanel avait préparer son baluchon , ne rien oublier surtout , depuis l annonce du mariage et tout ce qui en avait suivit , elle avait préparer avec soins ses affaires. Elle s était fait faire pour l occasion une robe et comptait bien la porter pour une fois

Le matin à Arras dans une auberge

C'était le grand jour ... Un mariage comtale s'était une première pour Chanel , elle avait passé sa robe et s'était coiffée pour l occasion , elle se regarda dans un miroir et eu du mal à se voir ainsi mise.




Elle descendit dans la salle commune de l auberge , prit une légère collation

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Fidos


je tenais à arriver parmi les premiers ,pour ne rien rater d'une ,de deux c'est pas tous les jours d'assister à un mariage d'une comtesse ...

Alors j'ai apporter quelques miches et une bonne bouteille de pere naud avec moi ,et pris la route aussitôt ...direction Arras ...
Nefi


[une charmante auberge à arras]

arrivées de la veille, nefi avait prit une chambre pour les squires afin d'être sur place. elle avait veillé fort tard pour mener à bien sa mission, mais tout semblait fin prêt, ce qui ne l en rendait pas moins nerveuse.
l'heure tournait bientôt les cloches de la cathédrale sonnerait pour appeler en cette belle journée hivernal au mariage comtale qui depuis des semaines était sujet de conversation de toute les cancannières d Artois.

elle se prépara donc avec grand soin, enfilant avec plaisir une houppelande faites spécialement pour l'occasion, commande à une jeune et talentueuse couturière rencontré par le hasard des mésaventures le jours de la cérémonie des pommes. comme quoi un malheur à quelques fois une heureuse fin.

dernier coup d'oeil dans un miroir, ajustement de sa belle pelisse de fourrure cadeau de noël de son amie ombeline et hop elle partit en compagnie de ses squires vers la cathédrale.

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Auberge Amoreta
Ottobismarck


Le Vicaire diocésain, curé de Cambrai, s'était levé tôt ce matin pour se préparer à ordonner le frère Carbonnel, diacre de Péronne qui allait être élevé à la prêtrise par l'imposition de ses mains. Il avait prié toute la nuit pour l'Eglise d'Artois ainsi que son avenir personnel. Les cieux lui commandaient ils de revenir auprès du Très Haut ? Il avait consulté les anges afin de discerner le divin dessein de Dieu pour lui, hélas la transmission n'avait pas été très nette et il semblait que les envoyés du Très Haut n'avaient pas été très prolixes quant à son avenir.

Mgr Otto Bismarck s'était enfermé dans sa cellule pour prier la nuit durant. Il pensait à ce Comté qu'il aimait, à sa paroisse et à sa propre ordination. A ce jour où il avait dit "oui" à l'appel du Très Haut pour faire don de sa vie pour les hommes. Il pensait à la joie profonde qui l'habitait d'être prêtre en espérant que son frère Carbonnel qui s'y préparait aussi pourrait vivre pleinement de cette espérance.

Vers 9h30 l'évêque de Damas avait revêtu ses plus beaux vêtements liturgiques pour l'occasion avec pour le couronner sa mitre et sa crosse épiscopale. Tout devait être prêt pour cette célébration de sorte que chacun puisse rendre grâce pour le don de Carbonnel à l'Eglise.

L'évêque envoya un enfant de choeur sonner les cloches de la cathédrale et convier ainsi les fidèles à venir entrer dans la joie du Seigneur...


Kiki


Kiki avait peu dormi plus par habitude que par le faite de devoir se rendre à Arras pour le mariage de la comtesse. Aussi elle eut le temps de préparer surtout que de mettre la robe seule n'était pas des plus facile surtout que les lacets cassaient. Bref il lui fallu du temps et autant pour pouvoir se coiffer, l'embrun n'aidant pas à maitriser sa chevelure rebelle.

