[RP] [Divisé] Cathédrale d'Artois

Izeliah

Izeliah, était recueillit, elle tournait dans son doigt l'alliance de sa mère. Elle regarda Nirina.

Très bien

Puis elle alla vers ceux qui étaient déjà là

Bonjour Odas, Je suis heureuse de te voir, ça me fait bien plaisir. Merci à toi aussi Bayard d'être là.

Elle était émue la petite Ize, toute tête de pioche qu'elle était, il y avait là des gens important pour elle, c'était sur... mais d'autres allaient lui manquer. Elle se dirigea vers sa meilleure amie. Une jeune fille pleine de vie, aussi barrée qu'elle et une confidente hors paire... elle l'adorait sa glassounette. Elle la prit dans ses bras.

Merci d'être venue, si tu savais à quel point ça me touche. Tu arrives de Calais ? Tu n'as pas vu mon parrain ? Il était là bas et devait venir. J'espère qu'il ne tardera pas trop.

Marraine ne devrait pas tarder. Au pire on commencera sans eux. Histoire de les faire arriver plus vite.
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Pink69

Emue mais ne voulant pas le montrer Pink arriva à la cathedrale en vu du baptême de sa filleule Izel.
Pour lui faire honneur la jeune femme avait mis une robe toute en dentelle blanche ainsi qu'un tres grand chapeau de paille ...parlons en de sa tenue elle avait du se battre sur le chemin avec un gueux qui voulait la mettre de force dans son champs pour chasser les corbeaux!! Cornecoulle elle l'avait assomé et se dirigeait legerement dépenaillée vers ses amies et sa tendre filleule ...hum tendre etait ce le mot appropiré pour Izel ?
Youhouuuu je suis làààà!

Pink attrappa sa ize et lui colla deux bises petante sur les joues et la felicita
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Nirina

Nirina se leva un peu tremblante, décidément cette cathédrale l'intimidait beaucoup!

Que tout le monde prenne place nous allons commencer.
Pink installe toi donc à côté de ta filleule, le parrain a été retardé je crois !
Elle se dirigea vers l'autel et alluma un grand cierge blanc.

Mes frères, mes sœurs, bienvenue dans la maison d'Aristote..... et Félicitations à toi Ize qui a choisi de rejoindre la Grande famille Aristotélicienne.

Lors du sacrement si particulier qu’est le baptême, une lecture revient fréquemment, permettez moi de vous la rappeler :

Citation:
L'Ethique à Nicomaque a écrit:

L'amitié est ce qu'il y a de plus nécessaire pour vivre. car sans amis personne ne choisirait de vivre, eût-il tous les autres biens. Et dans la pauvreté comme dans toute autre infortune, les hommes pensent que les amis sont l'unique refuge. L'amitié d'ailleurs est un secours aux jeunes gens pour les préserver de l'erreur; aux vieillards, pour leur assurer des soins et suppléer à leur manque d'activité dû à la faiblesse; à ceux enfin qui sont dans la fleur de l'âge, pour les inciter aux nobles actions, car on est alors plus capables à la fois de penser et d'agir.

Nous voyons dans ce passage qu'ici se situe la noble amitié au dessus de toutes les autres valeurs, une dynamique pour nos vies, une référence incontournable à nos actions. Entrer dans la famille aristotélicienne, c’est intégrer cette fraternelle amitié commune à tous les fidèles, la vivre et l’éprouver à chaque instant.

Elle regarda ses ouailles qui écoutaient avec grande attention. ...

Le baptême est une ouverture spirituelle : il vous permet d'affirmer que vous reconnaissez en Dieu à la fois le moteur du monde, la pensée suprême et la cause efficiente et finale du monde.

Le baptême est une prise de conscience : il vous permet de reconnaître l’Eglise Aristotélicienne comme votre guide dans la connaissance de Dieu, et de jurer lui rester fidèle ainsi que de reconnaître son autorité, car elle est la seule représentante sur terre de l'Etre divin.

Le baptême est un salut spirituel : il confirme que vous acceptez tout cela de votre propre volonté pour le salut de votre âme en vue de la résurrection près de Dieu dans la contemplation éternelle de Sa Beauté.

Le baptême vous ouvre la seule voie vers Dieu.
Elle hésita un moment et rajouta :
De plus, en entrant dans l’amitié aristotélicienne, vous avez la possibilité de servir la cité en participant à la vie de l’église, de diverses manière ; comme diacre, prêcheur, prêtre et donc de pratiquer chaque jour avec amour les valeurs qui nous nous devons de défendre.

Elle s'approcha alors de la marraine en espérant que le parrain allait pointer le bout de son nez
Maintenant, je m’adresse à vous marraine et parrain

-Confirmez-vous que vous avez, par libre choix, consenti à être sa marraine ou son parrain ?

-Confirmez-vous qu’elle est ici de par sa propre volonté pour rejoindre la famille aristotélicienne par le baptême ?

-Confirmez-vous que sa décision est sincère et réfléchie ?

-Vous engagez-vous à la seconder sur le long et ardu chemin de la foi ? A être garant de la santé spirituelle de votre filleule et à toujours veiller à ce qu'elle ne s'écarte du droit chemin?
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Luzifer

Luzi arriva tranquillement à la cathédrale, un bon parrain doit toujours se faire désirer.
Rapidement il salua ses amis qui avaient fait le voyage de Cambrai et n’oublia pas de pincer au passage les fesses de Pink.
Puis il se dirigea vers Ize pour lui signaler sa venue.

Bien le bonjour Ize, je suis enfin là, j’espère que je ne suis pas trop en retard.
Mais je n’ai pas pu me libérer plus tôt.
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Nirina

Nirina vit entrer Luzi

Approchez Messire, venez donc vous installer à côté de votre filleule.
Nous avons à peine commencé.
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Luzifer

Nirina a écrit:

-Confirmez-vous que vous avez, par libre choix, consenti à être sa marraine ou son parrain ?

-Confirmez-vous qu’elle est ici de par sa propre volonté pour rejoindre la famille aristotélicienne par le baptême ?

-Confirmez-vous que sa décision est sincère et réfléchie ?

-Vous engagez-vous à la seconder sur le long et ardu chemin de la foi ? A être garant de la santé spirituelle de votre filleule et à toujours veiller à ce qu'elle ne s'écarte du droit chemin? [/b]

Luzi écouta attentivement nirina puis il répondit par oui aux différentes questions.
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Izeliah

Elle leva la tête à droite et regarde pink avec son grand chapeau qui aurait pu l'éborgner, Luzifer à gauche fier comme un Pape. Non décidément elle ne pouvait avoir meilleur encadrement.

Elle fut soulagée de les voir tous les deux là. et de les entendre dire oui

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Laurent_ddv

Laurent était resté en retrait et observait de loin les habitants de Cambrai entrer dans Sainte Raphaëlle. Il savait bien quelle cérémonie allait se dérouler à l'intérieure mais ne pouvait se résoudre à entrer.

Il souriait intérieurement au choix de Junior comme parrain; voilà qui n'augure pas le chemin le plus direct vers le Très Haut. Se dit-il.

Il réprima une dernière fois l'envie d'entrer dans la cathédrale, et se détourna avant que la tentation ne fût trop forte.

Pink69

[i]Pink contemplais beate et baveuse la statue de saint frusquin nu devant elle quand un pinçon aux fesses la fit sursauter, en meme temps la curette lui posait des qestions.La jeune femme lui répondit aussitot

ouiiii ouiii ouiiiiii oups
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Maeva83

Elle avait pourtant essayé d'ouvrir discrètement les portes pour ne pas faire remarquer son retard...
Raté! Une légère pression de l'épaule ne fit pas céder le battant...les mains occupées par un sandwich, elle donna un somptueux coup de fessier et boum patatra, les portes s'ouvrirent et claquèrent sur leurs gongs dans un terrible fracas.

Maé ne pu retenir un sifflement d'admiration en voyant au centre devant l'autel, une belle brochette de bourrins.

Crénon! Ils étaient tous là!
Maé comprenait mieux pourquoi tous les joueurs avaient abandonné le terrain de soule et pourquoi l'arbitre lui aussi avait disparut.
Ils étaient tous entassés à l'église pour assister au baptême d'Izé dans l'espoir de boire et manger après le sacrement!

Ben tient donc, même son chevalier avait déjà pris place à côté de Odas!
Sur la pointe des pieds, Maé longea le mur en se raclant le dos contre les pierres pour aller s'assoir discrètement aux côtés de son chevalier et tenter de se faire oublier...

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Nirina

Nirina se tourna alors vers la future baptisée

Ize , tu as souhaité rejoindre notre communauté de la foi aristotélicienne. Désires-tu quitter le monde purement matérialiste et te joindre au Très-Haut par la révélation et, par cet acte, être lavée de tes péchés ?

A présent levons-nous et récitons ensemble le crédo

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Ce baptême est pour toi Ize le premier pas qui te mènera vers le Paradis. Mais il te faudra encore suivre par toi-même ce long chemin vers la perfection par la prière et en mettant en oeuvre chaque jour cette amitié envers tes frères et sœurs.
Car telle est la Parole de Dieu transmise par Posuys d’Alexandrie :

Citation:
Le baptême permet à la vertu de racheter le péché, permet à l’amour de vaincre l’acédie. Un vertueux qui n’est pas baptisé ne se verra pas effacer ses fautes, car Je n’ai pas béni son entrée dans la communauté de Mes fidèles; ne croyez pas que le fait d’être baptisé vous autorise à pécher sans vergogne. Ce sacrement n’est que le moyen de vivre dans la vertu. Mais tous ceux qui n’ont pas été baptisés, qu’ils soient enfants ou adultes, si ils n’ont absolument jamais péché, pourront de même accéder au Paradis.” (La fin des temps V: Les questions)

En espérant que ce court extrait vous aura bien fait comprendre à tous ici présents la valeur de ce sacrement, mais aussi le fait que c’est l’ensemble de vos actes, au cours de votre vie qui entrera en ligne de compte le jour où vous serez face à notre Créateur.

Tu peux t'approcher de l'autel maintenant Ize , avec ton parrain et ta marraine
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Izeliah

Et voilà, le moment tant attendu arriva. Elle sentait ses joues rosir. Nan franchement elle allait devenir aussi rouge que sa robe... sous peu on allait l'appeler le caméléon.

Elle récita le crédo, avec les autres présents. Le silence était presque religieux malgré quelques bruits de maéva. Au moment d'aller vers l'autel, elle regarda maéva et lui fit un clin d'oeil.

Elle s'approcha donc, suivi de prés par son Parrain et sa Marraine. elle chuchota à Nirina :

Oublie pas hein, c'est Izeliah théodora hein

Sa voix s'étranglait presque.
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Odas

Saluant le chevalier il se retourna vite vers Ize qui les salua, elle était émue, sa voix tremblotait légèrement, en même temps, le jour de son baptême, Odas n'en menait pas vraiment large non plus.

La cathédrale se remplissait petit à petit, la marraine et le parrain firent une entrée remarquée comme à chaque fois alors que Nirina débuta la cérémonie.

C'est ce moment là que choisit Maé pour entrer avec grand fracas, pas de doutes on se trouvait bien en Artois et en présence de Bourrins, dans toute leur splendeur. Un clin d'œil chaleureux à la capitaine des Taureaux et Odas se retourna vers l'autel et récita le Crédo.

C'est qu'Ize était subtilement (ou pas) entourée avec PinkNaine et LuziNain, elle allait bientôt rejoindre la grande famille Aristolécienne.

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Nirina

Nirina souriait.....elle avait aperçu quelques vieilles amies...elle aurait bien voulu aller les embrasser mais ça devait attendre un petit moment
Elle se concentra sur Ize...en souriant toujours...

Maintenant, le temps est venu de prêter serment d’allégeance à l’Eglise Aristotélicienne. Répètes simplement après moi ce serment :

Je reconnais en Dieu le moteur du monde, la pensée suprême et la cause efficiente et finale du Monde.
Je reconnais l'Eglise Aristotélicienne comme mon guide dans la connaissance de Dieu et je jure de lui rester fidèle, ainsi qu'à son autorité.
J'accepte tout cela de ma propre volonté pour le saluit de mon âme en vue de ma résurrection près de Dieu.
Je désire qui mon nom apparaisse comme baptisé et serviteur du Dieu Tout-Püissant.

Le serment fait Nirina l' entraina vers le batisphère.

Ize présente-toi maintenant devant moi ,que je te baptise au nom de Dieu et de l’église Aristotélicienne :

Ize s’agenouilla et inclina humblement la tête tandis qu'elle versait lentement le contenu de la burette remplie d’eau bénite aromatisée au saint radis aristotélicien sur la nuque baissée.

Izeliah Théodora, je te baptise au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les Saints et pour l’amour du Père de l’humanité.

Sois la bienvenue , ma chere amie , dans la communauté de l’Être d'en-haut.
Je te remets maintenant ce cierge allumé qui représente ton âme purifiée. Qu'il soit le symbole de la lumière qui t' éclaire à présent, aujourd'hui et jusqu'au moment de ton passage vers le paradis solaire !

ainsi que cette médaille qui symbolise la parole d’Aristote et que tu devras désormais porter chaque jour en évidence.

A présent, il nous reste à nous réjouir sans réserve de voir la communauté aristotélicienne s'agrandir.

Félicitations à toi d'avoir fait le choix de rejoindre la famille et de suivre ainsi le chemin ouvert par Aristote, notre premier prophète.
Ton baptême est enregistré, Va en paix.

Nirina se pencha vers Ize
Tu as prévu des réjouissances, je suis diacre mais
j'adore la fête moi

Puis elle se tourna vers l'assemblée en souriant
Merci à vous tous d'avoir accompagné Ize en ce jour... qu'Aristote vous guide et vous accompagne tout au long de votre vie!
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Izeliah

Izeliah était concentrée... comme quoi tout est possible

Je reconnais en Dieu le moteur du monde, la pensée suprême et la cause efficiente et finale du Monde.
Je reconnais l'Eglise Aristotélicienne comme mon guide dans la connaissance de Dieu et je jure de lui rester fidèle, ainsi qu'à son autorité.
J'accepte tout cela de ma propre volonté pour le saluit de mon âme en vue de ma résurrection près de Dieu.
Je désire qui mon nom apparaisse comme baptisé et serviteur du Dieu Tout-Puissant.

Puis elle se mit à genoux, bascula la tête prête à se faire baptiser. la main sur sa poitrine elle sera le poing. les larmes coulait en même temps que l'eau ruisselait sur ses cheveux.

Izeliah Théodora... deux noms, deux significations, et plus que jamais présentes l'absence de ses parents. L'avantage étant que l'eau masquerait ses larmes.

Elle se releva et se força à sourire à Pink et Luzifer. Seraient ils dupe ? non pas eux. Ils la connaissaient trop maintenant. Elle prit le cierge et la médaille et remercia Nirina.

Elle n'avait pas vraiment envie de fêter ça... du moins pas tout de suite, quelque chopines payée en taverne suffiraient.
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[Divisé] Cathédrale d'Artois

Brage

Brage s'était porté volontaire pour porter la dernière bière du Jacquot, et lui avec. D'une certaine façon, il s'en sentait obligé, pour ceux et celles qu'ils n'avaient pas portés, pour une particulièrement, et pour son collègue charpentier et buveur invétéré. Il ne s'assiérai pas une fois de plus sur ses principes. Le bois dur du cercueil lui rentrait douloureusement dans l'épaule, les secondes étaient longues et pleines alors qu'ils marchaient en silence. De son autre main il tenait la bride de son cheval qui ne mouftait pas, et le regard débile de celui-ci lui renvoyait ironiquement sa connerie. Brage maugréa et continua à marcher, le coeur lourd finalement, et pas une parole à gerber.
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Sylvine

Sylvine rejoignit l’avant du cortège fixant les quatre messires qui portaient sur leur épaule, la dépouille de son fillot.

Son cœur était triste mais les larmes s’étaient taries. Elle avait trop pleuré depuis plus d’un mois, plusieurs de ses proches. La douleur avait fait place à une certaine langueur. Elle voyait autrement.
Ses projets se modifiaient au cours du temps.

Elle avançait suivant le pas imposé par Nanuccio. La brunette leva un peu la tête, prit une main amie proche d’elle, et, entama les nenies jusqu’à la dernière demeure du sonneur de cloches.

Nanuccio

Il se recula et invita les paroissiens à un dernier salut avant la fermeture du cercueil

Avant de quitter la Cathédrale, nous allons dire un dernier adieu à notre frère Jacquot avec respect et affection, confions le à Dieu.

Marche funèbre

L’édifice se vide peu à peu, tous attendant la sortie du défunt sur le parvis afin de partir en cortège jusqu’à sa dernière résidence. Le coffre clos, porté par les amis, passa devant l’assemblée et tous suivirent en silence jusqu’à destination.

Nous allons maintenant confier à la terre le corps de notre frère dans ce lieu où reposent déjà tant de défunts de nos familles. Le moment est venu de lui dire "à Dieu".
C'est un moment de tristesse, mais il faut que l'espérance reste forte en nous car nous espérons revoir Jacquot, quand Dieu nous réunira, dans la joie de son Royaume.
Recueillons-nous en pensant à tout ce que nous avons vécu avec Jacquot,, à ce qu’il est pour nous, à ce qu’il est pour Dieu.

Nanuccio

Le curé aquieça de la tête les dire de Sylvine qui était clair, il regarda les fidèles afin de voir si quelqu'un voulait prendre la parole.

Brage

Brage, encore crotté du voyage, trempé par l'averse qui s'était déclarée, sauta de cheval et grimpa sur le perron. La porte s'effaça devant lui et il se glissa à l'intérieur de l'édifice où la luminosité merdique de ce temps merdique en ajoutait à l'ambiance merdique de la cérémonie. Il s'assit dans les travées du fond pour ne pas rompre le silence religieux qui plombait l'église. Quelques bertincourtois étaient venus comme ils pouvaient assister au dernier baroude du Jacquot, ils prenaient tour à tour la parole pour lui rendre hommage. Brage n'avait rien préparé, arrivé à Bertincourt le matin, sur le pas de l'église communale le faire part de décès l'avait averti et il avait aussitôt rechaussé les étriers. Il n'avait rien graillé non plus, mais voir le Jacquot en boîte ça lui nouait le cou. Cependant il ne pouvait pas la fermer non plus, ça le démangeait, et quand le père Nanuccio, qui n'avait pas pris une ride, jeta un regard interrogateur à la foule, Brage se leva et prit la parole :

- A force de s'biturer avec ses boutanches d'alcool des marais ça lui pendait au nez... T'étais un ami le Jacquot, t'aurais pu être un saint homme si t'avais pas cané maintenant. M'enfin, faut dire c'qui est, tu vas nous manquer, et quand j'y pense, tu l'as bien mérité... Il leva les yeux vers les chandeliers dorés, vers les vitraux finement ciselés, enfin vers les voûtes immenses et majestueuses, mais tu t'pisserais dessus si tu savais où l'bon père Nanuccio fait sa cérémonie, lâcha-t-il plus bas, avec un demi sourire.
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Nanuccio

Le silence pris possession des lieux, un enfant de cœur approcha sans bruit, de l’enveloppe charnelle qui reposait dans sa dernière demeure, et alluma les cierges se trouvant autour.

L’Amitié est la lumière du monde c’est la flamme qui réchauffe notre cœur.
Quelle éclaire maintenant la route de Francis de Joachim qui le conduit maintenant au Royaume de Dieu !

Il posa la médaille, prise quelques instants auparavant, sur le corps et déclara

Frères Jacquot nous déposons cette croix aristotélicienne sur ton cercueil.
Cette croix est le signe qui relie Aristote et le Christ, qu'elle soit pour toi signe de salut et de vie éternelle.

Citation:

Livre des vertus
Livre II « Aristote & Christos », La Vita d’Aristote, Partie I, Dialogue II « La révélation », Chapitre IV « Dialogue sur l’âme » - Deuxième partie :

Le soir tombait sur la ville de Pélas. On entendait que les murmures des femmes qui, près des temples païens, invoquaient les faux dieux pour la santé du roi. Ce dernier en effet, était mourant. Nicomaque, le père d'Aristote, était à son chevet pour tenter de retarder, et d'alléger le poids de l'échéance fatale.
Aristote, âgé maintenant de 14 ans, marchait au hasard dans les rues de la ville, sans voir ni entendre ce qui se passait autour de lui. Qu’adviendrait-il de son père si le roi venait à mourir? Bien sur, il ne saurait être tenu pour responsable, mais qui sait ce que des courtisans mal intentionnés pouvaient imaginer, et quelles vengeances pouvaient s'exercer dans ces moments d’interrègne ?
Il s'arrêta près du temple de Proserpine. Il ne croyait certes pas à la puissance de ces dieux, qui ne lui semblait que des pantins morts, mais il y avait comme une majesté secrète dans cette évocation de la déesse des morts en un instant pareil.
Il sentit une main se poser sur son épaule. C'était Epimanos.

Epimanos: Tu prie pour le Roi Aristote?

Aristote: Prier? Qui devrais-je prier? Et que dois-je demander ?
Epimanos: Que veut tu demander? Qu'il vive bien sur! Et si tu ne crois pas en cette déesse tu crois bien en une force supérieure qui régie notre vie?

Aristote: Qu'il vive? Il va mourir, tu le sais aussi bien que moi. Nos prières ne peuvent pas lui rendre la jeunesse ni la santé. Il a vécu longtemps, et il est temps pour lui de partir. Non, si je prierai, ce n'est pas pour qu'il vive.

Epimanos: Pour quoi donc alors?(…)

Aristote: C'est bien simple: tout comme le mariage la mort est un évènement définitif. Il faut s'y préparer donc soigneusement. Si il y a une vie après la mort, alors la vie que nous menons avant la mort doit être consacré à préparer cette vie après la mort. Tout comme notre vie avant le mariage doit être consacrée à préparer notre vie après le mariage.

Epimanos: Je vois où tu veux en venir. Pour toi la mort n'est qu'un passage qui mène à une autre vie?

Aristote: Oui, et notre vie présente doit se consacrer à préparer cette vie future.(…)

Aristote: J'en suis arrivé à la même conclusion. Ce qui m'a frappé c'est que cela ne venait pas de ce qui m'entoure, mais de moi même, de mon intérieur. Cela semblait...

Epimanos: Immatériel non?

Aristote: Oui, immatériel. Ce n'était pas la conséquence d'une impression sensible mais d'une impression immatérielle, spirituelle.

Epimanos: Je comprends. Mais quelles conclusions en tirer? Il est évident que ces impressions viennent de notre âme.

Aristote: Oui, mais cela veut dire que notre âme est immatérielle, car l'immatériel ne peux pas venir du matériel. Personne ne peut donner ce qu'il n'a pas. N'est tu pas d'accord?

Epimanos: Oui, dit comme cela c'est compréhensible. Mais où veux-tu en venir?(…)

Aristote: Alors notre âme, qui est immatérielle, doit elle aussi, ne pas mourir. Quand nous mourons notre corps disparait, mais notre âme, elle demeure. Et c'est cette vie de l'âme qui est la vie future. C'est cette vie que notre vie présente, dans notre corps, doit préparer.

Epimanos: Le roi qui meurt va donc vivre encore?

Aristote: Oui, et c'est pour que cette vie de son âme soit heureuse que je vais prier ce soir.

Epimanos: Nous prierons ensemble alors.

De nouveau le silence se fit, laissant peser les paroles prononcées et de nouveau, la voix forte et claire résonna, solennelle :

La mort terrestre n’est que la renaissance de l’âme, celui qui vivra dans la vertu trouvera place auprès des prophètes au paradis solaire pour une éternité de bonheur, quant à celui qui cédera aux péchés, rejoindra les sept princes démons sur la lune et vivre la souffrance éternelle.

Le curé invita les fidèles à témoigner du passage de Jacquot sur terre

Sylvine

Lorsque Nanuccio invita l’assemblée à parler de Jacquot. Sylvine se leva et se tint debout au côté de l’officiant.
Les grands discours, elle n’en raffolait pas. Elle pencha la tête quelques instants puis la releva.

Nous sommes, ici, pour dire au revoir à un homme qui était hors du commun, et, je ne dis pas cela parce qu’il m’avait choisie pour marraine, choix qui d’ailleurs m’a toujours emplie de fierté.

Elle nouait et dénouait ses mains tout en parlant.
Tout ceux qui l’ont connu vous le diront, Jacquot ne savait pas parler le langage de la ville lorsqu’il est venu dans nos murs. Il était même effrayé par le monde en taverne.
C’était un humble mais il faisait tout son possible pour intégrer notre communauté.
Il devint notre sonneur de cloches et rythma notre vie quotidienne.
En taverne, il nous faisait rire et sourire en racontant les bêtises de sa brebis. Il était intègre et aimait apprendre.

Il avait choisi la voie de l’église. La jeune femme tourna sa tête vers Nanuccio et l’autre prêtre.
Il se préparait à entrer dans cette autre grande famille
Bien que désavantagé par la nature, il avait la beauté du cœur.
C’était également un battant.
En fait, je ne lui connaissais pas de défauts.
J’ai été plus qu’heureuse d’avoir pu le croiser et l’accompagner un bout du chemin.
Elle se pencha, déposa sur le linceul un bouquet de violettes puis se signa.
Merci et au revoir mon fillot.
Elle retourna s'intercaler entre son autre fillot et Tidole.

Tidole

Tidole arriva à la cathédrale pour rendre un dernier hommage à Jacquot , elle alla s'asseoir sans bruit auprès de ses amis.

Elle ne put réprimer un léger sourire en se souvenant des brèves et néanmoins trépidantes aventures de la vie quotidienne de ce personnage qui allait bien lui manquer...Bien lui avait pris de lui avoir témoigné quand il était encore temps de toute sa gratitude pour l'avoir rendue aussi souvent de si joyeuse humeur.
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Sylvine

Toute de blanc vêtue, les cheveux voilés, Sylvine entra dans la cathédrale. Elle se signa et remonta la travée. Elle était beaucoup plus longue que celle de Bertincourt. L'enterrement avait lieu ici et non dans l'humble église de sa ville.

Nanuccio venait déjà de prononcer son discours d’accueil.

En ce jour, qu'elle aurait aimé amener Balmusette, la brebis de Jacquot, mais elle n’avait osé.
Le credo commençait à être récité. Elle ne pourrait jamais atteindre les rangs de devant, place qui exceptionnellement devait être sienne.
Elle posa sa main droite, sur sa médaille aristotélicienne, pendue à son cou. Elle leva la tête.
D’une démarche ferme, ne quittant pas des yeux, la dernière demeure de son fillot, la jeune femme remonta sans frémir le restant de la nef, en chantant d’une voix claire, le credo. Elle prit place au dernier mot.

Elle écouta d'une oreille plus ou moins distraite les discours des uns et des autres.
Elle s'attendait à le voir cacher, dans un recoin, sous un vieux manteau comme le jour de son baptême. Il avait fait du chemin depuis améliorant sa manière de parler. Elle l'avait perdu de vue dès son entrée au séminaire.

Elle regarda l'objet de bois: dire qu'il était là et qu'elle n'entendrait plus ses paroles maladroites, ni ses histoires sur les frasques de sa brebis.

Flapen

Flap entra, dans la chathédrale. Il portait son mantel jaune, sa toque, ses beau soulier du dimanche ainsi que des braie rouge...

il se signa. et vit sylvine, elle devait etre en deuil, elle venait de perdre son Jacquot, son fillot.

Le père Nanuccio, venait tout juste commencer. Ainsi il traversa l'allé centrale. et alla s'assoir dans le même banc que sa maraine, sylvine, sachant quelle aurait probablement besoin de réconfort, sest fait pour sa un fillot non?

il ne voullut pas lui faire la bise pour la déranger de son deuil.

Il dit le crédo d'un ton ferme, tout en regardant la demeure de bois de Jac....

Nanuccio

Le curé s’approcha du cercueil et, sa voix retentit dans la nef

Après tous nos regards qui ont croisé le sien, qu’il puisse enfin voir le tien seigneur.

Après l’amitié qu’il a reçue et qui a guidé sa vie, accorde-lui l’amitié ultime qu’est la tienne Seigneur.

Après les peines et les larmes qui ont obscurci sa vie, illumine sa route pour l’éternité.

Seigneur, nous tournons vers toi nos espoirs à l’heure où disparaît le corps de l’ami qui nous est cher.
Accorde-nous l’espérance de le revoir auprès de Toi pour des siècles et des siècles.

Amen

Le curé fit un signe au maître de chorale

CHORALE

Adso

Ayant appris le décès de certains clercs du diocèse voisin, l'archevêque de Cambrai fit le déplacement pour venir soutenir ses collègues, et rendre hommage à des serviteurs du Très-Haut.

Il récita sa prière du pardon :

Citation:

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Puis le Credo quand l'officiant y invita les personnes présentes :

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Archevêque de Cambrai, Protonotaire Apostolique

Dignac

Effectivement Monseigneur, je suis érudit de la voie de l'Eglise. J'essaye de suivre cet enseignement, dont les premières parties m'ont ouvert les yeux sur beaucoup de choses.
Je vais vous suivre à Reims donc.

Yut

Le Père de Taschereau entra dans la Cathédrale Artésienne, et envoya un jeune clerc faire sonner les cloches. Il avait décidé de donner la messe en la Cathédrale, pour que plus de gens puissent venir, surtout en ces temps troubles où un spinoziste prêche.

Il attendit quelques minutes sur le parvis, accueillant les fidèles.

Puis, alors que l’Église arrêtait peu à peu de se remplir, il dit :

Bienvenue, chers fidèles, en ce dimanche, en la Maison du Très-Haut.

Pour commencer, confessons ensemble nos péchés.

Citation:

Confiteor Deo omnipoténti, et omnes sanctis et vobis, fratres, quam peccávi nimis cogitatióne, verbo et ópere.
Mea culpa, mea culpa, mea máxima culpa.
Ideo precor omnes Sanctos, et vos, fratres, oráre pro me ad Dóminum Deum nostrum.

Il récita ensuite la confession en français, pour que tous les fidèles présents comprennent.

Récitons maintenant le Credo.

Il prit ensuite son livre des vertus et tourna les pages pour arriver au texte souhaité.

Citation:

Livre des Vertus – Livre II
La Vita de Christos – Chapitre XVI

Christos fut fouetté pendant plus d’une heure par les gardes, mais jamais aucun cri n’échappa de sa bouche. Il endurait les pires souffrances avec un air calme et serein.

Alors, les bourreaux raillèrent sa foi et insultèrent Dieu, espérant déchaîner sa colère. Mais jamais il ne répondit, même quand ils le ceinturèrent de cordes qu’ils tendirent avec des poulies selon les vœux du grand prêtre.
Christos restait de marbre devant la cruauté des hommes, seul dans sa souffrance et sa peine, mais soutenu par la foi en Dieu. Son visage ne fut jamais aussi beau qu’à ce moment là. Son angoisse était passé et il ne restait sur ses traits que les expressions d’un profond amour et d’une grande paix intérieure.

Les romains et les païens décidèrent donc de passer aux choses sérieuses. Ils ordonnèrent alors que la crucifixion ait lieu.

On cloua Christos sur une grande croix de bois que l’on hissa ensuite sur la colline. Et Christos se retrouva là haut, dominant les autres humains… Tel un agneau, il avait été sacrifié sur l’autel de l’ordre établi parce qu’il remettait en cause la société de l’époque et ses fausses valeurs.

Christos mourut après des heures d’agonie… agonie pendant laquelle il priait le Très Haut et regardait les hommes écrasés au sol. C’est le soir seulement, alors que l’air fraîchissait et que le ciel s’assombrissait, qu’il rendit l’âme dans un soupir.

Alors, du ciel, un grand rayon de lumière transperça les nuages sombres et menaçants et vint auréoler le corps de Christos. Sans que ne disparaisse ce halos de clarté, les cieux se mirent à gronder, et soudain des éclairs terrifiants vinrent frapper la terre comme pour la punir d’avoir laissé perpétrer ce crime atroce… Dans un effroyable déchaînement de violence des éléments, une pluie battante se mit à son tour à tomber, chassant les Romains de la colline des condamnés et imbibant le sol, comme pour le laver du sang de Christos ; ce sang que l’on vit bientôt ruisseler de la butte, mêlé à celui des deux autres condamnés, à leur sueur et à leurs larmes.

Mais après un moment, la nature s’apaisa, la pluie cessa, les éclairs s’arrêtèrent, les grondements du tonnerre se turent et les nuages s’écartèrent, vaincus par le rayon de lumière, grandissant, dont le flot inondait maintenant la colline.

C’est alors que nous vîmes apparaître, dans ce halos bienfaiteur, une nuée d’anges célestes. Tous descendaient du ciel avec grâce, volant au dessus de l’éminence. Ils prirent le corps du messie, guide et miroir de la divinité, et le hissèrent jusqu’aux cieux, l’emmenant rejoindre le trône de Dieu.

Ce texte, mes enfants, est un récit atroce, celui de la mort par crucifixion de Christos. Ce dernier a fait preuve d’une bravoure incomparable, durant ses derniers jours. Il s’est laissé mourir, pour nous, pour la rédemption de nos péchés! C’est grâce à lui, le Messie, par cet acte de bravoure, que nous pouvons atteindre le Paradis Solaire aujourd’hui. Encore, mes enfants, faut-il avoir une vie vertueuse, une vie comme Christos. Il doit être un exemple pour chacun de nous. Même le plus sage des hommes n’est pas à l’abri du péché, mais il faut s’efforcer de s’en éloigner le plus possible, pratiquer la Vertu tous les jours, pour espérer atteindre le Paradis, qui nous a été offert par l’immense bonté de Dieu et le sacrifice démesuré de notre Messie! Mes enfants, ayez une vie qui se rapproche de celle de Christos et vous pourrez accéder au Paradis. Ne vous écartez jamais de son exemple, et ne vous approchez jamais, JAMAIS d’une religion autre que CELLE QUI EST LA SEULE VRAIE ET QUE L'ON RECONNAIE SANS PEINE, aux signes de vérité dont elle porte en elle l'éclatant caractère.

Venez maintenant communier.

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«Tout homme est disposé à accepter un prix, même pour ce qu’il espère ne jamais avoir à vendre. »

Dignac

Dignac enleva sa coiffe et baissa le col de sa redingote, son alter égo qui se tenait à quelques pas de là lui fit un signe de la tête et se fondit dans la foule.

Voilà Messire, ou dois-je vous appeler Monseigneur ? Je pense que c'est le terme approprié à votre charge.
Donc, Monseigneur je suis des cours de religion en notre université d'Artois. Mais il m'a été dit que pour parfaire mon enseignement il serait de bon ton que je sois baptisé, d'autant que je voudrais m'investir dans l'église de Péronne qui est bien abandonnée.

Dignac n'avait pas tant parlé depuis des lustres et il voulait faire court. Tout en se demandant si il faisait le bon choix. Lui qui n'avait jamais douté ... . Tout était si simple, une cible, une traque, et paf ! Avec son comparse, son ombre, son porte glaive, son dernier ami ... .

Enfin voilà, je voudrais prendre en charge la communauté religieuse de Péronne. Oh !Dans un premier temps, juste la célébration des messes, afin que chacun puisse la suivre le Dimanche et le Jeudi au moins. Puis, plus tard je ne dis pas, enseigner ... . Avec le temps j'y arriverai peut-être. Mais avant il me faudra obtenir les sacrements. Et c'est là que vous, Monseigneur, pouvez me dire comment faire.

Nanuccio

Le père Nanuccio demanda à quelques fidèles proches des défunts de porter les cercueils jusqu’à l’autel pendant que la chapelle continuait de se remplir.

cloches

Il salua chaque fidèle entrée et, rejoignit l’autel.

Mes sœurs, mes frères, nous sommes réunis ce jour afin de donner un dernier hommage à notre frère et diacre Jacquot. Je me réjouis de vous voir si nombreux à lui donner ce dernier honneur. Avant d’accompagner son dernier voyage, repentons nous de nos pêchés, et prions le Seigneur de nous pardonner

Il fit silence un instant, comme à son habitude après chaque prière, laissant ainsi chacun prendre la mesure de son engagement, et invita du regard les plus proches du défunt
Recueillons-nous pour le repos de leur âme

Il fit place afin qu'ils récitent le credo, que tous reprirent en murmurant

Adso

Et bien, c'est très simple, il vous suffit de suivre la Pastorale au préalable. Vous pouvez me suivre au séminaire de Reims, je m'occuperai de vous. Quant à vous occuper de la paroisse de Péronne, ce serait avec plaisir... Vous êtes donc érudit [N3] et dans la Voie de l'Eglise ?

Adso

Adso fut agréablement surpris de voir que, pour une fois, quelqu'un osait s'adresser à lui devant tout le monde, pour autre chose que de jeter des cris sur les clercs et l'Eglise Romaine, juste pour se faire bien voir des autres. Mais enfin, ce n'était pas pour autant gagné : les féaux de Tastevin en ce comté lui avaient plus d'une fois montré qu'ils pouvaient avancer masqués, sous couvert de discussion théologique, et ensuite essayer de démontrer la suprématie de leur hérésie sur la Vraie Foy. Il s'efforça de sourire néanmoins et :

Oui, je vous écoute, mon frère...

Dignac

Dignac se tenait devant la grande porte de la cathédrale. Il avait décidé de changer de vie, voulant se tourner dorénavant au service des autres. Mais pas n'importe comment. Le traqueur, ou il dirait plutôt l'ex traqueur, en avait plein les bottes de courir les royaumes après des scélérats, des pilleurs, et autres malveillants pour voir que bien souvent ils s'en sortaient si facilement. Certes il avait même pensé à faire justice lui même, mais à quoi bon.
Et un jour il lui fut parlé de la "voie de l'Eglise". Mazette !! Voilà quelque chose qui l'intriguait et il se mit à étudier.
Diantre ! La voilà la solution, apporter la bonne nouvelle, à visage découvert.
Houspiller le quidam !!
Remettre le malveillant dans le chemin de la probité !!
Mais à qui s'adresser ?
Aussi quoi de plus naturel que de se retrouver devant la cathédrale et de se confier à l'officiant.
Dignac s'approcha du clerc en charge et se présenta.

Mon bon Sire le bonjour. Je suis Dignac pour vous servir. Puis-je vous entretenir de religion.

Il attendit.

Yut

Il entra dans l'édifice religieux. Il s'assit sur un fauteuil à côté de l'Autel. Il récita la Confession.

Confiteor Deo omnipoténti, et omnes sanctis et vobis, fratres, quam peccávi nimis cogitatióne, verbo et ópere.
Mea culpa, mea culpa, mea máxima culpa.
Ideo precor omnes Sanctos, et vos, fratres, oráre pro me ad Dóminum Deum nostrum.
Misereátur nostri omnípotens Deus et, dimíssis peccátis nostris, perdúcat nos ad vitam aetérnam.
Amen.

Puis, le Credo. Il s'amusait à tout dire en latin, bien que les fidèles ne l'entendaient probablement pas.

Il écouta le récit du Livre des Vertus et le Sermon, puis alla communier.
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«Tout homme est disposé à accepter un prix, même pour ce qu’il espère ne jamais avoir à vendre. »

Catherine.victoire

De passage dans la région, la jeune femme avait réglé le voyage de sorte à pouvoir marquer un arrêt dans la cathédrale d'Artois. S'y rendre et contempler le calme des lieux, s'y rendre et purger son âme par quelques prières et confessions, s'y rendre et que faire ? Trouver la paix de Dieu le créateur ou la salvation par quelque repos ? Elle n'avait nulle idée. Instinctif avait été le choix. Comme une sorte de besoin pressant au plus profond de soi. Une gêne qui n'en était pas une, une envie s'éloignant de tout besoin de plaisir.

Le coche tanguait au gré des rocailles traçant une route interminable. L'inconfort du claquement des sabots sur les pavés du comté était pourtant d'un charme qu'on pouvait difficilement désigner. Peut être la rareté de ses éloignements lui rendait ce battement plus agréable tandis qu'elle gardait un oeil sur l'enfant dans son panier. Le petit Lodewijk avait grandi maintenant, il ne pleurait plus comme avant et passait des nuits plus longues, sans toutefois omettre à la sieste réparatrice après que sa mère lui aie donné le sein.

Dehors, les feuilles tombaient sous les assauts du vent d'automne, l'hiver était aux portes de l'Artois et s'annonçait plus froid qu'à l'accoutumé. La belle redessinait les plis de son châle sur elle, elle fermait un oeil dans un semblant de sommeil pour le rouvrir aussitôt. Les voyages en coche ayant toujours ce suspense, ce danger vous piquant les narines comme un poivre qu'on se garde de rajouter sur un plat fait d'incertitudes. Le dernier tour de roue attendu avec une certaine sensation de crainte d'être arrêté en route par des gens mal intentionnés finirait par arriver.

Et que faire elle n'avait, après tout. Quoi qu'il arrivasse, elle l'eut prit comme ça venait. Loin d'Amiens maintenant, loin de cette ville dont elle épousa sur un coup de tête valeurs et coutumes. La ville qui dépendait d'elle dans maintes choses de la vie de chaque jour était elle aussi à des années lumières de sa pensée. Il y avait comme un semblant d'amertume dans ce regard au bleu perçant, comme un léger voile de tristesse, un égarement soudain.

On lui avait annoncé la nouvelle dans une lettre non signée, dans une lettre passée sous la porte de sa demeure en ville. Comme si quelque chose avait été décidé et qu'elle devait en être l'actrice tenant le rôle le plus dommageable. Sa main tremblait encore d'avoir eu cette triste lecture à faire, son coeur se serrait à chaque fois qu'un éclair de souvenir lui traversait l'esprit, comme si la quiétude ne devait plus l'habiter, la jeune femme était prise entre deux feux.

Celui du refus d'y croire et l'autre de se dire que rien ne pouvait être fait, tout acte étant joué.

Si de nouvelles de sa fille elle avait rarement, il n'avait jamais été question qu'elle rate l'occasion de lui écrire une fois la nouvelle lune venue. Un plis par mois était une chose rare mais attendue aussi fort qu'elle était appréciée. Atteindrait t - elle alors la maison de Dieu pour y verser ses larmes ou devrait - elle céder à l'horreur de l'évènement, une énième fois ?

Le coche s'arrêta net, léger choc la ramenant sur terre, l'évadant du flot de ses pensées. Long cheminement de son esprit qui avait rendu le voyage d'apparence moins longue, la voici qui se couvrait pour la descente. Le ton grave, la mine quelque peu déconfite, la diaconesse foula le sol et fut prise d'un frisson vu la froideur du temps. D'un geste protecteur, elle lova son enfant contre elle, dans son mantel puis marcha plus avant afin de gravir les marches de l'édifice religieux.

Elle se laissa aller jusque le bénitier dans lequel elle trempa l'index avant de se signer. L'eau bénite était claire et froide, un léger parfum emplissait les lieux tandis que son fils se reposait contre elle. Cath poursuivit sa marche, entra dans la nef et laissa la splendeur des lieux l'envahir. Une impression de sérénité retrouvée qui tout le long du chemin de croix devait s'estomper. Peu à peu, le sol sembla s'effriter sous ses pas. Elle inspirait plus nerveusement, si bien que l'enfant remua.

Pressément, elle prit place sur un siège, ferma les yeux et sembla se destiner à des longues heures de réflexion. Elle croisa les jambes comme cherchant un appuis plus ferme au sol. Le visage couvert d'un voile jais, à l'image de sa tenue, ce qu'elle portait était plus lourd à vivre que de sentir un millier de lames vous transpercer le cœur simultanément. Elle arqua une main dans le dos du petit, qui lui servait de baume au coeur.

Les vitraux représentaient des scènes, sortes de discours imagés, ces paraboles contant la vie de christos et aristote étaient porteurs du salut promis pour les âmes et l'idée de voir sa fille cadette, peut être là haut, à la regarder devait lui donner quelque réconfort et force pour la prière. Elle baissa ensuite la tête, les yeux posés vers le sol duquel un froid incommensurable la gagnait. Ah que le gris du roc était tout sauf à l'image de l'évangile.

Elle inspira comme cherchant cette bulle d'air insaisissable et dont on ne peut que mourir de besoin. Elle se battait contre une force insurmontable qui devrait bientôt la vaincre au plus profond de ses entrailles. Il ne fallut pas longtemps pour qu'une buée lui voile la vue et lui mouillant les paupière, se mette à ruisseler le long de ses joues rosies par le froid. Le travail l'avait protégée d'une telle détresse dans laquelle, cette fois ci, la belle plongeait de manière irréparable. Un léger murmure lui brûlait les lèvres et pourtant, avait toute la peine du monde à sortir et se faire entendre. Un peu comme un cris qu'on ne sait échapper, un son de voix qui une fois le souffle coupé nous donne l'apparence horrifique d'un coup trop rapide de la mort nous ayant gagné alors qu'on avait encore envie de dire.

C'était trop tard pour quoi que ce soit. Il ne lui resterait d'elle plus que les rares souvenirs, ce petit sourire sur un visage plein de vie, un jeune âge promettant tout ce qu'une existence pourrait offrir de plus beau, quelque chose ayant un arrière goût d'inachevé. Les lamentations ne manqueraient alors pas et chaque matin serait ombragé par ce manque d'un rayon de soleil se faisant aussi cher qu'il serait désiré.

Une partie d'elle même avait revu le jour le soir où elle trouva dans cet enfant une fille adoptive. Aujourd'hui et pour toujours, ce serait cette même partie qui l'occuperait, mais dans le sens d'une tare, d'un besoin impossible à assouvir, comme une présence qu'on ne sent qu'en partie et dont le défaut sonnait le glas à toute journée ne pouvant désormais que commencer avec un pincement au coeur pour s'achever dans un sanglot de larmes. Ah que ses yeux allaient en voir couler des flots, celui de ces mots qu'on ne dit qu'à son enfant, à un enfant si loin maintenant.

La jeune femme serra le nourrison qu'elle tenait dans ses bras, le sachant lui et sa fille ainée comme les deux seuls piliers l'attachant à ce monde qui une fois de plus lui avait préféré la cruauté à la clémence. Dévotion se voulait être le mot d'ordre à ses jours, désillusion de sentir abandonnée de l'être d'amour qu'elle louait dans ses messe serait l'épitaphe anticipée qu'on pourrait lui donner.

Après avoir passé une heure assise, elle se leva pour aller faire se consumer un cierge semblant être un peu de son âme partant la retrouver là haut, les bras ouverts lui faire voir qu'elle serait là pour elle, à une place qui une fois de plus ne l'avait pas trouvée plus tôt. Qu'elle s'en voulait d'avoir un jour fait ce choix, celui par lequel elle hypothéqua sans le savoir le peu d'heures lui restant à partager avec un enfant qui lui était venu comme un présent des cieux...

Adso

Messe du dimanche 31 octobre MCDLVIII

Adso s'était récemment rendu compte d'une chose : il était plus intelligent que les autres. Enfin non, çà il le savait depuis longtemps... Mais il s'était rendu compte que çà impliquait que ce qui lui paraissait évident au premier abord, à lui, pouvait s'avérer difficile à comprendre pour les autres. Aussi ce matin-là, il prit une grande décision : il allait reprendre l'instruction religieuse des artésiens à zéro.

Il se rendit donc à la cathédrale, et fit sonner les cloches pour la messe dominicale.

Il alla ensuite se préparer dans la sacristie, revint dans le choeur, constata que, comme d'habitude, il n'y avait pas grand monde, et commença d'une voie forte :

Bienvenus dans la Maison du Très-Haut ! Comme de coutume au début de chaque messe, reconnaissons devant le Très-Haut que nous sommes pécheurs. Répétez après moi :

Citation:

Je confesse à Dieu Tout-Puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensées, en paroles, en actions.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés. Amen !

En ces temps troublés où notre foi est sans cesse mise à l'épreuve au milieu des différentes sortes de mécréants que le Sans-Nom met sur notre route, il est bon de proclamer notre foi :

J'ai décidé de vous présenter, aujourd'hui et au cours des prochaines messes, le contenu du Livre des Vertus, le livre saint qui est la base de notre Foi. Il se compose de plusieurs parties, et aujourd'hui, je vais vous parler de la première, qui, comme il se doit, s'intitule "La Création". Le premier chapitre de La Création traite de considérations philosophiques. Je vous suggère de laisser çà aux intellectuels, et passons à la suite. On y apprend que le Très-Haut a créé le monde et toutes les créatures qui le peuplent. En ce temps-là, même les animaux parlaient, et l'homme n'était qu'une créature parmi les autres. Puis vint un moment où le Très-Haut convoqua toutes ces créatures, et leur posa la Grande Question. Je vous lit les versets 3 à 5 du chapitre VI :

Citation:

3 Alors gronda le tonnerre, les nuages s’écartèrent et une douce lumière se fit dans l’espace ainsi dégagé dans le ciel. Parmi les créatures, un grand silence se fit. De la lueur céleste, une voix grave, pénétrante, mais douce et sereine se fit entendre. Alors, la voix dit: "Ecoutez-Moi, vous que J’ai conçus, car Je suis votre Dieu. Sans Moi, vous n'existeriez pas, et à Moi, vous devez fidélité."

4 Dieu ajouta : "Nombre d’entre vous se disent Mes préférés, mais jamais Je n’ai jusqu’alors donné de préférence à quelque créature que ce soit. Alors, le temps est venu que Je change cela. Le temps est venu que Je fasse un choix parmi Mes créatures. Le temps est venu que Je nomme une espèce parmi vous "Mes enfants". Pour faire ce choix, Je vais vous poser une unique question."

5 Dieu leur demanda donc : "Vous vivez grâce à Moi, car Je suis votre créateur. Vous vous nourrissez, vous vous reproduisez, vous élevez votre progéniture. Mais vous ne savez pas pourquoi vous vivez. Selon vous, quel sens ai-Je donné à la vie ?"

Ensuite... Et bien, je vous laisse le suspense jusqu'à la semaine prochaine. Vous aurez ainsi le temps de réfléchir à la réponse que vous auriez donné, vous.

Il alla préparer le pain et le vin sur l'autel, puis dit à l'assistance :
Mes frères et soeurs, venez partager le pain et le vin en mémoire de Christos ! Cà aussi, je vous expliquerai d'où sa vient lors d'une prochaine messe. Si vous voulez me parler, vous y êtes vivement encouragé. Vous pouvez me parler à la sortie de la messe, ou me demander un rendez-vous. Maintenant, sortez et portez la lumière de la Raison et de la Foi au monde !

Quand tout le monde se fut servi d'un morceau de pain et eut bu du vin, Adso remonta la nef centrale et se plaça devant l'entrée pour saluer les fidèles qui sortaient.

Melly

Après le guet, l'ost. Merdita en tête vint embrasser Melly, mais elle semblait ailleurs.

Merdita a écrit:

Ma belle, je te félicite. Je suis heureuse d'avoir pu être présente pour cette occasion.

" - Et moi je te remercie d'être venue et d'avoir tenu ta petite équipe de dissipé!!"

Elle la serra fort aussi, consciente que tout le monde finirait tremper. Puis Mémé tendit son file pour que Melly l'embrasse. Elle le pris dans ses bras, le souleva au dessus de sa tête en riant et lui fit un gros bisous sur la joue, puis le rendit a sa mère.

" - Et il n'est même pas mouillé. "

Puis elle se pencha vers la soldate. " - Le fut est près de l'autel "

merdita a écrit:

Maintenant, reste plus qu'à festoyer cela comme il se doit

" - Oui, du vin de Bourgogn à boire et des brochettes d'yeux de mouton croquant à manger, c'est Pat qui a choisit le plat"
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Merdita

La cérémonie était finie. Melly était enfin baptisée. Merdita s'en étonna tout de même. Avec les parrains qu'elle avait, ca aurait pu être un désastre ou une sorte de foire

mais que nenny! La cérmonie était des plus émouvantes.

Elle attendit patiemment avant d'aller féliciter Melly.

Ma belle, je te félicite. Je suis heureuse d'avoir pu être présente pour cette occasion.

Elle la bisouilla très fort, lui fit un gros calin en cherchant du regard le parrain de la baptisée...Où qu'il est parti? c'est lui qu'à les bouteilles!!!

Regardant le belle Melly, elle fit faire un bisou de Maurin en souriant

Maintenant, reste plus qu'à festoyer cela comme il se doit

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Guillomme

Guillomme qui eu peur de s'endormir, fut finalement tenu éveille, car toutes la cérémonie se passait presque comme au guet, il en était même un peu surpris, ce qui l'empêchât de réagir rapidement a l'appel de pat pour la boulasse

, mais ayant un minimum de savoir vivre, s'approcha de melly, pendant qu'elle vide son verre, un moment il voulut la prendre dans ses bras pour partager sa joie, mais l'état ou ce trouvait melly lui fit se retenir, de plus la vue y était très agréable

alors émut on dirait... heureusement que tu as bien choisit ton parrain et marraine, car ils seront toujours la pour toi et tu ne pouvait mieux choisir, mais bon trêve de palabre, il est temps de boulasser ... euh communier je crois

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Tisserand , eleveur de mouton et cultivateur de maïs

Melly

Après Zaza, Guillomme s'approcha de Melly, sans toutefois la serrer contre lui. Voyant ses yeux descendre et ne pas s'attarder sur son visage, Melly suivit le regard de Guillomme et rougit, apercevant son décolleté grandissant. Pourtant elle avait choisi cette robe dans le but d'éviter ce genre de chose.

Guillomme a écrit:

alors émut on dirait... heureusement que tu as bien choisit ton parrain et marraine, car ils seront toujours la pour toi et tu ne pouvait mieux choisir, mais bon trêve de palabre, il est temps de boulasser ... euh communier je crois

Avant de lui tendre un verre, Melly sourit en coin.

" - Je t'aurai bien choisi mais j'aurais été obligé de bien me tenir et de ne pas faire cela!!!!" Et sur ces paroles, elle se hissa sur la pointe des pieds et pris dans ces bras le Lieutenant de Péronne.
" - Il n'y a pas de raison que je sois toute trempée et toi pas!!! Les guetautrous sont solidaires

"
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Melly

Melly vit enfin se lever et s'approcher LordRomi. Elle sourit, ayant espérée un geste.
Il se baissa pour être à son niveau et chuchotta à son oreille.

lordromi a écrit:

Très belle cérémonie! Cette robe vous allait vraiment à ravir!

Elle sourit, attendait un geste, mais LordRomi s'éloigna, ne communiant pas avec les autres.Elle le regarda s'écarer d'elle, commençant à en avoir l'habitude.
Elle soupira à le voir ainsi, elle n'avait même pas eu le temps de lui répondre.
Mais elle n'eu pas le temps de s'apitoyer sur son sort, Zaza venait à son tour la féliciter et la serrer très fort. Elle l'a bisouilla et la remercia. Encore une grande famille, après celle du guet.

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Zazaroyaume

Zaza avait trouvé ce baptème magnifique et cocace ! quoi de plus normal avec une majorité de Guetautrous sur place ; vous me direz, pas étonnant, Melly avait fait un choix judicieux en prenant deux des plus grands Lieutenants d'Artois pour l'accompagner dans cette épreuve !

Dans leur bonheur, même la boulasse les accompagnaient lors de cette cérémonie, et Tib et Zaza avaient profité de leur propre bouteille, l'arme fatale ne se déplaçant jamais sans... ; qu'est ce qu'ils avaient ri aussi de toutes les bétises et de l'attitude des parrain, marraine...Adso devait être dépassé et n'avais surement encore jamais vu cela, mais il fallait un début à tout !

Elle songeait que Melly devait être bien heureuse d'être si bien entourée, tout comme Zaza, nichée au creux des bras de son époux ; eux fêtaient leurs deux ans de mariage en ce même jour, une union sacrée qu'elle ne manquerait pas de fêter en plus de ce baptême, car Melly était enfin baptisée et il était grand temps d'aller festoyer

Voyant que Lord alla féliciter sa chérie, Zaza après avoir déposée un doux baiser sur les lèvres de son aimé, se hata d'aller la serrer fort afin de la féliciter à son tour d'entrer dans la grande famille d'Aristote !
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Lordromi

Enfin, le baptême était fini! Le jeune homme se leva donc, et s'approcha de son aimée.Il lui chuchota quelques mots à l'oreille...

Très belle cérémonie! Cette robe vous allait vraiment à ravir!

Le jeune soldat ne toucha pas au vin et au pain de communion, n'étant pas baptisé...

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Maighdin

Maigh était concentrée sur sa vengeance quand elle entendit des personnes crier : VAZYOFU.
Bien qu'elle ne fut pas sur de ce que cela voulait signifier, elle se leva d'un bond et se dirigea vers le trio. Un peu timide car elle ne connaissait que Melly, elle leva un doigt et s'éclaircit la gorge.

Heu scusez moi? c'est par ici qu'on partage le vin? ...et le pain bien sur?

Melly

Melly se retrouva donc devant l'autel avec son parrain et sa marraine pour partager le pain, mais surtout le vin. Elle mangea un morceau de pain symbolisant de corps de Christos, puis avalea une bonne chopine, qui la réchauffa en même temps, malgré la cape de sa marraine, elle risquait la pneumonie.
Elle se retourna, heureuse de voir Maigh s'empresser autant, et elle lui tendit une chope pour qu'elle puisse communier.
Puis elle chercha des yeux celui qui aurait du être le premier à se lever mais qui n'était pas à ses cotés.
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Aerandir.dilemalkhan

Elle avait tenu sagement assisse , essayant en levant la tête d'apercevoir "presque cousin " mais nan rien de rien , ça gesticulait dans tout les sens , boulettes qui se baladent, la bain , alors qu'on est pas sale , un seau d'eau sur la tête pour finir et maintenant fallait donner les décorations.

Aristote revenait souvent dans la bouche de l'homme curé et il avait un air qui l'amusait.
C'était vraiment un bö spectaque que tout ça !

Elle se promit de reviendre pour un baptême mais là , elle avait faim et ses jambes avaient envie de courir les bois .
Les crampes à pas bouger , paraît que ça arrive vite !

Alors sur la pointe de ses bottes, elle sortit non s'en jeter un dernier regard sur la scène amusée ....
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Joanou

Jo qui s'était glissée telle une tite souris à côté de ses comparses
trouvait que la cérémonie était des plus agréables

Elle poussa du coude sa frangine tout sourire en lui murmurant à l'oreille

Hééé pssssssstt
Dis Morgane
je pensais pas trouver une atmosphère aussi chaleureuse
en rentrant ici
çà te dirais pas un tit baptême?
y a encore du potage hein
tu voudrais pas barboter aussi?

Elle se retenait d'applaudir...se trémoussant sur sa chaise

Patcaf

Ne vous inquiétez pas Monseigneur!
Ici c'est pour le partage mais on a besoin de grosses parts...
Pour les réjouissances, vous êtes invité, c'est dehors et avec un fût par personne; c'est ça le guet...

Quand à ce Messire Moderation, je ne le connais pas mais il peut boire avec nous!

Adso

Cà en était presque émouvant... Voilà, il suffisait de leur botter un peu le derrière, et ils nous faisaient un beau discours de parrain et marraine ! Bon... Ils commençaient même un peu à s'étaler, mais bon... çà avait été tellement long pour les faire démarrer, qu'Adso hésitait à les interrompre dans leur élan.

En revanhce, quelle ne fut pas sa stupeur de constater qu'un fût, probablement de vin, avait été amené près de l'autel ! Mais qui donc avait fait cela ? la bouteille qu'il avait posé sur l'autel ne leur suffisait donc pas ?

Comme toujours à chaque fois qu'une situation lui échappait, il s'efforça de sauver les meubles :

Avec modération, hein ! Ne déshonorez pas la maison du Seigneur ! En principe, les réjouissances, c'est après, à l'extérieur de l'église...

Melly

Melly, remise de ses émotions du au discours de son parrain, se retourna pour regarder sa marraine, et peut être lui souffler que le cierge était pour elle.
Celle ci avait l'air occupé, semblant vouloir utiliser le cierge comme torche. Mais pourquoi mettre le feu aux fonds baptismaux?
Puis d'un coup, elle se redressa, sortant de sa rêverie; elle se retourna vers Melly et lui remis le cierge, que Melly pris en souriant
" - Tu te réveilles Marraine?"

Crys était totalement réveillé et Melly l'écouta avec attention.

Crysline a écrit:

" Nous ne nous connaissons pas depuis très très longtemps Melly et pourtant c'est moi que tu as choisie comme marraine...On se demande bien pourquoi d'ailleurs si ce n'est pour ....heu...la boisson divine peut-être

...Arf je m'égare...Donc oui tu m'as choisie et j'en suis très fière...Saches que la confiance que tu as eue en moi en faisant cela, je tâcherai d'en être digne...Tu peux et tu pourras toujours compter sur moi...Dans la richesse comme....heu...Dans les coups durs comme dans les moments de joie...Mon épaule sera toujours la pour que tu puisses t'y appuyer...Mes bras te seront toujours grands ouverts et ce dans n'importe quelle circonstance...Merci ma belle

En entendant ces paroles, Melly sentit ces sanglots remonter dans sa gorge, ils avaient décidé de la faire pleurer, pas de doute. Ils avaient beau être totalement loufoque, personne n'était meilleur que les guetautrou, toujours prêt pour l'Artois, toujours à se serrer les coudes, toujours là les uns pour les autres, une famille, sa famille, et rien ne changerait cela.

" - Mer.... mer.... merci Marraine. On se connait peu c'est vrai, mais tu es un grand soutien pour moi, tu l'as toujours été, et tu es aussi un modèle à suivre, de droiture et de rigueur, de boulassse et de joie aussi.
Tu sais déjà que je serai toujours là pour toi, dans le boulot comme pour le reste, et je suis heureuse de t'avoir comme marraine."

Melly lui pris la main

" - Je n'abuserai pas de ton épaule promis, et je me montrerai digne de ma marraine.

Les larmes perlaient maintenant au bord des yeux de la petite guetautrou. Elle voyait ben que Crysline était aussi émue qu'elle, elle se détournèrent l'une de l'autre pour cacher tout cela; Melly en profita pour essuyer ses yeux et remonter sa robe une énième fois, jetant un oeil à l'assemblée, pendant que Crys hélait Pat.

crysline a écrit:

" Hey Pat....Ne m'oublies pas pour le partage du vin hein...Le pain ma foi on le laissera bien aux autres et puis si on a faim ben....Il y a toujours la soupe la"

Une soupe?

Pourtant le repas qu'elle avait réservé pour faire suite aux bouteilles se composait des plats préférés de Pat, pas d'une soupe.
Crys passa ensuite une annonce pour retrouver ces chaussures, et melly se souvint qu'elle même était pieds nue. Elle alla remettre ces petits escarpins discrètement .
Puis Pat sembla vouloir reprendre la parole

patcaf a écrit:

Melly, je te l'ai dit tu peux compter sur moi, c'est le devoir d'un parrain, je l'ai accepté et l'accomplirai; Crys je suis heureux que tu sois la marraine car je sais que si je suis absent tu auras la fermeté (et le revers de main) nécessaire pour maintenir cette douce enfant dans le droit chemin!

En parlant de droit chemin, on va le faire ce partage? On file direct sur le pinard.

Elle était bien entourée, tous voulant la battre, elle sourit à son parrain et allait répliquer, mais elle n'eut pas le temps. Elle acquiesça à ces derniers mots, lui pris la main et hurla avec lui en courant sus au cru

"VAZYOFU"
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Patcaf

Leva les yeux aux ciel...

Dans quel monde vivons nous? Quelle débauchitude: Une nouvelle baptisée poitrine au vent, le sein gauche à peine caché par un poireau, le droit visible sous deux carottes...
Une marraine aux pieds nus...

C'est cela les temps modernes? Que vont devenir nos enfants ? Perturbés par ce qu'ils voient ils se retrouveront dans les geoles où les enfermeront leurs parents...

Melly, je te l'ai dit tu peux compter sur moi, c'est le devoir d'un parrain, je l'ai accepté et l'accomplirai; Crys je suis heureux que tu sois la marraine car je sais que si je suis absent tu auras la fermeté (et le revers de main) nécessaire pour maintenir cette douce enfant dans le droit chemin!

En parlant de droit chemin, on va le faire ce partage? On file direct sur le pinard.

Prenant Crys et Melly par la main il se rua vers le fût, le trio hurlant en choeur :

VAZYOFU

Crysline

Il faut croire que l'archevêque était pressé de terminer la cérémonie et on se demande bien pourquoi d'ailleurs

car celui-ci refila le cierge destiné à Melly à la marraine sans avertissement préalable ce qui failli mettre le feu à la chevelure de Crys

et qu' il fallut le rappel du parrain pour qu'il bénisse la médaille destinée à la baptisée pour que tout rentre dans l'ordre...

Du moins en apparence car Crysline, toujours à la recherche de ses chaussures était plus ou moins ailleurs ce qui valu d'ailleurs qu'elle remarqua dans les fonds batismaux des légumes qui flottaient

Ne comprenant pas de suite que c'était de la que venait de sortir sa filleule et sentant la cire lui couler sur les mains, elle se pencha, croyant qu'il lui fallait mettre le feu sous le bassin afin de faire cuire la soupe

...

Fort heureusement, le discours que tint Pat à Melly fit sortir la Lieutenante de sa létargie..

" Arf...Je deviens folle moi....Il est vraiment temps que je boives sinon je vais finir par faire des bétises" pensa-t-elle

La marraine s'apercevant que ce qu'elle tenait dans les mains n'était autre que le cierge, lumière d'Aristote ou quelque chose comme ça qu'elle devait remettre à sa filleule, se retourna sur celle-ci et lui dit en lui tendant ce dernier...

" Nous ne nous connaissons pas depuis très très longtemps Melly et pourtant c'est moi que tu as choisie comme marraine...On se demande bien pourquoi d'ailleurs si ce n'est pour ....heu...la boisson divine peut-être

...Arf je m'égare...Donc oui tu m'as choisie et j'en suis très fière...Sâches que la confiance que tu as eue en moi en faisant cela, je tâcherai d'en être digne...Tu peux et tu pourras toujours compter sur moi...Dans la richesse comme....heu...Dans les coups durs comme dans les moments de joie...Mon épaule sera toujours la pour que tu puisses t'y appuyer...Mes bras te seront toujours grands ouverts et ce dans n'importe quelle circonstance...Merci ma belle

"

La marraine était émue, elle avait dit ce qu'elle avait sur le coeur, elle voulait que sa filleule sâche à quel point cela l'avait touchée qu'elle la choisisse elle pour marraine...Que toujours elle serait la pour elle!

Ne voulant rien laisser paraître ...Un peu comme Melly qui ne cessait de remonter sa robe

...Crys se retourna sur Pat...

" Hey Pat....Ne m'oublies pas pour le partage du vin hein...Le pain ma foi on le laissera bien aux autres et puis si on a faim ben....Il y a toujours la soupe la" dit-elle en montrant les fonds batismaux dans lesquels baignaient toujours les légumes...

" Au fait j'en profite pour passer une annonce.....Je recherche deux petits escarpins bleus...Celui qui me les ramène aura droit à...Heu....ben oui forcément...Un bonne chopine..."

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Melly

Melly reçu des mains de son Parrain sa médaille de baptisée. Puis il l'a pris par les épaules, faisant glisser à terre la cape donnée par Crys, découvrant ainsi sa robe, qui descendait aussi au fur et à mesure que celle ci dégorgeait. Tentant de remonter sa robe pour ne pas qu'elle dévoile trop de chose, elle écouta son Parrain soudain sérieux (oui ça lui arrive

)

Patcaf a écrit:

Ecoute ton parrain, jeune fille encore chaste et pure: je te promets, maintenant que tu viens de recevoir cette médaille, de te guider sur le chemin le plus juste, loin du péché et plus près de la boulasse, loin des intrigants et plus près de tes amis, dans le respect de ta foi et des traditions (surtout celle du mercredi), je promets, disais-je, d'être là toujours et partout pour t'aider, te conseiller (voire te coller des baffes) .

Melly sourit en coin en écoutant la fin, elle était sur qu'il en était capable en plus, elle le regarda à son tour dans les yeux.

" - C'est bien pour cela que je voulais que ce soit toi mon parrain. Tu as été mon instructeur au sein du guet, et mon guide dès le début de notre rencontre. Tu l'es resté, n'hésitant pas à me prodiguer conseil et presque des baffes parfois, amplement méritées ...
Et avant que je finisse d'inonder la cathédrale, cette fois par des pleurs, laisse moi te dire que je n'aurai pu avoir de meilleur parrain, ni marraine, Enfin si mais Adso ne voulait pas que j'ai deux parrains et deux marraines

Il est vrai que la cathédrale ressemble plus à un rassemblement du guet qu'au baptême d'une zinzinne, mais tous ceux qui me sont cher sont là, enfin presque tous, mais ceux ci... enfin bref. Mais j'avais pas le choix, c'était soit tu devenais mon parrain, soit je tuais Chany pour t'épouser

Elle rit en disant ces derniers mots pour cacher l'émotion qui lui étreignait le coeur d'avoir entendu Pat lui promettre d'être là

patcaf a écrit:

Dès que ta marraine t'aura mis le cierge dans ... les mains je vous laisserai partager le pain et partagerai le vin.

Jamais plus de 2 minutes sérieux Parrain, c'est ta première leçon? Elle tente peut être de savoir combien de temps elle tient sans hurler, la cire commence à couler sur ses mains.Si elle tient aussi bien qu'avec l'alcool, on est pas couché

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Patcaf

Enfin la médaille avait la bénédiction Aristitotélicienne ...

Pat regarda Melly dans les yeux, la tenant par les épaules, sans prendre garde qua la cape glissait au sol... Il s'adressa à elle (pas à la cape

, à Melly)

Ecoute ton parrain, jeune fille encore chaste et pure: je te promets, maintenant que tu viens de recevoir cette médaille, de te guider sur le chemin le plus juste, loin du péché et plus près de la boulasse, loin des intrigants et plus près de tes amis, dans le respect de ta foi et des traditions (surtout celle du mercredi), je promets, disais-je, d'être là toujours et partout pour t'aider, te conseiller (voire te coller des baffes) .

Dès que ta marraine t'aura mis le cierge dans ... les mains je vous laisserai partager le pain et partagerai le vin.

Melly

Melly regarda son parrain. Il est vrai que la protection de l'Artois n'attend pas, elle même savait bien de quoi il en retournait. Elle regardait voleter les bestioles, se demandant ce qui faisait transformer la cathédrale en volière.

Adso, sentant l'urgence de la chose s'approcha pour bénir la médaille.

adso a écrit:

Je bénis cette médaille au nom du Très Haut, d'Aristote et de Christos.

Melly sourit à l'archevêque puis à son parrain elle attendit que Pat lui remette sa médaille de baptême et que Crys lui remette le cierge qui commençait à couler, signe pour les autres de se lever et de venir partager le pain et le vin.
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Patcaf

Adso

Surpris par l'écho dans la cathédrale (^^), Adso sursauta et n'opposa aucune résistance à l'injonction :

Oui, oui... on la bénit, j'arrive !

Il laissa donc l'autel, revint vers Melly et son parrain, étendit les mains sur la médailles, tout en disant :

Je bénis cette médaille au nom du Très Haut, d'Aristote et de Christos.

Puis il lança à Patcaf un regard mi-interrogateur (est-ce que çà lui allait ?), mi-défiant.

Patcaf

Patcaf n'arrêtait pas de recevoir des "tessetaux" de son bureau (les tessetaux sont des pigeons ultra rapides issus du croisement entre un colibri et un lévier, le seul problème c'est qu'une chiasse permanente (ils chient 3 fois plus vite que les autres, tout est proportionnel) tache les messages et "je t'aime" devient JTM, il suffit de comprendre.

En attendant tous ces messages voulaient dire "l'Artois à besoin de toi.."

Interpelant l'homme d'église il s'écria

On la bénit cette médaille ou pas ?

Patcaf

Maighdin

Maigh jetta un coup d'oeil étonné a Orick.

Mais j'ai rien fais...C'est Aristote qui essait de me faire passer un message. Malheureusement il ne doit pas avoir de quoi écrire, il m'envoit un parchemin tout blanc.

Elle se tourna ensuite vers Morgane pour lui demander de l'aide quand elle l'a vit un morceau de parchemin déchiré dans les mains.

Ohhhhhhhh.

La elle compris, ce n'était pas Aristote, mais Momo qui voulait la joindre.
Elle sourit malicieusement et dirigea son regarde vers la cérémonie, pour tromper l'adversaire.
Elle agirais en temps voulu.

Patcaf

Gné?

Se tournant vers l'homme d'Eglise...

Monsigneur, je pensais que vous alliez bénir cette médaille, c'est pour cela que j'attendais...

Se penchant vers Melly et lui glissant une fiole de Wiseki

Tiens ça te réchauffera, et puis... on n'est pas mercredi, rajuste un peu le haut de ta robe

Orick95

orick sourit en voyant faire Morgane, il entendit se que dit Maigh et la sermona gentillement

maintenant ca suffit Maigh tu te tient tranquille maintenant tu arrete des singeries
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Melly

Melly sourit à sa marraine et la remercia pour la cape, il aurait été dommage de tomber malade avant la fin de la cérémonie. Puis elle sourit en coin en entendant son parrain remettre à sa place le pauvre Adso qui allait surement finir chèvre avant la fin de la cérémonie.
Elle frissonna de nouveau et se décida à demander une petit coup à boire pour se réchauffer, mais son parrain avait du attendre ce que Crys lui avait soufflé, et avant de pouvoir faire un geste elle avait une fiasque dans les mains.

Patcaf a écrit:

Tiens ça te réchauffera, et puis...

Sans chercher plus loin elle l'ouvrit en cachette de l'archevêque et une une bonne rasade. Lorsque l'alcool entra en contact avec son gosier elle faillit s'étrangler, et toussa légèrement.

" Mais y'a quoi la dedans, tous les charbons d'Ecosse?"

Patcaf a écrit:

on n'est pas mercredi, rajuste un peu le haut de ta robe

Melly rougit à sa remarque et remonta le haut de sa robe qui descendait du fait du poids de l'eau. Puis elle rapprocha les deux pans de la cape de Crys sur sa poitrine.

" - D'abord tu vois rien avec la cape de Crys, et puis toi tu comptes pas, et les autres sont trop loin

Elle glissa la fiasque dans ces jupes, on ne sait jamais, et elle attendit bien sagement qu'Adso veuille bien bénir la médaille
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Adso

Melly se décida enfin à sortir. Adso nota au passage quelques rondelles de carottes et autres fanes de poireau qui s'étaient accrochée ici ou là, et finit par se demander si le bedeau était aussi stupide qu'il l'avait cru au premier abord, n'ayant pas compris qu'Adso plaisantait lorsqu'il avait parlé d'ajouter les légumes au bouillon, ou bien si l'air de rien, le bedeau ne s'était pas amusé à jouer un tour, à Adso et aux fidèles. Dans le doute, il hésitait sur la marche à suivre, vis-à-vis de Melly (lui faire remarquer ou pas les nouveaux ornements de sa robe ?), et surtout vis-à-vis du bedeau. S'il se montrait trop sévère avec lui (et lui reprocher quoi, sa stupidité ou son sacrilège ?), on allait le faire passer pour un tyran...

Adso sortit soudain de sa rêverie en voyant le parrain avec sa médaille. Avec un grand sourire type carnassier :

Monsieur le parrain serait bien gentil de mettre un peu plus de formes à la remise de la médaille. Quelques paroles, par exemple... Il lui chuchota : Allez, je vous donne quelques pistes : symbole de la Foy, de l'Amitié, héritage de Christos, symbole d'appartenance à la communauté, porte-la fièrement, blablabla...

Quant à la marraine, elle a droit à un lot de consolation : elle va te remettre le cierge, Melly, qui symbolise la Lumière de la Raison que nous a enseigné Aristote. A toi désormais de transmettre cette lumière à ton prochain. Tu es entrée dans la grande famille aristotélicienne, çà entraine quelques responsabilités, au premier rang desquels mener désormais une vie vertueuse en accord avec le Livre des Vertus.

Voilà, c'était une affaire rondement menée. Ne restait plus que le partage du pain et du vin à effectuer. Ce qu'il fit aussitôt après s'être débarrassé du cierge dans les mains de la marraine. Il alla auprès de l'autel, rompit le pain, en prit un morceau et le mangea, versa du vin dans le calice et en but un peu. Puis il invita les autres fidèles à faire de même en venant se servir sur l'autel.

Crysline

Melly était enfin sortie de sa "baignoire" et la cérémonie allait pouvoir continuer...

Crysline bien que trempée aussi,( ben oui quoi se tenir aux cotés de quelqu'un qui reçoit un grand seau d'eau aussi bénie soit-elle sur la tête forcément ça mouille)regardait sa filleule qui commençait à trembler ....

C'est que dans la nef il faisait plutot frais et c'était tant mieux pour les boissons mais c'était moins bien pour Melly qui avant tout faisait partie du guet et ce n'était pas vraiment le moment pour elle de tomber malade...

Aussi, Crysline défit-elle sa cape qu'elle passa sur les épaules de sa filleule

" Tiens ma belle....Il ne faut pas que tu prennes froid

"

Puis elle lui chuchota

" Et demande donc à ton parrain qu'il te passe quelque chose à boire aussi tant qu'il y est....Ca te réchauffera

"

Tandis que la baptisée s'arrangeait avec son parrain et qu'Adso allait continuer la cérémonie, Crys elle s'afférait à retrouver ses chaussures en les cherchant du regard, ne pouvant pas se permettre de farfouiller la cathédrale en pleine cérémonie...

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Patcaf

Patcaf regardait Melly batifoler dans l'eau....

Entendant Adso rouspéter il pensa à la médaille...
L'écrin était au fond de sa poche, il parvint à grand peine à le sortir sans faire tomber les bouteilles qu'il transportait. Bredouillant quelques excuses pour l'incident il remit aussitôt la médaille

Melly

Melly tentait désespérément de sortir de sa baignoire artésienne, lorsqu'Adso arriva, en colère en plus. Et oui, il faut du temps pour sortir des fonds baptismaux avec une robe pesant trois tonnes. Qu'elle idée d'être rentrée habillé; que ne ferait on pas pour le Très Haut.

Adso a écrit:

Mais qu'est-ce que tu fais encore là-dedans, toi ? Veux-tu bien nous faire l'honneur de sortir de ton bouill... des fonts baptismaux pour qu'on puisse continuer la cérémonie ?

" - Je prends conscience de mon état de nouvelle baptisée monseigneur, il m'a juste fallut un peu plus de temps que prévu. Mais il me semble que le Très Haut ne m'en voudra pas de prolonger ma méditation"

En disant cela Melly pensait surtout " viens m'aider espèce d'andouille, et moi maintenant je ressemble plus à une grenouille qu'à une baptisée".
Comme le dit si bien l'expression, aide toi, le ciel t'aidera, Melly s'assit sur le rebord des fonds baptismaux et pris appuie sur ces deux jambes pour, d'un bond, sortir les jambes de l'eau et les passer par dessus bord. Emportée par son élan et le poids de sa robe, elle atterrie dans les bras de son parrain, qu'elle remercia d'un bise.
Le Très Haut semblait donc l'avoir entendu.
L'eau dégorgeant lentement de sa robe désormais fichu, elle repris contenance.

" - Me voila Monseigneur, continuons la cérémonie."

Melly était maintenant pieds nue et trempée, mais ravie car sa robe cachait un peu ses formes et c'est pour cela qu'elle l'avait choisit n'ayant ainsi pas à rougir devant les invités et devant LordRomi. Elle se rapprocha d'Adso, attendant la suite, sentant sa robe s'égouttée au milieu de la nef.
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Maighdin

Maigh était concentrée sur la cérémonie. Melly était en train de se baigner et semblait trouver ce très agréable au point de ne plus vouloir en sortir.

Tout a coup elle senti quelque chose lui froler l'oreille. Rha saletés de mouches, elles ne vous laissent jamais tranquille. Elle la repoussa de sa main tout en gardant les yeux fixes. Mais la une deuxième vient directement se plaquer entre ses deux yeux. Arf...énervée elle l'écrasa encore plus sur son front et regarda le cadavre de la petites bete dans sa main.

Là, surprise, il ne s'agissait pas d'une mouche, mais d'un morceau de papier. D'ou pouvait il venir? Serait ce Aristote en personne qui tenterait de lui faire passer un message?

Aristote, si c'est de vous...écrivez un message sur le papier sinon je ne pourrais comprendre votre souhait.

En disant ces paroles elle leva les yeux au ciel afin de voir si un autre signe lui apparaitrait.

Morgane25

Assise a l'ecart de Maig, je commencais a mennuier
Tous les moyens etaient bon pour attirer son attention

" pss, psss Maig !!! ou ou Maig"

Elle ne bougeait pas de cils, ou alors elle fesait semblant de pas entendre.

Je gesticulais maintenant sur ma chaise pour la faire grincer sur le sol, peut etre que sa la ferais reagire ... toujour rien ...

Je decidais donc la facon classique "tousser", il parrait que cest l'une de meilleure facon dattirer l'atention de quelqu'un...
Je commencais par tousser doucement, mais RIEN, alors je toussais encor plus fort... rien ... pas possible elle est sourde ....

Une derniere tentative... je fouillais dans ma besace et jy trouvais un bout de papier, jy decoupere quelques petit morceaux, et commencais a viser la tete de Maig ... 1er bout loupé ... 2eme bout je lui frole l'oreille ... je ricannais doucement ... 3eme bout ... PAF en pleine tete ... Mine de rien je continuais a regarder la ceremonie le sourire aux levres alors que Maig se demandais se quelle venait de recevoir ... allait elle se retourner ...

Adso

Adso revint de la sacristie avec un cierge allumé.

Il leva un regard étonné vers Melly :

Mais qu'est-ce que tu fais encore là-dedans, toi ? Veux-tu bien nous faire l'honneur de sortir de ton bouill... des fonts baptismaux pour qu'on puisse continuer la cérémonie ? Il secoua la tête en signe de désapprobation.

Puis à l'adresse des parrain et marraine :
Bon... Vous l'avez trouvé, cette médaille ? ou il faut que je vous en donne une moi-même ? Qui va la remettre à Melly ?

C'était toujours la même chose... Les parrains et marraines n'étaient même pas fichus de se rappeler de leur propre baptême, et de ce qu'il fallait qu'il offre une médaille aristotélicienne à leur filleule...

Melly

Adso a écrit:

Et bien, je te baptise, pardi !

Melly leva le yeux au ciel et pensa très fortement " Ben je m'en doute, tu vas pas m'apprendre à nager dans ta cuve".
Bon il était bien gentil de vouloir la baptiser mais pour l'instant elle ne voyait pas comment.
Elle le surveilla du coin de l'oeil, se demandant ce qu'il allait bien pouvoir inventer encore.
Elle le vit revenir avec un seau et grimper les marches. Tiens il allait peut être lui frotter le dos après?
Chassant les idées saugrenue de sa tête, elle pencha sa tête en arrière pour qu'il puisse verser le contenu de son seau sur son front.

Adso a écrit:

Je te baptise au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les Saints et pour l’amour du Père de l’humanité.

Melly soupira un coup, la voila enfin baptisée.

Adso a écrit:

Qui de vous deux a la médaille du baptême et va la remettre à Melly ?

Tiens une médaille? Mais elle avait déjà son médaillon. Instinctivement elle le serra entre ces doigts, hors de question qu'elle s'en sépare.
On verrait plus tard comment ménager la chèvre et le choux.
Elle releva alors la tête et sourit en promenant son regard sur tous les êtres présent pour l'accompagner ce jour béni.
Elle s'attarda un instant sur les personnes chères à son coeur, assises au premier rang, puis sur son parrain et sa marraine. Occupée à détailler l'assemblée, elle ne vit pas l'archevêque se carapater.

Enfin remise de ses émotions, elle sentit la main de Crysline dans la sienne et se sentie rassurée.

" - Je crois que je vais avoir besoin d'aide pour la sortie, ma robe pèse une tonne maintenant!!! J'aurai du t'écouter Parrain

et l'enlever avant mais c'est pas convenable, y'a des gens qui regarde

Elle haussa un peu le ton pour se faire entendre de l'assistance:

Il me faudrait un homme fort pour me sortir de là. Des volontaires?"

" - Au fait il est encore passé où Adso?"
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Adso

Citation:

Et maintenant monseigneur, je fais quoi?

Et bien, je te baptise, pardi ! Quelle question, je vous jure...

Bon...

Adso était tout de même un peu déboussolé. Les fonts de la cathédrale de Cambrai n'étaient pas vraiment comme ceux qu'il avait eu à Luxeuil et à Besançon... Là-bas, c'était plutôt du genre "piscine", et il faisait basculer le cathéchumène dans l'eau pour le plonger totalement. Là... c'était plus délicat... pas vraiment la place dans cette grande cuve...

Il eut une illumination lorsque son regard croisa le seau qui avait servi pour remplir la cuve, et que le bedeau avait laissé dans un coin proche. Il prit le seau, monta sur l'escalier, plongea le seau dans la cuve et le vida sur la tête de Melly. Il nota au passage que, s'il trouvait cinq minutes de libres, il s'essaierait à expliquer au bedeau le concept d'humour, tout en ayant peu d'espoir, toutefois, de parvenir à faire pénétrer cette subtilité à travers la couche épaisse qui devait obscurcir son esprit. Mais bon, au moins, l'odeur était agréable. C'était toujours çà.

Je te baptise au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les Saints et pour l’amour du Père de l’humanité.

Il fit signe à Melly de sortir, redescendit l'escalier, et s'adressa au parrain et à la marraine :

Qui de vous deux a la médaille du baptême et va la remettre à Melly ?

Il se rappela tout à coup d'une chose, et n'attendant pas la réponse, alla d'un pas rapide dans la sacristie.

Crysline

Crysline avait enfin pu avoir à boire et c'est avec un immense sourire qu'elle suivait la cérémonie...

Tout d'abord il lui avait fallu déposer une main sur l'épaule de sa presque filleule et avec tout dce vacarme, Crys avait du mal à suivre...

Ensuite, Melly avait glissé sa main dans la sienne et l'avait attirée vers les fonds baptismaux...

Celle-ci s'était déchaussée et cela tira un petit rire à Crys

" Je savais que tu serais une bonne filleule ma belle...Tu m'accompagnes à présent sans tes chaussures" lui avait-elle murmuré

Mais soudain, Crys retomba les pieds sur terre comme si elle venait d'entrer dans la cathédrale...

"Sapristi....C'est l'eau pour la bénir...Ou ai-je donc la tête...Ce n'est pas pour m'accompagner mais pour pénétrer la dedans qu'elle s'est déchaussée...Arf l'aurait pas du m'empêcher de boire le curé....Je suis nulle quand j'ai pas bu moi" pensa-t-elle

Melly était à présent immérgée et elle ne semblait pas trop à son aise aussi, Crys n'hésita pas à plonger sa main dans le liquide...hooo c'est tiède....

pour chercher la sienne afin de la rassurer

Elle lui glissa même un petit mot à l'oreille histoire de l'encourager...

" T'inquiète pas ma belle....Avec l'Ost et le Guet dans les parages tu ne risques rien....Aucuns d'entre nous ne permettrait qu'il t'arrive quoique ce soit"

Elle lui fit un clin d'oeil et attendit la suite....

_________________

Melly

Melly, bien que perturbée par tout le raffut et l'agitation autour d'elle, suivait avec cœur le déroulement de la cérémonie.
C'est pas tous les jours que l'on se faisait baptiser.
Bien que ce soit une démarche personnelle et volontaire, l'idée d'entrer dans une communauté ou son aimé n'était pas la chagrinait un peu.En plus il n'avait pas l'air très intéressé par tout cela.
Elle aurait du mettre une robe blanche, il aurait peut être réagit différemment.

Elle écouta Adso, redoutant la suite.

Adso a écrit:

Melly, tu as reconnu tes fautes, tu as fait preuve de ton désir d'entrer dans la communauté aristotélicienne, il est temps maintenant pour toi d'entrer dans les fonts baptismaux pour être lavée de tes péchés et entamer une nouvelle vie.

Oui, c'était bien ça, le pire arrivait. Elle pris la main de son parrain et de sa marraine, leur soutien n'étant pas de trop, et avança jusqu'au marche pied.
C'est maintenant qu'elle aurait bien besoin d'une prière au Très Haut, en plus l'eau devrait surement être froide, et puis il n'avait jamais fini de lui apprendre à nager avant son départ. Ne risquait-elle pas la noyade?
Pas le choix pourtant. Elle lâcha donc les mains de Patcaf et de Crysline, enleva ses chaussures et monta les trois marche pour enjamber le bord. En plus l'eau devait surement être glaciale.
Inspirant un bon coup, un guetautrou n'a peur de rien, elle trempa un pied dans l'eau, qu'elle trouva pas si froide, même tiède. Elle aurait presque pu prendre un bain. Enfin ce n'était pas le moment de penser pareil chose.
Elle laissa sa robe s'imprégner d'eau, puis elle posa les deux pieds aux fonds des fonds baptismaux.
A ce moment là, elle paniqua un peu. Que devait elle faire maintenant?

Elle fit signe à l'archevêque pour qu'il approche et lui murmura tout bas: " - Et maintenant monseigneur, je fais quoi? "

Barbotant dans l'eau sa robe maintenant empli d'eau et devenant lourde, Melly attendit un miracle, soit d'Adso, soit du très haut.
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Melly

Chuchotant pour ne pas que l'archevêque entende:

" - Heureusement que tu t'es changé, sinon les bouteilles te seraient passées sous le nez."
" -Fais attention, ne te retourne pas je crois que certains vont te sauter dessus avant la fin de la cérémonie, fait comme si de rien n'était et reste près de moi, il n'oserait tout de même pas t'enlever à moi pour une bouteille, tu ne penses pas?"
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Adso

Il semblait à Adso que certaines paroles du serment n'y étaient pas vraiment à leur place, mais plutôt que de demander à Melly de répéter histoire de vérifier, il continua la cérémonie. Elle était déjà assez dissipée comme çà, elle aussi, à chuchoter d'un côté ou de l'autre et à se retourner au lieu de se recueillir.

Melly, tu as reconnu tes fautes, tu as fait preuve de ton désir d'entrer dans la communauté aristotélicienne, il est temps maintenant pour toi d'entrer dans les fonts baptismaux pour être lavée de tes péchés et entamer une nouvelle vie.

Il avait fait placer un petit escalier de bois à côté des fonts pour que la catéchumène puisse y monter et rentrer complètement dedans. Et comme il avait craint une réaction disproportionnée de Melly une fois au contact de l'eau froide (ce qui aurait fait mauvais effet auprès de futurs candidats, évidemment), il avait fait chauffer l'eau des fonts au préalable. Il avait vérifié que la température était bonne en arrivant dans la cathédrale, et avait dit en riant au bedeau qu'il ne manquait plus qu'à y rajouter les légumes.

Patcaf

Glissa à l'oreille de sa filleule

je te rappelle que je suis venu en tenue de mercredi mais comme j'ayais le seul , me suis "changé pour ne pas te mettre dans l'embarras, mais si t
u veux je peux y remédier tout de suite...
Pour Ste Boulasse, j'ai ce qu'il faut dans mes poches et en plus c'est de la qualité!

Servus

Servus arrive devant la cathédrale , il ouvra la porte et se fit discret pour ne pas interrompre le Baptême. Il observa observe la cérémonie...

Melly

Au paroles de l'archevêque, Melly se leva et s'approcha de lui, pour prendre le parchemin et prêter serment. Entendant de nouveau les gongs grincés, elle tourna la tête et suspendit son geste.
Elle sourit en reconnaissant le nouvel arrivant. Servus avait enfin trouvé le chemin, il en avait mis du temps. Pensant qu'il devait accompagner sa soeur, elle la chercha des yeux mais ne la trouva point.
Les nonnes n'avait pas du lui permettre de sortir vu son état, elle aurait même pu accoucher au milieu de la cérémonie, et Adso aurait célébré un double baptême.
Se reprenant, elle pris le parchemin des mains d'Adso et allait commencer la lecture, lorsque son parrain chuchota à son oreille en posant sa main sur sur épaule.

Patcaf a écrit:

(au guet ce n'est pas là qu'on la met... mais ici c'est un baptême)

Melly tourna la tête et sourit, posa sa main libre sur la sienne Déjà que ta tenue n'est pas digne d'un mercredi, tu me déçois mon parrain Elle lui fit un clin d'oeil et déroula le parchemin pour répéter le serment Aristotélicien, la voix hésitante, la main posé sur son médaillon.

Je reconnais en Dieu le moteur du monde,
La pensée suprême et la cause efficiente et finale du Monde.
Je reconnais l'Eglise Aristotélicienne comme mon guide dans la connaissance de Dieu
Et je jure de lui rester fidèle ainsi qu'à son autorité sauf Yut
seule représentante sur terre de l'Etre Divin.
J'accepte tout cela de ma propre volonté, pour le salut de mon Ame, en vu de ma resurrection près de Dieu dans la contemplation eternelle de sa beauté et celle de Sainte Boulasse
Je désire que mon nom apparaisse comme baptisé et serviteur de Dieu tout puissant.

Son coeur battait plus rapidement après ce serment, pas autant que lorsqu'elle avait prêté serment au guet, mais elle sentait que là, on ne rigolait plus.
Elle rendit le parchemin à Adso en lui souriant. Le pauvre, son premier baptême en Artois, et il tombait sur une famille des plus loufoque. Il allait s'en souvenir longtemps de celui là. Et encore, pour un mercredi ils s'étaient tous tenu correctement pour une fois.
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Guillomme

Tandis que guillomme essaya de trouver une bouteille non vides, laissa Lord se débattre avec et se rapprocha rapidement de Pat, d'autres personnes arrivait, au moins il n'était pas le dernier sa changeait et eux ils n'était vraiment pas discret, il sourit intérieurement, faillit oublier le pourquoi il voulait voir Pat (eh oui sa arrive

), a peine arriva-t'il a lui, qu'il se leva pour la suite de la cérémonie en s'approchant de Melly, et lui posant sa main sur l'épaule, ce qui était inhabituelle chez lui (

)
regardant la cave ambulantes s'éloigner, il commença a se dessécher si prêt du but

il soupira en se résignant, il allait bien devoir attendre que Pat revienne...il réfléchis un instant et se dit finalement il devait bien avoir une cachette, ce n'était pas possible que Pat avait toutes les bouteilles sur lui on aurait vu que des bouteilles se déplacer mais pas Pat.

Il scruta partout essayant de deviner ou Pat avait pus avoir planquer les survivantes bouteilles, vu que Lord lui préfère les cadavres, chaqu'un son truc
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Tisserand , eleveur de mouton et cultivateur de maïs

Patcaf

S'approcha et posa sa main gauche fermement et affectueusement sur l'épaule droite de Melly
(au guet ce n'est pas là qu'on la met... mais ici c'est un baptême)

Maighdin

Maigh vit Mémé les rejoindre et se prépara a se faire sermonner pour leur entrée. Cela ne se fit pas attendre.

Mais on a pas fait exprès...

Ensuite, cette dernière leur demanda a boire. Comme si ils se promenaient avec des bouteilles plein les poches?

Non on ne boit pas dans un endroit comme celui ci...il faut boire avant ou après...pas pendant...
Et puis j'ai pas de bouteille.

Elle fit un petit sourire et se reconcentra sur la cérémonie. Elle voulait voir comment la suite allait se passer. Qui sait peut etre qu'un jour, cela sera son tour.

Adso

Adso avait été concentré depuis qu'il avait débuté la cérémonie. Son premier baptême en terre artésienne, il ne voulait pas faire mauvaise impression. D'autant que la population du comté s'était tout de même avérée pour moitié hostile, et pour l'autre moitié... pas très pieuse tout de même ! Les vrais croyants devaient bien se cacher. Bref, au cas où certains de ces mêmes vrais croyants seraient dans l'assemblée, il ne voulait pas les décevoir.

Lorsqu'il leva la tête de son livre après la lecture de la vie de Sainte Boulasse, il eut tout de même des doutes sur le niveau de piété de la dite assemblée, qui semblait surtout très dissipée. Et il était obsédé par ces bruits de verre qui survenaient de temps en temps... Commençait-il à entendre des bruits imaginaires, s'avançant vers l'âge de la sénilité (bein oui, à plus de trente et quelques années, on était déjà du mauvais côté de la jeunesse...) Ou bien était-ce les vitraux qui se fendaient sous d'insupportables contraintes des murs qui étaient supposés les soutenir ? La cathédrale tout entière allait-elle s'écrouler ? Ou alors, il s'était mis à grêler dehors, et les vitraux tintaient sous le choc des grêlons ? oui, çà devait être çà... c'était l'explication la plus logique...

Une fois que Melly eut terminé son Credo, il se rendit compte qu'il n'avait pas fait de sermon en se basant sur la lecture qu'il avait faite... Qu'à cela ne tienne, il suffisait de glisser çà entre la poire et le fro... euh... là, maintenant :

Demander le baptême, ce n'est pas un acte anodin. L'exemple de Sainte-Boulasse nous montre que le fidèle doit être prêt à se sacrifier pour sa Foy. Il nous faut propager cette fois, serait-ce au péril de notre vie.
Melly ! Demande-tu solennellement à recevoir le sacrement du baptême et à entrer dans la communauté des fidèles ? Jure-tu de respecter le dogme et le droit canon de l'Eglise aristotélicienne ?

Avant qu'elle ne réponde, il lui chuchota en lui tendant un morceau de parchemin : Tiens, tu peux prononcer le serment qui est écrit là, çà fera l'affaire.

Les parrains et marraines peuvent s'approcher plus près, et par exemple lui mettre la main sur l'épaule pour symboliser l'appui qu'il lui fourniront pour qu'elle respecte son serment.

Aerandir.dilemalkhan

Enfin !!
Ça devait bien être là la grande église ... celle de la ville bien plus haute que celle de son village ...
Elle n'était jamais entrée dans une église ... même toute petite église , alors une grande comme ça , ça devait contenir beaucoup de monde , surtout pour un baptême et ça aussi la gamine ne connaissait pas.
Elle avait laissé à mot à "l'homme roy " avait enfilé sa robe du dimanche et s'était rendue a la capitale.
Devant la cathédrale , elle hésitait … toujours cette frousse du monde ….
Mais elle avait répondu à Melly qu'elle viendrait alors elle entrerait !
Inspirant longuement avant de pousser la lourde porte et elle grimaça de l'entendre grincer …

L'église était silencieusement à l'écoute d'une voix et , cette voix là était celle de Melly qu'elle put apercevoir en se haussant sur la pointe des pieds.

Regard vers le droite et gauche soupire de soulagement de voir un banc libre sur le coté.
Elle s'y installa et se fit discrète en se calant bien dans le fond.
Écouter, regarder , tout était magnifiquement beau dans ce bâtiment qu'elle levait la tête pour mieux voir et la tournait de droite et gauche écarquillant les yeux lorsqu'ils se posaient sur une statue ou une peinture …
Wahouuuuuuuu !!!!! piouf !!! jamais vu de trucs comme ça moi !!!

Se reprenant un peu , elle essaya de se concentrer sur les mots de Melly.
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Merdita

Tout en écoutant le crédo de Melly, Merdita entendit un grand fracas à l'entrée. Se retournant pour ce qui se passait, elle découvrit Maighdin à terre avec sa cousine Morgane et Orick

Roooh ces trois là, j'vous jure! Ils n'auront jamais une bonne idée..Un petit regard répprobateur en leur direction et un autre a Lord pour lui signaler qu'elle avait besoin d'une goutte au plus vite.

Celui ci regardait déjà dans les bouteilles et Mémé n'aimait pas trop sa réaction. Patcaf aurait gardé les bonnes bouteilles?

Comment qu'elle allait faire?

Elle partit de chaise en chaise essayant d'être discrete, passant les rangées pour se diriger vers les trois zouaves

coucou, ca va pas d'arriver comme ca? vous voulez que le Père Adso fasse une crise? Et toi orick? faut les stopper..sinon ca sera foutu hein...bon z'auriez pas un truc a boire? Le parrain a tout caché!
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Maighdin

Maigh ne pipa mot et se fit toute petite quand elle entendit Orick. Elle jetta un coup d'oeil a Momo de l'autre coté et ne put réprimer un sourire amusé. Sourire qu'elle lui rendit d'ailleur.

Elles s'assirent donc en silence le sourire aux lèvres se retenant de rire et écoutant Melly réciter son Credo.

Lordromi

Lord qui trouvait le temps un peu long, les cérémonies religieuses et lui ca faisait deux, décida de boire un coup... Il prit une bouteille au hasard, et là, horreur! Elle était vide! Il en prit une autre, vide elle aussi! Encore une autre, dans le même état que les précédentes... Il mit quelques minutes à se rendre à l'évidence, Pat l'avait roulé et ne lui avait donné que des bouteilles vides! Il le chercha du regard... Il l'aperçut non loin de lui entrain de se désaltérer...
Le jeune soldat devait retrouver ses bouteilles! Il essaya de deviner la cachette de Pat... Après quelques secondes de réflexion, plus sieurs solutions lui vinrent à l'esprit :
1 : toutes les bouteilles étaient soit vides, soit en la possession de Pat! Cette hypothèse lui semblait peu probable! Tous les membres du guet réunis n'auraient pu vider toutes ses bouteilles en si peu de temps!
2 : Melly n'avait pas complètement vidé sa cave. Encore une fois, il n'y croyait pas...
3 : Pat les avait recaché. C'est ce qui lui semblait le plus plausible!

Ne restait plus qu'à trouver la cachette en question... Encore une fois, il se creusa la tête... Aucune idée ne lui vint à l'esprit, il décida donc, que dès que la cérémonie serait terminé, il fouillerait la cathédrâle de fond en comble...

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Melly

Melly était émue par la cérémonie. Pourtant alors qu'elle récitait le crédo, elle entendit plusieurs bruits suspects.

N'y prêtant pas attention, elle se concentra sur celui ci.
Une fois terminé, et sa tête relevé, elle analysa la situation.
Elle l'avait bien dit, des amis était arrivés en cours de route, pas très discrètement cela dit. Ahhhh, quand l'ost et le guet se réunissait, ça donnait toujours quelque chose de détonant.
Fronçant les sourcils, elle se tourna vers son aimé qui semblait perturbé, des bouteilles qui semblait vides à ses pieds, avait il tout bu?
Et maintenant son parrain se désaltérait et en proposait à sa marraine, et même Guillomme qui réclamait à boire.

Partagée entre l'envie de rire et l'envie de les gronder, elle pris le parti de tâter les poches de Pat, s'apercevant de la supercherie elle lui murmura:

" - Dis donc, tu as pas tout rendu? Fait passer les bouteilles qu'on arrête de se faire remarquer par l'archevêque. Sois pas rapia, de toute façon elle ne sont pas à toi. Tu vois bien que tout le monde à soif, d'ailleurs je dirais pas non moi non plus, le pire arrive.
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Orick95

Orick regarda Maigh et Morgane s'affalait par terre et essayé discretement de se relever plongeant son regard dans celui de Maigh il lui dit:

toi ma petite va falloir que l'on cause après

et les prenant par un bras chacune les ammena sur une chaise légérement à l'écart

les filles ca suffit maintenant vous vous tenez tranquille
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Guillomme

Alors qu'il attendait en espérant que sa soit pas trop long au risque de faire une sieste, Guillomme aperçut ou plutôt entendit des bruits de bouteilles qui s'entrechoquer regardant dans la direction, il aperçut Pat qui donnait ou plutôt qu' on lui prenait ses bouteilles, il se leva aussi tôt et s'approcha furtivement du groupe

pssshiitt eh m'oubliait pas, j'ai une de ses soif après la route poussiéreuse sa donner une de ses soif
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Tisserand , eleveur de mouton et cultivateur de maïs

Patcaf

Pat était soulagé, il avait rendu les bouteilles vides à Romi et remis presque toutes les pleines dans le confessional: Adso ne pouvait être en deux endroits à la fois...

Vit une chaussure par terre. Décidément , l'entretien des lieux saints n'est plus ce qu'il était... il la jetta discrètement dans un bénitier.

Pris une des 5 ou 6 bouteilles qui lui restaient en prit une bonne goulée puis se rapprocha de Crys qui avait l'air de mourir de soif et lui tendit le reste de la désaltérante fiole.

L'esprit serein il entendit Melly réciter son credo, elle n'avait pas la même voix que lorsqu'elle arrétait un délinquant

Merdita

Filant Pat à la trace...Evidemment, c'était lui qui avait le plus de bouteille...Elle en oublia complètement la raison de sa visite en ces lieux...

Tilt! Entendant la voix d'Adso, regardant la belle Melly se préparer et tout le monde s'assoeir, elle comprit que la cérémonie débutait. Mais y avait comme un souci..Plus de Pat...

Elle allait le heller pour qu'il revienne avec ses bouteilles quand elle vit que Melly les lui piquait et que Lord les récuperait...Une chose est sure! Elle restera près des bouteilles.

Et si la cérémonie est trop religieuse ou trop enfin bon...elle savait quoi faire

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Maighdin

Arf, la journée était déjà bien entamée et les cloches avaient déjà sonnées depuis un petit moment.

Quelle idées aussi d’aller commencer la journée par une tournée des tavernes…

Enfin bref ils étaient arrivés devant la cathédrale. Maigh passa la première et poussa doucement la porte sans bruit. La cérémonie avait commencée. Elle passa la tête par l’entrebâillement afin d’observer la scène le plus discrètement possible. Elle vit Melly dans une sublime robe, et quelques têtes connues.

Mais la, elle senti quelque chose la heurter par derrière et la voila propulsée en avant. Alors qu’elle tentait de reprendre son équilibre, un poids s’abattit sur elle, la clouant au sol.
Se retournant elle pose un doigt sur ses lèvres CHUTT. La elle zieute l’assistance en pleine cérémonie et se relève vite fait en se battant avec les voiles de sa tenue et sa cousines toujours affalée.

Une fois debout, elle remet les étoffes à leurs places, lisse la robe qu’elle avait mise pour l’occasion, aide Momo a se relever.
Jette un coup d’œil a Orick et va prendre place sur un banc de la dernière rangée.

La plus un bruit, elle écouta Melly.

Pour une entrée discrete c’était rapé.

Guillomme

Guillomme, avait faillit oublier la cérémonie, ou plutôt ne se souvenait plus quelle jour on était, après renseignements il sut que c'était le jour, et qu'il aller être en retard

Il arriva enfin a destination, la porte était entrouverte, au moins sa seras bien pratique pour ne pas se faire remarquer, alors que melly récitait sa prière rituelle, il en profita pour s'asseoir discrètement, il balaya du regard la pièces, pour voir qui était présent et remarqua que beaucoup c'était mis sur leur fin du mois, lui n'avait pas eu le temps de se changer, mais bon il n'était la que pour assister à la cérémonie non d'y participer, en tout cas les guetautrou était bien charmante et il aurait eu bien du mal a les reconnaitre, s'il ne les connaissait pas aussi bien.

Guillomme attendit donc la suite de la cérémonie
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Tisserand , eleveur de mouton et cultivateur de maïs

Lordromi

Lord récupéra ses bouteilles, puis alla prendre place sur un banc au premier rang. Il écouta Melly récitait son crédo puis attendit patiemment la suite de la cérémonie...
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Melly

Melly se plaça donc entre son parrain et sa marraine, laissant les autres s'installer.
Elle baissa la tête, et récita les prières rituelles.

Arrivait le moment de réciter son Crédo. Ahhhh, il n'avait pas dit qu'il fallait qu'elle le connaisse par coeur.
Heureusement qu'elle y avait pensé.
Après avoir jeté un coup d'oeil à Pat puis à Crys, et soutenue par leurs sourires, elle inspira un coup, baissa la tête et ferma les yeux; puis doucement, d'une petite voix hésitante, elle récita son Crédo.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Ayant récité son Crédo sans se tromper, elle releva la tête et ouvrit les yeux, attendant la suite.
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Crysline

La future marraine était pieds nus car elle ne supportait décidément pas les chaussures pour Dame mais elle n'allait tout de même pas venir avec ses bottes de Lieutenante non

...Elle avait balancé ses chausses à Lordromi afin qu'il les lui tienne puisqu'il était le plus prêt mais celui-ci n'avait pas semblé comprendre puisqu'il avait rebalancé à la donzelle l'une d'entre elles...

Voilà qui était malin, si on lui demandait de se rechausser, Crys était bien avec une seule chaussure...hum

Tanpis de toute façon telle n'était pas son intention aussi lança -t-elle cette dernière à Tiberre qui se tenait dernière elle... ce serait bien plus aisé et l'autre et bien elle la chercherait plus tard car bien plus important était d'essayer d'attrapper quelque chose à boire...

