Astreria
Une fois la confession plus ou moins achevée en fonction des convictions de chacun, Astreria ouvrit son livre des vertus.
Je vais maintenant vous lire un passage du livre des vertus qui je le pense correspond assez à Carbonnel :
Je vais maintenant vous lire un passage du livre des vertus qui je le pense correspond assez à Carbonnel :
Citation:
Derrière eux, je voyais de vaste paysages idylliques. Tout resplendissait la beauté et donnait envie dy rester pour léternité. Mais cela semblait bien vide. Je pouvais admirer les innombrables élus, peuplant le Paradis, sur le visage desquels saffichait la béatitude. Voyant un tel bonheur emplir ceux qui avait vécu dans la vertu, je me réjouissais pour eux et espérait pouvoir les rejoindre.
Alors, jentendis une voix dure et sereine me dire: Ceux que tu vois ici sont ceux qui ont su gagner le Paradis, suivant la parole que Jai confié à Aristote et à Christos. Mais sache que lavenir ne sera pas aussi radieux pour tous.
Je compris que cétait Dieu Lui-même qui madressait ce divin message. Alors, les anges me laissèrent seul, en communion avec le Très Haut.Regarde dans la flaque deau à tes pieds, me dit-Il.
Jy vis alors un beau pays. La douce chaleur du soleil caressait les arbres des vergers, nourrissait les épis de blé, qui se dressaient, fiers, vers le ciel, et donnait tout son amour aux légumes, qui prospéraient. Plus loin, je pouvais voir les vaches paître placidement, accompagnées de moutons gardés par leur pâtre. Lagréable brise prêtait sa force au travail du meunier en faisant tourner les ailes du moulin.
Alors, jentendis une voix dure et sereine me dire: Ceux que tu vois ici sont ceux qui ont su gagner le Paradis, suivant la parole que Jai confié à Aristote et à Christos. Mais sache que lavenir ne sera pas aussi radieux pour tous.
Je compris que cétait Dieu Lui-même qui madressait ce divin message. Alors, les anges me laissèrent seul, en communion avec le Très Haut.Regarde dans la flaque deau à tes pieds, me dit-Il.
Jy vis alors un beau pays. La douce chaleur du soleil caressait les arbres des vergers, nourrissait les épis de blé, qui se dressaient, fiers, vers le ciel, et donnait tout son amour aux légumes, qui prospéraient. Plus loin, je pouvais voir les vaches paître placidement, accompagnées de moutons gardés par leur pâtre. Lagréable brise prêtait sa force au travail du meunier en faisant tourner les ailes du moulin.