Enfin elle fut prête, maintenant Kiki du se rendre à Arras aussi elle pris un cheval mais n'étant pas une bonne cavalière cela fut encore plus compliquée avec sa robe. Elle glissa plusieurs fois de la selle avant de trouver la bonne posture puis s'agrippant à la crinière elle parcourue la distance la séparant d'Arras.
Arrivée dans la capitale, elle chercha la cathédrale heureusement qu'on voyait le clocher de loin mais les impasses n'étant pas indiquées, Kiki fit double distance avant de la trouver.

C'est dans un soupire de soulagement qu'elle descendit de cheval puis secouant sa robe pour en retirer la poussière du voyage, elle entra dans la cathédrale, s'installa sur un banc dans l'ombre et attendit le début de la cérémonie.

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Elena7
A Guînes, dans la Chambre d'Erwyndyll

Ca y était, le jour J, celui que tout le monde attendait. Depuis l'aube, tout l'Artois en parlait, que ça soit dans une taverne, dans les ruelles d'Arras, d'Amiens, de Peronne, de Calais, de Bertincourt, d'Azincourt et de Cambrai ; même les Guînois et les Guînoises s'y mettaient.
A Guînes, la populace était sur les nerfs, tous épiaient les moindres petits détails qui pourraient venir anéantir toute une organisation qui s'était préparée pendant des semaines. Les laquais, engagés par Nefi, étaient présents, tous sans exception, passant de la cuisinière Marie, au Bouffon pour animer le Repas. Tout le monde courrait partout pour se préparer à l'accueil des futurs convives. Même le bon vieux Victo-Ygor, le laquais suprême, avait failli faire de nombreuses crises cardiaques. Mais en fin de compte, tout était enfin prêt pour assister au Mariage. Enfin tout... Il ne manquait plus qu'une chose. La plus importante d'ailleurs : La Mariée.

Clac Clac Clac
A l'étage, des bruits de talons martelant le sol en pierres résonnaient, des cacophonies marquant l'impatience de celle étant à l'origine de ces dernières.
Depuis des heures déjà, la Demoiselle d'Honneur de la Mariée arpentait la chambre de long en large, attendant que sa Mère sorte de la salle de Bain. De nombreuses heures s'étaient écoulées depuis son entrée, et elle n'était toujours pas ressortie. Que faisait-elle ? Elle mettait beaucoup de temps pour enfiler sa robe et dompter sa chevelure de blé. Mais que voulez-vous, c'était une femme.
La jeune femme continuait inlassablement sa traversée, les pans de sa toilette couleur bleu Roy brûlant le sol à chacune de ses foulées. Si elle continuait ainsi, il s'effondrerait. Mais que faisait sa mère ? L'attente n'était pas le fort d'Elena, et l'heure tournait à une vitesse fulgurante. Si elles ne partaient pas dans quelques instants, elles seraient définitivement en retard, et Lndil s'inquièterait sûrement. Ainsi que les autres invités.

Du lit à baldaquins à la fenêtre enneigée, de la fenêtre enneigée au bureau en acajou, ses pensées s'entrechoquaient dans son esprit. Là, posés sur le bureau de feu Seb, reposaient les objets qu'on lui avait recommandés de donner à sa mère avant son Mariage.
Un truc bleu, un neuf, un vieux, un emprunté.
Pour le truc Bleu, une fleur qu'elle déposerait dans les cheveux bonds de sa mère.
Pour le truc Neuf, la robe de mariée qu'Erwyn était en train d'enfiler.
Pour le truc Vieux, une broche appartenant à une ancienne amie Bourguignonne.
Pour le truc emprunté, Elena avait choisi un collier en perles d'Esme.
Elle se les répétait continuellement, espérant ne rien avoir oublié. Ce n'était vraiment pas le moment de faire un impair.

D'une démarche peu assurée, elle retourna près de la fenêtre afin de jeter un ultime regard à l'extérieur. Le coche les attendait déjà, au pied des marches du château. Les poings posés sur ses hanches, elle tourna les talons, en direction de la porte de la salle de bain. Erwyn devait absolument sortir. D'une main assez tremblante, la jeune femme étant angoissée par ce futur mariage qui se préparait, elle donna trois coups secs contre le bois.