Tient justement Tib avait des chopines...La donzelle en attrappa une qu'elle allait boire cul sec quand Monseigneur Adso éleva la voix...La surprise fut telle que Crysline sursauta envoyant vadinguer sa chope sur la tête de Trmoh

" Arf...Crénom de....Oups...Heu... nom d'une coquille de noix....C'est pas malin ça...Grrrr....Désolée Sous-Lieutenant"

En plus Adso l'empêchait de boire pour parler de pêche...Pfff quelle idée à moins qu'il ne parle du pêché...Oui oui ça devait être ça...seulement il revint en mémoire à Crys que
Qui boit, s'enivre.
Qui s'enivre, s'endort.
Qui s'endort ne pêche pas.
Qui ne pêche pas va au paradis.

Donc voilà qui n'était pas bien puisqu'il l'empêchait de boire....et ainsi de probablement finir au paradis...Il faudrait qu'elle lui en touche un mot après...

Enfin....Il semblait bien décidé à commencer la cérémonie donc, Crys s'avança aux côtés de sa future filleule tout en jetant un regard triste en direction de Tiberre qui elle l'espérait comprendrait son désarroi et lui tendrait une autre chopine...

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Zazaroyaume

Le baptème s'annonçait des plus boulasseux !

Pat avait une bonne réserve et la distillait à qui voulait bien ! son Amour venait d'arriver et lui proposait de ditribuer chopines à volonté et Melly lui demandait si on pouvait retirer le laissez passer à Adso après la cérémonie, la marraine avait les pieds nus ! c'était surement le baptème le plus fou qu'elle avait connu !

Seul Adso semblait vouloir attaquer la cérémonie mais personne n'était en place...Lorsqu'il éleva la voix, alors rythmé par les directives de Melly, tous se mirent en place et la sagesse pris le pas sur la boulasse.

Melly allait devoir réciter son crédo ; Zaza prit tendrement la main de son époux, lui fit un doux sourire et se serra un peu plus près contre lui
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Patcaf

L'air sèrieux, parrain ce n'est pas rien, Pat attendait le début de la cérémonie. Il avait eu chaud avec Adso, lui disant un peu n'importe quoi, même s'il était certain de n'avoir jamais croisé l'homme d'Eglise un mercredi, mais le ravitaillement était sauvé!

Attendait que de sa voix douce

Melli récite son crédo...

Melly

Melly cherchait des yeux Adso, afin de lui dire que sa marraine était arrivée.
Celui ci avait déjà commencé sans même avertir l'assemblée.
Et le voila en plus qu'il levait le ton pour se faire entendre. Pfffff, quel andouille cela là.
C'est bien de commencer , mais elle faisait quoi? et elle s'installait où?
Bon, ben elle allait prendre les choses en main alors. Un baiser à son voisin avant toute chose, ensuite le baptême .

" - Il a commencé sans nous, je vous jure. Et bien allons nous assoir alors. Pat, veux tu rendre les bouteilles à LordRomi, je crois que j'aurais besoin de ton concours désormais. Crys, tu restes pieds nu? remarque tu seras plus stable ainsi"

Tenant toujours par la main son cousin et son aimé, elle se dirigea vers la nef, surveillant que tous prennent place. Elle était tout de même inquiète de ne pas vois arriver Pomme, mais celle ci viendrait peut être plus tard, empêchée par son si joli gros bide.
C'est qu'ils en manquaient à l'appel, mais ils allaient surement venir plus tard, juste pour la voir sortir trempée et dégoulinante d'eau.
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Adso

Alors qu'il était arrivé au confessionnal, il tomba nez à nez avec Patcaf :

Quand venez nous nous rendre viste à Cambrai? Un de ces Mercredi si vous voulez...

La questions était assez surprenante, alors qu'il avait passé un petit bout de temps à Cambrai, justement... Mais son interlocuteur ne lui laissait pas vraiment le temps de répondre :

Je ne veux pas retarder la cérémonie avec une confession, j'y viendrai après, de toute façon j'ai si peu à dire.

Ah ? bon... décidément, avec ces gens qui ne savaient pas ce qu'ils voulaient... Bon, ben tant pis. Une partie de son esprit se demandait d'où pouvaient bien venir tous ces tintements de verre qu'il entendait, tandis que l'autre se dit que çà serait bien de démarrer la cérémonie. Il alla donc voir Melly pour lui demander si sa marraine était enfin arrivée, et sur sa réponse positive, se rendit à côté des fonts baptismaux.

D'une voix forte, pour obtenir le calme de la part des derniers membres de l'assistance qui n'auraient pas encore remarqué son mouvement :

Nous sommes réunis en ce jour pour célébrer l'entrée de Melly dans la communauté des fidèles. La Foy ayant désormais illuminé son âme, elle va s'engager vers le chemin de la purification, se libérer de la vision purement matérielle du monde et ainsi tenter d'accéder au monde des Idées comme nous l'a enseigné Aristote. Adso ne se faisait pas de grandes illusions, bien peu arrivaient à atteindre le monde de Idées, c'était surtout pour les intellectuels. Mais bon, si çà pouvait les stimuler... l'essentiel étaient qu'ils aillent au moins au Paradis après leur mort. Il reprit :
Elle va donc s'engager sur le laborieux chemin de la pratique des Vertus, en vue de pouvoir accéder au Paradis Solaire que le Très-Haut nous a promis.

Commençons par reconnaître que vous... que nous sommes pêcheurs. Répétez tous après moi :

Citation:

Il avait fait installer un lutrin à côté des fonts, avec un exemplaire du Livre des Hagiographies posé dessus. Il l'ouvrit à la page qui l'intéressait. Il avait choisit un texte en rapport avec le baptême, évidemment.

Lecture de la vie de Sainte Boulasse :

Citation:

La jeune Boulasse est né en 552 à Beaune en Bourgogne. Ses parents, païens, tenaient une taverne respectable sur la place du marché, la « Taverne des Hospices » (bière à 0,60 écus et menus à 6). Gens sérieux et respectables ils n’en priaient pas moins les idoles et méconnaissaient le message de L’Eglise. Cependant ces braves taverniers s’approvisionnaient en vin et bière auprès des moines des environs et Boulasse qui s’occupait de la réserve avait de fréquents contacts avec eux.

comme elle était ouverte et intelligente, les moines l’initièrent, à la fois, à la foi et à l’œnologie.
C’est au cours d’une de ses très longues nuits de formation et discussion théologiques dans l’arrière salle de ses parents qu’elle fût éblouie par la lumière divine dans le reflet d'une pinte.

Convertie et sure de sa foi, Boulasse quitta ses parents et choisi la voie de l’Eglise. Elle fut formée par un des moines qui l'avaient pris sous leur aile, fort impressionnés par sa force de conviction.
Ressentant le besoin impérieux de prêcher pour sa nouvelle foi, elle se fit ordonner secrètement prêtre en 582 , en dépit des interdictions et consciente des risques mais sure de suivre les desseins divins. Ne pouvant devenir curée, elle ouvrit une taverne « au bon croyant » où elle fit des conversions et donna des cours de catéchisme, et même dit-on, elle y aurait baptisé des croyants avec l'aide et le soutien du curé de Mâcon.
Rompue aux prêches de grande écoute et gérant sa taverne de main de maître, elle eut une action missionnaire d’envergure sur la ville et convertit les masses à la vraie religion. On se souviendra longtemps de son action charitable envers les vagabonds et de l’organisation de ses quiz religieux en taverne avec ses lots de bière à gagner.

Après avoir converti la plupart des habitants de Mâcon, Boulasse ressentit le besoin de voyager et de propager le message d’Aristote. Elle dirigea ses pas et son chariot plein de pains et de vin vers le pays alamand voisin, dans le SERG actuel, , pour les initier au repas de l’amitié aristotélicienne.

Cependant les habitants furent moins réceptifs à sa prédication et elle se trouva face à un roi cruel et païen, Childehald, qui refusa de renier les faux dieux de ses pères. Ne se décourageant pas , la sainte prêcha en public, construisit la première église à Cologne et voulut créer une taverne pour faciliter sa sainte tâche missionnaire.

Mais Childehald ne l’entendit pas ainsi et prit un arrêté anti-prédication. Boulasse l’ayant enfreint, elle fut déférée par le procureur et condamnée pour haute trahison. La sentence d’éradication devait être exécutée en place publique, pour édifier la population, et en utilisant l’outil de son crime : ses saintes victuailles. Le bourreau lui fit boire de force du vin en grande quantité mais la sainte ne faiblissait pas, soutenue par Aristote, elle supportait vaillamment son martyre, tout en prêchant encore depuis l’échafaud.
Childehald, fou de rage, décida d’en finir et ordonna de la noyer dans le dernier fut de Hautes-côtes de Beaune qu’il restait.
Quand on retira Boulasse du fût, son visage resplendissait de bonheur. Devant ce spectacle surprenant, Childehald fut frappé de repentir et, touché par la grâce, il se converti et fit convertir tout son peuple.
Ayant accompli sa tâche terrestre et ouvert la voie à la conversion des alamands, Boulasse décida de cuver tranquillement auprès du Seigneur et de rejoindre le soleil.

Depuis, Sainte Boulasse est devenu la patronne des vignerons et surtout des Taverniers et elle est encore invoquée par ceux-ci ou par leurs clients lorsqu’ils doivent faire face à une soirée harassante de travail ! Il n’est pas rare d’entendre dans nos Tavernes, l’exclamation familière et pleine d’affection pour la Sainte : « Que la Boulasse soit avec toi ! »

Quand ce fut fait, il s'adressa à Melly :
Melly ! tu vas maintenant témoigner de ta foy en récitant le Credo.

Lordromi

La marraine arriva enfin...

Bonjour Crys!! Tu vas bien?

Avant toute réponse, Crys lui lanca une de ses chaussures... Il se protégea le visage de la main, en premier réflexe, mais l'objet envoyé percuta son ventre et tomba au sol...

Merci pour la chaussure...

Il se baissa pour la ramasser puis la tendit à Crys.

Pat arriva ensuite avec beaucoup de bouteilles qui lui étaient étrangement familières...
Il prit un verre et trinqua avec tout le monde.
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Melly

Pauvre LordRomi, pensant éviter la chaussure de sa future marraine, il avait levé le bras comme protection, mais finalement, il la pris dans le ventre.
Déjà que Melly avait du "taper" dans sa cave car elle même coicée à Arras, voila qu'on le frappait en plus. Une fois la chaussure rendue, Melly repris la main de LordRomi et lui murmura en souriant

Vous faudra t-il des soins LordRomi? Ou pensez vous pouvoir attendre la fin du baptême?
Au fait je me suis servie dans votre cave, je ferai un transfert de la mienne, je viens de rentrer d'Azin et j'ai pensez à ramener mes bouteilles de vins." " Par contre j'aurai besoin de récupérer votre clef pour cela"

Puis levant son verre avec les autres:

" - A nous, Au Guet et à l'Ost, A notre rencontre, A nos amitiés, A Aristote et A Sainte Boulasse^^
Où est Adso? "
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Merdita

Patcaf a écrit:

Désolé mais quand il s'agit de sauver de l'alcool, c'est comme pour la veuve et l'orphelin, je suis toujours là. Tu imagines si Adso avait tout gardé pour lui?

Elle l'écouta avec attention et sourit

Nan veux pas imaginer

mais s'il y en a de trop à porter...comptes sur mon aide...ca veut pas dire que tu as le choix hein

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Patcaf

A l'oreille de Merdita:

Désolé mais quand il s'agit de sauver de l'alcool, c'est comme pour la veuve et l'orphelin, je suis toujours là. Tu imagines si Adso avait tout gardé pour lui?

Melly

Melly, regardait son parrain en priant le Très Haut de leur venir en aide. Celui ci devait avoir entendu, ou alors lui aussi devait avoir une petite soif, puisque Pat réussit à sauver la réserve piquée à Romi pour la mettre dans ces poches. Elle devait être nombreuses les poches, et profondes. Elle sourit de le voir arriver au son du tintement des bouteilles.
Au moins une bonne chose de faite.
Et Tiberre qui arrivait en demandant à boire. Quelle belle équipe on avait là.
Melly s'approcha de lui et lui fit une grosse bise.

" - Merci d'être là Chef! Pour le demoiselle, vois avec LordRomi

, et pour te réhydrater de ta journée vois avec Pat. Pour le reste, je te laisse voir avec Zaza. "

Vu comme on était parti, autant y aller vraiment. Melly en riant, tendit le bras vers Pat pour qu'il lui donne à boire et trinquer avec les autres.

" - On voit bien que le guet et l'ost sont réunit, on boit avant l'attaque. Par contre j'ai pas prévu de brigands à poutrer après, ni d'étrangers en situation illégale."

en disant cela, son regard se posa sur l'archevêque qui devait bien bouillonner intérieurement et murmura à Zaza y'aurait pas moyen de lui supprimer son LP après la cérémonie ?"
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Patcaf

Pat empli ses poches de toutes les bouteilles cachées là et ressortit du confessional au moment ou Adso arrivait, il le salua

Heureux de faire connaissance Monseigneur!

tintement de verre

Quand venez nous nous rendre viste à Cambrai? Un de ces Mercredi si vous voulez...

Re tintement de verre

Je ne veux pas retarder la cérémonie avec une confession, j'y viendrai après, de toute façon j'ai si peu à dire.

Il se précipita vers ses amis pour partager le butin...remarquant que Crys, pieds nus, commençait un peu tôt l'effeuillage prévu pour plus tard!

Merdita

" - Ne dit rien à Adso, mais j'ai installé hier soir une annexe du guet dans le confessionnal, donc si tu as soif , n'hésite pas. Tu penses bien que je n'allais pas oublier cela"

Juste cette petite phrase changeait tout dans la vision de la cérémonie. Elle lui rendit son clin avec un large sourire et regarda le curé...enfin, elle connaissait le nom!...Il ne semblait ne rien avoir entendu et ce n'est surement pas elle qui se fera piquer l'idée du breuvage nomeo.

Phélia arriva d'une tenue assez spéciale. L'on aurait dit que ses habits avaient légèrement rétrécit. Elle la bisouilla et lui murmura tout de même pour ne pas se faire entendre

Dis donc vous, z'auriez pas un peu grossi?

Patcaf la complimenta sur sa beauté...Elle lui sourit et le remercia grandement quand arriva Tiberre qui salua tout le monde avant de proposer a Phélia d'aller chercher l'alcool. Mais point le temps, Patcaf était déjà à l'affut...

Patcaf! rooooh, tu as gaché mon plaisir

Mais s'empressa vite de prendre un verre bien rempli et trinqua avec les autres

Santé à tous...Tu vas te faire tuer par le curé toi Pat

...A Melly et son baptême.
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Tiberre

Vite, vite, vite.... aller, au pas course mon p'tit Tiberre, tu vas être à la bourre... pfiou... ah, je vois la porte, ouf, elle est entrouverte, pas tout le monde doit être encore là. Je ne serais pas le dernier. Quelque pas, j'y suis.....

Le maire entra à grande enjambé, plongé dans ses papiers, il avait faillit loupé toute la cérémonie.

Beaucoup de monde était déjà là, il repéra d'un regard les deux plus importante, Melly, devant Adso, et son Ange, près du comptoir, en train de dire bonjour au retardataire.

Il prît cette direction, d'abord pour embrasser sa Douce, puis pour se désaltérer également.

Coucou mon Amour, bonjour les gens... se tourna vers Melly... bonjour demoiselle.

Puis se tournant vers l'Arme Fatale...

Dis, tu viens avec moi prendre des chopines pour tout le monde.
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Zazaroyaume

Zaza profitait de saluer tout le monde, répondant à Lord que tout allait pour le mieux, profitant des compliments de leur Patchou, puis ce fut au tour de Merdita d'arriver !
la belle cherchait le comptoir ! la boulasse prenait place !

Elle la bisouilla à son tour, heureuse de pouvoir la rencontrer en cette occasion !

Ensuite Melly vint lui présenter le petit Louis qu'elle ne connaissait point, mais à qui elle avait donner un laissez passer sur la demande de Melly ; apparement Louis finirait guetautrou et cela ravissait Zaza car le guet avait besoin d'une bonne relève !

Lorsque Pat voulut apprendre la vie au jeune homme, elle vit Melly veiller au grain ; elle avait bien raison car notre Patcaf, pour sur, lui apprendrait en priorité les coutumes cambraisiennes du mercredi et pour son éducation, le petit Louis aurait besoin aussi de sagesse !

Zaza se retenait d'éclater de rire !

Il y avait même Trmoh ! le baptème s'annonçait beau et tous les proches de la belle Melly se tenaient là pour partager sa joie !

Alors qu'elle faillit s'étouffer en entendant Pat vouloir se confesser, enfin picoler ^^, ce fut au tour de sa Crys adorée d'arriver ; elle avait apparement un problème de chaussures et Zaza se moquait doucement ; le plus drôle fut lorsque la marraine lança ses chaussures à lord, telle une mariée lancerait son bouquet^^

Zaza se dit intérieurement "et cela ne fait que commencer^^hihi", elle avait hate de voir la suite !

D'un clin d'oeil elle rassura Melly qui se faisait du mauvais sang suite à la chute !

t'en fais pas la miss ! on est des durs à cuire ! hihi !
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Sherine

Sherine observait au loin les petits groupes intéragirent entre eux puis son regard s'arrêta sur l'archevêque qui suivait Patcaf qui lui avait pris la direction du confessionnal. Un rapide regard en direction de Melly et elle comprit qu'il y avait un malaise.
Sherine abandonna sa place pour rejoindre Melly.
Elle lui fit un rapide coup de tête indiquant le confessionnal.

Que se passe-t-il là-bas?

Crysline

Crysline arriva en courant dans la cathédrale, la donzelle qui n'avait pour habitude que de porter ses bottes de Lieutenante se tordait les pieds sans arrêt...

Déjà que la lourde porte avait grincé à son entrée voilà maintenant que la belle devait se rattrapper aux chaises pour éviter la chute...

Elle s'avança comme elle pu vers l'autel ou l'attendait sa future filleule en saluant au passage les gens qu'elle connaissait...

Melly était toute en beauté mais...Crys ne voyait pas le parrain ...Elle qui pensait être en retard

Bref, elle allait arriver à destination quand patatra elle vascilla et se retrouva assise sur les jambes de ...Zaza

" Oups pardon désolée...C'est que...Tu vois...Ces chaussures ben...ce n'est pas dans mon habitude et...je heu....ben....je ne tiens pas debout"

Elle regarda Zaza et se flanqua à rire puis se relevant s'écria

" Ce n'est rien... tout va bien ...Plus de peur que de mal...Au cas ou vous vous le demandriez

"

Enfin...elle s'avança et se mit aux côtés de sa bientôt filleule..

" Waw...quelle beauté ma belle....Ton parrain n'est pas encore là?"

Elle l'embrassa et lui sourit avant de s'apercevoir qu'il n'y avait pas non plus d'écclésiastique

" Heu... mais il est ou le curé?"

" Youhooooou....y a un baptême à célébrer par ici"

N'y tenant plus Crys ôta ses chaussures qu'elle lança discrètement à Lordromi

et attendit la suite...

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Melly

Melly aurait voulu prévenir son parrain ou retenir Adso, mais que faire?
Shérine avait remarqué son malaise et elle rejoignit rapidement le groupe.

Sherine a écrit:

Que se passe-t-il là-bas?

Melly murmura pour ne pas qu'Adso l'entende " - Le confessionnal!! j'y ai caché les bouteilles pour boire un coup avant et après le baptême, faut retenir Adso!!"

Puis elle entendit la lourde porte s'ouvrir, enfin sa marraine était là. Mais avait-elle trop abusé de la chopine, ou avait elle encore vidé la cave de LordRomi? Pourquoi vacillait elle autant?
Elle allait lui demander lorsque celle ci tomba sur leur chef adorée.

" - Crys!!! Ça va ? pas trop de mal? Et Zaza? ca va toutes les deux? Rien de cassé?

Crysline a écrit:

" Waw...quelle beauté ma belle....Ton parrain n'est pas encore là?"

" - Pat est arrivé le premier, mais il est là bas et le curé le suit."

Puis elle se pencha vers sa future marraine. " - Pat est parti inspecter le confessionnal plein de bouteilles, sauf que Adso n'est pas au courant et qu'il croit que Pat veut se confesser"

Puis Crys envoya ces chaussures sur LordRomi et Melly instinctivement lâcha la main de son aimé ainsi que le main de son cousin pour se protéger et éviter sa chaussure.

" - Roooooo, Crys pour une fois qu'on est ensemble, tu pourrais éviter d'assommer LordRomi?
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Melly

Melly regarda Adso s'approcher du petit groupe

Adso a écrit:

C'est bon, tout le monde est là? le parrain, la marraine ? On peut commencer ?

Elle sourit, voyant s'éloigner Pat, Adso lui avait l'air pressé

" - Non monseigneur, nous ne sommes pas prêt. Ma marraine n'est pas arrivée, ni ma soeur d'ailleurs, et mon parrain vient d'avoir une subite envie de se confesser. Mais ne soyez pas pressé, et profitez de ce moment pour connaitre vos ouailles. "
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Adso

Se confesser ? maintenant ?

Apercevant le dit Patcaf se diriger effectivement vers le confessionnal :

Bon... ben j'imagine que, vu qu'il n'y a pas d'autre clerc dans les environs en ce moment, çà va être à moi de m'en occuper...

Et il se dirigea lui aussi vers le confessionnal.

Lordromi

Il prit la main de son aimée, en lui souriant...

Mais même en étant impartial, je dirais la même chose!

Je n'aurais pu manquer cet évènement!
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Patcaf

Bonjour Merdita, toujours en beauté décidément!
Salut Trmoh!

Regardant Romi qui transpirait à grosses gouttes il se dit:

si on continue à attendre Romi et Melly vont nous faire un gros pêché de chair avant le baptême...

Soudain, l'envie lui prit d'aller se confesser

Adso

Melly a écrit:

" - Bonjour monseigneur. Alors comment trouvez vous ma robe? Impossible de vous faire rougir en sortant de l'eau avec tous ces froufrous."

Adso leva les yeux au ciel en se demandant comment il était possible de rentrer dans l'eau avec une telle chose... Il voyait déjà les frou-frous flotter sous l'effet de l'air emprisonné, et remonter jusqu'au visage de Melly lorsqu'elle entrerait dans l'eau... Soit, elle avait ainsi peu de chance de se noyer, mais question étouffement, rien n'était garanti. Et pourtant il l'avait prévenu ! Enfin bon...

Après lui avoir laissé quelques minutes pour accueillir sa famille et ses amis :

C'est bon, tout le monde est là? le parrain, la marraine ? On peut commencer ?

Sherine

Sherine suivit Melly bon gré mal gré et se retrouva face à deux hommes, Lordromi et Patcaf...

Bonjour ! Alors enfin je rencontre le fiancé et le parrain ! Enchantée de faire enfin votre connaissance à tous les deux !

Elle regarde Lordromi. Enfin, il me semble que nous nous sommes déjà croisé à Azincourt tous les deux!

Melly sortit une fiasque de ses jupons et Sherine ne put s'empêcher de rire mais ce fut de courte durée puisqu'une personne qu'elle n'appréciait que peu arrivait à leur rencontre tout de noir vêtue...

Melly laisse moi quand même te dire que ta robe est splendide! Je retourne m'asseoir ma jolie, la cathédrale se remplit et je ne voudrais pas être assise trop loin de l'autel!

Elle déposa un bisou sur la joue de Melly puis toisa du regard Phélia avant de prendre place sur un banc encore libre...

Lordromi

Il sourit aux dires de Pat...

Oh oui, tu as raison! Surtout Melly, enfin ca ne change pas de d'habitude...

Il se tourna vers Shérine, souriant :

Ah oui! Maintenant que vous me le rappelez, je me souviens!

Trmoh arriva...

Salut Trmoh! Je vais très bien, merci!
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Melly

Devant tant de compliment Melly rougissait de plus en plus, d'abord Zaza,puis Merdita , Pat, mais lui le faisait chaque mercredi, et même Trmoh, qui avait répondu présent et enfin Phé.

" - Merci vous tous, je vais finir cramoisie ou m'auto-enflammer. Bonjour vous tous, merci d'être venu j'en suis très heureuse."

Elle fit la tournée des bisouille en profitant pour refaire un bisous à son cousin dont elle n'avait pas laché la main, pinça le bras de son parrain en lui chuchotant " - ne commence pas, laisse le donc grandir avant de tout lui expliquer"

Se tournant vers Zaza et Trmoh, elle leur présenta son cousin

" - Voici un futur guetautrou, et mon petit Louis à qui tu as accordé un LP Zaza. Il fait autant de bétises que nous tous réunit"

Melly sourit, puis écouta Merdita qui commençait déjà à chercher le guet

Merdita a écrit:

Vous allez bien tous? Oh au fait Melly? l'est où le comptoir?

" - Ne dit rien à Adso, mais j'ai installé hier soir une annexe du guet dans le confessionnal, donc si tu as soif , n'hésite pas. Tu penses bien que je n'allais pas oublier cela"

Melly sourit et lui fit un clin d'oeil. L'OST et le guet réunit et pas de bouteilles?IM-Po-SSIBLE. Riant toujours, elle écouta sa Shérinette qui lui parlait.

Sherine a écrit:

Melly laisse moi quand même te dire que ta robe est splendide! Je retourne m'asseoir ma jolie, la cathédrale se remplit et je ne voudrais pas être assise trop loin de l'autel!

Melly sourit et tendit la joue pour recevoir la bisouille de Shérine puis lui murmura " - tu as intéret à ne pas être trop loin sinon je te fais tomber dans les fonds baptismaux"

Lordromi a écrit:

Oh oui, tu as raison! Surtout Melly, enfin ca ne change pas de d'habitude...

Rougissant encore plus, et oui c'est possible, Melly glissa discrètement sa main dans la main de Lordromi, se plaçant ainsi entre son aimé et son cousin.

" - LordRomi, vous êtes de parti pris, mais j'aime votre partialité."

se hissant sur la pointe des pieds, elle chuchota à son oreille. " - Merci d'avoir fais l'effort d'être là aujourd'hui "
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Orphelya_valbony

C'est qu'la Phélia avait presque oublié le baptême. Depuis quelques jours, sa tête était ailleurs, mais sa fillote lui avait proposé de venir déposer des fleurs pour son baptême, et là, elle se disait tout bas qu'elle n'oublierait pas le baptême, le lendemain.

Ben..Non, elle l'avait pas oublié...Bref!
D'une simple robe noire, oui depuis un moment, elle détestait la couleur. Mais d'un joli noir quand même..Celui qu'on met quand on veut être une "femme fatale" pendant un soir.

Se dépéchant d'aller dans cette grande église, elle salua de loin les personnes qu'elle ne connaissait pas, et alla vers l'unique qui l'attendait toujours, son fils. Bien sûr, celui là était avec sa fillote, quand on en cherchait un on trouvait toujours le deuxième..Elle avait l'impression de voir sa fille devant elle avec son petit frère, et cela lui rendit le sourire.

"Bien le bonjour, les deux plus beaux de jour."

Elle se baissa pour embrasser son fils sur les deux joues et faire de même avec Melly.

"Tu es vraiment ravissante ma fillote..."
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Patcaf

Romi ne trouves tu pas que ces dames sont superbes et ont de magnifiques toilettes ?
Pensa: surtout pour un mercredi

Ah bonjour Melly, la reine du jour, bonjour ma Zaza, vous êtes resplendissantes!
Vous aussi dame Sherine, ne pas vous connaître eut été dommage!

Quant à toi, Louis, écoute ce que dit ta cousine mais dès que tu auras grandi , la semaine prochaine par exemple, viens me voir à Cambrai, je te ferai visiter les plus belles tavernes!

Trmoh

Trmoh arriva sur le seuil de la Cathédrale. Il réajusta alors sa tenue de manière à être un tant soit peu présentable pour l'occasion. Un fois cela fait il entra
Il alla alors saluer la troupe qui était autours de Melly

Bonjour Melly. Tu es ravissante comme cela!

Puis il se présenta alors aux deux personnes qu'il ne connaissait pas encore

Trmoh, enchanté

Puis se fut au tour de saluer Zaza, Pat et Romi

Salut vous trois! Ca va bien?

Merdita

Melly se baptisait en ce jour. Encore une occasion pour profiter de la boisson qu'offrait notre cher Aristote

Après avoir préparé son pti louveteau, elle enfila sa plus belle robe, et tous deux filèrent vers la cathédrale.

Les portes ouvertes, elle s'immisca à l'intérieur de l'enceinte.

Cherchant des yeux les personnes connues, elle vit Lordromi, Zaza, Pat et la sublime melly.

Elle se rapprocha d'abord de la première interessée en ce jour et la bisouilla.

Bonjour ma belle. Et bien, tu fais de l'ombre a beaucoup d'entre nous aujourd'hui

Elle sourit et bisouilla zaza, lord et patcaf

Vous allez bien tous? Oh au fait Melly? l'est où le comptoir?
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Lordromi

Il retint un rire en entendant Pat...

Avec plaisir, évidemment!

A peine ces paroles prononcées, Melly arriva accompagnée de deux inconnus...

LordRomi, enchanté!

Il sourit aux deux personnes, puis se fut au tour de Zaza d'arriver...

Salut Zaza! Je me porte comme un charme et toi?
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Zazaroyaume

Sur les terres d'Ambricourt

Il faisait doux ce matin sur les terres d'Ambricourt et Zaza avait eu du mal à sortir de sa couche, mais sa servante vint lui rappeler que le devoir l'attendait, mais surtout qu'il lui fallait vite se préparer afin d'aller célébrer le baptême de sa chère Melly !

Habituellement la prévôte passait ses habits de garde, mais en ce jour spécial, elle avait choisit une belle robe blanche, signe de pureté, pour se rendre à l'église.

Elle était nostalgique lorsqu’elle entrait dans un lieu Saint, puisqu’à St Vaast, elle avait lié son destin à l'homme de sa vie voilà bientôt 2 ans, jours pour jours ; Dark les avait uni le 05 octobre 1546. Depuis leur amour n'avait fait que croitre et ils connaissaient un bonheur sans fin ! Elle espérait donc séduire de nouveau son tendre époux qui devait la rejoindre...

Après avoir savouré un bon petit déjeuné, elle avait demandé à faire atteler afin de se rendre à la cathédrale pour accompagner Melly sur le chemin d'Aristote !

Arrivée à la cathédrale

Elle arrivait enfin à destination après avoir traversée les champs encore couvert de l'aube naissante, puis la ville qui s'éveillait, elle fut heureuse de ne point être en retard pour l'occasion.
Elle se dirigea donc rapidement vers l'entrée et poussa la lourde porte.

Zaza fit donc son signe de croix puis avança vers les bancs qui allaient accueillir les convives de sa sergente, certains étaient déjà sur place mais elle n'avait pas le plaisir de les connaître ; elle sourit lorsqu'elle aperçut son ti Pat déjà sur place qui discutait avec Lordromi, et la future baptisée ; elle s'empressa d'aller tous les saluer !

Melly était resplendissante et s’occupait déjà de ses invités!
Zaza manqua d’éclater de rire lorsqu’elle vit la miss sortir une flasque de dessous ses jupons pour la tendre à Patcaf ; combien de fois l’avait elle fait ^^ aimant partager la boulasse par-dessus tout !

Elle s’approcha donc de sa sergente pour aller l’encourager avant que la cérémonie ne commence !

Se tournant vers Melly

Coucou toi ! Tu es magnifique ma chère !

Puis se tournant vers les hommes et lorgnant particulièrement sur la flasque que tenait Pat

Coucou les garçons ! j’espère que vous allez bien en ce jour de boulasse divine ^^

Elle sourit heureuse d’être là avec ses guetautrous pour partager ce baptème
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Patcaf

Entendit le brave Romi... Heurux de voir une tête connue.

Il lui glissa dans l'oreille

Tiens, j'ai trouvé du vin de messe qui trainait par là, t'en veux? C'est un bon p'tit blanc pas mal du tout...

Melly

Melly regarda rentrer son parrain, puis ses amis et son petit Louis qui se cachait au fond de la cathédrale.

Elle se dirigea vers Pat et le bisouilla chaleureusement, puis elle sortit de ces jupons une flasque qu'il lui colla dans les mains.

" - Coucou Pat!! Tiens pour te faire patienter, je vais dire bonjour aux autres et je reviens."

Elle croisa son tendre qui avait fait l'effort de venir et déposa un chaste baiser sur ses lèvres, puis elle alla voir Sherine.

" - Coucou ma belle, merci de t'être échappée de chez les nonnes pour moi. Ne reste donc pas toute seule, attend j'arrive et je te présente.

Melly alla chercher son petit bout de cousin qui se cachait, lui fit un gros bisous, puis lui pris la main et le tira de son coin.

" - Pas question que tu restes tout seul, viens mon Louis, je veux te présenter quelqu'un.

Sans attendre de réponse de sa part elle tira sur sa petite main et l'emmena vers les grands, prenant au passage Shérine. Arrivée devant Pat et Romi, elle sourit.

" - Pat , Romi, voici Mon petit Louis et ma Shérinette.
Pat, évite de lui apprendre les coutumes cambraisienne et guetautrou tout de suite, il est encore petit."
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Sherine

Sherine, après une longue retraite spirituelle, réussit à se libérer pour la journée, en embauchant quelques manants qui avaient toujours besoin d'avoir des écus en plus dans leurs bourses... De toute façon, elle n'avait pas eu le choix, Melly lui en aurait voulu pour son absence ...

Elle revêtit une robe simple et propre puis prit le chemin de la cathédrale. C'est lorsqu'elle vit la grande bâtisse qu'elle se rendit compte qu'elle n'y avait jamais mis les pieds !
Les invités commençaient à arriver mais jusque là, aucun visage ne lui semblait encore familier...
Il serait peut-être temps pour elle de quitter un peu Azincourt !

Sherine prit place dans la cathédrale et attendit le commencement de la cérémonie.

Louis.

Le petit Louis avait attendu ce moment avec impatience. Et il n'avait pas oublier, aujourd'hui c'était le baptême de sa cousine. Pour une fois, le petit garçon s'était appliqué sur son habillement et arriva à la cathédrale tout beau tout propre!
Et pourtant... Quand le petit homme entra dans le grand batîment, rempli de gens qu'il ne connaissait pas, il eut des frissons. Depuis son retour, il avait refusé d'aller ici. Des tas de souvenirs lui revenait à l'esprit, mais le petit garçon refusait de les laisser prendre le dessus sur son bonheur. Car il y en avait, du bonheur, il était heureux pour sa cousine. Pourtant, demain... Bah, demain était un autre jour!

Louis, se demandant où était passé sa môman, alla se poster dans un coin, au fond de la cathédrale. Ainsi, il put à sa guise observer les amis de Melly.

Melly

Melly n'avait que peu dormi cette nuit et s'était levée très tôt.
Après avoir avalé un petit quelque chose, elle s'était lavée, puis avait fait sécher ces cheveux pour bien les lisser.
Hier soir, avec sa marraine, elle était venue dire adieu à son ancienne vie, ces anciennes croyances resteraient ancrées en elle, et Adso n'avait pas soulevé toutes les zones d'ombre, mais elle se sentait prête à être accueillie au sein de cette nouvelle famille.
Tout en se préparant, elle songea à cette vie, comme une vie antérieure, pleine d'erreurs et de libertinage.
Depuis son entrée comme sergent du guet et surtout depuis sa rencontre avec LordRomi, la petite zinzinne avait bien changée. Pourtant ces 15 derniers jours avaient été très durs, et l'indifférence de celui à qui elle avait offert son coeur était telle qu'elle se sentait chanceler.
Son baptême, elle l'espérait, changerait tous cela, lui permettant de trouver la force dans la foi.

Une fois sa toilette faite et prête, elle se regarda dans un miroir et sourit.
Sa robe était magnifique, et pour une fois on pourrait voir son seul trésor; le bijou que lui avait offert son ami avant son départ. Il lui manquerait aujourd'hui, elle aurait aimé l'avoir à ses cotés, mais il était trop loin et ce bijou à son cou lui permettrait de l'avoir tout près d'elle.

Contente de la vision qu'elle avait, elle sortie au grand jour et se rendit dans cette si belle cathédrale,qui carillonnait déjà, attendre ses amis et sa famille.

Arrivée là bas elle reconnu l'archevêque, déjà prêt, sur son 31 lui aussi, et elle s'avança d'un pas un peu plus assurée.
Pour une fois un homme tenait sa parole, il était là pour l'accueillir.

" - Bonjour monseigneur. Alors comment trouvez vous ma robe? Impossible de vous faire rougir en sortant de l'eau avec tous ces froufrous."

Même morte de peur, elle arrivait à le taquiner gentiment, sachant que s'il se fâchait, il lui suffirait de lui faire un diner dimanche prochain.
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Lordromi

Lord arriva vêtu de ses plus beaux atours. C'était aujourd'hui le jour du baptême de son aimée.
Il entra dans la cathédrâle et aperçut Patcaf déjà présent. Il avança jusqu'à lui et le salua.

Bonjour Pat!! Comment vas-tu?
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Patcaf

Patcaf une fois ses rapports bouclés s'était dirigé vers ces lieux saints...
Horreur! Il était arrivé en "tenue de mercredi"... ayant tourné les talons il revint vêtu et plus en harmonie avec ce qui allait se dérouler.

Regrettant un peu l'absence de boisson, il attendit avec émotion l'arrivée de cette jeune sergente en qui, pour l'avoir formée, il croyait beaucoup

Adso

Adso marchait d'un pas tranquille sur le chemin entre le palais épiscopal et la cathédrale. Il humait délicatement l'air du matin et admirait le spectacle de la nature se réveillant dans les brumes matinales, tout en méditant sur la nature de l'Ether et l'infini Amour du Très-Haut pour Ses enfants, tandis que les petits oiseaux chantaient pour...

Oui, enfin, bon... mettons fin d'emblée à cette tentative pour offrir une touche de surprise au lecteur assidu des aventures de notre jeune archevêque. Comme à son habitude, Adso était en débordé de travail, et en retard. Relevant sa bure au niveau des mollets pour d'évidentes raisons aérodyn... ou plutôt, pour pas se prendre les pieds dedans, il courrait jusqu'à la cathédrale, tachant d'éviter les tâches de boues qui semblaient les plus profondes. Impossible d'utiliser la mule, çà aurait été trop long. Il se prit quelques instants à imaginer une route complètement pavée entre le palais et la cathédrale, mais çà n'était pas vraiment de son ressort... Un carrosse ? Peut-être faudrait-il qu'il se décide à en faire l'acquisition, après tout, vu son nouveau statut... Mais bon, je ne vous raconte pas les dépenses : le prix du véhicule lui-même, plus le ou les chevaux, plus la nourriture des chevaux, plus un éventuel conducteur... Pfiuuuuuu pas évident de trouver tout cet argent...

Enfin, Il arriva à la cathédrale. Il envoya un bedeau un peu badaud sonner les cloches, fila à la sacristie, se changea, enfilant le vêtement sacerdotal, puis le palium, puis la mitre, puis il se saisit de sa crosse, et retourna dans le choeur pour s'asseoir le plus dignement qu'il put sur la cathèdre.

Orphelya_valbony

Phélia, comme toujours, était prête à tout faire pour aider son prochain. Elle devait accompagner sa fillote à l'Eglise pour y déposer quelques fleurs. Elle, elle s'était permit de prendre un bouquet de mille et une roses qu'elle alla rapidement déposer sur l'autel avec Melly.
Elle l'avait écouté parler...Et son coeur se fendit en deux lorsqu'elle lui annonçait qu'elle ne serait plus sa marraine.

"Melly, marraine..Je resterai ta marraine, mais je ne serai pas ta marraine comme ceux qui vont t'accompagner de l'autre côté....Je t'ai guidé dans ta vie moi, et ça, on ne peut enlever ce statut. Et crois-moi, tout le monde emploit ses deux statuts..La marraine Aristo...Machin chose et la marraine qui a guidé dans le monde."

Phélia parlait toujours trop quand une émotion essayait gentiment de pointer son nez..
Avant de suivre Melly pour aller vers chez elle pour boire un verre, il lui en faudrait plus d'un pour digérer cette nouvelle avant son départ. Mais qu'importe, elle était heureuse pour sa fillote...Alors tout allait bien.

"Oui, allons-y..."

Elles sortirent toutes les deux de cet endroit où la Fée sauvage n'aimait plus aller depuis un moment. A vrai dire, depuis la disparition de Celdric...Elle ne s'était pas remise de cela, et qu'Aristote lui enlève encore un amour...Elle lui en voulait terriblement alors..Elle s'enfuyait vers la maison de Melly..Un poids sur le coeur.
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Melly

Melly devait se faire baptiser en la cathédrale d'Artois, le lendemain.
Pour cette occasion, elle était allée sur les chemins pour cueillir des fleurs.
En revenant chez elle, elle s'aperçut qu'elle ne connaissait pas cet endroit et elle décida d'inspecter la cathédrale, pour ne pas avoir trop peur demain.

L'archevêque l'avait pourtant rassuré, lui promettant de la guider et d'être là, elle savait aussi qu'elle serait entourée par ceux qu'elle aimait; et que même sa soeur, enceinte et à terme, ferait l'effort d'être présente.

Melly s'avança devant cette énorme bâtisse, puis elle entra, et fut prise de vertige devant la beauté et la sérénité d'un tel endroit.

Phélia avait promis de venir l'aider à placer les fleurs sur l'autel, don à Aristote et au Très Haut.
S'emplissant de l'air et de la paix qui se dégageait des lieux, Melly s'assit au fonds de la cathédrale, meditant sur son entrée au sein de la communauté aristotélicienne.
Lorsque celle ci arriva, Melly releva la tête et lui sourit

" - Merci marraine d'être venue avec moi ce soir.

Melly se leva et pris la main de Phélia.

" - Demain, lorsque je serai baptisée, je ne pourrai plus t'appeler marraine, mais je voulais te remercier de m'avoir guidé sur le chemin. Demain je serai aristotélicienne et bientôt j'espère arrageoise. Une page se referme et une page s'ouvre.

Elle remontèrent toutes deux la nef pour atteindre l'autel, puis Melly déposa le bouquet préparé et se mit à genoux pour remercier le Très Haut de l'accueillir en son seing.

Sa prière effectuée, Melly se releva et regarda Phélia.

" - Et maintenant, viens donc jusqu'à chez moi boire un verre, que je te montre la robe que m'a faite Zaza pour l'occasion."
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Jehanne66

Jehanne avait coulé dans un rêve après avoir entendu Astreria parler de flaque d'eau, et ce n'est que le lendemain matin qu'elle s'éveilla, la bouche pâteuse, l'esprit embrumé.

Visiblement la cérémonie était achevée et la soldate s'étira en regardant le monde qui avait envahi les lieux.
Ce n'était pas les mêmes visiblement... que s'était-il donc passé...

Une Dame voulait fêter la disparition du défunt ?!?!

Se secouant pour reprendre ses esprits, Jehanne acquiesça.

Après tout, si on finit rond comme des queues d'pelles !!!

Leportel62

Une nouvelle fois, Lou avait accompagné son ange. Décidément, le jour de son baptême, il pourrait faire le curé en même temps à force de voir les répétitions.

Croisant de temps en temps son regard tendre, ses yeux scrutaient les lieux saints. Il reconnu une grande carcasse qu'il n'avait point revu depuis la fameuse histoire ......des pompes. Il en sourit.

Il ne fut pas surpris d'entendre Iz annoncer qu'une taverne était mise à disposition. Où il y a à boire, l'amoureuse des grenouilles au fond du bénitier était toujours dans les parages.

Hum, sa voisine venait de lui faire comprendre qu'ils s'en allaient. Il était un peu réfractaire au taverne mais elle, elle avait peut être une petite soif......
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Izeliah

Izeliah était partagée entre deux sentiments fêter ça ou simplement rentrer chez elle et faire comme si de rien n'était. Elle regarda les gens qui avait osé entrer et participer à cet événements spirituel.

Son parrain et sa Marraine, Maé et Bayard, distributeur de mandale sur pattes. Son frère...lui à la limite c'était plus que normal qu'il soit là ...quand même. Odas, un des tout premier à lui avoir parlé et l'avoir accueillit.

Dans un coin elle reconnu Ombeline, celle qui avait fait d'elle, envers et contre tout, une Artésienne. Elle se souvint de la polémique, qui refaisait surface de temps en temps et lui adressa un franc sourire.

Bien... Merci à tous d'être venu.

Sa décision était prise.

je pense que maintenant nous pouvons aller fêter ça comme il se doit. Il y a une taverne juste en face...j'ai été voir avant d'entrer... ils ont tout ce qu'il faut pour que l'on finisse tous rond comme des queues de pelle.
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Jolan

Jolan ne voulait évidemment pas louper la cérémonie du baptême de sa soeur. Content qu'elle est faite la démarche, il avait passé le temps de l'officialisation adossé au mur froid de l'église. Et quand sa p'tite Zaza répéta les paroles qui devaient celer son pacte avec Aristote, un sourire radieux apparut sur son visage. Un jour, faudrait peut être qu'il se baptise également.

En attendant, Izeliah allait surement se relever, afin de clôturer la cérémonie. Quoique, peut être qu'il y avait encore quelque chose, il n'en savait trop rien. Faudrait peut être qu'il fréquente plus souvent les églises. Il resta contre le mur, prêt à sauter sur sa p'tite sœur quand elle passerait à côté de lui.

Ombeline

[Jour de l'hommage de Carbo]

La cérémonie s'était achevée par une déclaration de Dagoon. Le calme emplissait le lieu saint. La diaconesse semblait avoir terminé aussi. Ombeline pria pour le défunt, espérant que là où il se trouvait, il trouverait la paix. ... Léger bruissement d'étoffe et de pas étouffés sur sa gauche ... Quelques personnes quittaient les lieux par l'allée sur le côté ... Il était temps aussi pour eux de les imiter. Dernier regard vers l'autel, puis elle se leva d'un même mouvement avec son voisin et sortit pour reprendre la route de son domaine.

***

[Jour du baptême d'Iz]

Le couple arriva devant le parvis de la cathédrale. La jeune femme observa un long moment l'édifice puis se décida, ils étaient là, donc plus de raison d'hésiter. D'une légère pression du bras sur son compagnon, elle lui fit comprendre qu'ils pouvaient de nouveau poursuivre le chemin. Elle crut reconnaître une silhouette non loin d'eux mais qui prenait direction inverse ... le fils de 100drine, tout du moins, il y avait une ressemblance mais elle ne saurait dire et pis elle ne l'avait pas revu depuis les joutes en son domaine ...

Quand ils arrivèrent devant la porte de bois, son cavalier prit soin d'éviter de faire grincer la porte. Ils se faufilèrent à l'intérieur. Les fumigations de l’encens embaumaient les lieux si sereins. Ombeline lâcha le bras de Lou quelques minutes afin de tremper ses doigts dans le bénitier et de se signer. Elle revint bien vite près de lui et contempla les lieux. La cérémonie n'avait point encore débuté mais de nombreuses silhouettes se découpaient devant l'autel. Les cierges ornant l’église scintillaient, donnant un peu de chaleur au lieu saint. Une étoffe écarlate attira son attention ... La Vicomtesse esquissa un sourire, reconnaissant l'identité de son occupante.

Nouvelle pression du bras, regard complice entre le duo, sous des pas étouffés, ils s'installèrent sur l'un des bancs du fond, à l'écart, et en toute discrétion. Quelques hochements du chef afin de saluer ceux dont elle croisa le regard puis elle porta son attention sur la cérémonie. Son voisin n'était guère une grenouille de bénitier mais elle lui fut reconnaissante de ne pas faire triste mine quand il s'agissait de l'accompagner aux offices. Elle glissa sa main dans la sienne, sous un regard plein de tendresse. Regards qui se croisent. La voix de la diaconesse Nirina lui rappela où elle se trouvait et le pourquoi. Elle récita à voix basse le crédo, puis suivit avec attention le déroulement de la cérémonie. Izeliah venait de prêter serment d'allégeance et de se faire copieusement arroser la tête. Ombeline sourit, jetant une mirette vers son voisin ... Lui aussi y passerait, pas sur qu'il apprécie la douchette froide ... Nouveau regard attentif vers l'autel ... Elle aperçut la nouvelle baptisée, cierge et médaille en mains. Le baptême était donc accompli. Nouvelle pression du bras vers son voisin, ils pouvaient repartir aussi discrètement qu'ils étaient venus.
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Odas

Nirina baptisa Ize sous une forte et compréhensible émotion. Odas ne détacha pas ses yeux de son amie qui semblait profondément émue. Il ne tarderait pas à la féliciter et à la serrer fort dans ses bras sur le parvis de la cathédrale.

Il ne manquerait point également les Tastevine qui allaient couler à flot. Jetant un coup d'oeil discret et amusé sur Maé et le chevalier, il sourit à Ize, heureux d'être présent tout simplement, tripatouillant toujours sa médaille autour du cou ....

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Chevalier_bayard

Sa belle ayant fait une entrée comme il les aimait, fracassantes, elle vint s'asseoir près de lui. leurs mains se joignirent, tandis que la cérémonie continuait, parrain et marraine répondant aux questions, puis récitation du crédo... bien sûr Bayard faisait semblant, il bougeait les lèvres, faisant semblant de réciter, en fait il révisait toujours les codes pour le match de soule. "Donc poing levé c'est poutrer! Heu non, ça veut dire passer la soule! Arf, non... et les trois doigts vers l'enbut, c'est... " Sentant autant la confusion que la panique l'envahir -gare à lui s'il ne les connaissait pas pour le match-, il se dit que c'était peut être pas l'endroit, et qu'il valait tout de même mieux penser à la cérémonie...

Il termina donc le crédo en pensant... au buffet à venir!

"Je crois en l'Action de la bibine;
En la Sainte Epine de canard rôtie, Une et Indivisible;
En l'absorbtion des petits fours au massep(S)ain(t)s;
En la gloutission des canapés
En l'eau de Vie à la mirabelle. "

Mmmm, canard, petits fours, canapés... miam miam...

Son regard croisa celui de sa belle, la même gourmandise brillant dans ses yeux... hé hé, ils communiaient par la même pensée! Trop fort!

C'est à ce moment qu'on versait de l'eau sur la tête d'Izé, signe que la cérémonie approchait à son terme... mais quand même... verser de l'eau sur la tête... quelle barbarie! De l'eau! Il serait temps qu'il le remplace par de la bière! Ce qui ferait certainement augmenter le nombre des baptèmes. Bayard le fit doctement remarquer à Maé...

L'émotion d'Ize, qui se lisait sur le visage de la jeune fille, le fit revenir à la cérémonie, maintenant finie... et soudain un doute canonique affreux s'empara de lui. Et si... si il n'y aurait pas de buffet ???

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Izeliah

Maeva83

Maé se sentait émue par la cérémonie et serra la main de son chevalier comme pour se rassurer.
La voilà qui faisait du sentimentalisme dans une église alors que 5 minutes avant de pénétrer ce lieu elle ne pensait qu'à mordre, poutrer, cogner, arracher dents et ongles de leurs adversaires sur le terrain...

Les voix divines pouvaient elles s'abattre sur elle où songeait elle plutôt aux petits fours, aux feuilletés, aux cuisses de canard fourrées, à l'hypocras, la tastevine et la bourrine qui couleraient à flots juste après la cérémonie?

Le regard de son Bayard et le filet de bave qui soulignait ses lèvres gourmandes la ramena à la réalité, tout comme elle il pensait également au buffet et en était presque aussi ému...

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Odas

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Nirina

Izeliah

Laurent_ddv

Pink69

[/center]

Maeva83

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Nirina

Luzifer

Nirina a écrit:

Luzi écouta attentivement nirina puis il répondit par oui aux différentes questions.
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Izeliah

Nirina

Nirina vit entrer Luzi

Approchez Messire, venez donc vous installer à côté de votre filleule.
Nous avons à peine commencé.
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Luzifer

Pink69

[/center]

Nirina

Glassheart

Glass arriva enfin dans la cathédrale. Aucun drame pour une fois n'avait jalonné un voyage sans histoire. Un véritable miracle, pas de chute, pas d'accident, pas de voyageurs écrasés,...
Ses cheveux étaient pour une fois soigneusement coiffés, la mèche rebelle sagement plaquée derrière l'oreille droite.
C'est qu'il fallait faire honneur à la future baptisée. Il n'était pas si loin le jour où elle l'avait rencontrée à Calais, toute nouvelle arrivante, chamboulée par la dure perte qu'elle venait de subir mais néanmoins déjà forte et ne se laissant guère marcher sur les pieds.
Assez fière de n'avoir provoquer aucune catastrophe, Glass se faufila prestement le long de la nef pour aller s'assoir dans l'ombre d'un large pilier de marbre.

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Nirina

Tout était prêt pour le baptême d'Izeliah.
Le jeune garçon qui allait aider à l'office semblait très motivé!
Les paroissiens commencaient à arriver ...

Ize arriva la première , elle était si jolie dans sa robe rouge et si touchante aussi....

Je te laisse quelques instants Ize pour accueillir tes amis, nous commencerons dans quelques minutes
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Izeliah

Odas

Il ne fallait pas oublier ce grand jour, décidément les cérémonies s'enchaînaient en ce moment et Odas se faisait une immense joie d'être présent pour le baptême d'Ize.

Le Cambrésien arriva assez tôt pour une fois et prit une place bien devant, s'inclinant, se signant et saluant de la main et d'un sourire franc et sincère Ize.

Ses doigts s'étaient serrés autour de sa médaille d'Aristote qu'il portait au cou, cela lui rappelait lui aussi des souvenirs aussi joyeux que tristes d'ailleurs.

Ize s'était parfaitement intégrée à Cambrai et en Artois, Odas l'appréciait grandement. Il prit place et attendait sagement profitant du calme et de l'ambiance si saine de la cathédrale.

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Chevalier_bayard

Encore la cathédrale! Décidément, Bayard n'avait jamais autant fréquenté les églises que ces derniers temps. Cela devenait louche... vieillissait-il ? Reconnaissait-il les lieux au cas où une autre cérémonie, plus personnelle, devait avoir lieu ? Qui sait... y paraît de toute façon que les voies du Seigneur sont impénétrable...

Soit... aujourd'hui il était là pour assister au baptème d'Ize. Elle était déjà là, et ne connaissant pas le protocole, il la salua d'un petit signe de loin. Puis allait s'asseoir à côté d'Odas. "Pas de bêtise cette fois Bayard, pas de bêtise" se répétait-iil dans la tête, en gardant une place à côté de lui, pour Maé qui allait arriver.

En attendant, il observait les alentours, l'ambiance de la cathédrale, Ize qui angoissait dans sa robe rouge... c'est qu'elle en avait fait du chemin depuis qu'elle était arrivée... le chevalier se souvint des premières baffes distribuées par lui et Patcaf à "tête de pioche"... maintenant une jolie jeune fille, au caractère bien trempé, porte parole du Conseil d'Artois,... halala que le temps passe vite...

Ciel!

Perdu dans ses souvenirs et soupirant sur le temps qui passe sur un banc de la cathédrale! C'était LE signe... pas de doute... il vieillissait !

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Nirina

Nirina arriva à la cathédrale un peu angoissée.... il était déjà tard .... Le lendemain elle devait célébrer un baptême... celui d'Izeliah ,....elle avait déjà officié certes mais la jolie petite chapelle de Cambrai ne ressemblait en rien à cette immense batisse.
Elle passa le portail encadré de vieux Saints bienveillants, traversa le jardin, et poussa la grosse porte en bois ....
Elle mit un écriteau sur la porte pour inviter les paroissiens à venir assister à sa messe

BAPTEME D'IZELIAH DEMAIN.
VENEZ NOMBREUX
RECHERCHE AUSSI UN JEUNE GARCON POUR SERVIR A L'OFFICE
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Izeliah

Izeliah arriva à la cathédrale, un brin anxieuse, ce jour elle allait recevoir le premier des sacrements : le baptême. Oui, elle était anxieuse. Qui pouvait croire que cette jeune fille aux apparences si fières n'étaient en réalité qu'une boule de nerfs ? Personne si ce n'était ceux qui la connaissait vraiment.

Elle prit le temps de se préparer un peu pus que d'habitude. Elle avait mis une belle robe rouge, elle soupira une première fois. Elle essaya plusieurs coiffure mais rien n'y faisait. elle prit donc deux mèches de cheveux et les lassa en tresses derrière sa tête... après tout, ce n'était pas ça qui comptait aujourd'hui.

Elle soupira une seconde fois puis elle pris la direction de la cathédrale, le vent s'engouffrait dans ses cheveux, elle aimait ça. Elle franchit le porche et se rendit prêt des fonds baptismaux. Elle attendit, dans le recueillement du lieu que Son parrain et sa Marraine arrivent, puis tout ceux qui pensaient pouvoir assister à ce moment. Elle n'avait pas fait d'invitation parce que pour elle tout le monde était invité de fait... enfin presque tout le monde.

Mais à ce moment très précis, elle savait déjà qui ne viendrait pas et qui lui manquerait plus que tout au monde. Son Père, son petit Papa et sa mère, Maman A'his. Plus jamais ils ne seraient là pour les moments important de sa vie. Elle avait trouvé ici une nouvelle famille commençant une nouvelle vie, mais il restait toujours des blessures que jamais rien ni personne ne comblerait... elle le savait et le gout amer dans sa bouche resterait longtemps.
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Bique

Bique arriva à la cathédrale le cœur serrer se n'était pas possible que sont parrain l'ai quitter.

Elle hésita avant d'entrée, puis se décida enfin. Elle écouta avec attention les paroles de Dagoon et eut un petit sourire a sa première phrase, elle se rappelait très bien de ce soir là à Péronne.

Elle s'essaya sur le banc derrière Chany et lui posa une main sur l'épaule lui montrant qu'elle était arrivée. Elle ne savait que dire, ni que faire ce n'était pas possible, lui qui était toujours là quand elle avait des doutes ou des questions.

Elle était là a écouter sans vraiment être là, elle essayait de se souvenir la dernière conversation qu'il avait pu avoir ensemble, la dernière fois qu'il s'était vu mais.... sa ne lui revenais pas. Elle avait beau réfléchir rien. Puis elle se souvint enfin, elle en avait honte, elle n'avait pas prit de nouvelle depuis ce jour ce triste jour ou il s'étaient vus pour la dernière fois.

Ces larmes se mirent à couler le long de ses joues rosé par la honte et par les regrets.
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Chany

Elle sentit une main se serrer dans la sienne ..un regard... sa Fréné.;elle serra la main de son amie ..les larmes roulant malgré elle sur ses joues.
Baissant la tête ,; Chany pria à l'invitation de l' abbesse puis elle l 'écouta réciter le livres des vertus.

Astreria avait su parfaitement choisir un texte qui correspondait à Carbo

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Dagoon

Dagoon avait la gorge sérée au fond de l'église.
Elle décida de se foutre des regles de la cérémonie pour rendre homage a Carbonnel.

Elle se leva, se dirigea dans la nef, et arrivée au coeur, elle se retourna,e t pris la parole sans daigner se servir du livre des vertus.

Je viens rendre un hommage civil à Carbonnel, désolée pour les représentants de l'Egliste Aristocratique, mais c'est ce même Carbonnel, qui m'a écarté du catéchisme Aristotelicien.
Ceci a forcément marqué mon approche religieuse, et je suis allé chercher une Eglise prônant l'amour, plutot que la haine et la violence. C'est ce que j'ai trouvé dans le Tastevinisme.
J'ai donc trouvé la paix intérieur garce a Carbonnel. Je l'en remercie a titre posthume

Carbonnel, fut une personne de grande confiance et d'impliquée dans la vie civile de Péronne. Il a créée la confréries des bergers et tisserands péronnais.
Lorsque j'étais maire, j'ai pu compter sur lui et cette confrérie, tres active, pour permettre à Peronne de s'enrichir grace a la production de la manufacture des tapisseries.
Nous avons meme réussit a exporter des tapisseries dans des villes productrices, grace aux rationalisations proposées par Carbonnel.

En plus de son role au sein du conseil municipal, Carbonnel a su donner de la vie a Peronne.
De la vie, mais aussi de la paix en acceptant des nons aristoteliciens lors des cérémonies religieuses, et en expliquant au plus grand nombres les preceptes d'Aristote.

La disparition de Carbo, est une grande perte pour Péronne et pour l'Artois.

Carbo, mon ami, je te regrette et je te pleure. Reposes en paix

Dagoon posa un oriflamme brodé sur le cercueil
ceci est ton oeuvre, la confrerie endormie de ton abscence te rend hommage

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Ombeline

La jeune femme écouta avec attention le passage du livre des Vertus. Elle se tourna légèrement quand elle crut entendre Jehanne parler. Zieutant vers elle, un regard interrogateur ... Hum ... Oula, cela devait être une simple impression ... Bigre, elle entendait sa voix partout, à force de la côtoyer, tiens un peu comme Rufus. Elle observa cette dernière, qui semblait subjugué par le texte. Elle reporta ensuite son attention sur l'autel afin d'écouter la suite de l'office.

Angelynn

Partie depuis trop longtemps de chez elle, la rousse respire de son carrosse l'air du pays, elle cherche du regard les endroit qu'elle veut reconnaitre, une route, un groupe de maisons, un sentier... les larmes perlent lentement sur ses joues rosies, elle renifle et glisse son mouchoir brodé pour essuyer l'humidité perlant...

La voiture rouge et or n'avait plus arpenté les chemins de l'Artois depuis si longtemps que la Dame de Verlinghem s'étonnait de voir son cocher ne pas se tromper de route ! Sa suzeraine serait elle loin ? la verrait elle de suite ? un soupir se libéra en se demandant quelle serait sa réaction !!!

Un petit tour pour aller saluer ses amis en Flandres... et sans doute une bringue ou deux qui lui rappellerait des souvenirs de sa jeunesse....

Après l'arrêt des chevaux, la portière s'ouvrait et Atirenna en descendit pour rejoindre les aristotéliciens dans leur cathédrale, tout avait changé, rien n'était plus pareil, même si ses pas la faisaient avancer et entrer dans l'édifice sacré...

un signe de croix, le genoux à terre et le regard respectueux vers les statues représentatives de Marie tenant Cristos et celle d'Aristote... et voilà la belle, assise sur un banc, après avoir déposer des fleurs qu'elle avait ramassé sur le chemin qui la ramenait chez elle !!!

Les mains jointes en prières, un murmure récitant le crédo et ses pensées tournées vers tous les absents accueillis en ces terres pour l'éternité !!!
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Merci de tout mon coeur à Sabwoody

Ombeline

Astréria les invita à la prière. Ombeline, tête légèrement baissée récita à voix basse sur son banc, les paroles demandées.

Je confesse à Dieu Tout-puissant,
à tous les Saints,
et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action. etc ...

Relevant la tête, elle écouta la suite, mais avant jeta un regard rapide sur l'assistance. L'information avait-elle bien été transmise de bouche à oreille ? Il était vrai qu'il n'y avait guère foule. L'homme était discret, et vivait depuis quelques temps reclus, presqu'en ermite de ce monde qu'il n'arrivait plus à comprendre. Était-ce là une des raisons ... Petit soupir de tristesse de la jeune femme ... La vie ne tenait bien qu'à un fil ... Elle ne savait pas d'ailleurs de quoi était mort l'homme, mais peu importe ... Il n'était plus. Un homme de bien encore qui rejoignait les rangs du Très Haut. Soupirs ... Elle tâcha de se concentrer sur la suite de la cérémonie. La diaconesse faisait lecture d'un passage du livre des Vertus.
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Jehanne66

Jehanne buvait les paroles de la belle abbesse sans en perdre une goutte.
Tant et si bien qu'elle ne put s'empêcher de murmurer,

C'est fou c'qu'on peut voir dans une flaque d'eau...

Guillomme

Guillomme, Ayant appris la nouvelle tardivement, au sujet de Carbonnel, arriva, alors que la cérémonie, était bien avancer, il rentra discrètement, comme a son habitude, ce qui n'en était pas une c'est de venir dans ce genre de lieu, mais pour son amis, il pouvait bien faire sa, ne l'ayant pas vu depuis quelques temps, il pensait qu'il c'était enfermé avec les moines depuis ce laps de temps, que ne fut sa surprise, quand il appris, que Carbo, n'était plus, cela l'avait touché profondément, mais peu sujets a révéler ses sentiments, rien ne paraissait sur son visage, comme s'il n'éprouvait, rien, il venait de perdre, sa sœur, retrouvé au bout de nombreuses année, il y a peu et maintenant un amis, malgré leur diffèrent, ils s'entendait a merveille.
Il se demandait s'il n'était pas maudit, beaucoup de ses proches avait déjà rejoint Aristote et lui était encore la.

Regardant rapidement tout ceux qui était présent, tout en écoutant l'abbesse, reconnaissant nombre de ses amis, encore présent, ce qui lui réchauffa, le cœur, mais un pincement se fit, quand il aperçut, Chany dans un états, tel qu'il ne l'avait jamais vu.

Il se demanda, s'il fallait mieux prier, comme le voulait l'abbesse, ou laisser éclate sa rage sur les injustices, en prenant la sortie.
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Tisserand , eleveur de mouton et cultivateur de maïs

Astreria

Une fois la confession plus ou moins achevée en fonction des convictions de chacun, Astreria ouvrit son livre des vertus.

Je vais maintenant vous lire un passage du livre des vertus qui je le pense correspond assez à Carbonnel :

Citation:

Derrière eux, je voyais de vaste paysages idylliques. Tout resplendissait la beauté et donnait envie d’y rester pour l’éternité. Mais cela semblait bien vide. Je pouvais admirer les innombrables élus, peuplant le Paradis, sur le visage desquels s’affichait la béatitude. Voyant un tel bonheur emplir ceux qui avait vécu dans la vertu, je me réjouissais pour eux et espérait pouvoir les rejoindre.

Alors, j’entendis une voix dure et sereine me dire: “Ceux que tu vois ici sont ceux qui ont su gagner le Paradis, suivant la parole que J’ai confié à Aristote et à Christos. Mais sache que l’avenir ne sera pas aussi radieux pour tous”.

Je compris que c’était Dieu Lui-même qui m’adressait ce divin message. Alors, les anges me laissèrent seul, en communion avec le Très Haut.“Regarde dans la flaque d’eau à tes pieds”, me dit-Il.

J’y vis alors un beau pays. La douce chaleur du soleil caressait les arbres des vergers, nourrissait les épis de blé, qui se dressaient, fiers, vers le ciel, et donnait tout son amour aux légumes, qui prospéraient. Plus loin, je pouvais voir les vaches paître placidement, accompagnées de moutons gardés par leur pâtre. L’agréable brise prêtait sa force au travail du meunier en faisant tourner les ailes du moulin.

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Thiba

Thiba arriva a la cérémonie bien en retard,il était vécu de sa cape grise habituelle.La porte de l'église entre ouverte il entra,et enleva la capuche de sa tête.Il se plaça discrètement au dernier rang et écouta la suite de la cérémonie.Le curé Carbonnel était quelqu'un de bon,et,sa mort venu il n'y avait à sa connaissance personne pour le remplaçais.Il fit le signe de croix et écouta.

Ombeline

La jeune femme était arrivée tôt avec sa famille. Ils s'étaient installés sur un banc un peu à l'écart. N'étant pas de la famille proche pour qui l'hommage était fait mais c'était tout de même une connaissance et une personne appréciée par la vicomtesse, elle tenait à être présente. Il y avait là déjà quelques personnes familières de son entourage. Elle fut surprise d'y voir Jehanne, et se rendit compte qu'elle avait omis de la prévenir qu'elle y serait. Elle réparerait cela un peu plus tard. L'office allait commencer. Dernier regard avant envers son voisin. Elle n'aimait guère ce genre de cérémonie ... qui aime d'ailleurs ... La perte d'un être aimé, apprécié est toujours difficile. Dans quelques jours, il renouvellerait malheureusement l'expérience. Serrant la main de Lou, elle écouta le premier discours d'Astreria.
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Damefrenegonde

Un regard chargé de tendresse et de compassion vers son amie de toujours puis Fréné écouta, les mâchoires crispées, le coeur serré l'office d'Astréria.
Plusieurs personnes étaient arrivées discrètement ce qui lui fit chaut au coeur. Carbonnel était un homme bon, toujours près à aider son prochain, sa vocation était toute traçée...
Elle se mit alors à repenser à ce jour où totalement anéantie elle l'avait rejoint en l'église de Péronne. Elle avait eu le besoin d'être rassurée, d'être confortée dans sa foi mise à rude épreuve. Et il avait été là...attentif, pur et lumineux. Quelques simples paroles et le bonheur était réapparu dans ce corps si las...Elle se souviendrait toujours de cette voix si calme et en même temps si forte, de ce regard empreint de bonté, de ce sourire unique...
A l'évocation de ces souvenirs une boule se forma dans sa gorge, les larmes trop longtemps retenues se mirent à jaillirent en silence...
Alors à voix basse elle prononca à son tour les saintes paroles...

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

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Leportel62

Lou avait accompagné Omby à la cérémonie en hommage à Carbonnel. Il le connaissait un peu pour l'avoir croisé quelques fois à Tecap.

Ce lieu saint semblait bien vide.

Il regarda les personnes présentes qu'il connaissait toutes. Frene et chany semblaient bien affectées.

Il écouta le début......
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Jehanne66

Jehanne, en bonne soldate qu'elle était, avait reçu une formation pour ne rien avouer du tout, et encore moins quand on ne la torturait pas...
En guise de confession, elle marmonna doucement.

Comment ça, j'ai pécher ?!?!
Mais j'ai rien fait du tout !
Avec le bol que j'ai, on va encore croire que c'est d'ma faute.
J'l'ai même pas touché c'curé moi d'abord...

Astreria

Astreria salua chaque entrant, eut beau faire les gros yeux à Jehanne, celle-ci but quand même l'eau bénite. Décidant que la cérémonie devait commencer, elle gagna la nef et monta pour officier. Elle eut quand même un petit pincement au cœur devant le peu de monde présent pour l'enterrement de cet homme de bien, était ce finalement la destinée de ceux qui servaient les autres sans jamais rien réclamer en retour ?

Mes bien chers frères, mes bien chères sœurs, mes amis si nous sommes tous réunis ici c'est pour rendre hommage à un homme de bien, un homme que l'amour guida et éclaira sa vie, je parle du père Carbonnel. Comme vous le savez, après sa vie parmi nous il a rejoint maintenant le soleil, près des anges et du Tout puissant.

Mais tout d'abord, confessons nos péchés, cette mort cruelle nous rappelle combien le jugement dernier est important et que la confession est là pour nous aider à rester vertueux en confessant nos péchés :

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Yut

Le Père Yut avait pris place dans un fauteuil à côté de l'Autel. Il trouvait qu'il y avait bien peu de personnes pour le funérailles de Carbonnel.
Il récita la confession.

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.
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«Tout homme est disposé à accepter un prix, même pour ce qu’il espère ne jamais avoir à vendre. »

Damefrenegonde

Jamais un jour n'avait paru si triste et noir aux yeux de Frénégonde.
La nouvelle était tombée comme un couperet, fauchant ses jambes, son moral, son coeur...Son Carbonnel, son cher ami, le curé exceptionnel de Péronne n'était plus...
Elle avait eu un préssentiment passant chaque jour devant l'église et y trouvant porte close, mais elle ne voulait y croire, cela était bien trop douloureux...Mais il fallait se rendre à l'évidence, ce cher homme, riche de savoir, de foi et d'humour s'en était aller rejoindre les anges...

A l'appel des cloches de la cathédrale d'Artois elle arriva drapée dignement de voiles noirs. Seul l'ovale de son visage ressortait sous cet apparat sévère.
Elle était pâle, ses yeux étaient rougis par tant de larmes versées.
Lentement elle entra dans l'édifice, se signa, puis adressa un signe de tête à Astréria qui officiait. Elle aperçut sa Chany qui semblait bien mal en point elle aussi. Il faut dire que pour elle Carbonnel était encore plus précieux...
Doucement elle remonta l'allée centrale en essayant de contenir ses larmes et se posta aux côtés de son amie. Aucune parole ne sortit de sa gorge, elle posa juste sa main sur celle de sa Chany et la serra fortement...

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Jehanne66

Astreria n'eut pas le temps de lui répondre, qu'une femme... euh nan... qu'un homme tout de rose vêtu...

précisa qu'il s'agissait d'un enterrement.
En y regardant de plus près, la soldate crut reconnaitre le Sire qui avait enfumé la chapelle de la Vicomtesse.

Jehanne écarquilla les yeux en l'entendant dire ma mère à Astreria !

Elle avait donc un fils caché ?!?!
Quoique, vu sa tenue, on pouvait comprendre qu'elle n'osait pas en parler...

Arf... un enterrement... point de ripailles après alors...

Pas comme pour la bénédiction de cette chapelle au doux nom de gâteau, où y'avait tout un tas de trucs à boire et à manger !

Voyant la belle Abbesse lui faire de gros yeux, Jehanne entra dans la cathédrale, bien qu'elle ne connaissait pas vraiment le curé de Péronne.

Elle but quelques gorgées du rince-doigts, sachant qu'il n'y aurait rien d'autres à boire après, en passant elle salua Dame Chany qui avait l'air bien tristounette et finit par s'assoir sans faire de bruit.

Jehanne66

Jehanne entendit sonner des cloches au loin, au fur et à mesure qu'elle s'approchait de la cathédrale, elle se demandait bien ce qui pouvait se passer...

A l'entrée du monument, elle se retrouva nez à nez avec la belle abbesse Astreria.

Oh mais c'est vous cette cloche ?!?!
Enfin, c'est vous qui faites ce raffut que j'voulais dire... pardon...

Que se passe-t-il donc ???

Baallrh

Baallrh ne souhaitant pas déranger la cérémonie décidât qu'a partir de maintenant il prierais chez lui.

Yut

Le Père Yut était a Cambrai, pour sa pénitence. En même temps, il pourrait aller aux funérailles du défunt Père Carbonnel, homme qu'il n'avait pas connu, mais qui d'apprès ce qu'on disait était quelqu'un de bon, qui se dévouait à sa paroisse et ses paroissiens. Il était vêtu d'une soutane violette et d'une barette de la même couleur.

Lorsque la cloche sonna, il alla verss la Cathédrale et vit qu'il y avait trois personnes; Mère Astreria, Chany, qui venait d'entrer et une autre dame qu'il avait vu à la Consécration de la Chapelle d'Ytres. Il se dirigea vers la Vicaire Diocésaine.

Bonjour, ma Mère.

Se tournant vers l'autre dame.

Il s'agit des tristes funérailles du défunt Père Carbonnel, Curé de Péronne.

Il entra dans la Cathédrale, avançant vers Chany.

Je peux comprendre votre désarroi, ma fille. Je suis sincèrement désolé pour vous, je sais à quel point le Père Carbonnel comptait pour les Péronnais.
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«Tout homme est disposé à accepter un prix, même pour ce qu’il espère ne jamais avoir à vendre. »

Chany

Les cloches de la cathédrale résonnaient...il était temps!

Chany se dirigea sur la place , gravit les marches de la cathédrale

Bonjour Astreria elle entra , le sentiment de tristesse qu'elle éprouvait depuis plusieurs jours s'estompait peu à peu , mais en pénétrant dans l'édifice , elle dut retenir une nouvelle fois ses larmes.

Qu'il était dure de perdre un ami sans avoir pu lui dire adieu.

Elle se signa et gagna un banc, attendant le début de la cérémonie

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Baallrh

Baal du clan des lrh, pensant à la promesse qu'il avait faite à son ami ce présenta dans la Cathédrale, ce signa , posa un genoux a terre , inclina sa tête vers le sol et ce mis à prier pour qu'une issue pacifique soit trouvé en Flandres.

Aristote,
fais de moi l'instrument de ta paix afin que
Là où est la haine, que je puisse apporter l’amour.
Là où est l’offense, que je puisse apporter le pardon.
Là où est la discorde, que je puisse apporter l’harmonie.
Là où est l’erreur, que je puisse apporter la vérité.
Là où est le doute, que je puisse apporter la foi.
Là où est le désespoir, que je puisse apporter l’espérance.
Là où sont les ténèbres, que je puisse apporter la lumière.
Là où est la tristesse, que je puisse apporter la joie.

Aristote, que je cherche plutôt
à consoler qu’à être consolé,
à comprendre qu’à être compris,
à aimer qu’à être aimé.

Car c’est en se donnant que l’on reçoit,
c’est en s’oubliant que l’on se trouve,
c’est en pardonnant qu’on est pardonné,
c’est en mourant qu’on s’éveille à la vie éternelle.

Astreria

[cérémonie en la mémoire de Carbonnel]

En ce triste jeudi d'aout, la cathédrale avait un petit côté lugubre, il faut dire que les teintures noires dressées pour l'occasion affichaient le futur ton de la cérémonie.

Astreria vérifia que tout était en ordre...eau bénite...missel...banc....tout était prêt. Elle disparut dans la sacristie afin de mettre sa tenue pour les messes.

Quand elle réapparu, elle fit signe au garçon d'église de faire sonner les cloches afin d'appeler les fidèles à ce dernier hommage. Elle ouvrit les lourdes portes de la cathédrale et se posta à l'entrée pour accueillir les gens.

"bienvenue, bienvenue à tous, mes enfants, installez vous "

[hrp : rp ouvert à tous et sur plusieurs jours pour laisser le temps à tous d'intervenir, merci]
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Chany

Citation:

"Bonjour , mon enfant, puis je vous aider ?"

chany dont les larmes inondaient encore les joues releva la tête, lorsqu'elle reconnu Astreria , elle se leva et s essuya d un revers de la main

Astreria que je suis heureuse de te voir! elle inspira une bonne fois pour se calmer et commenca a expliquer a la diaconesse le pourquoi de sa venue

je voudrais une messe Astreria , une messe pour un disparu ..une messe pour le père Carbonnel, sa lèvre trembla en évoquant le nom de son ami

une messe pour que son âme où qu'elle soit puisse gagner Aristot
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Astreria

Astreria écouta Dame Chany...un mort ? des larmes ? de la douleur ? Elle n'avait encore jamais fait ce type de cérémonie mais il y a une fois pour tout. Puis surtout comme on le lui avait appris, une telle demande ne se refusait pas.

Calme-toi Chany. Je ferai cette messe, Carbonnel était quand même un des nôtres, un clerc apprécié.

Nous ferons cela ce jeudi. Je te laisse prévenir tous les amis et famille du défunt.

Allez, va. Je compte sur toi

Lui tapote la main et la pousse vers la sortie afin d'aller de son côté pour tout organiser.
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Yut

Le Père Yut devait prendre le chemin de Cambrai pour ses actes, qu'il qualifiait lui-même de turpides. Lorsqu'il arriva dans la ville, tard le soir, il alla dans une auberge, fatigué. Le lendemain matin, il se décida à faire sa pénitence. Il devait traverser l'ensemble de la ville pour se rendre à la Cathédrale. Il avait trouvé que Monseigneur Adso avait été assez clément, plus que la juge en tout cas. Il se rendit au bout de la la ville opposé à la Cathédrale, puis se mit à genou. Il commença à traverser la ville, toujours à genou. Première intersection quelques minutes plus tard... À genou, on n'avance pas vite... Il se prosterna , et demanda pardon au Très-Haut. Sa demande de pardon lui avait pris beaucoup de temps, en même temps ce n'était que la première. Il se disait que s'il continuait comme cela, ça lui prendrerait toute la journée. C'est gros Cambrai... À la deuxième intersection, il se prosterna, demanda pardon à Dieu, mais cela pris moins longtemps que la première fois. Quelques heures plus tard, il voyait l'immense Cathédrale de Cambrai, très proche de lui. Il se prosterna devant la dernière intersection avant d'arriver sur la rue de la Cathédrale de Cambrai. Enfin devant la gigantesque Cathédrale de l'Archevêché, il se prosterna, demandant pardon au Très-Haut durant de longues minutes. Ses genous lui faisaient excessivement mal et sa soutane était déchiré et toute sale... Il se disait: ''une chance que j'ai apporté plusieurs vêtements, je n'irai pas aux funérailles de Carbonnel dans une pareil tenue...''. Il entra dans la Cathédrale, se rendit devant l'autel, se laissa tomber, dut à la fatigue, puis, fit une prière de repentir durant plus de trente minutes. Il sortit finalement de la Cathédrale et se rendit en l'Auberge, pour prendre du repos, se laver et se changer.
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«Tout homme est disposé à accepter un prix, même pour ce qu’il espère ne jamais avoir à vendre. »

Astreria

Astreria était dans un petit bureau au fin fond de la cathédrale, Dieu seul sait ce qu'elle y faisait et si cela était très vertueux. Elle entendit le hurlement de Chany et en tomba de sa chaise.

" Maiis ... et mes fesses parfaites alors !! " , songea-t-elle. "Rien de casser, ouf, allons voir la cause de se remue-ménage."

Elle entra à pas de loup dans l'église et vue Chany en larmes. L'abbesse resta en retrait, hésitante, elle avait horreur des larmes, ça faisait des taches.

Elle prit une profonde inspiration, quand il faut y aller...et s'approcha de la dame en détresse

"Bonjour , mon enfant, puis je vous aider ?"
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Tisoon

Bon, je suis désolé de vous annoncer cela, mais je préfère clore de suite cette cérémonie.

D'un, parce que moi en tant que joueur ça commençait un peu beaucoup à me saouler d'attendre, c'est un jeu et pas envie de me pourrir le plaisir de jouer.
De deux, vous, ça n'avait pas trop l'air de vous emballer non plus, donc bon, ça ne fait que des heureux. Qui plus est que si on incitait les joueurs du Conseil à se bouger le c**, ce n'est pas comme ça qu'on aurait fait un bon RP

.

Et du coup voilà, j'en suis désolé, mais je vous souhaite en tout cas bonne continuation.

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Amicalement Tisoon

Chany

Chany entra dans la cathédrale , les yeux rougis par les larmes ...

Elle chercha un prêtre ..un diacre ..une diaconesse ..peut lui importait elle voulait voir un représentant d Aristot, il le fallait !!!

Elle se signa et avança dans l allée centrale droit vers la sacristie

elle chercha dans tout l édifice ...rien ..personne

PAR TOUT LES SAINTS D ARTOIS IL N Y A PERSONNE EN CE LIEU?

elle avait cru penser cette phrase mais elle l avait crier ...crier aussi fort que cette peine qu elle ressentait et qui l amenait ici aujourd hui

elle s'agenouilla devant l autel , priant pour celui qui venait de disparaitre, implorant Aristot de lui envoyé un prêtre ..les larmes roulant sur ses joues...
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Maeva83

Toujours dans l'auberge non loin de la cathédrale

Oui, oui, allons-y, le temps presse!

Maé saisit au vol les braies de Bayard qui trônaient encore sur le dossier d'une chaise...

Vos braies mon ange, vos braies!

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Guiguiseg

Comme on le lui avait demandé, Guigui se rendit à la cathédrale pour assister au couronnement de la Comtesse et à la bénédiction de son Conseil. Paré de ses plus beaux vêtements, il pénétra à l'intérieur du sanctuaire et aperçut Erwyn et Nanuccio présents non loin de l'autel. Il avança donc jusqu'à leur hauteur, les salua d'un signe discret et alla s'assoir au premier rang, réservé pour l'occasion aux membres du Haut-Conseil. En attendant le début de la cérémonie, il regardait de part et d'autre, tentant d'apercevoir des visages connus...

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Conseiller Maritime et Maire d'Amiens

Lordromi

Lord entra à l'intérieur de la cathédrale pour assister au couronnement de la nouvelle Comtesse, Erwyndyll. Il s'était vêtu de ses plus beaux atours. En marchant entre les rangs, il vit au niveau de l'autel Nanuccio, et la nouvelle Comtesse. Puis continuant à s'approcher, il vit Guiguiseg installé au premier rang. Il s'assit à côté de lui, en silence...

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Chevalier_bayard

Ils sortirent donc de l'auberge, Bayard au bras de sa belle Maé, et avec ses braies!, et ne prenant même pas le temps de s'en jeter un dernier avant d'aller à la cathédrale, ils traversèrent la place, dégagèrent un nain mendiant (encore une des combines de Smurf pour faire augmenter sa fortune les nains qui mendient à la sortie des églises...), traversèrent le parvis, saluant l'un ou l'autre qu'ils connaissaient, avant d'entrer dans la cathédrale.

Finalement, Bayard n'eut même pas le temps de se dire que c'est la première fois qu'il rentrait convenablement dans une église ou cathédrale avec Maé, qu'un page en livraie aux couleurs de la Vicomtesse et Comtesse Erwyndyll vint discrètement l'avertir qu'il devait aller s'asseoir au premier rang. Arf, devant tout le monde, au premier rang...

Regard plein d'encouragement de Maé, un dernier baiser sur sa jolie mimine, et les voilà séparés. Bayard dût suivre le page jusqu'a l'avant de la cathédrale, ou la Comtesse était assise à côté de Nanuccio. Il vit aussi Guiguiseg et Lordromi déjà assis au premier rang. Bon, il s'avança, salua la Comtesse de la tête et d'un franc sourire, salua Guigi et Romi, et s'assit à côté de ce dernier.
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Jj64

Alors que Jj venait de finir de s'occuper de sa petite faustine elle se rappella soudain qu' il fallait qu' elle se rende à la cathédrale et au plus vite ...elle laissa donc ,a contre coeur , la petite à son père puis prit le chemin de la cathédrale ...

une fois arrivée la jolie blonde rentra dans la cathédrale à bout de souffle ... un p'ti coup d' oeil pour voir qui était présent ...Arf zut fallait se mettre au premier rang

...elle s' avanca jusqu' aux banc ,salua les personnes qu'elle connaissait ...inclinement de la tête vers la comtesse accompagner d 'un beau sourire .... et enfin la blonde posa ses fesses sur le banc pas franchement confortable ...elle attendie le début de la cérémonie en silence ...

Elena7

[Dans une auberge, entre houppelandes, chiffons, hardes, guenilles et tout le toutim]

Une silhouette élancée, une main qui s'engouffre dans une chevelure corbeau dans le but de la dompter, des prunelles qui zieutent d'un regard critique un reflet, et pas n'importe lequel, son reflet. La Dame, installée sur un siège devant un miroir, était face à un dilemme. Le dilemme des cheveux. Quelle femme n'a jamais passé deux heures et des heures à se coiffer ou à tenter de trouver une coiffure potable qui conviendrait le mieux à un événement précis? Et quel événement, le couronnement de sa mère ! D'ailleurs, en ce qui concerne cette cérémonie, y avait-il une coiffure particulière ? Plusieurs choix s'imposaient à elle, et bien évidemment, l'ignorance sillonnait son être. Choix number one : Laisser sa chevelure à l'air libre. Réponse négative, manquerait plus qu'elle se retrouve avec un nid sur la tête à cause du voyage en direction de la cathédrale. Choix number two : Le chignon. Ah le légendaire chignon, celui qui donne un air strict, cruel et sans pitié. Ce choix aurait pu éventuellement lui convenir si elle se rendait dans son tribunal, sauf que là, bah c'tait pas le cas. Last choix : La tresse. A la fois simple et sophistiquée, pourquoi pas. Va pour la Natte ! Pour sa toilette, et malgré le fait que ceci puisse paraitre cocasse, elle n'avait guère pris beaucoup de temps à la choisir. Comme quoi, les femmes ne sont pas toujours longues. D'un tissu Bleu Roy s'accordant avec les fils entremêlés dans ses cheveux noirs, la robe épousait avec élégance ses courbes. Mouais, pas trop mal sur ce coup, ca changeait de sa tenue de Juriste terne, austère, poussiéreuse, et miteuse.

Un Ding Ding, Dong Dong insupportable.
Complétement aux aguets, elle tendit l'oreille, et fronça son nez. Qui pouvait bien faire un vacarme pareil ? Les bouffons n'étaient point de sortie pourtant. De nouveau, le même son qui se répercutait contre les murs de sa chambrée. Fichtre ! Elle se souvint une fraction de secondes plus tard que c'était le signal de l'église, le clocher. Elle allait être en retard. Groumpf ! 'fin bon, elle avait l'habitude après tout, on change pas une équipe qui gagne, même si aujourd'hui, elle aurait préféré arriver à l'heure. Dernier petit regard qui encercle les alentours, et hop, elle mangea les quelques pas la séparant de sa porte afin de sauter illico presto dans son coche.

[Arrivée dans la Cathédrale, mieux vaut tard que jamais pardi ! ]

Sa portière s'ouvrit, et elle sauta à terre.
Groumpf, elle grimaça légèrement en constatant qu'elle n'était vraiment mais vraiment pas en avance. D'une démarche rapide, elle s'avança en direction de la Cathédrale imposante d'Arras, et monta les quelques marches la séparant de l'embrasure. Lorsqu'elle pénétra à l'intérieur, la froideur des lieux la frappa de plein fouet, et un frison fit vibrer son échine. Fichtre, elle espérait que la cérémonie ne s'éterniserait point sinon elle deviendrait un véritable bloc de glace. Un regard circulaire lui apprit que les lieux avaient été joliment décorés, et que certains Haut Conseillers étaient déjà présents. Elle remonta donc l'allée centrale, n'aimant guère l'idée d'être placée à l'avant et surtout d'être seule en cette journée. Seule, sans cavalier. Une nouvelle grimace naquit sur ses lèvres, mimique qu'elle ravala lorsqu'elle arriva près des Conseillers. D'un léger sourire, elle salua JJ, Romi, Guigui, Nanuccio, Bayard ainsi que Maeva qu'elle prit plaisir à voir, tourna ses mirettes vers sa Comtesse de Môman qu'elle salua également pour ne pas faire de jaloux, et termina par les membres religieux. Les salutations faites, elle s'installa près de JJ et des autres conseillers, tout en zieutant les alentours. La patience n'était pas son fort, et elle savait que, jusqu'au moment où elle quitterait les lieux, son séant crierait de douleur. Quelle aubaine !
Subtilement, elle se pencha vers la Procureur, et lui chuchota d'une voix basse ponctuée d'une légère touche d'espièglerie.

Si la cérémonie s'éternise, j'ai apporté un p'tit remontant.

Afin s'accompagner ses paroles, elle tapota une poche dérobée de sa robe terrant une fiole de Bourgogne. Bah quoi ? Personne était obligé de savoir la nature du liquide, surtout pas les ecclésiastiques.
Sourire angélique pour souligner son innocence.
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« Peu importe l’étroitesse de la porte ou les punitions qui défilent. Je suis le maître de mon destin. Je suis le capitaine de mon âme. »

Erwyndyll

Adjugé !

Allons y donc...

Elle se positionna derrière lui pour le suivre jusqu'à l'avant de la cathédrale...repensant à la dernière fois où elle avait parcouru cette allée avec celui qui allait devenir son époux...
Il aurait du être là... enfin bon...Hop ! On repasse en mode concentration sur la cérémonie et on sourit à la populace en présence !

Chevalier_bayard

Toujours dans l'auberge non loin de la cathédrale

Heureusement que Maé était là, près de lui! Sinon il se serait retrouver cul nu et le col mal mis à la cérémonie, ce qui - avouons-le - aurait enlevé un brin de dignité à ladite cérémonie...

Déjà toute prête, elle l'embrassa tendrement, ce qui avait toujours cette effet apaisant, magique, qui lui rendait sa bonne humeur, et l'excitait aussi... arf, non pas maintenant, c'est pas le moment... Il attrapa son mantel noir et... Maé attira son attention sur ses joues... zut, oui, il avait passé la phase rasage... fichtre! Ils seront comme d'habitude "presque pas en retard"! Tant pis, pas de savon, il le ferait au couteau vite fait, ce sera pas impeccable, mais il ne ressemblera au moins plus à un oursin du port de Calais... Heureusement que son passé de soldat lui avait donné l'expérience de ce genre de rasage vite fait et à sec...

Maeva83 a écrit:

Je vous trouve un brin tête en l'air et un peu dissipé ce matin, seriez vous soucieux de quelque chose dont vous ne m'avez parlé?

C'est le bébé qui vous tourmente?

Il regarda Maé avec beaucoup de tendresse, de l'amour plein les yeux. Il lâcha son couteau pour l'embrasser, passant doucement sa main sous son vêtement, sur son ventre...

Ah mon Ange, le bébé ne me tourmente point. Il me rend si heureux... mais je suis un peu inquiet pour vous, toute cette maçonnerie à Calais, je vois bien que vous êtes fatiguée. En plus nos responsabilités nous tiennent éloignés l'un de l'autre parfois plus d'une journée... c'est dur... une minute loin de vous et je dépérit. A la fin de ce mandat, je raccroche, et je m'occupe de vous!

Sourire amoureux, long baiser, on entend les cloches de la cathédrale sonner... plein de romantisme tout ça...

...

Les cloches de la cathédrale qui sonnent ???

...

Cela veut dire que la Comtesse faisait son entrée dans la cathédrale... Foutredieu!

Mon Ange, je crois que ça y est, on est "presque pas en retard"! On z'y va ?

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Chevalier_bayard

Dans une auberge non loin de la cathédrale

Aidé par Maé, Bayard se préparait pour la cérémonie. Il était un peu plus nerveux que d'habitude, déjà il fréquentait plus trop les églises depuis un certain temps... et puis il se posait plein de questions:

Devait-il rapporter l'auréole à demi calcinée suite à son dernier passage en la cathédrale ? Peut être valait-il mieux oublier l'événement ? Il n'avait point briller dans ses chants d'enfant de choeur...

Devait-il prendre son épée avec ? Comme il était un peu énervé, c'était dangereux. Il suffirait d'une réflexion, du père Yut par exemple, pour que la bénédiction se fasse avec du sang plutôt qu'avec de l'eau...

Devait-il mettre son mantel bleu ou son noir ?

Que de questions sans réponses...

Finalement, le regard implorant (style chat potté), il se tourna vers sa belle...

Tu viens avec moi, hein ? Tu me laisses pas seul ?

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Yut

Peu de choses pouvait faire changer la bonne humeur du Nonce Apostolique. Il répodit sur un ton cordial:

Hmm... de quoi d'autre veux-tu que je parle en attedant l'arrivé du Conseil? Et puis, ma lettre st d'une très grande importance.
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«Tout homme est disposé à accepter un prix, même pour ce qu’il espère ne jamais avoir à vendre. »

Tisoon

-Eh bien de la pluie et du beau temps. Cette cérémonie et le moment consacré sont au Conseil, remettons à plus tard les questions sérieuses servant l'avenir de l'Artois et de Dieu.

Considérons ce moment comme un moment de... détente? Il faut savoir souffler parfois.

Kaioh était heureux, il souriait

et puis il n'avait pas eu l'occasion auparavant d'officier pour une cérémonie aussi importante.
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Amicalement Tisoon

Yut

Il sourit à Kaioh.

Oui, tu as raison, oublions le travail pour l'instant

.
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«Tout homme est disposé à accepter un prix, même pour ce qu’il espère ne jamais avoir à vendre. »

Erwyndyll

Kaioh a écrit:

-Le Conseil vous suit-il? Normalement tout devrait bien se passer, normalement...

Le conseil suit Monseigneur ! Soyez en certains et tous se réjouissent à l'idée de pouvoir assister à cet office !

Elle se pencha a son oreille pour murmurer.

Je suis complètement néophyte dans ce genre de cérémonie... si je fais mal quoi que ce soit, n'hésitez pas à me pincer...

Tisoon

Il lui répondit à basse voie :

-Oh mais je n'oserais pas, surtout pas! Je suis d'ailleurs plus adepte du coup de bâton... gentillet bien entendu. Mais si cela peut vous rassurer, je ne suis pas non plus expert en la matière.

Mais reprenant un ton normal :

-Mais j'ai eu un bon vicaire pour me donner des "cours" en accéléré sur le sujet. Et puis si vous faites une bêtise, je ferais en sorte qu'elle ne se voit pas et j'adapterais selon.

Il sourit

alors, amusé.
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Amicalement Tisoon

Maeva83

Dans une auberge non loin de la cathédrale

Mais bien sûr mon ange, que je vous accompagne! Seulement je ne pourrais rester à vos côtés pour la bénédiction, mais je ne serai pas loin rassurez vous!

Mais cessez donc de remuer comme une puce, j'arrive pas à vous mettre votre col en place crénon!

Pour votre mantel, mettez le noir, il est bien plus élégant, laissez moi vous le boutonner, et arrêtez de gigoter comme un asticot!

Vos braies Bayard! Vous avez oubliez de mettre vos braies! Vous n'allez pas sortir comme ça tout de même!

Maé lui sourit avant de l'embrasser tendrement pour le détendre et de poursuivre ses efforts pour finir de l'aider à se préparer.

Dites moi mon amour, votre lame serait elle émoussée? Où faites vous concurrence aux oursins que l'on trouve à marée basse dans le port de Calais? Si vous avez encore l'intention de vous raser, il faudrait vous hâter, sans quoi une fois de plus nous serons "presque pas en retard"! Je vous trouve un brin tête en l'air et un peu dissipé ce matin, seriez vous soucieux de quelque chose dont vous ne m'avez parlé?

C'est le bébé qui vous tourmente?

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Erwyndyll

Nous disions donc... une comtesse très très très en retard ! Chose courante pour Erwyn mais au moins cette fois elle avait comme excuse la tonne de travail qu'elle avait a faire et surtout le fait que se dandiner - car à 7 mois de grossesse quasiment l'on pouvait bien parler de se dandiner - n'était pas très rapide pour avancer...
Bref, c'est une comtesse essoufflée (mais qui tentait de le cacher) et préoccupée qui s'avança rapidement... distribuant sourires et hochements de tête à toutes les personnes présentes qui s'avança.
Une première pour elle vu que jamais encore, malgré ses deux mandats précédents, elle n'avait pu faire ça...
Bref, un peu d'anxiété se rajouta encore mais ô les coeurs et advienne que pourra !

Tisoon

La Comtesse venait de faire son entrée dans la cathédrale, ses yeux lui faisant parfois défaut, il avait du mal à voir pourquoi elle se dandinait tant, et c'est lorsqu'elle se rapprocha qu'il vit qu'elle était enceinte et ce depuis un certains temps, sans nul doute, maintenant. Il sourit

à cette vue du miracle de la vie.

Il lui demanda alors :

-Le Conseil vous suit-il? Normalement tout devrait bien se passer, normalement...
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Amicalement Tisoon

Yut

Yut se leva et alla voir la Comtesse.

Il posa deux questions, sur un ton chaleureux, cela changait bien de son habitude:

Avez-vous reçu ma lettre?

Nanuccio a-t-il fait part de mes demandes au Haut Conseil?
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«Tout homme est disposé à accepter un prix, même pour ce qu’il espère ne jamais avoir à vendre. »

Nanuccio

Nanuccio poussota le père Yut avec son coude puis lui dit :

Cher confrère, Je pense que ce n'est pas le moment d'en parler !!!

Yut

Le Père Yut entra dans la Cathédrale un peu trop tard à son gout. Il salua l'Évêque, qu'il avait aidé pour l'organisation de la cérémonie. Il avait un sourire radieux et était de très bonne humeur, contrairement à ses regards froids, son ton sec et cassant et son humeur furibonde de l'habitude. Il était vêtu d'une soutane violette. Il portait une barette de la même couleur

Il prit place dans un fauteuil à côté de l'Autel.
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«Tout homme est disposé à accepter un prix, même pour ce qu’il espère ne jamais avoir à vendre. »

Nanuccio

Le père Nanuccio arriva dans la cathédrale, en entrant, il remarqua son confrère qui était entrain de se mettre à coté de l'autel.
Le curé leva la tête et salua Monseigneur Kaioh qui était dans sa préparation.
Accompagné de ses deux chérubins, ils prirent place au coté du vicaire

Yut

[Juste petit probleme. Nanuccio il s'assoit pas à côté de l'Autel, parce qu'il va recevoir la bénédiction, étant du Conseil...]
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«Tout homme est disposé à accepter un prix, même pour ce qu’il espère ne jamais avoir à vendre. »

Catouline

Tous était sorti, Catouline avait bien rit de voir les pitreries de Bayard et sa douce, elle était loin de le connaitre sous cet angle, elle pensa que décidément l'Artois rend les gens plus heureux ... elle avait crier avec les autres vive les mariés et les félicitations d'usage quel beau mariage et Odas et Merdita sont les plus beaux mariés

Elle sort de sa cachette après tous ...
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Catouline

Tisoon

Monseigneur Kaioh de Beauvais arriva en Artois. Après avoir gardé la couche durant deux jours suite à son voyage et les problèmes qui s'ensuivirent, il se dirigea vers la grande et belle cathédrale de Cambrai.

Il y entra, donna des ordres aux commis pour faire le grand ménage et préparer le magnifique édifice à la gloire du Très-Haut.

Bien entendu il ne s'était pas déplacé pour n'importe quelle occasion, c'est à la demande de la Comtesse Erwyndyll qu'il avait fait le voyage, en l'absence d'un remplaçant pour l'archevêché de Cambrai. En ce jour allait être couronnée la Comtesse d'Artois et béni le Conseil Comtal.

Il s'était mis de ses plus beaux atours pour cette occasion, portant la mitre et le chasuble.

Quand à l'autel, il refléter bien la magnificience des lieux, à n'en point douter.

Deux heures plus tard, tout était définitivemnt prêt, il fit alors sonner les lourdes, grosses et résonnantes cloches de la cathédrâle afin d'indiquer le commencement de la cérémonie pour les fidèles et Artésien(ne)s, mais également pour indiquer au Conseil Comtal que la bénédiction allait avoir lieu et que le Très-Haut resterait à leur côté, Aristote leur prodiguant conseils judicieux et Christos un travail plein de vertu et d'amour.

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Amicalement Tisoon

Darkdragonlord

Le prêtre avait observé la scène un peu loufoque, il se dit se dit que le chevalier avait déjà eu sa leçon et qu'il était inutile de lui tirer l'autre oreille, ce qui lui aurait été facile avec ses nombreuses années comme forgeron, mais il se disait qu'il y aurait peut-être un autre mariage plus tard. Il sourit.

Il alla libérer le pauvre chat de sa situation.

Jolan

Euh... oui Brune, c'est ça, c'est ce que je voulais dire. Il agitait ses bras tout en expliquant. C'était pour voir si tu me suivais! J'essaierai de ne pas écorcher le nom de la maitresse des lieux donc.

Il regardait en même temps autour de lui. Ni trace d'Izeliah, ni de Bique qui avait disparu dans la foule. Le jeune homme se gratta légèrement le crâne, puis suivit la jeune femme qui s'en allait vers un coche.

Je ne les vois pas, tant pis, monte. J'ai pas envie d'arriver en retard, et je suis sur qu'on va arriver après elles, elles sont surement dans un autre coche.

Mais alors qu'il regardait d'un œil amusé la voiture les conduisant au domaine d'Oblinghem, il se souvint de cette idée de rester sur le marche pied. Bah... juste pour faire le con... Il pousse gentiment Fréné d'une main dans son dos pour lui indiquer de monter.

A toi l'honneur!

Mais avant qu'il puisse monter dans le coche, Jolan prend soin de crier au cocher de partir. Juste le temps de monter sur le marche pied, et tenant la porte à deux mains, le jeune homme resta ainsi debout, saluant les artésiens en enlevant un chapeau imaginaire de sa tête.

VIVE LES MARIÉS!!!

Et c'est hilare qu'il voyagea ainsi pendant le trajet les menant au domaine d'Oblinghem.

Maeva83

Courir mon ange?

et le porté de princesse, vous savez, la romance, l'enlèvement, les feux de l'amour quoi?

Vous voulez me faire courir comme une gueuse alors qu'il y a moins d'une heure vous me laissiez entrevoir mille autres possibilités? Vous étiez prêt à vous immoler par amour!

Elle n'eut pas fini de tergiverser, que le chevalier un brin exaspéré par tant de parlote, la souleva comme un fétu de paille pour l'enlever et la porter jusqu'aux ripailles.
Le chat, quand à lui, frottait de plus en plus fort ses pattes sur les pavés, en espérant les dégager des brosses que Bayard lui avait attaché.

Satisfaite de sa manœuvre, Maé déposa un doux baiser sur les lèvres du chevalier et se laissa bercer au creux de ses bras dans sa course folle...

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Chevalier_bayard

Il récurait le baptistère lorsque des miettes apparurent là où il venait de frotter... Gné ? Tépapotib ça! Il suit du regard les nouvelles miettes venant d'apparaître, remontant à leur source. Maé! Il l'écoutait, les yeux brillants d'amour et un sourire aux lèvres,... mais une phrase le fit revenir sur terre...

Maeva83 a écrit:

Vous avez un plan "B" maintenant pour assister aux ripailles? Je veux pas vous mettre la pression, mais vous avez vu la taille du batis truc, au rythme où vous avancez, nous ne sommes pas prêts de les rejoindre, et j'ai même pas eu le temps de féliciter les jeunes mariés

Mmmm z'avez raison mon Ange, faut passer au plan B si on veut arriver presque-pas en retard aux noces!

Bon, restait plus qu'à... trouver un plan B! Le père Dark ou le moine laissé de faction, Bayard n'avait pu voir qui le surveillait, vaquait à ses occupations, pas loin, et lorsque le chevalier s'arrêtait de frotter, il n'y avait plus de bruit, et on venait voir ce qui se passait... Comment tromper sa vigilance ? Pense, pense, pense, Bayou...

Soudain un bruit vint le distraire dans ses intenses cogitations... un léger miaulement...

Un chat avait profité du flot des allers et venues dans la cathédrale pour entrer. Ou alors était-ce le chat d'un des moines ou chanoines, qui était là pour chasser les souris. Faut dire que c'était utile un chat dans un tel endroit... utile... chat... le regard du félin et du chevalier se croisèrent...

Mon Ange, bougez pas, j'ai un plan B! Pitit, pitit, viens voir tonton Bayou pitit chat...

Innocent de la cruauté du monde des hommes, le chat s'approcha près du baptistère... d'un mouvement vif et sec dont seul lui avait le secret (

), le chevalier laissa ses brosses, attrapa le chat et redisparut dans le baptistère... quelques miaulement et "chuuuuuut" plus tard, le chevalier sortit d'un bond classieux dudit baptistère, ce qui souleva la robe de noël et montra ce qu'elle aurait du cacher mais soit... atterrissant aux côtés de sa belle... alors que le bruit de brosse continuait à se faire entendre dans la cathédrale...

Le chevalier avait ingénieusement attaché les brosses aux pattes du chat, qui en essayant de sortir du baptistère, faisait le bruit comme si on récurait la pierre... génial, non ?

Venez, mon Ange, ne trainons pas ici, lorsque le chat commencera à miauler, le surveillant va ramener sa fraise! Courons hors d'ici, et rejoignons le banquet des mariés!

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Damefrenegonde

Après les voeux et les accolades, la foule commenca à se disperser.
Fréné toujours sur le parvis, guettait des visages familiers afin de se rendre au domaine de Brune où la fête devait avoir lieu.
Ayant pris connaissance de l'itinaire, elle laissa la marraine d'Odas partir en premier avec deux jeunes femmes pour prendre la prochaine coche.
Alors qu'elle essayait de remettre en place les pans de sa robe qui s'envolaient sous la brise légère, une voix familière attira son attention.

Fréné! Fréné!!

Tournant la tête pour chercher du regard la personne qui l'interpellait ele vit arriver en trombes son petit protégé.
Prenant une mine faussement contrariée, car le jeune damoiseau en question l'avait laissé seule alors qu'il lui avait fait une promesse, elle s'adressa à lui.

"Tiens Jolan...
Je dois dire que je ne m'attendais pas à te voir...
T'ayant chercher désespérement pendant l'office pour trouver un soutien...Me suis retrouvée bien bredouille..."

Mais il ne prêta guère d'attentionà ces remarques tant il était excité par le déroulement de la journée.
Levant les yeux au ciel en signe de résignation elle lui répondit

"Oui oui je connais le domaine d'Oblinghem, j'ai bien noté le trajet."

Puis à l'entente du prénom écorché de Brune, la Péronnaise éclata de rire en secouant la tête

"Brune mon Jolan pas Prune pfff....
Bien penses y car la maitresse des lieux risque de ne pas apprécier que l'on ne retienne pas son nom."

Petit clin d'oeil complice au jeune homme

"Bon je vois une coche arriver, Ize et Bique arrivent?
J'aimerai pouvoir la prendre pour arriver en même temps que les mariés."

Elle attendit une réponse de son compagnon de route avant de se rendre près du moyen de locomotion.

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Jolan

Jolan avait assisté à toute la scène, léger sourire aux lèvres, content de voir deux amis si heureux. Scène émouvante que celle du baiser, mais Jolan ne pleurait plus depuis la mort de sa mère. Non pas qu'il fut insensible, mais juste qu'il sentait qu'il avait bien trop pleuré ces derniers temps, et qu'il avait épuisé la réserve de larmes qu'il avait en lui pour plusieurs années encore. Ce n'était donc certes pas un mariage qui allait lui arraché quelques gouttes d'eau salée.

Ouai, VIVE LES MARIÉS!!!

Il avait crié avec allégresse, avec tous les autres artésiens. Ah que cela faisait plaisir de retrouver une vie joyeuse comme cela avait été le cas prés de ses parents. Il se leva en même temps que Bique, et la perdit rapidement dans la foule qui sortait de l'église. Même pas une seule occasion d'approcher Odas et Merdita, entourés comme ils étaient. Il ne savait qu'une chose: qu'ils leur fallaient se rendre chez une dame qu'il ne connaissait pas du tout. Brune, dame d'O... Oblugenn? Abligem?

Bah... un truc dans le genre, pensa-t-il. Il rechercha alors des yeux celle à qui il avait également promis de venir, et promis de voir. Difficile dans cette cohue, mais le jeune homme avait de bons yeux. Et en se postant devant les portes d'église, respirant une bouffée d'air frais au passage, il put la repérer.

Fréné! Fréné!!

Il accompagna ses cris de grands signes de la main afin qu'elle puisse tourner les yeux dans sa direction.

T'as vu? Je suis venu! Bon, un peu en retard, mais fallait pas croire que j'allais louper le mariage d'Odas et Merdita! Dit, tu sais où c'est le domaine d'Obmachin? Le truc de Romblay? Où habite dame Prune! Parce que moi je sais pas, et comme j'ai pas pu te voir à l'église, je me disais qu'on pourrait y aller ensemble avec Zaza et Bique si j'arrive à lui mettre la main dessus! Non?

Les coches arrivaient d'un peu partout. Jolan n'en avait jamais utilisé, mais il s'imaginait bien courant derrière pour attraper le marche pied en plein vol et s'accrochant à la portière, cheveux au vent, éblouissant ces dames!

Hidatsa

Perdue au milieu de la foule, Hida ne savait plus trop que faire ni où aller pour les festivités. C'est alors qu'une voix se fit entendre proposant de les conduire au lieu des réjouissances.

Dame, nous voulons bien profiter de votre invitation. Ne connaissant pas les environs, mon cocher aurait bien du mal à trouver ! D'habitude, je me laisse mener par mon époux...une moue sur son visage, regardant derrière elle comme si elle espérait le voir apparaitre.

Au fait, je me présente, je suis Hidatsa Breydel, appelez-moi Hida ! Je suis une vieille amie d'Odas.

Lui souriant, elle prit sa fille dans ses bras, l'embrassa sur la joue, prêtes à monter dans le coche.

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Brunehautdartois

Deux dames s'approchèrent, la première Brune l'avait déjà croisée à Arras ainsi qu'à Cambrai, quant à la seconde, elle était ravie d'enfin la rencontrer.

Bonjour Muirgheal, c'est un plaisir que de vous voir ici et de pouvoir vous emmener, je vous en prie prenez place.

Puis s'avançant vers l'autre dame, elle lui rendit son sourire.

Enchantée Hida, je suis Brunehaut, une amie egalement de notre cher Odas, et sa marraine egalement, il m'a beaucoup parlé de vous, je suis vraiment ravie de pouvoir vous rencontrer, venez je vous prie, prenez place egalement nous aurons ainsi le temps de faire connaissance sur le chemin.

Regardant l'enfant dans les bras de sa mère.

Vous avez là une enfant ravissante, Toinette ma femme de chambre pourra s'en occuper une fois à Romblay, elle a l'habitude de prendre soins de Maurin.

Elle lança un regard vers Odas lui faisant comprendre qu'elle partait, puis monta à la suite des deux dames.
Le cocher fit claquer son fouet et prit enfin la route vers Oblinghem, alors que les dames pendant le voyage en profitèrent pour discuter et faire plus ample connaissance, l'une raconta son périple pour venir depuis l'Armagnac, tandis que les autres eurent les yeux qui pétillèrent à la simple évocation du nom de ce comté qui était tout autant réputé pour le breuvage du même nom....Le voyage ne fut pas triste bien au contraire, Muirgheal avait un sens tout particulier de la dérision, Hida et Brune ne cessèrent de rire pendant toute la durée du trajet...
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Muirgheal

Moi ,dame Brune, je suis Muirgheal et veux bien partir avec vous.

Elle se souvenait des explications fournies par cette dernière et avait gardé sur elle le message reçu indiquant le chemin du chateau de Romblay.
Elle pensait éventuellement à se rendre utile là bas si le besoin était .

Brunehautdartois

Odas avait lancé l'ordre de départ, les troupes etaient prêtes...heu la file de coches plutot.
Brunehaut devança les mariés et s'installa dans celui de tête, il lui fallait arriver légèrement avant les invités, pour tout au moins vérifier que tout était prêt et en digne hôté de Romblay accueillir la foule qui s'y presserait.
Elle lança un regard parmi ceux qui se trouvaient sur le parvis, et lança à la cantonnade à qui voulait prendre place avec elle.

Des personnes veulent elles que je les emmene, sinon un nombre de coches est suffisemment prévu pour les retardataires.
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Nefi

la cérémonie avait été magnifique et c'est avec émotion qu'elle l'avait suivit, se frayant un passage vers la sorti elle parvient tant bien que mal a s'approcher des jeunes mariés.

odas, merdita,
c'est une grande joie de vous voir si heureux. puisse votre bonheur toujours rayonner comme en cette instant magique.
vous avez toute les clés de votre bonheur ne les perdez surtout pas.

elle les bisouilla tout deux chaleureusement avant de laisser la place aux autres personnes qui dejà la bousculaient.
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Auberge Amoreta

Muirgheal

Encor un remerciement d'Odas, celà faisait .... plaisir.Eh bien y savait bisouiller normal sans baver partout le Sieur!
Elle l'embrassa généreusement à son tour et lui glisse à l'oreille:

Je vous détaillerai plus tard, c'est une décoction après macération,distillation d'alcool de pommes. S'appelle Lambig,vient du Penn ar Bed........ma région d'origine.

Elle les félicita pour cette fabuleuse et émouvante cérémonie,leur souhaitant un bonheur sans limite.

Maeva83

Assise par terre contre le mur du bati struc, Maé regardait son amour de chevalier récurer les pavés sous l'œil attentif du père Dark...

Elle jetait quelques miettes de son gouter dans sa direction pour attirer son attention...

Pssst Bayard, je savais que vous bruliez d'amour pour moi, mais j'ignorais qu'il était possible de s'enflammer de la sorte

Décidément vous ne reculez vraiment devant rien pour m'épater et me séduire d'avantage chaque jour. Vous avez bien failli me faire mourir de rire!

Jouant avec ses cheveux, la mine un peu tristounette...

J'ai adoré le passage où vous me portiez dans vos bras pour me sauver la vie avant de me faire flamber, c'était super héroïque, romantique, inédit...

On aurait presque pu lire demain dans la gazette, le chevalier Bayard enflammé pour sa belle brulait de mille feux pour entretenir la flamme qui brille dans ses yeux...

Avec en titre "Les feux de l'amour" Pas banal le jour des noces de nos amis, vous êtes vraiment loin d'être à court d'idée pour me séduire mon ange^^

Vous avez un plan "B" maintenant pour assister aux ripailles? Je veux pas vous mettre la pression, mais vous avez vu la taille du batis truc, au rythme où vous avancez, nous ne sommes pas prêts de les rejoindre, et j'ai même pas eu le temps de féliciter les jeunes mariés

Dites? C'était des vraies larmes que vous avez essuyé sur la collerette de l'enfant d'cœur?

Vous m'avez émue!

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Chevalier_bayard

Boudiou l'était fort le père Dark! N'importe qui d'autre qui aurait ainsi prit l'oreille du chevalier, Seigneur de Flobecq et encore un petit peu Baron de Rubroëk quand même, aurait vu sa main tranchée gisant au sol, animée de petits mouvements nerveux... mais on ne frappe point un homme d'église, encore plus quand il est dans son droit... et puis Bayard avait laissé son épée à la maison, alors... De toute façon Maé avait réussit à s'échapper, c'était le principal pour lui... son plan avait réussit !

Occupé à récuré le fonds du baptistère, il dit encore de sa voix forte

Félicitation aux mariés! Vive les mariés!

Il ne pouvait voir que la cathédrale était vide, tous les invités déjà en route vers le domaine de Romblay... il était tout seul! Sa voix résonna en écho dans la cathédrale toute vide...

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Odas

Les félicitations se succédaient à leur plus grande joie. Odas toujours bien collé à sa louve vit arrivé Muirgheal et l'embrassa généreusement à son tour.

Merci de vot' présence, je vois que vous avez les bras déjà bien chargés, comptez sur nous pour vider le contenu de cette bouteille dans quelques minutes lorsque nous aurons débuté les festivités. Au fait de quel breuvage s'agit-il ?

Ce fut au tour ensuite de la Comtesse de se présenter devant eux. Quel plaisir de la voir également. Odas évita une bise baveuse et s'inclina tout en lui donnant un baise-main du plus bel effet.

Vostre grandeur, j'espère que vous nous ferez aussi l'honneur de vostre présence à la grosse fête qui va suivre, merci de vous être déplacée, cela nous touche énormément.

Petit sourire espiègle à sa Mémé, les proches se pressaient autour d'eux. Coup d'oeil à Maurin également qui se régalait de petits bisous, immense sourire alors que sa soeurette Fréné arriva devant eux, répondant chaleureusement à son accolade.

Rooo soeurette, merci, cela nous va droit au coeur, que dire !! Je vais me répéter mais ta joie, ta bonne humeur, ta classe, ta présence, ta générosité sont presque sans égal, enfin après Mémé, sinon je vais me faire tapper hein. Tu es une soeurette extraodinaire !! Place aux festivités désormais, il est temps de se mettre en marche pour Romblay.

Devant le brouhaha ambiant, Odas se racla quelque peu la gorge et sonna le rassemblement et le départ :

Mes amis !! Tous en route pour les festivités qui se dérouleront au domaine de Romblay appartenant à Brune. Elle va nous guider jusque là-bas, Oblighem ne se trouve pas si loin, je vous propose un joyeux et festif convoi jusque la-bas !! ASSSSSSSSSSSSOOOOOooo, euh non en route pardon !!! Les coches sont prêts à partir !!!

Pour les festivités >> http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=1227683&sid=8eV7Nk6nqslBfb9y5RIyuXCMy

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Damefrenegonde

Accompagnée de Brune, Fréné s'écarta un instant pour laisser les invités exprimer aux jeunes mariés leurs voeux de bonheur.
Puis lorsque la Comtesse laissa la place libre, la Péronnaise en profita et se posta devant ses amis.
Les yeux encore rougis d'avoir tant pleuré, dans un élan de tendresse et d'affection elle les prit dans ses bras et les serra très fort.

"Tous mes voeux de bonheur mes amours.
Je suis la plus comblée des soeurettes.
Mon Odas je suis si fière de toi.
Je vous aime tant."

Prenant délicatement leurs mains, elle déposa un baiser sur chacune d'elle.

"Vous êtes le plus beau couple d'Artois.
Merci pour ce grand moment."

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Muirgheal

Voilà c'était fait!La cérémonie prenait fin.
Elle était encore émue par tout ce bonheur .
Tous sortaient ,se rassemblaient devant le parvis pour féliciter les époux.
Ah ,surtout, récupérer le cadeau camoufflé dans le recoin à l'entrée de l'édifice!
Elle prit la queue pour leure dire quelque mots, z'étaient si mignons .

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Ombeline

Assisse sur son banc près d'une des grandes colonnes, la jeune femme était concentrée sur la cérémonie. Cette dernière touchait à sa fin. Elle tendit l'oreille lors de la prononciation des voeux.
De là, elle ne pouvait voir les visages des deux heureux du jour, mais nul doute, l'on pouvait ressortir l'émotion qui les étreignait en cet instant dans leur voix et geste.
Sauterait-elle un jour de nouveau le pas, elle aussi ? La jeune femme resta songeuse quelques instants, souvenirs du passé, souvenirs récents ... puis elle reporta de nouveau son attention sur la cérémonie aux applaudissements et félicitations des présents.
A son tour, elle alla à leur rencontre. Point facile de se frayer un chemin, c'est qu'ils étaient apprécié les tourtereaux et du monde était venue pour assister à leur bonheur.

Tous mes vœux de bonheur Odas et Merdita.
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Odas

Accroché au bras de sa louve, Odas se sentait fier et rempli d'un bonheur infini. Lui jettant des regards complices, amoureux, les voila tous les deux serrés l'un contre l'autre devant tous leurs amis.

Le défilé débuta par Hida, qu'il était heureux de la revoir malgré la distance qui les séparait :

Un grand merci d'être venue de si loin, cela fait chaud au coeur, je crois que notre Maurin va avoir une compagne de jeux. J'ai hâte de discuter plus amplement avec toi pour avoir des nouvelles.

Odas la bisouilla baveusement en riant alors que sa marraine Brune s'approcha à son tour pour les féliciter et organiser déjà le départ pour Romblay qui menait aux festivités tant attendues.

Marraine, les mots ne sont pas assez forts pour exprimer ma gratitude, le plaisir de t'avoir à nos côtés, tout ce que tu fais pour nous : MERCI !!

Il l'embrassa baveusement avant de reprendre :

Nous partirons bientôt pour Romblay, je donnerai le signal dans peu de temps. Il y a encore un peu de queue.

Odas salua également chaleureusement Kimy, Liptis, Fenshui, Zakhan , Bique. Que de monde présent, que de joie partagée, les festivités s'annonçaient grandioses et arrosées !!

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Kimy

La cérémonie était vraiment très réussit. les époux avaient échangés leurs voeux, et ils étaient maintenant unis l'un à l'autre.
Kim se leva, et applaudit en chœurs avec la foule, scandant

VIVE LES MARIES

Liptis

Fenshui et Liptis s'approchèrent des jeunes mariés et les félicitèrent chaleureusement. Mémé et Odas formaient un fort beau couple. Ils leur souhaitèrent tout le bonheur qu'ils pouvaient désirer.

Merdita

Le Père Dark envoya le signal pour le fabuleux baiser des mariés que Mémé attendait tant! Bien des baisers s'étaient échanger entre eux mais elle n'oubliera jamais celui-ci, passionné, doux, amoureux, prouvant leur amour devant tous. Son coeur battait à tout rompre, c'était sensationnel!

Des acclamations se firent entendre, le "Youpiiie" de Chany la fit sourire. Ils se retournèrent vers tout ce monde...Tous sans exception étaient somptueux, aucun autre mot pouvait les décrire. Elle put apercevoir Zakhan, sa présence lui fit chaud au coeur, son frère d'arme, le sauveur de ses pieds lors de leur escapade militaire en Hollande...Elle lui envoya un magnifique sourire.

Le départ fut donné, ils longèrent les bancs de l'église...Son regard se porta tout de même à l'arrière, Semblerait que l'ange perdait son auréole et Le Père Dark n'attendait pas pour venir l'enguirlander...Ils arrivèrent sur le parvis, accompagnés encore et toujours d'acclamations merveilleuses. Elle put voir également Kimy...hééé l'aguicheuse

, Cet épisode la fit sourire quand elle y repensa...Elle devra aller la saluer bien chaleureusement. Elle ne remercierait jamais assez tous ceux qui étaient présent ici.

Elle serrait le bras de son aimé et époux, elle chercha des yeux son pti louveteau qui, dans cette foule semblait avoir pris la poudre d'escampette. Elle le savait en sécurité mais voulait tellement le serrer dans ses bras.

Une file d'ami se construisait pour venir les féliciter. Une amie d'Odas vint en premier, les serra tout deux dans ses bras, elle l'accueilla avec grand plaisir.

Félicitations mon ami !! Tous mes voeux de bonheur à vous deux !!

Je suis très contente de pouvoir partager ce moment avec vous.

Je vois qu'il y a la queue...je vous reverrai donc aux festivités et j'apporterai un cadeau tout à fait propice pour l'occasion.

Elle inclina sa tête et la remercia

J'aurais l'honneur également de pouvoir faire plus amples connaissances avec vous dame. Autour d'un verre! Je suis Heureuse de voir les amis de mon époux...wawouw...c'est sorti tout seul!! mais qu'est-ce que c'est mignon à dire..., se soit réunis aujourd'hui.

La voyant se reculer et Brune avancer, elle ne put s'empecher de la serrer fort dans ses bras et de lui faire un énorme bisou.

Mes félicitations vous deux, quelle belle cérémonie, tous mes voeux de bonheur les plus sincères.
Pour le départ, si je dois emmener quelques uns de vos invités dirigez les vers moi.
Nous partirons en convoi jusqu'Oblinghem pour n'egarer personne.

Regard vers son loup, un grand sourire...la fête allait commencer, et la bière couler à flot...Le moment de détente s'approchait...

Merci pour tout Brune! On ne saura jamais comment te remercier pour tout ce que tu as fait.

Son parrain et Fenshui vinrent à leur tour les féliciter, elle leur gratifia son plus beau sourire

Je suis heureuse de vous voir...merci
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Brunehautdartois

Elle poussa un long soupire devant ce spectacle que Merdita et Odas leur offrait, leur bonheur eclatait au grand jour, elle ne pouvait s'empecher de songer tout en triturant l'anneau de bois qui ornait toujours son annulaire droit à son fiancé trop tot disparu..Un regard en direction de Fréné qui avait séché ses larmes et souriait aux jeunes mariés, c'est en sa compagnie qu'elle suivit les jeunes epoux vers la sortie.
Que de monde déjà les entourait et venait les féliciter, à son tour elle vint les embrasser chaleureusement.

Mes félicitations vous deux, quelle belle cérémonie, tous mes voeux de bonheur les plus sincères.
Pour le départ, si je dois emmener quelques uns de vos invités dirigez les vers moi.
Nous partirons en convoi jusqu'Oblinghem pour n'egarer personne.

Puis se tenant un peu sur le côté elle attendit le départ, les coches attendaient, il y avait quelques lieues à parcourir pour se rendre à Romblay.
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Hidatsa

Heureux que ce coupele, murmura t-elle à sa domestique. Vite vite, allons les féliciter !

Placée au fond de la cathédrale, Hida n'eut pas de mal à sortir et se mit sur le coté du parvis alors que la foule la suivait de près.

Dans l'effervescence, Lys-Charlotte gigotait beaucoup. Elle donna l'enfant à la Margot.

Faites bien attention à elle, je ne voudrais pas que quelqu'un la bouscule par mégarde.

Les mariés arrivèrent sur le parvis, acclamés de toute part. La brunette sauta au cou d'Odas et le bisouilla non baveusement et en fit tout autant à sa femme.

Félicitations mon ami !! Tous mes voeux de bonheur à vous deux !!

Je suis très contente de pouvoir partager ce moment avec vous.

Je vois qu'il y a la queue...je vous reverrai donc aux festivités et j'apporterai un cadeau tout à fait propice pour l'occasion.

Tout sourire, elle se retira pour que leurs amis, très nombreux, puissent les féliciter à leur tour.

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Darkdragonlord

Le prêtre s'approcha de notre chérubin en flamme, l'accrocha par l'oreille et le tira jusqu'au baptistère pour lui plonger rapidement la tête dans l'eau, éteignant ainsi les flammes.

Jeune homme, vous avez assez fait le pître aujourd'hui, maintenant vous allez me nettoyer cette baptistère et qu'elle brille aussi. Pas la peine de vous changer, vous êtes très bien comme ça.

Le curé fit signe à un enfant de choeur de lui apporter le nécessaire pour le nettoyage, il retourna ensuite auprès des mariés.

Odas

Aux acclamations de Chany, Zakhan et Bique, le couple se dirigea donc vers la sortie non sans avoir remercié comme il se devait le Père Dark ainsi que la non moins excellente chorale et d'avoir souligné la présence extraordinaire de deux enfants de coeur des plus atypiques.

Mes chers amis, allons-donc tous profiter de ce beau soleil sur le parvis de la cathédrale, vous pourrez ainsi nous faire plein de bisous.

Merdita et Odas en suivirent tout ce beau monde et apparurent radieux.

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Chevalier_bayard

Après le baiser, des "Vives les mariés!" fusèrent de partout... Ah ça pour un beau mariage, c'était un beau mariage! Odas et Merdita vinrent remercier le père Dark, la chorale et eux... hé hé... mais pas le temps de les bizouiller que déjà le cortège se dirigeait vers la sortie, la cathédrale se vidait par son allée centrale, les moines terminant le cortège et vermifugeant derrière eux... Gné ? C'est pas du vermifuge ? Ah c'est de l'encens dans des encensoirs! Boarf, le résultat est le même...

Soit... L'important est que plus personne ne faisait attention à eux! Les moines étant occupés, et le père Dark risquant de venir demander des explications, il était temps de prendre la poudre d'escampette... mi non, pas l'hallucinogène... il était temps de se tailler quoi!

Bayard se pencha vers Maé.

Mon Ange, accrochez-vous à moi, on va passer en force!

Il soulève Maé, la prend dans ses bras (si, si, ça devient une habitude... mais c'est siiiii agréable!^^), dans l'intention de se diriger vers la sacristie, et de là se sauver par la sortie sur le côté de la cathédrale... il serait toujours temps de rejoindre le cortège nuptial par la suite... Mais ce faisant, se baissant légèrement pour soulever Maé et se redresser, Bayard n'a pas vu le cierge dangereusement rapproché par les espiègles enfants de choeur (rancuniers va!)... cierge qui rentra furtivement en contact avec son auréole...

Accrochez-vous bien mon Ange, mon formidable instinct de chevalier me dit que ça sent le roussi ! On s'est fait grillé et si on reste ici on va se faire brûler les ailes! Fit le chevalier à l'auréole crépitante!

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Merdita

Les voila Mari et Femme pour la vie, réunis dans le bonheur, dans la tristesse, dans le plaisir, dans les difficultés. Merdita était aux anges, rien ne pouvait plus faire sombrir son avenir...Elle était l'épouse de ce fabuleux cambrésien, mère de cet adorable Maurin. Et amie de tous les gens qu'elle aimait.

Le moment tant attendu arrivait, ce baiser concluant, tendre et passionné à la fois auquel elle répondit favorablement. Derrière eux, Chany criait sa joie, ce qui la faisait sourire. Elle regarda l'Eglise, et toutes les personnes présentes à leur mariage, témoins, tous de leur union. Le spectacle était fabuleux. Tous dans des beaux atours.

Heureuse, elle leur souria a tous.
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Zakhan

Ca y est, c'était enfin conclu...Merdita et Odas mariés et avec un enfant. Ce moment restera gravé à vie en eux et Zakhan s'en souviendra également car c'est pas tout les jours les mariages et surtout celui d'une grande amie mais aussi ancienne soeur d'arme. Zakhan se mit à applaudir en espérant ne pas trop se faire remarquer. Il exprimait tout simplement la joie d'être en ce lieu et d'assister à cet événement.

"VIVE LES MARIES !!!!"
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Bique

Bique se leva les larmes aux yeux emut. Et s'écria

VIVES LES MARIES !!!!! FELICITATIONS!!!!!!

Elle les applaudissait

le sourire au levres.
C'était la première fois qu'elle était emus a un mariage.

VIVES LES MARIES !!!!
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Izeliah

Izeliah était restée sagement à regarder la cérémonie, ni larme, ni émotion, juste une vrai satisfaction de voir Odas et Merdita heureux. Enfin, le tralala de l'église était fini, restait la fête, sans nul doute le meilleur.

Elle se fit quand même la remarque de Brunehaut avait de fort jolie gambette. Elle regarda son frère toujours prêt de Bique. Elle chercha du regard son petit frère quand soudain, elle sentit une main se glisser dans la sienne. Elle regarda son petit frère.

ça va Zaza ? T'as l'air bizarre.

Oui oui Patapon. ça va, t'inquiète pas. Elle lui fit un petit sourire. Tu sais bien que je ne me sents pas trop à mon aise dans les églises. Vient, on sort. Jolan va surement nous rejoindre et on ira faire la fête

Aussitôt dit, aussitôt fait, ils étaient tous les deux dehors à attendre le grand frère pour aller vers les festivités.
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Damefrenegonde

Beaucoup de choses s'étaient passées en si peu de temps.
Brune qui avait faillit faire exploser de rire la Péronnaise en cherchant les anneaux dans ses jupons. Diantre dans une église, un lieu saint les gambettes à l'air!

Puis l'échange des anneaux et les voeux. Les mains jointes et fortement crispées la belle assistait au spectacle.
Tout n'était qu'amour et bonheur en ce moment présent et rien ne comptait plus que ces deux amis.
Le baiser tant attendu arriva enfin, rempli de passion, de tendresse et de belles promesses.
Mais une voix résonna alors dans le silence religieux du lieu, Fréné tourna la tête et vit Chany heureuse comme pas deux criant sa joie.
La rousse esquissa un sourire et ne pu s'empêcher de penser "sacrée Chany"

Les mariés se tournèrent alors vers l'assemblée, et vlan les larmes se remirent à couler sur le fin visage de la Péronnaise.
Les choeurs entamèrent le chant de fin dé cérémonie, Fréné n'avait qu'une hâte, pouvoir serrer dans ses bras son frère de coeur et sa chère Mémé.
Mais malgré tout son coeur était serré, elle ne cessait de penser à son Cask, à cette union qui de jour en jour s'éloignait...Aurait elle elle aussi l'immense joie de se retrouver un jour à la place de la merveilleuse mariée??...

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Darkdragonlord

Le prêtre se retourna alors vers la chorale pour leur faire signe de poursuivre le chant pour la fin de la cérémonie, et avant de se préparer pour le partage du pain, il fit un signe au chérubin de 2 mêtres de mettre en sourdine sa voix de ténor.

Ensuite le père DarkDragonLord se prépara pour le partage du pain et du vin pour conclure cette cérémonie.

Après le partage, le curé termina sa messe.

Ensuite il s'approcha des nouveaux mariés pour les féliciter et de ses paroissiens pour les remercier d'être venus en grands nombres.

Odas

A son tour, Merdita fit glisser l'alliance à son doigt, prononçant ces quelques mots qui résonnaient dans sa tête. Odas ne put résister et laissa le bout de ses doigts carresser sa joue. Aucun mot ne pouvait sortir de sa bouche, tout se passait dans leurs regards, ils communiquaient leur amour, leur tendresse, leur passion ... ils fusionnaient.

Les alliances n'avaient pas été choisies au hasard. Elles alliaient l'argent à l'ébène, un bois précieux, serties d'un délicat liseré en argent. Leurs noms étant gravés à l'intérieur avec en plus celui de Maurin.

Odas avait une envie folle d'embrasser sa douce, il regarda un instant le Père Dark, attendant son signal.

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Darkdragonlord

Vous pouvez embrasser la mariée

Merdita

Emerveillée par les mots de son homme, son sourire s'élargissait de plus en plus. Elle aussi toute tremblante, elle le regardait dans les yeux, se plongeant au plus profond. Sentant la bague se glisser sur son annulaire, elle sentit un frisson la parcourir. Il n'y avait aucun mot pour définir ce qu'elle ressentait, elle n'en était pas capable.

Après quelques secondes, elle prit également une des bagues et en faisant glisser l'anneau à son doigt...

Odas...sa gorge était serrée, son émotion allait exploser, recois cette alliance, signe de mon amour et de ma fidélité

Cet instant, elle l'avait attendu, il avait été retardé tant de fois. Maintenant, son coeur battait à tout rompre, elle lui offrit également son plus beau sourire et un regard d'une tendresse immense.
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Chevalier_bayard

De là où il était, outre le dos du père Darkdragonlord, Bayard avait une vue imprenable sur ce qui se passait dans la cathédrale. Et lorsqu'il vit Brunehaut retrousser son jupon pour aller chercher les anneaux nuptiaux à sa jarretière, il vit d'un bon oeil son retour vers la foi... Il se pencha vers Maé...

Vous avez toujours le bonnet sur les yeux hein, mon Ange ? Non, non, je demande ça comme ça... mmm... j'ai une idée pour le prochain cadeau que je vais vous faire...

L'échange des anneaux fut un nouveau moment d'émotion, ils se parlaient avec les yeux, c'était fusionnel, c'était vraiment très beau... sauf l'autre enfant de choeur qui se recula pour que Bayard ne puisse à nouveau attraper sa colerette, le moment était idyllique! Ces voeux d'amour et de fidelité fait en toute sincérité remplirent le chevalier d'un moment de tendresse profond, il regarda Maé, repensa à tous les moments passés ensembles, leurs aventures, leurs amis,... le bonheur partagé... le cri de Chany le ramena à la réalité. Le baiser!

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Chany

youpiiiiiii!!!!!!! oups , toute heureuse de voir ses amis enfin unis devant Aristot , Chany avait "penser" tout haut

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Odas

Ses pensées arrivèrent vites vers le Père Dark qui prononça leur union officielle.

Ca y'est les voilà mariés, voilà qu'Odas était l'époux de la sublime Merdita, il en avait rêvé, cela était maintenant réalité. Un bonheur infini d'autant plus qu'ils se trouvaient être également depuis peu les heureux parents du petit Maurin. Ce mariage marquait le fruit de leur amour sans failles, grandissant chaque jour depuis le jour de leur rencontre à Cambrai grace à Senjo, ca il ne l'oubliait pas.

Soudain, il détourna sa tête et sourit à Chany qui exprimait déjà sa joie et salua d'un air "niais" tous ses amis.

Odas se reconçentra très vite sur Merdita, se replongeant dans ses yeux, déposant ses mains de chaque côté de son visage, l'embrassant passionément et de tout son coeur. Il laissa durer le baiser et l'enlaça de ses bras protecteurs. Ils se retournèrent pour faire faire face à tous leurs amis, les yeux rougis mais tellement heureux.

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Hidatsa

Envoutée par la scène qui se déroulait devant ses yeux, Hida n'en loupait pas une miette. L'échange des alliances...un symbole fort pour deux êtres qui s'aiment, signe d'un lien indéfectible que seule la mort est censée rompre. Elle soupira profondément, triturant son alliance, se perdant dans ses pensées . La rêvasserie fut de courte durée, troublée par les gazouillements de son enfant qui se réveillait, sans doute avait-elle faim.

Un peu de patience ma Lys'

Lui chuchota t-elle en lui caressant son visage si doux.

Elle se reconcentra sur la cérémonie, émue par l'amour qui se dégageait du couple. Elle sourit au trépignement d'impatience de son ami Odas, qui semblait au bord de l'apoplexie lorsque le témoin cherchait les alliances.

C'est les yeux brillants et heureuse pour son ami qu'Hida regardait avec émoi la fin de la célébration pensant aux festivités qui s'en suivraient. Un peu d'amusement et d'alccol ne pouvaient que lui faire du bien

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Darkdragonlord

Nous allons procéder à l'échange des anneaux, en disant à chacun: reçois cette alliance, signe de mon amour et de ma fidelité.

Odas

Odas, imméditament détourna son regard sur sa marraine Brune qui avait gardé bien au chaud et bien en sécurité les alliances. Il sourit intérieurement et lui fit un petit geste pour lui faire signe d'avançer vers eux.

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Kimy

Kim qui était restait discrètement dans le fond de l'Église durant toute la cérémonie, ne pu retenir l'envie de se rapprocher un peu plus au moment, si émouvant, où les futurs se disaient OUI devant le très haut.

Elle s'assied alors au dernier grand, pour ne perturber personne de sa présence. Elle aperçu quelques visages connu, auxquels elle fit un sourire.
Toutes les personnes étaient vêtus de leur plus beaux vêtements pour l'occasion. Ce mariage était vraiment très beau. Elle du reconnaitre intérieurement qu'un mariage avait beaucoup de classe, même si elle n'était pas une grande adepte d'Aristote.

Un grand sourire s'étala ensuite sur son visage lorsque le moment était venu pour les époux de s'échanger les alliances. Elle trouva l'instant presque magique, et le silence respectueux qui avait envahit l'Église, amplifia ce phénomène.

Brunehautdartois

La cérémonie suivait son cours lentement, les minutes s'egrainaient, et Brunehaut c'etait quelque peu perdue dans ses pensées, songeant surtout aux festivités qui s'ensuivraient, et aux préparatifs dont s'occupaient ses gens restés au domaine, pourvu que Gervaise ai fait tout ce qu'il fallait songait elle pour elle même, que tout serait prêt à leur arrivée.
Plongée dans ses futilités d'ordre domestiques elle avait un peu perdu le fil de ce qui se déroulait devant elle, ce n'est qu'aux reniflements de Fréné pres d'elle qu'elle reporta de nouveau son attention sur la cérémonie, voyant que de grosses larmes roulaient sur ses joues, elle sortit un mouchoir et lui tendit en souriant.
Mais ce n'est pas vraiment de ce côté qu'il lui fallait regarder, l'echange des consentements venait d'être fait et le marié s'impatientait,Brune quelque peu emue par les larmes de Fréné, n'avait encore rien remarqué.
Puis se tournant de nouveau vers Odas, qui commençait dejà à lui faire les gros yeux, et lui montrait son annulaire, elle comprit soudain qu'on attendait quelque chose d'elle....regard d'effroi....les alliances....
Panique à bord, elle avait completement oublié ce détail, elle savait qu'elle les avait prises, elle se voyait encore vérifier les avoir avant son départ de Romblay...elle ouvre sa petite bourse, mais rien....elle palit un peu plus, regarde Odas qui semble comprende à son tour....
Elle tente un sourire pour le rassurer, elle est persuadée de les avoir...le tout est de se souvenir où elle les a mises...
Soudain son regard s'illumine, ça y est....elle sait où elles sont, pour éviter de les perdre elle les a délicatement nouées aux rubans de satins qui ornent ses jarretières....pas très malin de sa part vous en conviendrait d'avoir oublié des les replacer dans sa besace avant d'entrer dans l'eglise.
Maintenant va bien falloir discrètement les recupérer...se tournant légèrement vers Fréné, elle tente de faire glisser jusque son genou sa jarretière, puis glisse ses mains sous ses jupes...mais les mains à l'aveuglette ont du mal à oter les noeuds un peu trop serrés des rubans...elle retrousse alors un peu plus ses jupons, et voit enfin les deux anneaux dorés, qu'elle libère le plus vite qu'elle peut.
Elle se tourne de nouveau vers Odas un sourire victorieux sur les lèvres...s'imaginant que personne n'ai rien remarqué.
Puis tenant les anneaux au creux de sa main elle s'avance et les remet à son fillot, lui faisant un clin d'oeil discret, puis s'en retourne près de Fréné.
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Odas

Voyant sa marraine paniquée quelque peu, il se demandait bien où elle avait bien pu cacher les jolies alliances. Souriant à ses différentes expressions faciales, il détourna le regard alors qu'elle semblait bien trifouiller sous sa robe et ses jupons. Rooo mais ou avait-elle donc caché les précieux anneaux ? Odas irait lui demander plus de détails à l'issue de la cérémonie, en attendant il lui tendit la main et reçu avec soulagement les alliances, lui souriant en retour.

Regardant Merdita avec intensité, il se saisit d'un anneau et le fit glisser tout douçement à son annulaire en répétant la formule, la gorge nouée à nouveau :

Mémé, reçois cette alliance, signe de mon amour et de ma fidelité.

Qu'il était difficile de ne pas fondre en larmes, la vue brouillée, les mains tremblotantes, les jambes flageolantes, et surtout le coeur amoureux, regardant sa louve avec tellement d'amour et de passion.

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Odas

Ce "Oui" prononçé se propagea dans tout son corps, une intense chaleur se fit ressentir, il se noyait dans les yeux de sa Mémé, profondément, intensément, tripatouillant ses doigts, les faisant passer au dessus puis en dessous.

Il voulait vite dire "Oui" à son tour et l'embrasser mais le Père Dark prenait tout son temps alors qu'il lui semblait bien avoir entendu "MerditaS" et non "Merdita" enfin peu importe, là ne se trouvait point l'important. Il trépignait d'impatience, les yeux toujours un peu embués, donnant à sa louve son plus beau sourire.

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Chevalier_bayard

Maé s'en était tirée beaucoup mieux que lui lors du chant... ou elle était vraiment très bonne chanteuse, ou elle savait vraiment très bien faire semblant de chanter... à élucider plus tard...

Il suivit le reste de la cérémonie à coté de Maé et des enfants de choeurs, tâchant de se faire remarquer le moins possible. Il devait attendre la fin de la cérémonie avant d'emmener Maé... Il ne fit même pas semblant de réciter le crédo, essayant de repérer qui il connaissait dans la foule. Puis ce fut l'échange des voeux. Les regards que se lançaient Merdita et Odas, c'était trop beau! Il se pencha vers Maé.

Y sont beaux quand même Odas et Merdita. Et leur amour partagé fait plaisir à voir... c'est touchant... J'en ai l'auréole qui palpite!

Il tira ensuite un peu sur la collerette de l'enfant de choeur à côté de lui, pour frotter ses yeux légèrements humectés, et éponger son front légèrement suant, ça fait chaud le duvet de plume sur le dos!, attendant le moment que tout le monde attendait lors d'un mariage: le baiser des jeunes mariés!

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Hidatsa

La calèche arriva au galop sur la grande place de la capitale artésienne. Quelques badauds, curieux, se tenaient sur le parvis de l'immense cathédrale. Hida espérait que la cérémonie n'était pas encore finie, malgré le retard pris par ses mésaventures en Normandie, elle n'aurait voulu rater ce moment pour rien au monde.

Précédée de sa domestique, elle sortit de la voiture, prit un instant pour défroisser sa robe, se recoiffer et mettre sa fille en écharpe, endormie par les bercements de la route.

Elle poussa la porte du lieu-saint, alors que toutes les attentions étaient portées sur le couple, magnifiquement habillé pour l'occasion. Elle arriva juste à temps pour le "oui, je le veux" prononcée si fortement par la fiancée que personne ne l'entendit entrer, enfin...elle l'espérait de tout coeur, ne voulant pas déranger le cours de la cérémonie.

Elle s'assit au fond de la salle, sa fille dormait paisiblement dans ses bras, le regard fixé sur son ami, qui avait l'air tout ému. Elle affichait un grand sourire aux lèvres, n'ayant guère l'habitude de le voir dans cet état.
Les souvenirs de son mariage était encore dans son esprit, elle savait à quel point ce moment était fort en émotion.

Hida attendait avec impatience la suite de la cérémonie lors de laquelle son vieil ami se lierait à tout jamais à cette femme qu'elle ne connaissait point encore...

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Darkdragonlord

Le prêtre regarda ensuite le futur époux avec un sourire en voyant son impatience et dit:

Messire Odas veux-tu prendre Dame Merdita, pour épouse, dans la sainteté et la confiance, pour vivre avec elle dans l'amour de chaque jour? Veux-tu faire dépendre ton bonheur de son bonheur et donner par l'exemple de votre union un signe visible de l'amitié de Dieu sur terre?".

Odas

Le mot "fébrile" ne convenait désormais plus dans l'état dans lequel le Cambrésien se trouvait. Tournant la tête une seconde fâce à tous ses proches, amis, Artésiens, il leur donna un sourire emprunt de joie et à la fois de crispation marquant l'intensité du moment qu'il partageait avec Mémé.

D'ailleurs, il lui sembla appercevoir l'entrée de son amie de longue date Hida et de sa fille. Non point de mirage, Quel plaisir, Hida, ses années Lavaloises, le Maine, ses débuts, des images passèrent en boucle dans sa tête. Odas avait assité il y a peu à ses épousailles et remarqua avec merveille le bébé qu'elle portait dans ses bras. Il espérait la croiser lors des festivités pour la bisouiller fort et lui présenter Merdita ainsi que leur petit louveteau Maurin.

A peine s'était-il replongé dans les yeux hypnotisants de sa louve, que le Père Dark s'adressa à lui. Quelques perles de sueur dévalèrent ses tempes, son coeur battant encore plus vite et plus fort, il ne comprit pas bien clairement ce qui venait d'être énonçé, reprenant son souffle, tentant de chasser la boule qui s'était formée dans sa gorge, il s'exprima clairement, bien fort, tout en y ajoutant une petite pointe d'humour :

Ohhhh Alors ca OUI !!! Je le veux !!!

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Merdita

Ca y était, c'était le moment! Le Père Dark lui posait l'ultime question qui les réunira à jamais. Seul un tout petit mot de trois lettres fait toute la différence.

Son regard plongé dans celui de son loup tout tremblant. Elle fut soulagée de ne pas être la seule dans cet état. L'instant était magique.

Un silence se fit dans l'église, quelques chuchottis se faisaient entendre mais au bout de quelques secondes, Mémé avait l'impression que tous les yeux étaient rivés sur elle, attendant sa réponse.

Elle se décida enfin, regardant encore son loup et d'une voix claire mais très tremblante, elle repondit :

Oui, je le veux!
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Darkdragonlord

Le curé poursuivit:

Dame Merdita, veux-tu prendre Messire Odas pour époux, dans la sainteté et la confiance, pour vivre avec lui dans l'amour de chaque jour? Veux-tu faire dépendre ton bonheur de son bonheur et donner par l'exemple de votre union un signe visible de l'amitié de Dieu sur terre?".

Odas

A la douçeur de sa voix, à la puissance de ses sentiments, au sens merveilleux de ses paroles, Odas buvait chacun des mots de Merdita. L'émotion grandissait un peu plus en lui alors qu'il écrasait désormais complètement ses doigts dans sa main.

Il ne se sentait pas du tout serein mais faisait tout pour rassurer sa Louve elle aussi submergée, les yeux humides. Le moment était tout simplement magique, délicieux. Odas se sentait léger, ses yeux plongés dans ceux de Mémé, plus amoureux que jamais.

Il balaya juste un instant ses amis dans la cathédrale : bouches ouvertes, larmes, soupires, il aurait aimer leur faire un signe mais il en était tout simplement incapable.

Le Père Dark reprit la parole et Odas se remit fâce à Merdita, bien droit, légèrement souriant et ..... tremblant.

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Takanomi

Takanomi était très concentrée à observer la douce Frénégonde pleurer.Ah décidément,les femmes si sensibles ne le laissaient pas indifférent.De l'autre côté c'était Nienna.Dans un souci de vouloir faire bonne impression,il pencha la tête en arrière et appliqua son doigt sur chacun des yeux afin de se faire pleurer.Il contracta son visage en accentuant l'impression de pleurs.
Il parvint à capter le regard attendri de quelques jeunes femmes.

*Parfait,objectif premier atteint*

Il sentit ensuite quelques petits tapotages sur le bas de son siège.Qui pouvait bien l'interrompre de telle sorte?!
Il se retourna brusquement,les larmes encore aux yeux mais le regard méchant.Quelle ne fut pas sa surprise quand il vit Jolan,son nouveau confrère de chez PRALINE!Il avait eu l'occasion de faire sa connaissance au cours d'un échange d'idées.Il appréciait ce genre de partenaire avec qui échanger.Le seul hic était qu'il était champennois-naturalisé.Ca lui restait en travers de la gorge mais il se contenta d'oublier ça pour le moment.

Il adressa un sourire à Jolan et lui tendit la main.

Quelle surprise dis moi!Alors comme ça tu aimes ce genre de cérémonies émouvantes toi aussi?
Mais est-ce pour les nombreuses jolies dames ou les mariés?A moins que ce ne soit pour la fameuse réserve qui se trouve tout devant et d'où est sortie Maeva toute à l'heure...Désolé mais j'y passerai avant toi^^.

Dit-il en rigolant.
Se faisant,il adressa un sourire à Catouline qu'il reconnut aisément pour l'avoir rencontrée en taverne il y a peu.
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Takanomi

Takanomi n'avait pas bougé du fond depuis son entrée.Toujours adossé au mur,le visage dans l'ombre,il n'avait pas perdu une miette de la cérémonie,guettant les réaction de chacun.Il y avait beaucoup de monde et des têtes qu'il ne connaissait pas.

Il trouva une place un peu plus en avant et alla s'y installer.Il avait vu Bique se retourner vers lui et il lui adressa un petit signe de la main.
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Nienna

Nie acquiesça d'un signe de tête au murmure de Muirgheal. Répondit au grand sourire d'Odas par un sourire plus discret accompagné d'un petit coucou de la main.
Ce qu'ils étaient beaux tous les deux !
Elle suivit le reste de la cérémomie discrètement aux côtés de Muirgh,, versant sa tite larme au moment où ils dirent "oui" tous les deux. Il lui tardait maintenant de pouvoir aller les bavouiller grassement pour les féliciter.

Damefrenegonde

Ca y est la Frénégonde était en pleurs

Le moment tant émouvant du "oui" qui scellait cet amour véritable eu raison de sa sensibilité.
Elle les aimait tellement, son Odas, son frère de coeur, homme marié et comblé aux yeux de tous.
Une vive émotion s'empara d'elle, fixant les amoureux si remplis d'amour.
Un sourire apparaissait néanmoins sur son visage trempé, elle était heureuse et fière d'être ce jour à leurs côtés.

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Jolan

Jolan avait observé avec un vif intérêt la scène, grand sourire aux lèvres. Il n'avait depuis son plus jeune age, assisté qu'à un seul mariage, celui de Liloo et Rhemy. Et en regardant Odas et Merdita, il se demandait si celui de ses parents avait été aussi émouvant. Lui qui se formait déjà dans le ventre d'Adelahis à ce moment la. Il pensa qu'il n'avait jamais demander à ses parents comment cela c'était passé pour leur mariage. Sa mère ne lui avait expliqué de long en large, que sa rencontre avec son père. Il faut dire qu'il l'avait cuisiné à ce sujet. Et Izeliah qui était arrivé après en courant, pleine de boue. De quoi énerver un peu Adel qui du coup, avait coupé net son récit.

Il répondit au sourire de Bique, et regarda un peu tout le monde. La plupart avait du mal à retenir leur émotion, et Fréné était carrément en pleurs. C'est qu'elle connaissait Odas depuis longtemps aussi. Nul doute qu'une telle amitié, c'était presque comme si elle disait "oui" à la place d'Odas.

Jolan se gratta légèrement la tête en se disant qu'il pensait vraiment n'importe quoi parfois. Il se contenta donc d'effectuer un clin d'œil discret pour Odas. Non pas qu'il pensait que celui-ci le verrait, bien trop occupé à contempler sa femme, mais on ne savait jamais. Le jeune homme croisa les jambes sous le banc, alors qu'il tapotait de son pieds le bois devant lui. Il n'avait jamais été très patient, et il n'aimait pas s'assoir sans rien faire. L'envie de dégourdir ses jambes le prenait rapidement, et même dans ce moment la, cela ne ratait pas.

Un coup d'œil sur les enfants de chœur, et il ouvrit des yeux ronds.

Ah ça, si c'est pas Bayard... Bon sang, il fait un peu tâche au milieu de tous les autres.

Il essaya de ne pas éclater de rire, c'était pas vraiment le moment.

Quoique celui la, l'est pas mieux... mais... mais c'est Maé!!

Le blondinet se mordit les lèvres pour ne pas rire en voyant le couple ainsi affublé. Il connaissait nombre de Champis qui auraient été offusqué par un tel comportement, mais lui trouvait ça drôle. Grand sourire dans la direction des deux chérubins, avant de reporter son regard sur les mariés. Nul doute, c'était un magnifique mariage.

Bique

Bique était toute émue devant cette scène ou ils échangèrent leur "oui", elle ne pu retenir quelques larmes... de joie pour eux et... de peine pour elle.

Ces derniers mois avaient été difficile pour elle, elle ne pu s empêcher de se retourner vers lui. Lui manquait elle? Était il aussi malheureux qu'elle? Elle ne le saura probablement jamais.
Elle jeta un coup d'œil à Jolan, lui sourit et essaya de se concentré sur la cérémonie.
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Merdita

Encore toute époustoufflée par les différents témoignages, Merdita n'avait point entendu que le Père Dark avait repris la parole. C'est lorsque son loup lui donna un léger coup de coude qu'elle reprit ses esprits. Le Père Dark terminait sa question....laquelle?

Malheur, elle ne savait déja plus mais heureusement, son loup prit la parole avant elle.

Les yeux dans les yeux, la main dans la main, ils se regardèrent. Elle ne pouvait plus quitter ces si beaux yeux, cela lui était impossible. Les paroles d'Odas la fit tressaillir sur place tellement cela était intense.

Tremblante, elle reprit à sa suite

Oui, je le veux! Dans le bonheur comme dans la tristesse, je l'aimerai et le respecterai. J'élèverai nos enfants avec le plus grand soin et les chérirai comme la prunelle de nos yeux.

Ses yeux s'embrumèrent, sa gorge se serrait, sa voix s'éteignait...Elle craquait...Mais elle ne pouvait point..pas maintenant!!!Sa main serra fort celle de son loup...
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Zakhan

Zakhan avait disparu de la circulation et de la gaieté Arrageoise et Artésienne pour diverses raisons non énonçables. Mais aujourd'hui, il semble revenir à la vie de ce beau et cher comté petit à petit. Il se posait simplement deux questions. Que s'est-il passé depuis son "départ" et va t-on le reconnaitre. Bien qu'il soit juste un homme de bonne volonté. Il avait rapidement pris conscience par divers échos de la ville que le mariage d'une certaine Merdita se fit. Merdita....mais oui c'était bien d'elle que l'on parlait, cette personne assez...spéciale mais dans le bon sens. C'est ce qui faisait que l'on appréciait sa compagnie. Zakhan se souvint également de son homme Odas qu'il n'avait que peu connu hélas mais assez pour s'en souvenir. Il se dirigea donc vers la cathédrale armé de ses habits qui le caractérisaient assez.

Du rouge, du noir et petite originalité une ceinture verte. Le noir en rapport avec la discrétion, la dissuasion...le rouge, belle couleur en rapport avec le sang, la chance certains diront. Arrivé sur place il vit du monde à l'intérieur et au moment d'entrer dans la cathédrale il réalisa qu'il n'avait pas mis les pieds dans des lieux comme ceci depuis bien longtemps. Il marqua un temps d'arrêt puis entra calmement et essaya de se faire discret et se mit dans un coin à l'arrière, il irait féliciter les mariés plus tard. Apparemment Zakhan tombit au bon moment car les mariés allaient échanger leurs voeux de quelque-chose, fidélité...enfin bon, c'était important. Il observa la scène en souriant, heureux de ce jour pour Merdita.
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Darkdragonlord

Le prêtre avait écouté les derniers témoignages, plus personne ne démontrait l'intention de venir à l'avant.

Le moment solennel était arrivé. Les époux se levèrent, le curé s'avança vers eux:

Le mariage suppose que les deux époux s'engagent l'un vers l'autre librement et sans contrainte, qu'ils se promettent amour mutuel et respect pour toute la vie, qu'ils accueillent les enfants que Dieu leur donne, et les éduquent selon les écrits d'Aristote et la pensée de Christos. Messire Odas et Dame Merdita, est-ce bien ainsi que vous voulez vivre dans le mariage ?

Odas

Le Crédo récité, le Père Dark reprit la parole alors qu'Odas remarqua l'arrivée de Nefi. Il était heureux de sa présence se connaissant maintenant depuis un certain temps, les gens se poussant même pour lui trouver un peu de place.

Donnant un très léger coup de coude à sa Merdita qui semblait submergée par l'émotion ce qu'il comprenait tout à fait il écouta avec attention Dark, ne sacant point si Mémé devait passer avant lui, il se lança, tentant de garder une voix claire même s'il tremblait de tout son être, serrant fort la main de sa louve dans la sienne.

Oui c'est ainsi que je veux vivre aux côté de Merdita, la chérir, l'aimer dans les moments de bonheur comme ceux plus difficiles, la respecter, d'élever au mieux nos enfants selon les écrits d'Aristote et la pensée de Christos.

Les yeux brillants plongés dans ceux de Merdita, il était heureux de ne point avoir failli, ne pouvant détacher son regard du sien, son ceour battant à toute vitesse.

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Nefi

retenue par ses charges elle n'avait pas réussi à se libérer à temps pour le début de la cérémonie c'est donc avec la plus grande discrétion qu'elle entra dans la cathédrale d'arras et se glissa dans une rangé de banc pour assister au mariage de ses deux amis. elle avait bien du mal à les voir d'où elle se trouvait mais elle pouvait malgré tout entendre la cérémonie. c'est donc en silence qu'elle tendit l'oreille.
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Auberge Amoreta

Odas

Odas suivant le Père Dark récita en coeur le Crédo Aristolécien en compagnie de sa louve.

Relevant la tête, il fut heureux de voir se glisser dans la cathédrale Nie qu'il salua d'un sourire franc et radieux.

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Catouline

Catouline cacher au fond de la cathédrale écoutait tout les témoignages plus touchant les uns que les autres elle souriait et pensait qu'ils étaient aimer tout les deux, elle se demandait quand la cérémonie de l'union allait avoir lieu, elle allait devoir s'éclipser rapidement pour reprendre son voyage et aurait aimer la voir, elle pouffe de rire discrètement et se dit qu'à se rythme elle la verra à son retour, elle avait encore un moment elle reste donc fondue dans la foule à l'ombre de son pilier à observer et écouter ...
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Catouline

Darkdragonlord

Le prêtre pousuivit la cérémonie avec la récitation du credo.

Si d'autres personnes veulent venir faire un témoignage avant l'échange des voeux, vous pouvez vous approcher.

Nienna

Nienna rentrée de voyage plus tôt avait donc pu passer se changer, passer une tenue propre et correcte après un bon bain chaud... ce qui après un voyage en bateau et deux jours à cheval n'étaient pas du luxe. Et malgré un voyage qui lui laisserait un souvenir triste et amer à la fois, elle fut néanmoins soulagée et heureuse d'arriver à temps pour le mariage de Mémé et Odas.

Discrètement, la cérémonie étant commencée, elle se glissa à pas feutrés dans la cathédrale, se signa et gagna rapidement une place près de Muirgheal à qui elle adressa un clin d'œil discret. Et se hissant sur la pointe des pieds elle tentait ce faisant d'apercevoir les mariés !

Muirgheal

Muirgheal était sagement attentive au sermon que le curé récitait.... quelqu'un se glissait à ses côtés !
ah, chic Nienna ! de retour de son périple avant la fin de cette fabuleuse cérémonie.
Elle garda sa joie intérieurement, n'avait pas envie de se faire remarquer dans cet endroit, sinon elle aurait volontiers crié et même sauté au cou de celle dernière.
elle lui glissa en murmurrant :

ils sont jolis et émouvants hin !

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***P'tite bonne vieille mère-grande......et fière de l'Être (!)***

Scampy

Bouarf, y'avait pas de poutres dans l'église et efy pouvait s'accrocher nulle part. Elle s'avanca donc legerement, telle une petite âme legere.. et fit sa prestation de Nelfe.

Oyé Oyé
damoizeaux demoizelles, écoutez cette ritournelle...

On dit tomber a la renverse ou bien avoir un coup d'foudre...
Que d'mot pour une seul ivresse, pour un seul des a coudre!
Ce sont juste des mots, encore une fois, rien que des mots...
Deux ptit culs tombé par terre, dans le ruisseau de l'univers
deux ptits ange tombés du ciel qui se retrouvent dans un grain de sel
Buvez le breuvage de votre amour, consumez l'élexir de tous vos jours!

Elle se retira doucement, faisant un grand sourire aux deux zamoureux, termina par une ptite cabriole arrière et rejoigna sa place en mode petit crabe.
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Odas

La cathédrale continuait à se remplir, il nota également les arrivées d'Airemes superbement habillé et de son amie Catouline qu'il ne s'attendait vraiment pas à voir. Quelle bonne surprise !!

Toujours collé à sa Louve resplendissante, c'est Muirgheal qui se lança, il sourit en repensant à l'épisode d'Arras, rougissant quelque peu de sa maladresse du moment et la remercia :

Merci Muirgheal et navré encore pour ce facheux épisode Arrageois, vous faites également une excellente troubadour, merci pour votre présence .

Muirgheal était une personne discrète à Cambrai mais très agréable et cultivée, il appréciait qu'elle se soit déplaçée. Il serra la main de Mémé et regardèrent tous deux leur Maurin gazouillant non loin de là.

Le témoignage de Muirgheal entraina également Julienla plume ainsi qu'Efy à venir s'exprimer, deux poètes coup sur coup, c'est que Merdita et Odas se trouvaient être sacrément gatés !!

Tout comme sa louve, il en resta bouche bée, et apprécia grandement les vers de Julien, plein de sens et de gentillesse.

Merci cher Julien, c'est magnifique, au plaisir de jouer avec les mots prochainement en vostre aimable compagnie !!

Puis, ce fut le tour d'Efy, elle aussi tout aussi inimitable, petit bout de femme pleine d'énergie et de positivisme. Il lui adressa un franc clin d'oeil en remerciement ainsi qu'une courbette de circonstance tout en souriant la voyant amuser la galerie par sa gestuelle toujours aussi acrobatique.

Leurs amis se succédaient, émouvants, vibrants, ils appréciaient chaque instant à sa juste valeur. Se replongeant dans les yeux de Mémé il regarda un instant le Père Dark pour savoir s'il ne fallait pas désormais poursuivre.

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Merdita

Soupirant d'aise devant tous ces témoignages, un sourire sur le visage de Mémé faisait son apparition. Que de bonheur de voir les gens qu'ils appréciaient témoigner devant eux. Un vrai régal! Et quelle émotion!

Julienlaplume, fière arrageois se positionna devant eux et Merdita fut touchée par les très belles paroles de celui-ci. Ses yeux déjà tout brillants s'agrandirent à chaque phrase. Elle buvait ses paroles sans en rater aucune. C'était tout simplement merveilleux.

Roooh, le pire, c'est qu'il reussit a lui mettre la larme à l'oeil.

Nous sommes plus qu'heureux de t'accueillir Julien. Merci d'être la.

un petit sourire pour le remercier et regarda Odas, les étoiles dans les yeux, impatiente de lui dire "oui" pour la vie.
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Julienlaplume

Parmi les tenues peu adéquates dans le fond du majestueux édifice, il était un trouvère perdu parmi les pauvres. L'homme se demandait s'il avait le droit de venir devant tous pour s'exprimer afin de faire honneur aux mariés.

Alors une voix douce en lui résonna, claire et limpide, lui ordonnant d'avancer pour dire ce qu'il avait à dire et le vagabond traversa toute la nef. Devant le couple et l'assemblée, bien humblement, il prit alors la parole.

A vous

Il est un nom aimé dans la ville d’Arras.
C’est pourquoi aujourd’hui, je viens lui rendre hommage
Et mon vœu est qu’il soit bien heureux en mariage.
Je bénis de mes vers le grand poète Odas.

Comment vous parler d’elle, oui, sa beauté hélas
Dépasse tous les mots et se rit de leur cage.
Merdita est si belle, il n’est point de rivage
Où l’on ne rêve d’elle, à Bruges ou à Damas.

Tous deux m’ont accueilli quand venu de l’Etrange
Je me suis réveillé avec la plume d’ange
Qui me dicte quatrains, poèmes et refrains.

En ce jour merveilleux où l’union est liesse,
Je tiens à leur offrir mon unique richesse,
Ce sonnet d’amitié tout en alexandrins.

Le trouvère sourit au couple et puis il s'inclina avant de se retirer.

Lordromi

LordRomi eut le souffle coupé par l'intervention de Julienlaplume! C'était tout simplement magnifique...
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Catouline

Catouline de passage avait fait un saut à la cathédrale, son ami Odas se mariait elle pensait avoir rater la cérémonie mais elle avait entendu dire que celle ci était toujours en cours, elle s'était dépêchée néanmoins pour arrivé ... essoufflée, n'ayant pas de tenue pour le mariage juste ses braies de voyage et sa chemise elle se dissimula sous sa cape et entra discrètement dans le fond de l'édifice.
Des témoignages étaient en train de se faire, elle reconnu quelques amis dans l'assemblée et sourit en voyant Odas et Merdita resplendissant tout deux, ils étaient magnifiques elle pensa "qu'Aristote les bénissent ainsi que leur progéniture"

Elle se cala dans l'ombre d'un pilier à l'arrière de la cathédrale ... pour voir sans être remarquée ... surtout sa tenue peu adéquate à l'évènement ... elle sourit et les admire
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Catouline

Merdita

Une femme qu'elle ne connaissait point se présenta devant eux. Surement une amie à son futur époux. Elle l'écouta avec attention et eut un petit sourire à ses mots. La pauvre, être prise pour un homme..pourtant, aucune ressemblance avec la gente masculine..bizarre. Surement que ce jour la, son loup avait un ti peu bu^^.

Merci de votre présence chere dame.

Elle détala à une de ses vitesses que Mémé en fut surprise et se colla à son loup...Tous étaient adorables.

Elle se tourna légèrement afin d'apercevoir son petit garcon. Que de merveilles!
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Airemes

Airemes avait mis son uniforme de cérémonie pour honorer son amie Merdita.
Il se rendit à la cathédrale.
Il y avait foule..... Des belles Dames et de beaux Seigneurs...
De loin il vit Merdita, toute de bleu vêtue et rayonnante de plaisir....
Comme d'habitude dans ce genre de cérémonie, il resta en arrière, n'aimant pas trop la foule .....

Muirgheal

Elle réprima sa peur de la foule et se dit qu'Odas avait fait preuve d'amitié à l'inviter, elle pouvait se forcer.

Elle se souvînt . Voilà ,elle avait un nom avant, qui devait préter à confusion _ses braies, cheveux courts_ lors leur rencontre à Arras l'avait pris pour un Sieur en la croisant après s'être aperçu_enfin_de sa féminitude, l'avait pas hésité à la jeter à l'eau.
Ce jour là elle faisait connaissance avec un drôle d'energumène !

Elle longea l'extrémité des bancs pour atteindre le lieu.... aie aie , face à tous ,face à eux ! Fermer les yeux et se concentrer sur les mots.
Merdita , je ne connais de vous qu'un joli bambin et votre beauté que je découvre en cette magnifique occasion.

Odas à notre première rencontre vous n'étiez pour moi qu'un malotrus ,souvenez-vous, me prendre pour un homme!
et en pire quand la méprise évanouie je fus balancer à l'eau !
J'ai découvert depuis un troubadour emérite et un père complice très attentionné à son petit.

Elle n'était pas si fidèle à l'église que celà ( incapable de se signer,confondait toujours droite et gauche alors.) mais....
Qu'aristote veille sur vous et descendance ausi loin que la vie vous portera ...
Ses derniers mots prononcés elle détala ,retourna rapidement à sa place en bout de banc.Rapide coucou de la main à bique au passage.

Au fait de plus prêt l'était étrange le grand enfant de coeur,barbu de plus .....puberté dépassée? hum,hum !.....Joli couple avec Maé et son bonnet.......!

Merdita

Bique se présenta devant eux. Tout sourire, elle écouta son amie. Elle faillit rire de bon coeur à ses paroles. Rien à dire! Bique était Bique! On la changera pas, mais quel bonheur de l'avoir. Elle fit un clin d'oeil à son amie en se serrant à son loup.

Ma chère Bique! Tu fais de l'ombre à la mariée avec ta beauté sans égal

Elle la bisouilla, un petit sourire sur son visage. Fallait bien lui donner raison, elle pourrait bouder après^^.

Merci beaucoup pour tes paroles, elles nous touchent beaucoup

Bique repartit s'assoeir, ils attendirent que d'autres personnes prennent leur courage a deux mains^^

Allez les gens^^bonne retraite. A lundi Ljd Odas^^

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Odas

C'est Bique qui finalement prit les devants et se leva. Il lui sourit et s'attendait à comment dire, un témoignage quelque peu décalé et bien différent de ceux de sa Marraine et de sa Soeurette.

Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'Odas ne fut pas déçu, Bique fit et récita du Bique dans toute sa grandeur, pas de détails ni de grande finesse : Droit au but. Se collant à Merdita, il rit de bon coeur à ses paroles qui finalement la définissaient parfaitement : Coquine, enjouée en ayant oubliée la signification du mot "Modestie". Mais cela était de la sorte qu'Odas l'appréciait et qu'elle était aimée à Cambrai.

Odas la bisouilla généreusement et lui glissa à l'oreille :

Merci, merci pour ce témoignage comment dire Biquesque !! Tu es inimitable !!

Il regarda sa louve tout en continuant à rire, décidément, cette cérémonie resterait à jamais gravée dans sa mémoire.

Je file chez les moines quelques jours. Retour prévu Lundi. D'ici là on va laisser le temps à ceux et celles qui le désirent de témoigner ... ou pas !! Ensuite, nous poursuivrons la cérémonie, sinon nous risquons de battre un record de longueur ...

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Odas

Après l'épisode musical quelque peu rocambolesque, décalé, mouvementé mais finalement heureux, le Père Dark repris le fil de la cérémonie par une lecture riche de sens et d'enseignements.

L'écoutant attentivement il se perdait dans les yeux de Merdita alors que leurs mains s'entrelaçaient. Odas chercha des yeux Toinette non loin de là et son Maurin toujours aussi calme et adorable qu'elle tenait fièrement dans ses bras.

Les paroles de Dark le touchèrent et il espérait vraiment être cet époux et ce père de famille dévoué, prévenant et présent. Il regarda tour à tour sa louve et son louveteau et soupira de bonheur.

Ils se tournèrent tous les deux face à leurs amis et se demandaient pourquoi ils se faisaient aussi timides pour venir témoigner. Odas aurait bien eu envie de les motiver mais euh disons que bon, il fallait se tenir hein. Il épiait chacun d'entre eux essayant de déterminer qui se lèverait pour prendre la parole.

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Bique

Bique se leva et se dirigea vers le couple.

Mais chers amis , Odasounet , Mémé, je suis si heureuse pour vous.

Bique ne sachant trop quoi dire, elle se racla la gorge elle savait être la plus belle mais en se qui concernait les discours c'était autre chose.

Odasounet toi qui a l'air si parfait pourquoi t as pas accepter mes avances quand on s'est rencontrer c'est trop injuste

.
Et toi Mémé tu est si belle, po autant que moi faut pas exagéré non plus , si intelligente, je comprends pourquoi Odas t'aime.

Je vous souhaite tout le bonheur du monde et que votre amour dur toute l'éternité.

Bique les embrassa et retourna s'assoir en espérant qu'elle en avait pas trop fait dans son super discoure.
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Maeva83

"C'est moi, mon Aimée! Ces moines ne vous ont pas trop navrée j'espère ? Tenez bon, ils vous enfermeront pas dans un couvent, je viens vous libérer, avant la fin de la cérémonie nous..."

Comment, c'est vraiment vous? Je n'ai pas d'hallucinations alors? Maé se gratouillait la tête et ne comprenait rien à ses propos...les moines, le couvent, libérer...
Puis le voilà qui commençait à chanter

Elle fit semblant de faire pareil, ouvrant la bouche comme un poisson rouge, mais ne laissant sortir aucun son, l'était cro forte pour le "play back", d'ailleurs elle chantait encore plus faux que Bayard et il valait mieux faire semblant pour éviter que la cathédrale ne soit évacuée en urgence...

Mains jointes, regard angélique, on aurait juré en la regardant que c'est elle qui avait la plus belle voix...

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Izeliah

Izeliah c'était mise dans un coin. Elle avait particulièrement du mal avec ce genre d'événement heureux. Non pas qu'elle n'était pas heureuse pour les épousés, bien au contraire. Elle appréciait beaucoup Odas. Il avait un des premier à l'accueillir. Elle avait fait la connaissance de Merdita et la trouvait aussi sympa.

Elle était au fond de l'église dans un coin. Elle regarda son frère se pavaner. Il était fort à ce jeu là. Il faudrait peut être qu'il lui apprenne tient. De quoi passer une bonne soirée à rire encore.

Rire, tient, voilà un truc qu'elle tentait de ne pas faire en voyant les accoutrements des fous amoureux Maéva et Bayard.

Mais forte de se tenir et de faire bonne impression à ses amis, elle décida de regarder ses chausses et de penser à autre chose.
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Merdita

Pauvre enfant de coeur...Quelle voix affreuse! Des petits rires derrière eux se firent entendre et Mémé ne put s'empecher de sourire amusée.

Odas se rapprocha d'elle et lui murmura

Tu sais que je les ai reconnu ces deux là qui font les pitres, c'est Maé et Bayard, oui oui !! Regarde bien !! Au moins ils détendent l'atmosphère, ca fait du bien, on les remerciera bien à la fin de la cérémonie. par contre, pas certain que le Père Dark appécie.

Bon sang! Elle ne les avait pas reconnu! En regardant bien, c'est vrai que la tête de l'ange ressemblait grandement à celle de Bayard. Elle regarda l'enfant de coeur se trouvant à ses côtés...Ah voui, sans aucun doute, vla la Maé. Elle rigola en silence en pensant que ce couple était d'une folie furieuse mais qu'est-ce qu'ils étaient drôles dans leur costume!

Comme son loup l'a dit, Ca ne plut pas au Père qui ordonna de faire taire la chorale. Heureusement pour les oreilles, cela commencait à leur faire du tort.

Le père prit la parole, elle l'écoutait avec attention et regarda Odas avec une grande complicité dans les yeux et un petit sourire.

D'autres témoignages allaient suivre. Elle se demanda qui prendra la parole.
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Darkdragonlord

Le prêtre continua avec une lecture de la vie d'Aristote pour ne pas décourager la chorale et les performances de leur ténor:

Citation:

En ce temps là une grande nouvelle se répandit dans la ville de Stagire : les sages astrologues venaient de repérer une comète inconnue dans le firmament. Aussitôt l’assemblée de la ville se réunie sur l'agora, tentant de découvrir le message que les cieux voulaient transmettre aux hommes. Hélas leur cœur était obscurci par leur foi erronée en de faux dieux, et ils s’égaraient dans des suggestions impies : pour l’un il s’agissait de la venue d’Hermès aux pieds ailés. Pour d’autre la foudre de Zeus allait s’abattre au milieu des hommes, et les temps touchaient à leur fin.
Seul dans l’assemblée un homme se taisait : son épouse était sur le point d’enfanter, et l’angoisse qui était la sienne ne lui permettait pas d’intervenir. Il n’était pourtant pas le moins sage, ni le moins écouté. La noblesse et la paix se lisait sur son visage, ainsi que les marques d’un dur labeur et d’une vie sans mollesse.

Le curé poursuivit:

Vous avez dans ce texte l'exemple d'un père noble et sage, soucieux de son épouse et de l'enfant qui va naitre. Son existence a été marquée par la justice, le travail et l'honneur. Voilà l'exemple que vous devez suivre. L'honneur, la justice, le travail quotidien. C'est là que se trouve la clé du bonheur. Et peut-être alors que vos enfants, suivant vos traces, auront la sagesse d'Aristote et la bonté de Christos.

Nous allons poursuivre les témoignages.

Le curé laissa la place au prochain orateur.

Damefrenegonde

Fréné avait sagement regagné sa place...Elle avait essuyé ses larmes d"émotion et essayait de reprendre le fil de la cérémonie.
Mais une voix...Diantre! une voix grave et horrible retentit dans le lieu saint au milieu des chants des enfants de choeur!

Relevant la tête, fronçant les sourcils elle essaya de voir quel pauvre être pouvait chanter de la sorte.
Un regard à gauche...Non rien de suspect...A droite...mmmh ah oui!
A n'en pas douter il s'agissait de Bayard!

en ange!!
La belle ne comprit pas tout sur le moment mais elle ne pu s'empêcher de rire discrètement tant la scène était comique.
Vraiment Maé et Bayard formaient un couple hors norme mais ils étaient faits l'un pour l'autre.
Une ombre se posa alors sur son visage, tant de couples...de bonheur et d'amour...alors que son tendre ne lui donnait aucune nouvelle...
Soupirant profondemment elle continua à suivre néanmoins ce si beau moment...

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Odas

Fréné à peine assise que sa marraine et amie de très longue date Brune prenait le relais. Elle aussi s'était glissée dans une magnifique robe rouge qui la mettait superbement en valeur, Brune rayonnait et s'exprima clairement toujours avec autant de sinçérité, de franchise, d'émotions et de clareté. Elle retraça le moment délicat de leur rencontre, leur amitié, sans nulle doute les avait rendu bien plus forts. Il se remémora tous ces moments de partagés, leurs voyages, les rencontres , les moments douloureux, les fous-rire.

Odas se perdait dans les yeux de sa Marraine qui brillaient et scintillaient, à la fin de son témoignage elle bisa sa louve et laissa sa bave sur sa propre joue. Il en sourit grandement et se retint d'en faire de même, ce n'était ni le lieu ni le moment, il se ratrapperai plus tard, à n'en pas douter. laissant Merdita lui chuchoter quelques mots il prit son tour en gardant sa main dans la sienne :

Marraine, Brune, tu comptes plus que tout pour nous, merci d'être là pour nous, nous t'aimons du fond du coeur, merci !

Le Cambrésien fit une légère courbette à Brune ainsi qu'un baise-main impeccable.

Que d'émotions, il se tenait toujours fermement au bras de sa louve et remarqua l'arrivée d'Efy qu'il salua de la tête.

Le Père Dark ordonna à la chorale de chanter alors qu'il suivait le remue-ménage hilarant de Bayard et Maeva en enfants de coeur. Ce premier chantant comme une casserolle et en décalé, des rires étouffés se firent entendre dans la cathédrale, Odas n'y échappait pas et il se rapprocha de sa louve pour lui murmurer :

Tu sais que je les ai reconnu ces deux là qui font les pitres, c'est Maé et Bayard, oui oui !! Regarde bien !! Au moins ils détendent l'atmosphère, ca fait du bien, on les remerciera bien à la fin de la cérémonie. par contre, pas certain que le Père Dark appécie.

De nouvelles personnes allaient témoigner, la cérémonie se déroulait admirablement bien ...

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Chevalier_bayard

Pour la discrétion, c'était comme le gruyère... c'était rapé ! Il voyait bien sur les visages qu'il avait été reconnu. Mais comment avaient-ils fait pour le reconnaître, sa technique de camouflage n'était-elle donc pas au point ? Bon, il était juste un peu plus grand que les autres enfants de choeurs... et un peu plus poilu aussi, avec de la barbe, il faisait plus adulte... mais à part ça ??? Ses grands pieds peut être ?

Soit... le chevalier profita du témoignage de Dame Brunehaut pour s'approcher encore plus de Maé, et lui murmurer "C'est moi, mon Aimée! (comme si elle l'avait pas reconnu

) Ces moines ne vous ont pas trop navrée j'espère ? Tenez bon, ils vous enfermeront pas dans un couvent, je viens vous libérer, avant la fin de la cérémonie nous..."

Mais le témoignage de Dame Brunehaut venait de se terminer, et tandis qu'elle allait embrasser les mariés, le père Darkdragonlord fit un signe aux enfants de choeur pour qu'ils commencent à chanter... Et leurs voix cristalines s'élevèrent portées par l'écho de la cathédrale lorqu'ils entonnèrent le chant de mariage "Qu'il est formidable d'aimer"...

Bayard regarda Maé... Piégés qu'ils étaient... en plus il ne connaissait même pas le cantique... Il avait une furieuse envie de s'encourir, mais jamais sans Maé! Il se devait d'aller jusqu'au bout... Essayant de deviner les paroles, il ne répétait que les dernières syllabes du chant, avec quelques secondes de retard, et sa voix grave et très très fausse détonait avec la voix pure des enfants aussi fort que le barissement d'un éléphant dans un magasin de porcelaine...

Quand on n'a que ses mains
.................................aaaiiiiiinns
A tendre ou à donner,
...........................éééééééééééé
Quand on n'a que se yeux
...........................yeuuuuuuux
Pour rire et pour pleurer,
.......................rrrréééééééé
Quand on n'a que sa voix
........................ouaaaaaaaa
pour crier et chanter !
......................éééééééééé
Quand on n'a que sa vie
...............................iiiiiiii
Et qu'on veut la donner.
..............................ééééééééé
Qu'il est formidable d'aimer
...........................ééééééééééééé
(...)

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Merdita

Son futur époux était tout simplement magnifique dans son habit de cérémonie. Elle en avait le coeur battant. Que d'émotions en ce jour, et le pire, c'est que cela ne faisait que commencer.

Ils se mirent face au Père Dark quand Merdita appercut un drôle enfant de coeur portant elle ne savait quoi sur la tête. De tout les mariages dont elle fut présente, elle ne se souvenait point de ce détail. Peut-etre aurait-elle du faire plus attention.

Après un beau discours, le Père Dark invita les personnes à parler à leurs noms...Ooooh bon sang! La galère...c'est sur! Ils vont la faire pleurer.

Fréné, la belle fréné arriva en première. Des paroles élogieuse pour les deux...Rien à dire, Fréné savait lui mettre la larme à l'oeil! Crénon, au premier!

Elle la remercia et lui fit un sourire gracieux

Merci ma Fréné, pour ton aide, pour ta gentillesse, pour tout ce que tu fais. Nous t'aimons de tout notre coeur

Avant qu'une autre personne arrive, un "ange" apparut dans les enfants de coeur, venant on ne sait d'où. Les yeux quelques peu embrumé, elle ne le reconnaissait pas beaucoup mais ce qui était certain pour elle : c'était un homme dans un costume de femme

Elle regarda Odas d'un air interrogatif. Peut-etre que cela était prévu dans la cérémonie pour faire descendre le stress. Qui sait?

Et Brune fit son apparition. Joliment vétue, son amie de toujours, celle qui lui avait tout appris prit la parole. Comment ne pas se souvenir de tous ces moments passés en sa compagnie dans les tavernes d'Arras, au fort...Il n'y avait aucun mot pour décrire cela.

Quand elle eut fini, elle la bisouilla à son tour, toute émue

Ta présence nous réchauffe les coeurs Brune.Merci d'être la, merci pour tout
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Scampy

Efy courrait comme une fusée en direction de la cathédrale....
Rolala, cette mémoire, faudrait qu'elle pense a allez voir un chamane un de ces jours!
Elle arriva, essoufflée, devant la grande porte en bois...

Ses oreilles elfiques se retroussèrent a l'entente de la musique. La cérémonie avait déjà commencée et surement que... si elle entrait a cet instant, tout le monde la regarderait et lui jetterait des gros yeux noirs qui nous enterre directe.
Hum... elle fouina donc a la recherche d'une meilleure idée.
C'est alors qu'elle vit quelques retardataires passer sur le cotés. Mais oui! la saint Christie!
Héhé, elle se faufila entre les grands rideaux rouges et poussiéreux et se glissa dans un rang et replissa sa ptite robe pourpre soigneusement. Elle essaya de scruter de loin ce qui se passait, ou en était la cérémonie ...Elle se retourna alors vers son voisin qu'elle n'avait pas eu le temps de saluer, et dont elle ignorait encore l'identité.. "hoo Fidos!" un ptit sourire puis... "Vroummm" tous les regards se retournèrent au bout de l'allée principale.
Ouaw. la mariée était en train d'arriver, un pas gracieux et leger. un sourire de bonheur sur son visage, une magnifique robe de princesse.
Efy n'avait jamais assisté a un mariage, et c'était encore moins dans ses traditions a elle. Mais ca, fallait pas trop le dire parce que...

En tout cas elle était la, dans sa ptite robe, a peu pret a l'heure :s .. le cadeau dans la.. oO LE CADEAU! elle avait oubliée le cadeau! rolala, Efyyyy! Bon, elle retournerait le chercher avant le banquet.
Elle se concentra sur la cérémonie et respira le doux parfum de joie qui flottait dans l'atmosphère...
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Darkdragonlord

Tout en écoutant les témoignages, le prêtre aperçu un nouvel enfant de choeurs, presqu'un mêtre de plus que les autres, avec de la barbe en plus, il dû se retenir pour ne pas éclater de rire et garder son sérieux.

Mais il devait garder un certain contrôle sur le mariage et donner une petite leçon à ce joyeux luron, le prêtre fit signe à la chorale de entamer un chant en attendant la venue du prochain témoignage.

Brunehautdartois

Tous les regards s'étaient maintenant portés vers l'allée centrale, la mariée faisait enfin son apparition, elle jeta un regard vers Odas par peur qu'il ne défaille de nouveau à la vue de sa splendide future épouse qui maintenant s'avançait vers lui au bras de Lndil.
L'émoi éprouvé se lisait sur son visage, mais il tenait bon, et elle se plaça tout à ses côtés, la cérémonie allait pouvoir commencer, et dejà le prêtre appelait les témoins à prendre la parole.
Fréné termina difficilement son discours, puis reprit sa place, à son tour de prendre la parole, mais l'apparition d'un drole d'enfant de choeur retint son attention, surtout ne pas avoir de fou rire en découvrant qui se cachait sous cet accoutrement, ils faisaient une belle paire lui et sa jolie rousse.
Elle étouffa son rire, et s'avança face aux invités présents, et surtout à ses deux amis...son coeur battait à tout rompre, c'était la deuxième fois en peu de temps qu'elle prenait la parole ainsi, mais l'instant était différent et le plaisir d'être présent était double.
C'est la gorge nouée qu'elle prit la parole.

Merdita...Odas, je vous ai connu tous deux à des périodes différentes de ma vie, toi Odas....est il vraiment utile de le rappeler, notre rencontre se fit pendant une période troublée de l'Artois ça se passait à Peronne, de suite nous avons sympathisé, je ne reviendrais pas sur la suite des évènements difficiles pas lesquels tu es passé, mais celà n'a fait qu'accroître notre amitié réciproque, et par la suite le temps nous a montré qu'elle était infinie.
Toi ma petite Merdita, je me souviens de ton incorporation dans l'Ost alors que j'y etais lieutenant, des fêtes en taverne, des parties de fous rire, de tous ces bons moments que nous avons passés à Arras.
Quel plus grand bonheur pour moi que de pouvoir assister à votre union, je ne pouvais être plus heureuse que de voir mes deux plus fidèles amis se lier l'un à l'autre pour la vie.
Je vous aime tous deux du fond du coeur, puisse la vie vous accorder tout le bonheur que vous méritez.

Son discours terminé, elle s'avança vers eux pour les embrasser chacun tendrement, une bise légère, et non une grosse léchouille baveuse à la Odas!
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Maeva83

Lorsqu'elle risqua un œil dessous son bonnet, elle cru halluciner en voyant un ange, pieds nus et poilu des mollets, debout à ses côtés

Elle laissa filer son regard de bas en haut jusqu'à reconnaitre son chevalier, affublé d'une paire d'ailes et auréolé

Bayard?Bayard? Mais Kek...C'est vous?

Darkdragonlord commençait la bénédiction des futurs époux...il portait au-dessus des tête l'encensoir...Gné? De la fumée hallucinogène? Le silence régnait dans la cathédrale, et ce n'était pas le moment de se faire remarquer...C'était peut être le fruit de son esprit malade et vicieux? Fantasmait elle sur les anges sans le savoir? L'esprit saint descendait il en ce jour béni pour semer le trouble dans son esprit?

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Lndil

Lndil souria aux paroles de sa femme... et faillit rougir à l'addition des souvenirs et de ses marques d'attention.
Puis Merdita donna le pas... ils entrèrent dans la cathédrale.
Tout le monde avait les yeux braqués sur Mémé... normal.

Arrivés devant l'autel, elle le lacha non sans une ptite marque d'attention de son crue.
Il souria et se recula pour rejoindre Erwyn au premier rang. Il prit un de ses mais dans les siennes et lui murmura.
Cela me rappelle tellement de choses... aucune dont je n'ai a regretter quoi que ce soit.

Puis le père DarkDargonLord commença la cérémonie
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Damefrenegonde

La belle Merdita entra enfin au bras de son frérot de coeur.
Tout dans leur couple respirait l'amour et la joie de vivre.
Les voyant traverser ainsi l'allée centrale les yeux de la belle s'embuèrent. Un moment intense, magique, gravé dans les mémoires à jamais.
Elle avança discrètement pour prendre place aux premières loges, elle distingua son petit protégé qu'elle n'avait pas vu arriver. Petit sourire en coin en guise de remerciement, puis elle s'installa.
Le père commenca alors la bénédiction des futurs époux, Fréné les yeux rivés sur eux n'en perdait pas une goutte. Complètement absorbée par cette vision si belle.
Puis le prêtre invita les proches à prendre la parole, elle laissa quelques secondes et voyant que personne ne se manifestait elle prit les devants.
Prenant une profonde inspiration, elle se leva lentement...Ses mains étaient moites, son coeur battait à vive allure.
Dans une démarche élégante, tenant fermement les pans de sa robe elle se rapprocha de ses amis et de l'homme de foi.
Un sourire remplit de tendresse à l'attention de ses protégés, la belle se posta face à eux et à l'assemblée.
Elle racla sa gorge pour éclaircir sa voix puis...Se lança

"Mon père si vous le voulez bien je prends la parole."

Hochement de tête de celui-ci en signe d'approbation.

Les joues quelque peu rosies elle s'adressa à Odas et Merdita

"Cher Odas, Chère Merdita
Notre rencontre fut des plus imprévisibles. Alors que ma vie ressemblait à un cauchemar vous êtes apparus.
Je remercie encore ce bon vieux chêne."

Petit sourire, puis un regard tendre vers son frérot

"Mon Odas,
Jamais auparavant je n'avais connu plus doux et gentil jeune homme.
Tout en toi respirait l'amour et la compassion.
Nous avons appris à nous connaitre au fil de cette journée chacun en manque cruel de notre aimé(e).
Des liens solides se sont tissés, une amitié hors du commun, profonde et pure.
Je te remercie pour tout, ta gentillesse, ton soutien, ta présence. Je n'ai jamais eu de frère mais toi tu es bien plus...Mon frère de coeur..."

Un sanglot se fit entendre alors dans son discours. Essayant de se reprendre elle s'adressa à Merdita

"Ma Mémé,
Tu me ressemble beaucoup...Malicieuse, avec un caractère bien trempé...
Tu es une bouffée d'oxygène dans mon existence. Pleine de vie et pétillante, jamais triste. Je t'admire en tant que femme, tu es une soldate reconnue, engagée, rien ne te fais peur.
Je te considère comme une petite soeur, voulant toujours être auprès de toi, te protéger.
Merci ma belle pour cette amitié partagée."

Puis elle termina sur ces mots

"Je suis heureuse et comblée d'être parmi vous ce jour.
Cette journée est gravée en ma mémoire.
Votre couple représente l'union parfaite à mes yeux.
Je vous aime..."

Elle s'approcha alors, laissant couler les larmes trop retenues et attrapa leurs mains dans les siennes. Plongeant son regard émeraude dans les leurs elle leur susurra simplement un merci.

Lentement, les yeux rivés au sol elle regagna sa place, silencieuse tant l'émotion l'envahissait...

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Bique

Jolan arriva enfin près d elle tout vêtue de jaune. Elle fut un minimum ébloui par le jaune et non sa beauté

Elle lui sourit et lui fit une petit bise ravie qu 'il l'accompagne.

Oui tu as raison ils sont magnifique tout les deux et toi aussi d'ailleurs

!

Sont regard fut attiré par Maé a qui le chapeau étrange lui tombait sur les yeux. Elle se demandait comment elle faisait pour suivre la cérémonie sans rien voir!
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Chevalier_bayard

Dame Frenegonde commença les témoignages. Comme pour les enterrements, c'étaient le moment que Bayard aimait le moins dans la cérémonie de mariage. Vous savez, ces moments chargés d'émotion, où les premiers rangs tombent en larmes. Ou le petit noeil du chevalier rougit, et qu'il se dit "pas pleurer, pas pleurer!"... c'est vrai quoi, la larme à l'oeil, ça fait pas sérieux pour lui, habitué à fracasser des crânes, couper des membres d'un seul coup d'épée, et trancher des carotides avec ses dents...

"Reprend-toi Bayard!" Il regarde encore une fois les mariés, si heureux, si beaux, et reporte son attention sur sa douce, toujours à l'avant de la scène... et constate que son étrange bonnet est sur ses yeux maintenant... et soudain, c'est l'illumination! Il comprend tout!

Boudiou, ILS essayent d'enlever Maé!

Qui ILS ?

Mais les moines pardi! Les chanoines de la cathédrale, ou les curés artésiens, ou que sais-je, plus haut encore! Ils se vengent! Le pépère ayant quitté les ordres, ils veulent sa fille! Ou alors c'est parce que Maé et lui pèchent beaucoup! (pas du poisson, hein^^) Ou alors c'est parce que c'est le deuxième confesseur qui est tombé en syncope après avoir entendu Bayard, Dieu ait leurs âmes!

Quoi qu'il en soit, il ne les laissera pas enlever son Ange, crénom! Alors que la cérémonie se poursuit, il pense à un plan d'action. Il se voyait déjà sur son destrier, entrant dans la cathédrale, l'épée à la main, auréolé de la lumière de la rosace, tel Saint-Michel face au dragon, et emmenant Maé en croupe... mais bon ce serait pas sympa pour Odas et Merdita. Bah oui, ce serait classe, mais ça gâcherait un peu leur mariage. Non, il fallait agir plus discrètement...

Et pour rejoindre Maé, une seule solution... se couler dans l'uniforme! Discrètement, il se rendit vers la sacristie. Hé hé, les plans simples sont toujours les meilleurs: se déguiser en enfant de choeur, approcher Maé, et lorsque la cérémonie s'achève et que tout le monde sort de la Cathédrale, hop, il enlève sa belle, et la voilà à nouveau libre! Si les moines et les prêtres ne resistent pas, il ne devra même pas user de violence!

Dans la sacristie, premier accroc à son plan génial: plus de costume d'enfant de choeur! Gné ? Les armoire sont toutes vides! Plus de costume de prêtre non plus, plus de chasuble... Il n'en reste plus qu'une à fouiller! Il ouvre la porte... et... oui! des costumes! Bon ce sont pas des costumes d'enfant de choeur, ce sont les costumes des anges de Noël... pas grave... un mariage, des anges, l'amour, ça passera!

Deuxièmes accrocs, au plan de Bayard... il ne reste que des costumes de femme... arf... tant pis, foin de fierté, il faut sortir Maé des griffes de ces moines! Il en passe un, mais la taille n'est pas bonne... le second... non, il sent trop la transpiration... le troisième, il reste plus que lui! Un peu petit et serré, mais bon, ça fera l'affaire! "Maé, j'arrive à ton secour!" pense-t-il...

Et c'est ainsi habillé que Bayard se glisse hors de la sacrisite, et le plus discrètement possible, les mains jointes, vient prendre place près des enfants de choeur...

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Odas

Odas salua Nirina, amie fidèle de longue date pénétrer discrètement dans la cathédrâle. Tenant toujours fermement la main de Merdita dans la sienne il observa sa soeurette Fréné s'avançer et se planter devant eux le sourire aux lèvres.

Pas un bruit dans l'enceinte religieuse, le temps semblait figé alors que sa soeurette démarrait son magnifique et poignant témoignage.

Elle raconta leur rencontre au pied de ce grand chêne, le début de leur amitié sinçère et grandissante. Odas sentait ses yeux se remplir de larmes de bonheur et de bien-être devant le récit si émouvant de Fréné.

Il reprit un peu de prestence alors qu'elle s'adressa ensuite à sa louve toujours en des termes élogieux. Fréné leur adressait tellement de beaux compliments.

Alors qu'elle en venait de terminer presque en sanglots, Odas lui tendit la main et lui murmura tout douçement et gentillement :

Merci soeurette, mille fois merci, sèche-moi ces larmes et garde ce sourire que nous aimons tant, nous t'aimons !! Merci

Il avait vraiment envie de la prendre et de la serrer fort dans ses bras, mais Fréné repartie vite à sa place. Odas se colla à sa louve tentant de reprendre ses esprits. Le pire ou le mieux c'est que d'autres ami(e)s allaient témoigner ...

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Nirina

Nirina arriva à la cathédrale .....la cérémonie était déjà bien entamée et elle se fit toute petite pour ne rien déranger!

Elle regardait ses amis très émue! La lumière qui émanait des vitraux rendait l'athmosphère très romantique et.....dieu que la mariée était jolie!!!!

Elle avait emporté avec elle un cadeau pour ses amis.... un fer à cheval mais pas n'importe lequel!!!!!celui de son tout premier cheval.... quand Vénusia vivait encore....quand elles s'amusaient à jouer au forgeron toutes les deux.
Il portera bonheur aux jeunes mariés , elle en était convaincue!
En attendant d'offrir son présent Nirina restait discrète....
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Muirgheal

Les yeux écarquillés devant cette scène!
Wawaouh !!!! ____ deux angelots dans une auréole ...., deux colombes nacrées dans un coeur d'amour .......
Elle se mit à la recherche dans les vitraux d'une image aussi irréelle.Elle était bouche bée, l'air totalement idiot de satisfaction.
Et son regard déviat pour...... Tiens ! Le bandeau de Maé...... lui en tombait sur les yeux ! Etait-ce ausi l'effet magique du couple s'avançant versl'autel ?

Odas

Du beau monde arrivait encore, Jolan, Bayard et aussi Carbo qui termina dans ses bras alors que Merdita se rapprochait enfin de l'autel.

Merci Carbo, ravi que tu sois ici toi aussi, vous nous faites tous un immense plaisir que d'assister à notre mariage, cela nous touche profondément.

Ca y'est !! Merdita se trouvait à quelques mètres de lui, elle resplendissait de mille feux et cette robe ... que dire sinon qu'elle lui allait parfaitement, il lui sourit tendrement et amoureusement, faisant un pas dans la direction de sa louve, fléchissant légèrement les genoux tendant son bras dans sa direction. Heureusement, d'ailleurs car il lui sembla qu'elle ne fut pas loin de perdre l'équilibre.

La ratrappant en douçeur, il l'embrassa sur la joue et lui murmura ces quelques mots :

Tu es splendide ma louve !! Accroche-toi à moi autant que je m'accroche à toi .. que d'émotions ...

Ils se tournèrent tous les deux face au Père Dark, l'écoutant attentivement, non sans retenir un nouveau fou rire du fait que Maeva avait enfonçé sur sa tête son délirant bonnet.

Le ton se faisait plus solennel alors que le Père Dark les bénissait. Odas buvait chacune de ses paroles et acquiescait. Prenant la main de Merdita dans la sienne, la serrant très fort, tentant de controler ses émotions, il lui jetta un regard complice alors que tous leurs amis et proches étaient appeler à témoigner à leurs propos. Il tourna la tête pour voir celui ou celle qui se lèverait, s'approcherait et prendrait en premier la parole.

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Maeva83

Crénon! Elle était aux premières loges, et même pas besoin de se retourner pour regarder les mariés arriver! Pile poil en face! C'était vraiment le bon plan, en plus dans le dos de Carbo!

Magnifique! La mariée était superbe, une robe à couper le souffle. Plus d'un devait envier Odas d'avoir séduit la belle le premier...

Ouhlà voilà t'i pas que le Bayard arrivait, le bougre, il avait pas oublié mais l'avait pas prévenu avant qu'elle parte de bonne heure le matin! Clair que sa chaufferait ce soir dans leur chaumière...Si elle était là, en tenue d'enfant de cœur

c'était de sa faute! Grrr....

Manquerait plus qu'il la reconnaisse dans cet accoutrement...elle tira sur son bonnet vite fait, pour passer incognito...

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Darkdragonlord

La promise étant arrivé, le curé salua son ami Carbonnel qui venait d'arriver en toute hâte avant d'aller prendre place derrière l'autel et il commença la bénédiction élémentaire,il porte au-dessus de sa tête le petit brasier et récite :

Face à la flamme du brasier qui monte vers le ciel, que le Feu aristotélicien purifie et donne bénédiction aux futurs époux réunis ici.

L'Officiant porte au-dessus de sa tête la vasque d'eau pure et récite :

Face à l'eau symbole de pureté, que l'Eau aristotélicienne purifie et donne bénédiction aux futurs époux réunis ici.

Le curé pousuivit la cérémonie en bénissant le futur couple. L'Officiant porte au-dessus de sa tête l'encensoir et récite :

Face à l'odeur de l'encens qui chasse les mauvaises émanations, que l'Air aristotélicien purifie et donne bénédiction aux futurs époux réunis ici.

L'Officiant porte au-dessus de sa tête la pierre taillée et récite :

Face à la pierre taillée, socle fondateur sur lequel repose toute l'architecture de l'édifice de notre Sainte Eglise Aristotélicienne, que la Terre aristotélicienne purifie et donne bénédiction aux futurs époux réunis ici.

Que l'Ether aristotélicien achève lui-même ce les autres éléments ont débutés. Et que cette bénédiction permette à la quintessence divine de descendre sur les futurs époux réunis ici et y demeure à jamais.

Après la bénédiction du couple, le prêtre invita la famille et les amis à venir décrire les deux époux, ce qu'ils ont fait, leur place dans la ville, dans le comté, leur histoire.

Merdita

Elle rougit aux paroles de Lndil et lui fit un ti sourire tout géné.
Les invités et son aimé les attendaient.

Elle murmura doucement à erwyndill

si cela m'arrive, je compte sur toi^^

Et voila, le moment venu, elle entra, main sur le bras de Lndil, ses pas se firent lent et tremblant...Tous la regardèrent entrer, avancer vers l'autel. Bon sang! que cela faisait peur.

Arrivée à un mètre de son fiancé, futur époux, elle regarda dans les yeux, ils se faisaient pétillant pour lui.

Elle lacha doucement le bras de son ami et lui fit un bisou sur la joue, lui laissant une tite marque.

Avancant vers Odas, le coeur battant, elle faillit se perdre dans sa robe mais se rattrapa au bras de son amour.

Liptis arriva elle en fut soulagée et lui sourit

ne t'en fais pas parrain

Carbonnel les félicita, elle rougit en tenant un peu plus fort le bras de son loup...
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Carbonnel

Hopopop attendez-moi !

Carbonnel traversait ventre à terre la place de la cathédrale en soulevant sa soutane

Arrivé dans la maison de Dieu, il se plia en deux pour reprendre souffle, une main sur la cuisse l'autre faisant un petit signe à l'assitance.

Pfffff pffff... bonjour... pffff ... tout... pffff... le monde.

Puis il se dirigea vers le couple à l'honneur.

Merdita, Odas, vous êtes magnifiques, je n'aurais voulu rater ce jour pour rien au monde. Dans mes bras mon ami !

Et il serra bien fort Odas contre lui.

Erwyndyll

La mariée venait d'arriver, somptueuse et magnifique... Il n'y avait vraiment pas d'autre mot. Erwyn se pencha vers elle en souriant.

Tu illumines cette journée !
Tomber dans les pommes... Hum...

Je crois que j'ai failli m'évanouir 10 fois avant d'être à l'autel...les jambres tremblantes, le coeur qui s'emballe... Ce furent les minutes les plus longues de toute ma vie mais ô combien les plus heureuses...

Elle rendit un clin d'oeil complice à son époux puis lui sourit amoureusement.

Chevalier_bayard

Bayard entra à son tour dans la cathédrale, peu après la mariée. Presque pas en retard, comme d'habitude. M'enfin c'était pas sa faute, hein... c'est vrai quoi à la fin! Il avait trois fois le tour de la Cathédrale avant de trouver un endroit ou parquer son cheval. Toutes les écuries et les étables du coin étaient pleines à craquer. Avec tout ce beau monde présent aujourd'hui...

Odas était très élégant et avait l'air si heureux! Et que de dire de la mariée, elle resplendissait ! Bayard était heureux pour eux.

Maintenant, il fallait retrouver Maé dans la foule, pour suivre le reste de la cérémonie près d'elle. Mais où était-elle ? Regard à gauche, il apperçut Chany, Jolan et sa soeur, Bique, non, pas de Maé... Regard à droite, les Comtesses, Hulrick près d'un pilier, non, toujours pas de Maé... Regard au centre, les mariés, les accompagnants, les curés (tient tout allait par paire aujourd'hui ???

), les enfants des choeurs, les...

L'était vraiment très mignonne cette enfant de choeur là... bon un bonnet un tantinet bizarre... mais... 'tendez...

re-

C'était Maé! Kék'elle faisait là ? Et comment attirer son attention avec toute cette foule ?

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Hulrick

Hulrick sentit quelque chose lui gratouiller le dos et s'aperçu que c'était son amie fréné qui venait lui tenir compagnie dans ce moment de bonheur d'épousailles. Il lui sourit en la regardant comme content de la voir, malgré un mal qui le rongeait. Il présenta à Fréné une tête affaiblie, d'un teint blanc mais caché par un sourire de fête. Son ami Odas se mariait. Le sursaut de la surprise le bouscula un tantinet mais il le cachait. Après cette intervention, il vit fréné rejoindre le futur marié pour le soutenir. Il scruta toute la cathédrale du regard, sans reellement chercher quelque chose. Il toussota puis frotta sa balafre en observant de loin Odas, fier de lui.

Odas

Même la Comtesse s'était déplaçée, il reconnu également facilement Dagoon, sa Chany, ce cher Liptis, Fenshui leur faisant à tous un petit sourire et un petit signe ainsi qu'à Bique.

Que de monde, que de monde, qu'est ce qu'Odas devenait fébrile alors que sa Merdita avançait toujours aussi lentement dans l'allée centrale.

Sa soeurette Fréné le rejoignit et il en avait grand besoin, il aquiesca à ses douces et réconfortantes paroles, la serrant très fort dans ses bras un instant, incapable de prononçer une parole.

Ca y'est il distingua enfin le visage radieux et splendide de sa louve, sa magnifique chevelure en chignon, une couronne scintillante, sa robe d'un vert-bleuté intense la mettait admirablement en valeur et tombait parfaitement, des voiles merveilleux, une ceinture de bijoux, Merdita brillait de mille feux ...

Odas en restait littéralement pantois alors que quelques larmes de joie dévalèrent ses joues sans vraiment qu'il s'en apperçoive ....

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Jolan

Jolan était arrivé légèrement en retard pour la cérémonie. Oh non, certes, il ne l'aurait loupé pour rien au monde. Mais il avait galéré à trouver de quoi se vêtir. Effectivement, il n'avait... rien! Que des haillons! Bon, il savait bien qu'Odas ne lui en aurait pas tenu rigueur, ou du moins le pensait il. Mais qu'aurait pensé Bique? Certainement pas que du bien! Et Izeliah? Et Fréné? Elles l'auraient sans doute un peu vilipendé, et le jeune homme n'aurait pu que leur donner raison.

Il avait donc fouillé une malle contenant quelques affaires de son père. Hum... Un mantel bleu ciel, des braies bleu, une ceinture couleur or, un col or également... Il n'osait y toucher. Son père avait construit sa tunique aux couleurs de Ste Ménéhould, et Jolan ne se sentait pas le courage de parader avec ses affaires. Peut être un jour... plus tard...

Il avait donc filé chez un tisserand, et avait choisi à la va-vite quelques vêtements. Il allait opter pour la couleur noire, avant de se rendre compte qu'il allait à un mariage et non un enterrement. Finalement, c'est d'une chemise, des brais jaunes, et de bottes bleus qu'il s'était paré.

Classe, se dit il pour lui même en sortant. Sauf qu'au vu de la place du soleil dans le ciel, il allait être en retard. Il courut donc, et c'est légèrement échauffé qu'il pénétra dans le calme de la cathédrale, afin de se glisser discrètement à côté de Bique. Il lui adressa un sourire d'excuse, et porta alors son attention sur Odas et Merdita.

Waouh, fut sa première pensée. L'un ou l'autre, ils resplendissaient, et ma foi, c'était beau à voir. Il tourna la tête pour essayer d'apercevoir sa soeur ou Fréné, mais il y avait beaucoup de monde déjà de présent dans la cathédrale. Il se contenta donc d'essayer de croiser le regard d'Odas pour lui faire un signe joyeux. En même temps, il se penchait vers Bique.

Ils sont magnifiques hein?

Ombeline

La jeune femme assise sur l'un des bancs un peu à l'écart observait tout ce petit monde se mettre en place. Beaucoup de visages familiers. Elle était arrivée de bonne heure. Elle avait pu ainsi allumer l'une des petites bougies mises à disposition et prier avant que la cérémonie ne débute. Ombeline choisit une place discrète et attendit songeuse. Odas fit enfin son entrée, paré d'une bien belle tenue en ce grand jour ... Il ne manquait plus que sa promise qui ne tarda pas à faire son entrée.
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Muirgheal

Enfin elle apparut au bras de Lindl , les quelques rayons de soleil et le contre jour donnait une vision auréolée comme dans un songe.
Muirgheal longeait à ce moment discretement les rangs de banc pour s'installer .

L'épousée gansée dans un robe bleu glazig, bustier doré façonné,bijoux deferlant en ceinture et pans de manches vaporeux en voile fin.
Une pure merveille à regarder. Muirgheal reteint un cri d'exclamation ! Cette beauté......
Pourvût que le Promis n'en tombe pas à la renverse !

Maè s'était faite embauchée pour la cérémonie ? Ce devait être celà pour avoir revetu l'aube, quel dévouement cette-ci !.....

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Chany

Elles étaient parvenues , non sans mal , mais Merdita était prête .
Chany gagna la cathédrale , salua les personnes qu 'elle connaissait , fit un sourire a Odas qui était lui aussi magnifique et ....

Ooh Maé !!!! mais que faisait elle dans cet accoutrement??? ,Chany secoua la tête en souriant puis alla s'assoirt

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Damefrenegonde

Après avoir fait une frayeur à Hul, Fréné ria un bon coup.
Le monde commencait à s'amasser dans la cathédrale, elle saluait toutes les personnes en souriant.
Puis elle vit le visage de son frérot s'illuminé, apparement la future mariée venait d'arriver.
La Péronnaise prit ses jupons en main et à petits pas pressés se rapprocha de l'entrée.
Oui elle était bien là radieuse à souhait, scintillante de toute part dans cette magnifique robe qu'elle lui avait confectionné dans l'urgence.
Détaillant le vêtement, la belle se sentit fière d'elle, elle aurait dû être tisserand pensa t elle avec un petite sourire de satisfaction.
Elle se rapprocha de son Odas et posa ses mains sur ses épaules tendrement.

"Elle est là mon Odas ça y est!
Quel beau couple vous formez!"

Elle déposa un bisou sur son front et alla à la rencontre de son amie.
Mais elle fut arrêtée dans sa marche par l'arrivée de Dag er Chany, bisouillant ses deux amies.

"Oh que vous êtes élégantes damoiselles!
Heureuse de vous voir!"

L'angoisse de Fréné se dissipait peu à peu grâce à tous ses amis...Mais il en manquait un...Qui n'avait pas tenu sa promesse...
Fixant la grande porte de bois elle espérait mais en vain...Elle soupira longuement, les hommes quelle drôle d'invention

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Liptis

Fenshui et Liptis, en se dirigeant vers la cathédrale, constataient combien ils étaient en retard.
Enfin, ils arrivèrent en le lieu saint et Liptis alla prendre sa place tandis que son épouse s'installait au milieu des autres invités. Arrivé près de Merdita, il lui fit un grand sourire et lui murmura un petit...

Désolé pour le retard ma tendre filleule...

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Dagoon

Dagoon etait venus a Arras pour y déposer la liste électorale
Toutefois elle s'etait preparée et mis une toilette de fete.

Son amis Odas l'avait invité a son mariage , et elle étais venu le soutenir dans la boulasse qu'il allais prendre ce soir

Mais avant la ripalle, , il fallait aller a la cathédrale pour assister a l'office.
Elle entra donc et se mis pres de la sortie et cachât sa médaille Tastevinoise de peur qu'on la traite d'hérétique
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Lndil

Vit arriver la voiture à Merdita.

Mes chers amis, je suis ravie de vous voir en ce jour.
Bonjour ma petite Merdita...

La regarde prendre son bras et lui sourit
Tu es magnifique
Lndil...dis moi, ca fait quoi? c'est possible de tomber dans les pommes? dis moi!
Rigole
Je ne pourrai vraiment te dire... beaucoup d'émotions et d'ailleur être ici m'en rappelle beaucoup
regarde sa Douce Erwyndyll qui est à ses cotés et lui fait un clin d'oeil
Je pense que ma Belle Comtesse t'en parlerait mieux ^^... mais profite en comme il faut.... n'oublie aucun moment de cet instant magique.
Mais je crois qu'il faudrait que nous nous avancions ^^... sinon c'est ton futur mari qui va avoir un malaise
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Darkdragonlord

Le prêtre remarqua de l'agitation sur le parvis, la mariée venait d'arriver, il regarda alors Odas qui devenait un peu plus nerveux. Il attendit ensuite que la promise s'approche pour la bénédiction du couple.

Lordromi

LordRomi observait tout ce monde qui était réuni dans la cathédrale. Il vit le Lieutenant etre enfin arrivé avec Jehanne, il préféra rester ici et les rejoindre plus tard. Il ne reconnut pas grand monde hormis bien sur le marié... C'est alors qu'il remarqua une enfant de choeur particulière... En l'observant plus attentivement, il n'eut aucun doute c'était la Procureure! Mais que faisait-elle dans cet accoutrement?!
Il n'eut pas le temps de prolonger sa réflexion car Merdita entrait en compagnie de Lndil et de sa femme, la Chancelière Erwyndyll...
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Bique

Bique c'était assis tout devant sur un banc, vit Odas rentrer avec son magnifique costume.

Elle en a de la chance Mémé de l'avoir notre Odas lui si parfait enfin elle supposait. Elle sourit en le voyant, lui fit un petit signe et lui envoya un baiser.

Elle salua également tout les gens qui entraient et qu elle connaissait, elle aperçu au loin un silhouette qu'elle connaissait bien, son visage s'assombrie quelques peu puis l'air de rien elle continua de sourire le coeur serré.