Erwyn ? Tout se passe bien ?

Elle recula de quelques pas, ses prunelles lagon embrassant la porte qui la séparait de sa Mère.
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« Peu importe l’étroitesse de la porte ou les punitions qui défilent. Je suis le maître de mon destin. Je suis le capitaine de mon âme. »
Erwyndyll
Réveil – 5heures...

Nuit épouvantable... Retour et détour d'un coin du lit à l'autre...Trop chaud, trop froid...Et les minutes qui passent encore et encore...
« Allez Erwyn... Quelques heures pour dormir sinon demain tu vas ressembler à une morue pas fraiche.. ». Plus facile à dire qu'à faire... Fichu Morphée qui semblait l'avoir déserté encore une fois, et, évidement, il avait choisit cette nuit-ci pour s'absenter...

Réveil – 3 heures...

3569 moutons...3570 moutons.... 3571 moutons....

Réveil – 90 minutes...

ZZZZZZzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz

Réveil !!!!!!!!

Elévation de la première paupière...La seconde...Ohlala...Un peu plus dur celle-là... Lentement, la Comtesse d'Artois se leva, avança de quelques pas jusque devant le grand miroir et ouvrit des yeux ronds. Elle tâta la joue gauche puis la droite... Ohlala....
Ohlala...Ohlala !!!

Sans plus attendre elle prit la direction de la salle de bain pour une trèèèèès longue séance de préparation... Elle voyait avec une pointe d'inquiétude s'écouler chaque minute...à chaque instant elle se rapprochait de l'instant fatidique et elle redoutait de plus en plus le fait de ressembler à un épouvantail.

Au bout de quelques heures, elle commença à enfin être satisfaire du résultat... Elle posa une dernière pince, frotta du revers de la main la couronne comtale, la posa sur ses blonds cheveux et s'inspecta... Hmmm...pas si mal que ça finalement !


Erwyn ? Tout se passe bien ?

Grande inspiration, elle ouvrit la porte, avança de quelques pas.
Nefi


[arrivée à la cathédrale]

enfin prête elle était sorti de l auberge, la neige recouvrait la rue d'un manteau blanc a peine foulé par les passants frileux.
levant le nez elle profita un instant de l air glacial sur son visage, puis elle prit le chemin de la cathédrale, voulant vérifier par elle même que tout était en ordre. elle pensait aussi y retrouver lndil.

entrant par une petite porte latérale que son ami lui avait indiqué elle tapa un peu les talons de ses poulaines pour en débarrasser la neige.

puis levant a nouveau le visage elle put voir la nef décoré pour l occasion, les rangés de banc fleurit pour l 'occasion.

seigneur qu'il fait bien froid en vostre demeure
murmura t elle en grelottant.

faisant quelques pas elle continua son inspection. satisfaite du travail accomplit par les ouvriers du cabinet des divertissement enrôlé pour l occasion.


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Auberge Amoreta
Darkdragonlord
Excellente journée pour le mariage de son ami se dit le prêtre en entra dans la Cathédrale d'Arras. Il s'approcha du bénitier comme il avait l'habitude de le faire dans son Église, il trempa alors ses doigts et se signa. Il se dirigea ensuite vers l'autel, y déposa son livre des Vertus et vérifia que les éléments aristotéliciens sont bien là : le brasier pour le feu, la pierre taillée pour le sol, l’encensoir pour l’air embaumé, la vasque pour l’eau, l'Ether était déjà là, plusieurs personnes etaient présentes.

On avait déposé du bois à brûler dans l'âtre, pour réchauffer l'endroit, la Cathédrale était splendide avec toutes ses décorations, ensuite il se rendit aux portes de l'Église au son des carillons qui appelait les fidèles, des invités, enfin ceux qui n'étaient pas encore arrivés.



Le père DarkDragonLord entra avec ses paroissiens en chantant.