Bique vit Maé apparaître dans un drôle d accoutrement s installer derrière l'autel, elle ne pu s'empêcher de rire.
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Odas

D'autres invités quelque peu en retard pénétraient dans l'édifice religieux presque plein désormais. Soudain, Odas remarqua l'arrivée d'une jolie enfant de coeur qui lui rappelait étrangement quelqu'un.

Il se pencha quelque peu en avant et fut surpris de reconnaître .... mais oui son amie, sa capitaine des Taureaux, Maeva.

Evitant un fou-rire de peu, il mit la main devant sa bouche pour étouffer son heureux étonnement. Mae, une nouvelle fois faisait preuve d'une imagination débordante dont le résultat savérait-être plus que réussi et ...... drôle. Le Cambrésien lui adressa un clin d'oeil furtif.

Soudain, au loin commençant à pénétrer dans la cathédrale il cru reconnaître Erwyndyll, puis Lndil et à son bras ...... mais oui ... enfin la lumière l'aveuglait, il se trouvait si loin plaçant sa main en visière sur son front.

Pas de doutes, les contours de Mémé se dessinaient au loin. Vite vite qu'ils avançent se disait-il intérieurement. Odas, gardait les yeux grand ouverts, sans clignés, retenant sa respiration, tremblant, la bouche grande ouverte.

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Nanuccio

Le père Nanuccio entra dans la cathédrale. il remarqua son confrère le le père Yut. Il s'avanca puis lui dit :

Il faudra que je vous voit quand vous aurez deux minutes

Sokarius

Le jeune officier accourut à la Cathédrale en compagnie de Son Aimée Jéhanne.

Il entra dans l'édifice, et se signa.

Il salua les personnes présentes. Une poignée de main, un salut militaire de rigueur devant le Sénéchal, des hochements de tête, des sourires.

Il ne manquait plus que les mariés.

Leducg

Trop occupé comme toujours, Leducg failli en oublier le mariage de Mémé et Odas, il se dépêcha donc d'enfilé ses vêtement de cérémonie puis filla au gallo jusque Arras.
Une fois arrivé au abord de la Cathédrale il mis son cheval aux écuries les plus proche puis se dirigea vers l'entré du lieu saint en espérant y trouvé sa douce qu'il n'avait plus vue depuis plusieurs jours. Une fois a l'intérieur il constata qu'il y avait déjà pas mal de monde dont pas mal de visage qui lui sont familier, mais malheureusement aucune trace de Jj...
*Espérons qu'elle viendra se dit il* Il s'avança alors vers les personnes présente et les salua.

Bonjour tous le monde, ça fait plaisir de vous voir

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Merdita

Son coeur battait à tout rompre! Il lui semblait que la caleche ralentissait sa cadence jusqu'au moment où elle s'arreta. Le cocher se retira de son siège et descendit de la caleche pour lui ouvrir la porte.

Lui tendant la main, il l'aida à descendre.

Merci bien cocher

Je vous en prie

Elle remit doucement sa robe en place et redressa son regard. Personne sur le parvis...a part son ami Lndil et sa femme Erwyndill.

Soulagée, faisant des petits pas, elle les rejoignit.

Mes chers amis, je suis ravie de vous voir en ce jour.

Toute tremblottante, elle s'accrocha au bras de Lndil

Lndil...dis moi, ca fait quoi? c'est possible de tomber dans les pommes? dis moi!
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Maeva83

Elle était sur le point de renoncer à la cérémonie, tellement elle trouvait indécent de paraitre en public dans cet accoutrement...
Mais elle avait promis, et elle voulait tellement voir Merdita et Odace échanger leurs consentements qu'elle eut enfin une idée!

Elle se faufila par la petite porte à l'arrière de la cathédrale, elle trouverait bien le moyen d'assister à la cérémonie dans les coulisses!

Elle traversa discrètement quelques pièces sombres pour arriver dans l'arrière chambre de la nef, celle où le curé stockait aubes, vinasse, et tout son bazar pour officier.
C'est à ce moment là qu'elle eut une vraie idée, l'idée qu'elle attendait depuis le début, celle qui la sauverait!

Toujours discrète, elle se servit de tout ce qui pouvait lui être utile et s'apprêta. Lorsqu'elle fut enfin parée, elle siffla la moitié d'une bouteille de vin de messe pour se donner du courage.

C'est ainsi qu'elle fit son apparition derrière l'autel, aux premières loges, à la meilleure place pour voir les jeunes mariés!
Prête et déterminée à donner un petit coup de main au curé s'il en avait besoin...Sait on jamais, même si elle y connaissait rien, elle était pleine de bonne volonté!
Ah si le pépère avait été là pour voir sa tite Maé en enfant de cœur! Il en aurait pleuré c'est sûr...

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Odas

Toujours tourné vers ses amis, ses yeux restaient fixés à l'immense porte d'entrée, dégageant d'ailleurs une lumière aveuglante. Ces secondes d'attente passaient tellement lentement, il fallait qu'il se change les idées, absolument.

Balayant de son regard perçant la cathédrale, il fut heureux de reconnaître Hul gentillement taquiné par sa soeurette Fréné resplendissante dans sa robe verte. Lndil, Taka, Fidos également, que de beau monde, leur présence lui faisait grandement plaisir. Il leur adressa un petit geste de la main et un sourire des plus crispé.

Des bruits de sabots retentirent au loin, Odas se figea. Il avait une envie folle de courir pour voir qui arrivait dehors mais il se trouvait paralysé et cloué sur place. Merdita arrivait-elle enfin ? Il l'espérait tellement. Son corps bouillonait, chaud, froid, chaud, froid. Le rythme de son coeur s'accéléra drolement et il trouva une nouvelle fois du réconfort dans les yeux de Brune.

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Merdita

Respire...Respire...

Au secours!

Toute tremblante, elle avait donné soins à ses amies de s'occuper de tout...coiffure, maquillage, toilette...ah non, pas toilette!

Après un bonne heure, Merdita était fin prête! Le coeur serré, la boule à la gorge, elle sortit de chez elle, suivie des autres.

Une belle petite calèche l'attendait devant. Merdita fut émerveillée par le véhicule, il était tout simplement magnifique!

Seul problème : entrer à l'intèrieur avec la robe!

GIIINNAAAAAAAAAAAAAAAAAA

Elle accourut comme une furie et aida Merdita à monter dans la calèche. Tension palpable, Merdita essayait de respirer profondément. Ayant l'impression qu'elle tomberait dans les pommes, elle se tapota les joues.

Dans un élan d'excitation

allez cocher! A la cathédrale!

Pauvre Dada, de sa faute, il recut un coup de fouet! brrr! Mais la caleche avancait.

Des ptis trous, des ptis trous toujours des ptis trous...Presque balancée d'un cotés à l'autre de la caleche, Merdita essayait de se tenir et ralait doucement...au moins c'était bon signe : elle ralait!

Apres quelques instants, elle appercut par le hublot le clocher...Elle se rapprochait de l'Eglise...ouch
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Damefrenegonde

Fréné rendit le clin d'oeil et le laissa entrer au bras de Brune.
Elle se sentait quelque peu inutile...Elle cherchait toujours du regard son petit protégé mais rien à l'horizon...
Puis elle remarqua Hul, la belle d'humeur taquine s'avança discrètement dans son dos...Et lui chatouilla les cotes.
Elle laissa echapper un petit rire en le sentant frémir

"Bah alors on ne surveille pas ses arrières mon ami?"

Elle lui souria malicieusement

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Takanomi

Empruntant les ruelles comme à l'accoutumée,Takanomi arriva assez vite en face de la Cathédrale d'Artois,sans avoir à traverser le centre d'Arras.Ce fut tout en observant le sommet et les détails architecturaux,en fin appréciateur de toute beauté,qu'il gravissait les marches du parvis.

-Cela mérite bien une petite visite nocturne,se dit-il.

Tout de noir vêtu,il se faufila dans l'obscurité,histoire de bien prendre connaissance de la topographie des lieux,en vue d'une éventuelle visite postérieure.Sans la voir,il sentit une porte ne bois,il ne lui fallut pas une seconde pour comprendre qu'elle descendait dans les caves et deviner le contenu de celles-ci.

-Fichtre,un vrai labyrinthe! s'empressa-t-il de faire remarquer à un "cureton" qui avait passé par là,balayant tous soupçons potentiellement dérangeants.

Il poussa l'un des battants de la grande salle,laissant pénétrer beaucoup de lumière,attirant par là-même les regards de certains...et d'Odas,debout tout au bout et à qui il adressa un petit signe.

Il se demandait quelle sensation désagréable devait avoir Merdita,en pénétrant dans cette salle.Resté debout sur les côté de la grande porte,contre le mur,il observait les différents visages connus,le visage grave et impassible.

Peut-être était-il venu trop tôt car déjà,il voulait s'en aller prendre l'air.Il avait aussi difficilement que pour leur baptème,accepté leur invitation.Mais,assurément,il avait bien d'autre motivations que seul lui en savait la consistance.
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Lndil

Lndil arriva calmement à la cathédrale.

Merdita l'avait demandé d'attendre devant les portes.
Vu les rayons du soleil qui pointaient, il l'attendit avec encore plus de gaieté au coeur.
D'autant plus heureux qu'il avait sa Douce à son bras.
Mon Amour, te rappelles tu de la dernière fois où nous étions ici.
Sourire puis lui l'embrasse sur son front.
Que de bons souvenirs et quelle belle vie à nouveau à tes cotés...

Il regarda au loin, espérant de voir Merdita arriver.
Il avait pu voir son amie Brune rentrer avec son fillot, le futur marié.
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Noeliana

...Noé regarda de partout mais ne le vit pas, elle alla saluer tout les personnes présente et revint auprès de Nit'...

Bon, on s'avance, je langui de le voir ce mariage, notre Mémé se marie aujourd'hui !! C'est fantastique !!

Hulrick

C'est alors qu'il vit Odas au bras de sa marraine. Heureux pour lui, on pouvait sentir son excitation de bonheur monte en lui. Il avait l'air de regarder les présents sans vraiment les voir. Il était tellement impatient et rempli de joie, qu'il semblait être perdu dans ses émotions. Odas n'avait il pas vu la présence d'Hulrick, son ami cambrésien ? Peut etre trop occupé à rejoindre sa douce pour marquer leur amour, par le sceau de Dieu et de l'amour ! Hulrick s'avança contre le mur en suivant la marche d'Odas qui lui progressait dans l'allée vers l'autel. il se stoppa et s'adossa à un pilier discrètement, observant son ami s'avancer vers le serment d'amour.

Muirgheal

Il parraissait fébril le Futur malgré le soutien de dame Brunehaut et de l'autre jolie damoizelle.
Ceci dit le monde s'amassait dans la cathèdrale et sa Promise toujours absente. Quelle impossible attente!
L'était sûr moins à l'aise que dans la peau du souleur où du troubadour!
Ah, mais tiens, il m'a remarquée .En effet balayant du regard les somptueuses décorations elle croisat le sien .
Bon s'agissait de déposer son présent apporté, lui trouver une cachette ! De l'alcool même dissimulée parmi des fleurs ce n'est pas trop d'usage ici lieu!
Pourquoi pas dans le recoin du confessionnal, recouvert de mon étole?

Bourgeois

Nitro arriva dans la cathédrale il regarda autour de lui et ce demandait si il étais en retard... n'ayant reçu aucune invitation, il est obligé de s'incruster.

Noeliana

...Noé entra de la cathédrale, elle était vêtue d'un robe bleue, scintrée à la taille et fesant ressortir ses hanches, un corset parcourait son ventre et venez l'ensserrer en se nouant par l'arrière, sa chainse écrues en lin laissé apparaître les épaules dénudées, dans un ovale qui cache, scrupuleusement, la gorge...

...Elle avait les cheveux d'un blond brillant, qu'elle avait détaché pour l'occasion et qui venaient jouer sur reins...

...Elle posa un regard timide sur les personnes, et reconnu tout de suite Nitro planqué dans un coin, elle le rejoignit...

Coucou !!
Ne te cache pas voyons, Max est là ?! Tu l'as vu ?!

Odas

De nombreux amis, Artésiens faisaient leur entrée dans la cathédrale magnifiquement décorée pour l'occasion. Il salua chacun d'entre eux et fut heureux de remarquer la présence de Muirgheal. Après un clin d'oeil à sa soeurette Fréné, un gros bisou à son Maurin dans les bras de Toinette, qu'il fallait faire son entrée au bras réconfortant de Brune.

Il inspira un long moment puis regardant d'un oeil confiant sa marraine :

Quand faut y aller, faut y aller !! Je reste suspendu à ton bras !!

Les voilà qu'ils s'avançaient douçement dans l'allée centrale. Que c'était impressionant de voir tout ce monde souriant, se retournant à leur passage. Odas leur adressait à tous sans exception un sourire radieux et remarqua même certaines têtes qu'il n'avait point salué auparavant.

Une grande émotion s'emparait de tout son être. Arrivant devant l'autel, il bisouilla chaleureusement Brune sur la joue et la remercia d'un hochement de tête. Le Cambrésien salua une nouvelle fois le Père Dark ainsi que le Père Yut et se retourna vers l'assemblée.

Il regardait au loin, tellement impatient de voir apparaître sa louve. Tellement d'yeux se posaient désormais sur sa personne, que cela était effrayant et à la fois merveilleux, tous là pour son mariage.

L'Artois l'avait accueilli comme jamais à l'époque, il s'en souviendrai à tout jamais, il avait l'Artois dans le sang, dans le coeur, des amis fidèles et nombreux, sur qui il pouvait compter. De nombreuses images repassèrent dans sa tête, il vibrait, il tremblait mais il souriait. Les sourires de ses proches le réconfortaient et il donna ca et là des petits signes de la main.

Mais qu'est ce que ces minutes étaient longues ...... il trépignait d'impatience .. vraiment ....

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Bourgeois

Euh... je ne sais pas, par là, par là bas, je ne sais pas, désolé...

Hulrick

Hulrick entra dans la cathédrale pour saluer son vieille ami Odas qui l'avait invité. Croyant etre en retard il se mit dans un coin pour observer où en était la cérémonie. Il remarqua l'arrivée de quelques invités, cherchant Odas du regard. Il enleva sa capuche, découvrant son visage balafré mais souriant.

Fidos

fidos arriva à la cathédrale d'Arras la cérémonie est à peine commencée il salua discrètement tout le monde avec un signe de la tête ( une fois pas coutume il a évité ses pelles ^^) il se plaça au milieux pour bien suivre le reste de la fête

Izeliah

Izeliah se demandait ce qu'elle était venue faire dans cette galère... elle ne le sentait pas trop là. habillée en fille, en plus. Et puis les églises, ça lui rappelait que trop la mort de ses parents. Enfin, des fois, fallait faire des efforts et des concessions.

Elle regarda la tenue de Maéva et ne pu s'empêcher de rire.

c'est la mode de la saison prochaine ça ?

Bonjour bique, Bonjour Odas, Bonjour lordromi, Bonjour fréné... Bonjour l'inconnu que je ne connais pas elle s'adressait à max moi c'est Izeliah.

Elle continua de suivre le mouvement, ne sachant trop quoi faire.
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Muirgheal

Avant d'être subjuguée par la splendeur intérieure de l'édifice elle fut époustouffléé par la vision d'un splendide jeune homme en habit mordoré,guêtres assorties,manchettes ciselées, pince de cape et boucle de ceinture incrustées.
Son petiot présent , l'était dans les bras ........ d'une nourrice ? (trop bellement habillée pour sa condition!)
La hauteur de voûte, la profondeur de la nef tout paraissait à Muirgheal à la stature de l'évènement.

Jusqu'ici tout était parfait. Elle n'était pas remarquée, passait totalement ......invisible!Quelle chance !

Lordromi

Tiens tiens bonjour Izeliah! Tu vas bien? Tu es resplendissante aujourd'hui!
Ta naturalisation, c'est pour bientot? J'aimerai bien etre présent!

Il sourit à la jeune fille pour la mettre à l'aise...
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Maxlevaillant

Max parlais toujours avec romi et dit:

Tu as vu on e les seul du fort a etre ici ^^, ils vont se faire tirer les oreilles les autres!!!!!

Max attendais avec romi quand une inconnue viens se presenter et repondit:

Mon nom est maxlevaillant, aspirant a l'ost, camarade de sire lordromi et de dame merdita enchantée demoiselle Izeliath

Brunehautdartois

Elle fut soulagée quant elle le vit reprendre des couleurs, mais quand il ouvrit la bouche...horreur et damnation mais c 'etait quoi ce hoquet!
Oups il va avoir l'air fin si ça ne lui passe pas au moment du oui!

Tu n'etais peut etre pas obligé de tout boire! Bon plus qu'à espérer que ça te passe.

Toinette s'occupait maintenant de Maurin, les invités s'amassaient sur le parvis peut être était il temps d entrer avant l'arrivée de la mariée.
Elle regarde Odas toujous accroché à son bras, le trouve en état, et demi tour droite, direction la grand porte de la cathédrale, elle regarde derrière elle et interpelle les autres.

Si ces messieurs dames veulent bien nous suivre......puis à l'attention d'Odas. Allez mon ami, la dernière ligne droite, tu vas etre bien entouré...

D'un pas lent, ils s'avançèrent à l'intérieur de l'edifice, remontant l'allée centrale jusqu'à l'autel, elle souria au père Dark, deposa une bise sur la joue d'Odas, puis s'éloigna de quelques pas prenant place sur une chaise sur le coté.

Mon père je vous le confie, sa future ne devrait pas tarder...
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Darkdragonlord

Le prêtre se préparait tout en regardant les gens qui continuaient d'entrer dans la Cathédrale.

Yut

Le Père Yut entra dans la Cathédrale, vêtu de son habituelle soutane violette.

Bonjour à vous , mon Père. Je peut faire quelque chose pour vous aider? La sacristie?
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«Tout homme est disposé à accepter un prix, même pour ce qu’il espère ne jamais avoir à vendre. »

Darkdragonlord

C'est possible mon ami, la cérémonie est encore très jeune.

Lordromi

Citation:

OHH!!Bonjour Romi, vi, vi vais très bien merci, le bonnet, heuu oui, fait encore un poil frisquet. Heuu... et vous? Vous allez bien? Vous vous êtes endimanché, vous avez la classe ainsi vêtu Romi!

Oui merci, je vais bien!
Vous trouvez vraiment?! Eh bien c'est fort aimable...

Il ne fit aucun commentaire sur la tenue de Maeva...

Citation:

Ouhlà! Romi s'cusez moi, faut que je file me changer de suite, tout le monde arrive et me voilà encore en tenue de gueuse boudiou!

Oui, d'accord à bientot à la procure si l'on ne se revoit pas tout à l'heure

!
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Damefrenegonde

Fréné ne resta pas seule bien longtemps, Bique ainsi que la soeur de Jolan arrivèrent.
Le temps de papoter un peu et le futur jeune marié fit son apparition.
Fréné le coeur au bord des larmes le détailla. Il était magnifique dans le costume qu'elle lui avait confectionné!
Elégant à souhait avec sa cape, cela lui donnait de l'assurance, à n'en pas douter son frérot était prêt pour sauter le grand pas!
Elle l'accueillit en le serrant très fort dans ses bras, mais elle sentait que derrière la bonne mine qu'il affichait, une anxiété certaine le rongeait.
Elle esquissa un sourire

"Mon Odas tu es merveilleux.
Je suis si fière de toi!"

Les larmes plein les yeux elle le laissa entrer dans la cathédrale et se retrouva avec un petit bout dans les bras.

Voilà bien longtemps qu'elle n'avait pas pu profiter de Maurin, elle le regardait trendrement et posa délicatement un bisou sur son front tout doux.
Puis elle lui chuchota

"Bonjour Maurin
Alors comme ça ton papa et ta maman vont se dire oui aujourd'hui, tu dois être tout content hein?"

Le bébé répondit par un merveilleux sourire et quelques gazouillis.
Puis ce fut au tour de Brune de faire son apparition. Très élégamment vêtue elle s'approcha d'elle, la salua et lui présenta la jeune femme qui allait jouer le rôle de la nourrice pendant la cérémonie.
Fréné la salua à son tour

"Bien le bonjour Brune!
Heureuse de te voir!
Contente d'apprendre que Toinette se chargera de Maurin car justement je me posais la question."

Elle l'embrassa tendrement le petit et le remit donc dans les bras de sa nourrice.
Brune lui demanda où se trouver Odas, Fréné eut à peine le temps d'ouvrir la bouche, que le jeune homme arriva pâle et fébrile.
Laissant le soin à sa marraine de s'occuper de lui et de le remonter, elle essayait à son tour de se calmer.
Fichtre il avait réussi à lui refiler ses angoisses!

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Muirgheal

En quittant le centre de Cambrai elle fût interpellé par un coursier.
Dame,dame, une missive à votre intention!
Celle-ci venait de dame Brune, lui fournissant détails et lieux des Festivités en réponse à son courrier.

[Arrivée dans Arras]

Elle traversa la place pour se rendre à la cathèdrale,elle faisait appel aux souvenirs de ses séjours ouvriers ici et à son sens de l'orientation.
Ouh là des marches à grimper pour atteindre le parvis ! Ne s'était pas encombrée de son bâton, dèjà assez chargée.
Oh la foule ,et pi ,de bien jolie dames en superbes tenues. ( robes issues de Grands Tisserands_ probablement Sieur D. où St-L de Renommée... ).
Tant mieux Bique qu'elle connait un' ti 'peu est là ,également la jeune joueuse de la Soule et une blonde avec sa gamine (croiséey'a un bon moment en taverne).
Tiens ,not'procureur Maé aussi, son dernier match contre des Fantômes-clowns lui a laissé kèke traces ! l'avait un biau chapeau ...l'avait sur la tête surtout, mais c'est un chapeau çà ?
Pourquoi des fentes de chaque côtés ? L' a pas de si grandes oreilles ke les .... pour les passer là ?

Maeva83

Concentrée sur les bans qu'elle lisait et relisait réfléchissant encore à la date, au jour etc... Elle sursauta lorsqu'elle entendit Romi...

Tiens, bonjour damoiselle Maeva! Vous allez bien?! Je vois que vous avez mis, le bonnet qu'Hulrick vous a offert...

OHH!!Bonjour Romi, vi, vi vais très bien merci, le bonnet, heuu oui, fait encore un poil frisquet. Heuu... et vous? Vous allez bien? Vous vous êtes endimanché, vous avez la classe ainsi vêtu Romi!

Arriva Bique qui la bizouilla comme si de rien était... Elle aussi était bien mise, et Maé se sentait de plus en plus mal à l'aise avec ses braies trop grandes (en fait celles qu'elle avait piqué à Bayard dans l'obscurité avant son départ), ficelée sous la poitrine, ses bottes crottées et son étrange bonnet...
Cerise sur le gâteau, arriva un beau jeune homme qu'elle ne connaissait pas encore et que Romi lui présenta...

Tiens, tiens salut Max! Pour une fois que tu arrives à l'heure!
Je te présente Maeva, notre Procureure!
Maeva, je te présente, Max, aspirant pour rentrer dans l'OST!

Enchantée, ravie de faire votre connaissance Messire Max!

Voyant qu'il arrivait de plus en plus de beau monde, Fidos, Brune, Odas...

OOOODAAAAASSS

Ouhlà! Romi s'cusez moi, faut que je file me changer de suite, tout le monde arrive et me voilà encore en tenue de gueuse boudiou!

Un plan d'urgence...il lui fallait un plan d'urgence...Elle regardait partout autour d'elle et ne voyait pas qui pourrait lui venir en aide...(aller retour à Cambrai, gnétait pas potib, elle allait tout rater!) En attendant qu'une idée lui tombe du ciel, elle partit se cacher dans le petit renfoncement de la sacristie...

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Odas

Un coup chaud, un coup froid, de la sueur, des tremblements, des fourmillements, oui, Odas tanguait dangereusement. Il se sentait défaillir quant un bras tout de rouge vêtu vint à point nommé le secourir d'une chute certaine devant tous ses amis.

Il releva son museau, prenant quelques secondes pour retrouver ses esprits, découvrant sa marraine Brune, un ange gardien, gracieuse et somptueuse dans une robe rouge qui lui allait merveilleusement.

Odas se serra contre elle et lui chuchota :

Tu tombes bien, je crois bien que j'allais m'étaler, roo, oui tu as ramené de la mirabelle !!! Ohh tu es géniale !!

Le Cambrésien se recroquevilla pour ne point se faire repérer et vida d'un trait la fiole. L'effet fut immédiat, il se sentait immédiatement requinqué, plus que cela même.

*hips* Cette mirabelle est *hips* délicieuse *hips*, un grand merci *hips*.

Odas mit la main devant sa bouche espérant que ce hoquet ne soit que passager, il avait un peu trop forçé sur la mirabelle. Il se redressa et essaya de proposer à ses amis une mine joyeuse et quelque peu crispée.

Me *hips* revoilà !!

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Muirgheal

[la veille et l'aube de ce samedi]

Sortant de l'église de Cambrai où elle avait remercié Aristote de cette providence ,de retour chez elle, se rendit puiser l'eau, des seaux et des....à remplir tout un baquet (de sa confection bien sur).
L'excitation l'empêcha de fermer l'oeil. Pourvût qu'elle ne soit pas trop frippée et, même plus de lait disponible hier au marché pour adoucir l'eau et sa peau ! Faudra se rincer à l'eau froide (glacée) pour raffermir les tissus .
Il était si tôt, elle ne serait pas en retard.
Sa robe se présentait bien ,simple mais état parfait.Sur ses épaules pour la réchauffer de cette saison encore hivernale ,une étole attenant à sa capuche (fourure bouclée,noire) qui lui venait...d'où dèjà ?...manque encore certains souvenirs !
Ah !...surtout le baluchon dans lequel ranger ses chausses bleues ,les bottes seront plus appropriées pour marcher,puis retrousser délicatement sa robe ne pas la laisser trainer.
A pieds et au bon vouloir d'un charretier compatissant sur la route d'Arras, son cadeau à porter . Elle a rassemblé pour celui-ci une bouteille de vieux L....brezhou, gardé depuis sa bourgade d'origine camoufflée au creux de fleurs blanches (occasion oblige) et corbeille d'osier habillée .

Fidos

dur ...dur de se lever tôt après une longue soirée bien arrosée , mais fidos savait qu'il doit faire quelque chose ce samedi ,il essaye de se rappeler quoi , il est certain que cette chose est très importante ??? sa tête est lourde ...
il sortit sa tête de la fenêtre ,il c'est rendu compte qu'il est pas à cambrai !!! il est à Arras !!! bizarre ,il se demanda pourquoi suis je ici ??

odas .... la mariage d'Odas ... oui c'est ça !!

il se dépêcha de se préparer pour regagner l'église

Lordromi

Tiens, tiens salut Max! Pour une fois que tu arrives à l'heure!
Je te présente Maeva, notre Procureure!
Maeva, je te présente, Max, aspirant pour rentrer dans l'OST!
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Brunehautdartois

Le coche arrivait enfin dans la capitale Artésienne, Brunehaut espérait ne pas être trop en retard, ni que la cérémonie ne fut commencée, elle avait promis à Odas de lui donner le bras pour avancer jusqu'à l'autel, elle serrait contre elle sa petite pochette qui contenait les alliances, son coeur battait un peu plus fort au fur et à mesure qu'elle voyait s'approcher la cathédrale..
Enfin arrivée aux pieds des nombreuses marches qu'il fallait maintenant gravir pour atteindre le parvis,elle descendit du coche, leva les yeux vers le ciel, le temps était mitigé, entre gris et gris bleu, pourvu que la pluie ne vienne pas s'inviter.
Suivait de près Toinette, la femme de chambre de Brunehaut, elle prendrait soins du petit Maurin le temps de la cérémonie, elle s'en était d'ailleurs parfaitement occupée dans la matinée le temps que le marié se prépare.

Relevant les pans de sa robe pour monter l'escalier, elle salua en passant les personnes qui se pressaient tout comme elle....Une fois sur la parvis elle se détendit, Fréné s'y trouvait, le petit Maurin dans ses bras, quelques cambrésiens dont Maéva, et deux arrageois qu'elle connaissait egalement, elle lança un grand bonjour à la cantonnade, souriant à tous et cherchant maintenant du regard où pouvait se trouver Odas.

Bonjour Fréné, saurais tu où se trouve notre fillot?

Se tournant vers sa femme de chambre, elle la présenta à Fréné.

Voici Toinette, elle va prendre soins de Maurin le temps de la messe, à cet age ça peut paraitre long ces cérémonies.Si tu veux lui confier dès maintenant.

Brunehaut en profita pour déposer un doux baiser sur le front de l'enfant tout sourire qu'il était comme à son accoutumée.

A peine le temps de poser la question à Fréné qu'Odas apparaissait, pâle comme un linge, rapidement elle s'avança vers lui et lui offrit dejà son bras.

Hé bien mon ami, tu ne vas pas nous faire un malaise quand même, tu deviendrais nerveux que ça ne m'etonnerait pas, pourtant tu n'es pas à ta première fois.

Elle se voulait légèrement taquine, le faire sourire un peu le détendrait surement, quoiqu'elle avait un autre remède à lui proposer, dans sa fameuse petite pochette, elle avait emmené avec elle une petite fiole contenant un peu de sa spécialité, là il y avait urgence Odas avait besoin d'un remontant, aussi discrètement que possible elle lui tendit la dite boisson.

Tiens, bois en un peu, ça te donnera des couleurs!
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Maxlevaillant

Max arriva dans la cathédrale et remarqua qu'il n'etais pas en retard pour une fois, il entra donc et reconnu quelques cambraisienes et leur fit signe de la mai puis il se dirigea vers lordromi qui etais en discussion avec une dame qu'il ne connaisait pas.

Salut, romi, bonjour dame, Tu as vu je suis pas en retard pour une fois ^^

Gabbie

Gabrielle arriva à son tour, tenant la petite Lucy par la main. Toute deux s'étaient faite une petite beauté pour ce grand jour.
Quand elles arrivèrent, déjà plusieurs personnes étaient présente. Gabrielle bizouilla ses amis et alla prendre place sur un banc, avec la petite demoiselle...
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Odas

[Arrivée à la cathédrale d'Arras, Brune traînant derrière]

Brune, youhouuu, tu n'es pas prête, roooo !! Bon nous partons devant avec Maurin, ne trainalle pas trop hein, pas le jour de mon mariage !!

Voila que Maurin et Odas se mirent en route pour Arras, non loin de là. Heureusement, les chemins se trouvaient secs et agréables à arpenter. Il ne voulait surtout pas tacher ni froisser le splendide costume qu'il revêtait.

A leur entrée dans la capitale Artésienne, ils ne passèrent pas inaperçus, de nombreux villageois s'arrêtant. Odas les saluait poliment et les invitait même à la cérémonie, Maurin, lui ayant droit à de nombreux sourires et bisous, ravageur qu'il était.

Enfin, la cathédrale était à vue et il fut heureux de reconnaître bon nombre de ses amis déjà arrivés ainsi que le Père Dark. Il rigola même voyant Maé non loin de lui quelque peu affolée :

Merci d'être venue Mae, en voilà une tenue ingénieuse et décalée, cela ne m'étonne point de toi par contre .....

Il glissa un petit mot à son oreille :

C'est normal de porter ces mini-braies sur ta tête, hein, dis ?

Ensuite, il se dirigea vers sa soeurette Fréné, Ize, Bique toutes trois resplendissantes et ne manqua pas de saluer également Gabbie, la jolie petite Lucy ainsi que Max et Lordromi. Il leur adressa à tous un bisou sec de circonstance, il fallait le noter.

Bonjour tout le monde, merci d'être là !! Quelle belle journée !! Vous êtes ravissants tous autant que vous êtes, soeurette, tu t'es encore surpassée je vois, félicitations et encore merci pour mon magnifique costume, il est vraiment superbe et me va parfaitement. Brune, ne devrait pas tarder à arriver, elle est à la traîne. Au fait, quelqu'un aurait des nouvelles de ma louve, de ma Mémé, de ma Merdita ? C'est que je l'ai le trac moi, dis-donc !! D'ailleurs, je vais aller saluer le Père Dark, je reviens tout de suite.

Il déposa délicatement Maurin dans les bras de Fréné et se rapprocha du Père Dark :

Bonjour mon Père, me voilà, merci encore d'officier et nous avoir guider devant le Très-Haut. Je vois que tout le monde est entrain d 'arriver, tout s'annonçe parfaitement. On va encore patienter un peu que la cathédrale se remplisse.

S'en retournant vers ses amis, Odas chançela quelque peu :

Ouh la, j'espère ne pas faire un malaise, c'est que ca me travaille, me chamboule tout ca, tellement d'émotions ......

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Bique

Bique arriva a la cathedralle , la meme dans laquelle elle s etait faite baptiser et elle en gardait un bon souvenir. Elle sourit en entrant a l interieur. Elle y appercu Fréné, Izeliah et Maé elle les bizouilla.
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Lordromi

LordRomi arriva aux abords de la cathédrale. Il avait pris de l'avance pour etre sur d'arrivé bien à l'heure au mariage de Merdita.
Il s'approchait du parvis, quand il vit la Procureure lire les bans.

Tiens, bonjour damoiselle Maeva! Vous allez bien?! Je vois que vous avez mis, le bonnet qu'Hulrick vous a offert...
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Izeliah

Izeliah n'avait pas oublié. Elle ne risquait pas ceci dit, on le lui avait tellement répété et puis elle l'avait promis à Odas. Elle avait,comme à chaque fois qu'elle faisait attention à sa mise, relevé ses cheveux en chignon. Quelques mèches tombant le long de sa nuque. Elle avait mis un peu de rouge sur ses lèvres. Histoire de se donner bonne mine. Elle enfila son unique robe. Elle se regarda. Si elle avait eu les cheveux noir comme ceux de sa mère et ses yeux noirs on aurait pu les confondre. Elle caressa machinalement le collier de perles de sa mère et ajusta l'alliance de cette dernière.

Et voilà, en route, jeune demoiselle.

Elle n'avait personne à qui plaire, si ce n'est elle même peut être. Elle savait son frère venir de son côté. Elle, elle irait seule. Comme une grande. Elle soupira et prit la route.

Elle arriva prêt de la cathédrale d'Arras, elle ne savait pas si elle devait attendre ou entrer. Elle n'était pas très portée sur les choses religieuse. Elle laissait ça à Jolan. Elle prit le parti d'attendre ses frères sur le parvis. elle rentrerait avec eux, en serrant son petit frère contre elle. Elle n'aimait plus les églises depuis la mort de ses parents. Elle n'y allait même plus. Mais ce jour là, elle devait le faire. Pour Odas, ça lui ferais plaisir. Elle soupira de nouveau
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Maeva83

Elle s'était levée aux aurores pour faire une inspection de tous les terrains de soule artésiens, une commission de sécurité s'était annoncée et parait il que dans certains stades des royaumes, les gradins n'étaient pas conformes et manquaient de s'effondrer sous le poids des visiteurs.

Ça risquait pas d'arriver en Artois, Maître Stilicon avait pourvu à tout, connaissant le nombre considérable de supporter en Artois.

Fière de la solidité et de la beauté des stades artésiens, Maé remonta ses braies jusque dessus son nombril, et enfila le joli bonnet rose et bizarre que Hul lui avait offert la veille à la procure http://img138.imageshack.us/img138/3129/cadeaupourma.jpg , il était temps d'aller se rincer le gosier en taverne avant de reprendre la route de Cambrai.

Habillée comme le plus basique des pèquenot du coin, un rien crottée, elle traversait la place incognito, lorsque par curiosité elle jeta un œil sur les bans publiés devant la cathédrale.

Mortecouilles! Les noces d'Odas et Merdita! Aujourd'hui!

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Damefrenegonde

[Chambre de Fréné- Hôtel d'Arras]

Fréné depuis son arrivée dans la capitale pour aider Mémé, était restée sur place pour le jour J.
Elle avait pris une chambre dans l'hôtel de la commune afin d'être fraîche et disponible de bonne heure.

Le chant du coq l'éveilla très tôt, la belle qui n'avait que très peu dormi à cause de son excitation, marmonna en essayant d'ouvrir un oeil.
Les cheveux dans tout les sens tel une lionne elle se releva pour essayer de reprendre ses esprits.

"Bon quel jour on est?...mmmh...."

Puis regardant autour d'elle à moitié endormie

"Où suis-je??..."

Les idées se remettant en place petit à petit...

"Bong sang mais oui c'est le mariage de mon frérot!!!!"

D'un bond elle se leva, courut pour appeler un domestique mais se tapa fortement le gros orteil contre le pied massif de son lit.
Pestant tout ce qu'elle connaissait comme vocabulaire vulgaire elle fit tinter la cloche en sautillant.
Quelques minutes passées et un jeune page arriva, un plateau chargé de bonnes choses.
Après tout au prix qu'elle payait sa chambre elle avait bien droit à un petit déjeuner copieux!
Se restaurant en essayant de garder son calme, la Péronnaise ne cessait de penser au futur mariage...Mais aussi à sa charge de témoin...Arf serait elle à la hauteur?...
Une fois terminé elle rappela le jeune homme qui la débarassa et lui proposa de lui envoyer une femme de chambre pour l'aider à se préparer.
Fréné refusa l'offre elle préférait le faire seule.
Une fois le serveur congédié, la belle posa un regard dans son petit miroir.
Un grand soupir de désarroi se fit entendre, bonjour la tête du levé...Il allait falloir user de beaucoup de stratagèmes pour paraître présentable...
Pas une minute à perdre, elle prit la bassine d'eau fraîche qui avait mise à sa disposition et commenca sa toilette.
Quelques essences de rose pour sentir bon, application d'un baume à la lavande sur son visage pour détendre ses traits.
L'heure était venue de revêtir sa robe qu'elle avait pris soin de confectionner pour l'occasion.
Une magnifique houppelande d'un beau vert amande, une jolie ceinture dorée pour souligner sa taille fine.
Elle termina enfin en brossant soigneusement sa longue chevelure cuivrée.
Elle décida de les laisser détachés, cela faisait plus naturel. Juste un joli diadème posé délicatement sur le haut de son front.
Elle était enfin prête!

Un dernier regard dans son miroir, bon c'était mieux qu'avant.
En route vers la cathédrale!

[Cathédrale d'Arras]

Enveloppée dans une cape de mousseline blanche, la belle se hâtait dans les ruelles en cette matinée fraîche.
Son coeur battait à tout rompre, son frère de coeur allait se marier!
Quelle belle journée en perspective!
Elle arriva aux portes de la cathédrale, aucune tête connue pour le moment...Elle salua le père qui allait célébrer la cérémonie et se posta sur les marches.
Elle guettait...Elle espérait voir arriver son petit protégé qui lui avait promis d'être à ses côtés en ce jour si important.
Jouant nerveusement avec un pan de sa robe elle attendait...

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Darkdragonlord

Excellente journée ce samedi pour le mariage de ses amis se dit le prêtre en entra dans la Cathédrale d'Arras. Il s'approcha du bénitier comme il avait l'habitude de le faire dans son Église, il trempa alors ses doigts et se signa. Il se dirigea ensuite vers l'autel, y déposa son livre des Vertus et vérifia que les éléments aristotéliciens sont bien là : le brasier pour le feu, la pierre taillée pour le sol, l’encensoir pour l’air embaumé, la vasque pour l’eau,dès que l'Ether sera là.

On avait déposé du bois à brûler dans l'âtre, pour réchauffer l'endroit, la Cathédrale était splendide avec toutes ses décorations, ensuite il se rendit aux portes de l'Église au son des carillons qui appelait les fidèles.

Le père DarkDragonLord entra avec ses paroissiens en chantant.

Odas

[Sur les Terres D'Oblinghem]

Vite vite, il ne fallait surtout pas se mettre en retard, ah non !!! Pas possible le jour de son mariage, intolérable même !! Etant gentillement hébergé par sa marraine Brune dans son magnifique château il sursauta en entendant les cloches de la cathédrale.

Rooo, vite Brune, faut que je m'habille, faut préparer Maurin aussi, ne pas oublier les alliances, te parer de ta plus belle robe toi aussi, j'espère que le soleil ne se cachera point, et si nos amis ne venaient pas, et si et si ....

Odas se sentait quelque peu dépassé par les évènements, il tremblait malgré qu'il ressentait une immense fierté. Il allait dire oui à Merdita.

Assez révassé, après une bonne toilette, il passa donc son costume qui lui allait comme un gant. Brune surveillait que rien ne dépasse, donna un dernier coup à ses cheveux, il se parfuma légèrement également. Il se regarda dans la glace et fut satisfait du résultat ce qui lui redonna le sourire.

Pas mal n'est-ce pas ?

Il prit Maurin, beau comme un coeur dans ses bras, vérifiant qu'il n'oubliait rien.

J'allais oublié les alliances, je te les confie Brune !! Allez, en route pour la Cathédrale, hop hop hop !!

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Carbonnel

Carbonnel remercia l'Archevêque.

Monseigneur, vous êtes pour moi un exemple de tolérance et de piété, j'essaierai de marcher dans vos pas.

Puis il se dirigea vers ses amis qu'il salua à tour de rôle.

Merci à toi Odas d'être venu, je vois que le petit Maurin grandit de jour en jour, il va bientôt pouvoir rejoindre les Taureaux.

Merci Fréné, Chani, Omby, Néfi merci à tous. C'est grâce à vous et à vos encouragement si je suis arrivé jusqu'ici. Si vous n'aviez pas été présents dès les premiers instants de sacerdoce et par la suite, comme Leberserker, je ne sais pas si j'aurais eu la force de continuer. Et merci au père Darkdragon lord d'être venu ainsi qu'aux diaconesses Lou et Nirina d'avoir assisté Monseigneur, cela fait chaud au cœur de voir de nouvelles vocations religieuses naître en Artois.

Nefi

nefi était ému de la cérémonie et fut tiré de ses pensés par les paroles de ombeline.

oui je suis heureuse moi aussi d'avoir été présente ce jour. et heureuse pour carbo... oups va falloir que je m habitue à l'appeler mon père c'est pas gagné

oui tu as raison allons le féliciter...

suivent ombeline de prêts elle joint ses félicitations à celle de son amie.

félicitation mon père. j'espère tes choix t apporterons la paix et le bonheur.
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Auberge Amoreta

Odas

Accompagné de Maurin, Odas arriva bien au delà de la cérémonie. Enfin heureusement, tout le monde se trouvait encore dans la cathédrale et saluant d'un hochement de tête ses amis et d'un petit sourire il alla saluet et féliciter Carbo à la suite de Nefi :

Désolé de n'être pas venu assister à la cérémonie Père Carbo, mais bon hein, félicitations en tous les cas, nous sommes fiers de toi, te voilà nouveau prêtre. C'est toujours un plaisir que d'assister à tes sermons, au plaisir de te revoir très vite mon ami ... et Père .. et prêtre.

Il sourit, laissa sa place et se rangea tout près de sa soeurette Fréné.

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Damefrenegonde

Fréné toujours en retrait avait suivi avec attention la cérémonie.
Ceci était un grand jour pour son cher ami Carbo, lui qui rêvait de vouer sa vie au très Haut.
Puis elle se souvint des merveilleux sermons qu'il avait orchestré à Péronne, toujours pleins de vérité. Des messages porteurs d'espérance, de tolérance et d'amour.
Oui elle en était certaine il ferait un très bon prêtre et elle espérait que sous peu il recommencerait ses sermons tant appréciés.
Elle fut sortit de ses songes par l'arrivée de l'Evêque et de Carbonnel.
Dans un sourire elle salua les deux hommes de foi et félicita son ami.

"Heureuse pour toi chez Carbo.
En espérant te revoir sur Péronne sous peu"

Pas le temps d'en dire plus Messire Ottobismarck emporté avec lui le nouveau prêtre pour saluer le reste des fidèles...

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Ombeline

La jeune femme écouta chacune des paroles dites. Carbonnel semblait transpirer de joie...grand moment sans doute pour lui, qui avait enfin trouver sa voie. L'aumonier de l'Ost, Père Darkdragonlord, qui assistait Monseigneur Ottibismarck confia à Carbo l'étole, la chasuble et le médaillon. La cérémonie prenait fin. Elle se signa, puis se tourna vers sa voisine.

Belle cérémonie, n'est-ce pas Nefi ? Je suis contente de ne point l'avoir raté. Je vais aller le féliciter, m'accompagnes-tu ?

Elle se leva dès que son amie lui répondit et prit la direction de la sortie. Elle s'arrêta devant Carbo.

Toutes mes félicitations et bonne continuation à toi.
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Ottobismarck

Maintenant que tu es dans la grande famille des prêtres, va et répands la bonne nouvelle !

L'évêque mit sa mître pour procéder à la bénédiction épiscopale

Le seigneur soit avec vous

Et avec vous

Et que Dieu tout puissant vous bénisse, par l'intercession de Christos et Aristote nos prophètes, maintenant et pour des siècles et des siècles ! AMEN

L'évêque remonta la procession et vint saluer les fidèles à la sortie de l'église, en compagnie du nouveau prêtre

Ottobismarck

Mgr Otto Bismarck vit une jeune fille lui poser des questions sur la foi

Citation:

Mon pere, à quoi sert le baptême?

Pour faire de façon synthétique voici la réponse des textes de l'Eglise :

-Agrégation à la communauté des fidèles
-Illumination de l'Ame par la Foi
-Début du chemin de purification.
-Libération de la vision purement matérielle du monde accession au monde des Idées.
-Promesse du paradis.

C'est également le moment où la personne proclame sa foi et récite le credo.

Citation:

Il parait que si l'on est pas baptiser on ne peu pas rentrer au paradis.

En effet, le baptême est le seul moyen connu par nous pour accéder au Paradis promis par le Très Haut.

Citation:

La question est il existe plusieurs baptêmes différents, selon les Églises.
Existe t'il plusieurs paradis?
Est ce qu'Aristote fait le tri?
Mais lorsque des Églises différentes se revendiquent d'Aristote, comment ceci se passe t'il?

Non. Il n'existe qu'un seul baptême reconnu par l'Eglise Aristotélicienne, Apostolique et Romaine c'est celui qui est dispensé par ses ministres validement ordonnés. Hors de l'Eglise point de salut. Pourquoi ? parce qu'elle a été instituée par Christos en la fondant sur Saint Titus.

Voici ce que dit le Chapitre XI de la "Vita de Christos" :

Citation:

" Titus, approche, mon ami. Titus, tu es fort et vigoureux. Tu peux m'aider à porter cette communauté; tu seras mon second. Va Titus, tu es un titan, et c’est avec l'aide de ta force que je bâtirai une Eglise titanesque ! "

Aussi toute personne qui refuse d'être en communion avec l'Eglise par le biais de son Pape (représentant de Dieu sur la terre, dixit le Droit Canon), se trouve hors de la véritable Eglise. Dans ces conditions tout ce qui se passe hors de son autorité est hors du regard de Dieu qui ne peut exprimer que la tristesse de voir des enfants dispersés.

Dagoon

Dagoon entra dans la cathédrale avec une question qui la taraudais
Elle se dirigeât vers le premier homme d'Eglise qu'elle trouva et lui explica son probleme.

Mon pere, à quoi sert le baptême?
Il parait que si l'on est pas baptiser on ne peu pas rentrer au paradis.
La question est il existe plusieurs baptêmes différents, selon les Églises.
Existe t'il plusieurs paradis?
Est ce qu'Aristote fait le tri?
Mais lorsque des Églises différentes se revendiquent d'Aristote, comment ceci se passe t'il?

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Fidos

fidos se déguise en curé pour répondre dagoon

Dagoon a écrit:

Dagoon entra dans la cathédrale avec une question qui la taraudais
Elle se dirigeât vers le premier homme d'Eglise qu'elle trouva et lui explica son probleme.

Mon pere, à quoi sert le baptême?

à que dalle , ma fille ...en revanche les pelles ^^

Il parait que si l'on est pas baptiser on ne peu pas rentrer au paradis.

tkt : on ira tous au paradis ... même moi

La question est il existe plusieurs baptêmes différents, selon les Églises.
Existe t'il plusieurs paradis?

deux paradis un terrestre ( cambrai ^^...)et l'autre au delà
Est ce qu'Aristote fait le tri?

bien sur ma fille...soit bonne et donne toi aux braves hommes

à la fin de ses question il sourit en lui disant :

c'est pas moins compliqué comme ça ?

Carbonnel

Carbonnel se releva face l'évêque et lui sourit.

C'était écrit... Je suis heureux, car c'est la volonté de Dieu qui est faite. Merci Monseigneur.

Dit-il en s'inclinant.

Puis il se tourna vers le père Darkdragonlord qui lui remettait l'étole, la chasuble et le médaillon.

Merci à vous mon ami. Je récolterai d'autant plus que j'aurai semé dans les sillons que vous, mes aînés, avez tracé dans notre belle terre d'Artois.

Darkdragonlord

Suite à l'invitation de Monseigneur Ottibismarck, le père DarkDragonLord s'approcha de son ami et nouveau confrère pour lui remettre l'étole et la chasuble de prêtre, plus un présent que Carbonnel reconnu aussitôt.

Mon cher ami, je vous souhaite la bienvenue parmi nous, père Carbonnel maintenant, que votre carrière soit longue pour que vous puissiez récolter tout le bonheur que vous aller semer au nom du Trés-Haut.

Carbonnel

Je jure de me conformer aux exemple de Christos dans la sagesse des enseignements d'Aristote par amour de Dieu.

Je promets de vivre en communion avec vous et vos successeurs, dans le respect et l'obéissance de la Foi et de nos dogmes pour la vie.

Carbonnel prononça ces mots d'une voix forte ne quittant pas l'évêque des yeux, la puissance du serment lui rendait tout son sérieux car à l'instant il s'engageait pour la vie. Il s'allongea les bras en croix contre les dalles froides.

Dieu me voici humble et nu dans ton temple, ma foi est la seule richesse qui compte et ton service mon plus grand réconfort.

Murmura t-il.

Ottobismarck

L'évêque les mains jointes invoqua le Seigneur pour qu'il descende sur son serviteur

Dieu Eternel et tout puissant, tu nous as dit selon les commandements de Christos ton prophète de nous engager pour participer à l'amour que tu promets ;

Tu nous invites à renoncer au péché et au mal tout en prenant garde d'être des témoins de la vérité ;

Aussi Seigneur, daigne reconnaître devant toi ton fils, Carbonnel, disponible à t'accueillir pour l'éternité ainsi que Moi, ton serviteur dans l'épiscopat, qui s'apprête par l'imposition des mains à conférer au frère que tu me confies, les sacrés pouvoirs du sacerdoce.

En communion avec le Saint Père, accorde moi la puissance et la grâce de l'ordination. Amen

L'évêque fit se relever Carbonnel et celui ci une fois à genoux, lui imposa les mains en disant

Dieu, créateur et bienfaiteur, accueille ton enfant.
Permets lui d’être le canal de ton Amour

Une fois l'imposition achevée, l'évêque invita le père Carbonnel à se relever et fit un signe à l'abbé Darkdragonlord de lui remettre ses insignes sacerdotaux

Carbonnel

La voix d' Ottobismarck ramena le Péronnais à la réalité...

Citation:

Veux tu être consacré à la prêtrise de l’Eglise Romaine par l’imposition des mes mains et le don de la puissance du ministère dans la Communion des Saints ?

A cet instant lui vint à l'esprit un flot d'images kaleïdoscopiques... la nef de l'Eglise de Péronne, le visage de Kaioh, Serellia qui le serre dans ses bras, le regard sévère d'Aranwae, ses tout premiers fidèles Chani, Fréné, Kiki et Dag, la tombe d'Eteladric, le sourire de Calimity recevant le baptême...

Il cligna plusieurs fois des yeux pour faire cesser le tournis qui le gagnait et jeta un regard sur l'encens qui brûlait sous son nez. Il huma... drôle d'odeur.

C'est mon souhait le plus cher. Oui je le veux si vous m'en jugez digne.

Ottobismarck

L'évêque essayant de cacher son émotion continuait

Veux tu conformer toute ta vie aux exemples de Chrsitos dans la sagesse des enseignements d’Arsitote par amour de Dieu ?

Promets tu de vivre en communion avec moi et mes successeurs, dans le respect et l’obéissance de la Foi et de nos dogmes pour la vie ?

Une fois que Carbonnel répondrait à la question, il serait invité à s'allonger face contre terre, en signe de disponibilité intégrale envers Dieu.

Lordromi

Aux ordres du Capitaine, LordRomi rejoignit les autres membres du fort d'Arras.
Puis tout le monde se dispersa, et il prit le chemin de sa modeste demeure.
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Ottobismarck

Après son sermon, le prêtre s'adressa au jeune Carbonnel

Fils, bien-aimé, avant d’être ordonné prêtre, il convient que tu déclares devant la Communauté ton intention de recevoir cette ordination spéciale.

Veux tu être consacré à la prêtrise de l’Eglise Romaine par l’imposition des mes mains et le don de la puissance du ministère dans la Communion des Saints ?

Darkdragonlord

En entendant ces paroles, le père DarkDragonLord eu une pensée pour Monseigneur neocor, il savait parfaitement l'émotion que son ami Carbonnel ressentait en cet instant.

Ombeline

La Baronne d’Ytres, une fois sur place, avait laissé son garde personnel Lord et son coursier Rufus se débrouiller à l'extérieur sachant que les lieux saints n'étaient guère leur tasse de thé. Elle prit cap vers le lieux saint, accélérant l’allure pour éviter tout retard.

Ombeline s'arrêta quelques minutes sur le parvis avant d'entrer et vérifia sa mise puis posa sa main sur la lourde porte de bois, la poussa doucement et se faufila à l'intérieur.

Rapidement, elle fila vers le bénitier, pour y tremper ses doigts, se signa silencieusement et prit place au côté de Nefi afin d'assister à la cérémonie de leur ami commun.
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Damefrenegonde

A cause de sa longue retraite, Fréné n'avait pas été mise au courant pour Carbo.
C'est quand elle aperçut Omby entrait à vive allure dans le lieu saint qu'elle la suivit pour en savoir plus.
Entrant à sa suite, elle remarqua l'importance de la cérémonie, Carbonnel au choeur même de l'église , entouré pour ce grand moment.
Sans un mot tel une ombre elle se glissa à travers les allées et ayant prit soin avant de se signer.
Elle resta en retrait pour ne pas attirer les regards sur sa personne.
Emue et heureuse de pouvoir participer à cette cérémonie, elle s'installa et essaya de reprendre le fil.

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--Rufus

[C'est MA M'amour, MA Flageolette à MOI !!!]

Le vieux coursier Rufus n'en cru pas ses esgourdes ... Il la draguait impunément devant lui ce faquin ... Ah vraiment pas peur ... mais sans doute plus de goule que de muscles, pas comme LUI.

Rufus croisa le regard de sa flageolette d'Amour, la tenant plus fermemant à la taille.

Zety qui s'y croit le bougre ... Za m' plait pas tiens le toi pour dit ....
Zi tu fricotes en douze avec zet Asticot de pacotille ... ze gringalet de merdeux ... za me plait pas, j' le dis aussi verte qu'est l'herbe ...

Il l'observa de ses mirettes un instant, la renverser et lui donna un bécot avec son haleine de binasse et relent de péteux. Il la redressa, puis bomba le torse afin de bien signifier que c'était lui le mâle et pas cet avorton. Petite tape au séant.

Allez suffit, faut pas ze donner en public ... Viens m'amour, l'on va s'en jeter un p"tit canon, parze que causer comme za, j' le gosier sec ...

***
Rufus, Hildago de ses Dames, Coursier et autre de la Cap'taine Ombeline, Namoureux de sa Flageolette d'Amourrrrrrrrrrrrrrrr ^^

Leportel62

Lou avait à peine eu le temps de bisouiller la joue de Jaid que Rufus 1er l'enlaçait déjà le nez dans la planche à pain.

Et lui, là, il va zauzzi à Guinous ?
L'est invité le Connétable ?

Je crois que tu vas avoir du travail Rufus car oui effectivement je suis invité et j'ose espérer ma chére Jaid que vous accepterez une danse.

Il laissa les deux tourtereaux et s'en alla retrouver Tonnerre pour gagner le château de Guînes.
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Leportel62

Lou regardait intrigué la capitaine qui discutait avec Jaid en arbhorant un large sourire, chose bizarre car on aurait plutôt dû avoir du mouvement de cravache et du plissement de nez.

Encore plus étrange de la voir radieuse devant Astreria.

Hem, hem que mijotait-elle? Lou se dit qu'il avait intérêt à se tenir sur ses gardes.

Hum ... Sinon cher Connétable, vous allez rejoindre les autres à la buvette ?

Euh....Oui je pense capitaine.

De mon côté, j'irai sans doute à Guines après, le temps de revêtir une tenue plus convenable et un dernier passage au château.

Oui, je pense que je vous retrouverai plus tard. Je vous souhaite une bonne soirée.

Discrétement, il s'éclipsa et se rendit prés de Jaid. Arrivé, à sa hauteur :

Merci Jaid pour être restée discréte.

Il lui déposa un gros bisou sur la joue.......
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--Rufus

Le vieux coursier Rufus était loin de tout ce tintamarre accolé à un mur de la Cathédrale, mais il n'avait pas eu l'oeil dans sa pockette. C'est qu'il ne faut pas trop le prendre pour un benêt des fois hein. Cela faisait un bout de temps qu'il espionnait faits et gestes de l'Asticot, sentant un coup de pas net de chez pas net.

D'abord, il LE voyait trop souvent sur SES plates bandes. Partout où il se trouvait, le gringalet se pointait. Son pois chiche tournicotait à fond les manettes sur tout cela. Bref, tout cela pour dire qu'il le tenait bien à l'œil LUI. Et major ou pas major, il ne lui faisait pas peur. Alors qu'il bifurqua ses mirettes pour observer un instant la pat'ronne et pis là, vit le gringalet s'éloigner. Flairant un mauvais coup, il suivit son parcous et là le vit gribouiller un mot et mander à un messager de le porter à sa flageolette d'amour. Il vit rouge de chez rouge.

Tudieu, de vindioussssssss, ahhh le ch'tit saloupiot ....
Bonté de mère ....
J'le savais, il la drague ...
Argggg, le maraud, le faquin, le pendard et devant tout le monde comme za ... Vais t' lui zen faire voir, tu vas voir ... Va comprendre za zouffranze le morpion ...

Serrant les poings, il écumait de rage mais patienta sur place. Il garderait sa colère en lui pour l'instant. C'est za la clazze, c'est qu'il avait entendu za dans une histoire lue par la patronne un soir aux mouflets, enfin ou un truc dans le genre... Il savait plus trop, mais bon, devait être pas loin. Et pis, il ne pouvait pas décemment mettre une correction à ce faquin devant tout ce monde... tout de même, le pauvre garderait cette honte à vie.... zetait pas n'importe qui non plus, et pas sur que la patronne apprécie de le voir secouer son collègue comme un sac de patates. Marmonnements, il mira la parade militaire et attendit. Brusquement alors que la calèche comtale disparut, une cacophonie du tonnerre se mit en branle.

zety quoi za zencore zette horreur ???? zety pas doué le zhef d'orchestre .... zengage n'importe qui à l'Ost, vraiment .... Heureuzement ma m'amour de flageolette relève le niveau. Elle zety y faire ELLE pas comme l'autre gringalet ou ze zhef.

Les soldats eurent l'autorisation de finir leur office. Rufus quitta donc son point d'ancrage et s'orienta vers sa m'amour pour la féliciter... Ses pas ralentirent quelque peu quand il comprit que le tintamarre, ça venait d'elle.

Ah ba za zalors ... et pis la patronne trouvait za bien .... za doit être moi zalors, zai pas du sentir za dans toute zon intenzité .... tout za à cauze de l'Asticot, ben oui, trop dans la tête ze gars .... fauty plus qu' j'y penze ... m'enfin faut pas qui tournicote autour comme za sinon ...

Ses mots moururent au fond de son gosier quand il vit le maraud revenir à la charge auprès de sa Flageolette ... et ... et ... et oh le faquin, il la bécotte. N'y tenant plus, ni une ni deux, il se retrouva à coté d'eux. Le vieux coursier attrapa sa m'amour par la taille ... message clair pour l'Asticot ... propriété privée.

Il pointa ses mirettes sur elle, mais au vu de sa petite taille, plongea le piff dans la poitrine de sa douce. Il releva donc la goule après un sympathique rinçage des mirettes. Sous un sourire béat, et humant sa flageolette avec une discrétion bien rufulesque, il lui baragouina quelques mots.

Ma flatulente m'amour, t'etais bellissimas tu sais. Zalors, toujours libre pour zette p"tite guinguette à Guinous ?

Il tourna la tête vers l'Asticot.

Et lui, là, il va zauzzi à Guinous ?
L'est invité le Connétable ?

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Rufus, Hildago de ses Dames, Coursier et autre de la Cap'taine Ombeline, Namoureux de sa Flageolette d'Amourrrrrrrrrrrrrrrr ^^

Ombeline

[ Opération Tango ... fin de parcours^^... Face à face épique avec Jaid sur le parvis.^^]

Ombeline prêta grande attention aux dires de Jaid.

Eh ben euh ... voyez-vous quand les soldats se sont mis en mouvement pour former les rangs, il y a eu un grand appel d'air

Avec la bouche ouverte d'Astreria, ça a fait tout tomber les partitions et ... quand elle a voulu les ramasser ... ... ça les a replacé à l'envers

Vous voyez ?

Avec votre permission j'aimerais bien quitter les rangs à présent ... je vais être en retard pour la buvette

Quelle histoire alambiquée encore ... A coup sur, Jaid protégeait Lou qui avait l'air de rire sous cape de cette situation ... Les deux étaient de mèche ... Bien, bien .... Faisons comme si de rien n'était, jouant là finement ... Jaid espérait sans doute que la schnock en prenait pour sa pomme et ben, surprenons allez ... Esquissant un sourire, la Capitaine mira tour à tour Jaid puis Astreria qui faisait triste mine, la pauvre dans son p"tit fauteuil aux roues usées.

Ah, un simple coup de vent ... Moi qui pensait que tout cela était le fruit d'un coup de génie de votre part ... Flûte ... Je tenais tant à vous en féliciter de nous avoir à ce point ébloui ... En fait, c'est Astreria le grand maître involontaire de tout cela .... Ah, elle sait tout faire cette femme ... mine de rien ... Je m'en vais la féliciter donc mais en tout cas, vous concernant, gardez cette fanfare surtout, poursuivez les entrainements, bientôt, ils feront un tabac ... Tout l'Artois, non que dis-je tout le Royaume parlera de la grande fanfare d'Amiens ... Allez, repos, Sergente, profitez de la buvette, vous l'avez bien mérité ...

Ombeline la salua et la quitta, riant à son tour sous cape de ce petit tour joué à Jaid qu'elle appréciait beaucoup. La jeune femme s'approcha d'Astreria qui faisait couiner ses roues. Elle jeta des coups d'oeil vers Jaid afin d'être certaine que cette dernière ne perde point une miette de tout cela et se lança dans son discours avec de grands gestes théâtraux...

Ahhh, Astreria, jusqu'à la fin vous nous aurez épaté ... Vous mettez drôlement la barre haute pour votre successeur vous savez ...

Quel génie créatif !!!
Quel talent éloquent même si cela était involontaire !!!

Je suis heureuse que vous restez au Fort afin de veiller d'un bon œil tout ce petit monde et leur évolution, même si ce ne sera pour n'être que réserviste. N'hésitez pas à guider notre Jaid ... Elle est fort prometteuse, ça se sent, ça se voit ... Allez, je dois vous laisser ... Rejoignez les autres à la buvette. Bonne journée.

La Capitaine, sourire aux lèvres, fut à peu près certaine qu'Astreria n'avait sans doute rien compris de tout ce long discours, ni la raison d'être soudain mis aux éloges pour son "génie créatif". Ombeline fit volte face et alla rejoindre le Connétable.... allez dernier acte ...

Bien, tout est bien qui finit bien. Je crois que l'on peut dire qu'il y a peu eu de fausses notes.

Rires de la jeune femme

Hum ... Sinon cher Connétable, vous allez rejoindre les autres à la buvette ?
De mon côté, j'irai sans doute à Guines après, le temps de revêtir une tenue plus convenable et un dernier passage au château.
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Nefi

comme c'était beau de les voir tous ainsi, cette perfection dans la tenue, cette position gardé sans faille. c'est émue que nefi passa sous la haie d'honneur à la suite des épousés. jetant un oeil de droite et de gauche pour vérifier que ses hommes était tous présentable. la mission délégué à leportel pour cause de témoignage n'avait pas souffert de son manquement et elle était fier du fort de bertincourt elle ne manquerait pas de les en féliciter.

les directives de lndil étant clair elle grimpa donc avec sa filles dans la seconde calèche direction guines.
étrange pour elle qui avait l'habitude de parcourir l artois a cheval de ce trouver soudain dans cette boite à roulette, bien confortable certes mais que de cahot en roulant sur les pavés. fichtre elle avait pourtant le pied marin mais le voyage allait être long...
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Auberge Amoreta

Jaidelachance

Eh ben voilà ... c'était sûr que ça allait lui retomber dessus

. Mais quelle idée aussi d'avoir voulu former un orchestre qui avait tout juste répété la veille ... en buvant ... dans le noir ... après une journée d'exercices ...
Quand la cravache avait claqué sèchement Jaid avait immédiatement fait arrêter l'orchestre, et tandis que les bataillons se formaient, elle essaya bien vite de filer à l'anglaise

... mais c'était sans compter sur l'attention de la Capitaine qui la tenait à l'oeil ...

Petit sermon cinglant sur les notes de la partition qu'elle avait elle-même exigé, la Sergente mit un certain temps à comprendre ce qui s'était passé, surtout lorsque sa supérieure plissa le nez en direction de Loulou.

Jaid ?
Hum, d'où vous est soudain venu cet instinct de génie, cette impulsion de créativité ??? Dîtes moi tout .... Je suis curieuse de savoir tout cela ....

Grand moment de bredouillement intense.
A l'académie Jaid avait appris l'obéissance mais aussi la camaraderie, et aujourd'hui voilà que les deux s'opposaient. Fallait trouver un truc qui expliquerait cette immonde cacophonie.

Eh ben euh ... voyez-vous quand les soldats se sont mis en mouvement pour former les rangs, il y a eu un grand appel d'air

Avec la bouche ouverte d'Astreria, ça a fait tout tomber les partitions et ... quand elle a voulu les ramasser ...

... ça les a replacé à l'envers

Vous voyez ?

Avec votre permission j'aimerais bien quitter les rangs à présent ... je vais être en retard pour la buvette

Mince, peut-être qu'elle en avait fait un peu trop en parlant d'Astreria. M'enfin bon, une schnock qui reçoit un coup de cravache, c'est toujours moins grave qu'un connétable ...
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Airemes

Au garde à vous dans la haie d'honneur au pied des marches du parvis, le maigre soleil d'hiver ne parvenant pas à réchauffer quoique ce soit...

Airemes commençait sérieusement à se les geler sérieusement, il se sentait comme un pingouins sur la banquise....

Le carrosse de la Comtesse et de son mari, s'éloignait .... la foule continuait ses vivas..
Un coup d'oeil vers la Capitaine.
Droite dans ses botes, un parchemin en main, ses joues rosies par le froid, la cravache agitée....

Airemes se demandait comment une femme si menue, pouvait par moment paraître aussi grande....

Et puis d'un coup, une énorme, incroyable assourdissante cacophonie jailli de la fanfare militaire d'Amiens....

Les chevaux hennirent, l'un d'entre eux se cabra son cavalier n'ayant pas eu le réflexe de serrer ses rennes assez rapidement...

Et d'un coup le silence..... la foule comme tétanisée... les oiseaux quasiment immobiles en plein ciel....les cloches battants à toutes volées ...en silence!
Plus rien ne pénétra dans ses oreilles durant quelques secondes!!!!

Et puis la voix claire d'Ombéline :

Pour l'Ensemble, Présentez, armes

Quasi automatiquement, Airemes brandi son épée avec l'ensemble de la haie d'honneur...merveille de l'entrainement!

[b]Garde à vous...

Reposez Armes !!![/b]

Un claquement de botte et chaque soldat pris la formation "repos".

Soldats … Formez les bataillons : regroupement par Fort ... Cavaliers en ligne

Soldats, vous nous avez offert un fier spectacle en ce grand jour.
Félicitations à tous !!!
Et vive l’Artois !!!

Après, un familier claquement sec de sa cravache, la jeune femme reprit ses directives.

Soldats … à mon commandement …. Rompez les rangs ….
Bonne fin de journée à tousss !!!

Une seconde d'immobilité de l'ensemble et puis, comme un château de sable attaqué par la mer, tous se disloqua et par petit groupe les soldats commencèrent à s'en aller en bavardant...

Airemes serait bien allez présenter ses compliments à son Capitaine, mais celle-ci semblait avoir à faire avec Jaid...

Bien pensa t'il, il était temps d'aller se réchauffer à la taverne!

Jaidelachance

Tandis que toute à la fanfare s'exécutait dans un joyeux tintamarre somme toute assez harmonieux, Jaid se fit parvenir une nouvelle partition marquée d'une annotation : " Ordre de la Capitaine : Jouer cette partition IMPERATIVEMENT ! "

Ayant quelques notions musicales la toute nouvelle lieutenante comprit que le petit orchestre allait droit vers une cacophonie sans nom qui allait sans doute briser les tympans d'une dizaine de générations de jeunes mariés et de soldats

... Mais un ordre est un ordre, et un ordre, surtout lorsque la Capitaine jouait de sa cravache, ça ne se discute pas.

D'un mouvement sec du bâton elle fit arrêter l'orchestre, et tandis que les précieux mariés, resplendissants de beauté et de bonheur, s'avançaient sous magnifique la haie d'honneur humaine préparée par les Soldats, LE GRAND ORCHESTRE D'AMIENS se remit à jouer les nouvelles notes de musique qui ressemblaient à peu près à ça ...

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Ombeline

[Toutes les bonnes choses ont une fin ... Opération Tango ... fin de parcours^^...]

Voilà tout était en ordre … Les mariés avaient l’air heureux et satisfaits … Les soldats eurent un p’tit mot puis le couple traversa la haie d’honneur, suivi des témoins, du prêtre afin de rejoindre la calèche… La Capitaine sourit, heureuse aussi qu’aucun grain de sable n’avait sabordé toute cette harmonie. Mirant la haie d’honneur, fière de ses troupes, son attention se porta sur le Connétable qui s’était quelques instants éloigné d’elle afin de … de quoi d’ailleurs … Ah oui, elle se rappela d’un

tout se déroule comme sur des roulettes.
Et d’un
Je reviens capitaine, un petit besoin pressant.

Hum, bizarre besoin pressant ??? Il les faisait en public ses besoins pressants lui ???
Elle se haussa légèrement sur ses bottines pourpres afin de mieux discerner ce qu’il faisait exactement, certaine qu’il lui avait raconté une histoire encore … Tiens, tiens, tiens, il gribouille le bougre et sur un calepin … Que traficote-t-il donc ???

Plissement de nez ... Elle le vit tendre le papier à un messager … Le pli passa de main en main et atterrit dans celle de Jaid ... Hum, un mot doux ??? ... Hum, Ruru ne va pas aimer du tout ... Il n’a pas peur le Connétable des courroux de son vieux coursier si ce dernier apprend cela …

Elle reporta son attention sur son petit pense bête …. Alors, que nous reste-t-il donc … Hum hum …. Sa relecture fut interrompue soudainement par un tintamarre d’instruments massacrant allègrement la belle mélopée militaire prévue ….

Gné, que passa ???? Parbleu, que nous fait donc Jaid …. Pas possible, nan nan tout était parfait, parfait à la note près… était-ce le moment de faire preuve de créativité spontanée là …… devant tant de public …. Oh, mazette, cela devenait horrible pour ses tympans … mais Jaid s'en rendait-elle compte ??? Elle avait l'air en extase en jouant des moulinets de bâton devant sa fanfare …

La Capitaine claque fendit l’air d’un claquement sec de sa cravache afin d’attirer l’attention de la détentrice du grand bâton de fanfare et ordonna la fin des hostilités eu festivités enfin bref là elle ne savait plus trop comment qualifier cela ….

Soupirs d’aise de la Capitaine en entendant à nouveau le silence… Puis, elle se redressa et donna le ton de la suite, mirant ses troupes en ligne.

Pour l'Ensemble, Présentez, armes

Lances, Hallebardes, épées furent mises en avant, bien droite … bout pointé vers le ciel bleu d’un même mouvement harmonieux.

Garde à vous
...
Reposez Armes

Les soldas à pieds prirent donc la posture adéquate sous son intonation claire et sans appel.
(Jambe gauche, corps, pied droit détendus ; Arme et main droit restant en place ; Main gauche sur la boucle du ceinturon ; Tête directe). Le silence se fit dans les deux files soldatesques. Pas un chuchotement ne retentit comme précédemment mais la tension était redescendue …

L’opération TANGO prenait fin…

La Capitaine balaya d’un regard les rangs … Elle aperçut la calèche partir au loin puis poursuivit.

Soldats … Formez les bataillons : regroupement par Fort ..
Cavaliers en ligne

Elle les avait tous sous les yeux. Esquissant un sourire, elle les observa. Oui, l’Ost en ce jour avait fière allure.

Soldats, vous nous avez offert un fier spectacle en ce grand jour.
Félicitations à tous !!!
Et vive l’Artois !!!

Après, un familier claquement sec de sa cravache, la jeune femme reprit ses directives.

Soldats … à mon commandement …. Rompez les rangs ….
Bonne fin de journée à tousss !!!

A cet ordre, les soldats quittent leur position en emportant leur arme, pour ceux armés. Ceux sans arme, mais dotés d’instruments ou autres^^, saluèrent avant de se disperser ou restèrent à discourir sur l’événement … La jeune femme en saluant plusieurs d’un signe de tête puis se fraya un chemin parmi la foule soldatesque, pressée d’aller voir la fanfare avant que cette dernière quittent la place de la Cathédrale…

Sergent Jaid, Sergent !!!!

[*pas encore Lieutenant le jour J]

Quel esprit d’innovation quel créativité, je vous reconnais bien là …. mais était-ce là, réellement nécessaire de mettre ce projet à exécution ???? Au risque de tout faire capoté si euuu si enfin si cela n'avez pas humm comment dire porter ses fruits ....
Vous avez souhaité me surprendre, et bien la surprise fut de taille.
Y a pas à dire, toujours aussi détonnant la troupe du Fort d’Amiens. Toutefois, je crois que certains instruments ont besoin d’une révision, il m’a semblé entendre mais je ne suis point experte en la matière, bref discerner quelques étranges sonorités ….

C’est là qu’elle aperçut le Connétable qui semblait pris de tics … Plissement de nez …. Froncement de sourcils … Regards tour à tour en direction de Jaid puis de Lou … Y’aurait-il un lien avec le fameux pli quelques minutes plutôt ???? Plissement de nez …. Elle reporta son attention sur Jaid.

Jaid ?
Hum, d'où vous est soudain venu cet instinct de génie, cette impulsion de créativité ??? Dîtes moi tout .... Je suis curieuse de savoir tout cela ....
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Darkdragonlord

Le prêtre remercia son ami pour le moyen de transport et s'y dirigea compagné des témoins.

Leportel62

Alors que les mariés sortaient de l'église, Lou se pencha vers la capitaine : tout se déroule comme sur des roulettes.
Lou avait beau chercher, il ne trouvait pas un petit truc sympa à faire.

Il avait bien penser à griffonner quelques notes de musique sur un parchemin et le faire parvenir à Jaid en disant que la capitaine voulait qu'elle joue ça mais est ce que Jaid savait lire une partition.

Je reviens capitaine, un petit besoin pressant.

Il s'empressa de noter quelques notes sur une partition tracée à la va-vite. Quelques DO par ci par là, entrecoupés de MI, LA et RE et pour finir quelques FA, SOL et SI un peu partout. A répéter plusieurs fois lorsque le couple sera passé sous la haie d'honneur.

Il héla un soldat : sur ordre du capitaine, dîtes au lieutenant de la fanfare de jouer ceci. Allez, dépêchez-vous.
Lou repris sa place, un petit sourire aux lévres.

Ah! on se sent mieux. Belle cérémonie Capitaine, mes félicitations.

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Lou_lempinka

Elle fut ravie de voir Carbonnel arrivé ainsi que nombre de ces amis.
L'évêque s'avança et commença l'office, elle se receuillit et confessa ses péchés.

Je confesse à Dieu Tout-Puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes frères, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
C'est ma faute, c'est ma faute, c'est ma très grande faute.
C'est pourquoi je supplie tous les Saints, et vous, mes frères, de prier pour moi le Créateur notre Dieu. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Un regard discret vers le jeune homme, à quoi pouvait il donc bien penser en ce moment?
Au changement important dans sa vie, à son passé, la nouvelle voie qui l'attendait, elle ne le saurait jamais.

Amen.

Aubree_du_meslay

Elle s'etait rapprochée de la sortie et avait regardé les militaires faire leur haie en l'honneur des jeunes mariés .
Souriant en voyant l'agitation autour du cortège , elle admira neammoins l'esprit d'equipe de tous ces hommes et ces femmes ....

Elle les envia un peu , elle qui etait toute perdue dans son coin , trop occupée par son champ , le domaine de sa soeur , elle passait à côté de bien des choses , mais c'etait la vie , il y avait deux mondes , celui de la lumiere et celui de l'ombre , elle faisait partie du deuxieme , à son grand desespoir....

Soupirant , elle rentra de nouveau dans la Cathedrale , laissant les festivités se poursuivrent , elle entendit le cortège s'ebranler pour rejoindre la reception et petit à petit les bruits exterieurs s'estomperent , laissant le calme religieux reprendre le dessus.

Elle alla s'agenouiller plus près de l'autel cette fois , elle etait seule dans cette magnifique Cathedrale ...
Joignant les mains , elle pria longuement , pour sa soeur qui etait malade et recluse dans un couvent , pour Garchcroc qui avait prit le chemin de la politique , elle souhaitait qu'il réussisse , qu'il soit enfin heureux .

Elle pria aussi pour le peu d'amis qu'elle avait ici en Artois , Kalon , Virbule , Methea , pour ceux qu'elle avait laissé en Bretagne , son tendre ami Modano qu'elle n'oubliait pas et dont elle avait reçu des nouvelles recentes .
Perdue dans ses prieres , elle ne vit pas le temps passer .....

Lndil

Lndil suivit sa douce et tendre Femme sous la haie d'honneur...
Effectivement que d'honneur.
Il salua les soldats du regard dès qu'il pouvait croiser le leur.

Ils arrivèrent devant les carrioles apprêtées par Guines pour le déplacement jusqu'au château de Erwyndyll.
Se retourna encore une fois derrière le père DDL.
Mon Père, votre voiture est directement celle derrière la notre.
Je vous laisse les témoins vous accompagner
Il vit Brune prendre la tangente... il lui semblait qu'elle lui avait parlé de quelque chose.

Bref... Il prit les devant et amena sa moitié devant leur moyen de locomotion, lui ouvrit la porte et l'aida à monter.
Des idées très aristotéliciennes - religion d'amour- lui passèrent en tête à l'idée d'être seule avec sa Belle dans cette voiture.

Il grimpa à son tour à l'intérieur, vola un baiser à sa Douce et se plaça à la fenêtre avec elle pour saluer les personnes qui suivaient leur départ pour Guines où la fête se poursuivrait
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Carbonnel

Chani ! Le Péronnais ne put retenir un sourire malicieux tout en rosissant. Moult souvenirs lui revinrent en mémoire. Il s'efforça de chasser ces idées, bon sang, elles étaient capables de le faire renoncer...

- Non, non garde ses pensées au fond de ton coeur et chéris-les en secret mais pour l'heure concentre toi crédié !

Se dit-il en baissant les yeux.

A présent l'évêque avait pris la parole et prononçait un très beau sermon...

Citation:

Carbonnel a été un modèle...

A ces mots il se mordit la joue.

- Bon sang si Monseigneur savait à quoi je pense il n'en dirait pas tant.
- Aristote, oui c'est ça pense à Aristote, il est barbu.. voilà... et en robe...
- Non pas de robe !
- Oublie la robe et arrête de transpirer. Pense à Christos... Christos aussi il est barbu, une graaaande barbe et il était sérieux Christos, on le tente pas Christos, même le sans nom s'y est cassé les dents.

- Allez, respire, ça va mieux... voilàààà

Amen

Dit-il quand Otto eut terminé.

- Tiens, Nefi vient d'entrer, ça me rappelle le concours de lancer de couteau, la première fois que j'ai mis le nez hors de Péronne, j'étais dans la poule de YB même que je l'ai battu, mais après Dag m'a mis minable. Je me demande si elle se souvient des perce-neige Néfi.

- Bon hé t'arrêtes de penser aux donzelles cinq minutes oui ? Tiens regarde Leber est là, il est bien ce petit et puis il est barbu comme Aristote, Darkdragonlord il est pas barbu lui... mais qu'est-ce que j'ai avec les barbes moi, non mais ça va pas...

Carbo joignit les mains et leva les yeux au ciel.

Brunehautdartois

Sans bruit elle s'etait glissée dans le cortège nuptial qui lentement remontait l'allée centrale de la cathédrale pour se diriger vers la sortie, un bouchon se formait, tout le monde s'etait arrêté à la sortie, les mariés n'avançaient plus, des sons venaient jusqu'à elle, une fanfare, des ordres..des claquements..des hennissements, tout le monde poussait des cris d'emerveillements, des hourras..
Elle se faufila parmi la foule, s'emerveilla de voir tous les soldats en tenue d'apparat....ce temps là etait terminé aussi pour elle....
Un regard sur la haie d'honneur que formait l'Ost alors que les mariés heureux et souriants s'y déplaçaient, puis départ pour tous dans les coches mis à disposition.
Tandis que de son côté elle préféra partir seule, voulant sur le chemin s'arrêter à Oblinghem pour s'y changer, pas qu'elle n'aimait pas la couleur vert pomme de sa robe, mais elle voulait egalement pour l'occasion faire honneur à la jeune personne qui pour les fêtes de la nativité lui en avait offert une....
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Erwyndyll

Cérémonie terminée ! Ca y est, elle était Mme Lndil ! Enfin elle pouvait respirer, calmer son cœur. Elle n'avait rien oublié, toutes les phrases étaient dites et bien dites ! Bon, bien sur, il y avait eu quelques larmes mais qui n'aurait pas pleuré devant tout cela ?! Elle chercha mentalement quelques femmes qui eussent été de pierre en toutes circonstances...Un nom s'imposa directement. Dame de ...Zut le nom ne lui revenait pas...Vicomtesse de ... de quoi encore ?! Le titre lui échappait complètement... Elle s'imagina la Dame en question dans diverses situations et ne put s'empêcher de rire toute seule.

Je pense qu'on nous attend... une surprise a certainement été concoctée.

Surprise ?! Hmmm, elle se tordit le cou, intriguée, mais, trop petite, elle ne put voir que des têtes... L'air de rien, elle pressa le pas, pas trop vite non plus pour que les témoins puissent suivre mais elle avait hâte de savoir de quoi il retournait...

Ah ! Voilà l'entrée, elle allait enfin connaitre la raison de toute cette agitation, de ces hennissements et autres... HENNISSEMENTS ?! Diable... Que lui avait donc concocté la Capitaine ?! Car, à n'en pas douter, elle ne pouvait être que dans le coup... Elle avait bien entendu des bruits de couloir sur une opération tango... l'air de rien, elle avait tendu l'oreille, même vaguement écouté à une porte un jour en refaisant l'un de ses lacets mais rien ! Elle n'avait rien su... Aussi, les supputations les plus folles s'étaient formées dans son esprit...allant du cours de danse collectif pour les soldats de l'OST à la prise de château par une horde de soldats armés de foulards bariolés.

Alors c'était donc ça ! Il n'y a pas à dire, cela avait de l'allure ! Quelle fierté d'être Comtesse d'Artois quand on voyait cela ! Tous dans le même uniforme, tous en grande tenue... des cavaliers aux soldats, ils étaient tous là ! L'organisation avait du être des plus compliquée mais la réussite de l'entreprise ne l'étonnait pas du tout. N'avait-elle pas la meilleure capitaine du royaume ?

Oups... Elle n'avait pas remarqué Jaid là-bas tout au bout ^^ Elle ouvrit de grands yeux... Le lieutenant tenait un bâton en main...arme redoutable pour quiconque la connaissait un tant soit peu...Petite prière à Aristote pour que sa colistière n'éborgne personne avant la fin...

Une petite surprise de l’Ost d’Artois, Erwyn et Lndil. Au nom de tous les soldats, que tous nos vœux de bonheur vous accompagnent. Si vous voulez bien vous donner la peine de passer sous cette voute
en votre honneur, ce serait un immense plaisir et privilège pour nos soldats.

Elle lui aurait volontiers sauté au cou! Le rouge lui vint aux joues directement. Il lui fallait à présent parler mais voilà que pour la première fois de sa vie les mots allaient lui manquer.
Son regard se porta sur chaque soldat. Elle tenta d'élever la voix.

... Merci... Aucun mot ne pourrait exprimer le bonheur et le plaisir que vous nous faites aujourd'hui ! C'est... tout simplement merveilleux ! Quelle fierté de vous avoir, quelle fierté pour l'Artois !

Non, non ! Pas de larmes ! Mais qu'avais-tu donc à être si émotive aujourd'hui ?! Son cher et tendre se tourna alors vers elle, elle répondit longuement à son baiser, savourant chaque seconde de celui-ci. Ensemble, ils se tournèrent ensuite vers les soldats, visages rayonnants et incarnations vivantes de la joie de vivre et d'être unis devant tant d'amis.

Quelqu'un cria alors.

vive la comtesse Erwyndyll, vive le vicomte Lndil...VIVE les mariés!
Longue vie a leur amour!

Et hop, retour en force du rouge aux joues, elle se tourna, sourire éclatant aux lèvres et emmena son Vicomte de mari sous la haie d'honneur préparées pour eux, jetant tout de même derrière elle un regard pour s'assurer que tout le monde était bien là, dont le Père DarkDragonLord qui devait les suivre en calèche.

Nefi

elle avait eu bien du mal a se libérer mais n'aurais voulu rater ce moment pour rien au monde, elle avait beaucoup d amitié pour l'homme qui aujourd'hui vouait sa vie à aristote. elle se glissa donc très discrètement dans l'une des rangées de banc et assista en silence à la cérémonie.
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Auberge Amoreta

Lndil

Lndil regardait tous les soldats un à un... ils étaient vraiment tous bien préparés à cette surprise. Il y avait aussi les musiciens.
Le marié ne savait presque plus où donner de la tête !

vive la comtesse Erwindyll, vive le vicomte Lndil...VIVE les mariés!
Longue vie a leur amour!
Se retourne
Bonjour Merdita...
La bisouille.
Merci d'être là

Voit le prêtre.
Mon Père... deux voitures vont arriver... je vous prierai de prendre la seconde, elle vous amènera à Guines
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Ottobismarck

L'évêque s'avança vers le lectionnaire pour lire la parole de Dieu. Une parole simple et courte adaptée à la circonstance.

Citation:

Et Christos, qui sentait sa fin approcher, me regarda avec une expression si émue, si bouleversée, qu’elle me provoque encore des trémolos dans la gorge à l’heure ou j’écris ces lignes.

" Samoht, me dit-il, quand je serai mort, parcours le monde et répands la bonne nouvelle comme je vous l’ai demandé. Et quand tu seras un homme âgé, alors écris mon histoire pour que celle-ci soit connue et entendue. Retiens bien cela, je ne te le dirai pas deux fois… tiens… j’entends déjà les gardes monter. "

Frères et Soeurs,

Merveille que ces quelques mots de Christos à Samoth aux dernières heures de sa vie sur terre. Mais au fond, est ce seulement à Samoth que notre prophète s'adresse ? N'est ce pas à nous, baptisés, que Christos adresse ce souhait d'amour : "parcours le monde et répands la bonne nouvelle". N'est ce pas à l'ensemble des fidèles de tous les siècles que Christos demande qu'ils soient témoins de l'espérance, les invitant à le suivre ?

Aujourd'hui nous allons célébrer l'entrée dans le sacerdoce du frère Carbonnel. Cela nous invite à s'interroger sur le sens de notre propre ministère personnel ! Les fidèles, par leur baptême, sont eux aussi des témoins dans leur vie. Témoigner, rayonner de cette espérance du Très Haut est un véritable devoir de baptisé.

Faire triompher le bien sur le mal, lutter contre l'hérésie et le Sans Nom. Opter pour la sagesse lorsque la tentation de s'en détourner est grande.

Notre frère qui s'engage pour devenir prêtre nous dit en somme qu'il opte définitivement pour le bien et se rend disponible pour "répandre" la bonne nouvelle, comme l'a demandé Christos. Notre Comté a retrouvé la foi alors qu'il avait perdu confiance en l'Eglise. Carbonnel a été un modèle en ce sens qu'il n'a jamais failli à sa mission. L'Eglise a parfois manqué de pédagogie pour rappeler qu'elle aime l'Artois mais avec le temps artésiens et aristotéliciens ont appris à se retrouver. Il y a encore des difficultés, je pense particulièrement à l'abbaye de Tastevin qui est une blessure dans mon coeur. Je prie quotidiennement pour le retour de l'unité entre nous et je vous invite à le faire également. Néanmoins cette ordination est un signe de la vivacité de l'Eglise en Artois ; le témoignage de la disponibilité entière de l'homme au service de Dieu. L'Artois a besoin des hommes de Dieu qui ont aussi besoin d'elle.

Je finirai par ces simples paroles en priant pour que les mots que je viens de vous lire restent gravés dans notre coeur. Aristote comme Christos ont voulu que nous soyons des serviteurs du Très Haut comme eux l'ont été entièrement. Prions ardemment pour notre frère qui s'engage dans la plénitude du service de Dieu et encourageons le dans le sacrifice de sa vie comme l'ont fait avant lui des générations de prêtres.

Amen.

Chany

Chanel arriva a l ordination de son ami ...en retard comme dab

Carbo avait l air ému , cela se comprenait , c'était un jour important pour lui mais aussi pour les péronnais qui enfin allaient avoir un curé en leur village

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Leberserker

Leberserker, pour remercier le père Carbonnel de l'avoir si bien bâptisé, se rendit à sa cérémonie d'ordination au poste de curé.

Il salua Chany et alla s'asseoir au fond de l'église.

Darkdragonlord

Le prêtre qui suivait les nouveaux mariés s'arrêta sur le parvis pour regarder la haie d'honneur que les soldats de l'OST leur avaient offert.

Sate

[Sur le Parvis et la Grande place, alors que le couple est encore dans l'allée de la Cathédrale en direction de la sortie]

Le bâton dressé bien haut pour battre la mesure, Jaid ordonnait :

Allons-y ...
.... 3 , 4 !

Non Non Non Non Non

bon alors on commence ou pas?sate souffle dans sa flute puis hésite...
c'est que la lieutenante semblait perturbée..elle faisait de drôles de mimiques en observant tour à tour la capitaine ombeline et l'ancienne lieutenante qui prenait un malin plaisir à faire crisser et grincer sa "monture"

A MON COMMANDEMENT ... GARDE A VOUS, Repos …..la capitaine avait lancé un ordre

jaid srcutait chaque soldat comme pour les vérifier...un fait nouveau chez elle que cette conscience du détail....

[Sur le Parvis et la Grande place, alors que le couple sort enfin de la Cathédrale et arrive sur le parvis]

que les mariés étaient beaux!sate en perdit un peu le sens des réalités...

.... Trois, quatre !!!

ça c'était le signal!il fallait jouer!comme un seul homme toute la fanfare amiénoise démarra,et malgré les couac et les fausses notes,pour des oreilles profanes,ça sonnait plutôt pas mal!pour une jeune fanfare faisant sa seconde représentation,c'était joli!jaid pouvait être fière!personne n'avait fait de grosse bêtise!

Carbonnel

Pendant le discours de l'Evêque, le Péronnais marquait un profond recueillement, implorant l'aide de Dieu pour l'accomplissement de la tâche à laquelle il se consacrait.

Il prononça la confession avec une conviction non feinte.

Je confesse à Dieu Tout-Puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes frères, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
C'est ma faute, c'est ma faute, c'est ma très grande faute.
C'est pourquoi je supplie tous les Saints, et vous, mes frères, de prier pour moi le Créateur notre Dieu. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Il poussa un soupir de soulagement, leva les yeux, remarqua les présents et leur sourit.

Ottobismarck

Monseigneur Otto Bismarck et le futur curé s'approchèrent de l'autel après la procession. Ils s'agenouillèrent avant de pénétrer dans le choeur, puis l'évêque invita Carbonnel à s'asseoir. Le prélat prononça quelques paroles de bienvenue pour les fidèles présent.

Mes frères, aujourd'hui est un grand jour. La grand communauté des prêtres de l'Église Aristotélicienne accueillera en son sein un nouveau membre, une nouvelle âme pieuse.

En effet, aujourd'hui, frère Carbonnel recevra un très grand sacrement celui du sacerdoce ! Quelle joie pour la communauté et pour Dieu de voir un de ses enfants répondre "oui" à son appel.

Pour la plus grande gloire de Dieu notre frère va se consacrer pour l'éternité à la prêtrise au service de tous ! Acclamons donc ce sacrifice merveilleux.

Avant de commencer le rituel d'ordination, parce que nous sommes parfois indignes du Grand Amour de Dieu, reconnaissons notre faute.

Laureline_squire

Laurie fut de nouveau sortie de pensée par la voix de sa mère ce coup-ci.
Celle-ci c'était rendu compte de sa présence à ses cotés, en même temps les maman c'est fait pour ça, elles sentent toujours tout.

Oui ça va, oui elle est belle la mariée en bleu.

Laurie affectionné particulièrement les jolies tenues en plus du rose.
La blondinette adorait ce genre de fête car il y avait toujours plein de jolie tenue à regarder.
Cela faisait briller ces yeux de jeune fille de mille étoile luisante.
Le bleu et or de la comtesse la faisait repartir dans de longue rêverie de petite princesse.

Farenheit

Farenheit était content, les soldats de l'ost formaient maintenant la haie d'honneur et c'était trés impressionnant et trés beau à voir. Erwyndyll et Lndil venaient de franchir le portail de la cathédrale et se tenaient à présent sur le parvis.

Ils forment vraiment un beau couple, n'est-ce pas mon lieutenant?

Oui sergent, trés beau couple !
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[img*]http://i27.servimg.com/u/f27/11/27/56/54/bannie11.gif[/img]On peut guérir d'un coup d'épée, mais guère d'un coup de langue ...[Signature hors norme, merci de faire le nécessaire. BF]

Nefi

souriant à lndil de sa remarque elle leur emboita le pas au coté de brune et des deux témoins de erwyn pour remonter la nef vers la sorti. les sons leur parvenaient trouvant écho contre les hauts mure de la cathédrale.
le soleil avait fini par percer les nuages et nimbait la haute porte de l'édifice d'une éblouissante clarté ne laissant percevoir que des ombres à l'extérieur.

elle sentit bientôt la présence de sa fille à coté d'elle, petite caresse affectueuse sur sa joue rosi de froid, puis elle posa une main maternelle sur son épaule tout en suivent le cortége.

ça va princesse ? un beau mariage n'es pas ?

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Auberge Amoreta

Merdita

Etant entrée dans l'église avec son fiancé et son louveteau, Merdita avait suivi toute la cérémonie non sans émotion. Le coeur battant, fière pour son grand ami Lndil et pour sa comtesse, deux personnes qui se ressemblaient bien fort à ses yeux..un couple parfait, si on peut dire cela!

Tenant Maurin, elle posait plusieurs fois la tete sur l'epaule d'Odas pensant que dans peu de temps, leur tour viendra et qu'elle lui dira oui pour la vie.

Elle n'avait pas pu aller parler de son ami, peut etre un peu trop timide à la vue de toute la foule présente dans l'église...Mais entendant les paroles de chacun, elle put etre assurée que tout le bien que l'on raconte sur eux avait été dit.

La cérémonie terminée, le couple s'avanca vers le parvis ou l'Ost les attendait afin de leur faire la haie d'honneur.

Tenant d'un coté Maurin, elle tenait assez fort la main d'Odas, une émotion très forte pour les mariés.

Une chance qu'elle put voir celle ci...tous les soldats étaient merveilleusement habillés.

Elle arriva a se faufiler de justesse pres des mariés...

vive la comtesse Erwindyll, vive le vicomte Lndil...VIVE les mariés!
Longue vie a leur amour!
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Scaramouche

Scaramouche, au coté de Farenheit, osa un regard en direction des grandes portes de la cathédrale et aperçut le comte et la comtesse!
Il se redressa sur sa monture et attendit les ordres de son superieur.

Ils forment vraiment un beau couple, n'est-ce pas mon lieutenant?

Face à lui, le sénéchal Leducg avait décidé d'être près de ses soldats composant "la cavalerie Péronnaise"

Laureline_squire

La cérémonie venait de se terminer, Le mouvement de foule fit sortir Laureline de sa rêverie.
La blondinette essaya de regagner la compagnie de sa mère, en se frayant un passage au milieu de tout ses gens.
Il leur faudrait aussi retrouver Pegas, Puisqu'il devait être l'accompagnateur de Néfi pour le mariage, Chris étant toujours chez les moines de Poitiers.

A cette image la fillette partie dans ses pensées saugrenues sur les hommes heurta quelques personnes.

Oups, veuillez m'excuser, je suis désolé.

C'est rouge de honte que Laurie fila son chemin vers la sortie pour retrouver sa mère et les mariés que la gamine tenait à féliciter pour leur unions.
Une chance pour elle il avait fait une pause sur le parvis de la cathédrale pour admirer la haie d'honneur faite par l'ost pour eux.
La blondinette se glissa discrètement à côté de sa mère.

Leberserker

Leberserker remontait la rue avec le corps de la cavalerie péronnaise, arrivés devant l'église, le Lieutenant Farenheit donna ses ordres et il rejoignit son groupe sur la droite de la haie d'honneur. Il vérifia une dernière fois l'état de son habillement et de son armement.

Il était encore en train de s'inspècter lorsque la Capitaine gueula avec le timbre dont elle seule avait le secret.

Citation:

Pour les Soldats à pied, GARDE A VOUS !!
Pour les Cavaliers, EN POSITION !!

Leberserker se redressa sur sur sa monture le plus haut que sa taille pouvait lui permettre.

Citation:

Soldats POUR L'ENSEMBLE, PRESENTEZ ARMES …

Leberserker sortit son épée de son fourreau et la mit devant soi, pointée vers le ciel.

Citation:

Soldats, FORMEZ la haie d'honneur !

Il leva son épée droitement au dessus de tête, pointée vers le ciel et scintillant sous le soleil d'hiver

Stilicon

Il était là, au garde à vous, hallebarde à la main et le regard fixe sur l'horizon. Il ne bougeait pas, ne respirait pas, ne pensait pas. Il voyait sans voir, il n'était attentif qu'aux sons, qui étaient nombreux : des voix, des pas, de la musique, des cloches aussi peut-être.
_________________

Lndil

Arrivant au parvis main dans la main avec sa Belle, ils purent voir que l'Ost était sur son 31 et qu'ils avaient bien travaillé la chose.
Il faudrait en remercier la Capitaine dès que cela serait possible.

Il s'arrêta et enlassa Erwyndyll de ses bras lorsque la haie d'honneur se forma.
Ils purent entendre la Capitaine
Une petite surprise de l’Ost d’Artois, Erwyn et Lndil. Au nom de tous les soldats, que tous nos vœux de bonheur vous accompagnent. Si vous voulez bien vous donner la peine de passer sous cette voute
en votre honneur, ce serait un immense plaisir et privilège pour nos soldats.

Merci Ombeline... nous sommes touchés !

Savourant le moment, il ne put s'empêcher de se mettre face à Erwyndyll et de l'embrasser longuement aux yeux de tous sous un beau ciel d'hiver.
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Benjaminp

benjaminp était attentif malgré le fait de toujours être perturbé car il restais admiratif devant la belle demalay mais le mariage continuais. Il entendus

Citation:

GARDE-A-VOUS.
PRESENTEZ.............Armes.(...)

Dès lors il réajusta sa tenue, et appliqua les ordres

Citation:

Pour les Soldats à pied, GARDE A VOUS !!
Pour les Cavaliers, EN POSITION !!

Avec godelsite il se mit comme il avait été prévu au préalable, il eu un peu de mal mais godelsite lui obéisa directement.

Citation:

Soldats POUR L'ENSEMBLE, PRESENTEZ ARMES …

Benjaminp présenta son arme qui sintillais de mille feu tellement elle était propre.

Citation:

Soldats, FORMEZ la haie d'honneur !

Benjaminp se mis en rang comme nombreux de ses camarades
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bureau de recrutement OST

Stella...

Stella, qui avait été dispensée de cette mission par Nefi, regarda tout le mouvement des soldats avec amusement... Elle se serait cru dans une ruche où chaque petites abeilles savaient parfaitement ce qu'elles devaient faire... Elle écouta les directive des uns, puis celles des autres quand soudain un tintamarre de fanfare se fit entendre... Didiou v'là pas que la Jaide avait initié ses soldats à la musique... Elle pouffa de rire en écoutant les nombreuses fausses notes jusqu'à ce qu'elle le vit...

Il était là aux côtés de la Capitaine... Un léger soupire d'apaisement sortit d'entre ses lèvres... Puis très vite, chercha du regard Le nounou... Il ne devait pas être bien loin celui-là... Elle avait eu quelques échos sur les occupations de ce maraud... Depuis plusieurs jours, il fricotait avec quelques donzelles... Elle allait le veiller de près ce coureur de jupons... Il était hors de question qu'il voit l'une de ces femmes en présence de son Trésor... Manquerait plus qu'elle pose des questions sur l'anatomie à l'âge de deux ans...

C'est le regard sur la série d'évènements que la Blondinette se murmura :

Heureusement que Nefi m'a dispensé, je n'aurais jamais tenue aussi droite pendant tout ce temps...

Un léger sourire se dessina sur son visage en repensant à ce qu'il s'était passé trois jours plus tôt... Elle ne regrettait vraiment pas d'être tombée...

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Sansvisage

Ces soldats... Aterfalco avait suivi tout le mariage avec émotion, et suivait de près les mariés au côté des témoins lorsqu'il vit... l'Ost. Difficile de ne pas les voir, ils étaient à peu près aussi discrets qu'une bande de chameaux en rut dans l'arrière-salle d'une bibliothèque désertée... Il poussa un soupir en les regardant s'agiter dans tous les sens comme des nains au fond d'une mine. La mort dans l'âme il continua sa route auprès de la mariée et de Luzifer jusqu'à leur rencontre. Ca allait être joli tiens !
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Poildecawotte

Le temps c'était suspendu dans une attente fébrile. Poildecarotte regardait du coin de l'œil les autres soldats qui formait la haies. Bientôt le couple allait sortir et tout allait se déclencher.

Voyant le couple sortir, Poildecarotte se prépara.

A MON COMMANDEMENT ... GARDE A VOUS, Repos …..

Poilinette pris la posture apprise. Jambe gauche, corps, pied droit détendus ; Arme et main droit restant en place ; Main gauche sur la boucle du ceinturon ; Tête directe.

Pour les Soldats à pied, GARDE A VOUS !!
Pour les Cavaliers, EN POSITION !!

D'un mouvement sec mais gracieux poilinette se mis au garde à vous.

Soldats POUR L'ENSEMBLE, PRESENTEZ ARMES …

Soldats, FORMEZ la haie d'honneur !

Poildecarotte , du coin de l'œil s'assura que son arme était droit et bien haut.

Voila que la haie était former. Son coeur plein de fierté, Poildecarotte se sentait chanceuse d'être la.

Lordromi

LordRomi attendait patiemment le signal. Enfin le capitaine Ombeline se décida à le donner.

Citation:

A MON COMMANDEMENT ... GARDE A VOUS, Repos

Il se mit dans la posture adoptée par tous les soldats : Jambe gauche, corps, pied droit détendus ; Arme et main droit restant en place ; Main gauche sur la boucle du ceinturon ; Tête directe. Puis, il se détendit en attendant que le couple fasse son apparition.

Citation:

Pour les Soldats à pied, GARDE A VOUS !!
Pour les Cavaliers, EN POSITION !!

Enfin, il vit le couple sur le parvis. Il remarqua que son lieutenant semblait le plus heureux des hommes tout comme d'ailleurs la Comtesse. A l'ordre donné par la capitaine, il se remit dans la posture apprise par coeur.

Citation:

Soldats POUR L'ENSEMBLE, PRESENTEZ ARMES …

Il mit son épée bien droite, en avant avec le bout pointé vers le ciel qui était d'un bleu éclatant pour cet évènement.

Citation:

Soldats, FORMEZ la haie d'honneur !

Comme tous ses camarades, LordRomi dressa son épée en l'air. Celle-ci toucha celle de son camarade qui était en face de lui.
Ensuite, il vit la capitaine adressait quelques mots au couple. Il n'entendait pas ses paroles mais il se doutait que ce n'était que pour leur souhaiter un mariage heureux.
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Chany

Les mariés sortaient enfin , Chanel attendit que la noblesse se soit posé dans la file et y prit place .

De l intérieur de la cathédrale , on pouvait voir la haie d honneur formée, la voix de la capitaine d 'Artois se fit entendre au moment où les époux arrivaient sur le parvis de l église

Citation:

Soldats, FORMEZ la haie d'honneur !

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Maxlevaillant

max qui etait sur les escaliers de la cathédrale attendait le signal du capitaine:

GARDE-A-VOUS.
PRESENTEZ.............Armes.(...)

Lorsque que max vit des invitée sortir de la cathédrale, il vit le capitaine donnais un autre ordre:

[
A MON COMMANDEMENT ... GARDE A VOUS, Repos …..

max prit la posture qu'il avait appris(Jambe gauche, corps, pied droit détendus ; Arme et main droit restant en place ; Main gauche sur la boucle du ceinturon ; Tête directe).

[Sur le Parvis et la Grande place, alors que le couple sort enfin de la Cathédrale et arrive sur le parvis]

Lorsque le couple sortit de la cathédrale, le capitaine ombelline donna d'autres directives:

Pour les Soldats à pied, GARDE A VOUS !!
Pour les Cavaliers, EN POSITION !!

Les mariés arrivaient sur le parvis. De là, ils pouvaient avoir une vision de l’ensemble formé.

Soldats POUR L'ENSEMBLE, PRESENTEZ ARMES …

max mit son épée en avant, bien droite … bout pointé vers le ciel

Les mariés n’étaient plus qu’à quelques pas des deux lignes qui se faisaient face. … Dernière directive à lancer de la Capitaine.

Soldats, FORMEZ la haie d'honneur !

max dressa son épée en l’air, afin de faire une sorte de toit de lames, sous laquelle les mariés pouvaient passer.

La Capitaine fit quelques pas afin de venir auprès du couple et dit:

Une petite surprise de l’Ost d’Artois, Erwyn et Lndil. Au nom de tous les soldats, que tous nos vœux de bonheur vous accompagnent. Si vous voulez bien vous donner la peine de passer sous cette voute
en votre honneur, ce serait un immense plaisir et privilège pour nos soldats. [/quote]

Ombeline

[Sur le Parvis et la Grande place, alors que le couple est encore dans l'allée de la Cathédrale en direction de la sortie]

La Capitaine admirait ses troupes en place, s’en se rendre du compte de la menace imminente rôdant près d’elle. Soudain sa cravache disparut par magie de ses mains la clouant sur place de stupéfaction. Elle tourna en tout sens afin de comprendre d’où provenait cette estocade et vu au loin la silhouette du Connétable s’enfuir à toute jambe.

Arggg le gredin, le chenapan, il a osé !!!
Parbleu, il va m’entendre si je t’le choppe par l’esgourde… enfin si c’est par là que je t’le choppe, le gredin.

Elle partit en grandes foulées en direction du maraud afin de mettre à exécution sa sanction mais la jeune femme s’arrêta net en le voyant jouer de la cravache… Écarquillement des yeux, bouche grand ouverte telle une carpe… Elle fut hypnotisée ou bien médusée par le manège sous ses yeux. Lou venait-il de se découvrir des talents de Capitaine ? Il semblait presque maîtriser à la perfection l’art du roulement de poignet faisant valser la sainte cravache.

A mon commandement et pour les soldats à pieds, GARDE-A-VOUS.
PRESENTEZ.............Armes.(...)

La Baronne esquissa un sourire. Il avait l’air d’un enfant testant son nouveau jouet. A cette vision, son courroux fondit comme neige au soleil. Le Connétable avait l’air de s’en donner à cœur joie malgré quelque accroc de manivelle. Elle se mordit la lèvre afin de ne point rire quand la cravache percuta son nez.
Une carrière de saltimbanque assurément s’ouvrait à lui là. Plissement de nez soudain. Mais ne serait-ce pas elle, le sujet de cette imitation en fait ? Nouveau plissement de nez. Gné pas possible. Nan, elle se débrouillait bien mieux tout de même. Et pis, manquait et euuu … que nenni, elle n’était pas ainsi tout de même. Rooo. Et, il semblait prendre un malin plaisir, à faire durer la chose là.
Haussement de sourcils quand elle entendit un début de tintamarre vers le contingent amiénois. Ah nan, ce n’était pas l’heure.
Hum, il était temps qu’elle reprenne les choses en main, noméooooo sinon cela allait devenir le souk en moins de deux et ça hors de question. Tout avait été vu et revu, pas le moment de faire de sortir « des sentiers battus ». Plissement de nez plus flagrant, la vl’a partie vers lui, mains posées sur ses hanches le regardant droit dans les yeux, fermement décidée à reprendre son bien.

Euh, tout est en ordre ma capitaine. Je viens de vérifier.

Il lui tendit la sainte cravache. Vous l'avez perdue, je crois.
Bon, je vous laisse, hein........

Je vous remercie Connétable. OOOOOh que ferais-je sans vous… J’crois bien que je serai perdue, je l’avoue. Un Capitaine sans son Connétable c’est tout comme humm comment dire … une pomme sans sa pelure, soit peu de chose, pour reprendre une citation de notre bon et brave vieux Rufus.

Restez donc à mes côtés pour la suite, avec le Sénéchal Pegas.

Sait-on jamais, vous pourriez me guider en cas d’oubli du plan prévu lors du débriefing. L’opération Tango requiert toute notre attention en ce grand jour. Le moindre faux pas pourrait tout faire capoter. En outre, j'aurai besoin de vous pour me donner la position du couple. Allez suivez moi, je vous prie et fissa ne m’obligez point à vous tirer l’oreille devant toutes les garnisons.

Sourire emprunt de malice de la Capitaine. Ils reprirent place sur la petite estrade de bois.

La Capitaine aperçut quelques invités quitter la Cathédrale. C’était le moment de se mettre entièrement en place, les mariés n’allaient point tarder. C’est d’une voix claire, nette et sans appel qu’elle donna ses directives.

A MON COMMANDEMENT ... GARDE A VOUS, Repos …..

Les soldas à pieds prirent donc la posture adéquate sous son intention.
(Jambe gauche, corps, pied droit détendus ; Arme et main droit restant en place ; Main gauche sur la boucle du ceinturon ; Tête directe). Le silence se fit dans les deux files soldatesques. Pas un chuchotement ne retentit. La tension dans les rangs venait de monté d’un cran. Le moment crucial était proche.

La Capitaine balaya d’un regard les rangs … Elle tourna la tête en direction des portes de l’Eglise afin de vérifier l’arrivée du couple. Deux silhouettes se montrèrent. Signal du Connétable lui confirmant bien que c’était eux, elle enchaina donc d’une voix plus forte.

[Sur le Parvis et la Grande place, alors que le couple sort enfin de la Cathédrale et arrive sur le parvis]

Pour les Soldats à pied, GARDE A VOUS !!
Pour les Cavaliers, EN POSITION !!

D’un même mouvement, les militaires prirent position, et respectent ensuite une immobilité totale. Enfin presque deux d’entre eux semblaient avoir une sorte de tic, mais cela fut vite stoppé par son Supérieur d’un simple regard… et d’un même signe de tête, la Capitaine remercia son Officier.
Les Cavaliers se redressèrent sur leur monture.
Fière allure qu’ils avaient tous en cet instant. Jeux de regards vers le Connétable Leportel et le Sénéchal Pegas, qui était à sa porté afin de voir s’ils appréciaient tout comme elle l’ensemble.
Les mariés arrivaient sur le parvis. De là, ils pouvaient avoir une vision de l’ensemble formé.

Soldats POUR L'ENSEMBLE, PRESENTEZ ARMES …

Lances, Hallebardes, épées furent mises en avant, bien droite … bout pointé vers le ciel bleu d’un même mouvement harmonieux.
Ombeline fit un signe de tête à Jaidelachance afin de mettre en branle la fanfare.

http://www.deezer.com/en/music/playlist/musique-militaire-test-36250698#music/playlist/musique-militaire-test-36250698

Les mariés n’étaient plus qu’à quelques pas des deux lignes qui se faisaient face. … Dernière directive à lancer de la Capitaine.

Soldats, FORMEZ la haie d'honneur !

Les lances, les hallebardes et épées se dressèrent en l’air, se rejoignirent afin de faire une sorte de toit de lames, sous laquelle les mariés pouvaient passer. La Capitaine fit quelques pas afin de venir auprès du couple.

Une petite surprise de l’Ost d’Artois, Erwyn et Lndil. Au nom de tous les soldats, que tous nos vœux de bonheur vous accompagnent. Si vous voulez bien vous donner la peine de passer sous cette voute
en votre honneur, ce serait un immense plaisir et privilège pour nos soldats.
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http://nsa22.casimages.com/img/2011/10/16/111016024800109917.jpg

Jaidelachance

Non Non Non Non Non

C'était à ne plus rien y comprendre ... les deux seuls points de repères que Jaid possédait pour savoir QUAND donner l'ordre de démarrer la fanfare étaient en train de voler en éclats.
La Sainte-Cravache, qui générait toutes les motivations, virevoltait entre les mains de Loulou, et surtout la Capitaine n'arrêtait pas de plisser et de replisser le nez, Jaid ne savait plus s'il fallait commencer, arrêter, recommencer ... ma qu'est-ce qu'ils avaient tous à perdre la tête comme ça.
Très inquiète Jaid regarda ses hommes avec une mine déconfite, chacun d'eux attendait le fameux signal qui n'arrivait pas, seule la vieille schnock à leurs côtés semblait se réjouir de la situation en faisant grincer son fauteuil.

A MON COMMANDEMENT ... GARDE A VOUS, Repos …..

La toute nouvelle Lieutenante s'exécuta, vérifiant d'un coup d'oeil inquièt si toutes les tenues étaient impeccables et les bottes bien lustrées ...

[Sur le Parvis et la Grande place, alors que le couple sort enfin de la Cathédrale et arrive sur le parvis]

Pour les Soldats à pied, GARDE A VOUS !!
Pour les Cavaliers, EN POSITION !!

Ah bon ... encore ...

mais c'est qu'ils allaient être tout stressés à Amiens, z'étaient pas habitués aux Garde-à-vous répétés au fort ... surtout là, avec des instruments qu'ils avaient déjà du mal à ne pas faire tomber ...

Soldats POUR L'ENSEMBLE, PRESENTEZ ARMES …

Tous les soldats tendirent leurs armes en avant ( ma qu'ils allaient blesser quelqu'un à ce rythme là ) , et arriva enfin le signe de tête de la Capitaine que Jaid attendait.
Regard vers le Grand Orchestre d'Amiens, bâton en l'air ...

.... Trois, quatre !!!

La joyeuse fanfare entonna immédiatement la musique militaire préparée pour le mariage, entre quelques couacs et quelques rires, tous donnant le meilleur d'eux-même afin d'accueillir les mariés comme il se doit ...

Certes leur enthousiasme était plus remarquable que leurs compétences, mais tous les musiciens jouaient de bon coeur tandis que se formait la grande haie d'honneur.

* Rhoooo dis-donc qusé beau !!

* Pensait Jaid, un peu déconcentrée par l'évènement.

On entendait toutefois grincer un fauteuil entre deux notes de musique ...

*** KKKkkkkKKKKKRRRIIIIIIIIIIkkkkKKKK ****** KKKkkkkKKKKKRRRIIIIIIIIIIkkkkKKKK ***
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Albon

Albon arriva devant la Cathédral, réajusta son uniforme, puis il entra.

Lndil

Lndil au bras de sa Douce et en compagnie des témoins s'étaient regroupés pour remonter l'allée vers la sortie.
Les cloches de la Cathédrale sonnaient.
Il prit Erwyndyll par la main, mêlant intimement ses doigts aux siens.

En regardant vers la sortie, il put voir de nombreux soldats rentrer et se placer dans le fond...
Voila ce qui expliquait le tintamarre de musique et de chevaux entendu un peu plus tôt.
La Capitaine avait donc préparer une petite surprise militaire avec l'Ost à la vue de ces nouveaux et beaux uniformes

Il déposa un baiser sur la joue de sa Bien-aimée et lui dit
Tu as vu au fond de la Cathédrale... semblerait qu'on ait droit aux honneurs de l'Ost.
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Chany

Belle cérémonie .... Chanel ajusta sa cape , prête à sortir une fois que les mariés seraient eux mêmes dehors.

Elle se demanda si elle aurait pas mieux fait pour une fois de voyager en calèche....

secouant la tête

mais non j irai plus vite avec Tonnerre se dit elle espérant juste qu il faisait un peu plus chaud, elle avait quand même laissé des braies dans ses sacoches accrochées à la selle de son cheval , les enfiler seraient un jeu d enfant , restait juste a sortir de la cathédrale et a gagné l écurie ....

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Odas

Quelle belle cérémonie !! Erwynn et Lndil enfin liés et mariés devant le Très-Haut. Odas s'esquiva vite fait afin d'aller retrouver Mémé et Maurin mais quelle ne fut pas sa surprise de voir ce qui avait été préparé pour la sortie des époux juste devant la cathédrale. Une haie s'était formée avec les cavaliers en tenue d'apparat, leur uniforme était flamboyant. Le Cambrésien se décida donc de rester un peu pour ne pas rater la sortie des mariés. Il se cala dans un coin, patientant et profitant du spectacle magnifique qui se jouait devant ses yeux.

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Sirlabreck

Labreck remarqua l'agitation autour de lui, la lieutenante était bien trop occupé à jongler avec ce bâton, il fallait faire attention, elle trouverait un moyen d'assommer quelqu'un et de lui déléguer le fardeau, à moins que ça soit sur Balabira? Il se retourna et regarda, le regard sans trop d'expression, ni colère, ni cette attitude que les gens prenaient quand ils voulaient punir quelqu'un, plutôt, pourquoi moi? Il chuchota, juste audible pour ses deux là:

Tu as bien raison Sate, faisons honneur à Amiens pour une fois.

Il prit un de ses sourires narquois, quelle galère, mais ça lui faisait plaisir. Il se retourna rapidement, si bien que la majorité aurait crut que c'était un léger tique nerveux, ou leur imagination. Il espérait surtout que les vraies calamités se tiendraient tranquille, il connaissait à peine les mariés, mais il savait qu'ils étaient chacun plus important que lui et le reste de la garnison. Il se remit prêt à jouer de son luth, attendant ce signal, qui tardait malheureusement.
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Sate

jeh qui pour pas changer était à la bourre,avait néamoins fait un effort vestimentaire...surement dû à son nouvel amour,elle voulait être à son avantage!mais à peine entrée dans le rang qu'elle se mit à jouer!sate lui fila un coup de coude...

arrête on va encore passer pour des clowns!déjà qu'on a une réputation de catastrophes...

vite fait elles reprirent la pose en attendant le fameux signal!

Sate

sate pour l'occasion très particulière avait fait un maximum d'effort vestimentaire!tenue militaire impeccable,bottines cirées,cheveux disciplinés!c'est qu'elle voulait faire honneur à la fois aux mariés et à son fort!

soudain jaid tint la baguette en l'air....ça allait être le moment crucial!durant chaque répétition ils avaient raté le départ!mais là,elle le sentait bien ça se passerait bien!tenant sa flute prête à jouer elle était en quasi apnée,attendant le mouvement de la lieutenante chef d'orchestre jaid...derrière,l'ex-lieutenante qui se faisait passer pour une infirme émettait des sons grinçants avec les roue de sa chaise à roulettes!le stress était à son paroxysme...

Sirlabreck

Labreck avait entendu parler du mariage, et profita d'une visite de ses bureaux à St-Vaast pour y aller. Il mit le nouvel uniforme militaire et son épée à son flanc. Ses bottes étaient noire et bien lustré. Il portait des bouts d'armures, du cuir, protégeant son bras d'arme de la corde d'un arc, qu'il n'avait pas.

Il pénétra dans la cathédrale en même temps que plusieurs personne et repéra les banc réservés à l'Ost et alla s'asseoir discrètement. Il n'était pas baptisé et n'était pas à son aise dans un lieu comme la cathédrale.

La cérémonie se déroula, Labreck écoutant, curieux et ravie de voir un couple s'unir. Puis il quitta les rangs quand Ombeline l'ordonna, la capitaine avait tout planifier. Il se dirigea, suivant sa nouvelle lieutenante vers la fanfare, il avait opté pour son luth, il savait en joué. Jaid s'emblait s'amuser follement avec son bâton, et la schnock prenait un malin plaisir à être un fardeau. Il vit son signal et tint prêt à faire la levée puis à passer à un accompagnement pour rythmé.
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Demalay

Demalay était avec ses autres camarades du fort de Péronne dans les rangs de la cavalerie pour former un haie d'honneur au mariage avec leurs chevaux. Non loin d'arriver, il avait fait une halte et leur lieutenant leur avait donner les ordres pour la mise place.
Demalay suivit donc Le lieutenant, ainsi que le sergent avec Hannibal, son cheval de combat.
Enfin arrivé à son emplacement, avec Hannibal, Demalay réajusta sa magnifique tenue pour la circonstance et caressa doucement son cheval afin de lui faire comprendre qu'il ne fallait ne pas bouger et le calma un peu car il était de temps en temps un peu sur l'oeil.
Surtout qu'avec l'annonce d'une fanfare, il ne fallait surtout pas qu'il fasse un écart. Mais Hannibal était pour le moment trés calme. Elle entendit le lieutenant et se mit en position.

Citation:

Tenez-vous prêts !

Demalay était donc prête et dit un dernier mot à son cheval.

Si tu reste calme, tu auras un carotte lorsqu'on rentrera au fort

Ombeline

Jehanne66 a écrit:

Jehanne avait eu bien du mal à lâcher son chéri d'amour, dans la cathédrale, pour aller rejoindre la fanfare au signal, et c'est avec un peu de retard qu'elle traversa la haie d'honneur, tout en saluant ses collègues de Bertincourt.

Passant à côté de Lou qui se prenait pour une Capitaine, elle lui murmura:

T'as vu comme je suis belle !!!
Pas un trou à mes braies cette fois, c'est plutôt rare...

Puis elle se précipita vers ses collègues de l'armée du poulailler avant que sa nouvelle Lieutenante ne la déplume.
Elle sortit son arc qui avait plusieurs cordes et s'en servit comme d'une harpe.
Croyant entendre le signal du top départ dans un grincement d'essieux mal graissés,

elle entama donc le thème principal du dernier tango à Paris.

Les cavaliers présents n'avaient pas l'air ravi... même les écuyers eurent du mal à retenir la calèche des mariés !!!

Heureusement, Sate fila un bon coup de coude à Jehanne qui s'arrêta nette, et s'aperçut de sa petite, mais très petite erreur sur l'allegro ma une poco trop tôt...

Ah ben j'ai cru que... Alala, ces Schnocks aussi, avec leur carte vermeille... même pas capable de se mettre de l'huile là où il faut !!!

posté à la demande de LJD Jehanne66

Maxlevaillant

max qui etait au garde a vous vit romi arriver et lui murmura:

non ca va les mariés sont pas encore passer, tu arrives au bon moment ^^

Aubree_du_meslay

Aubrée avait suivit la fin de la ceremonie de mariage , toujours cachée dans son petit coin .
Elle avait pu , en se mettant sur la pointe des pieds , assister aux echanges de voeux , alliances et au baiser final ^^

Esquissant un petit sourire , elle admira les jeunes mariés et les regarda remonter l'allée qui les menait à la sortie .
Tous les soldats presents avaient dejà quittés l'edifice religieux , apparemment ils avaient prevu une parade militaire pour fêter les epousailles de leur Comtesse et du Vicomte .

Elle observa donc tout ce beau monde, qui dans les chuintements des robes des Dames et cliquetis d'épées des Messires , quitta la cathedrale pour aller feliciter les epoux et se rendre ensuite à la reception donnée au château surement .

Elle laissa sortir tout le monde , restant blottie dans son coin et attendant que la derniere personne sorte pour enfin sortir de sa cachette ....

Poildecawotte

Poildecarotte sachant que la cérémonie était terminé, elle vérifia rapidement si son uniforme était impeccable.

Tout était parfait elle sentit de la fierté et de la joie d'être ici.

Elle exécuta l'enchainement de mouvement avec sérieux et professionnalisme. La répétition ce déroulait bien, elle attendit patiemment la vrai sortie.

Lordromi

LordRomi arriva vêtu de son plus bel uniforme. Il se mit à côté de Max, dans le cadre de l'opération Tango. Il lui murmura discrétement :

Je suis pas trop en retard?

réajusta son uniforme.

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Leportel62

(Quelques jours avant le séjour en Flandres, dans le bureau du sergent Nefi)

Lou avait été convoqué par le sergent, chose qu'il n'appéciait trop guére. Il espérait qu'il ne s'agissait pas d'un rappel de piqûre. Non, pas possible, elle l'aurait convoqué à l'infirmerie. Bien qu'avec elle, on pouvait s'attendre à tout.

Il frappa et fut autorisé à entrer.

Il fut accueilli par un grand sourire. Cela sentait la corvée à plein tube.

Loulou, j'ai un service à te demander.

Le genre de phrase qu'il adorait. En language militaire, tu vas faire ce que je te demande et tu la fermes. Le sourire n'étant là que pour qu'on ne puisse refuser sous peine de se sentir coupable.

Si je peux.

Le Lieutenant étant pris, le sergent Will indisponible et moi-même témoin des mariés, tu vas prendre le commandement de la troupe de Bertincourt pour l'opération Tango.

Houlà, bah ça va pas être triste.

Ah oui, encore un truc que la capitaine avait pondu. Elles voulaient certainement nous faire valser sur un air de tango.

(Dans la salle d'appel, au fort de Bertin)

Lou ayant récupéré le plan des lieux de la piste de danse, il fonça directement à l'appel pour en informer ses compagnons d'armes.

Bon, vous connaissez la peloche, tenue nickel chrome, tout doit briller du sol au plafond, euh... enfin des pieds à la tête. On se retouvera devant la cathédrale.
Mauvaise nouvelle, nous perdons le soldat Jehanne qui sera avec son fort d'origine.

(Un peu avant la cérémonie)

Lou s'était rendu sur place de trés bonne heure afin de repérer les lieux. Aprés avoir tourné le plan dans tous les sens, il comprit enfin la disposition que désirait la capitaine.

Hum, ça devrait être sympa tous ces soldats rendant hommage aux mariés en effectuant une haie d'honneur. Une petite idée germa dans un coin de son cerveau.

(Durant la cérémonie)

Lou assista à cette cérémonie accompagné de la capitaine et Nathy, du sénéchal Pegas, du vieux débridé et du couple de l'année.

Ecoutant religieusement le déroulement de la cérémonie, il jetait de temps en temps un oeil sur Omby afin d'avoir le signal de départ.

Elle venait de le donner. Ils sortirent le plus discrétepment possible.

Sur le parvis de la cathédrale

Les troupes se mettaient en place sous l'oeil attentif d'Omby. Lou en profita pour aller voir les soldats de Bertin. Tel un bichon maltais reniflant le réverbére sur lequel il allait se satisfaire, il regarda chaque soldat.
Tenues impeccables, ça brille de partout.
Super, vous êtes beaux comme des écus neufs.

Allez, pour le fun : gaaaaaaaaaaarde à vous. Joliiiiiiiiiiii, euh....bien droit hein. Euh, naoki tu peux bomber le torse. Ah! tu es au maxi là, bon pas grave. Pour l'emsemble, repos.

(Quelques instants, avant la sortie des mariés)

L'ensemble était prêt. Lou alla pointer son nez à la porte de l'église. C'est bon, les mariés n'allaient pas sortir de suite.

Il retourna prés d'Omby, lui piqua sa cravache et fonça vers la porte de l'église.

A mon commandement et pour les soldats à pieds, GARDE-A-VOUS.
PRESENTEZ.............Armes.

Il regarda les soldats s'éxécutaient en faisant tournoyer la cravache. Il trouva le moyen de s'en mettre un coup sur le nez mais ne laissa rien paraître.

Il regarda le toit. Touchez bien les lances et épées. Parfait.
Lou se tortillait de plaisir. Hummmmmm, c'était bon.

Repos, repos. Réajustez les tenues.

Il continua paradant comme un faon au milieu des troupes. Claqua des talons à plusieurs reprises. Zut, il lâcha la cravache dans les airs. Il la rattrapa comme une majorette faisant mine de rien.

Il se dirigea vers le Lieutenant Jaid et sa chorale de chanteurs à la gueule de bois.

Allez y lieutenant, envoyez la sauce. Doucement que cela reste une surprise.

Il écouta les premières notes.

Nom de diou. AH bah avec ça, ils vont être surpris, croyez moi.
Mettez y du coeur, Hein; soufflez dans les bignous. Non pas avec votre coeur, avec votre bouche. Arf.... quelle question!!!!!

Il allait poursuivre quand il vit arriver la capitaine à sa hauteur. OUPS. Non de diou. Oh!!!! regard des mauvais jours, plissements de nez.

Euh, tout est en ordre ma capitaine. Je viens de vérifier.

Lui tendant sa cravache. Vous l'avez perdue, je crois.

Bon, je vous laisse, hein........

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Astreria

Depuis qu'Astreria avait reçu son nouvea grade, un inédit du genre, elle se la coulait douce.
Elle laissa donc Jaid lui trouver un moyen de transport et posa ses fesses dans la chaise roulante avec plaisir.

Tout le monde papotait sur le parvis pour se tenir chaud quand Jaid revient en fanfare. Elle s'agita dans tout les sens. Astreria leva un sourcil et laissa un jeunot se mettre devant elle, il parait que les anciens soldats devait être relégué à l'arrière, politique de la nouvelle Lieutenant, Jaidelachance. Elle ne voulait pas d'astreria au premier rang.

Astreria décida de faire la musique à sa façon, elle se mit à taper n'importe comment sur le truc qu'on lui mit entre les mains. Mais surtout elle faisait couiner les roues de son nouveau fauteuil pour enquiquiner Jaid !
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Airemes

Airemes, impeccable dans son uniforme d'apparat avait suivit Ombéline dans la Cathédrale.

Positionné sur la travée du fond, il attendait le signal du début de l'action.
La Cathédrale était rempli de monde, lui même étant entouré de nombreux soldats de l'Ost venus de tout l'Artois.

Dans la foule, il avait cru reconnaître Albon.
La cérémonie s'achevait.

Tout d'un coup la Capitaine quitta son banc et s'achemina vers la sortie suivit par une cohorte d'officiers.
Il était donc temps d'y aller.
Il se faufila vers la sortie en compagnie d'une autre sous-officier.
Le temps froid s'était mis au beau, un soleil timide ayant fait fondre la neige du matin...

Dehors une troupe de cavalerie se mettait en place, des soldats de toutes armes prenaient leurs positions, spectacle haut en couleur et magnifique.

Il descendit quelques marches et se positionna comme prévu dans la haie d'honneur.

Jaidelachance

Jaid n'avait pas encore tout à fait prète, mais la Capitaine avait donné le signal de départ : Son fameux plissement du nez ... il était temps alors de quitter la cathédrale, de s'éclipser le plus silencieusement possible, et de gagner le fond des deux rangées soldatesques, accompagnée du nouveau " Grand Orchestre d'Amiens " , en lequel Jaid avait fondé beaucoup d'espoirs de réussite.

Trois ou quatre mouvements du bras en faisant virevolter son bâton, la Grande Fanfare se sentait fière ; les mains étaient prêtes à battre le tambour, les bouches frémissaient devant les instruments à vent, les cordes vocales comme les cordes de leurs ustensiles vibraient déjà d'impatience en attendant l'arrivée des mariés.

Petit coup sec de bâton pour leur indiquer d'attendre encore. Il ne fallait pas manquer le premier Allegro ma non troppo majestueux qu'ils allaient entonner, et qu'ils avaient tellement raté durant les répétitions.
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Kiki

La cérémonie était finie, Kiki l'avait suivi non sans une certaine émotion de joie. Il y avait beaucoup de monde et tout en se frayant un chemin vers la sortie, elle pensait qu'elle irait féliciter les mariés plus tard.

Arrivée sur le parvis, elle sourit en voyant les soldats en place puis elle se dépêcha de rentrer à Calais ou elle devait s'occuper de quelques affaires pour la mairie avant de repartir à la réception.

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Polgara2009

[A Arras, tard le soir précédent la cérémonie]

Après une longue chevauchée, Polgara et sa jument Calypso, prirent un repos bien méritée ; l’une dans une auberge correcte de la capitale, l’autre dans les écuries attenantes. La jeune femme avait fait le trajet seule depuis Azincourt. A peine l’aubergiste lui eût indiqué sa chambre que celle-ci s’écroula sur le lit après avoir demander au gérant de bien vouloir la réveiller à l’aube le lendemain matin.

[Le matin, peu de temps avant le début de la cérémonie]

Ouvrant un œil puis l’autre, Pol s’étirait tranquillement quand elle se rendit compte de la grande clarté qui illuminait la chambre.

Oh non !

L’aubergiste avait oublié de la réveiller et la jeune femme allait être en retard à la cérémonie. Sortant de la chambre en trombe, Pol interpella l’aubergiste, occupé au comptoir à converser avec d’autre clients. Elle lui demanda, en essayant de conserver son calme, qu’il lui prépare le plus vite possible de quoi faire un brin de toilette. L’aubergiste, confus, demanda à sa fille de s’occuper du bain de la demoiselle pendant que celle-ci avalerait de quoi se sustenter ; c’est qu’étant arrivée fort tard la veille, elle n’avait rien mangé.
Le petit déjeuner englouti, Pol s’occupa ensuite de ses ablutions. Elle enfila ensuite son tout nouvel uniforme d’apparat et s’appliqua à se rendre présentable, ce n’était pas tous les jours que l’on assistait au mariage d’une Comtesse.

Une fois fini de batailler avec sa crinière récalcitrante et satisfaite de son allure, la jeune femme descendit les marches au pas de course et se rendit à vive allure à la cathédrale.

[A la cathédrale où la cérémonie à déjà bien avancée…]

Après quelques minutes de marche soutenue, Pol arriva devant la cathédrale où se massait de nombreux badauds ainsi qu’un contingent de soldat chargé de la sécurité. La jeune sergente se fraya un chemin parmi la foule et pénétra enfin, aussi discrètement que possible, dans l’édifice. Comme elle le craignait, elle était en retard, la cérémonie était plus que commencée, les mariés échangeaient déjà leur vœux. Le temps que Pol se faufile jusqu'à une place libre sur les bancs du fond, en espérant que la capitaine ne remarque pas son arrivée tardive, les alliances furent échangées.

Peu de temps après, la Capitaine donna le signal du départ, les mariés n’allant pas tarder à sortir, il était temps de lancer l’opération Tango. Pol, tout comme les autres militaires présents, se rendit sur le parvis. Après vérification de la tenue de certains épéistes et rappel des directives, la jeune sergente se mit en position aux côtés de ses hommes , attendant l’arrivée des mariés.

Maxlevaillant

maxlevailant qui avait mis son plus beau uniforme et qui l'avait bien nettoyer,s'etais assis tous le temps de la céremonie au fond de l'eglise vit le capitaine ombelline sortir de la cathedrale l'operation TANGO etait en marche, max sortit de l'eglise avec tous les volontaires et alla se placer sur les escaliers de la cathédrale et attendit le signal du capitaine

Bourgeois

Il entra en comtemplent la foule déjà arrivé, il se sentait en retard il etait à peine au courant qu'il était déjà là.
Mais hélas il était trop tard mais bon peut être qu'il ne loupera pas un prochain mariage.

Lndil

au courant moi ???? non non tu sais bien que je ne suis jamais au courant de rien
Ouai... avec ton sourire ca veut en dire long
Rigole de bon coeur

que tout mes voeux de bonheur vous accompagne. soyez heureux et profitez de cette journée elle est vostre, vous en aurez bien d'autre merveilleuse dans le futur mais celle ci restera un jour spécial.
Merci mon amie... merci d'avoir été là et d'avoir été ma témoin
Lui rend sa bisouille
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Farenheit

Le groupe de cavaliers approchait lentement de la place de la cathédrale. Les soldats de l'infanterie artésienne étaient déjà en mouvement et se mettaient en place. Le lieutenant leva la main.

Section... halte !

Vu d'ici le spectacle était déjà impressionnant et haut en couleurs. Voir ainsi tout l'ost rassemblé lui procura un grand sentiment de fierté. Il fit un clin d'oeil au sénéchal Leducg.

Ca a de la gueule, hein ?

Puis il avança un peu pour effectuer un petit repérage du parvis. Il aperçu enfin le capitaine Ombeline qui lui fit le geste qui signifiait qu'il pouvait commencer la mise en place. Il fit demi-tour et rejoignit le groupe de cavaliers.

Bien, nous allons former deux groupes ! Sergent Jengax, avec Benjinomy, Damdam et Ezequiel vous allez à gauche avec le sénéchal Leducg. Sergent Scaramouche, vous venez avec moi ainsi que Benjaminp, Demalay et Leberserker. Nous allons nous placer à en face à droite. Une fois les lignes formées veillez à ajuster correctement vos tenues et tenez bien vos montures.

Le groupe se scinda eu deux et les cavaliers formèrent les lignes dans le prolongement des soldats de l'infanterie. Après avoir ajusté sa tenue et vérifié que tout était en ordre, Farenheit attendit les premiers ordres tout en scrutant la porte de la cathédrale. Il passa sa main dans le cou de son fidèle Bergerac pour le rassurer et s'adressa aux soldats de sa ligne.

Tenez-vous prêts !
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[img*]http://i27.servimg.com/u/f27/11/27/56/54/bannie11.gif[/img]On peut guérir d'un coup d'épée, mais guère d'un coup de langue ...[Signature hors norme, merci de faire le nécessaire. BF]

Nefi

lndil se retourna aux sons provenant de l'exterieur et les regarda elle et brunette ...

Je pense qu'on nous attend... une surprise a certainement été concoctéé.

Regard en biais vers elle

Tu ne sais pas de quoi il en retourne je suppose ma chère Témoin ?

au courant moi ???? non non tu sais bien que je ne suis jamais au courant de rien

puis s'approchant d'eux, elle prit leurs mains dans la sienne et déposa un bisous sur leurs joues.

que tout mes voeux de bonheur vous accompagne. soyez heureux et profitez de cette journée elle est vostre, vous en aurez bien d'autre merveilleuse dans le futur mais celle ci restera un jour spécial.
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Auberge Amoreta

Pegas

Pegas malgré sa discrétion depuis son entrée avec la capitaine et son petit groupe à la cathédrale pour assister à ce mariage; il n'était pas vraiment calme, il était attentif mais son esprit vagabondait de temps en temps à l'extérieur de ce lieu pensant à la surprise réservée par l'ost sous la direction de la baronne d'Ytres pour célébrer ce grand évènement... Les ronflement de Rufus à coté du sénéchal ne l'aidait pas trop pour garder son calme et se débarrasser de son stress, ça paraissait d'ailleurs sur sa jambe gauche qui ne cessait de trembler, Pegas manquant de patience il donna coup de coude discret dans les cotes du coursier pour le réveiller...
La cérémonie toucha à sa fin, la capitaine se leva donc et se dirigea vers la sortie, suivie des deux sénéchaux et le connétable Leportel...
Tous les soldats furent prêt les sous officiers et officiers finirent de leurs donner les dernières directives, chacun prit sa place, tout le monde connaissait le rôle qui l'attendait une fois que les mariés franchissent la porte de la cathédrale...
Après s'être assuré que tout était en ordre et que le plan de la capitaine était en place, Pegas alla la rejoindre, il remarqua qu'il n'était pas le seul stressé lorsqu'il jeta un œil sur sa supérieure, il se plaça à coté d'elle s'assura que son nouvel uniforme était bien ajusté ...

Ensuite il prit un posture droite lui aussi comme sa supérieur ^^, son attention portée vers la sortie du lieu sacré attendant l'apparition des mariés ...

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Lndil

Après ce dernier baiser auquel il eut droit, Lndil écouta l'échange entre le prêtre et sa Comtesse de femme.
S'avança à son tour vers Darkdragonlord.
Je vous remercie mon Père... merci d'avoir concrétisé notre rêve commun car nous fûmes prie de panique à l'arrivée des fêtes de la nativité, comme vous savez.
Encore un grand merci...
Lui donne l'accolade puis, regardant Erwyndyll, la prit par la main.
Mon épouse et moi même serions heureux que vous acceptiez de vous faire conduire dans une calèche mise à votre disposition à la sortie de la cathédrale.
elle vous amènera à Guines bien entendu.

Se retourne aux sons de bruits pas très anodins de chevaux et de musique puis s'adressant aux témoins et à sa Douce...
Je pense qu'on nous attend... une surprise a certainement été concoctéé.
Regard en biais à Néfi
Tu ne sais pas de quoi il en retourne je suppose ma chère Témoin ?
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Darkdragonlord

Ensuite le père DarkDragonLord se prépara pour le partage du pain et du vin pour conclure cette cérémonie.

Après le partage, le curé termina sa messe.

Ensuite il s'approcha des nouveaux mariés pour les féliciter et de ses paroissiens pour les remercier d'être venus en grands nombres.

Erwyndyll

Qu'Aristote nous soit souriant et m'aide à être le mari que tu mérites

Comment résister à ces mots et ce regard ? Un dernier sourire et surtout se retenir de l'envie de l'embrasser encore...Elle en était à se mordre les lèvres quand elle entendit un grand éclat de rire et des larmes un peu plus loin...
Maé qui riait, Jaid qui pleurait et Nefi qui semblait ne pas savoir où se mettre...

Elle ne put s'empêcher de rire doucement, plus de stress, rien que du bonheur. Elle déposa un dernier baiser sur la joue de son mari - elle pouvait le dire à présent - puis se leva pour aller à la rencontre du Père.

Un grand merci pour votre messe ! Ce fut parfait ! Merci de nous avoir unis...Merci pour ce bonheur !

Darkdragonlord

Ce fût un plaisir pour moi chère Comtesse, et que ce bonheur vous accompagne le reste de votre vie.

Ombeline

Jehanne66 a écrit:

Jehanne, assise près de son Lord, avait bu (mais non pas du calva...) toutes les paroles dites pour la circonstance.
Elle était toute zémue de voir ce couple si zamoureux !!!

Elle avait délicatement pris la main de son géant dans la sienne et posé sa tête sur son épaule, lui envoyant de temps à autre quelques sourires et regards de merlan frit.

Ce qu'il était beau ce mariage !

Ce qu'il était merveilleux son homme à elle !

Ce que c'était fantastique l'amour quand même !!!

C'est que ça lui aurait presque donné des envies de..

posté à la demande LJD Jehanne66

Ombeline

[Au fond de la Cathédrale]

Ombeline jeta un œil attentif à la cérémonie. Le partage du pain venait de s’achever. … Il était temps de lever le camp … Elle déposa un doux baiser à son fils, et lui chuchota quelques mots à l’oreille, ce dernier galopa vers La Marie. … Coup d’œil vers ses Officiers et Sous Officiers, geste discret de la main de la Capitaine, l’ordre venait d’être donné à tous. D’un même mouvement harmonieux, sans aucune cacophonie et le plus discrètement possible, divers soldats quittèrent leur position. L’opération Tango venait d’être lancée, tout avait été réglé comme du papier à musique.

C’est à nous d'entrer en piste maintenant.
Sortons. Souffla-t-elle à ses voisins de banc.

La Capitaine, à son tour se leva, suivi du Connétable Leportel, des Sénéchaux Pegas et Leducg (…).
Ils prirent cap vers la sortie, et rejoignirent un contingent de soldats. Divers ordres fusèrent au sein de la troupe de la part des Officiers et Sous Officiers. Les Sergents Airemes et Polgara partirent d'un même mouvement.

[Sur le parvis de la Cathédrale,
l'opération TANGO se mit en branle pendant que la cérémonie se poursuivait à l'intérieur du lieu saint.]

Sur le parvis, elle attendit que l’ensemble de la troupe à pied se mette en place. Une petite tension montait peu à peu en elle.
Est-ce que tout irait ???
Avaient-ils tous bien compris les directives lors des divers débriefings de l’opération Tango ???
Y en aurait bien un qui va lui faire une boulette à tous les coups.
Prière vers le Très Haut pour que les poules enfin le contingent amiènois se tienne tranquille pour une fois…
Nouvelle prière pour qu’aucun grain de maïs ne bloque la machine en marche.

Elle balaya d’un regard circonspect le parvis et la place devant la Cathédrale. Ombeline resta quelques instants songeuse, se remémorant tout le plan « Tango » en tête.
… Plissement de nez…
Elle farfouilla dans sa poche de veste, pour en sortir son antisèche déjà bien usée.
Nouveau plissement de nez…
Bon bon, zen Omby, tout a été réfléchi, et tout a été revu moult fois dans ces moindres détails. Il ne devrait point y avoir de lézard.

Elle replia son parchemin et le rangea à sa place, puis respira à plein poumon une bonne goulée d’air froid. Elle observa ensuite les premiers mouvements de troupes.

En premier, spadassins, lanciers, épéistes, lanciers firent deux lignes face à face, jambes droites, pieds joints, dos bien droit, main sur la tempe, arme au sol sauf pour les épéistes la gardant encore dans son fourreau…

Des claquements de sabot et quelques hennissements se firent entendre. Une colonne de cavaliers avançait lentement à travers la grande place.

Une fois, ayant atteint une distance raisonnable, le Lieutenant Farenheit, homme en tête, au côté sur Sénéchal Leducg et des Sergents péronnais, s'immobilisa et stoppa la marche d'un geste de la main. Sans un bruit, il s'avança et scruta le parvis. La Capitaine croisa son regard et répondit d’un geste convenu. Tout pouvait se mettre en ordre de son côté. Une forme se profila à quelques pas de la cavalerie péronnaise, bientôt suivie par d'autres, portant les gonfalons et oriflammes aux couleurs artésiennes. Sur ordre de l'officier, les hommes se formèrent deux lignes aussi, dans le prolongement de celle des soldats à pied. La plupart ajustèrent leurs heaumes, agrippèrent la hampe de leurs lance et se préparèrent à suivre les directives suivantes.

Et enfin en bout des deux lignes soldatesques, hum… Plissement de nez … Mains moites …Sa tension monta derechef crescendo en voyant déjà la Sergente Jaid faire des moulinets dangereux avec le bâton de fanfare. Mazette, pourquoi avait-elle accordé cette partie là si sensible pour les tympans au Fort d’Amiens. Oula, la pression ... Grumphf ...

Pourquoi, pourquoi avait-elle dit oui ??? …
La Capitaine pressentait déjà un cataclysme.
Non,non Omby allez aie confianceeeeeeeee.
Tu seras fière d’elle et de ses acolytes musiciens de ce jour.
Ils vont cartonner à coup sûr… peut-être même seront-ils la révélation musicale de l’année.
Allez, aie confianceeee, aie confianceeee.
Elle respira lentement, reprit la maîtrise de ses émotions…
Self contrôle à toute épreuve, nous revoila.

Les rayons de soleil qui parvenaient à percer les quelques nuages matinaux firent scintiller heaumes, cottes de mailles dissimulées, et toute partie brillante des tenues d’apparat militaires.
Première sortie pour ces étoffes aux couleurs de l’Artois, venant tout droit d’ateliers flamands Artevelde.
Les longues tuniques bleues et noires des cavaliers et celles des soldats à pied formaient une belle composition harmonieuse avec les couleurs des oriflammes virevoltaient sous la brise légère.

La Capitaine, droite comme un i, attendit que le couple fraîchement marié fasse sa sortie afin de donner les ordres suivants. Le Sénéchal Pegas et le Connétable Lou l'avaient rejointe afin de veiller eux aussi au grain.
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Nefi

l'échange des anneaux elle n'en avait perdu une miette, retenant cependant tant bien que mal le coussin sur lequel la comtesse mains tremblante s'acharnait à tenter de dénouer le fin ruban retenant l'alliance de son futur.

gné kiki à fait un double noeud didiou ??? un farceur sans doute pas bien malin la pauvre elle tremble tellement déjà...

échange émouvant des concentements qui firent perler les yeux verts de la temoin.

roh suffit c'est pas le moment d'être mumute hein, tu vas avoir l air fine

Vous pouvez embrasser la mariée

oups c'est le moment de se carapater là sinon les voyeurs vont dire que je bouche la vue.

petit retour discret à sa place prés de brunette qui jouait machinalement avec son anneaux, regard complice entre elle, et oui ça pouvait aussi rendre malheureux l'amour mais donnait aussi beaucoup de bonheur.
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Auberge Amoreta

Jaidelachance

En retard.
Evidemment qu'elle était en retard !
Avec d'une part tout ce qu'elle avait à faire, et d'autre part tout ce qu'elle s'imaginait qu'elle aurait à faire un jour ( ce qui lui prenait beaucoup plus de temps, le temps d'entrer dans la réflexion ), comment Jaid aurait-elle pu se présenter à l'heure à cette cérémonie si importante ?
D'abord, il avait fallu trouver un moyen de transport pour son acolyte Astreria, déclarée Schnock depuis la veille, et l'emmener jusqu'au parvis de la cathédrale par des moyens que seul un charpentier avait habilement su trouver

et ensuite, gravir les marches une à une avec le machin roulant jusqu'à la grande porte d'entrée - sans la faire grincer - ni grincer le fauteuil - ni grincer la vieille que Jaid transportait.
Ensuite, il avait fallu trouver une place tout au fond de la cathédrale, discrètement, en tenue officielle, sans faire le moindre bruit.

Enfin, il avait fallu ne pas pleurer plus fort que la Comtesse lorsque Jaid avait entendu la déclaration du Vicomte Lndil, ma que des mots comme ça que ça ne peut venir que des gens qui savent s'exprimer tout bien comme les gens zintelligents et amoureux, et en songeant à son propre amoureux Ruru qui l'avait invité à venir au bal du mariage en lui disant qu'elle serait la plus belle dans un sac de farine, Jaid avait acheté un gros sac de farine plein sur la route, qui était presque aussi lourd qu'Astreria à porter sous le fauteuil roulant.

Que de chemin parcouru depuis qu'elle avait rencontré la Comtesse pour la première fois, dans le bureau du cadastre d'Amiens, en Place du Don.
Jaid se souvenait d'avoir été éblouie dès le premier regard par cette grande dame aussi charismatique que sympathique qui s'était présentée en grandes pompes dans le bureau miteux, et qui par gentillesse n'avait pas prêté attention au désordre et aux bouteilles qui traînaient dans les coins... non vraiment, il aurait fallu être surhumaine pour ne pas pleurer.

Uniforme d'apparat propre, bottines lustrées, torse droit, jambes serrées etc bref en belle posture ... tout comme elle avait dit la Capitaine, Jaid se tenait droite en pleurnichant devant la scène qui venait de se dérouler sous ses yeux : l'échange des alliances ...

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Stella...

[Quelques heures avant la cérémonie]

La Demoiselle avait vêtue sa plus belle tenue pour assister à l'hymen de la Comtesse et du Comte d'Artois...

Elle n'était guère friande de ce genre de cérémonie mais le bonheur de voir deux être unis pour l'éternité la touchait particulièrement... Comment louper un tel évènement ? Une fois prête, elle apprêta sa Douce et toutes deux sortir direction la Cathédrale...

[Dans l'Eglise]

Stella arriva sur les lieux, salua d'un signe de tête ceux qu'elle ne connaissait pas et bisouilla en revanche ses amis... Main dans celle de sa Princesse, elle suivit la foule à l'intérieur de l'Edifice et s'installa sur un banc au fond de la Nef... Regard porté sur le Couple, Stella sourit tendrement... Elle était heureuse que ces deux là se marie... Après les durs épreuves qu'ils avaient bravés ensemble, ils allaient enfin sceller leur Amour devant le Très Haut et Aristote... Elle espérait qu'un jour, elle se présenterait en ces lieux, elle aussi, avec celui qui lui promettrait amour et fidélité jusqu'à la fin des temps... Un sourire se dessina alors sur ses lèvres avant de se reconcentrer sur la Cérémonie... Prières, voeux échangés, témoignages et bagues au doigts se déroulèrent merveilleusement bien... Instinctivement, la Jolie Blondinette posa son regard sur son annulaire gauche... Un soupire s'échappa de son être en trouvant son doigt bien vide... Sentant sa petite s'agiter, elle lui murmura un "Sois sage ma Douce, c'est bientôt terminer"... Elle la regarda et sourit en espérant que Le nounou ne serait pas en retard pour venir la chercher à la fin de la Cérémonie...

Stella resta silencieuse ne quittant des yeux le Couple Comtale qui semblait comblé au plus haut point...

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Brunehautdartois

La cérémonie allait toucher à sa fin, l'echange des alliances venait d'avoir lieu, scellant ainsi les voeux echangés et l'appartenance des epoux l'un envers l'autre, elle ne pouvait s'empecher en les regardant de jouer machinalement et de faire tourner autour de son annulaire l'anneau non pas d'or comme celui que venait de passer Lndil au doigt d'Erwyndyll, mais de bois que lui avait offert un soir Riolle devant Odas pour témoin, et lui avait demandé d'être sa femme, ce souvenir restait aussi présent dans sa mémoire que le jour où elle le vit disparaitre dans les flots.
Mais ce n'etait pas le moment pour avoir ces funestes pensées,elle se tourna en direction de Néfi, qui semblait tout aussi songeuse qu'elle, un sourire discret à son attention, puis elle se reporta de nouveau son regard sur les mariés.
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Darkdragonlord

Vous pouvez embrasser la mariée

Lndil

Lndil était tout sourire... et calme. Il se voulait réconfortant pour sa Belle

Lndil, reçois cette alliance, signe de mon amour et de ma fidelité.

Mais elle semblait bien puisque cela ne l'empêcha pas de taquiner Maéva de sa bague passée au doigt.... *aaaaaahhhh les femmes et les bijoux !!!!* se dit il.
Erwyndyll venait de se retourner quand le père DarkDragonLord s'exprima à nouveau

Vous pouvez embrasser la mariée

Lndil prit les deux deux mains de celle qui était maintenant sa femme dans les siennes et, avant d'avancer sa tête pour l'embrasser, ajouta quelque chose à son unique attention
Qu'Aristote nous soit souriant et m'aide à être le mari que tu mérites
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Erwyndyll

Une alliance à son doigt...Elle la regarda un instant avant de relever les yeux vers ceux de son non-encore-mari puis elle entreprit de défaire le lacet qui retenait le deuxième anneau.
Pas évident du tout quand on a les mains qui tremblent...

Enfin, le lien céda, elle passa l'alliance au doigt de son cher et tendre, élevant la voix un maximum sans y arriver vraiment... Emotion quand tu nous tiens...

Lndil, reçois cette alliance, signe de mon amour et de ma fidelité.

Elle lui adressa un fin sourire puis serra sa main dans la sienne.

Se retournant légèrement elle avisa Maé qui regardait le coussin avec avidité. Profitant de la lumière des cierges, elle fit étinceler sa bague en sa direction puis lui adressa un clin d'oeil en souvenir de leur première rencontre.

Maeva83

Damned! La voilà à nouveau prise sur le vif à reluquer et convoiter les joyaux de la couronne, par la Comtesse elle même!

C'était plus fort qu'elle, elle aimait tant tout ce qui brillait, gné pas potib! Quelle bécasse! Même pas capable d'être discrète dans un moment aussi solennelle!

Puis elle se souvint de sa première rencontre avec Erwyn dans les couloirs de la chancellerie...

Elle lui fit un petit clin d'œil en retour, tout en remontant légèrement sa robe jusqu'à ses chevilles, comme pour lui montrer, qu'elle n'avait rien dissimulé en dessous, pas même un vieux calice en argent noirci...

Puis elle partit d'un rire franc en lui envoyant un baiser du bout des doigts, c'était un moment bien heureux que de partager au milieu de tous un peu du bonheur de cette union.

Maé n'en restait pas moins impatiente de voir cet anneau d'un peu plus près...

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Fidos

fidos non loin du couple observait tous ses gestes ,ses paroles ...
son regard perdu ...tout ça est beau ça lui rappelle des bons souvenirs

Jehanne

Jéhanne se trouvait dans les derniers rangs de la cathédrale pour assister à l'union d'Erwyn et de Lndil.
La cérémonie se poursuivait avec l'échange des anneaux et une émotion générale semblait régner alors.
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Laureline_squire

Laureline était resté debout dans un coin de la cathédrale. la fillette avait préféré laisser les quelques place assise et de prière aux personnes plus agées qu'elle.
La blondinette écoutait attentivement la cérémonie, un peu surprise de ne pas avoir entendu sa maman parler en tant que témoin.
C'était un vrai défilé qui se déroulé sous ses yeux de fillette émerveillée auprès des mariés.

Le couple aller désormais passer à l'échange des alliances, sous les yeux de tout un Artois réunit.
Gueux, bourgeois, nobles, soldats, homme du guet, politiciens, artisan, paysan, érudite, tous était présent au mariage de la comtesse et du vicomte. Les amoureux avait invité tout le comté à leur bonheur.

Laurie était songeuse à cet instant un regard rêveur dirigé vers l'avant de la cathédrale.

Shazame

Shazame joua quelque peu des coudes. En effet, une vilaine maladie de saison le cloua au lit et lui fit prendre bien trop de retard.
Heureusement, cette gênante situation ne fut pas des plus terrible. Et permit à Shaz d'écourter la cérémonie pour regarder le meilleur. Debout au fond de la cathédrale, il regardait la scène en compagnie de Kalagan.

Nain32

Oh mon amour, c'est tellement beau ...comme je t'aime mon homme

Nain la serra contre lui et lui murmura pour ne pas déranger la cérémonie...

Je suis si heureux à tes cotés mon amour...
J'ai hâte moi aussi de te passer la bague au doigt.

Songeur, il s'imagina à la place du couple comtal en train de passer l'anneau au doigt de Maya.

Benjaminp

Benjaminp restais attentif on en était à l'échange des aliances et c'était jusque là une cérémonie magnifique.
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bureau de recrutement OST

Lndil

Lndil s'approcha encore plus pret d'Erwyndyll, Néfi à ses cotés.
Prit une bague d'une main, relevant la main gauche de sa Douce de l'autre.
Il fit tout doucement glisser l'anneau à son annulaire en prononçant les paroles, appuyant sur les deux mots principaux pour que tous l'entende très clairement

Reçois cette alliance.... signe de mon AMOUR et... de ma FIDELITE.

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Nefi

arfff ben v'là j ai raté l'occasion de dire quelques vérité sur lndil

elle suivait la cérémonie avec le sourire, mais cependant le coeur étrangement lourd de nostalgie. non point des mariés eux même elle se réjouissait de leur bonheur.

gné papotib tu vas arrêter oui zou il et pas la et bien trop loin de toute façon suffit.

combat intérieur entre tête et coeur quel idée aussi. la cérémonie suivait son cour et nefi approcha des mariés avec son cousin de soie ivoire sur lequel reposait deux magnifiques anneaux d'or. voilà bien le moment ou les deux amoureux allaient symboliquement se lier, elle leur sourit à tout deux et tendit légèrement le coussin dans la direction de lndil comme une invitation.

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Auberge Amoreta

Darkdragonlord

Nous allons procéder à l'échange des anneaux, en disant à chacun: reçois cette alliance, signe de mon amour et de ma fidelité.

Maeva83

Un petit sanglot restait coincé dans sa trachée au moment où Lndil faisait sa déclaration à la Comtesse

Une émotion?

Mais pourquoi ressentait elle une émotion de ce genre?

En fait ce n'était pas une émotion, nananan, juste l'effet que lui faisait les anneaux qui brillaient et qui allaient bientôt être échangés...Pas potib, elle était pourtant à plus de 10 toises du curé et elle était presque aveuglée par les alliances!

Crénon, sûr que c'est pas du toc! Pour briller de la sorte!

J'aurais bien dit oui aussi, pour passer aussi beau bijoux à mon doigt!

Maé remarquait qu'on l'observait et prit un petit air angélique, faisant mine de prier...

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Aubree_du_meslay

Aubrée toujours au fond de la cathédrale , bien dissimulée dans l'ombre de son pilier , continuer de suivre le deroulement de la ceremonie de mariage.

Elle avait pu admirer tout le gratin de noblieaux presents pour ce Grand Mariage et s'amuser a regarder leurs mimiques , certains infatués d'eux mêmes ...
Elle n'etait pas dans son monde , mais celà etait ma foi une bonne distraction pour la petite paysanne qu'elle etait .

Un sourire guoguenard sur les lèvres , elle les observait , les detaillait , admirait aussi leurs magnifiques toilettes , celles des dames surtout , avec au fond d'elle une petite pointe d'envie . Elle n'aurait assurement jamais d'aussi belles toilettes de toute sa vie .

Elle revint à la ceremonie pour entrendre le consentement des futurs epoux et les discourts qu'ils firent l'un sur l'autre .
Mine de rien , sous son air moqueur , elle etait heureuse pour le Vicomte Lndil , qui avait enfin réussit a trouver le bonheur et l'amour auprès de la Comtesse et elle etait sure que cet amour , malgré le protocole , etait sincere et durable ....

Elle se reconcentra donc sur la ceremonie et sourit doucement en ecoutant le poême du Vicomte .
Elle esperait qu'un jour , elle aussi , malgré son envie de liberté , aurait le bonheur de se marier ......

Odas

Mémé, Maurin et Odas arrivèrent bien entendu en retard pour la cérémonie de mariage d'Erwyn et Lndil.

Ils essayaient de se faire discrets mais Maurin ne l'entendait pas de cette oreille et ne se privait pas de brailler généreusement. Apparemment, ils arrivaient juste au bon moment alors que Lndil rayonnant échangeait les consentements devant une Erwyn très émue et resplendissante.

Ils saluèrent tous les présents ne voulant trop perturber l'office et s'installèrent en bonne place ne voulant rien manquer. Odas tenait fermement la main de sa louve et ses yeux passaient de sa dulcinée à Maurin et aux très futurs proches mariés.

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Darkdragonlord

Jugeant que le geste de la comtesse était un signe d'affirmation, le prêtre regarda ensuite le futur époux avec un sourire en voyant son impatience et dit:

Messire Lndil veux-tu prendre Dame Erwyndyll, pour épouse, dans la sainteté et la confiance, pour vivre avec elle dans l'amour de chaque jour? Veux-tu faire dépendre ton bonheur de son bonheur et donner par l'exemple de votre union un signe visible de l'amitié de Dieu sur terre?".

Lndil

Lndil regardait sa Belle fondre après le doux baiser qu'elle venait de lui accorder...fallait vite quelque chose de plus protocolaire. Comme il connaissait bien les paroles du prêtre, étant diacre, il repris.
Moi Lndil, je veux prendre Dame Erwyndyll pour épouse, dans la sainteté et la confiance, pour vivre avec elle dans l'amour de chaque jour.
Concernant le signe visible de mon amour par ma Bien-aimée, je lui ferai un doux baiser... mais le plus beau est de lui réaffirmer toute mon envie d'être un père.
Il s'approcha pour l'embrasser tendrement
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Mayaii

Maya écouta le discour du comte pour la comtesse, très ému, elle serra la main de Nain tout contre la sienne...

Elle s'approcha de lui et murmura dans son oreille

Oh mon amour, c'est tellement beau ...comme je t'aime mon homme

Elle laissa sa tête se déposer contre son épaule, écoutant le reste de la cérémonie.

Erwyndyll

Ohlala...ohlalala...ohlala... Non non non...c'en étai trop. La Comtesse libéra l'un de ses mains, se mit à parcourir sa robe à la recherche d'un mouchoir.
Rien !
Elle se tourna vers Elena qui ne devait pas être loin. Les yeux aggrandis par les larmes qu'elle tentait de retenir...

Un mouchoir... Mon Comté...Guines...pour un mouchoir !

Il lui fallait sauver la situation, ne pas s'exposer à tout le monde avec des larmes plein les joues... Elle fit alors le seul geste qui lui semblait naturel et qu'elle désirait depuis un moment déjà...depuis le début de la cérémonie exactement..

Elle se pencha en avant, posa un court instant ses lèvres sur celles de son aimé.

Darkdragonlord

Le curé poursuivit:

Dame Erwyndyll, veux-tu prendre Messire Lndil pour époux, dans la sainteté et la confiance, pour vivre avec lui dans l'amour de chaque jour? Veux-tu faire dépendre ton bonheur de son bonheur et donner par l'exemple de votre union un signe visible de l'amitié de Dieu sur terre?".

Lndil

Lndil vit le prêtre se tourner vers Erwndyll... mais il n'avait pas fini !
L'émotion l'avait fait oublier la suite immédiate de ses paroles...voila tout.

Et voila qu'elle enchaina... rajoutant à son émotion avec cette petite larme.

Ma Douce... je vais essayé de finir, l'émotion m'ayant fait perdre les moyens... tu sais combien il faut m'ébranler pour cela.
Accepte ces quelques mots encore en preuve de mon, notre amour... quelque chose de plus personnel mais qui se doit être publique

Petit temps de pause à nouveau pour bien rassembler ses idées et lui ôter d'un doigt la goutte lacrymale qui s'accrochait à sa joue

Nous nous connaissions déjà depuis si longtemps
J’étais imperméable à ta beauté pourtant
J’étais ailleurs, tourmenté et abandonné
Nous ne pouvions, à ce moment, nous remarquer

Puis j’ai erré seul, tout seul de mon coté
Refusant l’amitié et encore plus l’amour
Puis une femme est venue à moi, un jour
Refusant l’amour, elle m’a pourtant éveillé

Comme toujours, je me plongeai alors dans mon travail
Puis lors d’échanges et diplomatiques batailles
Indispensable devint ta douce compagnie

Et nous nous sommes embrassés et enlacés
Depuis tu es la seule dans mon cœur occupé
Indispensable par ton amour, tu es ma vie

espéra qu'il ne la ferait pas trop chavirer... même si elle avait assez l'habitude de tous ces mots doux.
Mais il n'en avait pas fini.

Plus personnellement encore, je rajouterai…que….
Je n’avais toujours pu qu’aimer des commencements, apprécier des débuts de relations amoureuses… avec Carmilla et Brune
Maintenant, je veux pouvoir en profiter, en abuser… et je veux finir ma vie avec toi car je t'aime comme tu m'aimes.
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Darkdragonlord

Le prêtre regarda maintenant la promise.

Erwyndyll

Le mariage se poursuivait lentement. Les invités se rassemblaient tandis que les témoignages se succédaient. Elle sourit à l'évocation de son Vicomte, les textes étaient tellement vrais, cela lui correspondait tellement...

Lndil, Erwyndyl..tous mes voeux de bonheur vous accompagnent, que de votre union naissent tout un tas de petits artésiens qui rempliront tous vos chateaux.

Arffffff ! Pas trop quand même hein ! Elle s'imagina un instant suivie d'une petite tribu aux longues oreilles... Pas désagréable en soi dans le fond ! Elle s'aperçu qu'elle souriait béatement et se reprit ^^

Vint ensuite Ater... Incorrigible Ater ! Elle se serait bien levée pour le serrer dans ses bras mais avec une cinquantaine de personnes dans son dos, cela risquait d'être mal vu... Elle se contenta donc de lui envoyer un sourire crispé par les larmes qu'elle tentait de retenir.

« ne pas craquer » se répétait-elle, serrant de plus en plus fort la main de son futur de quelques minutes.

Erwynn , Ldnil , je vous souhaite d'être heureux dans cette nouvelle vie que vous entreprenez tout les deux.

Adorable Chani ! Comme de toujours, simple mais efficace dans le choix de ses mots... Encore une personne qui la touchait, de nouveau des picotements au coin des yeux...Rhaaaaa ! Pourquoi donc être si émotive ce jour ?!

Chère comtesse, vous épousez un homme de bien. Je vous souhaite tout le bonheur possible et imaginable.

Aucun doute la dessus ! Elle se tourna vers lui au moment même où le père leur demandait leur vœux. Ses yeux ne quittait pas son aimé des yeux...elle se laissa emporter par ses paroles et ce qui devait arriver arriva...une larme se mit à couler...Agaçante petite perle qui la trahissait ! Trop tard, elle ne pouvait plus la retenir..

C'était maintenant à son tour de parler... Facile à dire ça ! Elle avait la gorge nouée et chaque cm de son corps semblait penser qu'au moment ou elle ouvrirait la bouche s'ouvrirait en même temps les vannes de ses yeux...
Elle prit une grande inspiration et se lança.

Mon amour vicomtal comme je me plais tant à t'appeler...

Déjà tant de temps à tes côtés et jamais je ne suis lassée de ta présence. Chaque sourire, chaque parole, chaque geste est un éternel bonheur qui recommence.

Tu es mon support, mon rocher, mon aimé...toi que rien ne trouble ou n'ébranle, tu as toujours les mots qu'il faut pour me réconforter ou m'encourager.

Aujourd'hui, je deviens ta femme pour te soutenir lors du pire, pour t'aimer et plaisanter dans le meilleur...

Je terminerai par ces simples mots que tu me reproches toujours de ne jamais dire assez : Je t'aime...

Darkdragonlord

Le prêtre avait écouté les derniers témoignages, plus personne ne démontrait l'intention de venir à l'avant.

Le moment solennel était arrivé. Les époux se levèrent, le curé s'avança vers eux:

Le mariage suppose que les deux époux s'engagent l'un vers l'autre librement et sans contrainte, qu'ils se promettent amour mutuel et respect pour toute la vie, qu'ils accueillent les enfants que Dieu leur donne, et les éduquent selon les écrits d'Aristote et la pensée de Christos. Messire Lndil et Dame Erwyndyll, est-ce bien ainsi que vous voulez vivre dans le mariage ?

Lndil

Debout, écoutant et regardant le père DarkDragonLord, tout doucement sa tête se retourna vers sa Compagne puis son corps... finit par lui prendre les deux mains.
Il plongea son regard dans le sien.
Mon Père... c'est librement et avec un amour débordant que je promet ma vie à celle qui deviendra aujourd'hui ma femme... la seule et unique... a qui je promet ma vie à ses cotés dans les bons et moins bons moments.
J'espère qu'Aristote nous fera le don de vie.. j'en serai tellement heureux.
Donc oui c'est ainsi que je vivre dans le mariage.
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Lndil

Lndil écouta attentivement les paroles de Aterfalco.
Il reconnu dans les paroles du témoin tout le charme de sa douce compagne ... ce qui l'avait tellement attiré vers elle.
Pour sur qu'il serait combler avec elle... car il l'était déjà.
Lndil inclina également respectueusement la tête

Puis s'avança Chany... égale à elle même... simple et direct.
Une bisouille en prime et s'en va... Toujours aussi attachante la demoiselle
Il en souria.

Enfin se présenta Nain... il avait pu le croiser quelques fois.
Il était contant de voir qu'il avait accepté de faire le déplacement.
Il le remercia d'un petit geste de sa main ces félicitations finies.
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Liptis

Liptis se leva afin de s'exprimer sur le marié. Il ne connaissait pas assez la comtesse mais la savait femme de bien. Certainement l'égal de son époux.

Je connais Lndil depuis un certain temps déjà et aime à le considérer comme l'un de mes bons amis. Je sais que tout Arrageois, que tout Artésiens, peut espérer de lui une aide pour peu que cela lui soit possible.
Après avoir été maire, il est désormais mon chef au fort. Et j'en suis fort aise de la situation.

Chère comtesse, vous épousez un homme de bien. Je vous souhaite tout le bonheur possible et imaginable.

Il salua respectueusement chacun des mariés puis s'en retourna à sa place..

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Lndil

Ecouta Liptis... s'en retournant, Lndil le rattrapa et le serra dans ses bras et lui souffla
Merci mon Ami.
Toutes ces marques d'attention commençaient à le toucher grandement, au plus profond de son être.
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Farenheit

Après être allé vérifier que les palefreniers s'occupaient correctement des chevaux du fort et que tout se passait bien, le lieutenant Farenheit rejoint ses soldats qui étaient déjà installés au fond de la cathédrale en compagnie du sénéchal Leducg. Il aperçu Sokarius, chaleureuse poignée de main entre les deux hommes et échange rapide et discret de quelques mots. Puis, salut d'un signe des dames Brunehaut, Nefi et Damechanel ainsi que d'autres soldats et sous-officiers de l'ost avant d'arriver au niveau du banc ou se trouvait ses hommes. Petit contrôle visuel des tenues et sourire de satisfaction. Il serra la main au sénéchal Leducg et s'installa. Il n'eut aucun mal à savoir ou était le capitaine, sur un autre banc, en voyant l'immense colosse qui lui servait de garde du corps, Lordkiche. Elle était en compagnie du sénéchal Pégas, du connétable et de quelques soldats de l'ost. Farenheit se mit à son tour à écouter les différents témoignages.

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[img*]http://i27.servimg.com/u/f27/11/27/56/54/bannie11.gif[/img]On peut guérir d'un coup d'épée, mais guère d'un coup de langue ...[Signature hors norme, merci de faire le nécessaire. BF]

Kiki

Kiki installée dans un coin de la cathédrale vit de nombreuses personnes arriver, certaines qu'elle connaissait plus que d'autre puis les mariés se mirent en place et elle sourit en les voyant tout en pensant " ben oh moins on peut voir leur amour à c'est deux là, c'est bien parti pour durer !! "

Puis il y eu le défilement des gens qui voulaient témoigner, c'était assez poignant mais on comprenait tout de suite que la comtesse et le vicomte était très appréciés. Elle se demandait encore ce qu'elle faisait là mais elle n'en appréciais pas moins le déplacement.

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Chany

Chanel se leva

Ce qui a d'agréable quand on fait de la politique, est de pouvoir parler avec des adversaires sans se prendre la tête , rester courtois pouvoir parler de tout sans arrière pensée, c'est ce qui se passe lorsque vous parlez avec Ldnil ou Erwynn.
Mais ils ne sont pas "agréables" qu en politique , c'est tout les jours que ces deux personnes rehaussent le niveau de la noblesse en Artois .

Erwynn , Ldnil , je vous souhaite d'être heureux dans cette nouvelle vie que vous entreprenez tout les deux.

Chani fit une petite réverence puis les bisouilla tout les deux avant de regagner sa place
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Nain32

Nain regardait avec une très grande attention le déroulement de la cérémonie.
Bientôt la place des mariés sera leur avec leurs amis sur les bancs.

Il alla faire un petit discours pour remercier les amoureux d' avoir inviter sa petite famille.

Je suis heureux d'être parmi vous en ce jour si merveilleux.
Je ne vous connais que depuis très peu, mais j'ai pu remarquer que vous aviez un grand cœur.
Je ne sais trop quoi dire d'autre, mais je voulais venir vous donner tout mes vœux de bonheur et une longue vie amoureuse à tout les deux.

Puis il alla se rassoir vers son amoureuse et lui donna un baiser.

Leportel62

Lou pénétra à l'intérieur de la cathédale et se retouva à côté d'Omby laquelle fut rapidement rejoint par son fils Nathy.

Il lui adressa un clin d'oeil.

N'étant pas trop habitué à fouler les sols de ces lieux saints, il se mit en quête de regarder l'ensemble, grandiose, majestueux et admirablement proportionné, donnant une impression de noblesse, d'équilibre et de majesté sereine, rayonnant de lumière.

La longueur, la largeur et la hauteur sous voûte sont impressionnants. Entre les fenêtres hautes et les colonnes, un entablement court sans fin autour de l'ensemble de l'église. Les hautes colonnes rondes sont couronnées par des chapiteaux. Cette combinaison harmonieuse de lignes horizontales et verticales confère à l'ensemble un caractère majestueux.

Au milieu de la grande nef : la chaire. Le maître-autel est une table de granit d'un seul tenant, avec une décoration en bronze sur le devant.
L'ambon, lieu de parole devant le maître-autel, est un pupitre sculpté en forme d'aigle.

Lou cessa un peu de faire l'inventaire et s'intéressa à la cérémonie en cours....
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Carbonnel

Suis en retraite jusqu'au 05/01

Benjaminp

Benjaminp, en tenue de soldat rayonnante arriva peu après Leberserker et le sénéchal Leducg. Il avait pris plus de temps pour brosser godelsite son cheval et revétir son plus beau costume de soldat. En arrivant il attacha godelsite, sallua Sokarius et pris place au dernier rang au près de ces frères d'armes.

Darkdragonlord

Le prêtre pousuivit la cérémonie avec la récitation du credo.

Si d'autres personnes veulent venir faire un témoignage avant l'échange des voeux, vous pouvez vous approcher.

Sansvisage

Aterfalco, toujours attentif à ce qu'il se passait, écouta les diverses interventions. Il sut alors que c'était à son tour de parler, ce qui ne l'impressionnait pas outre mesure. Il sentait au contraire ce léger pincement qu'un avocat ressent à chaque fois qu'il doit prendre la parole devant une audience et en sourit intérieurement.

Toutefois, en bon juriste, il ne se sentait pas d'intervenir spontanément sans être sûr de l'opportunité de sa prise de parole. Pour s'en assurer, il chercha du regard la belle Comtesse, afin de s'assurer de son consentement à prendre la parole. Elle lui sourit et lui adressa un imperceptible signe de tête qui signifia son approbation ! Il s'empressa donc, mais sans trop de hâte, vers l'autel, puis prit la parole devant l'assemblée.

-Si l'on parle de cher Lndil, je vais donc moi parler de cette chère Erwyndyll !
Je me suis personnellement lié d'amitié avec notre Comtesse lors de son retour en Artois, c'est-à-dire... Il y a un moment déjà ! Et dès lors donc, je lui ai voué ma plus fraternelle affection. C'est une personne droite et aussi noble que les titres qu'elle porte. C'est au contact de personnes comme Erwyndyll que l'on comprend ce que signifie le mot "noblesse". Dévouée à ses amies et à son comté, c'est avec joie et loyauté que je l'ai suivie lorsqu'elle était chancelière d'Artois, en l'assistant du mieux que possible.
Excellente chancelière, je la croyais à la hauteur de l'ambition de Comtesse d'Artois et l'ai également soutenue dans cette démarche. Aujourd'hui je ne le regrette pas, au contraire. Notre Comtesse est tout aussi digne de ce titre là que des autres, et je me sens fier de la nommer ainsi.
Je l'ai vue réussir dans ce qu'elle a entrepris comme fonction en Artois, toujours digne même dans les plus sombres difficultés. En dépit de sa certes grande sensibilité, elle a aussi toujours su assumer ses devoirs sans jamais défaillir.
Et en ce jour Erwyndyll se marie avec un ancien Comte d'Artois et homme d'honneur, dont les mérites sont reconnus de tous. Voila bien une perspective à la hauteur des nombreuses qualités de notre chère Comtesse ! Je gage qu'elle saura combler notre bien aimé Lndil non seulement comme noble Dame, mais également comme la remarquable femme qu'elle est.

Aussi, c'est avec une grande émotion que j'adresse aux deux futurs époux mes plus sincères voeux de bonheur et de réussite ! Je prierais volontiers Aristote de bénir leur union, mais le Père DarkDragonLord fera cela bien mieux que moi !

Aterfalco inclina respectueusement la tête et adressa son plus beau sourire à la Comtesse. Sur quoi il retourna à sa place de témoin.
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Benjaminp

Citation:

Si d'autres personnes veulent venir faire un témoignage avant l'échange des voeux, vous pouvez vous approcher.

Benjaminp se demanda si son sénéchal ou si son lieutenant allais faire un discours il se retourna vers le Sénéchal Leducg et lui demanda.

Sénéchal vous ou le lieutenant irrer témoigner?
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bureau de recrutement OST

Leberserker

Leberserker arriva légèrement en retard, écartant tant bien que mal les badauds de la foule. Il arriva enfin aux abords du portail de la cathédrale et salua le Sénéchal Leducg et la Capitaine Ombeline, entrant dans la cathédrale, il fit la bise à Chany.

Tu vois, je suis venu finalement

Il se mit ensuite dans le fond de la nef. Il n'était pas vraiment vétû pour ce genre de cérémonie, seules ses bottes cloutées, son épée et ses galons épinglés sur sa chemise montraient qu'il faisait partie de la gent militaire. Il attendit patiemment dans son coin le commencement du mariage en inspectant d'un oeil insistant les allées et venues.

Sokarius

En tenue officielle de cérémonie, l'invitation à la main, le jeune soldat entra dans la grande Cathédrale d'Arras.

Il ne put s'empêcher d'être émerveillé par la structure et l'architecture de l'édifice, un édifice immense, majestueux, magnifique.

Il ôta son chapeau, et s'avança doucement vers la foule de personne rassemblée pour l'exceptionnel évènement : le mariage de deux êtres s'étant vouer l'un à l'autre, et prêts à le déclarer publiquement devant les hommes et devant Dieu.

Il salua d'un hochement de la tête et d'un sourire les personnes qu'il connaissait. Puis, afin de ne pas déranger le déroulement de la cérémonie, il se plaça dans un endroit où il pourrait observer l'union sacrée.

Lndil

Ça s'agitait au fond de la cathédrale or Lndil ne pouvait se retourner pour voir mais du monde arrivait encore.

Il écouta attentivement Darkdragonlord.
Son discours fut simple mais simplement vrai. Ils avaient eu l'occasion de parler de différentes choses et Lndil remarqua qu'effectivement il n'avait plus trop échangé et conversé avec son ami suite a son départ de la mairie d'Arras et que son retour en politique comtale l'avait à nouveau éloigné de son travail de diacre.
Lorsqu'il laissa la place à une autre personne, il lui glissa doucettement :
Merci mon Ami

Puis s'avança Brune... Il baissa d'abord la tête sachant que l' émotion risquait d être forte mais finit par la relever.
Il pu voir son ptit sourire aux coins des lèvres. Il l'écouta avec attention.
Son descriptif fut tout à fait chronologique et historique... bien qu'elle passa heureusement sur leur courte mais intense histoire amoureuse.
Cependant une phrase le marqua :
il m'a fait revenir à la vie, je l'ai fait sortir de sa bureaucratie , c'est un homme juste, droit, honnête, et fidèle que cela soit en amour ou en amitié, .
Voila effectivement ce qu'il espérait qu'on retiendrait de lui... bien sur il faisait bons nombres de petites bêtises mais bon, qui n'en faisait pas.
Enfin
Lndil, Erwyndyl..tous mes vœux de bonheur vous accompagnent, que de votre union naissent tout un tas de petits artésiens qui rempliront tous vos chateaux.
Lorsquelle se replaca à ses cotés, lui dit tout bas.
Tu m'a aussi ramené à la vie, et tu le sais. Je te remercie encore pour cela comme pour être la aujourd'hui.
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Darkdragonlord

Le prêtre continua avec une lecture de la vie d'Aristote:

Citation:

Leducg

Avec cette période de fête, Leducg en avait oublier le mariage de la Comtesse, heureusement qu'il avait reçu un courrier pour l'en informé, mais bon il était quand même en retard.
Il enfila alors en vitesse son costume de cérémonie frotta un peu ses galons puis pris la direction de la cathédrale. Il était en retard il n'y avait aucun doute et avec le monde qui avait en rue ça n'arrangeais pas les choses.
Il arriva finalement devant les portes de la cathédrale et pu apercevoir le Capitaine qui y rentrait justement. Le sénéchal accéléra le pas pour la rejoindre il passa alors les portes et s'arrêta a la hauteur de Ombeline.
Puis parlant a voix bas pour ne pas déranger la cérémonie qui avait déjà commencer il là salua.

Bonjour mon Capitaine, désoler pour ce retard
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Ombeline

Et les cloches carillonnèrent …

La calèche de la Comtesse venait d’arriver aux abords du parvis. Elle se dirigea vers l’entrée de lieu saint au bras du Comte de Ponthieu.

Merci Capitaine. Mes hommes ont été informés, la foule est joyeuse comme vous pouvez le voir et je vous attendais pour entrer dans la Cathédrale.

Oui, entrons donc. Merci de m’avoir attendu, Sergent Airemes.

La jeune femme se tourna vers ses voisins.

Prêt ? Et, de la tenue comme lors de la cérémonie de couronnement en Flandres. Je compte sur vous.

Ombeline pénétra à son tour dans l'imposant édifice et s'arrêta un moment pour admirer la décoration, puis délassa son mantel noir qu’elle confia ensuite à Rufus. Elle vérifia sa mise, contente de sa nouvelle acquisition vestimentaire qui lui avait permis de joindre l’utile à l’agréable en Flandres, de visiter les ateliers d'une connaissance, de connaitre un peu mieux les us et coutumes de leurs voisins bref à renouveler un jour. Les autres « projets vestimentaires» pour l'Ost étaient prometteurs s’ils étaient d’aussi bonne finition.

La jeune femme s’approcha du bénitier pour y tremper ses fins doigts et se signa silencieusement.

Le petit groupe s’avança dans une allée, tâchant de se faire discret, se dirigea vers les bancs réservés puis prit place dans l’une des dernières rangées. Les bottines pourpres silencieuses de la Capitaine frôlèrent les dalles de pierre ivoire et grise quand elle s'approcha du banc.

La Comtesse arrivait quasiment devant l’autel quand ils furent installés. Tout en écoutant le début de la cérémonie, elle joua machinalement avec son petit pendentif. Alors que la Bénédiction débuta, elle sentit une petite agitation sur le côté. Plissement de nez… Son regard tomba sur le vieux coursier qui gesticulait bizarrement. Mazette, qu’avait-il encore ? Pas de poux ou puces, pas possible, elle avait bien insisté pour qu’il prenne le temps de se nettoyer et pis il avait mis son costume du dimanche, le bougre … ça ne pouvait être cela… Elle l’observa quelques minutes mais tout semblait être redevenu quasiment à la normale à part cet étrange air qu’il arborait … grand sourire béat sur la goule et une concentration trop intense... Ben, il dormait les yeux ouverts sans doute encore et rêvassait...Humm … Nous vl’a bien s’il se met à ronfler ou vitupérer … Pioufff… Elle jeta un œil sur Pegas, espérant qu’il sera le secouer à temps.

La jeune femme tourna la tête en quête parmi l’assistance de la Flageolette d’amour de son vieux coursier quand l’on tira sur sa manche.

Ahhh, quel regard pétillant et malicieux croisa-t-elle … Sourire aux lèvres de la Baronne... Son fils Nathanael venait d’arriver. Levant la tête, elle tomba sur le visage familier de La Marie, cuisinière au manoir qui s’était mise tout au fond de la cathédrale, près d’une statue d’un saint. Elle la remercia d’un signe de tête puis enlaça son fils et l’embrassa sur les deux joues, contente de le retrouver. Elle le hissa ensuite sur ses genoux.
La voix de Brune retentit dans la cathédrale. Ombeline l’écouta avec attention tout en glissant sa main libre dans la chevelure de son fils.
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Neidanac

C'était un grand jour.. Combien de comtesses en activité s'étaient mariées dans la cathédrale d'Arras ? Aucune, ou alors très peu. Les Artésiens et les Artésiennes semblaient être bien heureux et festifs, comment Neidanac, lui, aurait pu l'être? Comment aurait-il pu afficher un seul sourire sincère en cette journée ? Lui, étant un ami proche de la comtesse, il n'était pas sans savoir que ce mariage était une immonde mascarade ; il n'était pas sans savoir que le sieur Lndil ne la méritait guère, ce dernier ne la rendra point heureuse et il n'était pas sans savoir que la comtesse avait toujours des sentiments pour les deux derniers comtes qu'elle avait fréquenté jadis.

Erwyndyll, elle, qui était pourtant une femme remplie de bonté et de joie de vivre n'était plus qu'une statue, souvent ravagée par les larmes, un peu comme la pluie qui s'écoule des cieux. Il espérait de tout son coeur que ce mariage n'allait point la changer, car ce faux gentleman de Lndil avait berné bien des gens avec ses faux airs, mais Neid était bien content que cet homme ne soit point le père de sa Elena. Si une chose pouvait le réconforter c'était de savoir que ce dernier ne serait jamais reconnu comme le Comte de Guines. Jamais Lndil ne porterait les couleurs de ce comté : le comte Seb alias le disparu avait vu juste dans l'écriture de son testament et heureusement car avec Lndil à la tête de ce domaine, il aurait fallu rebaptiser les habitants de Guines les Guignols. Sourire taquin. Il rêvait du jour où le véritable Comte de Guines reviendrait pour reprendre la femme qui lui est sienne... Si Neid était présent en cette soirée c'était uniquement au nom de l'amitié qu'il ressentait envers Erwyndyll ''sa presque mère''.
Uniquement.

Ce fut armé d'un faux sourire et d'une tenue aussi luxueuse qu'à son habitude que le bourrin fit son entrée dans la cathédrale. Contre toute vraisemblance, ce sourire semblait bel et bien vrai et sincère, Neid maîtrisait également l'art du visage à deux faces sûrement du à son bon sens de l'observation. Saluant et serrant des mains de gauche à droite tout en se rendant en direction des premiers bancs de l'église, il scruta les environs, cherchant du regard sa douce et belle Elena. Quelques instants furent nécessaires pour arriver à bon port, mais son calvaire fut récompensé, car il trouva une jolie demoiselle garnie de cheveux noirs, ornés d'une couronne de dame qui s'agençait parfaitement au reste de sa tenue. Cette tenue qui était rien de moins qu'une luxueuse robe bleue, cette dernière l'avait fait préparée exclusivement pour l'occasion. Ce fut bien doucement et élégamment qu'il prit place aux côtés de cette jeune femme, glissant ses doigts entre les siens pour ensuite déposer un simple et doux baiser sur le coin de ses lèvres alors que le regard de la jeune femme était posé sur l'autel. Peu a peu, il remonta son visage vers l'oreille de sa dulcinée pour murmurer quelques mots.

'' Je vous aime ma Elena, un jour ce sera notre tour, notre mariage sera complètement différent car l'amour sera en première loge''

Il termina ce joli discours par un sourire et regarda les évènements qui se déroulaient devant lui, bien blotti contre sa dulcinée. Devant eux, Erwyn sa belle mère était vêtue d'une robe bleue, aussi ravissante que sa fille, et jamais il n'oubliera le jour où elle lui avait présenté Elenacette rencontre avait eu l'effet du véritable coup foudre des frisons avaient parcouru son corps en entier... que de nostalgie

Brunehautdartois

La grâce personnifiée faisait enfin son entrée, sa grandeur la comtesse d'Artois, accompagnée du comte de Ponthieu s'avançait lentement dans l'allée centrale, tous les regards s'etaient posés sur eux, tandis que le futur marié semblait soudain defaillir, elle avait senti la pression de son bras sur le sien se faire plus lourde et elle le retint sans flechir.
A l'arrivée de la splendide mariée face à eux elle s'ecarta pour lui laisser prendre place aux cotés de son futur, lachant le bras de ce dernier, pour maintenant faire face à l'autel et ecouter le pretre commencer la bénédiction nuptiale.
Prenant son role de témoin très au sérieux, à l'invitation du curé elle s'avança vers lui, et se tourna vers l'assemblée.
Voyant alors tous ces yeux concentrés sur elle, elle sentit sa gorge se serrer, elle n'etait pas habituée à prendre la parole devant pareille foule, surtout qu'elle allait devoir parler de son ex compagnon.
Elle se racla la gorge par quelques toussotements légers et se lança.

Je vais pour ma part vous parler egalement de Lndil. Quelques uns d'entre vous s'en seraient doutés.

Elle regarda un bref instant dans la direction du Vicomte, un leger sourire aux coins des lèvres, et continua.

J'ai trop peu cotoyé la comtesse pour suffisemment la connaitre, mais je ne doute pas qu'elle soit une femme merveilleuse, car si aujourd hui le Vicomte de Lens l'a choisie pour epouse, il ne pourrait en être autrement.
Je vais tacher de faire court, car il y a tant à dire sur lui, et les nombreuses qualités qui le définissent, que vous risqueriez d'être endormis avant la fin de mon discours.
J'ai rencontré Lndil il y a de celà quelques années, à l'époque j'etais une jeune soldate du fort d'Arras et lui du fort d'Azincourt, nous etions en campagne contre la Champgne, hé oui déjà, nos contacts etaient, purement professionnels, nos echangent ne parlaient que de nourriture pour les soldats et autres soucis logistiques.
Et puis le temps à fait son oeuvre, alors que j'etais partie bien loin de l'Artois, Lndil s'installa quant à lui à Arras, comme l'a si bien expliqué le père Darkdragonlord.
C'est à mon retour que je fis plus ample connaissance, lors de son arrivée au fort d'Arras, je m'en souviens comme si c'etait hier, les soldats avaient organisé une surprise à l'occasion de mon anniversaire, c'etait l'hiver, s'en suivit une bataille de boules de neige, le vicomte arriva en plein milieu, et fut à son tour bombardé.
S'ensuivit des histoires de queues de cerise à dormir debout, tout celà arrosé d'alcool de prune, il n'en fallut pas plus pour que nous...

Elle toussa de nouveau.

Euh oui enfin je vais sauter ce passage; notre histoire ne dura que le temps d'une saison, mais depuis nous avons l'un pour l'autre une profonde et sincère amitié, c'est pour cet ami que je suis là devant vous aujourd hui, il m'a fait revenir à la vie, je l'ai fait sortir de sa bureaucratie, c'est un homme juste, droit, honnete, et fidèle que celà soit en amour ou en amitié, il sera toujours là pour vous aider.

Lndil, Erwyndyl..tous mes voeux de bonheur vous accompagnent, que de votre union naissent tout un tas de petits artésiens qui rempliront tous vos chateaux.

Elle adressa un sourire aux epousés, puis retourna à sa place.
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Airemes

Les cloches commençaient à sonner...Airemes s'avança au devant du Capitaine et de la petite troupe...

Sergent Airemes et de votre côté, tout est en place ? Vos hommes ont bien été informés ? Pas d’imprévu concernant votre troupe ? Rien d'anormal parmi la foule ?
J’ai ramené les plans pour la suite prévue, si vous voulez bien y jeter un œil. Et hum, au passage, seyant cette tenue... ça change un peu, n'est-il pas ?

Merci Capitaine. Mes hommes ont été informés, la foule est joyeuse comme vous pouvez le voir et je vous attendais pour entrer dans la Cathédrale.

Il pris les feuillets que lui tendait la Capitaine...

Darkdragonlord

Hé bien, on dirait que tout le monde est trop timide pour commencer, alors je vais le faire.

N'ayant croisé la comtesse Erwyndyll à quelques occasions à l'université, je n'ai pas eu le loisirs de vraiment la connaître, seulement d'apprécier son travail là-bas.

Je parlerai de mon vieil ami, le vicomte Lndil que j'ai connu lorsqu'il était cantonné dans la ville d'Arras. Il avait dû prendre la mairie d'urgence car le maire de l'époque n'était plus disponible pour cette tâche. Il m'a confié quelques mandats, me demandant toujours si j'étais intéressant, un jour je lui ai dit, lorsque vous avez un besoin, donnez-moi le mandat et je le ferai. C'était aussi mes début dans la prêtrise, nous avons travaillé ensemble à faire revivre la capitale.

Ayant laissé la mairie, Messire Lndil est devenu aussi diacre d'Arras lors de ma retraite qui c'était un peu trop prolongée. J'ai eu le loisir d'officier une messe en sa compagnie.

Mon ami, je vous souhaite tout le bonheur qu'un homme et sa femme puissent mériter sur terre.

Le prêtre laissa la place au prochain orateur, enfin, il l'espérait

Darkdragonlord

Le curé de l'endroit arriva en retard, n'ayant reçu aucune invitation, il se permettait de venir assiter à l'ordination de son ami.

Il se dirigea vers le bénitier, se signa et alla s'assoir dans la première rangée tout en jetant un regard à Monseigneur Ottobismarck.

Ombeline

Quelques heures auparavant …

Revenant aux aurores de son petit séjour en Flandres, bien chargée des diverses commandes militaires, la Capitaine avait tenu à faire un petit détour à son bureau au château d’Arras , avant de se rendre en la cathédrale... histoire d’y recueillir les dernières notes utiles pour ce jour d’importance et pis avoir les dernières nouvelles de l'Artois. Elle s’était délestée d’ailleurs de sa bannière en berne puisque le deuil de sa suzeraine arrivait à son terme et la rangea avec soin, espérant ne plus avoir l’utilité de la porter...mais bon point elle qui en déciderait... Allez hop, il était temps de se mettre en route, les autres l’attendaient. Elle espérait que la soldate Jehanne n’avait point fait de bêtises le temps de ce petit détour^^. Tous étaient en pleine discussion quand elle les rejoignit … Le Sénéchal Pegas, le Connétable Leportel, la soldate Jehanne, Lordkiche et ah nan Rufus était plus loin et semblait faire la tête … Arfff … Bizarre en ce moment lui … Il était temps qu’il retrouve sa flageolette d’amour …

Arrivée sur la zone de la Cathédrale… avant que les cloches ne carillonnent…

Escortée de sa petite troupe, Ombeline emmitouflée dans un grand manteau noir venait de mettre pied à terre devant la cathédrale. La façade flamboyante, qui dominait les bâtisses alentours, était pavoisée de mille couleurs, oriflammes et gonfalons artésiens. La capitale était en liesse. La foule se pressait, anxieuse de ne pas trouver de place dans le lieu Saint. Les mines des présents étaient réjouies et leurs habits d'apparat aux couleurs chatoyantes contrastaient avec les rues couvertes d’une fine pellicule de neige.

La Capitaine confia les rennes de sa monture à Lordkiche, ne sachant où avait disparu Rufus … Plissement de nez … puis le petit groupe gravit les marches, où les soldats et gardes postés en surveillance leur avaient frayé un chemin. Le rendez-vous avait été donné avec quelques Officiers et Sous Officiers sur le parvis. Elle y retrouva une partie de la hiérarchie et les salua. Le Sergent Airemes, toujours premier^^… Echange de directives et bavardages divers fusèrent … puis dispersion du groupe, quelqu'un allant vaquer à leurs tâches. La jeune femme reporta son attention sur le Sergent Airemes, encore présent.

Sergent Airemes et de votre côté, tout est en place ? Vos hommes ont bien été informés ? Pas d’imprévu concernant votre troupe ? Rien d'anormal parmi la foule ?
J’ai ramené les plans pour la suite prévue, si vous voulez bien y jeter un œil. Et hum, au passage, seyant cette tenue... ça change un peu, n'est-il pas ?

Rires de la Capitaine puis elle lui tendit son calepin afin qu’il puisse tout à loisir le feuilleter.

Je n’ai pas encore vu le Sénéchal Leducg, ni le Lieutenant Farenheit, ils doivent être ensemble et surement avec leurs troupes, à moins qu’ils soient déjà installés à l’intérieur sur les bancs réservés du fond... Hum ..

Elle balaya la foule d'un regard circonspect ... tout en regardant la position de divers gardes de ci de là.
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Lou_lempinka

Ravie de voir Nirina arrivée, elle l'embrassa, sourit de l'avoir essoufflée, elle se hatait toujours. Le regard de celle-ci témoignait de la joie qui étit sienne, joie partagée. Elles n'eurnt le temps que de se chuchoter quelques mots. Le frère Carbonnel faisait son entrée, elles firent silence, Lou le salua d'un hochement de tête et d'un sourire. Il devait être partagé de diverses émotions en ce jour. Un dernier coup d'oeil à Nirina avant de reporter toute son attention au déroulement de la cérémonie qui allait commencer.

--Un_marchand

Il avait chaud, il avait soif, son pourpoint trop ajusté le serrait presque douloureusement tandis que ses hauts de chausse semblaient prendre un malin plaisir à glisser vers le bas. Il les retenait d'une main et s'éventait de l'autre avec son chapeau. Pourquoi diable la fraicheur habituelle de la cathédrale ne parvenait pas à refroidir un peu l'atmosphère ! Une petite goutte de sueur lui chatouillait la tempe, et il retint un soupir en songeant que la cérémonie allait encore durer des heures.

Fichus nobles... peuvent pas se marier comme tout le monde, non...

Mais tout le monde ne semblait pas partager son agacement, car juste derrière lui un couple devisait à voix basse sur un ton amusé. Il se retourna aussi discrètement que possible pour les observer... non, ce n'était pas un couple, ils se ressemblaient beaucoup et devaient être frère et sœur. Il croisa le regard de l'aîné, qui lui sourit. Encouragé, il lui glissa sur un ton de conspirateur :

J'envie votre bonne humeur... à part la beauté de la mariée, il n'y a pas grand chose d'intéressant !

Le jeune homme lui jeta un regard désapprobateur, et le marchand se retourna prestement, maudissant sa bêtise. Pourquoi se livrait-il à des indiscrétions avec le premier inconnu croisé ! Fichu mariage.

Nicolas.df

Il haussa un sourcil en voyant la réaction de sa sœur. Exactement comme s'il l'avait prise en faute, étrange... mais l'heure était à la fête, aussi rangea-t-il cette observation dans un coin de son esprit. D'ailleurs il aurait presque pu avoir rêvé l'instant, car Lou se reprit rapidement et lui sourit.

Effectivement tout le gratin … bien que certains soient plus plaisant à voir que d’autres !

Il retint un petit rire et lui pinça le bras.

Chut malheureuse, imagine qu'on t'entende, tu aurais l'air bête.

D'ailleurs un gros marchand qu'il avait croisé une ou deux fois au château tournait la tête vers eux. Songeant que les réserves de Lou s'appliquaient très précisément à ce genre de spectacle, Nicolas fit de son mieux pour cacher son amusement.
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Lou_lempinka

En admiration devant le couple, elle ne prêtait plus guère attention aux allées et venues des retardataires. Bien que son regard se hasardait de temps à autre vers son cavalier. Un léger sursaut de surprise laissant place à la stupéfaction au son de cette voix plus que familière, Nicolas, elle se mordit nerveusement la lèvre. Elle avait complètement oublié le fait de sa présence en acceptant l’invitation. L’espace d’un instant, elle aurait aimé entrer sous terre, lui adressant un petit sourire, elle se ressaisit, après tout, elle était libre d’agir à sa guise et d’accepter de fréquenter des personnes même si celles-ci ne sied guère à son frère, pardi !

Effectivement tout le gratin … bien que certains soient plus plaisant à voir que d’autres

Mots chuchoter discrètement alors que son regard se posait sur son cavalier assit au premier rang, et qu’un sourire amusé appuie ses dires.

Carbonnel

S'il s'était préparé de longue date à son accession à la cure, la date de son ordination parvint à Carbonnel comme une surprise un soir qu'il travaillait à une enluminure du Livre des Vertus pour la bibliothèque de son ordre.

Seigneur, déjà !

S'exclama t-il en lisant la lettre de Monseigneur Ottobismarck.
Il se mit à arpenter la sacristie de l'Eglise St Roger qui lui servait d'atelier en proie à une vive confusion.

... et Smurf qui n'a toujours pas répondu à ma missive. Que faire, je ne puis reculer à présent, la mécanique est en marche et l'Eglise m'appelle.
Dieu suis-je digne de te servir alors que j'aspire en cet instant à rompre les serments qui me lient ?

Il sortit de la pièce et vint s'agenouiller devant l'autel. Seule la prière pouvait l'apaiser.

Saints archanges Miguaël et Gabriel gardez-moi de l'Orgueil et de la Colère qui habitent mon coeur. Chassez Belial et Leviathan qui me tourmentent. Dieu apporte-moi le don de miséricorde et la force de pardonner celui qui m'a offensé.
Pourquoi Seigneur as-tu fait que je sois si prompt à sortir le glaive alors qu'il m'appartient de porter l'amour par le verbe et non la vengeance par l'acier ?

Il resta ainsi de longues heures à prier et à se battre la coulpe. Jusqu'à ce qu'il sente une douce chaleur sur son crâne qui lui fit lever les yeux.

L'aube pointait et un rayon de lumière venait de traverser le vitrail qui le surplombait auréolant la figure du prophète. Aristote semblait fixer le diacre et celui-ci se sentit apaisé. Le service de Dieu l'attendait et il devait passer avant tout.

Allons, se dit-il en se levant,Monseigneur nous attend.

Il prit la route pour Arras et se présenta le lendemain à la cathédrale vêtu d'une simple chemise et les pieds nus en signe d'humilité.
Il s'agenouilla devant l'évêque et baisa l'anneau qu'il lui tendait.

Monseigneur, me voici, je suis prêt à suivre la voie qui m'a été tracée par le Très-Haut.

Guiguiseg

Guigui avait fait le voyage jusqu'à Arras. Il en avait profité pour aller régler quelques affaires au château puis avait sorti son carton d'invitation pour savoir où se déroulerait la cérémonie. A la cathédrale bien sur, où d'autre ? Quelle tête en l'air... Il traversa donc la ville en direction de la cathédrale. Les cloches sonnaient déjà, annonçant le début imminent de la cérémonie. Guigui pressa le pas.

La ville était aussi animée que l'évènement était rare. Un mariage comtal, tout de même ce n'était pas tous les jours ! Le peuple s'agglutinait devant le parvis de la cathédrale. Retenus par les gardes, beaucoup levaient la tête en espérant apercevoir la comtesse, toute de blanc vêtue. Guigui s'aventura dans la foule qui s'amassait de plus en plus, puis, présentant son carton d'invitation à un garde, il entra dans la cathédrale.

Tournant la tête de gauche à droite, il constata que tout le beau monde du comté s'était paré de ses plus beaux habits pour l'évènement. N'osant pas trop s'approcher, il s'assit au fond.

Nefi

prenant place au coté de lndil comme il le leur avait demandé, nefi patienta jusqu'à l'arrivée de la comtesse qui la laissa sans voie, et pourtant il en fallait pour la rendre muet la nefi.

elle était la rayonnante remontant la nef aux bras de luziferII, petite pensée pour son père qui l'avait conduit lui même à chris à l'époque. rohhh allé point de nostalgie c'est pas le moment hein. petit pincement au coeur quand même de ne pas avoir son époux près d'elle...

les vitraux de la cathédrale jouant avec les rayons de soleil laissait filtrer une douce lumière multicolore donnant des reflets chatoyant au velours de la robe de la mariée, la nimbant d'un halo lumineux qui donnait un effet presque irréel à la scène. elle sentit prés d'elle lndil légèrement défaillir et prendre le bras de brune, oufff manquait plus qu'il se raccroche à moi et je me retrouvais à quatre pattes à chercher les alliances.

la mariée ayant rejoint son promis le prêtre pu commencer la cérémonie... quoi comment ça un les amis et la famille doivent parler ??? ahhh mais j'étais pas prévenu moi, oh le traquenard panique à bord....
tassement de la tête dans les épaules, petit pas en retrait de brune, je suis pas la on me voit plus...

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Auberge Amoreta

Lndil

Avant que le père DarkDragonLord ne commence la cérémonie, Lndil jeta quelques regards sur l'assistance... put prendre conscience que beaucoup de personnes avaient répondu à leur invitation.
Il fut ravi de pouvoir partager ce moment avec eux.

Il écouta religieusement le prêtre tout en regardant, sans la lâcher un instant, sa belle et douce compagne qui serait enfin bientôt sa femme.

*Qu'Aristote soit bon cette fois ci avec moi* se dit il *Qu'il me laisse enfin en profiter jusqu'à ma mort*
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Lou_lempinka

Un dernier regard à son reflet, ses longs cheveux relevés en un chignon, d’où s’évaporait quelques mèches rebelles, sa longue robe couleur émeraude rehaussant l’éclat de son regard, celle-ci soulignant sa taille fine. Elle enfila sa capeline de teinte crème, dissimulant un décolleté un peu trop échancré à son gout. Tire la langue à son reflet pour se donner du courage et la voilà partie, rejoindre la personne qui l'a invité à ce bel évènement. Le cœur battant un peu plus vite au rythme de ses pas se rapprochant, gravir les marches, se faufiler dans la foule sur le parvis, donner des coudes pour passer, inspirer un grand coup en franchissant les portes sous le regard des gardes. Elle se tapit dans le fond, regard admiratif parcourant la cathédrale, la décoration, les invités de prestiges, les mariés, ils sont splendides et rayonnant de bonheur, son regard poursuit son investigation, le cherchant. Joues qui s’empourprent légèrement quand elle l’aperçoit au premier rang, resplendissant dans sa tenue. Elle détourne le regard et reporte son attention sur la cérémonie.

Nicolas.df

Nicolas avait expédié les affaires courantes aussi vite que possible. L'après-midi lui avait semblé filer à une vitesse folle tandis qu'il recevait les diplomates les uns après les autres. L'envoyé bourguignon était finalement venu à bout de sa patience, et c'était un peu sèchement qu'il en avait pris congé avant de filer dans sa suite pour se préparer. Son mantel noir enfilé... non, pas le noir. Si ? Non. La chemise blanche plutôt. Voilà, avec la cape rouge. Or donc, ses atours enfilés, il s'était précipité aux écuries où son étalon l'attendait, piaffant d'impatience.

Les quelques lieues séparant Saint-Vaast d'Arras furent vite avalées, et bientôt la cathédrale fut en vue. Il se débarrassa de sa monture auprès d'un palefrenier, gravit les marches quatre à quatre, réarrangea rapidement sa tenue et entra aussi discrètement que possible. La majorité des invités était en train de s'installer, aussi se glissa-t-il sur une rangée de bancs où il eut la surprise de tomber sur sa sœur. Il lui chuchota :

Admire, il y a tout le gratin...
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Aubree_du_meslay

Aubrée avait profité d'un moment de repit dans son travail pour se rendre jusqu'à la Cathedrale d'Arras .

Elle n'y avait encore jamais mit les pieds et l'occasion etait trop belle .
N'ayant bien entendu pas reçu d'invitation , mais en ayant entendu parler depuis des semaines , elle se pointa au mariage du Baron Lndil et de la Comtesse Erwyndyll en esperant que les gardes laisserait entrer une gueuse comme elle .

Dejouant l'attention des gardes qui visiblement filtraient les invités , Aubrée, enveloppée de la tête aux pieds dans sa cape , se faufila par une petite porte sur le côté de la Cathédrale et penetra silencieusement dans l'edifice religieux .

Son regard fit le tour de l'assistance et elle reconnut quelques personnes , avant de se porter sur le couple devant l'autel.
Les futurs epoux etaient resplendissants de bonheur et magnifiquement vétus.

Elle prit place au fond de l'eglise, derriere un pilier , se faisant discrete , ne voulant surtout pas se faire remarquer et se faire mettre dehors .
Tout en continuant de regarder les personnes presentes , Aubrée attendit le debut de la ceremonie avec impatience .

Luzifer

Le comte de Ponthieu regardait son amie se marier, la cathédrale était pleine de monde et la cérémonie très chaleureuse.
Luzi par sa curiosité naturelle regardait autour de lui pour voir les invités qui avaient répondu présent.
Il cherchait des yeux celle qu’il allait faire danser au grand bal, mais visiblement elle n’était pas encore arrivé.
Un petit regard discret sur les futurs mariés fît sourire le comte de Ponthieu.
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Darkdragonlord

La promise étant arrivé, le curé alla prendre place derrière l'autel et commença la bénédiction élémentaire,il porte au-dessus de sa tête le petit brasier et récite :

Face à la flamme du brasier qui monte vers le ciel, que le Feu aristotélicien purifie et donne bénédiction aux futurs époux réunis ici.

L'Officiant porte au-dessus de sa tête la vasque d'eau pure et récite :

Face à l'eau symbole de pureté, que l'Eau aristotélicienne purifie et donne bénédiction aux futurs époux réunis ici.

Le curé pousuivit la cérémonie en bénissant le futur couple. L'Officiant porte au-dessus de sa tête l'encensoir et récite :

Face à l'odeur de l'encens qui chasse les mauvaises émanations, que l'Air aristotélicien purifie et donne bénédiction aux futurs époux réunis ici.

L'Officiant porte au-dessus de sa tête la pierre taillée et récite :

Face à la pierre taillée, socle fondateur sur lequel repose toute l'architecture de l'édifice de notre Sainte Eglise Aristotélicienne, que la Terre aristotélicienne purifie et donne bénédiction aux futurs époux réunis ici.

Que l'Ether aristotélicien achève lui-même ce les autres éléments ont débutés. Et que cette bénédiction permette à la quintessence divine de descendre sur les futurs époux réunis ici et y demeure à jamais.

Après la bénédiction du couple, le prêtre invita la famille et les amis à venir décrire les deux époux, ce qu'ils ont fait, leur place dans la ville, dans le comté, leur histoire.

Lokmar

Lokmar avait reçu une invitation pour le mariage du Vicomte Lndil et la Comtesse Erwyndil.

Il l'avait tout de même relu deux fois, non pas pour le contenu mais pour bien vérifier que s'était son nom qui figurait dessus. Hum...

Il se mit donc en quête du lieu du mariage, ou plutôt de la cathédrale, mais où était ce bâtiment déjà?

Finalement après un bref passage sur la place, où des bouffons étrangers donnaient un récital et un spectacle de danse sur tomates, puis à la taverne histoire de demander son chemin, il était arrivé devant la cathédrale.

Apparemment il y avait déjà beaucoup de monde.

Il entra sans grande difficulté, le service de sécurité laissait vraiment à désirer.

Il trouva un siège et s'y posa. Il scrutait la salle quand il repéra les deux futurs mariés...

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Pour l'Artois !

Mayaii

Maya entra fièrement dans la cathédrale au bras de son amour, bientôt, très bientôt, ce grand jour, le mariage serait pour eux... Assister au mariage de la comtesse lui faisait un grand bonheur dans le fond de son coeur et faisait battre celui ci très fort...

D'abord un honneur d'y avoir été invité et ensuite pour elle, une préparation dans son coeur pour son propre mariage au bras de Nain.

Dès qu'elle mis les pieds dans la cathédrale, le souffle lui coupa, elle avait toujours trouvé cette endroit grandiose et merveilleux mais encore plus aujourd'hui que nous y célébrions, l'amour avec un grand A ...

Maya regarda le comte quand la comtesse mis les pieds dans l'église, elle esquiva un léger sourire, elle vit le comte défaillir un peu sous la beauté et l'élégance extrême de la comtesse.

Elle serra la main de Nain dans la sienne très fort, salua les gens qu'elle connassait au passage et s'installa sur un banc très lover contre son amoureux avec leur petit amour Enzo contre eux.

Nicolas__eymerich

Pour une fois, c'était plutôt de bonne grâce que Nicolas Eymerich s'était plié aux conventions vestimentaires contingentes à ce genre de festivités. Sans aller jusqu'à se pomponner comme un brylastar, il avait au moins briqué son plastron et affuté son épée. Et oui, quand on est lieutenant du guet, l'élégance suprême est dans l'acier et le cuir, pas la soie et la dentelle. Bref, au dessus d'un gambison de cuir finement travaillé pour ressembler à un pourpoint, le lieutenant portait un plastron ventral et dorsal, prolongée en bas par une tassette qui tombait jusqu'à mi cuisse, laissant la place ensuite à une paire de bottes montantes qui - sur le modèle de la broigne - étaient renforcées par des pièces de métal rivetées. Sur les épaules, des spallières moitié plus fines que son plastron couvrait la moitié de son bras, ne laissant aux bras qu'un jeu de sangles par dessus une chemise en lin. A la ceinture, sa fidèle pelle, et pour que l'élégance soit sauve, le seigneur de Tramecourt avait pensé à lier ses cheveux avec un lacet et même à les laver. Pas trop non plus, juste de quoi rappeler qu'il est blond à l'origine.

Après être entré dans l'église, le seigneur de Tramecourt, hésita quelques instants, essaya de deviner qui était là ou pas, et finalement, alla prendre un siège aux second rang des tribunes nobles. Il n'y laissa que sa pelle, qui signifierait à quiconque l'actuel occupant du meuble et alla ensuite se fondre dans la foule.

Nain32

Se levant très tôt ce matin là, la petite famille s'empressa de prendre la route dans leur petite charrette tirée par Tempête.
Ils étaient si heureux d'avoir reçu une invitation pour le mariage de la Comtesse Erwyndyll et du Comte Lndil, et de partager leurs bonheurs.

Nain s'était installé au coté de son amoureuse Maya et tenait leur fils Enzo sur ses genoux.
À l'arrivée au porte d'Arras, les cloches résonnaient déjà.

Nous sommes arrivé pile à l'heure ma colombe... Dépêchons nous d'entrer dans la cathédrale avant que le mariage commence.

La petite famille entra dans la cathédrale et salua les personnes déjà présente puis s'installa sur un banc.

Chany

Le son des cloches parvinrent jusque dans la nef , cela annonçait l arrivée de la comtesse , Chanel se leva à l entrée d Erwyn au bras de Luzi et fit une révérence au passage de la comtesse

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Lndil

Elle rentra... ELLE.... au bras de Luzifer...
ELLE... simplement sublime.
Il dut se retenir au bras de Brune lui chuchotant
Pince moi je rêve et je défaillis sur place !