Elena7
A Guînes, toujours dans la Chambre d'Erwyndyll

Une porte qui s'ouvre, une silhouette qui s'extirpe d'une pièce, et qui s'avance timidement.
Elle adopta une moue dubitative, accompagnée d'un froncement de nez. Elle mangea à son tour les quelques pas la séparant de sa mère, tout en la scrutant avec attention. Son regard partit des pans de sa robe, et remonta avec une extrême lenteur, à la recherche du moindre petit défaut apparent qui pourrait détruire en un seul regard l'apparence parfaite de la mariée. Et aujourd'hui, le jour J, aucun faux pas ne devait être effectué sur la tenue. C'était son rôle de Demoiselle d'Honneur après tout.
Ses bras, recouverts d'un tissu de velours bleu semblable à la toilette de Mariage d'Erwyndyll, se croisèrent et elle contourna sa mère, baladant ses prunelles sur tous les recoins de sa robe. Lorsque son observation fut achevée, les traits de son minois se détendirent en une fraction de seconde. Les commissures de ses lèvres se soulevèrent à leur tour pour former un sourire en coin appréciateur, et par la suite, révéler une rangée de dents blanches.


Erwyn, tu es... sublime, magnifique même, à en tomber par terre. Je suis sûre que Lndil va adorer ta robe. *paroles ponctuées d'un éclat taquin dans le regard.* Toutefois, il manque certaines choses...

La Dame s'éloigna de sa mère, lui tournant ainsi le dos par la même occasion afin de se diriger vers le bureau de son père, où reposaient toujours les objets que le protocole du Mariage exigeait. Elle s'en empara avec délicatesse, en reprenant garde à ne pas les faire tomber accidentellement, et rejoignit ensuite sa Comtesse de Môman.

Un truc bleu, un neuf, un vieux, un emprunté.

Elle lui offrit un sourire, glissa derrière elle, tout en lui demandant de retenir sa chevelure entre ses doigts. Ses saphirs mangèrent le collier d'Esme qu'elle tenait dans ses mains marmoréennes. Une pointe de regret traversa son regard à la pensée que sa tante ne pourrait pas venir à la Cathédrale. Balayant cette pensée, elle attacha le collier autour du cou d'Erwyn, et revint en face d'elle afin d'y accrocher la broche qu'elle détenait depuis son voyage en Bourgogne, au dessus de sa poitrine. Un vieux truc quoi. Le truc neuf, le truc vieux et le truc emprunté. Il n'en manquait qu'un, le plus important : le truc Bleu. Elle prit entre ses doigts la fleur, un bleuet plus particulièrement, et le glissa dans la chevelure dorée de sa mère.

Un dernier regard, un dernier pincement de lèvres ainsi qu'un dernier froncement de sourcils et tout était prêt, même la mariée.


Voilà, tu es indiscutablement parfaite !

Un sourire radieux jouant sur ses lèvres, elle s'empressa de rejoindre la porte de la chambre, et de l'ouvrir, tout en tendant une main en direction des escaliers. D'une voix taquine et rassurante, essayant tant bien que mal à détendre l'atmosphère, elle souffla :

Si Madame le veut bien, le coche nous attend.
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« Peu importe l’étroitesse de la porte ou les punitions qui défilent. Je suis le maître de mon destin. Je suis le capitaine de mon âme. »
Lou_lempinka
L’évêque ayant fait appel à elle, elle ne tarda à rejoindre la cathédrale.
Un grand jour pour le frère Carbonnel que ce jour, son vêtement sur le bras, elle se faufila en la cathédrale, rejoignant la nef. Elle put y déposer ses effets et enfiler sa tenue. Elle salua l’évêque et prit place, assisté à un tel office l’emplissait de joie, bientôt elle-même et Nirina pourraient officier à Cambrai. Les cloches raisonnèrent, invitant les fidèles à les rejoindre. Un regard jeté à la hâte guettant l’arrivée de sa marraine.
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