Il la regarda s'avancer et se placer à ses cotés.
Il avait simplement le souffle coupé de sa taille de guêpe dans cette magnifique robe...
Il se trouva bien pâle à coté d'elle du coup

Puis elle lui souria... il en rougit comme à un premier rendrez vous.
Puis ce regard...ce regard qu'il aimait tant croiser, qu'il recherchait, depuis plus de 6 mois, quotidiennement.

Il ne put s'empêcher de lui prendre une main dans la sienne et de lui chuchoter.
Tu es éblouissante ma Comtesse, mon Soleil... mon cœur bat à vouloir se rompre
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Erwyndyll

Sourire radieux aux lèvres en entendant le Comte de Ponthieu.
Sa présence à ses côtés la touchait plus qu'elle ne pourrait jamais l'exprimer mais elle était certaine qu'il le savait et le comprenait.
Elle lui prit le bras et commença à s'avancer vers l'autel jusqu'à son Vicomte.
A chaque pas son cœur battait plus fort... Une chance que l'allée ne fut guère très longue..
Son regard se posa sur Lndil, charmant et décontracté comme a l'habitude ! La comtesse se demanda comment il faisait... Une chose qu'elle devrait étudier de près bientôt...

Ça y est...Elle était enfin à ses côtés. Elle poussa un soupir, se détacha de Luzi en lui serrant une dernière fois le bras afin d'essayer de calmer ses tremblements puis adressa un sourire crispé à son vicomte et ses deux témoins, très très élégantes.
Arf... sa robe lui semblait d'un coup beaucoup moins jolie, elle jeta un regard à son futur, guettant son approbation.

Brunehautdartois

Pas même le temps d'ajouter une parole, que le trio etait dejà en place devant l'autel, enfin pas face et mais de dos, c est à dire face.....aaaaah à la foule en délire qui les acclame....se secoue la tête....le stress qui me fait délirer...reprenons.... non les personnes qui etaient venues assister à ce grand evenement qu'est le mariage d'un regnant en exercice, etaient toutes pour le moment silencieuses, attendant bien plus que la presence du futur marié, l'arrivée de celle sur qui tous les regards se poseront quand elle fera son entrée.
La mariée....qui sera magnifique à n'en point douté.
Brune restait de marbre, comme figée par l'evenement qui allait se derouler sous ses yeux, une angoisse soudain vient l'etreindre....Elle regarde Lndil qui lui semble des plus detendus, radieux même....Elle ne va d ailleurs pas quitter son regard, peut etre que voir le rayonnement que produira l'arrivée d'Erwyn sur son visage la detendra un peu, encore une chance que ce n est pas elle qui se marie...non elle ne pourrait pas supporter...c'est certain l'angoisse la ferait vaciller...
Que c'est long quand on attend comme ça....une impression que tout le monde vous regarde...se perdre dans ses pensées...oui peut etre la bonne solution, oublier qu on est face à un tas de personnes qui nous regardent...pas facile...

AAh enfin, du bruit sur la parvis...les gens qui commencent à se retourner, serait elle là.enfin...
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Nirina

Nirina arriva toute essoufflée à la cathédrale ,elle fit un rapide bisou à sa filleule et s'empressa d'enfiler sa tenue ...
L'ordination du frère Carbonnel allait commencer....assister à cet événement lui procurait une joie immense....
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Airemes

Airemes invité par Lndill et Erwyn était arrivé tôt le matin venant du Fort de Cambrai.

Une affluence inhabituelle sur la route malgré l'heure matinale... le froid saisissant... des flocons de neige virevoltaient ça et là....

Une halte dans une auberge lui avait permis de se rafraichir, retirer la poussière et surtout changer son uniforme de voyage...

Il pressa le pas vers la Cathédrale dans des rues finement recouvertes de neige, s'attendant à tout instant à apercevoir l'un de ses hommes du Fort.

Les ordres avaient été clairs : rendez-vous devant le parvis!

Parvenu devant la Cathédrale, il grimpa quelques marches et se retourna: enveloppée dans un grand manteau, il aperçut la Capitaine Ombéline...

Luzifer

Le comte de Ponthieu attendait devant la cathédrale.
Les invités entrèrent les uns après les autres, il y avait du bon monde pour célébrer ce magnifique mariage.
Faisant les mille pas devant la cathédrale, le comte se demandait si la comtesse aller enfin arriver.
Au loin on pouvait entendre le doux galop d’un carrosse, nul doute la comtesse arrivait enfin.
Le comte jeta un dernier regard vers le clocher, pille à l’heure pensa t’il.
Après un bref instant le carrosse s’arrêtait enfin devant la cathédrale.
Le comte s’approcha de celui-ci et aida la comtesse à y descendre.

Bien le bonjour comtesse, il ne manque plus que vous.

Elle fît un léger sourire et lui répondît qu’il fallait se faire désirer dans la vie.
Le comte de Ponthieu lui tendît son bras et d’un pas léger ils prirent la direction de l’entrée de la cathédrale.
Tous attendait l’instant présent, même les cloches se mirent a retentirent de plus belle.
Une foule des grands jours étaient massé devant la cathédrale.
La cérémonie pouvait enfin commencer.
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Sansvisage

Ce matin là, Aterfalco avait mis ses plus belles chaussettes. Mais ça ne changeait rien, car il mettrait ses traditionnelles bottes rouges par dessus. En revanche il était richement habillé, tout propre sur lui tout ça, et était parti tôt de Cambrai pour arriver à l'heure ! Il y eut des embouteillages à l'heure de point en arrivant à Arras, et Aterfalco dut galoper dur pour ne pas arriver en tard !

Il arriva sur Cheval en même temps que le carrosse de la Comtesse ! Il mit pieds à terre avant même d'arrêter son cheval, qu'il envoya paitre ailleurs d'un coup de botte. Il vînt à la suite de Luzifer pour saluer Erwyn avant d'entrer dans la cathédrale et de prendre place !
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Liptis

Liptis et son épouse étaient arrivés depuis peu lorsqu'apparu - très élégant - Lndil. Entouré de belles femmes, il avait vraiment fière allure. Sa marraine et Nefi étaient vraiment rayonnantes.

Il tendit l'oreille et entendit un début d'animation sur le parvis de la cathédrale. La future mariée ne devait pas être très loin.

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Chany

Le futur marié était là , et la future s annonçait, Chanel quitta la douce chaleur de l'âtre et gagna une place.
Sa robe la gênant un peu dans ses mouvements , le manque d 'habitude surement

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Erwyndyll

Si madame le veut bien, le coche nous attend.

Bien sur qu'elle le voulait ! Drôle de question ça ! Par contre...elle n'était pas sure que ses jambes le voulait également... Elles semblaient avoir une certaine tendance à trembler.
Diable ! Elle avait beaucoup plus peur d'aller retrouver son aimé que d'entrer dans l'arène des Feudataires... Inadmissible !

Elle s'adossa un instant contre le chambranle de la porte, respira plusieurs fois profondément.

Allez ! On y va !

Dernier passage devant le miroir...C'était parfait...du moins elle l'espérait.

Elle s'installa face à sa fille dans le coche qui l'emmenait à la cathédrale, tenta de regarder par la fenêtre ou de se divertir mais rien à faire... Il fallait bien qu'elle le reconnaisse...Elle avait le trac...
Son coeur battait à tout rompre, ses mais s'agitaient seules...Bécasse se dit-elle !

Ca y est...On y était... La portière s'ouvrit, Elena descendit la première. Elle décida d'attendre Luzi et son bras pour s'avancer...

Darkdragonlord

Le prêtre saluait les gens qui continuaient d'arriver, Messire Liptis et Dame Fenshui qu'il venait d'unir, ensuite Mesdames Nefi, Damechanel et Brunehautdartois, le mariage s'annonçait très bien.

Fidos

arrivée à Arras j'ai pris la direction de la cathédrale ....

plein de monde est deja arrivé avant moi , je les ai salué un par un :
Liptis ,Nefi, Damechanel et Brunehautdartois
ils étaient tous bien sapés , il sentaient bon

Lndil

Dites donc lieutenant, vous n'etes pas dans votre caserne, et je ne suis pas une de vos subordonnée...Donc on demande plus gentiment..
Dame d'Oblinghem, me feriez vous l'honneur de me donner votre bras, et vous tenir à mes cotés....merci, et s'il vous plait!
Mais une question me brule les lèvres...si je me tiens à ta gauche et Nefi à ta droite...C'est laquelle de nous deux que tu épouses, parceque là je vois pas où tu place la comtesse!

Euhhh Oui tu n'as pas tort... j'en oublie les bonnes manières dans mon excitation...
S'abaisse devant chacune des dames présentes et leur fait un baise main.
Je vous prie, Mesdames, de croire en mon entière satisfaction de votre présence à mes cotés.
Il me serait d'ailleurs agréable que vous vous placiez comme je vous le demandai avant...
Sourit
Quant à la Comtesse, ma futur femme, elle n'est pas encore arrivée
Et quand elle sera là, nous serons ... simplement face a face comme des alter égos.
Les amenant toutes deux avec lui
Comme vous êtes prêtes... allons y

Sort de la pièce et se pose avec ses deux amies devant l'autel -Néfi sur sa droite et Brune sur sa gauche- attendant la venue de la mariée, sa mariée.

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Nefi

se retenant de rire de cette échange bien pompeux soudain elle fit un garde à vous. puis un clin d'oeil à brune.

tu vois même avec un baise main et un ton douceureux l'habitude de commander les troupes ressort. remarque je crois que je devrais me taire sur le sujet.

allons y ne stressons pas le marié qui est de si belle humeur.

passant devant fidos en entrant dans le coeur de la cathédrale elle alla le bisouiller.

bonjour fidos, ta filleul n'est pas loin si tu veux la rejoindre elle en sera certainement ravi.
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Auberge Amoreta

Laureline_squire

[[La veille arrivé à la capitale, et à l'auberge...]]

Laureline avait fait le voyage depuis Bertincourt pour accompagner sa maman, jusqu'à Arras où devait se tenir le mariage de Lndil et de la Comtesse.
Sa mère devait être l'une des témoins du marié.

Une fois en la capitale il fallait trouver une auberge, chose que Nefi avait encore fait à merveille, comme à chaque fois qu'elle géré les déplacements familiales d'ailleurs.

La blondinette aurait pourtant préféré que son parrain n'ai pas déménagé d'ici pour calais, au moins elle aurait eut un pied à terre, mais la gamine se contenterai de la belle auberge.

[[Le lendemain après une bonne nuit de sommeil loin de tout les tracas de sa maman...]]

Laureline s'était lever aux aurores, elle avait enfilé la jolie robe rose eut pour noël, que sa maman lui avait offert.
La blondinette avait passé des heures et des heures à essayer de coiffer ces cheveux bouclés, ainsi qu'a se faire une petite beauté.
La veille la gamine avait accepté que sa mère la plonge dans un bain.

Une fois fin prête elle gagna le bas de l'auberge ou sa mère l'attendait déjà elle était ravissante dans sa robe.

C'est donc en famille que toutes deux gagnèrent la cathédrale d'Arras ou aurait lieu la cérémonie du mariage.

Tout comme les Squires les premiers invités arrivés seul ou en groupe.

La fillette laissa sa mère rejoindre le marié et les autres témoins, puis elle se mit dans un coin discret de la cathédrale en attendant le début et l'arrivé de tout les invités.

Brunehautdartois

Elle l'ecoutait parler...amusée de sa remarque.

Pas en retard...pas en avance...à l'heure donc? de quoi tu te plaints!

Nefi faisait à son tour son entrée, difficile de deviner la robe qu'elle portait emmitouflée sous sa magnifique capeline....Elle se demanda si finalement Lndil avait commandé pour elle la même robe qu'il avait specialement fait faire pour Brune, d'ailleurs...elle avait un peu de mal à se reconnaitre dans cette couleur, mais bon ça faisait plaisir au futur marié, c'etait son jour pas le sien, elle se pliait donc à ses exigeances.
Elle bisa Nefi, tout en repondant à Lndil.

Ah oui tu as la grande forme...moi je ne sais pas mais j'ai l'estomac qui se tort dans tous les sens.

Pour ne pas changer de ses bonnes habitudes de tout diriger, il commença à donner ses ordres, elle le regardait à peine etonnée.

Dites donc lieutenant, vous n'etes pas dans votre caserne, et je ne suis pas une de vos subordonnée...Donc on demande plus gentiment..
Dame d'Oblinghem, me feriez vous l'honneur de me donner votre bras, et vous tenir à mes cotés....merci, et s'il vous plait!
Mais une question me brule les lèvres...si je me tiens à ta gauche et Nefi à ta droite...C'est laquelle de nous deux que tu epouses, parceque là je vois pas où tu place la comtesse!

Elle pouffe de rire en voyant leur tete à tous deux, et glisse alors son bras sous celui de Lndil, prenant soins auparavant de retirer sa cape, laissant alors apparaitre cette fameuse robe....aux couleurs printannieres.

C'est quand vous voulez, je suis prête.
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Lndil

Lndil fut surpris de voir Brune ainsi débouler derrière lui...
Bonjour Lndil, tu vois je ne suis même pas en retard!
Il rigola ne pouvant rester sérieux... c'était un grand jour de fête
Hum hum... pas en retard mais pas en avance non plus

pas trop nerveux?
Il entendit la question en stéréo après avoir eu des bises de tous les cotés
nannnn... j suis aux anges si vous voulez savoir.
J'ai hâte.
Je sens que ca va être une grande et belle journée.
Les sera fort toutes deux contre lui
Merci d'être là... manquerait une troisième témoin mais bon je ne doute pas qu'elle va nous préparer un truc à son gout.
Sinon...
Touchant son visage en référence à la remarque de Brune
Toi Brunette, tu me fileras ton bras et tu seras tout à mon coté devant l'autel sur ma Gauche
Néfi tu portera donc les alliances sur ma droite....
Des questions ?
Ah oui néfi merci pour les arrangements, sont somptueux...
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Nefi

alors qu elle finissait son inspection le prêtre arriva faisant carillonner les cloches de la cathédrale, puis eu la bonne idées de faire allumer l'atre.

ouffff merci seigneur, vous exausez mes voeux ce jour.

s'approchant elle salua le Darkdragonlord respectueusement et fut vite rejoinds par chani qu'elle bisouilla.

bonjour chani merci, les ouvriers ont bien travaillé en effet j en suis fort soulagé, pourvu que le reste se passe aussi bien...

PSssssssttttt Néfiiiii... viens par ici

la voie discréte de lndil derrière elle la fit se retourner.

ohhh te voilà...

venant vers lui elle entra dans la sacristie et le bisouilla pour lui dire bonjour. voyant brune qui arrivait elle lui sourit et la bisouilla également.

alors comment te sens tu point trop nerveux ?

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Auberge Amoreta

Brunehautdartois

Les cloches....de sa petite demeure arragoise elle ne pouvait ne pas les entendre...ce qui voulait dire qu'elle etait.....aaaaah......en retard...Lndil lui avait pourtant repété à plusieurs reprises.
"Brunette, tache pour une fois d'être à l'heure!"
Elle l'entendait encore le lui répéter....Elle termina rapidement de se préparer, elle avait enfilé la robe que le marié avait lui même choisi, elle se changerait un peu plus tard, et ne manquerait pas de porter la robe que Polgara lui avait offerte pour le banquet qui suivrait la cérémonie.
Elle se couvra les epaules de sa lourde cape de laine, et d'un pas leste elle se faufila à travers les ruelles de la ville en direction de la cathedrale.

Elle emprunta la petite porte qui menait à la sacristie, Lndil l'avait prevenue qu'il s'y trouverait, elle etait déjà pret, vetu de son beau costume, elle le regarda en souriant, les joues quelque peu rosies par le froid et la marche rapide qu'elle avait entreprise pour arriver au plus vite.

Bonjour Lndil, tu vois je ne suis même pas en retard!

Encore un peu frigorifiée elle ne retira pas de suite sa cape, mais ne manqua pas de remarquer quelque chose de different en regardant de plus près Lndil

Mais dites moi Vicomte, quelle elegance, et il y a un je ne sais quoi de changé sur ton visage....En tout cas ça te va très bien, ça te donne un coté...plus....masculin.

Elle pouffa de rire, et vint deposer une bise sur sa joue.

Comment te sens tu? pas trop nerveux?
En tous les cas si tu ne l'es pas, je puis t'assurer que je le suis pour deux, heureusement que ce n est pas moi qui me marie...
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Chany

le temps de finir sa collation et Chani enfila sa cape, elle mit le nez dehors , constata que le ciel s 'éclaircissait . Refermant sa cape autour d'elle , elle traversa la place et arriva enfin a la cathédrale.
Elle salua le prêtre et Nefi

bonjour mon père , bonjour Nefi , petit bisou de circonstance
Nef , c est superbe , la nef est très belle ainsi décorée, Chanel s'approcha un peu de l âtre avant que la cérémonie ne débuta
espérons que l atmosphère va se réchauffer parce que là on gèle un peu

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Elena7

A Guînes, toujours dans la Chambre d'Erwyndyll

Une porte qui s'ouvre, une silhouette qui s'extirpe d'une pièce, et qui s'avance timidement.
Elle adopta une moue dubitative, accompagnée d'un froncement de nez. Elle mangea à son tour les quelques pas la séparant de sa mère, tout en la scrutant avec attention. Son regard partit des pans de sa robe, et remonta avec une extrême lenteur, à la recherche du moindre petit défaut apparent qui pourrait détruire en un seul regard l'apparence parfaite de la mariée. Et aujourd'hui, le jour J, aucun faux pas ne devait être effectué sur la tenue. C'était son rôle de Demoiselle d'Honneur après tout.
Ses bras, recouverts d'un tissu de velours bleu semblable à la toilette de Mariage d'Erwyndyll, se croisèrent et elle contourna sa mère, baladant ses prunelles sur tous les recoins de sa robe. Lorsque son observation fut achevée, les traits de son minois se détendirent en une fraction de seconde. Les commissures de ses lèvres se soulevèrent à leur tour pour former un sourire en coin appréciateur, et par la suite, révéler une rangée de dents blanches.

Erwyn, tu es... sublime, magnifique même, à en tomber par terre. Je suis sûre que Lndil va adorer ta robe. *paroles ponctuées d'un éclat taquin dans le regard.* Toutefois, il manque certaines choses...

La Dame s'éloigna de sa mère, lui tournant ainsi le dos par la même occasion afin de se diriger vers le bureau de son père, où reposaient toujours les objets que le protocole du Mariage exigeait. Elle s'en empara avec délicatesse, en reprenant garde à ne pas les faire tomber accidentellement, et rejoignit ensuite sa Comtesse de Môman.

Un truc bleu, un neuf, un vieux, un emprunté.

Elle lui offrit un sourire, glissa derrière elle, tout en lui demandant de retenir sa chevelure entre ses doigts. Ses saphirs mangèrent le collier d'Esme qu'elle tenait dans ses mains marmoréennes. Une pointe de regret traversa son regard à la pensée que sa tante ne pourrait pas venir à la Cathédrale. Balayant cette pensée, elle attacha le collier autour du cou d'Erwyn, et revint en face d'elle afin d'y accrocher la broche qu'elle détenait depuis son voyage en Bourgogne, au dessus de sa poitrine. Un vieux truc quoi. Le truc neuf, le truc vieux et le truc emprunté. Il n'en manquait qu'un, le plus important : le truc Bleu. Elle prit entre ses doigts la fleur, un bleuet plus particulièrement, et le glissa dans la chevelure dorée de sa mère.

Un dernier regard, un dernier pincement de lèvres ainsi qu'un dernier froncement de sourcils et tout était prêt, même la mariée.

Voilà, tu es indiscutablement parfaite !

Un sourire radieux jouant sur ses lèvres, elle s'empressa de rejoindre la porte de la chambre, et de l'ouvrir, tout en tendant une main en direction des escaliers. D'une voix taquine et rassurante, essayant tant bien que mal à détendre l'atmosphère, elle souffla :

Si Madame le veut bien, le coche nous attend.
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« Peu importe l’étroitesse de la porte ou les punitions qui défilent. Je suis le maître de mon destin. Je suis le capitaine de mon âme. »

Lndil

Lndil étaient près... encore quelques "retouches" : amélioration de la coupe de cheveux, barbichette bien nette, col bien ajusté,etc...
En zyeutant encore une fois dans la cathédrale, il pu voir que Néfi était là, inspectant bien évidemment le travail en parfaite GO qu'elle était, et d'autres personnes commençaient à affluer.
Ne manquait plus que son amie Brune...
puis parlant à haute

Mazette... faudrait peut être que je prépare les alliances !
Hop ... magnifique petit coussin doré qui irait bien avec le doré de leur vêtement de mariage à priori.... les ptites alliances dessus, délicatement posées.

Repasse la tête par la porte de la sacristie.
Néfi est maintenant entourée
PSssssssttttt Néfiiiii... viens par ici
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Lou_lempinka

L’évêque ayant fait appel à elle, elle ne tarda à rejoindre la cathédrale.
Un grand jour pour le frère Carbonnel que ce jour, son vêtement sur le bras, elle se faufila en la cathédrale, rejoignant la nef. Elle put y déposer ses effets et enfiler sa tenue. Elle salua l’évêque et prit place, assisté à un tel office l’emplissait de joie, bientôt elle-même et Nirina pourraient officier à Cambrai. Les cloches raisonnèrent, invitant les fidèles à les rejoindre. Un regard jeté à la hâte guettant l’arrivée de sa marraine.

Liptis

Maison de Fenshui et Liptis à Arras

Le jeune couple avait été invité au mariage de leur ami Lndil avec la comtesse. Chacun de leur côté, ils se préparèrent pour cette grande et magnifique journée.
Puis, main dans la main, ils prirent la direction de la cathédrale. Il y avait foule et ce, dès grand matin. C'est que ce n'était pas tout les jours qu'un tel évènement se produisait. Fenshui et Liptis arrivèrent bientôt face au bel édifice. Déjà, des personnalités y entraient alors que les coches commençaient à carillonner.
Ils saluèrent quelques personnes et visages connus puis suivirent le mouvement.

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Darkdragonlord

Excellente journée pour le mariage de son ami se dit le prêtre en entra dans la Cathédrale d'Arras. Il s'approcha du bénitier comme il avait l'habitude de le faire dans son Église, il trempa alors ses doigts et se signa. Il se dirigea ensuite vers l'autel, y déposa son livre des Vertus et vérifia que les éléments aristotéliciens sont bien là : le brasier pour le feu, la pierre taillée pour le sol, l’encensoir pour l’air embaumé, la vasque pour l’eau, l'Ether était déjà là, plusieurs personnes etaient présentes.

On avait déposé du bois à brûler dans l'âtre, pour réchauffer l'endroit, la Cathédrale était splendide avec toutes ses décorations, ensuite il se rendit aux portes de l'Église au son des carillons qui appelait les fidèles, des invités, enfin ceux qui n'étaient pas encore arrivés.

Le père DarkDragonLord entra avec ses paroissiens en chantant.

Nefi

[arrivée à la cathédrale]

enfin prête elle était sorti de l auberge, la neige recouvrait la rue d'un manteau blanc a peine foulé par les passants frileux.
levant le nez elle profita un instant de l air glacial sur son visage, puis elle prit le chemin de la cathédrale, voulant vérifier par elle même que tout était en ordre. elle pensait aussi y retrouver lndil.

entrant par une petite porte latérale que son ami lui avait indiqué elle tapa un peu les talons de ses poulaines pour en débarrasser la neige.

puis levant a nouveau le visage elle put voir la nef décoré pour l occasion, les rangés de banc fleurit pour l 'occasion.

seigneur qu'il fait bien froid en vostre demeure murmura t elle en grelottant.

faisant quelques pas elle continua son inspection. satisfaite du travail accomplit par les ouvriers du cabinet des divertissement enrôlé pour l occasion.

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Auberge Amoreta

Erwyndyll

Réveil – 5heures...

Nuit épouvantable... Retour et détour d'un coin du lit à l'autre...Trop chaud, trop froid...Et les minutes qui passent encore et encore...
« Allez Erwyn... Quelques heures pour dormir sinon demain tu vas ressembler à une morue pas fraiche.. ». Plus facile à dire qu'à faire... Fichu Morphée qui semblait l'avoir déserté encore une fois, et, évidement, il avait choisit cette nuit-ci pour s'absenter...

Réveil – 3 heures...

3569 moutons...3570 moutons.... 3571 moutons....

Réveil – 90 minutes...

ZZZZZZzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz

Réveil !!!!!!!!

Elévation de la première paupière...La seconde...Ohlala...Un peu plus dur celle-là... Lentement, la Comtesse d'Artois se leva, avança de quelques pas jusque devant le grand miroir et ouvrit des yeux ronds. Elle tâta la joue gauche puis la droite... Ohlala....
Ohlala...Ohlala !!!

Sans plus attendre elle prit la direction de la salle de bain pour une trèèèèès longue séance de préparation... Elle voyait avec une pointe d'inquiétude s'écouler chaque minute...à chaque instant elle se rapprochait de l'instant fatidique et elle redoutait de plus en plus le fait de ressembler à un épouvantail.

Au bout de quelques heures, elle commença à enfin être satisfaire du résultat... Elle posa une dernière pince, frotta du revers de la main la couronne comtale, la posa sur ses blonds cheveux et s'inspecta... Hmmm...pas si mal que ça finalement !

Erwyn ? Tout se passe bien ?

Grande inspiration, elle ouvrit la porte, avança de quelques pas.

Elena7

A Guînes, dans la Chambre d'Erwyndyll

Ca y était, le jour J, celui que tout le monde attendait. Depuis l'aube, tout l'Artois en parlait, que ça soit dans une taverne, dans les ruelles d'Arras, d'Amiens, de Peronne, de Calais, de Bertincourt, d'Azincourt et de Cambrai ; même les Guînois et les Guînoises s'y mettaient.
A Guînes, la populace était sur les nerfs, tous épiaient les moindres petits détails qui pourraient venir anéantir toute une organisation qui s'était préparée pendant des semaines. Les laquais, engagés par Nefi, étaient présents, tous sans exception, passant de la cuisinière Marie, au Bouffon pour animer le Repas. Tout le monde courrait partout pour se préparer à l'accueil des futurs convives. Même le bon vieux Victo-Ygor, le laquais suprême, avait failli faire de nombreuses crises cardiaques. Mais en fin de compte, tout était enfin prêt pour assister au Mariage. Enfin tout... Il ne manquait plus qu'une chose. La plus importante d'ailleurs : La Mariée.

Clac Clac Clac
A l'étage, des bruits de talons martelant le sol en pierres résonnaient, des cacophonies marquant l'impatience de celle étant à l'origine de ces dernières.
Depuis des heures déjà, la Demoiselle d'Honneur de la Mariée arpentait la chambre de long en large, attendant que sa Mère sorte de la salle de Bain. De nombreuses heures s'étaient écoulées depuis son entrée, et elle n'était toujours pas ressortie. Que faisait-elle ? Elle mettait beaucoup de temps pour enfiler sa robe et dompter sa chevelure de blé. Mais que voulez-vous, c'était une femme.
La jeune femme continuait inlassablement sa traversée, les pans de sa toilette couleur bleu Roy brûlant le sol à chacune de ses foulées. Si elle continuait ainsi, il s'effondrerait. Mais que faisait sa mère ? L'attente n'était pas le fort d'Elena, et l'heure tournait à une vitesse fulgurante. Si elles ne partaient pas dans quelques instants, elles seraient définitivement en retard, et Lndil s'inquièterait sûrement. Ainsi que les autres invités.

Du lit à baldaquins à la fenêtre enneigée, de la fenêtre enneigée au bureau en acajou, ses pensées s'entrechoquaient dans son esprit. Là, posés sur le bureau de feu Seb, reposaient les objets qu'on lui avait recommandés de donner à sa mère avant son Mariage.
Un truc bleu, un neuf, un vieux, un emprunté.
Pour le truc Bleu, une fleur qu'elle déposerait dans les cheveux bonds de sa mère.
Pour le truc Neuf, la robe de mariée qu'Erwyn était en train d'enfiler.
Pour le truc Vieux, une broche appartenant à une ancienne amie Bourguignonne.
Pour le truc emprunté, Elena avait choisi un collier en perles d'Esme.
Elle se les répétait continuellement, espérant ne rien avoir oublié. Ce n'était vraiment pas le moment de faire un impair.

D'une démarche peu assurée, elle retourna près de la fenêtre afin de jeter un ultime regard à l'extérieur. Le coche les attendait déjà, au pied des marches du château. Les poings posés sur ses hanches, elle tourna les talons, en direction de la porte de la salle de bain. Erwyn devait absolument sortir. D'une main assez tremblante, la jeune femme étant angoissée par ce futur mariage qui se préparait, elle donna trois coups secs contre le bois.

Erwyn ? Tout se passe bien ?

Elle recula de quelques pas, ses prunelles lagon embrassant la porte qui la séparait de sa Mère.
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« Peu importe l’étroitesse de la porte ou les punitions qui défilent. Je suis le maître de mon destin. Je suis le capitaine de mon âme. »

Kiki

Kiki avait peu dormi plus par habitude que par le faite de devoir se rendre à Arras pour le mariage de la comtesse. Aussi elle eut le temps de préparer surtout que de mettre la robe seule n'était pas des plus facile surtout que les lacets cassaient. Bref il lui fallu du temps et autant pour pouvoir se coiffer, l'embrun n'aidant pas à maitriser sa chevelure rebelle.

Enfin elle fut prête, maintenant Kiki du se rendre à Arras aussi elle pris un cheval mais n'étant pas une bonne cavalière cela fut encore plus compliquée avec sa robe. Elle glissa plusieurs fois de la selle avant de trouver la bonne posture puis s'agrippant à la crinière elle parcourue la distance la séparant d'Arras.
Arrivée dans la capitale, elle chercha la cathédrale heureusement qu'on voyait le clocher de loin mais les impasses n'étant pas indiquées, Kiki fit double distance avant de la trouver.

C'est dans un soupire de soulagement qu'elle descendit de cheval puis secouant sa robe pour en retirer la poussière du voyage, elle entra dans la cathédrale, s'installa sur un banc dans l'ombre et attendit le début de la cérémonie.

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Ottobismarck

Le Vicaire diocésain, curé de Cambrai, s'était levé tôt ce matin pour se préparer à ordonner le frère Carbonnel, diacre de Péronne qui allait être élevé à la prêtrise par l'imposition de ses mains. Il avait prié toute la nuit pour l'Eglise d'Artois ainsi que son avenir personnel. Les cieux lui commandaient ils de revenir auprès du Très Haut ? Il avait consulté les anges afin de discerner le divin dessein de Dieu pour lui, hélas la transmission n'avait pas été très nette et il semblait que les envoyés du Très Haut n'avaient pas été très prolixes quant à son avenir.

Mgr Otto Bismarck s'était enfermé dans sa cellule pour prier la nuit durant. Il pensait à ce Comté qu'il aimait, à sa paroisse et à sa propre ordination. A ce jour où il avait dit "oui" à l'appel du Très Haut pour faire don de sa vie pour les hommes. Il pensait à la joie profonde qui l'habitait d'être prêtre en espérant que son frère Carbonnel qui s'y préparait aussi pourrait vivre pleinement de cette espérance.

Vers 9h30 l'évêque de Damas avait revêtu ses plus beaux vêtements liturgiques pour l'occasion avec pour le couronner sa mitre et sa crosse épiscopale. Tout devait être prêt pour cette célébration de sorte que chacun puisse rendre grâce pour le don de Carbonnel à l'Eglise.

L'évêque envoya un enfant de choeur sonner les cloches de la cathédrale et convier ainsi les fidèles à venir entrer dans la joie du Seigneur...

Nefi

[une charmante auberge à arras]

arrivées de la veille, nefi avait prit une chambre pour les squires afin d'être sur place. elle avait veillé fort tard pour mener à bien sa mission, mais tout semblait fin prêt, ce qui ne l en rendait pas moins nerveuse.
l'heure tournait bientôt les cloches de la cathédrale sonnerait pour appeler en cette belle journée hivernal au mariage comtale qui depuis des semaines était sujet de conversation de toute les cancannières d Artois.

elle se prépara donc avec grand soin, enfilant avec plaisir une houppelande faites spécialement pour l'occasion, commande à une jeune et talentueuse couturière rencontré par le hasard des mésaventures le jours de la cérémonie des pommes. comme quoi un malheur à quelques fois une heureuse fin.

dernier coup d'oeil dans un miroir, ajustement de sa belle pelisse de fourrure cadeau de noël de son amie ombeline et hop elle partit en compagnie de ses squires vers la cathédrale.

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Auberge Amoreta

Chany

La veille à Péronne

Chanel avait préparer son baluchon , ne rien oublier surtout , depuis l annonce du mariage et tout ce qui en avait suivit , elle avait préparer avec soins ses affaires. Elle s était fait faire pour l occasion une robe et comptait bien la porter pour une fois

Le matin à Arras dans une auberge

C'était le grand jour ... Un mariage comtale s'était une première pour Chanel , elle avait passé sa robe et s'était coiffée pour l occasion , elle se regarda dans un miroir et eu du mal à se voir ainsi mise.

Elle descendit dans la salle commune de l auberge , prit une légère collation

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Fidos

je tenais à arriver parmi les premiers ,pour ne rien rater d'une ,de deux c'est pas tous les jours d'assister à un mariage d'une comtesse ...

Alors j'ai apporter quelques miches et une bonne bouteille de pere naud avec moi ,et pris la route aussitôt ...direction Arras ...

Flapend

FLAPEND se met agenou et demande au prête:

-j'aimerai me faire batisé, J'ai un parain civil.

Darkdragonlord

Prenez contact avec moi par messagerie et je regarderai je que je peux faire pour vous, mon enfant. Vérifier que votre pastorale est faite et autres détails.

J'attends de vos nouvelles.

Viny31

Viny entra machinalement dans le bâtiment sans faire attention que c'était l'église. Puis il leva les yeux et s'aperçut du lieu :

Mais qu'est-ce que je fous là moi pfffff, n'importe quoi

Il ressortit de cet endroit glacial et sombre en haussant les épaules
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Lndil

Lndil s'était levé de bonne heure... comme d'habitude en fait.
Il était rentré tard du Domaine de Guînes... sa Douce semblait tenir à la tradition.
Il en souria encore.

De la fenêtre du salon de son appartement d'Arras, il pouvait voir le clocher de la cathédrale.
Il finit son petit déjeuner simple afin qu'il ne lui porte pas trop sur l'estomac car cette journée serait riche en émotions... il en avait un peu le tournis rien que d'y penser.
Il pria Aristote que rien ne viennent les déranger de la journée.

Ensuite il s'habilla comme à l'accoutumée et, prenant sa tenue pour cette grande journée, il prit la direction de la cathédrale.
Il devait déja y avoir effervescence là bas. Il passerait par la ptite porte de la nef... il avait la chance d'en avoir la clé puisqu'il avait été nommé diacre d'Arras.

Il y avait effectivement pas mal d'activité... il se glissa sur le coté et rentra dans la petite salle adjacente pour se préparer. Il y rencontrerait peut être Darkdragonlord, le prêtre d'Arras même qui officierai pour leur mariage.
Le vicomte de Lens jeta tout de même un oeil dans la nef pour voir s'il n'y avait aucun soucis... a priori non, les arrangements floraux était tous bien disposés.

Il décida donc de s'habiller... après une profonde respiration.
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Lou_lempinka

Finalement, elle n'était pas si en retard que cela.Elle suivit le déroulement de la cérémonie ainsi que l'arrivé des retardataires. Elle ne put dissimulé un sourire amusé quand Bique sortit toute dégoulinante, sa robe blanche collant à son corps, ne dissimulait que peu son corps et vu la tête des hommes présents, ils ne regrettaient pas d'être venus. Elle la féliciterai à sa sortie.

Chevalier_bayard

Bayard fut tiré par Odas et après l'avoir écouté, le chevalier se dit qu'il avait raison... ils auraient l'air moins bêtes à deux sur le parvis! (et je baffe le premier qui dit "quoi que" !).

Odas a écrit:

Bon je vais encore devoir payer des chopinettes à Bique pour me faire pardonner ... ah ben non elle est enceinte, bon ben elle ralera hein !!!

Bon, ben si de toutes façon Bique va râler, tu peux toujours me payer une chopine à moi, en attendant! fit le chevalier avec un sourire assoiffé aux lèvres (encore à cause de l'encens, ça donne soif!)

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Odas

Bien qu'averti plusieurs fois par Bique, Odas brilla une fois de plus par son absence !! Il arriva tout essouflé alors que les cloches sonnaient signifiant ainsi la fin du baptême.

Zut de zut, encore raté .... je fais un ben mauvais Aristolécien dis-donc !! J'espère que Bique me pardonnera ...

Voilà maintenant qu'il se parlait à lui même et à voix haute. Voyant Bayard prêt à sortir il le tira énergiquement pour se sentir moins seul sur le parvis de la cathédrale :

Navré Bayard, mais j'ai l'air moins bête que tout seul ... je suis déjà assez honteux d'être arrivé autant en retard, alors un peu de compagnie et de soutien ne fait pas de mal. J'espère que Mae ne m'en voudra pas de t'avoir retiré de ses bras quelques instants ..... Bon je vais encore devoir payer des chopinettes à Bique pour me faire pardonner ... ah ben non elle est enceinte, bon ben elle ralera hein !!!

Il se mit à rire, tapotant dans sur l'épaule de son ami, attendant la sortie de tout ce beau monde ..

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Hulrick

Hulrick vit Nie se rapprocher de lui et hocha la tête pour confirmer le fait qu'il était là depuis le debut. Il s'épaula, les bras croisés, sur le pilier et remarqua que Nie se cala derrière lui. Il vit ensuite Bique ressortir de sa trempette bénie, toute transparente dans sa robe blanche. Il sourit et scruta le Christ, qui devait essayer de se détacher de sa croix pour bondir sur Bique. Il rit tout seul en pensant à cela puis se retourna vers Nie pour lui dire que c'était fini. Eh beh, un sacré bapteme dans toute sa splendeur.

Chevalier_bayard

Bayard et Maé avaient assisté au baptème, de loin, du fonds de l'église. Bique avait soutenu l'équipe de soule de Cambrai, ils avaient promis d'être là au baptème.

Mais cela faisait si longtemps qu'il n'était plus entré dans une église. Il était mal à l'aise. Déjà ils étaient arrivés en retard (par sa faute à lui en plus), et essayer de masquer le bruit de ses bottes dans une cathédrale était pas si facile. En plus la nervosité (et l'odeur de l'encens

) le faisait tousser... et il ne pouvais pas se retourner pour-faire comme-si-c'était-pas-lui-mais-le-type-de-derrière, vu qu'ils s'étaient assis sur la dernière rangée... Bref, à la fin du baptème, Bayard lorgnait déjà vers la sortie pour s'esquiver au plus vite, et attendre Bique dehors pour la féliciter...

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Bique

Bique prit la medaille et remercia Carbo. Elle remercia egalement tout les invité qui c'était deplacer pour elle. Elle en était très emu.

Elle bizouilla tout le monde et en particulier Carbo et Niri.

Bique remercia bien chaleureusement monsieur le curé pour sa jolie ceremonie.
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Takanomi

Debout à l'opposé du lieu du baptème,appuyé contre le mur de fond,Takanomi regardait sa dulcinée,d'un oeil rêveur.
Cette fois,il la voyait de loin,et elle était toujours aussi magnifique.
Son minois se distinguait de loin,sa petite frimousse blanchie illuminait la salle,tout comme sa chevelure dorée.
Il imaginait ses lèvres humides et voluptueuses.
Il la dévorait à distance,sans un mot.
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Darkdragonlord

Ensuite le père DarkDragonLord invita les paroissiens pour le partage du pain et du vin.

Après le partage, le curé termina la cérémonie.

Ensuite il s'approcha de la nouvelle baptisée pour la remercier d'être venus rejoindre la communauté et invita tout le monde à faire de même.

Nienna

Nienna qui suivait la cérémonie, promena son regard dans la cathédrale, histoire de voir qui il y avait. Elle s'ennuyait toujours au bout d'un moment, et son amour n'était pas là. Elle se hissa sur la pointe des pieds et hoooooooooo .... Hul, qui se dissimulait aussi au fond !!!!!!
Se baissant pour passer inaperçue, elle se faufila jusqu'à lui et lui fila un tit coup de coude avant de lui murmurer

ALors on se cache ? tu es là depuis le début ?

Au même moment elle entendit Bique s'exclamer
Quoi aller dans l 'eau entièrement avec une robe blanche?!

Elle ne put s'empêcher de glousser et vite, se glissa derrière Hul pour se cacher.

Carbonnel

Carbonnel retint difficilement une grimace en entrant dans l'eau...
Le baptême par immersion, bien la peine que je me sèche tantôt pensa t-il.

Tenant Bique il vit l'eau la recouvrir et imbiber sa robe qui colla bientôt complètement à son corps révélant toute sa silhouette voluptueuse lorsqu'elle fut relevée.

Le diacre se racla la gorge...

Ahem !

...et reporta sa concentration vers la qualité d'exécution et le jaune chatoyant du manteau d'Aristote sur le vitrail qui éclairait l'Abside.

Vraiment quel chef d'oeuvre marmonna t-il

Puis il prit la médaille que lui montrait le prêtre et l'offrit à Bique...

Bique, sois la bienvenue au sein de la famille Aristotélicienne.

Bique

Bique regarda le curé avec interrogation.

Quoi aller dans l 'eau entièrement avec une robe blanche?!

Vu le coup d 'oeil que lui lança le curé elle obéit et s'immergea dans l'eau.
Elle en ressortie dégoulinante ayant froid et..... toute transparente

Elle regarda Niri qui lui tendit un cierge, le prit et essaya de se réchauffer avec comme elle pu.
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Darkdragonlord

Le prêtre s'approcha de la nouvelle fidèle et poursuivit:.

En tant que baptisé, Bique, reçoit aussi une médaille aristotélicienne de couleur bleu cyan, couleur des fidèles Aristotéliciens baptisés, tu pourra l’utiliser sur tes signatures afin d’afficher ton engagement aristotélicien.

Il invita le parrain à lui donner cette médaille.

Nirina

Nirina tendit le cierge à sa filleule, mais la voyant toute mouillée ....dans son état , elle s'inquièta un peu ....il ne faisait pas très chaud dans la cathédrale.

Puis Nirina pensa à sa petite soeur qui avait disparu depuis un certain temps déjà.....pourquoi y penser maintenant? parce que Bique était là fragile et toute mouillée!!!! Où pouvait donc bien être Latti, que lui est il arrivé?
N irina reprit ses esprits, elle ne devait pas penser à ça .....pas maintenant , c'était l'heure des réjouissances
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Darkdragonlord

Approchez-vous, Bique, de notre baptistère, notre baignoire ronde en pierre . Maintenant descendez ces quelques marches. Vous serez purifiéde votre vie passée et de ses fautes par l’eau et, par cette immersion, vous serez baptisée et renaîtrez. Aidez-moi Messire Carbonnel et Dame Nirina à guider notre agneau.

Le prêtre entre dans le baptistère, suivi par Messire Carbonnel et Dame Nirina. Ils tiennent Bique et l'aident à s'allonger dans l'eau, jusqu'à immersion complète, en basculant en arrière, et à se relever. Ses superbes habits dégoulinent d'eau.

Je te baptise au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les Saint et pour l’amour du Père de l’humanité.

Le père DarkDragonLord apose ensuite sur son front le signe de croix avec l’huile que contient une fiole qu’il a en main : le chrême.

Bique reçoit ce cierge de ta marraine pour porter par tes exemples la lumière aux autres et ce que tu as gagné par le baptême, tu risques de le perdre en trahissant ton engagement solennel par une conduite déshonnête.

Le prêtre invite la marraine a donner le cierge.

Darkdragonlord

Le prêtre attendit un peu pour le credo.

Nirina

Nirina récita le credo avec le parrain de Bique
CREDO

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN
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Nirina

Nirina regardait sa filleule avec tendresse .....elle rayonnait!

Je promets de te soutenir tout au long de ta vie avec l'aide de ton parrain et de te remettre dans le droit chemin si quelques petites routes caillouteuses te tentaient!!!
Je serai toujours là pour toi.
Nirina souriait elle connaissait le caractère de sa filleule.....têtue comme une bique!
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Nienna

Après s'être signée, Nienna se glissa entre les bancs du fond de l'Eglise pour se trouver une place et assister au baptême de Bique. En la voyant réciter le crédo, elle repensa à Latti, sa propre filleule qui avait disparu. Une larme coula sur sa joue. Discrètement elle l'essuiya du revers de la main et se concentra sur la cérémonie. Latti aurait aimé être là aussi, elle en était sûre

Elle murmura le crédo à voix basse, pour Bique mais aussi pour Latti.

Dagoon

Dagoon arriva devant la cathédrale.
Elle hésitât beaucoup à rentrer
La cérémonie avait déjà commencer et elle était encore aux abord à se demander si elle avait le droit ou pas.
Bon flute, Aristote est à tout le monde, romain ou pas. Et puis c'est Bique qui se fait baptiser.

Dagoon ouvrit donc la porte et voulu se mettre a l'arriere, mais ce n'était pas possible.
Il y avait une disposition étrange, les gens étaient soit tout devant, soit tout derriere.

Dagoon sourit et se mis donc au milieu, a l'écart , a demi masquée par l'ombre d'un pillier
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Dove44

Dove arriva à la cathédrale un brin en retard. Il se glissa discrètement à l'intérieur et fut de suite imprégné par l'atmosphère des lieux. Il prit le temps d'une prière. Puis, il se glissa discrètement entre les bancs et prit place.

Bique était radieuse et toute sourire. Aujourd'hui était son jour et il était heureux pour elle.

Il écouta attentivement le sermon du prètre et se recueuilli.

Maxlevaillant

max arriva a l'eglise et s'asseoit a l'ecart au fond de l'eglise pour ne pas deranger la ceremonie

Carbonnel

Le diacre s'avança aux côtés de la jeune femme, lui adressant un petit clin d'oeil pour la qualité de sa prestation de serment puis dit...

Moi Carbonnel, diacre de Péronne, témoigne de la sincère foy Aristotélicienne de Bique et m'engage à en être garant à compter de cet instant.

Puis il prononça le credo.

Hulrick

Hulrick se dirigea vers les bancs quand la cérémonie commença. Il se mit au fond, dans l'ombre d'un pilier et écouta. Il regarda longuement Bique en plein milieu de sa bénédiction, réfutant pourtant les sermons du Prêtre. Il attendait patiemment, frottant par habitude sa balafre de sa joue gauche, sous sa capuche.

Bique

Je souhaite me faire baptiser car j'aime Dieu et je voudrais faire partie de l'eglise aristotélicienne ainsi qu'être aimer par Dieu.

Bique resita ensuite le serment d'allégeance.

Citation:

Je reconnais en dieu le moteur du monde,
la pensée suprême et la cause efficiente et finale du monde.
Je reconnais l'Eglise Aristotélicienne comme mon guide dans la connaissance de Dieu, et je jure de lui rester fidèle ainsi qu'a son autorité, seule représentante sur terre de l'Etre divin.
J'accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut de mon âme en vue de ma résurrection prés de Dieu dans la contemplation éternelle de Sa Beauté.
Je desire que mon nom apparaisse comme baptisé et serviteur de Dieu tout puissant.

ainsi que le credo.

Citation:

CREDO

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

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Carbonnel

Carbo acquiesça aux sages paroles du prêtre et alla rejoindre le groupe qui s'était réuni autour de Bique.

Bonjour Bique... Sénéchal... Damoiselles... Messire...

Alors comment te sens-tu, ma filleule de tantôt ? Lui demanda t-il tout sourire et un oeil sur le petit ventre rebondi de la jeune femme...

Darkdragonlord

Le prêtre se dirigea vers l'autel pour s'adresser aux fidèles:

Notre Église d'Aristote et la communauté aristotélicienne vont s’enrichir d'un nouveau membre. Alors réjouissons mes enfants !

L’entrée de Bique, car c’est d'elle dont il s’agit, dans la communauté, n'est pas un acte anodin, mais non !
C'est une action qui va vous engager entièrement mon enfant, votre corps, mais aussi votre âme. C’est une renaissance, la véritable naissance, un engagement total et impossible à rompre. Même la mort ne pourra rompre le lien qui vous unira à la grande famille des Aristotéliciens.
Cet engagement n’est pas un jeu ! Devenir aristotélicien c’est une tache quotidienne et un labeur ardu ! On ne passe pas de contrat avec le Très Haut ! Ni avec le salut de son âme ! ce n’est pas du donnant-donnant ! c’est un don de soi, gratuit !
Avec le baptême vous allez pouvoir faire le premier pas vers le soleil, ce premier pas devra être suivi d'une vie exemplaire répondant aux exigences du Livre des vertus.
Approchez-vous devant le baptistère mon enfant et répétez votre profession de foi. Que votre marraine et votre parrain témoignent ensuite en votre faveur. Et que les paroissiens qui le souhaitent enfin apportent leur contribution.

Le prêtre ouvrit son Livre des Vertus sur le Mythe Aristotélicien- Partie VII, l'amour.

Citation:

“Nous sommes certes enchaînées à la matière, certes soumis à ses lois, mais notre but est de tendre vers Toi, l’Esprit Éternel et Parfait. Donc, selon moi, le sens que Tu as donné à la vie est l’amour.” Alors Dieu dit: “Humain, puisque tu es le seul à avoir compris ce qu’était l’amour, Je fais de tes semblables Mes enfants. Ainsi, tu sais que le talent de ton espèce est sa capacité à M’aimer et à aimer tes semblables. Les autres espèces ne savent aimer qu’elles-mêmes.

Vous, ma fille, Bique, qui désire rejoindre la communauté des croyants, il est temps pour vous de me dire pourquoi souhaites-vous le baptême, de faire Serment d'allégeance à l'Église Aristotélicienne,

et de répéter après moi, le credo aristotélicien, ainsi que tous ceux qui sont ici, après vous.

Citation:

Le curé regarda son enfant, qui par le baptême, se prépare aux autres sacrements, réciter son serment et ensuite le credo comme il faut.

Bique

Bique répondit a monsieur le curé.
Oui je vais bien merci, nerveuse ? euh nan enfin si un peu!

Bique rayonnait de bonheur en voyant tous ses amis arriver les uns après les autres. Elle ne pensait pas voir autant de monde.
Elle fit un signe à Lou et à Relook, Bizouilla Nirina et Carbonnel.

Moi nerveuse? Mais nan! Puis leur chuchota "c'est normal que j'ai la nausée?"

Bique était très nerveuse et attendait avec impatience l'arrivée de celui qu'elle aimait.

Bique souris en voyant arriver Leducg puis Hulrick qui la félicita sur sa tenue.

Merci mon cher!! lui murmura t'elle.
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Relookmesfesse

bien que tres nerveux . nayent jamais cotoyé les ami de bique . il se decida a se presenté a son invitation. un peut hesitent il penetre dans la cathedrale. d un coup d oeil apercoit directemrnt cette superbe princesse .
qui se tient debout devant l hotel. il la sens tres nerveuse la voix cherché du soutient ver ses ami(e) du regard.il essaye de lui faire un pti clein d oeil mais ne sai si elle la apercu . dicretement il se glisse dans une place du fond .et suis cette seremonie . il ne quita pas la belle des yeux du dabut a la fin . en n ayent meme une larme a l oeil

toute mes felicitation ma belle tu a ete rayonante comme d abitude[/i]

Leducg

Etant pas mal occuper, Leducg failli en oublier le baptème de son amie Bique. Il se changa alors en vitesse pour l'occation et parti en direction de la Cathédrale.
Une fois sur place il attache Ombre près de l'entré et laissa son épée accroché a sa selle. Leducg alla jusque la porte où se trouvais Bique.

Bonjour Bique, toute mes félicitations

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Darkdragonlord

Le prêtre répondit à son ami Carbonnel:

La vie est une série d'étape, heureuse ou pénible, mais la récompense ultime en vaut la peine, d'ailleurs c'est justement pour cela que Dame Bique est ici aujourd'hui.

Le prêtre se retira ensuite pour se préparer au début de la cérémonie.

Hulrick

Hulrick posa ses rapports du guet en plaquant ses mains sur son bureau, las d'écrire et trier ses papiers. Il se leva, se dirigea vers le modeste vitrail de son bureau et contempla la ville, les mains dans le dos. Dans son mouvement, un courant d'air fit volé un léger parchemin, celui de l'invitation au Baptême de Bique. Il le ramassa, le scruta attentivement en fronçant les sourcils par réflexion puis démarra au quart de tour en comprenant son retard. Il saisit tout ses vêtements qu'il mit à la hâte pendant sa course. Une fois dehors dans le froid pénétrant, il bondit sur son fidèle noir destrier, unit avec les vétements des son maitre. Il y avait peu de personnes dans les rues, c'est alors qu'il parcourut ces chemins pavés au galop, faisant résonner de secs claquements de sabots.

Il arriva à proximité de la Cathédrale, déjà ouverte. Il vit rentrer une demoiselle qui semblait bien être Louanne. Puis il attacha son cheval dans un abris prévu à cet effet, non loin du bâtiment religieux. Il mis sa capuche sombre et déambula jusqu'à l'intérieur de la Maison dite de Dieu. Il pénétra à travers quelques fidèles, dont un lui fit un digne en fronçant les sourcils, lui demandant de faire le signe de croix avec l'eau bénite à l'entrée. Il se stoppa net, secoua la tête et soupira. Il s'exécuta pour éviter les soucis, surtout pour une cérémonie concernant son amie Bique.

Si son chef le voyait ici, il le gronderait certainement, c'est pour ça qu'il décida de garder sa capuche pour ne pas être reconnu des fidèles ignorant son identité. Malgré certains qui exprimaient leurs mécontentements face à cette tête couverte. Il se dirigea alors vers Bique, d'un pas sur, faisant retentir autour de lui des bruits métalliques de son harnachement. Enfin il la trouva dans sa robe blanche.

Ravissante aujourd'hui Bique! * dit il discrètement.

Il lui fait une bonne bise et sourit, puis remarqua Nirina, Louanne et Monsieur le Curé. Il bisouilla les dames et hocha la tête vers Darkdragonlord en guise de salut.

Nirina

Nirina entra dans la cathédrale , elle aperçut Bique au premier coup d'oeil
...elle était si jolie dans sa robe blanche avec son petit ventre à peine arrondi....
Elle salua Monsieur le curé puis alla rejoindre sa filleule

Ca va ma douce? pas trop nerveuse?
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Carbonnel

Floc... Floc...

Cheminant depuis l'aube sur les chemins détrempés par les pluies de la veille Carbonnel arriva tout crotté dans la capitale de l'Artois.
Remontant la grand rue vers la cathédrale il s'arrêta sous une enseigne en poussant un soupir de soulagement. De la lame de son couteau il retira les mottes qui collaient à ses souliers et entra au Coin de Paradis, un nom de circonstance, pour se sécher et boire un bon grog.

Un couple d'heures plus tard, répondant à l'appel du carillon, tout ragaillardi et les pommettes rosies le diacre franchit la porte de la maison du Seigneur pour assister au baptême de Bique dont il serait le parrain après avoir veillé à sa pastorale.
Si elle avait douté d'elle-même au commencement, Bique s'était montrée appliquée et persévérante et Carbonnel était fier qu'elle en soit arrivée au bout.

La jeune femme était déja entourée de ses amies aussi alla t-il d'abord présenter ses respects au père Darkdragonlord...

Bonjour mon père. J'espère que vous vous portez bien par ce temps propice aux fièvres. Quant à moi je suis heureux de vous revoir en une heureuse circonstance cette fois.

Darkdragonlord

Très bien, merci. Et vous, pas trop nerveuse aujourd'hui?

Lou_lempinka

En retard, elle était en retard!
Elle attrapa le cadeau pour son amie, saisit le bas de sa robe bleu nuit. Un dernier regard à son reflet, ses longs cheveux relevé en un chignon n'avait rien d'austère, il laissait échappée quelque mèches rebelles. * Allez, allez! Tu es en retard!* se sermonna t'elle. Elle se précipita hors de chez elle et rejoignit la cathédrale d'un pas soutenu, elle arriva essoufflée sur le parvis de celle-ci, le temps de se reprendre et elle entre.
Petit signe de la main à Bique pour la saluer et elle prend place, dissimulant son cadeau sous son siège.

Ottobismarck

Mgr Otto Bismarck vint déposer un petit papier à la cathédrale pour inviter les gens à prier...

Citation:

Dieu Eternel et tout puissant ;
Toi qui aimes les hommes en les comblant de ta justice,
Regarde aujourd'hui ton peuple qui souffre de la guerre,
La tyrannie est en train d'envahir la terre que tu lui as confié,
Délivre le par la force de ton bras de l'infamie qui l'accable.

Ô Dieu très aimant, toi qui n'as jamais failli dans ton amour,
Garde nos valeureux soldats par ton immense miséricorde,
Protège les par ton bouclier et l'intercession de tes bienheureux prophètes.
Christos et Aristote, envoyés par le Seigneur,
Appelés à ouvrir le chemin de la vie Eternelle aux hommes,
Qu'ils protègent l'Artois accablée par leur fervente prière.

Nous te prions aussi pour les hommes et les femmes,
Qui avec ferveur et résignation s'engagent pour défendre l'Artois.
Hier comme aujourd'hui, le prix du sang a été durement éprouvé dans ces terres,
Seigneur viens à notre aide, car tu es grand.

Maintenant et pour des siècles et des siècles, amen.

Brieucdeguerande

Le reiter Brieuc pénétra en la cathédrale. La sérénité des lieux de culte ...
Il adressa ses remerciements à Aristote pour la qualité du voyage et la bonne ambiance avec ses Frères de l'Ordre.
Il récita le crédo puis ressorti afin de ne pas troubler le calme des lieux...

Darkdragonlord

Par une belle journée ensoleillée, un peu frisquet en cet fin de novembre, le curé entra dans la Cathédrale, il s'approcha du bénitier, il trempa alors ses doigts et se signa. Il se dirigea ensuite vers l'autel, y déposa son livre des Vertus et vérifia que les éléments aristotéliciens sont bien là : le brasier pour le feu, la pierre taillée pour le sol, l’encensoir pour l’air embaumé, la vasque pour l’eau, l'Ether sera là des que les âmes seront présentes.

Il en profita pour déposer une médaille et un cierges nécessaire è la cérémonie du baptême de Dame Bique, cela lui réchauffait le coeur de voir un regain en la foi Aristotélicienne.

Ensuite il s'approcha des portes de la Cathédrale au son des carillons qui appelaient les fidèles.

Le père DarkDragonLord entra avec ses paroissiens en chantant.

Bique

Bique arriva devant la Cathédrale, portant une robe simple et blanche dessinant légèrement les formes de son ventre. Elle était à la fois heureuse et inquiète de franchir se pas. Elle vit monsieur le curé Darkdragonlord et s'approcha de lui.

Bonjour monsieur le curé! Comment allez vous en cette journée magnifique mais fraîche?

Elle souria au curé puis attendit au prés de lui que les invités arrivent.
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Fidos

Décodage !!!!

Galahad.

Bertincourt appartient au diocèse de Beauvais en compagnie d'Amiens et Clermont ...

William_zola

Merci pour cette réponse Messire Yeuxbleus.
Je ne connaissait pas cette particularité de Bertincourt.
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William_zola

Juste une question pour revenir sur le rapport ...
Je risque de passer pour un inculte, mais pour quelle(s) raison(s) Bertincourt n'y figure pas ? Nous n'appartenons pas au même diocèse ?
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Fidos

berti appartient a reims me semble

Fidos

Carbonnel a écrit:

Ouf, un instant j'ai cru qu'on vous avait "remercié" pour votre action en Artois en vous demandant d'aller évangéliser les sarrasins.

[b]ca me rassure je ne suis pas le seul ^^

si non merci pour l'explication pere otto ... si je peux etre utile je suis a ton service

Carbonnel

Le diacre qui avait lu l'annonce avec un sentiment d'inquiétude grandissant poussa un soupir de soulagement en écoutant l"explication de Mgr Ottobismarck à Fidos.

Ouf, un instant j'ai cru qu'on vous avait "remercié" pour votre action en Artois en vous demandant d'aller évangéliser les sarrasins.
Alors qu'en vérité cette annonce signifierait plutôt que l'on vous encourage à persévérer dans votre entreprise, c'est là nouvelle réjouissante.

Bon sang, où va t-on si à mon tour je me mets à imaginer le pire en lisant les communiqués de la Sainte Eglise ! dit-il en éclatant de rire.

Ottobismarck

En gros je suis évêque dans un diocèse qui n'existe plus à titre honorifique afin de me consacrer entièrement à ma mission en Artois en gardant toutefois le statut d'évêque

Ottobismarck

Citation:

[center]Rapport sur l'état de la religion au sein du diocèse de Cambrai[/center]

Le dimanche 19 juillet 1457 le diacre Carbonnel prit la route en compagnie de Damechanel pour accomplir une tournée des paroisses du diocèse. Après un périple de 14 jours voici son rapport.

Etat du clergé au jour du 19 juillet 1457

Evêque du diocèse :
Son Eminence Vincent.diftain

Arras
Curé : DarkdragonLord
Diacre : aucun

Azincourt
Curé : Nicogane
Diacre : Celdric

Calais
Curé : Shade
Diaconesse : Angedepolignac

Cambrai
Curé : Ottobismarck
Diacre : aucun

Péronne
Curé : aucun
Diacre : Carbonnel

Des paroissiens sur la vraie religion et la Sainte Eglise :

Il est difficile de se faire une idée précise des opinions des habitants du diocèse à l'égard de la religion Aristotélicienne et de la Sainte Eglise en ne passant que quelques jours dans une ville dont certaines sont peu animées et où la chance de rencontrer des habitants est mince, surtout à une époque de l'année où bon nombre de paroissiens sont en retraite.
Toutefois le diacre Carbonnel n'a constaté ni n'a ouï dire d'acte hostile à l'égard de la religion Aristotélicienne ou ses incarnations. Au contraire, beaucoup montrent un vif appétit pour parler des choses de la foy. Certains se renseignent sur les démarches à accomplir pour les baptêmes, d'autres esprits forts aiment à argumenter sur l'existence du Créateur mais sans animosité et cela dénote tout de même un intérêt pour les débats théologiques. Bref la religion intéresse ou intrigue. Au pire elle laisse indifférent mais n'attire pas d'animosité manifeste.

Ce n'est pas tout à fait la même chose pour la Sainte Eglise qui a un fort handicap de sympathie chez certains qui ont été affectés par les démêlées entre le Comté et Rome et notamment autour de l'abbaye de Tastevin qui jouit d'une grande popularité surtout chez les plus anciens. Un autre motif de reproche à l'encontre de la Sainte Eglise est ses manquements à ses devoirs pastoraux. Toutefois ces reproches dépendent de la situation dans chaque paroissse comme nous le verrons plus loin.

De l'activité de la Sainte Eglise dans les paroisses du diocèse :

Arras :
Au jour où le diacre est passé le curé était en retraite la dernière messe célébrée par celui-ci remontait à plus d'un mois et il n'en avait célébré que deux depuis fin mars alors qu'elles étaient célébrées avec une belle régularité hebdomadaire au premier trimestre.
Le dernier baptême datant du 09 mars.

En revanche Le père DarkdragonLord jouit d'un fort attachement de ses paroissiens pour preuve ce témoignage :
"le curé d'Arras est quelqu'un que nous apprécions tous vraiment beaucoup. Il est indispensable à notre cité. Surtout, ne nous l'enlevez pas ! "
Toutefois l'avenir de la cure d'Arras est à préciser, nous ignorons si la retraite du père est définitive ou provisoire.

Azincourt :
Au jour du passage du diacre le curé n'avait célébré que 2 messes depuis le début de l'année, les 7 et 14 janvier. A l'insistance de Mgr Yan de Kerch qui avait constaté la carence pastorale en mai un diacre a été nommé en juin, qui n'a célébré à ce jour qu'une cérémonie, un fort beau mariage au demeurant mais ni messe ni baptême.
Ici les paroissiens se plaignent vivement de l'absence d'un clergé actif.

Calais :
La seule activité pastorale est celle prodiguée par le diaconat de la paroisse. Autrefois Mgr Yan de Kerch, actuellement la diaconesse Angedepolignac qui même absente de la ville parvient quand même à y célébrer des offices. C'est merveille de voir sa dévotion à sa tâche et la chapelle de Calais est assidûment fréquentée. Toutefois son déménagement à Péronne va soulever à terme le problème de son remplacement.

Cambrai :
L'arrivée de Mgr Ottobismarck a donné un nouveau souffle à la capitale diocésaine avec un surcroît de baptêmes et de vocations ecclésiastiques.

Péronne :
En poste depuis mi-mai, le diacre pallie de son mieux à l'absence d'un curé en célébrant la messe dominicale, veillant aux pastorales et baptêmes. La tâche est ample pour un seul clerc et une retraite spirituelle est attendue impatiemment pour repartir ensuite d'un bon pied. L'Eglise est assez fréquentée et les candidatures au baptêmes de plus en plus fréquentes.

Nous constatons donc qu'il y a deux paroisses du diocèse, Arras et Azincourt où l'activité pastorale est minimale voire nulle, qu'à Calais et Péronne elle repose sur une seule personne. La situation dans le diocèse est pour le moins préoccupante.

Préconisations

Du recrutement :
Un politique de recrutement active est indispensable à plus d'un titre.
En premier lieu pour remplir la mission que Christos nous a confiée et qui n'est pas remplie à Arras et Azincourt.
Ensuite là où il y a des clercs actifs, le risque de faire reposer la vie religieuse d'une paroisse sur une seule personne est qu'après quelques mois d'activité soutenue l'acédie gagne le clerc et que les offices s'espacent pour disparaître comme il semble que cela se soit produit à Arras. L'idéal serait donc d'avoir deux clercs actifs pour se partager pastorales et messes en alternance.
Un autre avantage du recrutement de nouveaux clercs est que les paroissiens n'auront pas pour seule image de l'Eglise celle des annonces diplomatiques de Rome mais celle de prêtres issus de leurs rangs et présents au quotidien.

Du catéchisme :
Au cours de notre périple ou lors de l'exercice de notre ministère, nous avons entendu très souvent des sornettes théologiques dignes de Newbie. Beaucoup d'Artésiens ignorent les principes de base de l'Aristotélisme et ne le jugent qu'à l'aune des opinions qu'ils ont de la religion des contes de fées. Nous pensons qu'il serait bon de diffuser le prêche de Neajdlaf en gargote et non d'en réserver le contenu à ceux qui demandent le baptême. Cela mettrait fin à beaucoup de confusions et de préjugés.

Des offices :
Une messe prend du temps à se préparer et c'est une satisfaction pour un clerc de réaliser une belle cérémonie pour laquelle il est complimenté. Mais l'important est-il que le clerc ait consacré deux heures à rédiger une messe ou qu'une messe ait lieu chaque dimanche pour l'édification spirituelle des paroissiens ? Qu'une messe soit célébrée bien sûr. C'est pourquoi nous proposons d'archiver toutes les messes qui ont été célébrées afin que les clercs lorsqu'ils manquent de temps ou d'inspiration puissent piocher dans les réserves communes. Cela doit rester l'exception plutôt que la norme mais contribuerait à une tenue régulière des cérémonies.

Ces quelques préconisation ne sont que le fruit de la réflexion d'un jeune diacre peu expérimenté qui laisse à des clercs plus qualifiés le soin d'en imaginer d'autres.

Fayct à Péronne le 05 du mois d'Août 1457

Ottobismarck

Citation:

Nomination de Otto Bismarck au poste d’évêque in Partibus de Damas

Nous, Aaron de Nagan, Cardinal de la Sainte Eglise Aristotélicienne et Romaine et Doyen du Sacré Collège, Archevêque de Césarée, Chancelier de la Nonciature Apostolique, Vicomte d’Ivry, devant le Très Haut, et sous le regard d’Aristote, au nom de l’ensemble des cardinaux réunis en Sacré Collège,

Otto Bismarck

Damas

Ad Majorem Dei Gloriam

Fait à Rome le V septembre, le lundi, de l’an de grâce MCDLVII de Notre Seigneur

Pour le collège des Cardinaux, Aaron de Nagan,
Doyen.

Isaac_cash

Frere Isaac de passage à Arras pour livrer quelques fut de bière, s'était attarder dans la cathédrale. il était rester en retrait de l'office car excommunié depuis longtemps pour une sombre histoire de pouvoir au sein du clergé Romain.
il ne pu qu'admirer le sermon de l'évêque et un sourire apparu lorsqu'il entendit

" L'Eglise mère de miséricorde et d'amour, sait elle aussi pardonner avec le temps nécessaire à sa réalisation."

Il repensa à l'intervention de Bombadil au procès.

Il se demandât si dans la champagne, Bombadil tenait le même discours à ses ouailles.

Les Romains avait encore beaucoup d'études à faire pour approcher le message d'Aristote

Patcaf

Au sortir de la cathédrale, Patcaf se sentait mal, la souvenir de Lilly, l'émotion de la cérémonie....
Il écrasa une larme pûis une autre ...et rejoignit Zaza et les autres.

Allez on va boulasser , suis certain que sur son petit nuage, la haut, Lilly n'à que la bouche à tendre pour que le calva y coule!
Elle est bien et nous regarde! On va lui montrer qu'on est toujours bons!
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Chany

Chanel sorti de la cathédrale et vit Pat très ému, elle lui attrapa le bras et lui fit un bisou

ouais , allons boire quelques chopines en sa mémoire
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Patcaf

Patcaf se demandait comment de tricheuses pouvaient être admises dans un lieu saint... Aristote ne peut pas tout voir sans doute! De toute façon la perte de Lily était plus importante, mais quand même
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Ottobismarck

Frères et soeurs,

Tandis que nous professons ensemble la foi de toute l'Eglise, prions pour notre soeur Misslilly qui a rejoint le père Eternel.

Chany

>profitant de son passage a Arras , chani se rendit à l'église et pria pour Lilly
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Lokmar

Lokmar priait pour que Lilly repose en paix.

Il avait le souvenir d'une artésienne pleine de vie, espiègle et impliquée.

Une personne de valeur qui avait rejoint le Très haut, rappelé trop tôt.

Il inspira puis expira lentement, et releva la tête...

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Pour l'Artois !

Ottobismarck

L'évêque conclut la grande célébration diocésaine

Concluons notre célébration !

Le seigneur soit avec vous

Et avec votre esprit

Que Dieu tout puissant vous bénisse, par Christos et Aristote nos prophètes maintenant et pour des siècles et des siècles !

Amen

Allez en paix !

(HRP : un censeur peut il fusionner ce sujet à la cathédrale en gargote ? Merci

)

Zazaroyaume

Zaza était heureuse que le père Otto lise un joli texte pour la Miss lilly ^^

Elle songeait à Alric et Lison..ils devaient être anéantis de perdre une si grande amie...de plus, ils ne pouvaient assister à cette grand messe...
pendant de longues heures alors qu'ils veillaient au grain dans les bureaux du guet, ensemble, ils avaient reparlé de leurs parties de rigolades à ses cotés

Il ne savait pas toujours trouver les mots mais l'émotion dans sa voix laissait entendre sa peine ; il l'avait rencontré, un soir, en taverne. Ils avaient évolué longuement ensemble ; il disait lui devoir ce qu'il était.
Pour lui et même Lison, c'était une joyeuse camarade, franche et directe, aimant la rigolade et la bière. D'autre part, elle était une adjointe de grande valeur, toujours disponible. Tous deux avaient toujours pu se reposer sur elle pour les problèmes de vie courante ou du guet d'Amiens
Le vide qu'elle laissera sera irremplaçable. c'étit une vraie boulasseuse et Zaza perdait une grande amie de boisson mais aussi un bon élément...

De là-haut avec les anges, elle devait veiller sur tous, de l'eau bénite à la main...zaza sourit en y pensant, car cela ne pouvait suffir à la miss ^^

Elle ferma les yeux et fit se joindre ses mains dans un dernier recueillement...

Elle s'était isolé après avoir été voir le père Otto, et une fois la messe terminée, elle alla remercier le père de ses bonnes paroles et d'avoir répondu si promptement à sa requète

Mon Père ! merci pour Lilly et ses amis ! c'est très gentil de votre part d'avoir prit de votre temps et bravo pour votre sublime messe, nous espérons en voir de nombreuses encore ou nous viendrons prêcher la bonne parloe à vos cotés !!
j'espère que tout se passe bien pour vous dans notre magnifique Artois ! je vous souhaite qu'Aristote veille sur vous !

Une fois lui avoir serrer la main et lui avoir une petite révérence, elle avait très soif et se dirigea donc vers Pat, Nienna et le reste de la troupe, histoire de leur voler une chtite gorgée de remontant histoire de reprendre ses esprits et d'aller boulasser avec eux...enfin travailler aussi !
Alors qu'elle les avaient rejoins, elle lança discrètement...

reste t il de l'essence de vie à quelqu'un ?

Elle sourit et d'un oeil vérifia qu'elle n'avait rien oublier, puis les mains divines qui lui tendraient un peu de nectar...
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Vincent.diftain

Chers Paroissiens de notre beau Comté d'Artois, communions maintenant ensemble, afin de partager l'amitié aristotélicienne.

Zazaroyaume

Lndil était intervenu et avait préparé le terrain au père Otto ; la célébration de la messe avait débuté et Zaza avait repris ses esprits, toute sage, assise en pleine réflexion car depuis sa dernière fois dans une église, pour son mariage, seul les décès l'avait rappelé en ces lieux...

Elle pensa alors à Nicolas de Richebourg puis aujourd'hui, songea à Misslilly, son sous lieutenant du guet à Amiens, à ses amis qui venaient de la perdre...particulièrement Alric, Lison et tant d'autres encore...
La miss était comme elle une boulasseuse dans l'ame ^^ elle vait souvent tenu par sa bonne humeur le village d'Amiens ou elle y pronait la bière et l'amour de son prochain, guidant les nouveaux, transmettant sa bonne humeur quotidienne !

Alors que le père Otto profitait de méditer entre deux lectures...elle alla le voir discrètement et lui souffla une demande concernant un ultime recueillement envers la miss ; Zaza nep ouvait l'importuner longuement mais espérait qu'il entendrait ses mots !
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Lndil

Lndil remarque qu'il n'était pas concentré lorsque Otto du faire le confesse à sa place.
*ouille... va falloir que j'assure... *

Le diacre se releva de sa chaise et se présenta à la gauche de l'évêque qui lui céda la place devant l'autel.

Lndil prit alors le saint livre posé sur l'autel et feuilleta quelques pages avant de trouver ce qu'il cherchait.

Mes biens chères soeurs, mes biens chers frères...
Je vais vous faire la lecture du Chapitre IV de la Vita de Christos qui nous narre le voyage en Judée et les premiers prêches donnés par Christos

Lndil posa le livre sur l'autel et récita plus qu'il ne lu le passage qu'il avait choisi... ce qui lui permit de garder le contact avec l'auditoire

Citation:

Ayant atteint l’âge d’homme, Christos décida de quitter ses parents pour parcourir le monde et aider son prochain. Il partait avec des idées mûres sur les préceptes d’Aristote et le message de Dieu.

Ayant fait ses adieux à ses parents, il s'aventura dans le pays de Judée. Il marcha sur des chemins escarpés, grimpa des montagnes, descendit dans des plaines, traversa des cours d'eau.

Durant ces pérégrinations, il rencontra de nombreuses personnes, souvent vêtues de haillons, qui cherchaient dans l'errance et la méditation un moyen de parvenir à une plus ample vérité. Christos échangea avec nombre de ces gens, s'enrichissant de leurs expériences et de leur humanité.

Lndil céda sa place pour le sermon...
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Ottobismarck

L'évêque monta en chaire pour prêcher et dire le sermon

Frères et Soeurs !

Christos était un homme plein de courage et de détermination ! Imaginez donc, tout juste sorti de l'enfance, le voici quittant sa famille pour aller à la rencontre du monde. A la différence des païens, nos prophètes ont toujours enseigné l'amour pour les autres et les choses qui les entourent. Par leurs vies, ils rejettent toute tentation d'une condamnation sans appel de l'ici bas pour exalter un au delà sur lequel ils auraient les yeux rivés.

Non l'Eglise n'est pas obsédée par l'après ! Elle s'intéresse avant tout et surtout au présent des hommes, à leur quotidien. Dans son domaine spirituel elle s'efforce de dire aux hommes où se trouve la vérité qui mène au bonheur accompli. Cependant ce chemin n'est pas facile. Admirons Christos arpentant les montagnes et surtmontant les épreuves avec vertu pour la simple gloire du nom de Dieu ! C'est un appel à nous aussi prendre la route pour suivre Dieu dans la lignée de nos prophètes. Cette route sinueuse et difficile sera certes une épreuve mais qui comblera celui qui l'emprunte d'une Joie parfaite.

De même Christos se nourrit de la rencontre par amour envers son prochain. Loin de rejeter celui qui n'a rien, il en fait la source d'une connaissance infinie et d'une richesse immense. Oui frères et soeurs, l'autre n'est pas l'enfer, il est au contraire la source jaillissante du bonheur.

Aujourd'hui pourtant nous observons dans le monde des tentations conduisant à la haine et à la violence. Il n'est pas nécessaire d'aller chercher dans des contrées éloignées pour trouver ces points de tensions. Regardons à nos propres frontières les armures qui se font entendre ! Par leur refus délibéré d'édifier la concorde sur la terre, ces peuplades belliqueuses viennent blesser le coeur aimant du Très Haut ! De même que nous devons tous travailler à la concorde au sein même de nos comtés pour réaliser ensemble le meilleur. Sachons parfois abandonner les querelles stériles pour nous retrousser les manches avec détermination. Ainsi il plait à Dieu de voir les hommes prendre sur eux pour donner le meilleur d'eux même.

Frères et soeurs, soyons des artisans de paix et de partage. Considérons l'autre comme une richesse et non comme un ennemi potentiel. L'Eglise mère de miséricorde et d'amour, sait elle aussi pardonner avec le temps nécessaire à sa réalisation. Sachons apprécier sa sagesse et l'aider dans sa délicate mission.

Par cette messe le clergé artésien souhaite arborer aux yeux de tous les fidèles une image de pleine et entière communion. Une fraternité rassemblée pour la seule gloire du nom de Dieu en vue d'accomplir le dessein de l'Artois dans le coeur du Très Haut.

L'Artois est un grand comté qui ne saurait souffrir des vexations passagères et de la petitesse. Prions pour que les desseins mystérieux de la providence fassent de l'Artois une terre pleine d'Amour et de grandeur.

Ainsi soit il.

Zazaroyaume

Zaza appéciait cette ambiance divine règnant au choeur de la cathédrale ! Bientôt le père Otto viendrait leur conter louange aux cotés d'Ange et peut être même du diacre Lndil, tout comme il prècherait aux enfants d'Aristote la bonne parole et cela n' empêchaient pas les joyeux lurons de boulasser aussi discrètement qu'ils le pouvaient...

Pat, Nienna, se trouvaient à coté d'elle et c'est chaleureusement qu'elle répondit au signe de la main lançé par Shaz , alors qu'il venait d'arriver et de saluer Ange ! elle n'avait eu d'occasion d'aller le saluer lors de la cérémonie, elle tacherai de lui glisser deux mots à la sortie si d'aventure, elle ne s'était pas endormie... ; elle n'avait pu profiter que de Kal mais c'était déjà énorme, nombreux calins ils avaient partagés et elle était sur qu'il ne tarderai pas à la retrouver d'ailleurs, ayant sur elle à boire et le chien adorant se délecter de bière comme de calva...connaissant le vin de messe pour le trouver fade, il ne perdrait guère de temps à s'y tenter...

Sur ce, avec un sourire, elle s'installa confortablement sur le banc ; le père Otto venait de s'avancer vers eux et aussi de prendre la parole ! l'heure de la messe avait sonné !!!
Elle était heureuse pour Ange et espérait au fond d'elle que tout se passerait pour le mieux
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Ottobismarck

Voyant que la personne avait oublié d'enchaîner sur le je confesse, l'évêque s'avança et fit réciter la prière du pardon

Frères et Soeurs,

Avant d'entrer dans notre sainte célébration, reconnaissons que nous sommes pécheurs et demandons pardon à Dieu pour cela.

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Puis l'évêque se tourna vers Lndil pour lui faire signe de faire la lecture

Nefi

une fois de plus retardé par une urgence médicale elle arriva quelque peu en retard et se glissa discretement dans la cathédrale saluant d'un signe de tête et de son éternel sourir ses quelques connaissance elle se glissa dans la rangé dérrière sa capitaine.

elle lui murmura à l'oreille.

bonjour capitaine, auriez vous par hazard aperçu mes deux garnements ?
bonjour nathy.

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Auberge Amoreta

Elena7

Elle lui adressa un sourire en coin tout en lui rétorquant.

Ravie de faire votre connaissance Shazame, je vous souhaite également une très bonne messe. En espérant ne pas dormir..
Rajouta-t-elle à voix basse, tout en espérant que l'homme ne puisse guère comprendre la fin de ses propos.

Bon, elle avait enchaîné toutes les techniques de distraction, et hélas, elle ne savait plus trop quoi faire en attendant le début de la messe. Prier ? Groumpf, elle préférait dans l'intimité, et puis, encerclée de personnes, pas tellement son truc à la p'tite Dame. Elle continua donc à observer les personnes présentes, mettant un nom sur chaque minois. Elle reconnut, la Capitaine flanquée de sa petite famille, son amie Nienna accompagnée de la prévôt Zaza et de Messire Patcaf, ainsi que Lndil en tenue de Diacre. En tenue de Diacre ? Elle écarquilla les yeux, et le zieuta avec insistance, se frottant machinalement les yeux. Saperlipopette ! Pour une surprise, ça en était une. Elle lui accorda un sourire amusé lorsqu'il la devança pour rejoindre l'autel.

Une odeur particulière vint lui effleurer les narines, et c'est à l'affût, qu'elle chercha sa provenance. Une senteur de bois et de poil. Un chien ? Elle bascula son regard vers ses souliers et le vit arpenter le sol avec discrétion en direction de son maître, Shazame. Elle ravala un rire, et continua son observation. Elle aperçut l'ancien soldat s'emparer de deux fioles, terrées sous son mantel. Il lui proposa ensuite une petite gorgée de son nectar. Une petite soif ? Une grosse plutôt ! Depuis le levé du jour, la Juge n'avait pu étancher sa soif.

Une petite Soif ? Et comment !

Elle ponctua ses paroles d'un sourire malicieux, attrapa la fiole que l'homme lui tendait et porta le goulot à ses lèvres. Le précieux liquide gagna son palais et mourut dans son gosier sec. Intéressant et plutôt bon. Tout en lui rendant le flacon de verre à col étroit, elle se pencha pour lui murmurer.

Quel est le nom de ce breuvage ?

Curiosité quand tu nous tiens !
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« Peu importe l’étroitesse de la porte ou les punitions qui défilent. Je suis le maître de mon destin. Je suis le capitaine de mon âme. »

Nienna

Un peu essoufflée, Nienna repris sa place à côté de Zaza et Pat, ni vus ni connus. Heureusement que Pat avait entendu la voix du Père Otto !
Jetant un coup d'œil, elle aperçut que l'église s'était remplie. Repris discrètement une gorgée de calva. Cette épopée lui avait donnait une petite soif.

Lndil

Lndil était au coté d'Angedepolignac et vit d'autre personne arriver.
Erwyndylle et Elena passèrent devant lui sans le reconnaitre... les habits cérémoniels devaient beaucoup le changer.

La Capitaine aussi était là et il répondu à ses paroles, rajoutant à ce que sa collègue venait de dire.
Bonjour Ombeline ....
Oui effectivement il fait bien frais à l'intérieur. Ls murs bien de roches de la cathédrale en font un endroit plus qu'agréable.

Ombeline était partie s'installer avec son fils. Lndil guettait la place où s'était mise Erwyndyll quand il entendit Otto commencer la messe...
*bigre par où était il passer pour aller si vite ?*
En voulant rejoindre l'autel par le passage latéral, il vit Shazame avec Elena... et surtout reconnu sa Belle à sa chatoyante chevelure. Il s'arrêta derrière elle et lui glissa à l'oreille.
Heureux de te voir ici....
Puis il reprit son chemin après avoir déposé un léger baiser sur sa tête.

Il s'installe avec Ange dans la sacristie non loin de l'autel ou Otto avait donc débuté la cérémonie.
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Shazame

Enchantée Messire, mais je vous en prie, appelez moi simplement Elena.

Très aimable à vous...
Je me nomme Shazame, ancien soldat de l'OST !
Très bonne messe à vous.

Il passa devant la juge pour trouver une place à plusieurs centimètres de celle ci. Avant de prendre place, il fit un sourire au garnement qui le regardait fixement. Il irait les retrouver après l'office. Il lui avait promit un jouet qu'il désirait depuis longtemps. Enfin, sa mère avait déjà dû craquer pour le petit bonhomme. Enfin, il lui offrirait autre chose.
Il reprit sa place pour attendre le début de la cérémonie. Il regardait la femme à coté de lui en train de gesticuler sur place. Elle regardait les sculptures une à une... Shazame se disait en lui même : "Voila une bien drôle de femme en train de prier..."

Shazame était un homme pieu mais absolument pas patient. Il attendait avec impatience le début de la cérémonie religieuse. C’est à se moment là, que Kalagan fit son apparition. La petite boule de poil, était en position camouflage afin de ne point se faire repéré. Comme durant la guerre contre la Bretagne, le petit chien traversait les lignes ennemies, ici les bancs de l’église, avec une redoutable efficacité. Une fois à hauteur de Shazame, son maitre ne pouvait s’empêcher de récupérer son compagnon à quatre pattes. Discrètement, ce dernier demandait de quoi étancher sa soif. L’ancien Sénéchal était obligé de sortir discrètement deux fioles de son mantel. La première à destination de Kal et l’autre pour lui. Contrairement à beaucoup de religieux, il était très croyant au Saint Boulasse. Et boire, dans un tel lieu était d’après lui la plus belle communion. La femme à coté de lui continuait à gesticuler, l’impatience ; surement ; commençait à gagner son corps. Il lui proposa donc une petite gorgé pour tenir le coup. Le chien ne voulait absolument pas partager sa boisson.

Dam.. euh… Elena… Une petite soif ?

Elena7

Comme toujours, dans ces circonstances, la jeune femme ne savait que faire pendant les longs moments où les membres religieux étaient en mode "aphone". Ne tenant plus en place, elle s'amusait à zieuter les alentours, à contempler les statues, lâchant parfois des "ahhhh" ou des "ohhhh" lorsque l'envie lui prenait. Elle prenait même le loisir de froncer son nez aquilin quand elle détectait un défaut de fabrication. Elle trépignait sur le banc, aplatissant des plis inexistants souillant sa tenue de fonction, comptait les moutons - non pas pour dormir bien sûr-. Bref. Tous les moyens étaient bons pour la divertir un peu.

Elle était justement en train d'observer un genre de tableau représentant une silhouette, sûrement Aristote, lorsqu'elle sentit une présence près d'elle. Elle se demanda rapidement ce que cette scène représentait, mais elle préféra laisser cette interrogation pour pouvoir saluer l'homme qui avait pris place à ses côtés. Elena détailla son visage et ne sut mettre un nom à ce dernier. Fichtre, quelle gourde ! Elle se mordit l'intérieur de la bouche, et lui offrit néanmoins un sourire chaleureux avant de lui répondre.

Oh mais bien sûr, faites, faites.

D'un signe de la main, elle lui désigna la fameuse place, et continua dans sa lancée.

Enchantée Messire, mais je vous en prie, appelez moi simplement Elena.

Du coin de l'oeil, elle distingua une silhouette familière glisser vers la pénombre.
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« Peu importe l’étroitesse de la porte ou les punitions qui défilent. Je suis le maître de mon destin. Je suis le capitaine de mon âme. »

Patcaf

Du fond de la taverne, Patcaf entendit "AMEN",

Dites les filles, faudrait voir à se dépécher, j'ai entendu la voix d'Otto, qui disait "Amène-toi..."

Arrivèrent en nage à la cathédrale et prirent place sans être vus
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Ombeline

Ombeline contemplait toujours l’autel et la foule assise devant eux, quand des tiraillements sur sa manche l’intriguèrent. Elle baissa la tête pour découvrir la frimousse de Nathy, les yeux brillants et indiquant d’un geste l’ancien Sénéchal.

Ce dernier avait prit place aux côtés de la Juge ce qui étonna quelque peu la Baronne. Elle répondit toutefois à son salut et souffla quelques paroles au creux de l’oreille de son fils qui venait de lui poser une question. Elle ébouriffa la chevelure du garnement qui se réinstalla un peu plus contre sa mère. Monseigneur Otto entama l’office.
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Erwyndyll

Guère partante pour les activités religieuses quelle qu'elles soient, c'est avec une moue boudeuse qu'Erwyn entra dans l'église.
Elle aperçut sa fille, constata que toutes les places près d'elle étaient déjà occupée et regarda de droite et de gauche pour en trouver une autre.

Par bonheur, le fond de la chapelle était encore inoccupé. Elle s'y dirigea et s'installa le plus possible dans l'ombre, là où on ne pourrait la voir, là où il aurait été.

Shazame

Shazame pénétra à pas de loup dans la maison du Très haut. Le petit chien n'avait point le droit à un tel lieu. Telle était la loi du lieu. Kalagan n'en avait que faire. Il préférait de loin cette liberté afin de trouver un os à ronger durant la période où son maitre irait prier.

Le vieux soldat fit un rapide signe de croix à l'aide de la sainte eau. Le contact de la fraicheur des lieux avec l'eau porté à son visage le fit frémir quelque peu. Il se déplaça rapidement dans les grandes allées de la cathédrale. La messe allait bientôt commencé. Le père Otto était enfin arrivé.

Il salua les quelques personnes qu'il connaissait d'un signe de main. Zaza fut la première suivit d'Ombeline et du petit Baron. Il ne voulait pas troubler la petite famille d’Ytres en sortie. Il prit donc place à coté d'une personne qu'il ne connaissait seulement par sa Fonction. La juge d'Artois.

Il baissa la tête en sa direction.
Noble dame, Juge... Permettez vous que je prenne place dans cette rangé?

Elena7

Elle était de mauvaise humeur, de très mauvaise humeur.
Une humeur qui l'avait assaillie quelques heures auparavant dans son tribunal, quand un laquais avait osé la déranger alors qu'elle était en train de farfouiller dans ses parchemins à la recherche de sa fichue perruque qui s'y était terrée, on ne sait comment. Rah fichue perruque ! Enfin, s'il n'y avait eu que sa perruque... Mais non, il avait fallu qu'elle reçoive un annonce qui stipulait qu'un de ses procès avait été déposé à la Cour d'Appel. Et un procès à deux écus en plus, quelle barbe ! Enfin bon soit, on lui avait toujours dit que les vermines collaient souvent aux souliers. Elle en avait la preuve sous son nez et sous sa chaussure. De toute façon, elle savait qu'elle avait été trop gentille ; elle aurait du brûler l'accusée telle la pucelle d'Orléans. Ah et tiens, au moins, les flammes flamboyantes auraient servi à réchauffer l'atmosphère austère qui avait plongé la capitale dans sa tristesse. Comme quoi, tout bon feu a ses avantages.

Un tintement de cloches l'expulsa de ses songes machiavéliques, et elle secoua la tête de gauche à droite, dans un mouvement de cheveux épique, lui rappelant subitement que l'heure de la Messe avait sonné. Elle n'était pas très fan de ce genre de cérémonie, mais ayant les nerfs à vifs, une bonne dose d'Aristotélisme lui ferait le plus grand bien. A cet instant, elle avait besoin d'être dans un calme absolu, où seules les douces paroles religieuses la berceraient. Elle n'eut guère le loisir, et surtout le temps, de se vêtir autrement que de sa robe de Juge, mais elle oublia accidentellement - bien sûr- sa perruque de fonction. L'habit traditionnel était une toilette qui n'embrassait pas à la perfection les courbes de sa silhouette et qui était plutôt terne. Seulement quelques petites touches blanchâtres éclairaient celui-ci, mais cet éclaircissement se faisait rare. L’étoffe devait garder un air stricte et droit. Une cape du même ton avait été jetée sur ses épaules où de la fourrure était brodée à l’intérieur afin de la protéger du froid.

La Dame s'éclipsa donc de la pénombre de son tribunal pour rejoindre les ruelles bondées de populace, où une délicieuse odeur de bruine y régnait toujours. Quand elle fut assez près pour distinguer la silhouette de la Cathédrale Artésienne, elle pressa le pas, essayant tant bien que mal à ne pas se mêler les pieds dans sa cape en laine. Manquerait plus qu'elle échoue dans une flaque d'eau ! Elle parvint néanmoins aux marches du bâtiment religieux avec réussite, et c'est avec un sourire soulevant les commissures de ses lèvres rosées, qu'elle les gravit et s'engouffra dans la chaleur réconfortante des cierges. Sa main nue effleura légèrement l'eau du bénitier pour l'humecter, fit discrètement le signe de croix et rabattit la capuche de son habit sur ses épaules. Ses prunelles lagon scrutèrent la maigre foule qui s'était regroupée sur les bancs de la nef. Elle y reconnut quelques minois, qu'elle salua d'un signe de tête poli accompagné d'un sourire. La Juge arpenta ensuite la Cathédrale noyée dans une sérénité évidente, et prit place pendant que la grande célébration débutait.
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« Peu importe l’étroitesse de la porte ou les punitions qui défilent. Je suis le maître de mon destin. Je suis le capitaine de mon âme. »

Ombeline

Elle hocha la tête suite aux dires d'Ange, et pénétra d'un pas serein dans la Cathédrale. L'odeur particulière du lieu saint, ramena vers elle moult de souvenirs ... l'odeur de bois ciré, la fumée des cierges et les fumigations de l’encens.... Elle délassa légèrement son manteau pourpre, laissant entrevoir une robe olivine puis la jeune Baronne s'approcha du bénitier, y trempa la main. Elle fit son signe de croix tout en mettant un genou en terre pour saluer respectueusement le Très Haut. Son fils l’imita.

Elle se releva et prit la direction de l’allée centrale. Ses chausses silencieuses frôlèrent les dalles de pierre blanche quand elle s'approcha près du banc qui semblait être le quartier général du guet. Elle salua discrètement Zaza et ses comparses puis entraina son fils, et le vieux coursier sur un des bancs libres non loin du groupe. Elle contempla l’autel, la nef, les statues autour d’elle. Les cierges ornant le lieu saint scintillaient, donnant un peu de chaleur car comme l’avait effectivement dit la diaconesse, il faisait bien plus frais à l’intérieur que sur la place du marché.
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Shazame

Shazame avait quitté sa forge de Cambrai très tôt le matin. Il prit la route alors que l’aube pointait lentement le bout de son nez. Sa prochaine commande était presque terminée. L’épée qu’il devait fournir à un riche marchand de passage était enfin terminée. La commande était quelque peu spéciale, il voulait en effet encastrer quelques pierres précieuses dans la garde de l’épée. Encore une épée d’appart se dit le vieux soldat. Elle n’ira pas trancher quelques têtes et sectionner quelques membres… Ba ! Le commerce, c’est le commerce.

Il prit donc son cheval, un cadeau de départ de son ancienne fonction de Sénéchal de l’OST. Un petit privilège qu’il avait gardé. Il serait rapidement à la capitale pour la grande messe dominicale. Depuis son retour, il n’avait pas assisté à cela depuis longtemps. Il était toujours bon de prier pour reposer son âme. C’est donc très tôt qu’il arriva à Arras. Il prit soin de faire garder son animal dans la plus belle écurie. Le destrier avait besoin de refaire ses fers, et il n’y avait pas meilleur endroit pour cela.

Il se rendit donc à la cathédral avec pour seule compagnie son chien, Kal.Il fit un détour à l’une des boucheries du marché. Le pauvre compagnon à quatre pattes n’avait pas encore mangé. Pendant ce temps, Shaz respirait les odeurs du marché.

Shaz se présentât devant la cathédrale.

Bonjour à vous ! Cela n’a pas encore commencé ! Je suis rassuré.

Ottobismarck

HRP : désolé j'ai eu un imprévu...

Le père Otto entra en procession dans la cathédrale suivi du clergé Artésien. Il entra dans le choeur pour ouvrir la grande célébration autour du siège de l'évêque, la cathèdre. Une fois devant l'autel, l'évêque fit débuter la grande prière de toute l'Eglise autour de la Sainte Messe

Le Seigneur soit avec vous !

Et avec vous

Prions !

En ce jours Seigneur où nous nous rappelons le sacrifice de ton serviteur Christos et l'Enseignement de ton prophète Aristote, daigne reconnaître l'humilité du peuple de Dieu qui marche vers toi.

L'Artois dans sa grande piété est aujourd'hui rassemblée pour louer ton nom. Garde la et conduis la sur le chemin de la vérité.

Par Jeshus Christos et Aristote nos prophètes, maintenant et pour des siècles et des sicèles. AMEN

Le père Otto se tourna vers le clerc en charge de la confession

Nienna

Esquissa un sourire en réponse au baise-main de Lindl, se dit qu'elle l'avait déjà vu quelque part mais où ? Le suis un moment du regard tout en réfléchissant.
Puis entendant Pat, se lève prête à le suivre, un peu inquiète quand même de ne pas voir le Père Otto arriver.

Je te suis Pat. Bonne idée de mettre cette taverne en face !! Mais dis moi tu ne trouves pas bizarre qu'Otto soit pas là ?

Patcaf

Pat était ulcéré,, comment quelqu'un en principe clairvoyant comme Lndil avait t'il pu croire qu'on confondrait messe et beuverie?
Mais c'est qu'il nous suspecterait de boire? Pourquoi pas d'être alcoolos tant qu'on y est.
Il lui cria de loin:

Cher Lndil, nous ne buvons pas, nous ne faisons qu'étancher notre soif, est-ce de notre faute si Aristote fait que nous avons toujours soif!

Il sentait Zaza blessée par cette remarque, Omby, Nadj étaient près d'elle pour la réconforter. De là où il était il voyait sa frêle silhouette secouée par les sanglots.

S'adressant aux autres filles:

Venez nous allons laver cet affront au Père Naud à la taverne en face (c'est pas nous qui avons mis une taverne juste là, presque sur les marches de la cathédrale, non?) Nous reviendrons dès qu'Ange nous fera signe
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Angedepolignac

Ange toujours à l'entrée, salua un homme qu'elle n'avait encore jamais rencontrée d'une signe de tête et d'un sourire . Le laissant entré, elle tourna de nouveau son regard vers le parvis et fut surprise de l'arrivée de Nie qui n'était pas censer se trouver la ce jour . Elle la bisouilla et écouta attentivement ce qu'elle lui chuchota .

Pourquoi te glisser incognito ma poule ? Du calva ? Heu ... essaie de trouver Zaza, il me semble qu'elle en a ^^ .

Ange pouffa de rire en repensant au soirée passer avec elle à Péronne . Au bout de quelques minutes, un écho se fit entendre à l'extérieur, un écho qui venait tout droit de l'intérieur de la Cathédrale . Elle entra quelques instant, cherchant qui avait bien put parler aussi fort et ne trouva pas . Haussant les épaules, elle retourna de nouveau dehors .

Les minutes défilèrent quand au bout d'un moment le frère Lndil se mit à ses côtés .

Les fidèles je ne sais pas ... je voudrais bien le savoir aussi pour aller les chercher . ^^ Un banquet ? Ha peut être je sais pas, En tout cas pas au courant non plus .

A peine avait-elle finit sa phrase qu'Ombeline se montra devant eux .

Bonjour Ombeline ! Oui, il fait encore bien chaud . Mais l'air de la Cathédrale est assez fraîche, sa fait un bien fou . Lui dit-elle en souriant .

Puis vint a se moment, sa poulette Nadj . Elle la salua vite fait vu qu'apparement elle était presser d'entrée pour se recueillir et assister à la grand messe .

Nadjine

Nadjine arriva juste à l'heure à la messe. Comme d'habitude, mais en plus, cette fois elle était dans la grande cathédrale d'Artois.

Elle vit Omby et Ange se saluer à la porte, les salua discrètement puis rejoignis une rangée de banc.

Elle s'installa et ferma les yeux. Elle adorait ces lieux, non pas pour leur religiosité mais la sérénité que ces vieilles pierres imposaient. C'était un moment le calme plat et de douceur, qui lui permettait de faire son introspection personnelle, pour repartir sous de bonne base et ressourcer sa force et son optimise.
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calaisienne insoumise et libre dans l'âme

Zazaroyaume

Elle rigolait et aait déjà les joues rosies et c'est alors qu'elle paerçut Lndil remonter les bancs dans leur direction ; il vint les saluer et lui rendit la bise et sourit à ces propos..

c'est pas une beuverie...on m'aurait menti ^^ah bon ? heureusement on connait bien Ange et elle saura vanter nos bonnes graces à Aristote !! hihi pitié qu'il nous pardonne...nous restons des oies fidèles

Regarda Pat et lui sourit

hein ! bah aide moi toi ^^

Elle laissa Lndil continuer son chemin vers Ange et Ombeline arriva dans l'entrefait ; elle lui fit un signe et Nadj passa la porte à son tour...elle lui montra discrètement sa bouteille en espérant voir la belle les rejoindre et venir trinquer au nom de la boulasse divine...
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Ombeline

Ombeline était arrivée la veille avec toute sa petite escouade et s’était installé dans l’une des auberges de la capitale. De bonne heure, elle avait pris route vers le marché, tenant son fils parla main. Ses joues avaient prit de la couleur sans doute du à sa démarche rapide et l’air si hum « vivifiant » de la Capitale. Le marché était déjà bien installé, et la foule n’avait pas été échaudée par la pluie fine matinale dont les gouttes ruisselaient sur les tentes et bâches faîtes à la va vite des étals. Quelques chiens errants lapent les mares de sang provenant des étals des bouchers donnant un rictus de dégoût à Nathanaël. L’air était lourd. Fort heureusement, la pluie avait cessé et ils purent sans peine naviguer dans les allées, tout en évitant quelques flaques d’eau, et jetant quelques coups d’œil sur les divers stands. La Baronne d’Ytres avait finalement acheté une étoffe bleue et un petit soldat de bois pour son enfant. Elle aurait bien poursuivit ses emplettes, car il était rare qu’elle s’accorde du temps d’ailleurs à tel oisiveté mais déjà les cloches de la grandes cathédrale résonnèrent, lui rappelant l’une des raisons de sa venue en la Capitale. Elle rangea ses emplettes dans un sac et l’escouade prit la direction de la cathédrale.

La grande porte en chêne était grande ouverte. La diaconesse Angedepolignac accueillait les fidèles qui peu à peu s’engouffraient à l’intérieur. Ombeline ne la connaissait que par le guet, la regarda quelque peu hésitante, s’interrogeant sur la manière de la saluer … par son prénom, son titre …. Flute, elle aurait du se renseigner auparavant. Tandis qu’elle gravit les marches, Nathy et Rufus sur les talons, elle aperçut Lndil rejoindre Ange. Il arborait le même genre de tenue que la diaconesse. Ah tiens, il était de la partie aussi …. Ah, oui, il est vrai, il est diacre, se rappela-t-elle tout à coup. Arrivés à leur hauteur, ils les saluèrent... les deux hommes eux d’un hochement de tête tandis qu’Ombeline s’adressa directement à eux.

Bonjour.
Le temps est bien lourd, j’espère que cela ne repoussera point les fidèles.
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Zazaroyaume

Zaza sourit à Pat et lui souffla

cela ne m'étonnerait pas , surtout si il est venu avec sa pelle ^^

Elle profitait pour admirer les vitraux multicolores retraçant l'histoire d'antant et sirotait par petite lampée le bon calva qu'elle avait apporté

Tiens Pat ! en attendant, nourrit ton gosier ^^
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Nienna

Patcaf a écrit:

Merci les filles mais j'ai des provisions, Nienna pour la léchouille, je sens le pâté?

Rit et alla lui faire une léchouille parfumée au calva.

Meuh nan, quoique atta...

Commença à le renifler quand soudain un hurlement la fit sursauter

COMMENCEZ, COMMENCEZ, REMBOURSEZ, REMBOURSEZ ....

Se retourna et essaya de voir qui c'était.

Patcaf

Vous me donnez une idée on invente le" fioloupelet", c'est comme un chapelet mais au lieu des petites boules on met des petites fioles et après chaque prière un p'tit coup où ça fait du bien.
A la fin si tu as bien prié, t'es bourré...

En attendant, ça commence à se faire longuet!
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Lndil

Lndil avait finit de s'habiller... il sortie de la pièce et se dirigea vers l'entrée pour tenir compagnie à Angedepolignac...
En remontant l'allée central, il aperçut la silhouette de plusieurs personnes.
En s'approchant encore davantage, il vit que c'était Zaza et Pat ainsi qu'une autre dame.
Bonjour à vous...
Fit la bise à Zaza pour ensuite faire un baise main à la dame présente.
Serra la main de Patcaf.
Il lorgna sur l'un et l'autre...
Dite, c'est messe hein... pas une cérémonie de beuverie...

Se mit à coté d'Angedepolignac.
Dite moi chère consœur... où sont donc nos fidèles ?
Y avait il un grand banquet que nous aurions loupé hier soir ?
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Zazaroyaume

Zaza la bisouta et se marra

je savais que je pouvais compter sur toi ^^

j'espère que la messe durera longtemps ^^ qu'on profite de tout vider par amour pour Aristote ^^

Elle passa la bouteille à Pat qui lorgnait dessus
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Patcaf

Merci les filles mais j'ai des provisions, Nienna pour la léchouille, je sens le pâté?

Les poches de ses braies étaient garnies de fioles de Père Naud, Calva et autre Clarette.
Ils attendaient le début de la cérémonie! Derrière eux un hurlement retentit

COMMENCEZ, COMMENCEZ, REMBOURSEZ, REMBOURSEZ ....

Pat s'approcha de Zaza... et lui chuchota

c'est pas la voix de Nico que je viens d'entendre?
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Zazaroyaume

Pat avait rejoint Zaza et ils discutèrent ...enfin picolèrent discrètement avant que tout le grand monde arrive ! alors qu'ils se marraient tranquilou ! ils aperçurent Nienna et sourièrent !

Discrètement alors que la belle regardait dans leur direction après avoir bisouillée Ange, elle lui montra une chopotte et la glissa vite fait sous sa robe ^^ hihi

Elle espérait qu'elle viendrait vite les rejoindre et ils continueraient leur boulasse à trois !!
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Nienna

Jetant un coup d'oeil alentour, elle aperçut Zaza et Pat plus loin qui lui souriaient, et Zaza lui montrait vite fait une .... héhé.
Leur fit un clin d'œil et s'empressa d'aller les rejoindre le plus discrètement possible, se faufilant entre le peu de personnes présentes. Presque que des gens du guêt !

Les bisouilla et s'installa près d'eux, posant sa besace entre elle et Zaza.

Pssssttt, j'ai une petite flasque de calva dedans au cas où lui chuchota-t-elle à l'oreille. Sourit.

Lokmar

Lokmar se rendit à la messe. Curieux de savoir comment tout cela pouvait bien se dérouler.

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Pour l'Artois !

Nienna

Modification d'emploi du temps suite à unrefus de LP, Nienna décida de se rendre à cette messe pour y assister et observer. Elle n'avait pas encore l'habitude de tels évènements et préférait rester spectatrice.

Elle arriva donc et bisouilla Ange avant d'entrer, lui glissant à l'oreille

Désolée, pas eu le temps de prévenir que mon voyage était annulé. Je me glisse incognito hein ? Au fait, y'a du calva ??

Puis se glissa à la suite des autres dans l'église et se choisit une place au fond comme à son habitude.

Lndil

Lndil marchait en direction de la cathédrale quand il entendit les cloches commencer à sonner. Il pressa alors le pas...
En arrivant à la hauteur de la place de la Cathédrale, il vit de loin Angedepolignac qui attendait sur le parvis. Elle avait déjà ouvert les portes.

Lndil passa alors pas une porte en arrière du batiment, au niveau de la nef car il n'était pas du tout habillé.
Croisant le sacristain, il le salua...

Il mis ensuite sa tenue de diacre car il avait décidé de reprendre du service...
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Patcaf

Se précipita vers Ange qui était en train de bizouiller Zaza. Ange semblait tendue, prête à lâcher les burettes... Décida de la détendre avec de petites phrases pleines de finesse

Alors, ma vieille, pas encore à poil ?

Ange était génée, de toute façon dans l'assistance, nombreux étaient ceux qui l'avaient vue danser en taverne et très petite tenue...

Pt'et pas mal une trempette dans le vin de messe, faudrait essayer...

Vous faites pareil qu'au château dans la sacristie?

Allez on te laisse on va s'asseoir là bas! Allons saluer Lndil en passant
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Angedepolignac

Ange patienter devant la porte d'entrée de la Cathédrales quand elle vit arriver Zaza . Elle l'accueillit avec un grand sourire et lui dit :

Bonjour ma Zaza ! Oui je vais bien et toi ? Héhé préparer comme un grand chef si on veut, je prépare comme à l'habitude . Merci à toi d'être venue sa fait plaisir de voir le guet présent ! Oui vas t'asseoir on se verra plus tard .

Ange écouta attentivement ce que Zaza lui dit dans le creux de l'oreille . Et se retint de rire .

Oki Zaza, dans ce cas on se revoit après la messe hein !!!!

Au moment où elle dit ça à Zaza elle aperçut Lndil de loin, qui discrètement se dirigeait vers la porte arrière de la Cathédrale . Delà tournant la tête de nouveau vers le parvis, Ange aperçut le Pat arriver à grande vitesse vers elle . Sur le coup elle se dit qu'il devait avoir pas mal de pêcher à se faire pardonner pour se précipiter à la messe . Une fois devant-elle, il lui sortit du ma vieille et la elle le regarda avec des gros yeux .

Ma vieille !!!!???? Bo dit toi, suis pas vieille moi , namého !!!
Fait attention hein, tu vas être punit de Père Naud je le sens .
Et non comme tu vois je suis habillée ^^. Une trempette dans le vin de messe ? Heu oui si tu le dit . Ange se retint de rire . Heu non on fait pas ça ici rhooo voyons Pâte à choux . Héhé . Oki aller vous asseoir et soyez sage hein . La messe ne devrait plus tarder à commencer .

Ange se pencha à l'oreille de Pat et lui chuchota

Merci d'être venue, je te ramènerais un méga tonneau de Père Naud directement à ton bureau , y sera rien que pour toi !

Le laissant entrée avec Zaza, elle continua d'attendre l'arrivée d'autres fidèles .

Zazaroyaume

Zaza se balladait, se lanquissant de n'avoir son mari à ses cotés...c'était bien dur mais elle avait beaucoup de travail heureusement, cela l'aidait à ne pas trop y penser, aussi elle prenait alors du temps pour se détendre...

Une odeur alléchante vint lui chatouiller les narines et c'est tout naturellement qu'elle se dirigea, humant de-ci de-là les odeurs de vins...

Elle réagit tout à coup ! mais oui ! mais c'est bien sur !! c'est Ange qui doit préparer sa messe...elle lui en avait touché deux mots alors qu'elles se baignaient dans des futs de bière frelatée au guet ^^ elle sourit en y songeant !

Doucement elle approcha de la grande cathédrale, toujours aussi superbe et aperçut la silhouette d'Ange au loin ! elle attendait surement les premiers fidèles !! quelle bonne idée avait elle eu en se montrant ainsi à la porte pour tous les accueillir...on reconnaissait là déjà le grand coeur d'Ange et son attention à tous !

Zaza se dirigea donc rapidement afin d'aller lui faire un gros bisous et l'encourager ; ce devait surement être un grand jour pour la diaconesse, une grande messe avec tout le gratin du clergé ^vavavoum !! Zaza était très impressionnée car Ange était d'une maitrise à toute épreuve et ne laissait rien voir de son angoisse, si celle-ci éxistait !

Elle lui sourit et lui souffla

Coucou ma belle ! j'espère que tu vas bien ! je vois que tu as préparé tout avec soin comme un grand chef !! mes félicitations !! plein de courage pour ta messe ma jolie !! je suis de tout coeur avec toi !!

Les cloches retentissaient !!

Bon je vais vite aller m'installer et j'ai hate de te voir commencer

tsssss ^^ j'ai papporté du calva et du Père naud pour la fin de messe

Elle lui fit un clin d'oeil et se faufila à l'intérieur en rigolant
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Angedepolignac

Ange arriva de bonne heure ce matin là pour préparer la grande messe . Pratiquement tout le clergé d'Artois aller être là . Ils espéraient y voir beaucoup de monde . Cette messe était pour leur montrer l'attachement que tout le clergé avait pour l'Artois .

La Diaconesse entra donc dans la Cathédrale d'Artois, elle se signa et s'avança vers l'autel . Le temps à l'extérieur était assez maussade, mais la chaleur des derniers jours faisait que l'air étant encore étouffant . La fraîcheur de la Cathédrale était un bon moyen d'attirer les fidèles jusqu'ici .

Arriver devant l'autel, Ange se mit à préparer, avant l'arrivée des fidèles, les éléments cérémonials pour la grande messe de ce jour . Elle remplit la calice de vin sacrée et déposa la saint hostie dans la patène . La diaconesse envoya ensuite le sacristain faire sonner les cloches pour appeler les fidèles .

Pendant ce temps, elle se dirigea vers la porte et devant l'entrée attendit l'arrivée des fidèles pour les saluer et les accueillir .

Ottobismarck

Citation:

A tous les fidèles d'Artois,
Aux prêtres et diacres du diocèse,

Salut et bénédiction dans le Seigneur.

Nous, Mgr Otto Bismarck de Châtelet, évêque émérite d'Orléans, Vicaire Général de l'archidiocèse de Cambrai, en vertu des pouvoirs qui me sont conférés par Son Eminence Révérendissime Vincent Diftain,

Nommons par la présente le frère Carbonnel, diacre de Péronne, chargé de mission pour le diocèse. Celui-ci exercera de façon temporaire la charge de "responsable des relations avec le clergé" en vue de rendre compte précisément de la situation religieuse dans notre secteur. Aussi au terme de la mission confiée par Nous, il devra présenter un rapport précis sur l'activité pastorale dans chaque paroisse de sorte à pouvoir corriger les manquements éventuels.

Dans le cadre de ses attributions, il sera amené à visiter chaque paroisse et y rencontrer non seulement les clercs présents mais aussi les autorités afin de connaître leur sentiment sur l'activité de l'Eglise locale.

Nous prions dès lors l'ensemble des fidèles à faciliter le succès de cette mission pour pouvoir réorganiser au mieux l'activité du clergé dans le diocèse.

Que le Seigneur vienne en aide au frère Carbonnel,

Ad majorem Dei gloriam.

Fait à Cambrai, le 17 juillet de l'an de Grâce 1457.

Pour S.E. Vincent Diftain,

Mgr Otto Bismarck, Vicaire Général du diocèse de Cambrai

Ottobismarck

Citation:

A tous les fidèles d'Artois,

Salut et bénédiction dans le Seigneur.

Nous, Mgr Otto Bismarck de Châtelet, évêque émérite d'Orléans, Vicaire Général de l'archidiocèse de Cambrai, en vertu des pouvoirs qui me sont conférés par Son Eminence Révérendissime Vincent Diftain,

Nommons par la présente le frère Lndil, diacre d'Arras.

Nous prions l'ensemble des fidèles d'accompagner le nouveau ministre de l'Eglise dans la difficile tâche qui l'attend.

Que le Seigneur vienne en aide au frère Lndil,

Ad majorem Dei gloriam.

Fait à Cambrai, le 01 août de l'an de Grâce 1457.

Pour S.E. Vincent Diftain,

Mgr Otto Bismarck, Vicaire Général du diocèse de Cambrai

Bluejagd

Yan.de.kerch a écrit:

Citation:

La tolérance envers l’hérésie : vertu ou faiblesse ?
Texte destiné à l'universalité des fidèles et aux évêques de l'aristotélisme.

La tolérance, c’est reconnaître implicitement et tacitement l’erreur sous des prétextes
humanistes. Ceux qui se complaisent dans la tolérance le font par indécision ou faiblesse !

La vocation de l’homme vertueux, de l’homme de foi ou de l’homme du monde n’est-il pas
de lutter contre l’erreur et la perversion morale, et non de s’en accommoder ou de la tolérer ?
Tolérer, c’est accepter, ou selon l’étymon, endurer et supporter, une croyance que l’on sait
être fausse. Est-il vertueux de laisser son prochain se complaire dans une foi erronée ?

La tolérance est une fausse vertu pour ceux qui l’utilisent mal à propos, car elle n’est
bienveillante et vertueuse que dans un seul cas : celle où elle est exprimée entre fidèles et
imprégnée de l’amitié aristotélicienne. Dans les autres, elle n’est que dédain et cynisme.

La tolérance est la vertu des faibles quand ceux-ci l’expriment envers les hérétiques. Ils
tolèrent l’erreur, l’insulte et l’outrage sous le prétexte fallacieux de l’amitié aristotélicienne
et de « l’amour divin en l’homme », quel qu’il soit. Trop timorés pour prendre position, ou
envahis par une idée fétide d’amitié universelle, ils se complaisent dans cette idée.

Le fidèle qui tolère une liberté de culte ou de croyance et qui se trouve à la tête d’un
gouvernement commet là deux crimes : l’un envers son peuple, et l’autre envers Dieu. Le
premier est qu’il maintient délibérément et tacitement une partie de la communauté dans
l’ignorance et l’erreur de façon cynique, mais surtout dans une destinée qui la mènera
inexorablement aux portes de l’enfer sélénite. Le second est qu’il accepte que le Père
universel auquel il croit et qu’il aime soit injurié et bafoué par une partie de son peuple. Et
sous quel prétexte ? Celui du libre arbitre ou de la liberté de for ? Comment l’homme peut-il
penser que le libre arbitre puisse dédouaner un homme d’outrage envers le Ciel ?

La politique du Malin n’est-elle pas de plaider en faveur d’une tolérance infinie et universelle
entre toutes les créatures humaines ? Car il sait que sans lutte, cette tolérance permettra de
gagner un peu plus de terrain chaque jour dans le cœur des esprits faibles ou indécis.

La perversion de la bête sans nom gagne d’ailleurs le cœurs de tous les hommes, quels qu’il
soient. Même si les clercs sont sans doute ceux qui sont les mieux prémunis pour s’y opposer,
ils n’en sont pas pour autant immunisés. Voilà pourquoi certain prélat se laissent tenter par un
discours que nous jugerions déviant.

L’une des vertus aristotéliciennes majeures est la tempérance, non la tolérance. Une religion
qui tolère les autres ne songe guère à la propagation de sa Foi et de sa Vérité. En outre
critiquer le magistère spirituel de l’Eglise et ses actions incitant à la conversion sous le
prétexte qu’Elle étouffe les libertés, c’est pécher contre Dieu et l’humanité pour les raisons
que nous avons déjà évoquées, à savoir, laisser en connaissance le peuple ou l’hérétique dans
l’ignorance et l’erreur. Ceux qui font de la tolérance universelle leur credo sont sur le chemin
de l’apostasie.

D’aucuns se questionneront sur une tolérance tacite qu’impose certain concordat au sein de
comtés, voire de royaumes ; l’Eglise n’agit là que par calcul et raison. Faisons d’ailleurs
allusion à notre discours prononcé en août MCDLVI où nous disions que « la créature sans
nom est sans cesse à notre porte, et que la peur engendrée par les guerres, fussent-elles
saintes, est de son entreprise » et que nous devions lutter « contre cette peur avant que
d’imposer une image sublimée de la cité idéale entrevue par le prophète. La précipitation
de sa mise en place annihilant tous les espoirs futurs de la voir naître éclatante ». Toujours
valable, ce raisonnement nous pousse parfois à tolérer, non par lâcheté mais avec raison, une
hérésie afin de mieux avancer, et de rendre la Vraie Foi toujours plus grande, toujours plus
accessible et son règne plus éclatant encore.

Vice ou vertu, la tolérance l’est selon l’état d’esprit dans lequel l’on s’exprime et agit ; mais
soyons clair, il s’agit d’un vice lorsqu’on immole le triomphe de la Vraie Foi sur l’autel de la
tolérance. La tolérance n’est vertueuse que lorsqu’elle ne contrevient pas aux lois divines et
prophétiques.

Aaron de Nagan, Cardinal.
Le VIII mars de l'an MCDLVII, jour de la Bienheureux Norv.

Que de justes paroles....

Waddle66

bonjour je voudrais savoir a qui s'adresser pour proposer des divertissement pour le comte s'il vous plait merci

Damefrenegonde

Tu n'es pas au bon endroit.
Vas sur le chateau d'arras au cabinet des divertissements (CAB) ou alors sur la gargote de ta ville tu dois avoir un topic concernant ce sujet (bureau des animations ou du CAB)

_________________

Enylesor

De passage, Eny, ne pouvait s'empêcher de "entrer", en une église.....
Elle gardait en mémoire son Baptème quelques-temps plus tôt..
Que de souvenirs, en franchissant les portes....... La nef, si jolie!

Se rapprocha, se mit à genoux sur un "Prie-Dieu", pencha la tête et récita la Prière apprise........... Le Crédo.

Le calme de la Batisse respirait la Plénitude du moment.
Elle était heureuse, elle savait son Fils en sécurité, et elle, allait accomplir ce pourquoi, elle avait choisit de Vivre.
Elle demanda de lui pardonner tout ce qui pourrait arriver. Mais la Vie était tellement bizarre.

Se leva, et pris le chemin de sa destinée..............
_________________
FSF = Vrij Leven - Zo Blijven -

pnj

Citation:

Alexius

Alexandre sentait la douce chaleur émanant du contact de sa main avec celle de la douce mairesse de Péronne.
Le jeune homme sourit. Il observa la belle d'un regard en coin et admira sa posture, droite et fière...
Décidément, la plus belle dame d'Artois se tenait bel et bien à ses côtés pour cette messe. Ils formaient le couple le plus improbable d'Artois...
La mairesse de Péronne, nièce du comte d'Artois et le descendant de Champenois et de Normands... Une union qui provoquerait à coup sûr beaucoup de remous.

Alex serra plus fort la main de la douce Florence et pria:

Aristote notre père à tous,
Pardonnes-moi mes pêchers et permets-moi d'aimer et de me faire aimer sans entraves.
Je supplie tous les saints, et particulièrement sainte Boulasse, de nous permettre de surmonter nos malheurs.
Que le Très Haut entende ma prière, puisse-t-elle être accordée.

Il se redressa un peu et jeta un regard plein de tendresse versFlorence, un regard d'excuse pour ce qu'il lui infligeait, un regard d'amour pour ce qu'il ressentait...

Mun

S’est lorsqu’il vit la personne s’avancer baissant son capuchon, qui lui cachait la moitié du visage que Mun le reconnu.
Son air triste, les épaules abattues se dirigeant vers l’autel.
Fihafihafiha, un ami de longue date si loin d Lorraine se promettant de le rencontrer dés la messe terminée.

Un prêtre que Mun ne connaissait se déplaça devant l’autel
Afin de nous faire pardonner de nos péchés, Prions ensemble, et
Confessons nous en recitant après moi pour ceux et celles qui maîtrisent le latin:

Il avait l’air inquiet était se son premier office
Entendant les paroles en latin, un sourire éclaira le visage de Mun remerciant intérieurement son professeur, ami et supérieur. Le Préfet des Vidames son Eminence Kad qui lui avait appris les rudiments, à cet un instant une pensée parti vers lui souffrant de la maladie qui le tenait loin de la citadelle.

Le Premier Maréchal s’agenouilla baissant la tête joignant les mains.
Confiteor deo omnipotenti
Et ommes sanctis et yobis fratres
Quam peccayi nimis cogitatione
Mea culpa Mea culpa Mea maxima culpa
Ideo precor omnes sanctos et vos fratres
Orare pro me ad dominim deum nostrumtres

Certain que l’accent n’y était pas ce que bon nombre de fois Kad lui avait bien souvent reproché. Mais quel belle occasion que de le remercier de cette manière.

pnj

[RP ouvert à tous]

4h du matin ...

C'était dans un état de solitude extrême que les pas de Stellie l'amenèrent devant la cathédrale, comme d'habitude des frissons envahirent le corps de la belle, suivie d'une douleur dans son âme...
Une chaleur écrasante qui la força à courber l'échine et à gémir, c'était le pouvoir de la foi.

Pitié...

Elle leva ses yeux et avait l'impression que toute les gargouilles la regardaient avec haine ou pitié c'était des mélanges d'émotions qui tourmentaient la marquise. La tête lourde et chancelante, son cœur qui explosait sous la torture, il le fallait cette nuit...

Elle avança vers l'édifice comme si elle lutait contre des forces invisibles qui l'en empêchait, mais le courage de la jeune femme était de fer, il fallait qu'elle LUI parle il fallait régler les comptes....

Un grincement de porte, et la voilà à l'intérieur, éclairée par les faibles lueur des cierges, douces couleurs jouant sur sa peau, douces lueurs courant vers la nuit sombre, douces flammes des âmes qui la sentait avancée dans ce lieu saint. Elle ! Marquise de Blain, cette femme qui avait vendu son âme au sans nom le jour de la mort de ses enfants... Les statues suivant son chemin de croix, d'un regard inquisiteur.

La pauvre Stellie rampait maintenant à genoux écrasée par la force du très haut, chaque avancée était une épreuve mentale, il fallait qu'elle puise au plus profond de son esprit pour y arrivé. Alors elle s'accrocha à ses souvenirs, elle repensa aux derniers mois avec Papes son compagnon, la possibilité d'un avenir...Elle repensa à ses amis qui ne l'avait pas jugé malgré ses caprices et son instabilité...luxure...orgueil....mensonges...Chaque avancée donnait lieu à des images par flash, sa tête lui tourné et son ventre était rempli de spasmes.

Elle arriva enfin devant l'autel et avec courage regarda au centre, se sachant seule, elle prit la parole avec haine et rage.

Pourquoi me rendre la vie ? Hein !
si c'est pour me faire vivre tout ceci ?
à quoi bon ?

*commence à sangloter*

Au départ figures toi je pensais que c'était pour me rendre plus forte mais ton sadisme à t'acharner sur moi m'a rendu folle !

Pourquoi ? alors que j'ai mis des mois à accepter le baptême et que j'ai ensuite suivi ta voie, en étant une épouse fidèle et une mère modèle, mais tu m'as abandonné et enlever un par un mes cinq enfants ! si ce n'est pas là de l'acharnement !

*s'effondre en larmes*

Je t'ai renié le jour même où j'ai revu la lumière du soleil ! J'ai gouté à tous les vices et surtout celui de la luxure ! alors maintenant cela te donne une excuse et je t'en prie vas y continue ! tu entretiens le malin qui me ronge au lieu de me sauver !

Lâche que tu es ! vas y présente toi devant moi que je plonge ma dague dans ton cœur afin de te voir à mes pieds t'étouffer dans ton sang !

Stellie s'affala sur le sol de pierre à bout de force, le visage ruisselant de larmes, c'était là une femme qui avait besoin d'aide et surtout celle de l'église....

Elle ne bougeait plus les bras en croix vidant ses dernières réserves d'énergie, le froid s'insinuait en elle...des nausées l'enveloppaient...des vertiges ....le visage du malin qui ricanait sur elle, satisfait de son travail. Enfin elle avait cessé de lutter.Seul un exorcisme pouvait aider cette jeune enfant égarée.

Darkdragonlord

Ce fût au tour du père DarkDragonLord de sortir de la sacristie et de s'avancer vers l'autel. Il reconnaissait beaucoup de ses paroissiens parmi les fidèles réunis.

Il ouvrit son livre, légèrement nerveux à la pensée que ses professeurs de latin étaient présent, et commença sa lecture.

Afin de nous faire pardonner de nos péchés, Prions ensemble, et Confessons nous en recitant après moi pour ceux et celles qui maitrisent le latin:

Maintenant pour tout le monde, en Français

Après, le curé d'Arras s'écarta un peu, pour la poursuite de la cérémonie.

Florence.la.douce

Florence gardait sa main sur celle d'Alexandre. Elle lui sourit tendrement. Et oui! Messire d'Appérault , Coordinateur des Bourgmestres et faisant partie du Haut Conseil était bien à l'église en ce beau jour. Il était là pour écouter la parole du Très Haut. Il était là pour lui mais aussi pour elle. Le couple le plus controversé d'Artois se tenait côte à côte devant les émissaires de Dieu. Etait-ce là le présage d'une union qui allait peut être apaiser certains esprits échaudés? Si le Comte acceptait cette union, ne serait ce pas la preuve de sa grande clémence également et de son souhait sincère de maintenir la paix? Sans le vouloir, les deux jeunes gens étaient au centre d'un enjeu stratégique. Mais ils n'y étaient pour rien, ils avaient simplement ouvert leur coeur l'un à l'autre. Florence écouta le Père Kolmar et ouvrit de grands yeux étonnés. Certaines de ses paroles lui firent dodeliner de la tête. Les lèvres closes pourtant, elle était très concentrée sur les paroles du prêtre. De temps à autre, elle regardait Alexandre avec tendresse et angoisse. Puis vint le tour du Curé d'Arras.
Elle joignit les mains et répéta pieusement les paroles Saintes

Je confesse à Dieu Tout Puissant, A tous les Saints
et à vous aussi mes amis,
Parce que j'ai beaucoup pécher en pensées en parole en action
Je supplie tous les Saints et vous mes amis de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution, et la rémission de tous mes péchers.

Kolmar

Kolmar sorti de la sacristie et avanca calmement vers le centre du coeur d l'edifice. Il regarda chaque membre present dans la nef de la cathedrale. Il ne vis aucun membre du conseil. Peu etre que kolmar ne pouvait les apercevoir d'ou il etait.

Puis d'une voix forte et chaude il prit la parole:

Alors mes sœur mes frères, et vous tous les autres humains qui nous faites l’honneur d’écouter la voix du Seigneur, d’où êtes-vous ? De quel coté de la Barrières êtes-vous ? Ange ou Démon ?

Vous pouvez vous posez la question toute votre vie, la réponse vous ne l’aurez que le jour de votre jugement et cela sera le dernier !

Il n’y a que notre Créateur qui vous dira si vous avez eu assez de vertu sur cette terre !!! La voie, la seule voie que vous devez suivre est celle de l’Amitié et du Respect. Mais là, je n’entends que haine et violence !!! La grande Honte pour certain c’est que les ecclésiastiques s’occupent des âmes des vivants ! La grande faute des hommes de foi c’est oser dire aux politiciens que les âmes des vivants nous nous en occupons ! Certains vont hurler mais je leur dis calmement que s’il s’imagine que MOI, Père Kolmar, vais laisser les élues du peuple faires ce qu’ils veulent sous prétexte qu’ils sont élue, qu’ils se mettent le Doigt dans l’Œil !!! Et que les insultes basses si proche des chausses reflètent le bien peu d’argument ! Messieurs je suis et je reste dans la vie de la citée et comme les études latines sont obligatoires pour suivre la voie de l’église ! Oui je m’occupe de la vie de la Cité et quoi que vous en disiez je fais ferais de LA POLITIQUE !!!! Et si cela vous ennuie je m’en moque… Ah oui vous pouvez m’insulter, insulter l’Eglise, et donc par là : Dieu, et la Création. Moi je vous respecte vous. Pas votre violence, ni votre haine … Je laisserai le Créateur lors de votre dernier procès faire ce qui lui semble juste !

L’Artois tremble, des voix s’élèvent, hurlent, mais non de non nous somme tous Artésiens ! Alors je souhaite que nous vivions en Harmonie entre nous mais aussi avec tout nos voisins qu’il soit de la maison d’à coter de la notre, ou du village voisin ou encore d’un autre comté !!!

Gouverner c’est dit-on prévoir…… Que prévoyez-vous dans la haine et les altercations ? La paix ??? Je respecte le régent élu le poste et la fonction. Je lui demande le même respect en retour. Je n’ai aucun doute et je suis sur que cet homme le fera, j’attends le même respect de ces plus fideles aboyeurs… Je ne suis pas en accord avec votre politique si elle va vers le sang et la guerre. Je serai votre plus fidele serviteur si vous avancer vers la voie de l’Amour, la raison et la compassion… j’attends en signe d’Amitié un geste vers l’Eglise d’Aristote… Même si vous n’êtes pas totalement d’accord avec elles ? Je vous avoue Messire le Comte que je ne suis pas totalement en accord avec vous. Je sens venir cependant des signes et des gestes d’apaisement….

Que l’Esprit soit au dessus des querelles d’hommes et que chacun d’entre nous avance vers la vertu... »

Fihafihafiha

Encapuchoné, un jeune homme s'avança vers la cathédrale, monta les marches puis dépassa la grande porter, marchant tout le long du couloir qui menait à l'eau sacrée où il trempa ses mains, puis s'évapora le visage.
L'autel, là, devant lui, de ses yeux attristés et peinés, tout ce qu'il cherchait en ce moment est le calme, se chasser les idées, les mauvaises surtout, des évènements passés lui troublent l'esprit.

Le jeune homme se défit de son capuchon aussitôt qu'il le puisse, agenouillé devant l'autel, faisant face au signe de la croix accrochée devant lui, il se mit à murmurer légèrement entre ses dents.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Fiha garda ses yeux fermées, plongeant dans ses idées tantôt clairvoyantes, tantôt sombres, ne sachant où se mettre, quelques mots se murmuraient entre ses lèvres, probablement des prières, inaudibles, qui durèrent longtemps, à croire qu'il avait des milliers de choses à dire, peut être à confesser, qui sait.

Plus le temps passa, plus son calme lui revenait, peu à peu, ne se souciant point de ce qui se passait derrière lui, ni de ce qui pouvait se passer, tout ce qu'il savait c'est qu'il est là, en maison de Dieu, entrain de prier pour lui, ses proches, les âmes parties et les prochaines, des fois un sourire lui parvint aux lèvres, d'autres des larmes coulères sur celles-ci, jusqu'ici, il n'a toujours pas fini ...

Thomahug1

Thomahug attendit que chacun ait parlé puis, prenant le livre qu'on lui tendait, lut à haute voix, pour chacun entende :

Citation:

Alors, Dieu, d’une voix douce et apaisante, me dit: “Vois, comment risque de finir le monde que tu aimes tant. Il sera détruit par l’eau, la terre, le vent et le feu. Mais n’aie crainte, car si vous vous montrez vertueux, vous pourrez éviter ces inutiles souffrances. Et que ceux qui vivent dans la vertu ne s’inquiètent pas, car jamais Je n’oublie ceux qui M’aiment.”, me dit le Très Haut. Je vis en effet les nuages s’en aller, les vents se calmer, les flammes mourir. Mais la terre trembla de plus belle…..Les humains s’installèrent le long des étoiles, sur ce que l’on appelle la voie lactée. Ils s’organisèrent alors en une file qui semblait interminable. Certains avaient l’air heureux d’attendre le Jugement Divin, d’autres versaient de chaudes larmes, regrettant de n’avoir pas su écouter les paroles divines transmises par le prophète Aristote et Christos, le messie. Les anges attendaient patiemment les humains sur le soleil. Et sur la lune, les démons crachaient leur haine à la face des futurs jugés……

Et Dieu me parla: “Vois. Ces hommes et ces femmes qui sont maintenant unis dans l’attente du jugement de leur âme. Je vous ai faits aspirant à la vertu et J’ai fait celle-ci de telle manière que si l’un d’entre vous la pratiquait, elle se communiquerait aux autres.” Je reconnaissais là l’enseignement d’Aristote et les paroles de Christos! “Il y avait un but à cela, ajouta-t-il, Me servir, M’honorer et M’aimer, mais aussi vous aimer les uns les autres. Je suis la main invisible qui guide vos pas, mais nombre d’entre vous se sont détournés de Ma Parole.”……

Voilà pourquoi je vous révèle cela. La vertu doit guider chacun de nos pas. Chacun doit la transmettre à son prochain. Telle est la Parole de Dieu. Ne vous échappez pas de la sage voie de sa main, ou viendra le jour où le monde disparaîtra et où nous seront tous jugés !

Choupinette73

Assise aux cotés du premier maréchal ,Choupi suivait la messe ,ne laissant aucun mots lui échapper .

Elle joint sa voix à celle de Mun pour le Credo et récita doucement:

Citation:

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

L'eveque prononça ces mots

"Que le Seigneur soit avec vous !"

Le cœur entonna un chant et Choupi écouta les voix résonnaient dans la cathédrale ,elle s'aperçut que Mun se retournait et se demanda ce qu'il pouvait bien regarder ,mais elle ne bougea pas .

Brunehautdartois

Brunehaut avait promis au père Dark de venir assister à l'office religieuse qui se tenait dans la cathedrale StVaast.
C'est quelque peu en retard qu'elle pénétra dans le magnifique edifice religieux, elle se fit le plus discrete possible et se glissa le long de l'allée exterieur pour s'installer aupres de son filleul qu'elle avait repéré.
Il recitait dejà le crédo, qu'elle entreprit de reciter avec lui de concert
Quand il tourna son regard en sa direction elle lui fit un petit sourire et un clin d'oeil.

Désolée, je suis affreusement en retard, tu aurais pu passer me chercher, tu sais bien que je ne suis jamais a l heure nulle part!

Elle chuchota discretement tentant de se faire la plus silencieuse possible
Non loin devant eux elle reconnut un tres charmant couple, Flo et Alex, tient donc, ils se frequentent de plus en plus ces deux là, apres le bal, la cathedrale.

Un petit sourire eclaira son visage, elle etait ravie pour Flo, elle l'appréciait beaucoup, elle etait toujours charmante et agreable.
_________________

Mun

Mun après avoir prit place sur un des bancs libre récita le Credo joignant les mains laissant son esprit vagabonder vers son aimée tout en se demandant ce que le coursier lui avait apporté comme parchemin.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.
Les voix résonnaient dans le lieu Saint, les fidèles Artésiens étaient nombreux autour de lui.

- "Que le Seigneur soit avec vous !", repris une nouvelle fois l’Evêque
Puis les cœurs d'une seule voix entonnèrent l’Alléluia que chaque fidèles chanta.
Le chant terminé alors que les douces paroles emplissaient toujours la cathédrale Mun se retourna un instant croyant reconnaître une personne.

Alexius

Alex observa un instant Florence et fut heureux de l'avoir à ses côtés.
Il écouta avec attention le prêche de monseigneur Will_II etse plongea dans ses prières intérieures.
Il écouta les magnifiques musiques enveloppant l'assemblée et sourit intérieurement à ses idées confuses. Il se plongea pieusement dans sa méditation.

Florence.la.douce

Florence observa le jeune homme pendant qu'il priait. Elle fut émue de voir sa sincérité. L'homme qu'elle connaissait auparavant n'avait rien à voir avec celui qu'elle découvrait à ses côtés. Il était plus " humain" et d'un sensibilité peu commune. Ses grands yeux verts ne quittait pas ce visage illuminé à cet instant, pieusement concentré sur ce que son coeur se réservait le droit de garder secrètement.
Les chants devaient certainement ouvrir les yeux de Florence également. Elle comprit bien des choses tout à coup. Le pourquoi de sa colère quand elle lui annonça qu'elle partait, ses lèvres pincées quand elle lui parlait de Lord ou de Jjaques. Il se disait heureux pour elle mais elle comprenait qu'elle l'avait fait souffrir s'en même le savoir. Elle poussa un soupir discret et déposa sa main sur les siennes. Elle lui offrit à cet instant un sourire radieux, emplis d'un sentiment nouveau. Elle aurait voulu lui murmurer tout ce dont son coeur était emplis en ce moment même mais il est vrai que ce n'était ni le lieu, ni l'instant. Elle referma sa main sur les doigts du jeune homme et pria à ses côtés.

Mun

Dés que tous les fidèles furent rentré le Premier Maréchal allait prendra la place qui lui était réservée quand un coursier arriva, il portait brodé sur sa cap le Gonfanon de Trèves.
Mun s’arrêta et prit les rennes de la monture dans la main ne connaissant le nouvel arrivant.
Celui-ci ne perdit de temps sortant de sous sa veste un parchemin. Qu’il tendit au Vidames.
A peine les rennes lâchées qu’il reparti au galop vers le corps de garde de la ville.
Il est vrai qu’il avait depuis plusieurs semaines, quitté la Lorraine, certainement une nouvelle recrue tout en passant le parchemin dans sa ceinture et se précipitant vers l’intérieur de la cathédrale ou l’office avait déjà commencé.

Florence.la.douce

Les premières notes retentirent dans la cathédrale. Ce moment fut si intense que Florence senti un frisson lui parcourir l'échine. Elle leva les yeux et s'imprégna de la sérénité des lieux . Tout semblait hors du temps, les disputes, les conflits, les sermons, la douleur, la tristesse... La jeune femme se senti apaisée et sereine. Un sentiment de bien être l'envahit. Elle sourit à Alex et pieusement croisa les mains.
Son regard se fixa dans la nef pour s'imprégner plus encore de cette atmosphère particulière. Elle en profita pour réciter intérieurement une prière toute personnelle.
Quand la jeune femme ouvrit les yeux, elle chercha le regard de son chevalier servant.

Liptis

Lorsqu'il entendit l'évêque demander à la foule de réciter le credo en union, Liptis joignit sa voix au reste des autres croyants.

- "Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN !"

Willy_ii

L’union des voix des fidèles résonnait dans toute la Cathédrale d'une manière très harmonieuse. Des graves et des aigus venaient se compléter, et tambouriner sur les murs de pierre du bâtiment renvoyant plusieurs fois les mêmes mots d'une douceur auditive agréable.

- "Que le Seigneur soit avec vous !", réannonça l'évêque avant que la chorale présente dans un coin du chœur se mit à chanter.

La chorale, composée d'hommes et généralement religieux s'était en effet installé dans le chœur de l'Eglise, à l'avant de la nef. Tous étaient habillés de belles étoffes blanches que leur avait données le diocèse de Beauvais. Le silence s'était installé parmi l'assistance. Ils commencèrent à chanter "Alléluia" puissamment, l'assistance semblait même suivre ce mouvement.

Ensuite, passerait-il à la lecture du jour.

Alexius

Conscient qu'il n'avait encore rien dit, il remédia immédiatement à cette lacune:

- "Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN !

Il regarda Florence et lui adressa un regard d'excuse.

Alexius

Alex et sa douce compagne entrèrent en hâte dans la cathédrale. La cérémonie avait déja commencée aussi, ils essayèrent de ne pas se faire remarquer, ce qui fut sans doute difficile aux vues de la beauté de la belle.
Il observa longuement la douce Florence. Ses yeux d'un magnifiques vert émeraude réchauffaient son coeur, la chevelure dorée, presque divine dans son port, lui nouait la gorge.
Les yeux du jeune homme brillèrent d'émotion alors qu'il entendait tout juste la messe. Il était comme dans un rêve. La belle se tenait fière et droite à ses côtés et il ne put s'empêcher un sourire lorsque celle-ci lui jeta un regard en coin.
Il reorta son regard sur le lieu de culte et observa les nombreuses dorures, les bénitiers et fonds batismaux posés en bon ordre sous chaque pillastre, semblant soutenir l'immense voûte couverte de fresques diverses.

Alex jeta ses yeux azur vers la douce Péronnaise et ne put retenir un soupir de bien-être alors qu'il se tenait à ses côtés. Il songea à l'amour qu'il lui portait, qu'il esperait réciproque, à la profondeur de l'âme de l'amie de son coeur.
Le jeune homme sourit lorsqu'il songea au chemin qu'ils avaient fait pour venir jusqu'ici, aux regards qu'il s'étaient lancés et au bonheur qu'il avait éprouvé lorsque Florence avait accepté de l'accompagner.

Florence.la.douce

La jeune femme était émue de se retrouver en ce lieux magnifique. Elle se fit aussi discrète que possible pour ne pas perturber l'office. Dignement, elle croisa les mains et baissa la tête tout en regardant du coin de l'oeil son chevalier servant.
Bien vite pourtant, elle se concentra sur la messe et c'est avec une sincérité profonde qu'elle récita le credo. Baissant les yeux et la tête, les paroles prononcées sortaient de sa bouche avec une infinie douceur.

- "Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN !

Elle ferma les yeux quelques instants puis leva la tête. Elle regarda Alex et ouvrit de grands yeux. Allait-il réciter le crédo lui aussi. Son père était homme de Dieu lui aussi.

Crysline

Crysline et sa famille fiers aristotéliciens s'étaient bien installés dans la cathédrale...Cela réchauffait les coeurs de voir autant de monde par ces temps difficiles...Ils se mirent à réciter le crédo en union comme le souhaitait Monseigneur William II...

"Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN !"
_________________

Willy_ii

Monseigneur William II, après que son confrère Thomas eut encensé l'autel, ouvrit grand les bras à l'assemblée de fidèle et d'une voix puissante il adressa ces quelques phrases que voici :

- "Mes chers Enfants, chers Frères, et Soeurs. Bienvenue à tous dans la maison du Seigneur Tout Puissant et de l'Amitié Aristotélicienne. Le Seigneur soit avec vous. Et avec votre esprit.
Je vous remercie mes chers amis, vous tous qui vous êtes rendu en cette Cathédrale comme un bon fidèle pour cette messe dominicale. Au travers de l'Amitié Aristotélicienne nous nous rapprochons de l'Amitié avec le Tout Puissant. Gloire à toi Seigneur. Mes sincères amitiés mes enfants !"

L'évêque de Beauvais incita l'assemblée à réciter le Credo en unions.

- "Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN !"

Shazame

Shazame avait trouvé une place assise, très certainement par le respect de son ancien rang. Il attendit debout que l'homme d'église, les incite à réciter le crédo. Machinalement, Shazame le récita. Après des années et années de croyance et d'amour pour son dieu, ces paroles étaient pour lui une évidence. Et c'est avec effroi qu'il voyait le peuple d'Artois se détourner de la voie tracée par Aristote. Il espérait voir dans cette querelle un simple désaccord entre homme et non avec la parole divine.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN !

Chriss43

Chriss ,qui avait suivit l'arrivée du cortege se dirigea ensuite vers la cathedrale.

il entra dans ce lieu et salua Monseigneur l'eveque de Beauvais ,WillyII suivit des peres Kolmar et Thomashug1 .
Chriss s'avanca en silence ,se signa eet s'assied non loin de sa filleule et sa petite famille ,il la regarda et lui fit un p'tit sourire regrettant tout de meme de n'avoir pu venir avec sa douce Perl .

Chriss regarda le Vidame de Treves dont la tete lui etait familiere mais ne souvenant plus ou il l'avait rencontrer,lui fit juste un signe de la tete.puis attendit la suite des evenements en ecoutant les orgues .
_________________
"

Maire de Bertincourt

Darflex

après un dur labeur, Darflex avança vers la cathédrale, il regarda autour de lui et ne put voir sa douce et tendre, il fit un signe de bonjour à ses amis et attendit patiemment
_________________

Virbule

Virbule était non loin d'Arras et décida d'assister a la grande messe dominical. Elle monta les marches qui menaient à la porte de la cathédrale, elle admira l'édifice puis entra.
Elle n'était jamais venu dans la cathédrale et resta un instant à contempler l'intérieur du bâtiment.
Elle avisa Chriss et alla lui faire une léchouille et s'assoir à coté de lui en attendant la suite.

Willy_ii

C'est enfin vers les onze heures, alors que tous les fidèles étaient correctement entrés et avaient prit place, que les prêtres firent apparition. Ils étaient revêtus de leur vêtement liturgique. L'évêque portait sa mitre, et sa crosse, marchant à coté de son Vicaire Général richement vêtu lui aussi. Le Vicaire de Bertincourt, quant à lui, portait la Croix de procession en menant la tête du petit groupe, suivit de très près par le Père DarkDragonLord qui tenait le Livre des Saintes Ecritures à bras tendu au dessus de sa tête.

C'est de cette manière rituel, qu'ils traversèrent la nef pour rejoindre l'autel. A quelque pas de celui-ci, prêtres s'inclinèrent pour ensuite rejoindre leur place d'officiant. Un enfant de chœur maniant l'encensoir vint l'apporter à l'Abbé Thomas Hugues. La fumée se dégageant de celui-ci symbolise la prière, la purification et la monté aux cieux.
L'Abbé Thomas allait donc ainsi procéder à l'encensement de l'autel sur lequel sera célébré le partage Aristotélicien.

Liptis

Liptis était arrivé à la cathédrale, y était entré. Il aimait à regarder les riches ornements. Soudain, les officiants apparurent et Liptis et reconnu Monseigneur l'évêque ainsi que le bon curé d'Arras.
Il se concentra afin de suivre de toute sa foi la célébration de l'office.

Thomahug1

Thomahug prit l'encensoir qu'on lui tendit, et encensa l'autel. Devant la foule, les volutes de fumée s'élevèrent, formant cercles et spirales, avant de se perdre dans la lumière des vitraux.

Willy_ii

[Entrez !]

Alors que les prêtres se trouvaient encore dans la sacristie en train de se vêtir comme il le fallait, tout en conversant gaiement, les cloches de la Cathédrale se mirent à propager une onde sonore, délicieuse à l'écoute. De leur mélodie gracieuse, les cloches berçaient la Capitale, tout en invitant les fidèles à rejoindre les bancs à l'intérieur de l'édifice.
A cette annonce, la Garde Episcopale se déploya aux alentours de la Cathédrale.

Pour accueillir chaleureusement les fidèles, de l'orgue y était joué à l'intérieur. De nombreuses bougies apportaient une lumière chaude. Un immense lustre rayonnant de mile feux était suspendu au dessus de l'autel. L'or était présent sur chacun des décors.

Les prêtes ne firent pas du suite apparition, tandis que les fidèles prenaient seulement leur place.

Thomahug1

Thomahug était descendu du carrosse, et avait suivit Monseigneur William, l'Evêque de Beauvais, jusqu'à la cathédrale. Il salua Dame Crysline et sa famille, d'un grave signe de tête. Il fit de même avec le Maréchal de la Garde Épiscopale, et aux autres gardes. Il espérait au fond de lui même, que le Comte et ses hommes ne décident pas à s'attaquer aux fidèles, ou aux clercs. Il s'arrêta un instant, pour contempler, de nouveau, la beauté des lieu, la simplicité des formes, et les courbes difficiles, en ogives du toit. Puis, s'arrêtant avec Monseigneur William, il s'inclina devant l'autel.

Mun

Le Vidame de Trêves n’avait l’habitude de se retrouver seul devant une cathédrale bon nombre de gardes étaient normalement sur les marches.
Mun tira sur les pans de sa veste et suivi les prélats qui s’avançaient.
Prenant place au devant ou celle si lui était réservée a son rang.

Shazame

Shazame n'avait plus aucun privilège, son temps au conseil était terminé., tout comme sa vie à l'OST. Il avait donc prit place au sein de la population afin d'assister à la grande messe. Les événements actuels en Artois ne l'avait pas rendu plus croyant. Il suivait toujours ses propres croyances. Il continuait de croire au très-haut et à ses préceptes. Il tenait à rester loin des considérations politique entre le Comté et l'Eglise. Il attendait l'ouverture des portes.

--Garde_episcopal

La Garde Episcopale était en petit nombre sur le parvis de la cathédrale. En petit nombre, mais assez pour assurer le calme des choses.
Les deux gardes qui venaient tout juste d'assurer le cortège des prêtres de la voiture jusqu'à la Cathédrale, revint prendre position avec leurs semblables, se rangeant en lignes parfaites, comme de petits soldats de plomb.
Le soleil, magnifique rayon de Dieu en ce Dimanche, venait refléter sur les cuirasses de ces braves soldats du Très-Haut. Ils fixaient tous un point imaginaire, produisant l'aspect d'un regard vide. Ces Gardes richement décorés, attiraient l'attention des fidèles. C'était une très belle scène.

Darkdragonlord

Le curé d'Arras se tenait à l'entrée de la cathédrale pour recevoir les fidèles et les invités à la cérémonie.

Bienvenue mes amis, entrez dans la maison du Seigneur.

Crysline

Crysline,son époux Lyonel et leur fils Athénagor simples citoyens de Bertincourt à qui le Père Thomahug avait demandé d'être présents arrivèrent devant la Cathédrale...

Ils levèrent les yeux devant le bel et grand édifice,regardèrent les premiers nobles entrer et attendirent qu'on leur fasse signe afin qu'ils puissent eux aussi prendre place pour suivre cette cérémonie tant attendue....
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Willy_ii

Alors que la populace s'amassait de plus en plus sur le parvis de la Cathédrale d'Arras, vers les dix heures une voiture richement ornée, portant les armoiries du Diocèse de Beauvais et tractée par six chevaux blancs chacun recouvert d'un tissu brodé de ces mêmes armoiries, fit son entrée en remuant la poussière terreuse du sol. Les nombreux fidèles s'écartèrent, laissant le chemin libre d'accès à la voiture. Deux Gardes en uniforme portant fièrement le gonfanon de la Garde Episcopale débarquèrent de chaque coté lorsque le véhicule s'immobilisa.

Le cocher descendit de son siège afin d'ouvrir la porte de la voiture. Le premier faisant apparition hors de la voiture fut l'abbé Thomas, le Vicaire de Bertincourt. Il figurait dans une très belle soutane noire, avec le col typiquement italien, comme ces clercs qu'on pouvait rencontrer à Rome. Celui-ci, une fois pieds à terre, tendit le bras aidant son supérieur hiérarchique à sortir. L'évêque de Beauvais, reconnaissable de part la mitre qu'il portait, sortit ainsi à son tour, paré de ses plus riches vêtements épiscopaux, et tenant dans sa main droite sa crosse tournée vers l'extérieur de l'écu.

Les deux gardes Episcopaux descendirent de leur monture, de manière synchrone, afin de se rendre aux cotés des deux prêtres. Une fois que les quatre personnes furent réunies, ils avancèrent en même temps en direction des portes du saint bâtiment, les gardes écartant simplement le passage. L'évêque de Beauvais se contentait de faire quelque signe amical de sa main richement baguée aux fidèles lui affichant un large sourire de joie.
C'est ainsi que les religieux gravirent le parvis, et arrivèrent aux portes. Le Vicaire Général de Beauvais, le père Kolmar, salua très respectueusement l'évêque à son approche, de même pour le premier maréchal de la Garde Episcopale. Les portes du bâtiment s'entrouvrirent enfin, un enfant de chœur vêtu d'une aube blanche apparut à l'entrée. Au passage de Monseigneur William II, l'enfant de chœur prit la main du prélat et baisa sa bague. En retour, l'évêque amignonna brièvement la tête de l'enfant, un sourire de satisfaction était visible sur ses lèvres. Le père DarkDragonLord, curé d'Arras, vint s'ajouter au groupe de prêtre en entrant.

Enfin parvenu au devant de l'autel, l'évêque, le Vicaire Générale de Beauvais, le Vicaire de Bertincourt, et le Curé d'Arras s’abaissèrent en guise de respect suivit du signe de croix avant de disparaître dans la sacristie pour se préparer à la cérémonie.

Kolmar

Une mule avec un chargement bien etrange entra sur le parvis de la cathedrale. UN homme gestillant et grognat descendi de la pauvre bete. Il s'adressa a l'animal

Je saIs bien que tu esune creature de Dieu mais non de non tu n'en fais qu'a ta tete! Pourquoi avoir voulu t'arreter pour manger ces jeunes pousses non de non nous somme en retard maintenant.

Kolmar atacha sa mule sur un cote de la magnifique batisse et sorti d'un des sacs une botte de paille toute fraiche qui provenait de ces champs.

A moins tu aura quelque chose a manger! hummrff.

Puis il remplis un sceau d'eau dans lequel il versa une demi fiole qui parraisait bien secrete et glissa dans l'oreille de sa compagne:

Je t'en met un peu parce que l'eau pur j'ai jamais trouver cela bon a boire.

Enfin il se presenta devant la porte massive de l'edifice religieux .

Kolmar apercu son eveque et s'agenouilla devant lui en lui baisant la main.

Monseigneur c'est un honneur d'etre a vos coté.... Je vous prie de m'excuser pour mon retrd mais si vous saviez ... arf cette vieille mule.... Bon je me depeche pour me preparer

Mun

Tout en regardant les citoyens arriver, les carrosses somptueux s’arrêtant devant les marches ou jeunes laquais couraient en tout sens déployant les marches et tendant leur mains vers les nobles Artésiens qui venait en ce jour célébrer le Très haut. Le Vidame remarqua mule chargée arrivant ballot accroché sur les côtés après avoir nourri sa monture qui n’attendait que cela ,l’homme se dirigea vers l’Evêque ployant genou tout en baissant son saint anneau.
Ne connaissant l’homme Mun se tourna vers l’Evêque

Willy_ii

[Messe Dominicale du XXII Février MCDLVII]

En l'imposante Cathédrale d'Arras grouillait une foule d'une densité peu habituelle, si ce n'est au cours de ces offices exceptionnels ponctuant les plus grandes dates du calendrier religieux.
Sur le parvis, très tôt, se rassemblait déjà bon nombre de fidèle de toute l'Artois.

A l'intérieur de l'édifice, les sacristains parés de leurs habits liturgiques se pressaient de régler les derniers préparatifs avant l'ouverture des portes et l'arrivée des Clercs qui allaient officier la cérémonie.
La Garde Episcopale n'était pas encore sur les lieux, certainement qu'elle débarquerait en même temps que les Clercs officiants.

Mun

Voilà plusieurs jours que Mun était arrivé en Artois, le détachement qui devait le rejoindre ayant pris quelques retards, mais cela n’avait d’importance à ses yeux.
De la chambre de l’auberge tôt au matin , il s’était réveillé ses pensées tournées vers son aimée .
Passant ses doigts dans sa chevelure blonde, il se redressa de sa couche, les ablutions matinales faite et la prière qu’il fessait chaque matins au très haut le remerciant des biens faits qu’ que le divin lui accordait tous les jours.
rapidement le Premier Maréchal revêtu sa tenu de Vidame accrochant son épée qu’il avait forgé lui-même passant la dague gravée aux initiales VF dans son dos se dirigea vers les escaliers menant dans la salle principale de l’auberge.
Saluant l’aubergiste Mun se dirigea vers la cathédrale ne voulant être en retard.
Nobles et citoyens se pressaient déjà vers la place.

L’Evêque de Beauvais l’avait invité à participer à la cérémonie religieuse de ce jour, il est vrai que si il n’y avait point eu de messe, comme tous les dimanches il s’y serait rendu.
Montant les marches fièrement, Le Premier Maréchal s’arrêta devant les portes, puis se tourna vers les fidèles prenant la position du garde à vous, il ne bougea plus accueillant les fidèles tout en veillant à la sécurité des lieux.

Mun

Réouvrant les yeux Mun se redressa après la prière
reprenant sa cap qu’il déposa sur ses épaules regardant la cathédrale bien vide pour le moment sorti d’un pas rapide se dirigeant vers l’auberge.
A quelques pas de le porte, il vit l’aubergiste un bras en l’air et dans l’autre main un bâton frappant vers le sol.
Le dos tourné Mun ne pouvait voir ce que l’home bien en chair fessait.
passant sur le côté laissant un dernier regard vers le sol ou il voyait la poussière ce lever en petit nuage, il vit quelques plumes brunes s’envoler .
S’arrêtant un instant espérant que le menu du soir serait une poularde ou autre volatil, il frappa sur le dos de l’aubergiste.
Qu’il reste quelque chose à manger si non seul les plumes nous servirons et les os contenterons les rats du voisinage.

L’aubergiste laissa tomber son bâton surpris tout en tournant son visage rouge ou l’on y voyait la sueur couler. D’un mouvement d’épaules chassant la main de Mun et dans un grognement à peine compréhensible.
N’a pu rin à mangi el sol est dur com cailasse pu ri ne pousse
puis regardant Mun d’un air moqueur
Vos volo p’tet d’lavoin por ce soir
Se retournant vers le pigeon qui était éparpillé un peu partout.
A vos ses ochats vos aurez d’quoi rempli vos stomac.

Mun allait rentrer quand son œil fut attiré par un reflet sur le sol, un étui métallique avait certainement du être amputé de la patte de l’animal, poussant l’aubergiste afféré à ramasser les morceaux du volatil, Mun le ramassa et l’ouvritsortant un fin parchemin, il reconnu de suite l’écriture de son cousin.
Glissant le parchemin sous sa veste il entra dans l’auberge et monta vers la chambre qui lui avait été louée contre quelques écus.
Le peu de lumière qui filtrait au travers des fenêtres ou la saleté avait pris place.
Le Premier Maréchal se pencha vers une de ses sacoches et en sorti parchemin et plume.

Mun

Voilà des jours que le Vidame de Trêves et Premier Maréchal de la Garde Episcopale voyageait s’arrêtant peu, juste pour se sustenter, il avait entrepris de rencontrer ses frères d’armes.

Arrivé tôt dans l’après midi s’arrêtant dans une des auberges accueillante, il se dirigea vers la la cathédrale Artésienne afin de remercier le Très haut de l’avoir accompagné jusqu’ici et de le pardonner de son choix entre son aimée et le serment de défendre la foi ou partout il serait appelé.
L’amour vivait en son cœur sachant son épouse proche de l’accouchement mais il savait aussi que jamais elle n’aurait voulu qu’il reprenne sa parole.

Mun après avoir monté les marches vers les portes entrouvertes, s’arrêta un instant regardant la splendeur et l’immensité des lieux., un léger sourire aux lèvres retira sa cap noire aux armoiries de la garde Episcopale, son uniforme blanc et liseré or de Vidames les épaulettes noir brodée or aux insignes de Premier Maréchal de la Garde entra dans la cathédrale
Se signant après avoir trempé ses doigts dans l’eau bénite , se dirigea par l’allée centrale et s’arrêta devant la statue d’Aristote déposant sa cap sur un des bancs puis se mi à genou face à la statue joignant les mains respectueusement ferma les yeux et récita le credo.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Willy_ii

Le père William II s'était rendu à la messe en la Cathédrale d'Artois. Il aimait tant le jour dominical, surtout la messe qu'il ne manquait jamais. La messe le jour du Seigneur était si importante à ses yeux.
Une fois assis sur le premier banc, parmi les fidèles, la joie lui remplit le cœur. Il ferma un instant les yeux, et pria en lui même.
Dieu se faisait sentir dans tout son corps, cette sensation de chaleur et d'amour.

La messe commença, et il écouta très attentivement les sages paroles de son Archevêque Neocor. Cet homme qu'il appréciait très bien aussi.

Finalement, il récita le Credo en y mettant toute la joie de son cœur :

- "Je crois au Très-Haut le Créateur tout puissant,
Qu’a créé la parole qui bouscule les silences infinis de la bêtise,
Avec ses syllabes poétiques et douces qui font s’amouracher les âmes les plus ingrates,
Qu’a aussi fabriqué les mots dégoulinant de fiel,
Pour que les plus aventureux et les plus curieux d’entre les hommes, et les femmes aussi,
Puissent s’essayer, parfois à la méchanceté, le plus ordinairement à la médiocrité et à la bassesse,
Et en revenir, la larme au groin et le sourire en coin.

Je crois en Aristote, son prophète,
Un sacré Grec, un adepte de la parlotte, qui donnait de belles leçons,
D’abord à ses géniteurs Nicomaque et Phaetis,
Puis à tous les passants qui passaient sans savoir par ses chemins,
Et qui reçurent pêle-mêle, sagesse et révélations sur les lois divines de l'Univers.

Je crois aussi en Christos, un autre bavard indiscipliné,
Né de Maria et de Giosep, un couple plutôt taiseux.
Il a voué sa courte vie à nous raconter le Soleil et la Lune,
Comment qu’il fallait faire pour se dorer la pilule grâce au premier,
et éviter les froides caresses, parfois bien tentantes, de l’autre.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle."

Et vint le moment du partage de l'hostie, et du vin. Ils firent la queue, tous, en direction de Monseigneur Neocor. A son tour, il posa genoux à terre, et ouvrit la bouche pour recevoir l'hostie sainte.

pnj

Balzakoum vit cette église et se dit qu'elle était magnifique.
IL resta un petit moment sous son charme.

Ensuite il se mit à prier.

pnj

Burger qui cherchait un endroit tranquille où se reposer, déambulait dans les rues lorsqu'il aperçut pardessus les toits le cloché d'une cathédrale qui devait avoir des dimensions imposantes.

Burger se faufila à travers les ruelles, jusqu'au bâtiment. Il observa sa façade depuis l'extérieur... Burger était fortement impressionné par cette architecture flamboyante... Il était habitué aux édifices religieux austères et emplis de mystères... cette élévation vers le ciel, métaphore d'une élévation de l'esprit lui insufflait une joie profonde. Il poussa les lourdes portes qui étaient surmontées par un tableau richement décoré.

Une fois entré, il fut tout de suite stupéfait par les voutes en ogives croisées. Quelle splendeur se disait-il... Il en avait le souffle coupé... Dieu était présent, cela se sentait...

Il, s'assit au fond sur un banc. Il y avait une atmosphère de paix, l'on pouvait respirer des parfums d'encens et de bois ciré. Quelques pas résonnaient, des chuchotements au loin, Des moines probablement... Près de l'autel des volutes d'encens s'élevaient... Il se concentra pour prier un peu.

Bonjour Dieu, et vous aussi Aristote et Christos, j'espère que vous allez bien, moi ça va pas trop mal. Je suis passé pour vous remercier pour le morceau de viande que j'ai trouvé sur la table de nuit en me réveillant, c'est très délicat de votre part, après mon jeun de samedi.

Je vous confie les artésiens qui pour certains sont vraiment très aimables, et puis Princesse Armoria qui a forte à faire, et même le Comte d'Artois qui doit pas être si méchant, et puis aussi la Normandie pour qu'il ne se passe rien de fâcheux, maintenant et pour les siècles des siècles amen.

Burger se releva, inspira profondément, sourit et pris le chemin de la sortie.

Kolmar

Kolmar regarda la foule quitter la cathedrale et se disait que decidement il s aimait ces gens parfois un peu rustre souvant raleur mais avec un coeur enorme sous leurs poitrine .. il en etait sur...

Rehael

Citation:

Nous, Cyril Kad d'Azayes,
Primat de France,

Faisons annonce de :

La formation d'une nouvelle équipe primatiale.

premier Vice-Primat

Rehael

deuxième Vice-Primat

Ottobismarck

troisième Vice-Primat

MrGroar

Enseignement

Vincent.Diftain

Saint-Office

Zabouvski

Office du Grand Camérier

Poltau

Maison Ecclésiastique Royale

Gedeon

Bretagne

Clodeweck

Nonciature Apostolique

Roger

Muad Dib

Paix et prospérité,

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Neocor

Messe du 14 septembre 1456 : « l’insoumission »

Tandis que l’Archevêque, se préparait pour la messe, le bedeau alla sonner les cloches. Puis Il vérifia la présence des éléments Aristotéliciens et prit place dans le chœur

Mes Chers Frères et Sœurs, la messe d'aujourd’hui portera sur l'insoumission à travers un extrait de la Vita de Christos!

Puis en attendant de voir les fidèles arriver, ils réajuste un peu sa bure.

Je vais maintenant vous lire un extrait de la Vita de Christos, se déroulant peu avant la mort du prophète.

Arrivés dans le bureau du procurateur, celui-ci nous regarda et nous interrogea :
" Qui de vous deux est-il celui qui se fait appeler Christos ? "
Nous répondîmes tous les deux d’une même voix:
" C’est moi, Romain ! "

Oui, mes chers enfants, j’aimais tellement Christos que je souhaitais subir son châtiment à sa place et c’est pourquoi j’ai essayé d’attirer sur moi les soupçons… Mais ma candeur était grande : Pierre Ponce n’était pas dupe, il avait en face de lui un grand et bel homme et un jeune rebelle. C’est donc naturellement qu’il s’adressa au premier en ces termes :

" Ainsi, tu es celui qui se fait appeler le messie, le guide, le miroir de la divinité ? et tu troubles l’ordre de la cité ? "
" Tu l’as dit, bouffi ! " répondit Christos.
" Ecoute, reprit Pierre Ponce, depuis que tu es à Jérusalem, la cité se porte mal, le pain est rassis, les légumes passés, le poisson puant, et la viande nauséabonde. Tout cela parce que maintenant, les gens ne veulent plus rien faire d’autre que de t’écouter. De plus, tu fragilises le pouvoir de Rome et le culte païen en débitant des âneries plus grosses que toi sur l’amour et toutes ces conneries auxquelles personne ne croit ! Tiens, je viens de recevoir une plainte du grand chef des prêtres païens ; il paraît que tu t’es payé sa fiole, c’est du joli ! "

La figure de Christos se fendit d’un grand sourire, avant qu’il ne réponde :
" Oui, je le sais. Votre Empire vit tel une roue à aube. Chaque mécanisme a la place qui lui convient de part sa naissance, et accomplit régulièrement la tâche pour laquelle il a été créé. Et vous profitez de cela en asservissant les peuples, et les forçant à travailler pour des salaires indécents. Or, voilà que moi, qui apporte la vérité, je gène, c’est classique… Je connais un gars qui dit ça très bien, d’ailleurs : Le premier qui dit la vérité, il se fera assassiner ! "

Pierre Ponce dit alors : " Comment, n’approuves-tu pas l’esclavage ? même quand il est exercé sur d’autres peuplades que la tienne ? "

" Non, affirma Christos, la solidarité doit maintenant dépasser le simple cadre de la cité ! Nous sommes tous humains et en cela des créatures de Dieu. C’est pour cette raison que faire travailler un vagabond à la mine pour moins de dix-sept écus est une honte, même s’il vient d’une autre Cité. Et le faire suer pour moins de dix-huit écus, en le faisant tuer veau, vache, cochon, couvée, est un scandale ! "

Pierre Ponce était agacé… Il lui déclara alors :
" Christos tu seras banni. Maintenant dégage. Affaire suivante : Kramer contre Kramer. Ah, et n’oubliez pas de libérer Bar-Tabac, c’est jour d’amnistie aujourd’hui. "

Chers paroissiens! Pour ce sermon, j'ai décidé de parler de Christos! Christos qui par son sacrifice, a permis de rétablir l'amitié aristotélicienne. Christos était un insoumis!
Jusqu'au bout, à la crucifixion, il a assumé ses idées, sans se laisser écraser par le pouvoir, ni chercher à les imposer par la violence... bon, j'entends quelque personnes dire "et bah alors les croisades?!" Ca, c'est autre chose, car je rappelle que les hétérodoxes (ainsi que les pseudo baptisés) sont voués à l'enfer, il faut donc bien se bouger un peu!
Bref, avant de partir, je tenais à vous laisser ce message d'insoumission contre toutes les formes d'autorités... il ne s'agit pas bien sûr de contester tout ce qui est au dessus de vous, mais de ne jamais abandonner vos idées, et de toujours les défendre intelligemment, et ce tant que vous y adhérez !

Ensuite, ils récitèrent ensemble le Credo…

Je crois au Très-Haut le Créateur tout puissant,
Qu’a créé la parole qui bouscule les silences infinis de la bêtise,
Avec ses syllabes poétiques et douces qui font s’amouracher les âmes les plus ingrates,
Qu’a aussi fabriqué les mots dégoulinant de fiel,
Pour que les plus aventureux et les plus curieux d’entre les hommes, et les femmes aussi,
Puissent s’essayer, parfois à la méchanceté, le plus ordinairement à la médiocrité et à la bassesse,
Et en revenir, la larme au groin et le sourire en coin.

Je crois en Aristote, son prophète,
Un sacré Grec, un adepte de la parlotte, qui donnait de belles leçons,
D’abord à ses géniteurs Nicomaque et Phaetis,
Puis à tous les passants qui passaient sans savoir par ses chemins,
Et qui reçurent pêle-mêle, sagesse et révélations sur les lois divines de l'Univers.

Je crois aussi en Christos, un autre bavard indiscipliné,
Né de Maria et de Giosep, un couple plutôt taiseux.
Il a voué sa courte vie à nous raconter le Soleil et la Lune,
Comment qu’il fallait faire pour se dorer la pilule grâce au premier,
et éviter les froides caresses, parfois bien tentantes, de l’autre.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Que la fulgurance d'Aristote nous accompagne !
Que l'extase de Christos nous transcende!
Que le Très-Haut nous garde !

Neocor fit alors signe au bedeau qui apporta le pain et le vin que tous partagèrent

Allez en paix mes enfants! Et à dimanche prochain…
Amen
_________________
Abbé de l'OCF,Dignitaire Cistercien. Archevêque de Tarentaise.

Vincent.diftain

En direct de la Cathédrale de Beauvais

En ce dimanche 20 juillet 1456, Vincent Diftain s'était préparé dans la sacristie et avait revétit les habits liturgiques pour procéder à une messe ou il introniserait le Père Kolmar Vicaire Diocésain de Beauvais.

Il entra donc dans la cathédrale et s'installa devant l'autel aux côtés du Père Kolmar qui venait d'arriver.

Chers Fidèles de Beauvais et de l'ensemble du Diocèse,

Je suis très heureux d'être parmi vous aujourd'hui comme votre nouvel Evêque.
L'Eglise est la maison de Dieu mais aussi votre maison, elle est le lieu ou vous pouvez rencontrer la joie de Dieu au plus près.

La communauté des croyants de l'Evéché est une grande famille, mue par l'amitié aristotélicienne, nous sommes tous frères et soeurs et agissons ensemble, selon les préceptes énoncés par Aristote, Christos et tous les Saints.

Aujourd'hui, je procèderai à l'intronisation du nouveau Vicaire de notre Diocèse, le Père Kolmar, qui sera mon aide et à votre disposition aussi, tout comme moi, pour toute question concernant l'ensemble du Diocèse.

Mais pour commencer cette messe, Prions Dieu pour qu'il nous pardonne nos péchés.

Citation:

Je confesse à Dieu Tout-Puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes frères, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
C'est ma faute, c'est ma faute, c'est ma très grande faute.
C'est pourquoi je supplie tous les Saints, et vous, mes frères, de prier pour moi le Créateur notre Dieu. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Maintenant, nos âmes étant plus légères, proclamons notre foi en récitant le credo.

Répétez après moi :

Je vais maintenant vous lire un passage du Livre des Vertus, extrait du chapitre XI de la vie de Christos.

Citation:

"Maître, que devons-nous faire pour vivre dans l’amour de Dieu? "

Alors, Christos lui répondit avec un sourire :

" Les fidèles de Dieu, ceux qui ont appris l’enseignement d’Aristote et qui veulent suivre le chemin que je vous trace, doivent former une communauté de vie. Cette communauté trouvera son sens, et permettra à chacun de vivre dans la vertu, si elle est unie dans l’amitié réciproque que chacun de ses membres se doit d’éprouver envers ses semblables. Pour vous guider, je serais le père de cette communauté, j'en érigerais les principes, et mes successeurs feront de même après moi."

Comme je vous le disais, nous tous qui sommes réunis ici aujourd'hui formons la communauté des fidèles de Beauvais et de son Diocèse. Nous sommes unis par l'amitié que nous nous portons les uns aux autres et par notre volonté de vivre dans la vertu et de suivre la voie de Dieu. Vous n'avez pas tous la connaissance des enseignements d'Aristote et de Christos, mais en assitant à la messe chaque dimanche, vous en apprendrez d'avantage. Moi même et tous les clercs du Diocèse, sommes là pour vous aider à poser vos pas dans ceux de Dieu. C'est pourquoi vous ne devez pas hésiter à nous solliciter.

Maintenant, j'appelle le Père Kolmar !

Kolmar écouta religieusement la lecture du livre saint. Il savait à quel point il était important pour lui d'etre a la dispostion de ces freres et ces ces soeur.

A la demande de l'eveque il se leva et s'approcha de lui. Puis il s'agenouilla à nouveau devant lui.

Père Kolmar, en ce dimanche 20 juillet de l'an de grâce 1456, moi, Vincent Diftain, Evêque de Beauvais, vous intronise Vicaire Diocésain de Beauvais.

Par cette charge, vous m'aiderez dans mon action, au service des paroissiens du Diocèse, vous guiderez les fidèles du Diocèse dans la voie de la vertu tracée par Aristote, Christos et tous les Saints, vous serez amené à administrer les sacrements du baptême, du mariage et de l'enterrement, à dire des messes en cette cathédrale, mais aussi dans toutes les Eglises du Diocèse.

Père Kolmar, acceptez vous de remplir cette charge pour le bien de notre Sainte Eglise et pour tous ses fidèles de notre Diocèse ?

Kolmar ecouta respectueusement l'eveque.

Puis d'une voix grave:

J'accepte avec joie Monseigneur.....

Puis, l'Evêque repris :

Père Kolmar, vous êtes donc désormais le Vicaire du Diocèse de Beauvais.

Et pour que pour tous puissent vous reconnaitre, je vous remets cette médaille, symbole de votre charge.

Chers Fidèle, ainsi se termine notre Messe.

N'hésitez pas à nous contacter, aussi bien moi même, votre Evêque, que notre Vicaire Diocésain et l'ensemble de nos clercs du diocèse.

Allez en paix ! Et que le Très-Haut vous garde !
_________________
Vincent Diftain d'Embussy
Cardinal Chancelier du Saint Office Romain
Archidiacre de Rome
Archevêque Métropolitain de Sens

pnj

Pour des événements important venez réserver la cathédrale ici sinon si deux cérémonie ont lieu en même temps c'est la cérémonie réservé qui aura le dessus et c'est valable pour toutes les église de la province ecclésiastique de Cambrai.

Neocor

Citation:

Les Offices religieux vont reprendre dans les prochains jours...

Neocor, Archevêque de Cambrai

_________________
Abbé de l'OCF,Dignitaire Cistercien. Archevêque de Tarentaise.

Vincent.diftain

Un bedeau de l'Evéché de Beauvais vint pour afficher sous le porche un document annonçant la nomination du nouvel Evêque de Beauvais.

Citation:

Au nom de l'Assemblée Episcopale de France,

Nous, Msgr Poltau,au nom du Primat de France,

En ce seizième jour de juillet de l'an de grâce MCCCCLVI,

Faisons annonce de :

Vincent.diftain

Beauvais

hérauderie du Clergé

Assemblée Episcopale de France

Ad majorem Dei gloriam

L'annonce de l'Election était suivie d'un courrier du nouvel Evêque.

Citation:

Chers Fidèles du Diocèse de Beauvais,

C'est une grande joie et un honneur pour moi d'être nommé en l'Evéché de Beauvais pour guider les fidèles de notre diocèse.

Je tiens tout d'abord à rendre hommage à mon prédécesseur, Monseigneur Jackmor, qui vous a conduit dans les pas du Très Haut pendant plus d'un an, mais qui a souhaité aujourd'hui prendre du recul.

Mais un Evêque n'est rien sans ses représentants paroissiaux, Curé, Vicaires et Diacres. Je les invite donc à venir me rencontrer rapidement au siège de l'Evéché à Beauvais afin que nous puissons tous continuer d'oeuvrer pour vous tous.

Je suis également à votre disposition pour toute question ou interrogation au siège de l'Evéché à Beauvais .

Je viendrais prochainement à votre rencontre en attendant, que Dieu vous protège et vous guide !

Vincent Diftain d'Embussy
Nouvel Evêque de Beauvais

_________________
Vincent Diftain d'Embussy
Cardinal Chancelier du Saint Office Romain
Archidiacre de Rome
Archevêque Métropolitain de Sens

Ladyhawke

Ladye était restée en arrière, elle avait perdu la notion de temps et regardait la cérémonie.
Puis elle pris conscience de son rôle, elle avait un message à transmettre à Patience
Aussi se leva t'elle de son siège et alla au devant poser ses présents pour Patience

Ceci est pour toi Patience de la part de tes soeurs de l'ordre des dames blanches à l'écu vert. Elles auraient aimées être présente en ce moment, mais elle ne peuvent pas et c'est grande peine pour tous.
Aussi de leurs part à toute je te remets ses présents ainsi qu'un poème toi qui les aimait tant

Citation:

Se laisser faire ? Jamais ?!
Mais sans manquer de douceur
Toujours là pour ses sœurs
Patience, tu vas nous manquer

Fière d'être parmi nous
Tu es partie rejoindre la Déesse
Espérons qu'elle t'accueille avec autant de tendresse
Que tu n'en avais pour nous accueillir nous

D'une douceur sans pareil
Tu n'en étais pas moins combative d'ailleurs
Ton honnêteté tout pareil
Était tout à ton honneur

Jusqu'à ta vie, pour ton Duché
Ou pour ton cher Olivier
C'est ainsi qu'à jamais dans nos pensés
On ne pourra pas t'oublier.

[/quote]

Les mots manquaient à Ladyhawke et c'est la gorge sèche qu'elle s'éloigna à reculant

Kolmar

Kolmar repris la parole.

Mes amis apres cette celbration je vous invite a rejoindre vos foyers et a vous aimer les uns les autres.....

Amen

Willy_ii

Après la messe, Nath et Willy II sortir de la Cathédrale, sous le son des cloches, comme le Père Kolmar l'avait souhaité. Ils reprirent la route vers Bertincourt, à deux sur le cheval.
Willy II avait aimé les interventions de Père Kolmar, la messe s'était passée au mieux, malgré la faiblesse de l'archevêque.

Edge

Le sermont de Kolmar avait été tel qu'Edge l'avait imaginé. Narcisse a d'ailleurs sursauté quand il s'est mis à crier. Le message véhiculé par le Curé était clair, mais malheureusement si tout était si simple...

Il demeura perdu dans ses pensées le reste de la messe, ne prêtant guère attention à la suite. Ce n'est que quand tout le monde se soit levé à la fin qu'il sortit de ses réflexions.

Viens Narcisse, c'est fini... Je ne pense pas que tu aies envie de voir le monsieur qui parle fort...

Puis il sortit tenant encore sa fille par la main, se disant qu'il avait peut-être quelque chose qu'il avait oublié de faire...

---fromFRAnonymous

Arnaud était resté sur le parvis, comme nombre des gueux qui étaient venus assister à cette messe en la mémoire d'une grande Dame.
Puis il reprit son chemin, afin de rendre compte.

Constance_de_cleves

Kolmar invitait 100drine a poursuivre sa lecture de poèmes alors elle releva le voile blanc qui lui couvrait les yeux afin de bien lire le parchemin qu'elle tenait dans les mains. A vrai dire ces notes étaient inutiles car chaque mot était gravé dans sa tête à force de lectures et relectures. Elle prit une profonde inspiration et d'une voix de plus en plus forte reprit la parole.

A présent je souhaiterai vous réciter un poème écrit par Patience, pour que nous nous rappelions sa vision du monde, sa fçon d'être, ce qu'elle ressentait... Un instant de poésie en ces jours sombres qui ne s'arrêtent plus de se succéder.

Baignade à l’aurore.

Dans les eaux noires, profondes et dormantes
Où l’encre bleue de mes pensées se dissout
Vit un monde de magie, d’algues dansantes,
Riche d’étoiles sacrées aux reflets roux,

Ou blancs. Je frôle le fond du bout des doigts
Les couleurs se mélangent, aquarelles vives,
Anémones fluides nageant vers moi,

S’effacent.

Triton géant adulé de cent berniques,
Onde blonde, ta chevelure flotte et
Se mêle à mes rêves en une trêve unique
Une houle nous roule, nos corps crient et

Tintent nos écailles, vibrent les eaux. Muse,
L’algue noire qui nous enlace se tend
Vers la surface. Une armée de bulles fuse,

S’efface.

L’air brûlant, rougeoie, s’imprime sur mes joues.

J'epère que vous aurez apprécié l'hommage que j'ai voulu rendre à mon amie, à cette grande Dame de l'Artois.

Adieux Patience, trouves la paix et le repos éternel auprès de ton homme qui nous a quitté lui aussi beaucoup trop tôt.

Elle tourna la tête vers Kolmar, cet homme qu'elle connaissait si peu et qu'elle avait rencontré pour la première fois lors de l'union de Patience et Olivier. Elle trouvait que c'était une bien triste occasion pour le revoir. Elle lui adressa un léger signe de tête pour le remercier de l'avoir laissée parler ainsi. Puis elle prit la direction de l'allée et fit un léger sourire à Thegregterror. Elle voulait lui montrer qu'elle comprenait sa douleur et qu'il sache qu'il était soutenu dans cette épreuve.

Elle remit son voile devant ses yeux. Elle ne s'en était pas rendu compte mais des larmes perlaient sur ses joues trop blanches. Elle rejoignit sa place en se disant qu'il ne tarderait plus à faire son propre discours.
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qui a du fromage de brebis?

Thegregterror

Ecoutant le dernier poème récité, Grégoire n'avait pas bronché et restait impassible. Au sourire de la Rectrice, il aurait aimé en rendre un, chose impossible pourtant en cet instant pour lui. Il se leva et s'avança, voyant de plus près le Père Kolmar, qui semblait très touché par cette disparition également.

S'approchant, une image lui revint en mémoire. Elle, dans sa robe, inerte et pleine de sang. Son sang. Blanche comme jamais elle n'avait été. Même plus que lors de l'attaque de l'inconnue... Image qu'il ne saurait oublier à présent, même s'il aurait préféré ne garder trace que de sa Cousine chaleureuse et bien vivante.

Faisant face à la salle, son ton était neutre malgré le moment, aucune tristesse n'était décelable dans sa voix.

Victorine… Il y a tellement de chose à dire sur son sujet que je ne saurais tout vous conter. Elle était dotée de nombreuses facettes qui faisaient d’elle une grande Dame…

Patience, investie. Dans tout domaine qu'elle touchait, elle a toujours été présente pour faire avancer ce qu’il fallait. Diplomate, Grand Organisatrice, Bourgmestre, Juge, Chambellan et Vice-Chambellan, Conseillère Honoraire, Conseillère permanente à l’Alliance du Nord, Héraut d’Artois et Régente d’Artois, sont de nombreuses charges qu’elle a occupées avec succès.

Patience, droite et fidèle. Elle a toujours été honnête et agissant toujours suivant ce qu’elle pensait de mieux, et n’avait pas peur d'exprimer ce qu’elle voulait dire, même si cela ne plaisait pas tout le temps. Elle n’avait qu’une parole…

Patience, pacifiste et solidaire. Bien qu’elle savait prendre l’arme quand il le fallait, elle prônait d’avantage la paix faisant prévaloir la parole au son du métal qui s’entrechoquait. Voix raisonnée, elle était toujours présente si on avait besoin d'une aide et donnait sans compter.

Patience, festive. Talentueuse pour animer, elle nous a souvent fait rêver grâce à ces poèmes et à tout ce qu’elle a pu organiser pour faire vivre sa ville ou son Comté.

Patience, partie trop vite. Patience, tout simplement...

Il ne savait pas quoi ajouter et se contenta de murmurer.

Merci et adieu…

Repartant vers sa place, il regarda Deedlitt et réussi à lui faire un sourire empreint de tristesse. Premier signe... mais aucune larme.
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Kolmar

Mes frères mes sœur je vous invite maintenant à venir communier tels que nous l’a enseigné Aristote en partageant le pain et le vin.

Sous les musique de l’orgue de la cathédrale les paroissiens défilèrent pour recevoir le pain et le vin des mains de Kolmar…..

Je crois que quelqu'un voulais lire un poeme a la memoire de notre amie Patience qu'elle me rejoigne nous l'ecoutons... La poesie sympbole de purete ne peut etre que le meilleur moyen de parler de Patience....

Thegregterror

[HRP : réponse pour l'enterrement de Patience, désolé pour le retard, même si je ne trouve pas top le percutage de rp..]

La cérémonie pour l'enterrement de sa cousine... on lui aurait dit cela il y a quelques semaines, il n'y aurait pas cru. Il n'aurait pas voulu et pas accepté. Pourtant aujourd'hui, le fait était accompli et nombres étaient ceux qui étaient victime de cet "enlèvement" d'un être cher. Cela était venu si soudainement... et perdu dans le flot de la guerre naissante, les derniers moments passés avec elle furent plus que rare, trop rare.

Aux côtés de son épouse en ce dur moment, il restait de marbre malgré cette perte. Il aurait put crier ou pleurer, mais pas maintenant… Comme leur cousin Nerevar, elle était partie à cause d’une personne ayant ôté sa vie… et on ne savait toujours pas qui était derrière cela. Pourquoi ?...

Ecoutant le poème lut par 100drine, il attendit qu’elle termine sa lecture avant d'aller dire quelques mots sur feue Victorine.
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Beauziac

Beauziac a l'appel de Ced courra cherche le brancard et aida a mettre l'évêque en douceur dessus.

pnj

Cedric alla voir Kolmar et lui dit de continuer la messe jusqu'à son retour.

pnj

Cédric et Beauziac sortir de l'église ne portant l'archevêque sur le brancard et allèrent en direction des locaux l'archevêché .

Willy_ii

Willy II écoutait les sages paroles de Père Kolmar. Ce dernier était convainquant, il était tout simplement homme de Dieu, plein d'amour.
Kolmar était pour lui, quelqu'un de très bien, qu'il aimait tant. En écoutant cela, il espérait tant que ces paroles allaient en faire réfléchir plus d'un. L'Artois en avait bien besoin, car en ce moment, il y avait beaucoup trop de haine...

Willy II lâcha quelques larmes suite aux paroles de son Père Kolmar.

pnj

Cédric voyant l'archevêque s'écrouler appela beauziac et lui demanda un brancard .
Il alla chercher un boue de tissu qu'il trompa dans l'eau et alla lui mettre sur le front .

pnj

D'une voix chevrotante, l'archevêque adressa quelques mots à Ced.

Mon fils, faites-moi ramener chez moi, s'il vous plait. Mais continuez cette messe.

Puis il perdit connaissance.

Kolmar

Kolmar surpris regarda l’évêque partir sur le brancard.

Il se leva de son fauteuil et dis:

Mes frères mes sœur je vous demande de prier pour notre évêque pour qu’il retrouve sa santé et qu’il continue a nous mener vers le chemin de Dieu.
Je désire également avoir un pensée émue pour Patience, accordez lui également vos prières pour lui dire a qu’elle point elle nous manque …

Je vous le répète AIMONS NOUS!!!!

Kolmar

Puis il repris

Oui mes sœurs mes frères, Oane avait compris que le plus beau dans la vie de l’homme était d’aimer….

Il hurla pour faire sursauter les paroissiens:

MAIS QUE VOIS JE ???? HAINE GUERRE JURON MORT ET DESOLATION EN ARTOIS!!!!!!!!!OU EST L’AMOUR??????????

Vous vous entretuez pour un lopin de terre pour l’honneur, me disent certain !! L’honneur de tuer vos frères et vos sœur !Sous prétexte qu’ils sont nés de l’autre coté d’une frontière… Mais qu’est-ce qu’une frontière ? Rien d’autre qu’une limite arbitraire que les hommes ont trouvés intelligent de faire!

Qu’y a t ‘il de différent entre vous et les champenois ????? Dites moi…. Simplement ils sont nés de l’autre coté d’une ligne imaginaire….une ligne née de l’imagination…. Mise la on ne sait plus pourquoi mais elle aurait pu être mise ailleurs et les champenois serai alors vos amis……
Parce qu’il y a une ligne imaginaire vous vous entretuez…..Et l’on me dis que je suis fou que je ne vois pas le mal… La seul chose que je ne vois pas mes sœur , mes frères , c’est cette ligne. Je ne vois que des hommes et des femmes semblables qui prennent des armes et qui s’insulte se haïssent parce qu’il y a une ligne imaginaire…

Alors faisons un rêve imaginons que cette ligne n’existe pas imaginons que nous somme tous enfants de Dieu et non Champenois ou Artésiens imaginons que nous soyons frères…
Sans cette ligne, Compiègne est dans le monde et appartient à ceux qui la font vivre et grandir… pas a une région ou les fiertés les plus basses viennent faire naitre en nous les plus vils sentiments…..

Je suis un homme de Dieu!
Je suis champenois !!!
Je suis Artésiens!!!
Je suis Normand!!
Je suis breton!!!
JE SUIS DU MONDE!!!!!
JE SUIS HUMAIN ENFANT DE DIEU COMME VOUS TOUS!!!!!!

Alors rêvons, rêvons tous ensemble de voir nos enfants qu’il soient Artésiens Champenois Normand Breton ou autre jouer ensemble et construire un monde meilleur! Rêvons !!!!

Mais ce rêve il ne dépends que de vous de le réaliser….. DITES NON A LA GUERRE!!! Que vos enfants soient fier de vous de votre courage et que Dieu sache que l’Amour est encore dans vos cœur!

Mes frères mes sœurs, je vous en conjure arrêtez les massacres nés d’une ligne imaginaire……..

ET COMME DIEU NOUS L’A DEMANDE AIMONS NOUS!!!!!!!!!!

Épuisé Kolmar s’accrochât à l’Autel . Des larmes ruisselait sur son visage….

Arrêtons de nous entretuer je vous en prie………

Il s’assis dans un fauteuil près de l’autel et s’essuya le visage. L’assemblée semblait comme être pétrifiée.

pnj

Maîsse Arsouye était à la foi ému et heurté par les propos de Kolmar. Ses propos étaient ceux d'une véritable aristotélicien, de quelqu'un qui a compris que l'amitié n'est pas une chose virtuelle mais une vertu à cultiver chaque jour. Lui aussi s'était opposé à cette guerre, la jugeant inutile et contre-productive. Il était certain qu'elle serait nocive pour l'Artois.

Mais la virulence des propos de Kolmar lui serrait le coeur. Il attrapa le bras de Ced, qui était assis à côté de lui.

Mon fils, je me sens mal.

pnj

Maîsse Arsouye prit appui sur Ced et retourna à sa chaise.

Merci, mon fils. Continuez donc la cérémonie !

Kolmar

Kolmar d’une voix forte dit:

Nous allons lire le livre des vertus:

Et Dieu lui demanda: “Et toi, l’humain, n’as-tu rien à Me répondre? J’ai ici convoqué toute Ma création pour trouver celui qui donnera la juste réponse à Ma question. Tu es venu et tu n’as pas répondu. Alors, maintenant, Je te somme de le faire!”. Alors, Oane, terrifié par le ton sévère de son créateur, leva les yeux vers Lui et, d’un ton hésitant, dit: “Mais, ô Très Haut, je ne sais si ma réponse est juste...”. Et Dieu lui ordonna: “Parle et je te le dirai!”.

Alors, Oane répondit: “Tu as certes fait Tes créatures se nourrissant les unes des autres. Il leur faut chasser et tuer pour se nourrir. De même, il leur faut se battre pour défendre sa vie. Mais il n’y a pas de fort ni de faible. Personne ne rabaisse ni ne piétine les autres. Nous sommes tous unis dans la vie et nous sommes tous Tes humbles serviteurs. Car Tu es notre créateur.”

“C’est pour cela que Tu as donné des talents plus beaux les uns que les autres à toutes Tes créatures. Chacune d’elles a sa place dans Ta création. Son talent permet à chacune d’elles de la trouver. De ce fait, il n’y a pas de créature préférée de Toi, ô Très Haut. Nous sommes toutes pareillement aimées par Toi et nous nous devons tous t’aimer en retour. Car, sans Toi, nous n’existerions pas. Tu nous a créé alors que rien ne t’y obligeait et nous nous devons de t’aimer pour te remercier de ce geste.”

“Nous sommes certes enchaînées à la matière, certes soumis à ses lois, mais notre but est de tendre vers Toi, l’Esprit Éternel et Parfait. Donc, selon moi, le sens que Tu as donné à la vie est l’amour.” Alors Dieu dit: “Humain, puisque tu es le seul à avoir compris ce qu’était l’amour, Je fais de tes semblables Mes enfants. Ainsi, tu sais que le talent de ton espèce est sa capacité à M’aimer et à aimer tes semblables. Les autres espèces ne savent aimer qu’elles-mêmes.

Kolmar attendis que ces paroles eurent fini de raisonner dans la cathédrale.

Willy_ii

Nath et Willy II entrèrent donc dans la Cathédrale, et prirent place dans les premières rangés, sans trop faire de bruit.
Willy II était très content d'être auprès de Nath en ce moment. Quand la Père Ced93, Willy II écouta sagement même s'il connaissait très bien ce passage. Puis ils prièrent tous en mémoire de Oane. C’était une très belle journée aujourd’hui.
Heureusement que Nath et Willy II se trouvaient dans les premières rangés, car la voix du prélat était faible, c'est vrai.

pnj

Le vieux prélat s'avança. Il posa un livre sur le lutrin, c'était un exemplaire du Livre des Vertus. Il l'ouvrit à une page marquée par un signet puis commença la lecture :

Citation:

La Vita d'Aristote

Aristote suivait l’enseignement de Platon avec avidité. Ce que le maître disait, l’élève l’intégrait comme inaltérable vérité. Les grandes capacités d’Aristote en avaient fait le disciple préféré de Platon, et lorsque le maître énonçait un principe, l’élève trouvait toujours le moyen d’en assurer l’exactitude, par quelques réflexions ou exemples bien trouvés.

Mais un beau jour, le maître et l’élève eurent leur première dissension, alors que Platon affirmait la chose suivante.

Platon : "Ainsi, les idées sont une création abstraite de notre intellect. Elles ont une existence qui leur est propre."

Aristote : "Vous voulez dire, maître, qu’il n’existe pas autant de choses que d’idées ?"

Platon : "Oui, c’est ce que je veux dire, brillant disciple."

Aristote : "Mais par là même, vous prétendez qu’il existe des choses sans qu’une idée y soit associée, et inversement."

Platon : "En effet, l’idée est le produit de la conscience, et la chose celle du réel. C’est deux objets qu’il convient de distinguer."

Aristote : "Voilà bien une proposition étrange, cher maître, de dissocier ainsi ce qui est indubitablement lié."

Platon : "Que veux-tu dire ?"

Aristote : "Et bien qu’une idée ne peut exister sans la chose à laquelle elle se réfère."

Platon : "Mais que fais-tu de l’abstraction, Aristote ?"

Aristote : "L’abstraction est une illusion, cher maître. L’idée ne vient à l’esprit que tant qu’il existe la chose. Nous sommes parties d’un tout, et si un élément devient intelligible, c’est bien parce qu’il existe."

Platon : "Mais par telle affirmation, tu nies le pouvoir créateur de l’esprit."

Aristote : "L’esprit ne fait qu’observer et constater. Les idées ne sont que la faculté de l’homme à voir ce qui l’entoure. Elles ne font que rendre intelligible l’essence des choses. Et par extension, les choses qui sont intelligibles à l’homme ne sont qu’une copie des idées qu’il s’en fait. Rien n’existe en dehors de l’intelligibilité."

Dès lors, la rupture fut consommée entre le maître et le disciple. Aristote, entretenant toutefois un respect à l’égard de Platon qu’il conserva intact jusqu’à son trépas, prit la décision de s’affranchir de son professeur, et quitta Athènes.

Vous allez me dire, ce vieux radoteur a perdu la tête. Pourquoi nous parle-t-il de la rupture entre Aristote et Platon alors que Paques célèbre le renouveau ? Mes enfants, je vais vous expliquer.

Sa voix était faible, les rangs du fond avaient des difficulté à l'entendre. Mais il continua.

Qu'est-ce que le renouveau ? Ce n'est pas une naissance mais une renaissance. Et pour renaître, il faut avoir été mort, que ce soit symboliquement ou réellement. Or, ce texte nous parle d'une rupture radicale entre Aristote et celui qui était son maître. Cette rupture peut être assimilée à une sorte de mort. C'est la mort du lien privilégié entre maître et disciple, la mort d'une certaine tradition philosophique. Mais cette mort av permettre une renaissance, celle d'Aristote qu va pouvoir laisser s'épanouir sa doctrine. C'est grâce à cette rupture qu'il a suivi son chemin et que nous pouvons le suivre à sa suite.

Maîsse Arsouye était livide, épuisé... Mais il continua

Vous aussi, mes enfants, vous devez passer par des cycles de mort et de renaissance. C'est cela le sens de la fête de Pâques. N'ayez pas peur des fins de cycles, car elles annoncent des jours meilleurs. Et quand vous êtes dans le creux de la vague, sachez que toujours vous remonterez !

Qu'Aristote vous garde !!

Puis, il voulu retourner à sa place mais il avait du mal à tenir debout.

pnj

Cédric attrapa un bâton et alla aider le cardinal archevêque à s'assoir .

---fromFRnathgi

Nath avait mit du temps à choisir la robe qu'elle mettrait, et au bout d'un certain temps, elle se décida pour une robe aux reflets bordeaux. Willy l'attendait, aussi elle tenta de se dépêcher...
Une fois prête, il l'aida à prendre place sur le cheval, derrière lui.
Nath n'y était encore jamais allée et elle était heureuse de s'y rendre avec son meilleur ami.

Une fois arrivés, il l'aida à descendre de la monture, et ils se dirigèrent vers l'entrée de la cathédrale.
Des gens de tous les villages du Comté commençaient à affluer, et après qu'ils furent entrés dans la cathédrale, et après s'être un instant émerveillés sur la beauté des lieux, ils prirent place sur un banc, attendant le début de la messe.
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Constance_de_cleves

[HRP]Je trouve que mon perso n'a pas l'air d'une conne du tout dans sa tenue blanche à se deamnder si elle doit lire un second poème où non alors que tout le monde entre comme si de rien était.
Je suis censée faire quoi? Assister à la seconde messe sans avoir choisi d'y venir alors que l'enterrement n'est pas fini? Est-ce qu'il continuera après?[/HRP]

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qui a du fromage de brebis?

pnj

Ced93 étais revenu après s'être changé .

Il ouvrit le livre des vertus et lue un passage sur Oane .

Citation:

Pré-Histoire I - Oanylone

Les humains étaient désormais les enfants de Dieu. Cela avait pour conséquence qu’ils étaient maintenant dotés dune âme, qui serait jugées à la fin des temps en fonction de leur pratique de la vertu. De plus, cela
faisait qu’ils étaient maintenant voués à travailler pour assurer leur subsistance. Les autres créatures de la création, exceptée celle que le Très Haut n’avait pas nommé, leur étaient soumises. Les humains pouvaient ainsi les cultiver et les élever pour s’en nourrir.

Dieu n’intervint plus dans le monde, laissant Ses enfants vivre et prospérer. Il avait donné à la créature qu’Il n’avait pas nommée la liberté de les tenter pour qu’ils doivent avoir à choisir entre le chemin de la vertu et celui du péché. Etant omniscient, Il savait déjà comment serait leur avenir, mais il voulait que ce soit à eux de faire leurs preuves, sans les juger par avance.

Oane, celui qui avait correctement répondu à Dieu, était maintenant passé du statut simple d’esprit de la communauté à guide de celle-ci. Il ne rechignait pas à la tâche. Il les conduit à travers le monde se trouver un lieu propice à leur épanouissement. Pendant des années, ils traversèrent des déserts, des montagnes et des plaines du monde entier. Oane s’affaiblissait tout au long de ce périple, mais il n’abandonna jamais.

Finalement, le jour vint où ils trouvèrent une vallée propice à leur établissement. Il s'y trouvait un lac, qui semblait foisonnant de poissons. De vastes espaces étaient propices à l’élevage et à la culture. Les forêts environnantes fourniraient du bois. Il y avait même un verger, où poussaient de nombreux arbres fruitiers. La vallée se trouvait au pied d’une montagne, d’où des minéraux, tels que de l’or, du fer ou du charbon, pouvaient être extraits.

Oane était ravi que sa quête soit enfin arrivée à son terme. Il admirait la plaine du regard lorsqu’il s’effondra. Tous s’attroupèrent autour de lui pour lui venir en aide. Quelques uns tentaient de le maintenir dans une position presque assise, mais il était clair pour tous qu’il vivait ses derniers instants. Mais, malgré le tragique de l’événement, alors que tous étaient effarés, Oane arborait un sourire plein de sérénité.

Il dit: “N’ayez crainte, car ma mort n’est qu’un passage pour rejoindre Dieu. J’ai atteint la place que Dieu m’a réservé dans le monde et ait accompli ce qu’Il attendait de moi. La mort n’est pas pour moi la perte de la vie mais le passage vers une autre, bien meilleure. Il en sera de même pour vous si vous savez vivre dans la vertu. Alors, que vos larmes ne soient pas de tristesse mais de joie, car le Très Haut me fait le plus beau des cadeaux. Aimez Le et Il vous aimera. Adorez-Le et Il vous bénira. Vivez dans la vertu et Il vous accueillera à Ses côtés.”

Alors, il rendit son dernier soupir. Et tous se regardèrent les uns les autres, ne comprenant pas cette sérénité qui s’affichait encore sur le visage de leur guide. Ils enterrèrent son corps au milieu de la vallée, là où ils vivraient dorénavant. Ils firent le serment que, chaque semaine, ils se réuniraient autour de sa tombe, afin qu’il les accompagne et les guide lorsqu’ils rendraient hommage à Dieu.

Mais aucun ne comprit l’amour qu’avait Oane pour Dieu lui fasse accepter la mort avec autant de sérénité. Mais personne ne voulait lui faire le moindre reproche, à lui qui avait tant fait pour eux. En hommage à sa vie au service des humains et de Dieu, ils décidèrent de nommer la cité qu’ils allaient construire Oanylone, “la cité d’Oane”.

Spyosu

Puis il dit: prions mais enfants en mémoire de ce grand homme .

Puis alla s'assoir

pnj

Monseigneur Arsouye entra dans la cathédrale. Il semblait encore un peu plus voûté que d'habitude. Son grand âge se marquait de plus en plus.

Il alla saluer Ced et les autres officiants puis il prit place sur une chaise placée à côté de l'autel.

Edge

Comme promis, Edge arriva à la cathédrale, avec sa petite Narcisse qui lui tenait la main. Ces dernières semaines le prévôt était plus occupé à s'assurer que les défenses de l'Artois étaient efficaces que de penser à aller à la messe. Cela lui ferait donc du bien, surtout si le Père Kolmar fait son sermont... D'ailleurs la veille il avait eu droit à un excellent aperçu. La suite ne le décevrait certainement pas.

Il entra donc, encore peu de personnes étaient arrivés remarqua-t-il, et il prit place dans le milieu de la cathédrale ne tenant tout simplement pas à être dans les premiers, ni à se mettre dans le fond... Il rappelle à sa fille comment il faut se tenir durant une messe, puis s'assit avec elle en attendant que cela commence. Il salua tout de même ses connaissances qui passaient devant lui.

Et il se demandait aussi, et surtout, si sa femme viendrait... Une messe familiale serait merveilleuse... Mais il s'abstient de faire la remarque à Narcisse, ne voulant pas qu'elle pense trop à sa mère et qu'elle parte à sa recherche durant le sermont... ça ne serait pas le moment... Hum...

pnj

Ced93 arriva dans la Cathédrale de bon matin et y ouvrit vite les grandes portes en attendant l’arrivé des fidèles.
Bonjour chers fidèle,
Bienvenue en ce jours en la Cathédrale Saint Raphaëlle de Cambrai.

Aujourd’hui, nous allions célébrer la dernière apparition d’Oane aux hommes et par le sacrifice de toute l’Eglise appeler à la paix, la réconciliation et l’Amour de Dieu sur terre. Dans la communion des fidèles, la Parole vraie et intacte de notre Seigneur serait préservée du Malin. Aussi le pain et le vin seraient de nouveau aujourd’hui l’incarnation de la miséricorde et de la souffrance de nos frères dans le monde.

Chers fidèles aujourd’hui la messe sera dîtes par Monseigneur Arsouye, le Père Kolmar , Selee et moi-même .

Je vous lance en ce jour saint un appelle à la confessions l’adresse du confessionnal le plus proche est:http://confessionnal-mobile.superforum.fr/index.htm .

Kolmar

Kolmar approcha du vicaire et l’embrassa chaleureusement.

Mon frère , c’est un honneur que de faire cette célébration avec vous.

Kolmar la mine renfrogné entra dans l’édifice religieux. Il semblait avoir la tête des mauvais jours….

Chevalier_dide

Un homme avec une longue cape noir, entra dans le lieu saint de la cathédrale d'Arras pour assister à la messe de la dernière apparition, il surveilla de côté de sa cape les garde épiscopale qui parcourait le lieu .

Il S'inclina en fessant le signe de croix sur le tapis rouge de la cathédrale pour prendre ensuite place sur une chaise au fond .
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Beauziac

Beauziac,rentra dans la belle cathedrale et s'assis pour ecouter le sermont.

Kolmar

Assis dans le fond du coeur de la cathedrale Kolmar voyais les fideles entrer. l'air toujours en colere il essaya de se concentrer sur son sermon....

Il savait que cela ne plairai pas a beaucoup mais n'en avait cure.....

Willy_ii

Après s'être rendu à l'église St Bertincourt pour y prier, Willy II vit l'annonce de Père Kolmar à propos de la messe en la cathédrale.

Il alla chercher sa monture à l'écurie. Juste avant de quitter le village pour se rendre à la Cathédrale, Willy II passa à la maison de sa chère petite Nath qui aimerait s'en doute faire la route avec lui pour aller à une grande messe.

Une fois que sa Nath fut enfin prête (Après une éternité... les femmes mettent trois jours pour se préparer, c'est bien connu :p), ils prirent ainsi la route à deux sur le même cheval.

Après avoir traversé moult pâtures, et moult chemin boueux, ils arrivèrent enfin en place publique, juste devant la grande Cathédrale.

Willy II n'avait pas l'habitude de se rendre à la Cathédrale, et s'était pour lui toujours un aussi grand événement. La cathédrale était si grande, si belle. Un bâtiment le plus saint qu'il pouvait y avoir sur terre, un bâtiment qui reflétait l'amour de la vie, l'amitié Aristotélicienne, et toute autre bonne chose de la vie.
Le cœur de Willy II battait fort à l'intérieur de sa poitrine, cela lui faisait quelque chose. Il prit la main de Nath, afin de l'aider à descendre de la monture, et ils marchèrent ensemble en direction de la cathédrale.

Deedlitt

Deedlitt avait sortit une fois de plus sa toilette blanche, elle portait le deuil au coté de son époux, pas qu'elle eut beaucoup connu cette cousine, mais elle la respectait beaucoup pour le peu qu'elle l'avait côtoyé.

Grégoire lui semblait très affecté par tout ceci, elle se devait donc d'être à ses cotés et de le soutenir... Les couleurs des familles étaient en bernes...Triste jour, un de plus...

Elle écouta les vers de 100drine, impassible.
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Kolmar

Kolmar fit signe a dame 100drine pour qu'elle avance...

Constance_de_cleves

Perdue dans ses pensées 100drine failli ne pas voir le geste de Kolmar.

Elle s'avança alors timidement en luttant pour ne pas rougir. Elle respirait le plus tranquillement possible et en pensant à cette grande Dame... Pour elle, elle pouvait bien parler devant tout le monde sans virer au rouge.

Une fois devant l'assemblée elle sortit un parchemin de sa manche. Le papier était plutôt usé. Elle posa son regard dessus pour prendre un peu d'assurance puis regarder les personnes réunies en cette funeste occasion.

Vous devez tous savoir à quel point Patience, car c'est sous ce nom que je l'ai connue et que je l'ai toujours appelée, aimait la poésie. Pour lui rendre hommage j'ai décidé de vous lire un poème aujourd'hui, il n'est pas de moi, je ne suis pas assez douée pour cela. Il est de la personne qui pouvait la décrire au mieux, il est de son défunt mari et reflète l'amour qu'il y avait entre eux.

Ode à la belle Patience

Patience,

Au creux des ailes de l'errance,
Dans la chaleur de l'espérance
Il est un nom aux résonances
qui chantent là dans nos silences.

Patience,

Merci merci pour la confiance
Dont vous offrez la quintessence
A ceux qui sont dans l'ignorance
De cet Amour qui en eux danse ...

100drine n'avait presque pas regardé sa feuille, elle avait tellement lu et relu ce poème ces derniers jours pour ne pas bafouiller, pour ne pas abimer cette oeuvre. Elle avait fermé les yeux et récité les doux vers d'une voix douce et posée.

Après les derniers mots elle garda les yeux fermés et écouta le silence qui régnait dans le saint lieu. Puis elle ouvrit lentement ses yeux et se décida à parler.

Je pense que c'est la description parfaite de cette Dame d'exception, je ne trouverai de plus beaux mots pour la définir...

Elle tourna la tête vers Kolmar attendant un signe. Elle ne savait pas si elle devait s'arrêter là et retourner à sa place ou lire un poème rédigé par la défunte.
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qui a du fromage de brebis?

Ladyhawke

Ladyhawke entra en silence dans le lieux saint, elle pensa à Patience, à leurs rencontre au sein des dames blanches, à la blancheur de la peaux de cette dernière, à ce teint pâle et frêle derrière le quel se cachait une forte volonté.
Elle avait fait leurs premiers entrainements ensembles, elle c'était affronté lors des joutes et avait été finaliste, c'est Patience qui avait gagné, elle c'était se jour là battue avec grandeur.

Ladye pensa aussi aux concours de poème que Patience avait organisé. Ses temps paraissait tellement lointain, souvenir léger d'un bonheur fugace.

Puis elle avait eu des différences d'opinions des broutilles, elles c'étaient alors moins rencontrés, chaqu'une vivant sa vie de son côté, se rencontrant furtivement à la commanderie, échangeant quelques mots, et repartant en toute hâte vers leurs destins respectifs.
Oui c'était une grande dame que l'Artois mettait en terre.
Elle allait à présent rejoindre son époux qu'elle adorait.

Ladye serra les poings, mais ne laissa couler aucune larme, elle restait sérieuse et droite à écouter la cérémonie. Elle avait vu des visages familiers, et leurs avaient juste fait un vague signe de tête en signe de salut.

Ombeline

Ombeline, pâle, s'était parée de sa tenue sombre devenue bien trop familière depuis quelques temps, pour venir à l'enterrement de Patience. Sa mort laisserait sans doute un immense vide dans le coeur de tous ceux qui avaient un jour eu la chance de croiser son chemin et de la connaître un peu. Patience et son époux marqueront à jamais l'Artois. Elle allait le rejoindre à tout jamais... lié à jamais.

Ombeline se revit encore sur cette cour, devant le château découvrant sa dépouille dans cette funeste carriole, courir pour annoncer au Comte de St Omer l'horrible nouvelle. L'enquête n'avait rien donné de concret...

En ce jour de Pâques, beaucoup de monde s'était déplacé pour lui rendre un ultime hommage. L'Artois perdait une grande Dame. Ombeline reconnut quelques visages familiers priants, mais ne s'attarda pas davantage dans l'allée centrale et prit place sur un petit banc. Les mains jointes, la jeune femme se receuillit silencieusement.
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Constance_de_cleves

100drine n'avait appris que très tardivement que son amie Patience n'était plus, elle la croyait entre la vie et la mort auprès de son frère... Elle ne savait pas ce qui avait bien pu arriver à cette grande Dame mais ne poserait pas de question.

C'est vêtue de la couleur du deuil de la tête aux pieds qu'elle pénétra dans la cathédrale qui était déjà bien pleine. Elle se signa et avança lentement dans le saint lieu. Ses yeux se posèrent sur une jeune femme qu'elle ne connaissait pas mais qui ressemblait étrangement à sa défunte amie Roxy. 100drine se dit que son imagination lui jouait des tours, qu'à force de perdre les personnes qui lui étaient chères elles commençaient à les voir partout. Elle finirait peut-être par voir son petit Laurent jouer au cerceau.

Elle allat directement voir Kolmar, elle avait une petite demande à lui faire.

Mon Père je sais combien Patience aimait la poésie. Je n'ai malheureusement pas le don qu'elle et son défunt mari possédait mais en son honneur, en leur honneur j'aimais que quelques minutes soient réservées à ce bel art. J'ai ici un poème écrit par le Baron qui la décrit si bien. J'ai aussi un poème écrit par Patience. est-ce que je pourrai les lire ou au moins un des deux? Si cela ne vous dérange pas faites moi avancer quand le moment s'y prêtera.

Après avoir fait un faible sourire à Kolmar elle fit demi-tour et alla s'asseoir sur un banc encore libre à l'écart des nobles. Elle n'avait pas osé s'asseoir à côté de l'inconnue aux cheveux roux.

Elle repensa à la première fois où elle avait rencontré Patience. C'était au bras de son frère. Elle était impatience de rencontrer "la douce Patience", celle qui faisait battre le coeur de l'être qui comptait le plus pour elle. Elles s'étaient bien entendues et tous les trois étaient parti faire un tour de l'Artois à cette époque où elle avait besoin de changer d'air.

L'amour était passé... son frère s'était absenté et un autre homme avait pris la place dans le coeur de Patience. Cet homme c'était Olivier qui portait si bien son nom de "Gentil". 100drine avait vu en lui un homme attentionné quand ils étaient venus à son mariage avec Gregory. A ce moment là Patience venait d'être gravement blessée en sauvant la vie du Comte de Lille et de Sainct Omer.

Elle songea alors que c'était vraiment une très grande Dame que l'Artois mettait en terre en ce jour. Elle porta ses yeux sur le Comte en question et attendait d'entendre l'éloge qu'il ferait d'elle.
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qui a du fromage de brebis?

Kolmar

Soudain Kolmar entendit une croiassement, celui d'une petite grenouille... elle etait venu pour Patience.. Alors il su qu'elle etait entre de bonne main... Mais qui pouvait comprendre...

---fromFRMandray

Coup sur coup Aristote avait rappelé à lui le Baron et la Baronne de Richebourg. En à peine quelques semaines, les deux époux avaient quitté l'Artois pour une terre de bonheur éternel. Mais qu'elles manquaient les voix de la raison en ces temps troublés!

Mandray écouta avec attention les paroles du Père Kolmar, accompagnant de ses prières les derniers pas de Patience. Une grande Dame, artisan de la paix, ancienne Régente. Elle avait guidé l'Artois et s'apprêtait à redevenir poussière.
Eternel cycle de la vie.

Mandray observa cette foule endeuillée, comme si tout l'Artois pleurait cette mort. Il aperçut Le Comte de Lille et de Sainct Omer. Il ne devrait plus tarder à prendre la parole se dit Longueau intérieurement.
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pnj

L'ange était là, invisible aux yeux des hommes mais présent au coeur de ceux qui croyaient en Dieu et sa paix éternelle. Infiniment reconnaissant pour tout ce que son ami Kolmar avait dit afin d'aider l'âme de Patience à rejoindre le Très Haut, porté par la présence de ceux qui étaient venus par amour pour Patience, l'ange à son tour se mit à prier.

Il fit alors cette prière dédiée à la poésie que jamais jusque là Patience n'avait entendue ... La poésie, cette forme de langage que Dieu avait donné aux hommes et que Patience aimait tant ... Cette poésie qui les avaient réunis il y a bien longtemps. Il lança alors vers le ciel la prière du poète.

Donne-moi, Poésie, un peu de ta lumière,
Du soleil une larme embrasant ta beauté
Afin d'illuminer le sang de ce côté
Qui souffre dans la nuit la peur de la poussière.

Donne-moi cette voix qui attendrit la pierre
Et la fait résonner de ces mots chuchotés
Afin de consoler ces enfants ligotés
Qui pleurent en silence au creux de nos paupières.

Donne-moi la tendresse et cette déraison
Qui offrent les couleurs d'une étrange saison
A la fleur qui se meurt de n'être plus si belle.

Donne-moi la magie, enivre l'écrivain
De ce rêve envoûtant à la force rebelle,
Donne-moi, Poésie, aux pouvoirs du Divin.

A travers les vitraux, un rayon vint embraser le coeur de l'ange. Dans l'écrin de son coeur se trouvait l'âme de Patience, telle une perle tant aimée. De son doigt lumineux, Dieu toucha les deux êtres. Alors l'ange s'éleva et emmena Patience dans l'Au-delà.

Maeva83

Elle n'avait pas connu personnellement la Baronne, mais avait lu nombre de correspondances que la dame avait échangé avec sa défunte soeur.
Au travers de ses lettres elle avait ressentie la grande bonté, la sensibilité et la générosité de la Baronne de Richebourg.
Sa foi et son engagement pour l'Artois avaient retenu son attention et suscité en elle un profond respect et beaucoup d'admiration.
Le malheur avait frappé cette famille et Maeva se sentait liée à son destin funeste.
Rox avait fait voeux de veiller, de protéger et guider les pas du dernier né des Richebourg, sa fin tragique ne lui avait malheureusement pas permis de tenir ses engagements.
Mais elle-même saurait déjouer le destin et retrouver l'enfant pour s'en occuper et le choyer comme sa propre sœur l'aurait fait.
Elle se recueillie en souhaitant de tout cœur que Patience trouve le repos et la paix éternelle auprès de son époux.
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Crystale2609

Ayant laissé sa tenue de soldat à Péronne, Crystale avait prit le chemin de la cathédrale.
Aujourd'hui était un jour particulier et elle se devait d'aller dire un dernier adieu à Patience.
Elle entra sans faire de bruit, la cathédrale était déjà pleine.
Elle écouta le discours de Kolmar avec attention.
Elle ne fut pas étonnée de l'entendre proner la fin de la guerre...
Ce cher Kolmar toujours à profiter d'une messe pour dire ce qu'il pense

Patience, chère Patience, comme vous manquerez à l'Artois.
Nous avons perdu une grande personne, Olivier, ensuite vous...
Pourquoi perdons nous ainsi les meilleurs...

Alazaïs

Alazaïs Montbazon-Navailles avait quitté la Grande Place d'Arras où avait lieu les débats pour les élections comtales pour assister à la dernière cérémonie en mémoire de Victorine de Richebourg...

La Catédrale était pleine; Alazaïs entra, tête haute, et rejoingnit les places réservées au nobles. Elle sentait certains regards non-avenants se poser sur sa nuque, mais en avait cure: la "Grande Dame" aurait probablement partagé son avis...
D'ailleurs, les propos du père Kolmar ne tardèrent pas à prendre ce sens...

Alazaïs écoutait distrètement, pensant surtout à l'amitié naissance entre elle et Patience... Malgrès de grandes divergences, qqchose les avait rapproché: leur droiture?...

Kolmar

Mes sœurs mes frères, nous savons tous que Patience était une femme de paix, mes frères mes sœurs je vous en conjure arrêtons les massacres qui nous blessent chaque jour un peu plus! Que les puissants les politiques qui décident pour nous arrêtent de nous demander d’aller mourir pour leurs querelles!! Qu’on les réunissent tous seuls sur un champs de bataille et que s’ils doivent mourir qu’ils le fassent entre eux au lieu d’envoyer de part er d’autres des innocents!

Je vous en conjure sur la dépouille de Patience : ARRETONS CETTE GUERRE!!!!!

Kolmar regarda un a un les visages des nobles présent lors de la ceremonie puis calmement repris:

Vous êtes l’Elite, élu, et pourtant que de mépris vous avez pour les gens qui souffre de vos erreurs….. Vous avez le pouvoir sur terre n’oubliez pas que vous ne serez que des âmes auprès du Notre Seigneur, et vous aurez à répondre de vos actes . Combien de mort vous faut t’il encore?

Je vais reprendre une phrase d’Aristote que je vous demande de méditer mesdames messieurs le Politique:

C'est de par leur caractère que les hommes sont ce qu'ils sont, mais c'est de par leurs actions qu'ils sont heureux, ou le contraire.

Kolmar ferma les yeux et repris en direction de la dépouille de son amie.

Ma fille c’est dans ces moments la que vous manquez le plus a Artois …….

Prions !! Pions pour que l’Ame de notre amie rejoigne le Tout Puissant et qu’il l’accueille dans son royaume pour l’éternité!

Amen

pnj

Amen

pnj

Maîsse Arsouye plaça ses mains sur la tête de Ced93

Que l'Ether aristotélicien achève lui-même en toi ce les autres éléments ont débutés. Frères, avec tous les saints qui intercèdent pour nous, confions à la miséricorde de Dieu celui qu'il a choisi comme prêtre.

Par l'imposition de mes mains et l'Ether aristotélicien, reçoit les pouvoirs de ton ministère et guide les fidèles aristotéliciens par l'exemple de Christos et d'Aristote afin de les aider à accéder au Paradis solaire. Voici par ailleurs les nouveaux symboles de ta charge et de ton statut :

Tu es désormais vicaire de Cambrai !

Relève-toi Ced93 prêtre de la Sainte Église Aristotélicienne, et va porter le message d'Aristote et de Christos !

pnj

Ced93 se releva puis remercia MesseArsouye puis dit :Amen

Kolmar

Kolmar entra dans la cathédrale. Ce monument à la gloire d’Aristote ou il avait officié tant de fois l’impressionnait toujours pas sa majesté. Pourtant en ce jour c’était le cœur lourd qu’il franchi la porte de la maison de Dieu. Les bras charge de fleurs blanche symbole de pureté, il s’arrêta devant l’autel et inclina la tête en signe de respect.

Puis doucement il déposa les fleurs autour de l’autel la ou devrait être déposer le cercueil de la baronne dés demain. Puis il entrepris de nettoyer le Saint Lieu pour recevoir dignement les obsèques de celle qu’il continuerai d’appeler Patience. Les bruits de bottes en Artois le peinait . Il savait que plus que tout que c’était la paix et l’amour qui avait guidé cette grande Dame et que là ou elle était elle devait souffrir de voir ses amis Artésiens tomber au combat…..

Apres plusieurs heures de nettoyage, Kolmar s’assit près d’une petite chapelle joins ces mains et pria.

Pendant une bonne demi heure il resta ainsi à prier pour Patience , l’Artois et contre la folie des hommes. Cela lui était douloureux de dire au revoir à une amie. Il avait déjà accompagné son époux dans sa dernière demeure maintenant elle allai le rejoindre.

Enfin Kolmar se leva et se dirigea vers la sacristie pour préparer sa tenue pour demain et écrire l’oraison pour Patience…

Les bruits de bottes continuaient autour de la cathédrale……….

Kolmar

Les Bruits de bottes s’étaient momentanément arrêtées….. Dans la fraicheur de la matinée de la Capitale Artésienne seul le glas résonnait. Les colombes qui avait pris pour nichoir le clocher s’envolèrent des les premiers échos de la grosse cloche.

Avant d’entrer dans la Cathédrale kolmar voulu y voir un signe du destin….. Elles sont libre et elles s’envolent dans les cieux que leur à donné le créateur loin de la furie des hommes.

Kolmar se dépêcha d’entrer dans la sacristie ou l’attendait sa chasuble qu’il enfila prestement.
Il leva les yeux vers la petite fenêtre et regarda le ciel .

Ma fille j’espère que vous ne serez pas loin de nous en ce jour……

La cathédrale se remplissait doucement , et kolmar observa la scène assis dans un grand fauteuil placée au fond du cœur.

Il fit un petit signe a l’organiste pour qu’il lance sa douce mélopée dans les travées.

Doucement le prêtre se leva et attendis debout les mains jointes que le corps de la Baronne traversa toute la nef. Avant que les portes ne se ferme un rayon de soleil traversa la Cathédrale et illumina le cercueil posé devant lui. Alors il sut au plus profond de lui qu’ils n’étaient pas seul et que des âmes illuminerai de leur présence cette ceremonie. Elle serai accompagnée auprès du Tout Puissant.

La voix tremblante kolmar pris la Parole:

Mes bien chères sœur, mes bien chères frères,

Nous voici réunis en ce triste jour pour dire adieu à pour certain une grande dame, pour d’autre a une amie…..

La vie, Dieu nous l’a donnée a chacun d’entre nous , n’oublions pas qu’Il peu quand Il le désire nous la reprendre pour nous ramener près de lui. Même si nous ne comprenons pas, même si nous sommes en colère, même si nous sommes triste, sachons que tout est fait par lui pour lui et en lui , et respectons Ces volontés…

Frères, si nous sommes ici, c'est pour entourer de notre amitié une famille qui est dans la peine. C'est aussi pour nous rappeler que Dieu se souvient de tout ce qu'il y a eu de bien dans la vie de notre sœur et de lui demander de lui faire bon accueil.

Doucement Kolmar alluma les cierges qui entouraient le cercueil de la Baronne.

L’Amitié est la lumière du monde c’est la flamme qui réchauffe notre cœur.
Quelle éclaire maintenant la route de Patience qui la conduit maintenant au Royaume de Dieu !

Ensuite kolmar prit sur l’Autel une croix qu’il déposa sur le cercueil de Patience.

Victorine nous déposons cette croix aristotélicienne sur ton cercueil.
Cette croix est le signe qui te relie à Aristote , qu'elle soit pour toi signe de salut et de vie éternelle.

Victorine, Patience , certain d’entre vous l’on connut sous ses deux noms, mais peu importe elle a toujours été la même pour chacun d’entre nous. Une femme qui c’est dévouée a sa communauté a l’Artois au plus puissant comme au plus pauvre. Sous ses atours de femme forte il y avait une femme de cœur de passion et d’amour. C’est cette amour qu’elles a donner sans compter qui la conduit ici devant nous. Je sais au plus profond de moi qu’elle ne le regrette pas. Oh si elle regrette simplement de ne pouvoir donner tout cet amour a son enfant qui devra vivre en orphelin mais avec la mémoire d’une maman conquérante forte douce et contre les compromis.

Certain d’entre nous ont été des adversaires politique de Victorine mais chacun peu témoigner de sa probité et de son dévouement pour son pays. C’est une enfant de l’Artois qui part mais c’est aussi une enfant de Bertincourt qui nous quitte. Elle a voyagé bougé mais a toujours gardé au fond de son cœur ce petit village qui l’a vus grandir et s’épanouir. Je me souviens de Patience avant qu’elle ne devienne La Baronne Victorine et je peux témoigner que jamais malgré les honneurs elle n’a changé…..

J’invite toute les personnes qui on connu notre amie a venir a mes cotés pour dire quelques mots en sa mémoire.

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Que l'Air aristotélicien purifie et donne bénédiction à ce serviteur du Très-Haut !

Face à l'eau symbole de pureté, Promets tu de partager de tout ton cœur, de toute ton âme et sans aucune restriction mentale les préceptes de l'éthique aristotélicienne qui consiste principalement à trouver le juste milieu entre abstinence et débauche ? Promets tu de tout ton cœur, de toute ton âme et sans aucune restriction mentale de refuser de sombrer dans le péché en cultivant les vertus et en luttant contre les vices ?

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Je le promet .

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Que l'Eau aristotélicienne purifie et donne bénédiction à ce serviteur du Très-Haut !

Maîsse Arsouye recula de quelques pas et tendit les mains vers le haut.

Béni ton serviteur, Ô Très-Haut et octroie lui ta protection et ta faveur.

Puis il revint vers Ced93

Récitons ensemble le crédo !

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Ced93 regarda messearsouye et dit d'une voix rock : Oui , je le jure .

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Que le Feu aristotélicien purifie et donne bénédiction à ce serviteur du Très-Haut !

L'archevêque passa à l'élément suivant.

Face à la pierre taillée, socle fondateur sur lequel repose toute l'architecture de l'édifice de notre Sainte Eglise Aristotélicienne, Veux-tu consacrer ta vie à suivre le chemin illustré par les paroles d'Aristote ? Promets tu de vivre en communion avec tes collègues dans le respect et l’obéissance de la Foi et de notre dogme pour la vie ?

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Je le promet je jure de tous faire pour qu'il puisse rejoindre dieux sur le soleil .

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Ced93 pris son collier aristotélicien et dit: Oui je le promet .

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Que la Terre aristotélicienne purifie et donne bénédiction à ce serviteur du Très-Haut !

Face à l'odeur de l'encens qui chasse les mauvaises émanations, Promets tu de respecter de tout ton coeur, de toute ton âme et sans aucune restriction mentale les préceptes du droit canonique de notre Sainte Eglise Aristotélicienne ? Promets tu d'aider les enfants de Dieu à échapper à l’Enfer lunaire en les éloignant de toute hétérodoxie ?

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Ced93 arriva dans la cathédrale et salua messearsouye puis se mit à genoux et dit Je suis près votre seigneurie .

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Le futur prêtre était arrivé. La cérémonie pouvait commencer.

Bonjour, mon fils, sois le bienvenu en ce lieu. Aujourd'hui est un jour particulier car je vais procéder à ton ordination à la prêtrise. Approche !

Fils bien-aimé, avant d'être ordonné prêtre, il convient que tu déclares devant l'assemblée ton intention de recevoir cette charge.

Veux-tu être consacré à la prêtrise de l'Église Aristotelicienne ?

Veux-tu accomplir ta mission de prêtre avec charité et simplicité de cœur, pour aider ton évêque, et faire progresser le peuple aristotelicien ?

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Oui je jure devant Aristote , Christos et Dieux tous puissant que je m'en aquiterais .

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Monseigneur Arsouye prit alors un exemplaire du Livre des Vertus et fit la lecture d'un passage choisi.

Livre de Vertus a écrit:

Vita de Christos, VIII

Christos reprit :

" Vous voulez me rejoindre ? Dans ce cas ayez beaucoup d’amour dans votre cœur et suivez-moi, partagez un peu de votre temps et de vos biens le temps que vous pourrez. Par contre si vous choisissez de vous dédier à guider les autres sur la voie de l'Eglise, il faut alors que vous soyez prêts à lui donner priorité. Alors prenez de la distance par rapport à vos biens, à votre travail, à vos outils, dites au revoir à votre famille… Préférez la simplicité et l'instruction aux riches ornements et aux beaux atours. Car notre tâche nécessitera de sacrifier le bien personnel au bien collectif, mais en échange vous serrez sacrés parmi les enfants de Dieu. "

Et il dit encore :

" Si votre famille ne vous comprend pas, priez pour elle, car elle n’est pas sensible au message de Dieu.
Si celui qui vous embauche vous en veut, ne lui en voulez pas, et priez pour lui, car il n’est pas sensible au message de Dieu.
Si vos amis vous retiennent, alors entraînez-les avec vous, afin qu’ils découvrent aussi le message de Dieu.

La route sera longue et tortueuse, le chemin rugueux, l’horizon lointain, la pente forte, mais le soleil qui brille guidera nos pas. Nous connaîtrons des difficultés, des disputes, des colères, des passions, des hésitations, mais l’amour et l’amitié nous uniront et Dieu nous portera.

Si vous voulez vivre seuls, raisonner seuls, manger seuls, marcher seuls, alors rien ne vous en empêche, passez votre chemin et réfugiez-vous dans l’amour de vous-mêmes.

Mais si quelqu’un vous frappe, et que vous tombez, alors personne ne vous relèvera.

Si vous voulez vivre en groupe, dans l’amour de votre prochain et de la multitude, si vous voulez partager votre pain avec vos amis, marcher avec vos frères, alors venez à moi et suivez-moi.

Dans ce cas, si vous tombez sur le chemin, un frère s’arrêtera, et vous relèvera. "

Et nous, ses amis, écoutions et approuvions Christos. Nous étions désormais douze pour le suivre. Les six femmes se nommaient Calandra, Adonia, Hélène, Kyrène, Ophelia et Uriana. Les six hommes se nommaient Daju, Thanos, Paulos, Nikolos, Titus et Samoht, votre serviteur.

Méditons ces paroles ! Sachons écouter le message de Christos, lui qui nous dit qu'il n'est rien de plus beau que le service de Dieu, et rien de plus gratifiant.

Maîsse Arsouye guida Ced93 au centre de l'Eglise et l'y fit s'agenouiller au centre d'un cercle tracé autour de quatre colonnades sur lesquelles reposent des objets de belle facture. Une vasque d'eau pure pour l'eau, un petit brasier pour le feu, une pierre taillée pour la terre et un encensoir pour l'air sont les symboles des quatre éléments de la théorie aristotélicienne. Le cercle et le futur prêtre figurent eux le dernier élément mystique : l'Ether, symbolisation de l'âme et de la présence du divin en toute chose.

Face à la flamme du brasier qui monte vers le ciel, promets-tu de vivre en communion avec l'oeuvre de Christos ainsi que dans le respect et l'obéissance de la hiérarchie de notre Sainte Eglise Aristotélicienne ?

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Ce mercredi matin Maîsse Arsouye pénétra tôt dans la cathédrale. Aujourd'hui, il devait ordonner Ced93 à la prêtrise. Ce serait un grand moment pour ce clerc. L'archevêque était un peu fébrile. Il aimait beaucoup cette cérémonie et il tenait à ce qu'elle soit parfaite.

Il attendit l'arrivée du candidat.

---fromFRMandray

Etant à Arras pour s'entretenir avec Albanus et Omby de son baptême qui serait officié par Lison à Amiens, Mandray vint méditer en la cathédrale dans la perspective de cet évènement.

C'était la première fois qu'il remettait les pieds dans la cathédrale d'Arras depuis la bien triste cérémonie d'adieu à Olivier de Richebourg. Pensif, il se dirigea vers un prie-Dieu.

L'archevêque de Cambrai était aujourd'hui présent en la cathédrale, une cérémonie devrait donc bientôt démarrer.
Ne souhaitant pas déranger l'archevêque, et avant que les fidèles n'arrivent, Mandray s'agenouilla puis entama sa méditation et une prière.
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---fromFRaristochate

Aristochate, toute de sombre vetue, s'asseya au fond de la cathedrale pour se recueillir aupres d'Olivier le gentil, et de sa famille...

Les larmes coulerent le long de ses joues quand elle pensait a la douce Dame Patience et leur enfant... Elle pensait a Romarin, qu'Olivier avait elevé...

Aristochate soupira et regarda la foule venue rendre hommagea OLivier, ils etaient nombreux car c'etait un homme adoré par le peuple artesien..

Aristochate se rememora la "malheureuse" aventure de dame patience dans les pivoines d'Olivier le Gentil.. a l'epoque, il etait encore pretre mais son coeur vascillait entre Patience et Aristote... ¨Patience s'etait rendue chez lui, et s'etait evanouie dans son jardin de pivoine. Olivier etait venu chercher Aristochate lui demandant de porter secours a la jeune femme... Aristochate l'avait aidé a remettre Patience sur pieds, mais voyant les yeux d'olivier remplit d'inquietude pour la jeune femme, Aristochate n'eut pas besoin d'un dessin pour s'eclipser doucement les laissant seuls....

en sortant de chez Olivier ce jour la, son coeur battait fort... elle voulait tant que ses deux etres se retrouvent et s'aiment.... elle y croyait, oui.. l'amour! olivier et patience!!!

Aristochate, meme dans cette cathedrale lugubre, souriat en repensant a cet episode....

Olivier, mon ami, merci pour votre gentilesse et votre bonté... Je vous ai apporté l'amour dans votre jardin, et vous m'avez accordé votre confiance ce jour la.... je vous regretterai a jamais... merci d'avoir enrichit ma vie, merci pour vos poesies, merci pour tout....

elle essuya une larme et murmura

je vous promet de veiller sur votre fils..... merci olivier, et bon voyage la haut!

aRISTOCHATE leva la tete pour voir si elle pouvait laisser le bouquet de fleurs blanches qu'elle avait apporté... blanche en pour le courage de Patience, blanche pour la pureté d'olivier....

elle se leva et posa son bouquet aupres de l'autel....
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pnj

Citation:

A tous les fidèles,

La Province de Reims, dont notre diocèse fait partie, a une nouveau vidame en la personne de Fabrizio05.

Je profite de l'occasion pour lancer un appel aux vocations !

La Garde Episcopale a pour objectif de protéger l'Eglise et ses clercs, mais elle est aussi au service de tous les fidèles. C'est un complément utile et nécessaire aux armées comtale et aux milices communales.

Vous êtes aristotéliciens ? Vous voulez vous battre pour un idéal ? Vous aimez l'aventure ?

Alors engagez-vous dans la Garde Episcopale

Pour cela, contactez Fabrizio05 dans les locaux de l'archevêché de Reim ou à son domicile.

Qu'Aristote vous garde !

Maîsse Arsouye
Archevêque de Cambrai

Faict à Azincourt le 9 février 1456

---fromFRAnonymous

Elle avait hésité longuement a venir jusqu'ici pour dire ses adieux à ce parain qu'elle avait peu cotoyer par sa faute a elle elle se l'avoua bien tristement.

Devant les portes, le son du glas, elle s'était reculée incapable de franchir le seuil.

Son coeur battait trop fort.

Comment pouvait-elle etre là ? Pourtant, pour Olivier elle le fit. Jamais il n'aurait hésité, lui qui croyait fermement en l'amour d'Aristote.

A l'intérieur, elle vit le cercueil, elle chancela. La mort était renfermé dans ce bois. Tenebrae ferma les yeux. Se reprit en respirant bien calmement.

Ne surtout pas s'évanouir. Elle était ici pour Olivier et Patience.

Elle s'avança donc, effleura des doigts ce lit éternel dans lequel dormirait Olivier. Pas Basilus.

NON! ne pas penser à ça.

Voyant le Père Kolmar, Tenebrae s'accrocha a cette vision après avoir saluer du regard Patience. Elle ne pourrait pas aller vers elle. C'était au dessus de ses forces. Tenant dans ses bras son enfant, Elle sentit les larmes envahir ses yeux. Qu'elle les ferma pour endiguer ce flot déplacé.

La voix de Kolmar la calma qu'elle les réouvrit ne fixant que lui ou le devant.

Ce n'est que lorsqu'elle entendit à nouveau les cloches, qu'elle comprit que c'était fini. Qu'Olivier, disparaitrait a jamais de leur vue mais resterait a jamais dans leur coeur.

Elle attendit le signal de la fin, titurant ses mains qui tremblaient de plus en plus. Pour une rare fois, elle avait le dos bien droit et la tete bien haute. Dissimulant ainsi toute la douleur que son coeur et son ame contenait. Dès qu'elle sortirait d'ici, elle partirait sans se retourner. Ne remettant jamais plus les pieds dans une église.

Tenebrae fit tout de meme une petite prière, pour que le coeur de Patience ne s'endurcisse pas comme le sien. Seulement, elle comprendrait que trop bien si cela s'avérait être le cas.

Judowarrior

Eloigné de Bertincourt par une longue mission,Judowarrior n'avait put se déplacer à temps pour assister à la messe dites en l'honneur d'Olivier.

Il n'arriva donc que tard,il ne comprit pas tout de suite,mais il semblait que l'on célébrait en même temps un baptême,celui d'un jeune enfant.

Cela lui rappela qu'il fut certainement le dernier à avoir été baptisé par le frère Olivier...

Il se rappela sa bonté et son dévouement pour Aristote...il se rappelait surtout que tout deux avait un peu la même motivation pour aider leurs semblables.

Il resta un moment à l'écart,constatant que nombreux étaient venue,signe que l'homme était apprécié.

Il ne resta pas longtemps,car une autre mission l'attendait déjas,il se glissa donc vers la dépouille et déposa une rose d'un blanc éclatant,puis il repartit aussi discrètement qu'il était venue,pressant le pas pour ne pas avoir à s'arrêter...
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Constance_de_cleves

100drine était arrivée discrètement, elle avait troqué sa robe orangée pour une tenue beaucoup plus sobre. Elle n'avait pas amené son fils pour cette triste messe mais tenait vraiment à y assister.

Elle ne connaissait pas trop Olivier. La première fois qu'elle l'avait rencontré c'était à son propre mariage il y avait bien longtemps. Elle aurait aimé le connaître plus mais on ne peut pas lutter contre la géographie : leurs villages n'étaient pas tout proches. Toujours est-il qu'elle avait toujours apprécié de le voir. Elle sourit en se rappelant tous les jolis noms qu'il lui avait donné à l'université. Cet homme était un véritable charmant, un être adorable...

Quelle tristesse elle avait ressentie en apprenant sa mort. Elle ne pouvait pas vraiment dire qu'elle avait été soulagée en sachant qu'il avait eu la chance de connaître son fils, elle ne parvenait pas à décrire ce sentiment. La vie était parfois bien injuste mais on ne pouvait rien y faire.

Elle alla présenter une nouvelle fois ses condoléances les plus sincères à la livide Patience. Elle n'aimait pas la voir dans cet état, encore plus blanche que ses vêtements. Elle comprenait sa douleur, compatissait, aurait voulu en prendre une partie...

Elle sourit au petit être qui était dans les bras de son amie Rox. Il était silencieux, ressemblant à un ange...

100drine ne trouvait pas les mots pour dire tout ce qu'elle ressentait. Elle se contentait pour la plupart des personnes présentes de fait un signe de tête.
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qui a du fromage de brebis?

Ombeline

Ombeline tout comme Albanus, se para d'une tenue sombre pour venir à l'enterrement du Frère Olivier. Sa mort laisserait sans doute un immense vide dans le coeur de tout ce qui avaient un jour eu la chance de croiser son chemin. Elle n'y croyait toujours pas et pourtant c'était l'horrible réalité. Beaucoup de monde s'était déplacé pour lui rendre un ultime hommage. Elle n'était point croyante mais de plus en plus la religion commençait à faire son chemin en elle.

Albanus après avoir discuté auprès d'amis, tout aussi touchés, la rejoignit afin d'entrer dans la Cathédrale. Ils virent Patience, les traits pâles mais toujours aussi digne, et belle malgré la douleur qui la traversait, trempant ses doigts dans l'un bénitier, se signer puis après quelques instants de recueillement devant le cercueil rejoindre le premier rang. Elle avait avec elle, un jeune nourrison, Ombeline supposa que ce fut son fils. Sa gorge se serra en les voyant. Elle s'accrocha au regard d'Albanus, elle ne prononça aucune parole mais fut heureuse de ne pas être seule en ce jour , fut heureuse de l'avoir à ses côtés et réalisa cette chance. Il posa sa main sur la sienne, et la prit puis ensemble ils prirent place sur l'un des bancs. Avec recueillement, Ombeline écouta l'office. Elle fut émue en entendant Kolmar s'exprimer sur le mari de Patience et encore plus de voir à quel point cette jeune fille calme si habituellement pleine de vie récitait l'une des oeuvres de son père avec courage.
Oui, le Frère Olivier laisserait un vide... L'office fut suivi du baptême du petit Nicolas... Ses pensées allèrent vers Patience, Romarin et le petit Nicolas.
Une fois, l'office achevée, de concert, ils allèrent présenter à nouveau leurs condoléances à Patience.
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Alazaïs

Alazaïs avait passée la semaine à Varesnes, au coté de Patience, sa présence lui semblant réconfortante, malgrès le peu de paroles échangées. C'est donc tout naturellement qu'elle l'avait accompagnée à la Cathédrale d'Arras dans son propre véhicule, sachant imminent le voyage diplomatique de la Baronne... Sur que celà lui ferait un bien fou! De nouvelles connaissances hors de ce Comté où elle étoufferait... Alazaïs superposait ces émotions à la situation...

Comme à son habitude, elle était resté dans le fond du bâtiment.
C'était étrange d'assister successivement à des funérailles et à un baptème... Personne ne savait vraiment quelle attitude adopter... Même l'enfant semblait avoir senti cette pesenteur: il était si silencieux...

---fromFRpatience

"Ce voyage te fera beaucoup de bien... " Victorine sourit à son cousin. Faire ce projet lui donnerait la force, l'envie ... peut-être. Le baiser du Baron de Houllefort lui procura un peu de chaleur, et les signes d'amitié des personnes présentes un peu de réconfort.

Victorine se tourna pour confier Nicolas à Rox sa désormais marraine. Les deux Dames Blanches échangèrent un regard. Elle savait combien ce geste était lourd de sens pour l'avenir. Elle avait confiance.

Un parrain, Kolmar, pour lui faire goûter les joies de la taverne après la messe. Une marraine, Rox, pour lui faire battre la campagne à la poursuite des pires criminels. Ce choix aurait-il plu à Olivier ... Certainement elle aurait prétexté que l'un était d'une grande bonté et l'autre poursuivait l'idéal chevaleresque. Certainement il aurait acquiessé avec un sourire tendre. Victorine sentit les larmes monter et se détourna vers les artésiens venus présenter leurs condoléances, pour, d'une voix faible, remercier chacun d'être venu honnorer la mémoire d'Olivier.

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Maeva83

Elle prit maladroitement mais délicatement l'enfant dans ses bras, elle était gênée de cette maladresse, mais oh combien honorée par cette marque de confiance et d'amitié dont elle faisait l'objet.

Il ne faisait aucun doute qu'elle le chérirait, le protégerait et guiderait ses pas vers sa destinée.
Son coeur débordait déjà d'amour pour ce petit être sans défense qu'on lui confiait. Les yeux embués par l'émotion, le coeur triste de faire ses derniers adieux au Baron, elle déposa un baiser sur la joue de Victorine, et se mit un peu en retrait pour bercer tendrement le petit Nicolas qui commençait à s'agiter.
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Jehanne

Jéhanne n'aurait manqué cet hommage pour rien au monde...
Elle était arrivée en Artois que depuis la veille et avait regagné Calais le jour même pour se reposer quelques heures et se rafraichir quelque peu de son dernier voyage en Normandie, où elle avait appis le drame.

Elle regagna Arras dans la matinée et attendit le cortège pour se joindre à lui, mais était restée en retrait.
Sa douleur était grande et se lisait sur son visage.

Elle avança péniblement vers la cathédrale qui accueillait les fidèles venus de toutes parts du Comté, puis y pénétra à son tour.
Elle se signa après avoir délicatement trempé le bout des doigts dans le bénitier prévu à cet effet.

Elle prit place, toujours en recul, afin de prier Le Très Haut en mémoire du Baron défunt.

Une fois de plus ses pensées allèrent à l'épouse d'Olivier et à cet enfant qu'il laissait derrière lui...
Jéhanne adressa aussi une prière pour que tous deux aient la force et le courage d'affronter le vide de cette disparition.
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pnj

Khis avait promis à sa soeur qu'il l'accompagnerait jusqu'à Arras en cette triste journée, pour les funérailles d'Olivier. Ainsi se trouvait-il à ses cotés lorsqu'elle entra dans l'église, lorsqu'elle se signa et avança vers le centre de l'église.

Lui-même n'avait jamais vraiment connu Olivier. Du moins, pas directement. Bien sur, ses poèmes étaient réputés pour être parmi les plus jolis d'Artois. Mais de l'Homme à proprement parler, Khis ne savait rien.

Il était triste pour Patience et leur enfant. Il savait qu'elle avait un tempérament fort, un tempérament de Richebourg. Mais il est parfois des peines que même un tel caractère n'arrive à surmonter.

Arrivé devant Patience et leur enfant, Khis ne sut quoi dire. Il la regarda d'un air plein de chagrin, mais également d'un air qui se voulait rassurant, comme pour dire qu'elle se devait de surmonter tout ceci, au moins pour le petit, et qu'elle aurait toute l'aide dont elle aurait besoin de la part de toutes les personnes qui se trouvaient là en ce jour.

Snuffymage

Snuffymage, qui était venu expréssement d'Azincourt pour assister à la messe d'enterrement, fut frappé par le grand nombre de personnes présentes.
Assis sur les bancs ou debouts, pleurant ou affichant des mine graves, toutes les classes sociales paratageaient le deuil.
Les visages tristes montraient à quel point Olivier avait été aimé.

Surtout par son épouse, visage livide et éploré plus que tous les autres.

---fromFRRomarin

A la fin de l'office, juste avant que les cloches ne sonnent à nouveau, Romarin s'était levée et avait fait signe à Kolmar en lui montrant un feuillet puis était venue à ses côtés. Sans préambule, la voix cassée, mais courageusement, la jeune fille si pleine de vie qu'on appelait "Petiote" fit la lecture de ce conte que les artésiens connaissaient déjà ...

La mort et le bouffon.

Il était une fois, il y a bien longtemps un bouffon qui avait tant mangé qu'on le disait proche du trépas au castel du Comte. Tout le monde était bien triste. Ce petit homme avait un humour si grand que tous aimaient à se raconter ses pitreries et ses frasques, les seigneurs et les dames durant leur somptueux dîners pour réjouir leurs hôtes, les soldats pour tromper l'ennui sur leur chemin de ronde, les enfants à la chapelle tandis que le vieux moine officiait, jusqu'aux cygnes des douves quand le temps était maussade. Mais à présent, tout le monde avait une humeur d'ours et la morosité semblait couler dans les flots gris des petits rus que pleurait le talweg, car la mort était venue au chevet du bouffon ...

Lorsque celle-ci s'approcha de lui dans sa belle houppelande noire, le bouffon ne résista pas ... au plaisir de lui raconter en pensée les meilleures blagues qu'il connaissait avant de décéder. Il était ainsi le bouffon du Comte ... Il suffisait de lui donner un public, et même sa dernière heure venue, il tentait encore d'amuser jusqu'à la mort elle-même. Celle-ci rit à s'en mordre les côtes, tremblant comme la quintaine touchée par cette arme inattendue, tant et si bien qu'à la fin ... le bouffon ne mourut point ! Car le pitre s'esclaffant avec elle recracha l'osselet de poulet qui s'était coincé dans sa gorge durant le repas. Tout le monde était bien soulagé, du sénéchal au cagot, à travers tout le Comté ! La joie revint crépiter comme le feu sur les torches des gardes, frétiller comme le poisson dans les rets des pêcheurs, chanter comme les trompettes aux banquets des grands nobles.

Tout le monde était bien soulagé à un petit détail près ... Plus personne ne mourait ! Et la quiétude un moment revenue dans la région s'en alla à nouveau rejoindre les oubliettes ... Que se passait-il donc ? La mort elle-même était-elle morte ? Cela ne se pouvait pas ! Mais où donc était-elle alors ? Le temps s'écoulait et plus personne ne décédait malgré les souffrances et la vieillesse. Plus personne n'héritait non plus alors que s'amassaient dans les coffres des vieux marchands les richesses rapportées par les aunes de tissu et les nombreuses denrées vendues sur les marchés du Comté. Les jeunes comme les vieillards, tous en avaient assez. Aristote et Satan eux-mêmes étaient d'accord pour une fois, ne voyant plus arriver à leurs portes les ouailles qui avaient fait preuve de fidélité à Dieu ou en avaient manqué. Il fallait trouver une solution. Oui, il fallait retrouver la mort.

Un jour, alors que la cloche sonnait none, le bouffon qui jusque là n'avait rien dit, n'y tint plus. C'est qu'il avait trouvé quelque chose après le départ de la mort qui avait peut-être un lien avec sa disparition. Il se rendit donc au cimetière près de l'église et là il l'attendit. Jusque là, il n'avait pas osé le faire car il craignait qu'elle ne le prit avec lui. Il avait déjà survécu à une rencontre et ne voulait pas retenter l'expérience. Mais à présent, la situation était trop grave.

Enfin minuit sonna et il la vit, errant parmi les tombes comme une âme en peine à la recherche de quelque chose, sa grande capuche abaissée sur sa tête comme si elle voulait cacher sa tristesse. Le bouffon s'approcha d'elle et lui tendit ce qu'il avait trouvé chez lui la veille de sa disparition. C'était une dent ! Une dent que la mort avait perdu chez le bouffon tandis que ses mâchoires s'entrechoquaient de rire. Délicatement la mort prit celle-ci et la replaça dans sa bouche. C'est qu'elle était coquette la sombre demoiselle et adorait séduire. Il n'était pas question pour elle de se présenter avec une dent en moins devant un beau chevalier tombé à la bataille. La mort s'inclina devant le bouffon puis elle se retira. Elle avait tant de travail en retard ! Le bouffon, quant à lui, fit rire encore longtemps tous les gens du Comté et vécut jusqu'à un âge extrêmement avancé, au point que certains disaient en souriant que la mort était bien loin d'avoir une dent contre lui ...

Olivier le Gentil.

Romarin sourit faiblement en regardant l'assemblée. Elle aurait tant aimé que son père soit ce bouffon-là et vive jusqu'à un âge avancé pour encore les charmer de ses pitreries. Elle ne dit rien de plus et se retira, le coeur triste.
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---fromFR>Thelvynotep

Un ciel maussade pour accueillir un évenement empli d'une tristesse sans fin. La bise glaciale qui hantait le parvis de l'Eglise était aussi mordante sous la grande voûte. Le glissement du vent hurlait lugubrement en résonnant sur les hautes colonnes, et se mélaient aux pleurs des personnes présentes pour dire au revoir à Olivier de Richebourg.

Thelvy se sentait le souffle court, peinant sous le fardeau de la douleur intérieur, douleur amplifiée par la sollenité de la cérémonie, mais empreinte d'une certaine résignation apaisante.
La vie suit son chemin, nous dit le Père Kolmar.

La vie suit son chemin...

Le Baron de Houllefort se glissa délicatement aux côtés de la Baronne pour rendre hommage au nouveau né nouvellement baptisé.

Avec un sourire léger, il posa sa grande main épaisse et caleuse sur le petit ventre, tandis que son esprit s'envolait dès années en arrière.

Lui même avait grandi sans un Père pour le guider. Il savait à quel point il était dur de se faire une place en ce monde gangréné, et que la vie lui jouerait bien des tours...Mais il venait d'entrer dans la Famille d'Aristote et Christos par le baptême, aussi sans doute était il un peu plus protégé face à l'adversité...

Puis Thelvy leva les yeux vers Patience, et parvint à lire dans la profondeur de ce regard blessé et de ce coeur meurtri, toute la force d'esprit et la détermination de cette jeune mère-veuve, à qui le destin avait joué bien vilaine farce.

Le Baron glissa lui glissa ces quelques mots.

Sois en Paix Victorine. Le petit est entre de bonnes mains pour affronter le monde de demain.
Sa Famille le protégera en toutes circonstances, tant qu'il vivra en ce monde.

Puis il déposa un baiser léger sur son front avant d'ajouter d'une voix presque inaudible...

Crois moi, ce voyage te fera beaucoup de bien...

Il sortit ensuite de la batisse, l'esprit embrumé de milles pensées.
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Disciple Elleurcien et Vandussien

Maeva83

Se tenant aux côtés de Kolmar, elle regardait l'enfant.

Attendrie par la finesse de ses traits, calme et paisible, insouciant.
Ce petit ange qui souriait déjà à la vie, ouvrait une brèche dans la douleur et laissait entrevoir une issue au chagrin.

Souffle d'espoir, ce dont de Dieu nous rappelait ses bontés et sa toute puissance.
Elle ferma les yeux un instant implorant le tout puissant de veiller sur cet enfant, promettant à son tour de l'entourer, le choyer, et guider ses pas dans la foi et son esprit. Déposant ensuite les yeux sur la dépouille du défunt, elle comprit que la mort en cet instant donnait un sens à la vie.
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Kolmar

Kolmar s’approcha de l enfant qui ouvrit un œil l’ai surpris . Le prêtre sorti de sa poche une petite fiole d’eau et en versa quelque goute sur le front du nourrisson et dis:

Nicolas je te baptise au nom d’Aristote . Que cette eau pure et bénie efface tous tes péchers . Je serai ton parrain et te guiderai dans la foi et dans ta vie d’homme! Olivier ton père t’as fait cadeaux de la vie, je te donnerai ainsi que tout ce qui t’aime le cadeaux de l’Amour. En mémoire de ton père.

Kolmar

Puis Kolmar s’adressa aux fidele d’une voix forte et tremblante:

Je vous propose de communiez ensemble de partager le pain et le vin comme nous l’a enseigner Aristote en passant vous pourrez si vous le désirez vous incliner en signe de respect devant la dépouille d’ Olivier et lui montrer ainsi votre respect.

Kolmar

Les amis et les fideles défilèrent pour recevoir la communion en marquant un arrêt devant le cercueil d’Olivier.

Mes biens chers frères mes bien chères sœurs, je vous demande d’ avoir une vie aussi riche et exemplaire que celle d’Olivier pour qu’il nous accompagne tout a long de notre vie ici bas!

Olivier restera dans la cathédrale tout au long de la journée afin que vous puissiez lui rendre un dernier hommage.

Ensuite il partira ce soir pour sa dernière demeure ou Victorine le désirera!

Kolmar fit un signe a Quasimonstro accoudé a la balustrade dans les hauteur de l’imposant monument pour qu’il actionne la cloche.

Puis dans un silence on entendis un léger croissement … Une petite grenouille s’était invitée aux obsèques du Diacre. Cela ne pouvait qu’être un signe de continuité….

---fromFRMandray

Il est des journées que l'on souhaite n'avoir à vivre que le plus tard possible. Ce triste samedi de janvier, le ciel lui-même semblait vouloir pleurer la disparition du Baron de Richebourg.

La nuit avait été courte pour Mandray, le sommeil peu paisible. S'habillant sans joie, il se dirigea ensuite vers la Cathédrale d'Arras afin d'accompagner par la prière le Baron vers le Très-Haut.

En pénétrant dans le saint lieu, les coeurs ne pouvaient manquer d'être assaillis par la lourde peine partagée par tous. De nombreux anonymes étaient déjà présents, et quelques personalités affluaient en silence.

Avisant Niria, il se dirigea vers elle puis s'assit en silence. Lui prenant doucement et tristement la main, il chercha la Baronne de Richebourg du regard. Ce n'est qu'après la cérémonie qu'il l'assurerait de son amitié. Pour l'instant, les paroles de Kolmar, qui officiait, devaient faire leur chemin vers les âmes et les coeurs.
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Maeva83

Elle se joint au long cortège d'amis et de parents qui se dirigeaient vers la maison du tout puissant.
Elle entendait chuchoter peine et désolement dans la foule endeuillée et larmoyante.
Machinalement elle suivait les groupuscules mais taisait son chagrin. Elle n'aurait su que dire tellement il était difficile d'accepter cette fatalité.

Elle savait par expérience que le temps aidait à surmonter les épreuves qui souvent entravaient nos chemins, mais perdre à jamais un être cher, ne plus pouvoir le toucher, le sentir, se confier, lui sourire, perdre à jamais le rythme des battements de son coeur, le bruissement de son souffle, cela relevait du domaine de l'impossible, de l'inconcevable.

Elle appréhendait le regard de Patience, peur d'y lire la souffrance, la douleur et le désarrois, elle souffrait de ne pas pouvoir, de ne pas savoir répondre à des yeux vides d'avoir trop pleuré et dénués d'espoir.
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---fromFRniria

Un froid sec avait envahit la capitale ce matin là, le ciel lavé par les pluies des derniers jours était de ce bleu si profond et si pâle des matins de gelé.
Le Soleil tentait vainement de dissiper le givre qui avait recouvert d'un linceul les tois et la végétation.
La blancheur de ses vêtements faisaient ressortir la pâleur presque maladive de la jeune femme.
Soudain, le glas emplit l'air, tous se turent, le temps se figea, comme si ce son tant redouté emportait toute vie avec lui.

Niria fit le chemin entre le château et la cathédrale à pied, seule, perdue dans ses pensées.
Arrivée devant l'édifice, elle y entra sans vraiment prendre garde, ce n'est qu'une fois à l'intérieur que l'émotion qui emplissait les lieux la submergea.
Elle trempa ses doigts dans le bénitier, et se signa puis alla prendre place.
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félonne devant le parjure

---fromFRpatience

Dans une voiture, non loin, Victorine attendait. Elle n’avait déjà que trop pleuré la perte de son époux. Elle était vide. Vide de larmes. Vide de lui. Mais pourtant vivante. Frêle, livide, mais vivante. Comment cela se pouvait-il … comment, sans lui, avait-elle une place dans ce monde ? Reconstruire. Reconstruire une vie sans lui … Olivier avait été un époux attentif. Il ne l’avait jamais détournée de ses actions pour l’Artois et l’avait souvent conseillée. Que ferait-elle … Comment rester à Varesnes au milieu des souvenirs de lui …

Elle leva les yeux vers la cathédrale, lieu de tant de moments de bonheur, leur mariage, puis celui de Grégoire … moments de fureur aussi quand elle subit l’assaut de brigands incendiaires.

Elle étirait ses flèches vers le ciel gris de l’Artois et ses portes grandes ouvertes invitaient à entrer et se recueillir. Déjà quelques artésiens pénétraient dans son ventre immense, vibrant à l’infini sous leurs pas hésitants. Ils s’avançaient dans l’allée centrale bordée de brasiers, s’enveloppaient de l’odeur d’encens qui avait envahi la cathédrale, et, au fond, se signaient devant le tombeau richement peint, drapé de blanc et auréolé de mille cierges.

Tout à coup, une, puis deux vibrations, puis une multitude, envahirent la ville, l’appelant d’un mélange de sonorités enchevêtrées qui peu à peu se mirent en place avec une régularité mélodieuse, presque gaie.

La Baronne se laissa emplir par les vibrations de ces cloches assourdissantes, y accrochant les battements de son cœur. Ne pas défaillir. Rester digne. Cependant elle mit un long moment avant de se décider à sortir et prendre pied sur le parvis. Alix, la nourrice, vint déposer dans ses bras un petit être emmailloté et blotti dans une couverture blanche. La mère baissa les yeux vers son enfant et un faible sourire illumina son visage. Son fils …

Ainsi apparut Victorine, sur le pas de l’immense porte, vêtue d’une robe blanche austère, au col remonté et sans perles ni fioritures, cachée sous un vaste et lourd manteau d’hermine blanche qui traînait sur les dalles, et portant dans ses bras le nouveau-né orphelin. Sous son voile blanc, nul n’aurait su lire l’expression de son visage. Seules ses épaules dégagées, sa tête droite, laissaient envisager qu’elle affrontait le sort avec courage et détermination. Mais au fond d’elle, toutes ses forces étaient réunies pour faire taire un cri, une douleur indicible qui brûlait ses chairs et l’aveuglait.

D’un geste mécanique, elle trempa ses doigts bleutés dans un bénitier et se signa avant de s’avancer vers le tombeau. Elle posa la main sur la pierre froide et se signa à nouveau avant de rejoindre le premier rang réservé à la famille et aux proches d’Olivier de Richebourg d’Ailhaud. L’enfant dormait paisiblement.
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Kolmar

La cathédrale s’emplissait doucement a l’appel de la plainte lugubre de la cloche.

Kolmar entra dans le cœur d la cathédrale et le silence se fit. Un silence lourd et pesant.

Il pris un inspiration et d’une voix pleine et grave dit:
Mes bien cher frères, mes bien chères sœurs, Nous voici réuni aujourd’hui pour rendre hommage a un homme de foi, a un homme de merite, a un homme qui tout au long de sa vie nous a monter le chemin de la compassion et de l’amour!!!

Kolmar marqua un silence puis d’une voix forte repris:

Mes amis je vous le dis Olivier est vivant!!!!! Dans le cœur de chacun d’entre nous!! Mes amis laissons le vivre en nous!

Prions mes amis prions pour cet homme de mérite et tachons de lui ressembler..

La porte de la cathédrale s’ouvrît et le cercueil Olivier porté par des moines traversa la nef.

Il fut posé devant le cœur sur des tréteaux . La lueur des cierges qui l’entourai l’éclaira tristement.

Kolmar repris la parole.

Mon frère, Vous qui êtes la devant moi connaissez maintenant des secrets qui me sont encore inconnu. Enfin vous savez……. Vous savez la bonté de Dieu , vous connaissez la force de son amour , vous faite parti de l’ Amour!!!!

Mes bien cher frères , certain d’entre vous on eu comme moi la chance de connaitre Olivier…. Cela on eu la chance de rencontrer dans leur vie un homme généreux plein de sagesse et de compassion.

J’ai eu cette chance, et je remercie Aristote de m’avoir donner l’occasion de côtoyer cet homme. J’ai une pensée toute particulière pour sa femme et son enfant qui doive être dan la peine aujourd’hui mais je veux leur dire a quel point il doit être fier de lui. Nicolas ton père t’aime.

A vous Patience qui avez su découvrir l’homme de cœur et d’affection qu’il était, qui avez su lui donner tant de jois et de bonheur qui avez su le rendre heureux comme il le méritait! Qui avez su lui donner des enfants qui sont le fruit présent de l’amour qui vous a uni. A travers lui Olivier est toujours vivant!!!

A toi son fils, Soi fier d’avoir pour héritage un homme tels que votre père. Un poète un homme d’une immense humanité un homme qui a dévoué sa vie aux autres. Vous pourrez être fier de dire « mon père? Mais c’est Olivier un saint homme.

Oui je vous le dis Olivier était et est un saint homme!!!!

Je cherche depuis un long moment un nom pour l’église de Bertincout. Je ne vois maintenant qu’un seul nom possible… Eglise Olivier le Gentil….. Je vous propose donc de donner ce nom a notre petite église ou il a tant passé de temps.

Puis s’adressant a Olivier en regardant le cercueil.

Olivier, tu nous manque a tous, donne nous la force de comprendre la volonté de Dieu….

Je vous demande a tous en mémoire de cet humaniste et en signe de paix fraternel de vous saluer les uns les autres maintenant pour ne pas oublier que le respect et la tolérance sont des valeurs que nous ne devons jamais oublier .

Kolmar descendit les quelques marches qui le séparait des fideles et se dirigea vers Patience et l’embrassa en lui disant:

Ma fille que la paix soit avec vous.

Puis il déposa un baiser sur le front de Nicolas

Mon fils que la paix soit avec toi tu as un papa formidable.

Je vous propose une lecture du livre des vertu :

Mais, pour que Dieu et la vie puissent s’aimer mutuellement, il fallait que cette dernière s’efforce constamment de se rapprocher de la perfection divine. Car elle était incapable de l’égaler. Le Très Haut créa donc le troisième mouvement: les choses supérieures iraient vers Dieu. Ainsi, la matière dont la vie était composée étant une chose lourde, elle fut posée sur le monde, car elle allait vers le bas. Mais, comme elle était aussi composée d’esprit, qui était une chose supérieure, elle tendrait vers la perfection divine.

Oui les choses supérieur iront vers Dieu !! Nous ne pouvons imaginer qu’Olivier ne soit considerer par le tout puissant comme supérieur c’est pour cela qu’il l’a rappeler auprès de lui.

Prions mes amis prions pour Olivier notre poète prions pour être de notre vivant a son image même si nous le savons tous cela ne sera pas simple.

Puis regardant Patience

Ma fille Nicolas a l’image de son père doit entrer dans la famille d’Aristote quoi de mieux que de célébrer la vie en ce moment je vous propose donc de Baptiser ici et maintenant votre fils . Si vous l’accepter je serai honorer d’être son parrain.

Kolmar

Le cœur lourd Kolmar poussa la porte de la cathédrale. Une immense peine le submergeai . Jamais office ne lui avait paru plus lourd a célébrer. Il s’agenouilla devant le cœur de la cathedrale se signa et d’un mouvement rapide écrasa une larme.
Il inspira une grande bouffée d’air et pensa a Olivier. Puis il se dirigea vers la sacristie pour passer sa chasuble.

Il monta dans le clocher pour réveiller Quasimonstro . celui-ci profondément endormi devait cuver le vin de messe qui avait pu lui tomber sous la main. Kolmar observa le Bedos ronfler comme un bien heureux. Le prêtre souri et délicatement réveilla l’homme. Celui-ci sursauta et le regarda d’un air hagard.

Mais c’est le père Cauchemar !! Chez pas l’or de la mèche!!

Kolmar regarda l ‘homme avec amusement et affection .

Non ce n’est pas l’heure de la messe ….. Il est toujours trop tôt pour rendre homage a un être cher qiu nous a quité ….

Qui chez qu’a quitter? Y a qu’a revenir le dimanche!!!

Olivier mon fils nous a quitter et je ne pense pas qu’il puisse revenir dimanche….. Pouvez vous sonner le glas et qu’il raisonne jusqu’au cieux pour qu’il nous entende….

D’un bon le bedos se leva

Pour lui je ferai pleurer les anches !!!!

Quasimostro se leva en se grattant la tête écrasant quelques poux au passage et se dirigea en titubant vers les cordes qui actionnaient les cloches et s’en saisi avec gravité . D’un geste sure il imprima un rythme lent et régulier à la plus grave. Son visage reflétait la gravité. Toute les vapeurs de l’alcool semblai avoir disparu.

Kolmar le laissa . D’un pas lourd et triste il pris la direction de la sacristie.

---fromFRniria

Niria soutint le regard de l'évêque, sans ciller. Puis d'une voix claire et déterminée lui répondit.

Moi Niria, fille du Seigneur et Comtesse d'Artois par la grâce de Dieu,
je promets de conserver et défendre les privilèges canoniques du clergé.
Je promets de conserver la paix du comté d'Artois.
Je promets d'empêcher l'iniquité sur le territoire artésien.
Je promets d'observer la justice et la miséricorde.
Et je promets de combattre l'hérésie et les hérétiques conformément aux lois de l'Eglise.
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félonne devant le parjure

---fromFRJackMor

La comtesse avait à présent fait la plus grande part de son devoir lors de cette cérémonie, et l'évêque était heureux que les choses suivissent ce cours. Alors Mgr JackMor put continuer la cérémonie.

La comtesse ayant répondu, l'évêque de Beauvais fit amener par un servant d'autel les éperons et l'épée de la comtesse afin de rappeler symboliquement que ce ministère est comme un renouvèlement de son serment de noblesse. Le servant chaussa les éperons à la comtesse et remit l'épée à l'évêque qui accolant l'épée sur l'épaule de la comtesse annonça:

Niria, sois à partir de maintenant et à jamais, un fier chevalier au service de l'Artois jusqu'à donner ta vie pour l'Artois et ses enfants afin de les sauver de la mort et de l'Enfer Lunaire, au nom de Dieu, d'Aristote et de Christos, Amen!

Puis l'évêque prit la couronne des comtes d'Artois et en ceignit la tête de Dame Niria, sous les yeux de toute la cour d'Artois réunie en ce jour.
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Evêque émérite de Beauvais
Sénéchal de l'Ordre des Chevaliers Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem

---fromFRpatience

Un messager aux couleurs de Richebourg pénétra dans l'impressionnante cathédrale. Il chercha des yeux le panneau d'affichage où, habituellement, l'on publiait les bans. Point de mariage prévu, non. En ce jour, c'était de bien funestes circonstances qui l'amenaient en ces lieux.

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---fromFRJackMor

Après quelques minutes de prière de la Comtesse et du prélat, ce dernier vint relever son amie et lui donna une franche accolade et annonça d'une voix claire:

Va! Et fasse que toujours l'Artois annonce au monde la Sainte Foi d'Aristote! Nous rendons grâce à Dieu!

Et c'est sur ces paroles que la bénédiction s'acheva.
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Evêque émérite de Beauvais
Sénéchal de l'Ordre des Chevaliers Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem

---fromFRniria

La cérémonie touchait à sa fin, après quelques minutes de prière, l’évêque termina la bénédiction.
Lorsqu’il la releva, Niria prit toute la mesure de sa charge.

Debout la jeune comtesse se tourna vers les personnes présentes et sourit en apercevant ses amis.
Elle salua Monseigneur JackMor puis alla les rejoindre.
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félonne devant le parjure

pnj

Monseigneur Arsouye arriva tôt à la cathédrale pour ce qui serait sa première messe en terre d'Artois.

Il fit sonner les cloches :

(((BING)))(((BONG))) (((BING)))(((BONG))) (((BING)))(((BONG)))

Puis il se plaçât sur le parvis pour accueillir les fidèles. Quand les ouailles furent arrivées, Monseigneur Arsouye entra à son tour dans l'église et se plaça devant l'autel, face aux fidèles. Il dût bien se rendre à l'évidence, l'église était moins remplie que d'habitude. Mais soit, il ferait quand même le sermon qu'il avait préparé.

Chères soeurs, chers frères, bienvenue en la maison d'Aristote !

Nous allons commencer cette messe par un petite prière traditionnelle. Je vous demande de penser à un thème bien précis. Cette fois, je vous invite à méditer sur ce que vous faites pour aider les plus pauvres.

Monseigneur Arsouye se dirigea vers l'autel, se plaça devant un grand livre ouvert et commença la lecture :

Citation:

Vita de Christos V

Citation:

Alors, comme Jeshua jeûnait depuis des jours, il avait de plus en plus faim. Il sentait son ventre lui faire mal, et monter en lui l’envie d’ouvrir les dernières provisions qui lui restait dans son sac en peau de mouton. La créature sans nom, douée d'un charisme exceptionnel lui disait :

" Ouvre ton sac, Christos, fils de Giosep, car tu as faim. Mange donc cette viande et ce pain qui t’attendent… tu pourra toujours te réserver les sauterelles pour plus tard. "

Christos répondit, sans se mettre en colère : " Va t’en, toi, qui veut me perdre dans la gourmandise. Je n’ouvrirais pas mon sac car le monde appartient à ceux qui savent endurer la faim. "

Le jeûne est une action de méditation, une action qui nous rapproche de Christos. Le jeûne, mes frères, mes soeurs, nous permet de comprendre ce que ressent l'affamé. Oh, je sais que vous travaillez dur pour gagner quelques maigres écus qui vous permettent alors de manger. Mais ce que vous prenez pour une charge est une bénédiction ! Car celui qui n'a rien, ni champs, ni échoppe dépend entièrement des autres. Il convient que les plus nantis donnent aux pauvres au lieu de se plaindre. Et cela le jeûne peut vous le faire comprendre dans votre corps.

Et Christos lui-même fut tenté. Et lui qui menait une vie de méditation et de pauvreté a refusé de céder à la tentation. Il s'est montré plus fort que la créature sans nom.

Aristote, déjà, nous enseignait la juste mesure. La vertu est un juste milieu entre deux vices extrêmes. Et dans le cas présent, ces vices ont pour nom prodigalité et avarice. L'avarice, c'est être jaloux de son avoir de manière maladive. Mais n'est-il pas vain de s'attacher à ce point aux choses matérielles quand le paradis est accessible par une vie pieuse et juste ? La prodigalité, c'est être négligent, et dispendieux. C'est gaspille et dilapider son patrimoine. Et c'est un vice tout aussi grave, même sous couvert de charité.

La véritable générosité, c'est de donner selon ce qu'on a, ni plus ni moins. Il n'y a pas de honte à chercher à s'enrichir, pas plus qu'à partager ses biens. Ce qui est honteux, c'est l'excès dans chacune de ces voies.

L'heure est maintenant venue de célébrer la communion.

Chers soeurs, chers frère, merci d'être venus. Qu'Aristote vous illumine le chemin menant à la sainteté.

AMEN !

Les fidèles se lèvent et se dirigent vers la sortie avec de nombreux murmures et chuchotements. Monseigneur Arsouye va sonner les cloches/

(((BING)))(((BONG))) (((BING)))(((BONG))) (((BING)))(((BONG)))

Puis il se rend sur le parvis pour répondre aux questions.

---fromFRJackMor

Mgr JackMor continua:

Maintenant réconciliés avec Dieu, prions le Seigneur!
Seigneur tu as donné aux hommes une sainte société
Afin que chacun puisse au mieux te servir:
Tu as fait la classe des travailleurs pour la vigne et le blé
Destinés au service de ton culte et de la vie des hommes,
Tu as fait la classe des clercs pour te prier et t'adorer
Pour offrir le salut et la paix de l'âme à tes fidèles,
Tu as fait la classe des nobles pour notre protection
Pour nous défendre par les lois et par les armes.
Tu as aussi institué un chef suprême, notre Comtesse,
Afin qu'avec l'accord et l'appui de l'Eglise elle nous conduise dans ta Paix!
Par Toi, Christos et Aristote, Amen!

Puis l'évêque releva les yeux et parla ainsi à la Comtesse Niria:
Niria, toi fille du Seigneur et Comtesse d'Artois par la grâce de Dieu,
Promets-tu de conserver et défendre les privilèges canoniques du clergé?
Promet-tu de conserver la paix du comté d'Artois?
Promets-tu d'empêcher l'iniquité sur le territoire artésien?
Promets-tu d'observer la justice et la miséricorde?
Promets-tu de combattre l'hérésie et les hérétiques conformément aux lois de l'Eglise?

L'évêque de Beauvais attendit alors la réponse de la Comtesse.
_________________
Evêque émérite de Beauvais
Sénéchal de l'Ordre des Chevaliers Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem

---fromFRniria

La cérémonie allait commencer, un à un, ses proches arrivaient. Niria sentit l’émotion la gagner au fur et à mesure que tout le monde s’installait.
Elle esquissa un léger sourire en voyant Mandray entrer aussi discrètement que possible. Sa présence la rasséréna.
Ainsi entourée, Niria se tourna plus confiante vers l’évêque.

Celui–ci commença la cérémonie, Niria se concentra sur ses paroles, elle avait du mal à réaliser que c’était elle qui était là, devant l’autel, prête à être couronnée.
Elle se ressaisit, les pensées vagabondes n’étaient guère de mise et reprit les paroles de monseigneur JackMor.
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félonne devant le parjure

pnj

C'est toute ébouriffée qu'elle pénétra dans la cathédrale. Pour rien au monde elle n'aurait manqué le couronnement de sa chère Niria et craignant d'arriver trop tard elle avait couru à perdre haleine.

Elle poussa un gros "OUF" de soulagement lorsque pénétrant dans la cathédrale elle fut soulagée de constater que la cérémonie n'avait pas encore commencé, ce qui fit tourner bien évidemment quelques têtes et c'est rougissante qu'elle se faufila dans les travées cherchant quelques arrageois parmi l'assemblée. Voyant Amadys prendre place auprès de Gnia, elle alla s'asseoir juste derrière eux.

---fromFRJackMor

Comme la cathédrale se remplissait, l'évêque comprit vite qu'il pourrait bientôt commencer la bénédiction de la Comtesse, sinon il pourrait toujours attendre: c'est bien connu de toute façon, il y a toujours des personnes en retard. Alors l'évêque commença avec un mot de bienvenue.

Soyez tous accueillis au nom de Dieu, d'Aristote et de Christos, Amen!
La Paix soit avec vous, et avec votre esprit!

Nous sommes ici présents pour la bénédiction de la nouvelle Comtesse d'Artois, Dame Niria. L'Artois a pendant longtemps été une terre relativement mécréante, mais cela a changé le jour où des hommes et des femmes ont pris leur destin en main et décidé de donner à Dieu la place qui lui revient dans notre société, au point qu'aujourd'hui l'Artois est réputé pour sa foi aristotélicienne. Ce lien de Dieu avec le peuple artésien a été concrétisé dans la bénédiction et le couronnement par un prélat artésien du Comte ou de la Comtesse d'Artois. Et c'est cela qui nous rassemble aujourd'hui. Mais avant de continuer notre cérémonie, reconnaissons nos péchés et demandons au Seigneur Tout-Puissant de bien vouloir nous pardonner nos fautes afin d'être purs pour pouvoir le servir.

Kyrie, Christe, Aristotele eleison!
(Seigneur, Christos, Aristote prenez pitié de nous!)
Pauvres pécheurs que nous sommes nous t'avons offensé,
Aie pitié de nous!
Pauvres pécheurs que nous sommes nous reconnaissons nos torts,
Aie pitié de nous!
Pauvres pécheurs que nous sommes nous attendons ton amour,
Aie pitié de nous!
Kyrie, Christe, Aristotele eleison!
_________________
Evêque émérite de Beauvais
Sénéchal de l'Ordre des Chevaliers Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem

---fromFRDerTeufel2

Le curé d'Arras entre alors dans la cathédrale et voit que Niria est déjà devant l'autel. En tentant de faire le moins de bruit possible pour ne pas géner la cérémonie qui allait commencer, Amadys se faufile à travers les bancs vers un visage familier.
Il ne connaissait pas encore le nouveau connétable mais il décide toutefois de s'assoir à côté... ou plutôt entre Gnia et ce dernier.
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---fromFRMandray

Tout récent Connétable d'Artois, Mandray n'avait qu'à peine eu le temps de prendre connaissance des dossiers lorsqu'il s'aperçut de l'urgence qu'il y avait à rencontrer le Prévôt des maréchaux, charge occupée temporairement par Dame Gnia.

Mandray se dirigea donc vers le bureau du Prévôt.
Devant la porte, il fut arrêté par un garde, qui lui signifia l'absence de Dame Gnia, présente en la Cathédrale afin d'assister à la cérémonie de couronnement de Niria.

C'était un moment important dans la vie politique de l'Artois et tout autant pour la jeune femme qui dirigeait le Comté. Mandray s'en voulu d'être en retard. Il se dirigea donc d'un pas rapide vers le lieu saint.

Faisant son entrée aussi discrètement qu'il le pouvait, il fut à la fois en colère contre lui même pour ne pas avoir été le premier à entrer mais également rassuré de ne point être le dernier.
Se dirigeant vers les places réservées au Haut Conseil, Mandray ne cessait d'admirer la jeune femme qui se tenait près de l'autel. Sa prestance, malgré son jeune âge, était évidente, tout comme sa beauté, quasi divine en ce lieu.

D'un geste respectueux de la tête, il salua l'évêque de Beauvais, sur qui reposait la charge d'officier, puis s'assit non loin de Dame Gnia.
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Gnia

En entrant dans la cathédrale, Gnia eut un soupir de soulagement. Pour une fois, elle avait réussi à ne pas être en retard. Ou bien était ce la cérémonie qui en avait ? Elle ne poussa pas plus loin ses interrogations, émerveillée par la majesté du lieu et encore plus par les raisons qui l'y menait.

Tout en prenant place, Gnia observait la silhouette debout devant l'autel.
Aujourd'hui on couronnait la comtesse d'Artois, Niria, sa marraine, sa confidente, son alliée, son amie.
Gnia se remémorait les journées de travail, les longues nuits de veille, les discussions à bâtons rompus, les joies, les inquiétudes et les peines qu'elles avaient toutes deux partagées jusqu'alors.
En proie à une vive émotion, elle leva le visage vers les voûtes de la cathédrale et adressa une prière muette au Très Haut, qu'il pose un oeil bienveillant sur la comtesse et sur l'Artois...

Constance_de_cleves

100drine n'avait pas vu son fils partir dans les bras de sa marraine. Elle se retint de faire un scandale en ce lieu sacré. Une fois son fils de retour à ses côtés il pouvait voir que les yeux de sa mère auraient pu lui envoyer des lances si elle en avait été capable. Elle lui attrapa pas la main et tira son bras pour lui murmurer :

Je t'avais pas interdit de parler de ça à ta maraine toi?

Je t'ai bien observé et je sais parfaitement ce que tu lui as dit!! Maintenant tu t'asseois et je ne veux plus t'entendre!!
Tu fais la statue sinon tu vas voir!
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qui a du fromage de brebis?

Luzifer

Le comte de Ponthieu s'avança doucement accompagné de la Dame de Lières qui se tenait fièrement à ses côtés.

Les lieux était magnifiquement illuminés.

Les yeux du comte brillaient de mille feux, il était fier et admiratif de voir sa petite soeur ainsi honorée.
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Maeva83

Elle attendait le couronnement depuis plusieurs jours maintenant et s'était apprêtée en conséquence. Elle entrait dans la cathédrale au bras de Luzi.
Tout en remontant l'allée principale, elle salua Didine déjà présente, et ils prirent place aux côtés de Bilbo aux premières loges. Luzi ne pouvait cacher sa joie de voir Niria sacrée Comtesse d'Artois. Il en éprouvait une grande fierté.
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---fromFRbilbokine

Bilbokine poussa la porte de cathédrale et pénétra dans l'enceinte de celle ci,pour le couronnement de sa comtesse, elle vit au loin 100drine qui était déjà présente avec Laurent ainsi que Niria et mon seigneur Jackmor.
Elle salua la comtesse ainsi que 100drine de la tête et esquissa des sourires a tous, puis se rendit prés de 100drine afin de s'assoir près de celle ci...

Puis elle fit un large sourire a Laurent et s'assit s'en dire un mot attendant le début de la cérémonie de couronnement de Niria...

Elle admira encore une fois les lieux comme elle le faisait à chaque fois, si grand et si magnifique qu'elle les trouvé admirable et resta pensive...
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Laurent_ddv

Laurent suivit sa mère, et vint faire une bien maladroite révérence face à la comtesse (la plus belle des comtesses, ça pour sûr). Echapant le temps d'une seconde à l'attention de 100drine, le petit garçon courra les bras grand ouverts vers sa marraine

Marraine !!

Laurent sauta dans les bras de Niria

Dis ma marraine adorée, tu veux bien m'offrir un cheval à noël?

Enfin Laurent tenta son plus beau sourire pour séduire la jolie comtesse
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Laurent deDorfsVald,

Jeune notable cambresien.
Fils de Constance de Clèves et d'Ivan deDorfsVald

---fromFRniria

Niria saluait 100drine alors qu'un petit garçonnet lui sauta dans les bras. Attendrie, souriante devant l'innocence qui faisait fit des convenances, elle le sera contre elle. Elle lui répondit après avoir fait un signe d'excuse à l'évêque.

Biensur mon poussin, mais à condition que tu reste sage n'est ce pas? Un cheval est une grande responsabilité.
Prends ce bâton de réglisse et va rejoindre maman, nous en reparlerons après.

Niria lui déposa un petit baiser sur la joue puis le suivit du regard afin de s'assurer qu'il rejoignait bien sa mère.
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félonne devant le parjure

Constance_de_cleves

Lorque 100drine avait appris que son amie Niria devait se faire couronner, elle avait fini de préparer la robe qu'elle avait prévu pour les fêtes. Elle avait aussi préparé de beau habit pour son fils.

Ils étaient partis tôt car devaient faire une grande partie du chemin à pieds.

100drine avait pris soin de remonter le bas de sa robe pour arriver impécable. Elle avait porter son fils sur la plupart du trajet car le pauvre petit était bien fatigué. Elle lui avait chanté de sa voix douce une petite berceuse pour qu'il se repose un peu.

Une fois devant la cathédrale, elle réveilla doucement Laurent.

Mon coeur... On est arrivé... Ta marraine est là... Il faut que tu sois bien sage et surtout silencieux d'accord? Sinon le monsieur en rouge ne va pas être content et risque de ne pas venir chez nous...

En disant cela, elle lui fit un clin d'oeil et le déposa délicatement au sol. Elle remit un peu d'ordre dans les cheveux de son fils et frappa un peu ses vêtements. Enfin elle mit de l'ordre dans sa propre tenue et ils entrèrent.

100drine portait une somptueuse robe blanche. Elle était bien décidée à [:montrer que sa période de tristesse était passée et qu'elle allait de l'avant à présent.

Elle fit une révérence à Niria et Laurent tenta de l'imiter. Le tableau était touchant. Ils se signèrent et s'assirent, 100drine ne voulent pas déranger son amie. Ils attendaient silencieusement, enfin 100drine tentait de répondre à toutes les questions de son fils le plus discrètement possible.
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qui a du fromage de brebis?

---fromFRniria

La jeune comtesse s'était échappé du château afin de prier et méditer avant la cérémonie qui se tiendrait le soir même en la cathédrale d'Arras.
A l'heure dites, sa voiture s'arrêta devant le parvis de l'église.
Niria en descendit et prit une profonde inspiration avant de pénétrer dans la cathédrale.
Elle n'y était venu qu'à de très rares occasions mais l'édifice était toujours aussi imposant et magnifique. Quelque peu tendue, elle ne prit vraiment garde à ce qui l'entourait.
La jeune femme se signa et posa un genoux à terre avant de s'avancer vers l'autel où elle salua l'évêque de Beauvais.
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félonne devant le parjure

---fromFRJackMor

Le Comté d'Artois venait de changer de dirigeant, et comme l'usage le voulait un couronnement aurait lieu. Par tradition, l'archevêque de Cambrai devait s'en charger, mais celui-ci venait d'arriver et n'avait pas eu le temps de se saisir de tous les tenants de la situation, aussi avait-il laissé cet honneur qu'est le couronnement entre les mains de Jacques Maar l'évêque trop méconnu de Beauvais. Celui-ci était malheureusement trop occupé et fuyait un peu trop les lieux publics au point que certains se demandaient s'il n'était pas devenu agoraphobe. On pouvait le dire d'une certaine manière, mais il se forçait néanmoins à intervenir de temps à autres et c'est dans l'intérêt commun qu'il avait décidé de procéder à ce couronnement de la nouvelle Comtesse: Niria.

L'évêque de Beauvais arriva dans la cathédrale d'Arras et partit revêtir ses ornements. Il s'assura que tout fût prêt et vint se placer dans le choeur pour attendre la Comtesse ainsi que sa Cour.
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Evêque émérite de Beauvais
Sénéchal de l'Ordre des Chevaliers Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem

Cyann

Cyann assista à la cérémonie du sacre du nouveau comte. Vu les circonstances difficiles dans lesquelles il arrivait au pouvoir et son inexpérience, en plus de ses talents et de son engagement, il lui faudrait bien un coup de pouce du Très Haut ... elle pria donc pour le comte Julian Clameçon puisse mener l'Artois d'une main de maitre vers son avenir
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---fromFRJackMor

Mgr JackMor a écrit:

Salutations à tous,
la Primatie fait un appel solennel aux fidèles de l'archidiocèse.

Suite à la nécessité pour Mgr Lodovicus de quitter son poste d'archevêque, nous cherchons un successeur à son poste. Si vous êtes au minimum prêtre et théologien (lvl3 voie d'Eglise), vous pouvez prétendre à la chaire archiépiscopale. Pour cela veuillez adresser votre candidature au Vice-Primat de France, Mgr JackMor, ou au Vicaire Episcopal du diocèse, le Père Yeuxbleus83, qui se chargeront de transmettre les candidatures à la Primatie à Rome, qui se chargera de déterminer après vote de l'ensemble des évêques de qui devra prendre la succession de Son Excellence Lodovicus.

Si vous connaissez quelqu'un susceptible d'être intéressé par cette charge vous pourrez lui demander s'il est intéressé, nous sommes toujours en recherche de vocations.
Votre candidature devra faire figurer votre CV ainsi qu'un programme sur les activités que vous voudrez mener en temps qu'archevêque.

Les candidatures seront recueillies durant deux semaines à dater du 22 octobre, après ce temps (c'est à dire le 6 novembre) toute candidature sera jugée nulle et non avenue.

Mgr Jacques Maar de Lamothe, Vice-Primat et Evêque de Beauvais.

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Evêque émérite de Beauvais
Sénéchal de l'Ordre des Chevaliers Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem

Alazaïs

Bien que son tout récent annoblissement lui permettait de prendre place dans les tous 1ers rangs, Alazaïs resta au fond de l'Eglise pour assister au couronnement de Julian Clamenç...
Prononcer ce nom lui était si étrange, alors qu'elle le connaissait depuis si longtemps sous son diminutif "P'tit Juju".

La cérémonie fut particulièrement rapide, sous doute un souhait du nouveau Comte, pour se remettre au travail au plus tôt... D'ailleurs, dès le couronnement effectif, il reprit son cheval et se mit en route pour Paris...

---fromFRJackMor

Le Comte Ptitjuju33 ayant répondu, JackMor fit amener par un servant d'autel les éperons et l'épée du comte afin de rappeler symboliquement que ce ministère est comme un renouvèlement de son serment de noblesse. Le servant chaussa les éperons au Comte et remit l'épée de Ptitjuju à l'évêque qui lui dit de s'agenouiller et accolant l'épée sur l'épaule du comte annonça:

Sois, à partir de maintenant et à jamais, un fier chevalier au service de l'Artois jusqu'à donner ta vie pour l'Artois et ses enfants afin de les sauver de la mort et de l'Enfer Lunaire, au nom de Dieu, d'Aristote et de Christos, Amen!

Puis Monseigneur JackMor prit une ampoule remplie de chrême et demanda au Comte de rester à genoux et traça avec l'huile bénite une croix sur le front du Comte et sur chacune de ses mains, puis les lui réunit en signe de prière et de soumission à Dieu et ses commandements. Après quelques minutes de prière des deux hommes, l'évêque vint relever son ami et lui donna une franche accolade et annonça d'une voix claire:

Va! Et fasse que toujours l'Artois annonce au monde la Sainte Foi d'Aristote! Nous rendons grâce à Dieu!

Et c'est sur ces paroles que le sacre s'acheva.
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Evêque émérite de Beauvais
Sénéchal de l'Ordre des Chevaliers Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem

---fromFRptitjuju33

P'tit Juju était ravi ; le sacre était fait, il était le Souverain du Comté, le représentant de l'Artois.

Il souhaitait de tout coeur être digne de ce rang... Jeune Comte, il avait encore tout à prouver, et il lui tenait à coeur de le faire.

Il avait du travail mais travaillait deux fois plus encore, car son inexpérience servirait les mauvaises langues.
Devant le Trés-Haut il s'était engagé, devant le Trés-Haut il avait juré... Le Trés-Haut l'aiderait, c'est dans par la foi qu'il franchira les obstacles, il en était maintenant convaincu.

P'tit Juju se trouva un peu étonner de la rapidité de la cérémonie, mais le temps pressait, et les membres du haut clergé en disposaient de peu également.
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---fromFRptitjuju33

P'tit Juju était impressioné par la cathédrale, et intimidé par l'instant.
Il regarda gravement autour de lui, puis se tourna vers l'évêque et dit simplement, d'une voix solennelle :

Devant Dieu et devant les Artésiens, je le promet.

Il n'était pas sûr de la formule utilisée, mais cette promesse, c'est aux Artésien aussi qu'il la faisait.
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---fromFRptitjuju33

Julian Clamenç arriva à la Cathédrale à cheval.
Le clergé subissait quelques changements, dûs à des remous internes. Les transmission d'informations se faisaient difficilement, mais il fût tout de même averti du début de la cérémonie.

C'est donc en toute hâte qu'il descendit de sa monture et entra dans la Cathédrale.
Monseigneur Jackmor, et sa grandeur le Comte Grégoire d'Ailhaud étaient déjà là.
Il s'installa, et attendit donc le début de la cérémonie, saluant d'un geste de tête le Comte.
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Lolodrogba24

Lolodrogba arriva à la porte de la cathédrale avec son cheval et vit qu'il n'y avait peu de monde aujourd'hui, pourtant ce dit il c'était le couronnement de Julian.
Il attacha son cheval et entra dans la cathédrale toujours aussi magnifique.
Il vit au loin le futur comte en compagnie de l'ancien comte et du prêtre.
Il s'approcha d'eux pour les saluer , puis alla s'installé au premier rang , celui des conseillers comtaux, on attendait maintenant l'arrivée des autres personnes puis la cérémonie pourrait commencer.

---fromFRbilbokine

Bilbokine arriva à la cathédrale, la dernière fois qu'elle y était venu c'était pour le mariage du comte Grégoire, Son cavalier lors de cette soirée l'avait même légèrement oublié... Enfin bon elle était en ces lieux aujourd'hui pour le baptême et le couronnement du comte en la personne de Julian Clamenç...

Elle se devait d'être la, Julian était son meilleur ami depuis fort longtemps maintenant... Une amitié forte les liés, ils étaient confidents, conseillers l'un pour l'autre, et bien plus, l'un n'allait pas, l'autre le savait et chaque fois cela était réciproque, toujours l'un derrière l'autre, ils se soutenaient mutuellement...

Elle poussa la porte de cathédrale et entra dans les remparts de celle ci, elle vit au loin Monseigneur Jackmor, Le Prêvot Lolodrogba et Grégoire et son épouse déjà présent ainsi que Julian. Elle s'avança jusque dans les premier rang, esquissa des sourires et salua les personnes déjà présente de la tête, puis s'assied non loin du couple mais pas trop près pour ne pas les gêner dans leurs convertations...

Elle admira les lieux comme elle le faisait à chaque fois et resta pensive attendant le début de la cérémonie...
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---fromFRJackMor

Voyant que tous étaient à présent pour le sacre, l'évêque décida d'exécuter rapidement la cérémonie qui n'avait que trop tardé, aussi décida-t-il de prendre le rituel N°3 qui est plus bref. Ainsi il commença:

Soyez tous accueillis au nom de Dieu, d'Aristote et de Christos, Amen!
La Paix soit avec vous, et avec votre esprit!

Nous sommes ici présents pour le sacre du nouveau Comte d'Artois, Messire Ptitjuju33. Je suis désolé de m'y prendre si tard, mais mieux vaut tard que jamais.
Avant votre ministère sacré, reconnaissons nous pécheurs:
Kyrie, Christe, Aristotele eleison!
(Seigneur, Christos, Aristote prenez pitié de nous!)

Maintenant réconciliés avec Dieu, prions le Seigneur!
Seigneur tu as donné aux hommes une sainte société
Afin que chacun puisse au mieux te servir:
Tu as fait la classe des travailleurs pour la vigne et le blé
Destinés au service de ton culte et de la vie des hommes,
Tu as fait la classe des clercs pour te prier et t'adorer
Pour offrir le salut et la paix de l'âme à tes fidèles,
Tu as fait la classe des nobles pour notre protection
Pour nous défendre par les lois et par les armes.
Tu as aussi institué un chef suprême, notre Comte,
Afin qu'avec l'accord et l'appui de l'Eglise il nous conduise dans ta Paix!
Par Toi, Christos et Aristote, Amen!

Puis l'évêque releva les yeux et parla ainsi au Comte Ptitjuju33:
Ptitjuju, toi fils du Seigneur et Comte d'Artois par la grâce de Dieu,
Promets-tu de conserver et défendre les privilèges canoniques du clergé?
Promet-tu de conserver la paix du comté d'Artois?
Promets-tu d'empêcher l'iniquité sur le territoire artésien?
Promets-tu d'observer la justice et la miséricorde?
Promets-tu de combattre l'hérésie et les hérétiques conformément aux lois de l'Eglise?

L'évêque de Beauvais attendit alors la réponse du jeune Comte.
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Evêque émérite de Beauvais
Sénéchal de l'Ordre des Chevaliers Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem

Deedlitt

En ce jour de fin d'été, la comtesse souriait, comme toujours lorsqu'elle était au bras de son époux. Elle descendit à ses cotés, devant l'édifice le plus sacré de ce monde à ses yeux.
Elle croisa son regard et y répondit par des yeux emplis de tendresse, décidément elle n'était pas prête de ce lasser de lui.

Quand les portes s'ouvrirent devant eux, elle se serra contre le bras de son bien aimé, signe qu'il était bel et bien là ... Après le bonheur de l'avoir rencontré et épousé, la crainte qu'elle ne doive être séparée de lui.

Etait-ce étrange? Elle ne se posait pas la question, il était ce qu'elle avait de plus cher sur cette terre, alors la simple idée de ne plus le voir lui tordait les tripes... Mais peu importe, ils étaient venu couronner le nouveau comte d'Artois... Enfin Grégoire surtout, elle assisterait simplement à la cérémonie.

Elle avait beaucoup appris de l'Artois depuis qu'elle l'avait rencontré, un comté qui n'était pas souvent jugé à sa juste valeur, hélas. Elle y avait rencontré déjà quelques personnes, des arrageois et arrageoises très sympathique et qui avaient eut la décence de ne pas la dépouiller au ramponneau.

Quelques pas... Elle arriva au premier rang, perdue dans ses pensées elle s'assied, prenant la main de son époux.

C'est un lieu de notre histoire mon époux, et aucun autre ne me fait revivre ces sentiments...

Elle regarda autour d'elle, personne n'était là à part le clercs artésien, cela la fit sourire, point d'opportun ou de protocolaire à l'horizon. Toujours assise sa main dans la sienne, elle la passa sur sa joue avant de déposer un baiser dans sa paume.

Il nous faudra instaurer un pèlerinage régulier en ces lieux.

Elle sourit doucement en ce disant "déjà presque 1 mois..."
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Thegregterror

La cathédrale d'Arras... il n'y était plus revenu depuis son mariage. La voiture aux couleurs de Lille et de Sainct-Omer arriva devant l'édifice religieux et s'arrêta juste devant l'entrée. Cela faisait un peu étrange... toutes les images lui revenaient encore mieux en mémoire... il ferma les yeux un court instant pour mieux les voir. Ouvrant ceux-ci, il croisa le regard de son aimée... il se demanda si elle pensait à la même chose. Cela faisait si loin et si proche à la fois... plus (+) qu'un beau souvenir.

L'entrée dans la cathédrale avec son épouse lui rappela le pourquoi de leur venue ici. Un baptême et le courronnement du Comte d'Artois par l'Eglise aristotélicienne... une bénédiction du règne à venir. C'était à lui, Comte sortant de venir courronner le nouveau Comte avec l'Evêque de Beauvais.
Cette lourde courronne... lourde était très symbolique... la charge l'était beaucoup plus, quoi que certains pouvaient en penser.

Se dirigeant vers le premier rang dans les places réservées à la noblesse, Grégoire souriait se rapprochant de l'autel, lieu qui resterait toujours gravé dans sa mémoire vu les différents évènements qui s'était passé juste là...

Ce lieu sera toujours magique pour moi...

Il la regardait tendrement. Il était serein, assurément moins fatigué... et plus libre depuis qu'il avait terminé son mandat, malgré les derniers évènements, il n'avait jamais eu autant de temps à faire autre chose, même en gardant ces autres charges.
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---fromFRbrunehautdartois

Brunehaut se tenait à la sortie de la cathédrale, au milieu de la populasse, venue acclamer le mariage du Comte.

Elle essayait de se frayer un chemin afin de voir passer le couple.

Quel beau monde, beaucoup de personalités du royaumes étaient venues assister à la célébration.

Lorqu'elle entendit parler de l'Ambassadeur DonChile, elle se retournat afin d'apercevoir cet homme dont elle avait entendue parler par son amie Gudule qui vivait en Périgord Angoumois, elle voulait absolument voir à quoi il ressemblait; mais la foule qui se pressait pour voir les mariés était trop dense, et elle ne pu absolument rien voir.
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Alazaïs

Alazaïs quitta la place désormais vide avec le dernier véhicule.

---fromFRJackMor

Monseigneur JackMor était arrivé à la cathédrale d'Arras. Il avait peu de temps et il lui fallait faire vite. Il courut presque jusqu'à la sacristie où il revêtit tous ses habits et vérifia que tout soit prêt pour le sacre du Comte d'Artois. La dernière fois que l'évêque s'était livré à cette activité, c'était quand il était évêque d'Orléans, cela remontait à loin mais il pensait qu'il pourrait faire ça facilement. Il vit son rituel et l'ouvrit à la page des sacres pour vérifier les objets: éperons, main de justice, manteau et couronne, ainsi qu'un exemplaire du Livre des Vertus. Lorsque tout fut prêt il alla dans le choeur de la cathédrale où il attendit le Comte pour le sacrer enfin.
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Evêque émérite de Beauvais
Sénéchal de l'Ordre des Chevaliers Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem

---fromFRDonChile

DonChile vit Dame Melinda s´approcher de lui, il prit une attitude digne et la salua respectueusement.

Quel plaisir de vous revoir et de vous savoir en bonne santé, vous nous manquez à l´Ambassade, vous savez? Qu´avez vous pensé de la cérémonie? Une réussite totale, assurément !!!

Puis il remarqua Adrienne, sa chère Adrienne, accompagné de son respectable époux, qui passèrent près de lui, en quête d´un véhicule...

Dame Adrienne, vous ici, comment allez vous? Mes salutations à votre époux. Quel heureux évenement que celui-ci, n´est il pas?

Il y avait encore beaucoup de monde autour du couple nouvellement marié, et DonChile décida d´attendre un peu avant d´aller les féliciter. Il rejoingnit l´ambassadeur Dazibao qui avait un cheval, et se mirent en route ensemble, à la suite du cortège.
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pnj

Lysandre revenait de sa garde à la porte Nord d'Arras, lorsqu'il vit passer les carosses...

Il aurait fort aimé assister à la cérémonie, mais son lieutenant l'avait mis à l'autre bout de la ville...

Soit, il était fier d'assurer la sécurité du Comte, et sans doute serait il amené avec l'armée à se rendre vers Saint Omer, pour pourquoi pas l'en féliciter.

Au pire, il le croiserai à la Chambellerie pour cet entretien qu'il attendait tant.

pnj

(doublon... désolé)

Snuffymage

Snuffymage applaudit bien fort avec tout le monde, content de voir que les relations Artois-Flandres, autrefois plutôt froide, s'étaient réchauffées.
Arras était une grande ville, mais Snuffymage n'y était pas perdu, tant mieux pour lui
Il avait mis un certain temps avant de comprendre que la cathédrale n'était pas une montagne

---fromFRMaguelonne de Rubroëk

Maguelonne avait passé la journée en compagnie du Comte Kremroat de Saint Ange et de sa famille, apprenant beaucoup de l'histoire des Flandres et de l'Artois, mais apprenant également beaucoup sur sa propre famille, sa soeur la Comtesse Mariemagnes.
Cette journée avait déjà été magique, et de voir Deedlitt arriver dans la cahédrale et la traverser, radieuse, heureuse, amoureuse aux côté du Comte, rendit cette journée magique... Enfin Deedlitt avait droit au bonheur inconditionnel !
Maguelonne assista, très émue à cette cérémonie, et dès qu'elle le put, dès qu'elle réussit à approcher son amie, elle vint l'embrasser, lui présenter ses voeux et lui signifia tout le bonheur qu'elle avait de la voir profiter du bonheur de l'amour !
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Adrienne

Retenus en Flandres par des affaires urgentes, Adrienne et Paracelse étaient arrivés avec beaucoup de retard en la Cathédrale Artésienne. Eux qui espéraient se glisser discrètement à l'intérieur de l'église avaient vite déchanté. La foule présente était à la hauteur de la sympathie qu'inspirait ce jeune couple prometteur, et les retardataires avaient fini par se résoudre à attendre la sortie des époux à l'extérieur de l'imposant édifice.

Finalement, ils n'eurent pas à regretter leur longue attente, car apercevoir Deedlitt, époustouflante de beauté dans une robe vert pâle, rayonnante au bras de son époux, valait bien le détour ! Ils aperçurent de nombreux ghentois venus soutenir la Comtesse, et retrouvèrent également avec joie leurs amis Faréna et Wilbur, rentrés spécialement de Guyenne pour l'occasion. Après le traditionnel lancer de riz, ils s'éclipsèrent vers la salle de cérémonie, en compagnie de Sardanapale, où ils auraient tout le loisir de féliciter les heureux mariés, loin de toute cette effervescence.
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pnj

Dès la fin de la cérémonie, un courrier fut porté au Comte d'Artois...

Citation:

Cher Comte Grégoire d'Ailhaud,

Je tiens à m'excuser de ne pouvoir être présent parmis vous, et vous remercie chaleureusement pour votre invitation. Malheureusement, mon état de santé précaire ne m'autorise pas de longs voyages, même chez notre plus proche et plus historique voisin.

Je tiens néanmoins à vous faire part de mes meilleurs voeux de bonheur, à vous ainsi qu'à votre promise, sa Grandeur Dame Deedlitt.

Au plaisir de vous croiser très prochainement.

Cordialement,

Tomsz
Duc de Champagne.

Cyann

Notre plantureuse blonde sourit malicieusement à la réponse de Messire Johan d'Etalon puis lui dit :

Bien que vous fassiez sans doute très bien l'âne, vous m'excuserez si je préfère que nous empruntions un des ces carrosses mis à notre disposition par notre conseil, le château est ... fort fort lointain tout de même et, pour ce jour qui sort de l'ordinaire, je porte des bottillons qui ne me porteront pas bien loin alors ... prenons ce carrosse.

Cyann entraîna Johan vers un carrosse aux armoiries du comté et grimpa dedans avec son aide empêtrée qu'elle était dans cette tenue de soirée qui lui était encore peu familière. Une fois installée, elle attendit que Johan s'installe à ses côtés tout en regardant les convives. Palsembleu, cêto qui a ben beaucoup de beau monde par ici se dit-elle. Notre comte et son épouse ont un mariage à la hauteur de leur générosité. sur ce ses pensées se mirent à vagabonder. Puis, le carrosse prit le départ dans la longue file.
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pnj

Le baron était finalement parvenu à rejoindre la cathédrale avec cette jambe qui le faisait tant souffrir.

Il n'y avait plus aucune place de libre au moment où il arriva, la cathédrale était bondée.

Le franciscain resta donc debout, bien discrètement, tout à l'arrière. La fièvre le gagnait tant sa douleur à la jambe était grande, mais il était resté jusqu'au bout de la célébration. Il était si heureux de voir ces deux époux unis.

Maeva83

Luzi et Rox essayaient de se frayer un passage jusqu'aux jeunes mariés pour les féliciter. C'était un peu la cohue, et beaucoup d'invités s'étaient déjà mis en route pour Saint-Omer.
Ils laissèrent le jeune couple remonter la haie d'honneur parsemée de jolies pétales de roses.
Ils les félicitèrent chaleureusement. Roxy ne manqua pas d'admirer de plus près la merveilleuse robe que portait Deedlitt.

Sous le charme de la jeune mariée, Roxy se présenta sans omettre une petite révérence, et glissa au creux de son oreille : De tout mon coeur, je vous souhaite beaucoup de bonheur et de joie aux côtés de Greg, qui j'en suis sûr, saura vous rendre heureuse

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Melinda

Mélinda n'avait pu approcher les nouveaux mariés mais peu importe elle irait les saluer plus tard, sur les terres de Sainct-Omer. Encore émue par la cérémonie qui venait de s'achever la Vicomtesse porta la jolie Aude et s'en alla en direction de la sortie. En chemin elle salua quelques têtes connues et reconnues dont Messire DonChile avec qui elle avait travaillé au service des ambassades royales.

Quel plaisir de vous recroiser Messire!

Daresha

C'est les mains jointes machinalement en prière et reposant sur ses genoux qu'elle écouta religieusement la cérémonie sans quitter des yeux la Comtesse et le Comte. Un brin de nostalgie sembla l'envahir et elle se mit a repenser au jour de son mariage avec le Vicomte. Il n'était en rien comparable à celui là puisqu'il avait été célébré dans la plus stricte intimité de la chapelle de sa baronnie et les personnes présentes se comptaient sur les doigts des deux mains. Mais elle ne pu s'empecher d'y resonger, à ce jour étrange où le père qui les avait unis s'était retrouvé avec le nez cassé... Remerciement spécial du marié. Un léger sourire triste s'esquissa sur son visage. Cela remontait à quelques temps déjà. Quelques années. Il lui sembla que ce fut hier pourtant. Elle fut ramenée à la réalité par l'échange des voeux et des consentements.
- Soyez heureux, vous le méritez. Puisse Aristote toujours éclairer votre route...
Quelques mots murmurés pour ne rien troubler l'instant magique qui prend fin. Il est temps de quitter la Maison du Très Haut pour gagner celle des deux jeunes époux. Se levant à la suite de Guillaume et lui prenant le bras, elle le suit à l'extérieur tout en saluant d'un signe de tete et d'un sourire les quelques personnes qu'elle reconnait, telles la Comtesse de Segur et le Comte de Champagnole, son Herault préféré qu'elle doit encore harceler de quelques missives...

Oksana

Oksana, qui n'avait pas laché la main de Napo de toute la cérémonie, avait écouté les échanges de promesses d'une oreille distraite. Mille pensées s'étaient bousculées en elle, un poignard semblait lui avoir transpercé le coeur. Sa faute... ces mots là ne la quittaient plus, la harcelait, la torturait. Napo devait lui en vouloir à cet instant encore plus que dans les autres, il devait souffrir lui aussi, mais à cause d'elle...

Au brouhaha annonçant la fin de la cérémonie, elle reprit ses esprits, regarda tendrement Napo, se serrant contre lui et attendit que les mariés, suivis des invités proches, leur passent devant avant de quitter leur banc. Il était temps de rejoindre la demeure de Deedlitt et d'aller féliciter les heureux époux.
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---fromFRDonChile

Mais, euh, je.......

DonChile aperçu le tonneau marqué "Flandres"

Parbleu, où avez vous dénichez ça?

Dazibao se contenta d´un sourire.

Mais ouvrez donc ça tout de suite, on meurt de soif..... Chutttttttt Ouvrons-le discretement... Non, pas le cheval maintenant, par ici, un confessional.... Buvons avant de nous rendre à Aubeterre, le cheval ne perdra pas son chemin, n´est ce pas??

Puis il se rappelait la présence de personnages de haaaaaaaaaute lignée... Dame Melina était là aussi.... Hum, de la contenance, de la contenance ....

Buvons... modérement alors!!! Et ne me regardez pas comme ça, je vais très bien !

Dazibao interrogeait DonChile du regard, lui qui refusait une bonne rassade, que se passait-il?
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Alazaïs

La cérémonie se terminait dans les hourras des invités.
Dame Cyann avait prévu des pétales de roses multicouleurs pour la haie d'honneur des mariés. Alazaïs la remercia silencieusement d'y avoir songé.

Les mariés et les invités venus en véhicules, montèrent dans leur coche et quittèrent peu la Grande-Place d'Arras, escortés par les soldats de l'Ost...
Pour les notables dont elle même, avait été prévue la mise à disposition des calèches du Chateau, qui n'était certes plus très en forme, mais là n'était pas l'important...

Mes dames, mes sieurs, le Conseil comtal d'Artois a accepté la mis à disposition de quelques véhicules pour nous mener à St-Omer. Prenez place!

---fromFRDazibao

Dazibao rattrappa DonChile dans la cohue de tous ces nobles assoiffé de bières et de mots pompeux :

Hola l'ami, je vous attends dehors. nous irons tous deux à Sainct-Omer sur le cheval que j'ai emprunté au comte d'Aubeterre.
Je crois que vous vous fîtes suffisamment remarqué avec votre moyen de locomotion précédent.

Dazibao montra sous son manteau un petit tonnelet estampillé "Flandres" et fit un clin d'oeil complice à son confrère ambassadeur.
Il rejoignit ensuite son cheval, avant que les gourmands ne le dévorent.
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pnj

Johan sursauta en entendant Cyann, puis il lui répondit:

Hum bien sur sans problème, je suis l’âne qui vous mènera ou vous voudrez…

Il réfléchit un instant à ce qu’il venait de lui dire, puis se dit qu’il était tard... Il commença alors à l’emmener jusqu’au château avec lui, bras dessus bras dessous…

Cartil

C'est avec beaucoup de retard que Cartil se présenta à la Cathédrale artésienne. Il n'avait pas l'habitude de se retrouver en terres françaises, mais ce changement lui plaisait beaucoup. Autres coutumes, autres moeurs, autre culture... Quelle joie de voir tant de différences entre chaque Région !

Malgré son départ minutieusement préparé depuis plusieurs jours, le voyageur n'arriva point à temps pour le début de la cérémonie. Il s'en voulait, Deedlitt était son amie depuis près d'un an maintenant, et il tenait à être présent lors du plus beau jour de sa vie. Mais les circonstances en avaient voulu autrement, et celui-ci fut retardé.

Après avoir confier sa monture à l'un de ses compagnons de voyage, Cartil entra discrètement au sein de la Cathédrale. D'abord ému par sa splendeur, le Franc-Comtois se dirigea bien vite auprès des autres invités, tentant de se faire aussi discret que possible pour ne pas interrompre le déroulement de la cérémonie...

Cyann

Cyann regarda les deux amoureux passer le porche de l'église avec solennité et sourit, ils avaient l'air si heureux ! Elle avait un panier rempli de pétales de roses, elle en jeta sur les mariés, cela forma un magnifique spectacle. Elle, dans sa magnifique robe, ses cheveux tressés de perles, lui toujours aussi impressionnant dans sa tenue d'apparat, la cathédrale pointant vers le ciel, ses pierres qui défiait le temps, ses courbes qui ne faisait un lieu accueillant, sensible. Le soleil dardait ses rayons et faisait briller de milles feux le comte et la comtesse d'Artois. Elle regarda son cavalier, il avait sur le visage un air de satisfaction un peu narquoise, elle se demanda quelle idée lui passiat par la tête et sans s'en soucier plus lui dit :

Cher Johan, m'emmènerez vous jusqu'au château où se déroule lea suite de ce mariage ou bien dois-je y aller à dos d'âne ?

Elle sourit un air taquin dans le regard
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pnj

Il serra la main de Cyann - qui fut jadis la promise de greg -. Il pensa un instant que peut être, sans sa venu à Bertincourt il y a de ça quelques mois, ce mariage n’aurait pas eu lieu… - Et qu'au fond tout ceci était peut être arrivé grâce à lui? –

Thegregterror

Heureux comme jamais, il chuchota à celle qui était maintenant sa femme.

Je vous aime aussi mon épouse... et qu'il est doux de vous appeler comme cela.

La sortie de la cathédrale... ce n'était que le point de départ vers Sainct-Omer où les festivités se dérouleraient...

[Sainct-Omer : http://sainct-omer.realbb.net/
Les festivités commenceront demain, car il est un peu tard là ^^]
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---fromFRDonChile

En un tourbillon infernal, DonChile venait d´arriver par sorcellerie (il avait pris le balais d´une…. "amie"… un peu sorcière...) à la Cathédrale d´Arras, son invitation à la main et un tonneau de Buzet dans l´autre, à l´intention des époux….

Il entra bruyamment, reconnu des gens, et cria fortement :

Vive les mariés, vive Dame Deedlitt, vive Messire… euh…. thegregterror. Buvons, trinquons !!!! Ah, ce que je suis content de voir la Comtesse si heureuse....

Puis il entra, poussa un peu des coudes pour aller saluer son grand ami Dazibao, puis alla voir Dame Faréna et son époux Wilbur, qui le regardait avec de gros yeux inquisiteur (en voilà une heure pour arriver...)... Il était impatient de saluer Dame Deedlitt lui-même, il ne l´avait pas revu depuis les temps heureux où ils buv... euh... travaillaient dur ensemble à l´ambassade...
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Azdrine

La cérémonie se déroulaient pour le mieux et la mariée était resplendissante. Ses yeux regorgeaient de bonheur à en déborder et cela se voyait très bien.

D'autant plus que la cathédrale d'Arras était lumineuse en ce jour.

Azdrine se perdit un moment dans ses pensées. Cette lettre était de fort mauvaise augure et avait réussit à le tracasser au plus haut point en ce jour de fêtes.

Il sentit la main de Sibella qui se resserra sur la sienne mais ne réagit pas de suite. Doucement, il revint à la cérémonie.

Les deux nobles échangèrent leur voeux de consentement. Le baron s'éétait toujours demandé si un jour il en serait capable. Cela était une forte responsabilité...

Il regarda Sibella, une larme coulait sur sa joue. Les époux échangèrent le fameux baiser et Azdrine essuya du dessus de sa main la larme de Sibella. Etait ce émouvant à ce point ? Etait ce émouvant pour elle plus que pour d'autres ? Il se contenta de lui sourire avec amour. Ses yeux humides lui donnait un charme que nulle autre n'égalerait.

Azdrine ferma les yeux, inspira profondément et retint sa respiration afin de profiter du bonheur qu'il ressentait en sa présence.

Deedlitt

pendant le baiser qui scellait la cérémonie Deedlitt versa une larme, elle se retourna vers l'assemblée avec un sourire franc et radieux. Elle se tourna vers son époux. Et avant de se dirigée vers la sortie elle luis chuchota.

Mon époux je vous aime.
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Cyann

Cyann sentit une main glisser le long de son bras et rejoindre la sienne, une lueur de plaisir brilla dans ses yeux, son cavalier était arrivé, elle tourna son visage et lui sourit.
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Thegregterror

La cérémonie touchait à sa fin... celle-ci avait autant ému le Comte qu'il l'avait empli de bonheur. Il n'avait plus de fiancé, mais bien une épouse, la plus merveilleuse qu'il aurait pu imaginer dans ces rêves les plus fous.

Plongea vers les étoiles, c'est naturellement qu'il ne se fit pas prier lorsque Altho parla du baiser et se rapprochant de la Comtesse, l'enlacant, il lui fit un tendre baiser. Un baiser 'magique'... à l'image du mariage et de ce qu'il avait ressenti.
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pnj

Johan remarqua Cyann dans les parages et s’approcha d’elle - Il se souvint qu’il avait accepté d’être sa cavalière pour ce mariage-

Il la salua d’un signe de tête et prit sa main, et observa calmement la fin de la cérémonie.

Gnia

Gnia, entourée de ses amis arrageois, avait suivi toute la cérémonie, médusée. Que c'était beau ! L'échange des voeux lui avait mis la larme à l'oeil et au moment de l'échange des alliances, elle n'avait pû retenir une larme, prestement essuyée.
Jusqu'alors, l'esprit de Gnia était tout accapparé par la cérémonie. Cependant quand le père Altho mentionna l'eventualité de nourriture, elle se surprit à ne plus penser qu'au festin et aux boissons qui ne manquerait pas de l'accompagner...
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---fromFRDazibao

Du fond de la cathédrale, Dazibao cria un : "Hourra ! Hourra ! Hourra !" tonitruant.
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---fromFRAltho

Une fois les bagues au doigt, que c'était viril pour un homme, Altho parla une dernière fois.

Devant Dieu, Aristote, Christos, St-Valentin & tout ce qui est Saint, je vous déclare maintenant unis par les liens sacrés du mariage. Ce que Dieu a uni, nul ne pourras le désunir, exception possible si paiement conséquent & discret.

Dame Deedlitt, sieur Grégoire, c'est ainsi que s'achève cette cérémonie avec l'espoir de vous voir toujours heureux ensemble, quoi que l'avenir puisse vous reserver. Vivez dans la foi, vivez dans le respect de notre Eglise, vivez dans le respect de vos coeurs. Vous pouvez maintenant vous embrasser, pendant que dames Dotch, Patience & moi-même, allons colloquer sur la foi devant une bonne gamelle.
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GAF
Archives Berrichonnes

Maeva83

Au moment le plus attendu de la cérémonie, Luzi ne tenait plus en place, il bavardait à droite à gauche, saluait devant, derrière, il était dissipé, et ne cessait de gigoter sur son banc.
Roxy remarquait bien qu'il avait de plus en plus de mal à se contenir, et en connaissait fort bien les raisons, et lui chuchota

Enfin Luzi, vous tiendrez bien encore quelques minutes

je suis certaine qu'il y aura de quoi vous sustenter, et vous ferez ripailles à votre aise. Je sais bien que depuis ce matin vous n'avez rien avalé. Faites encore un petit effort pour m'être agréable. Nous allons nous faire remarquer.
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Groland

Groland avait répondu à l'invitation de la Comtesse de Lille. et assista à la cérémonie tranquille. Il était venu avec le seigneur d'Étalon non loin du côté des invité de la jeune marié.

Groland scrutait avec attention des regards... bien connus
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pnj

Johan avait lui aussi reçut un petit carton d’invitation.

Curieux il accepta, et se rendit donc à la cathédrale, accompagné de Groland: Il avait mit son plus beau costume -un peu poussiéreux-, et avait même prit un bain dans la rivière, pour l’occasion…

---fromFRpatience

Patience sourit à Ylalang et réceptionna le coussin. Puis, veillant à ne pas faire glisser les alliances, n'osant imaginer le beau tintement qu'elles feraient en touchant le sol de la cathédrale silencieuse, elle présenta le tout aux mariés.
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Cyann

Cyann observa attentivement les anneaux, leur cercle parfait symbole du tout de l'ininterrompu, du toujours renouvelé. Elle retint son souffle un instant le temps que TGreg enfin ... le comte passe délicatement l'anneau au doigt de la comtesse Deedlith et puis ce fut le tour de celle-ci ... Cyann souriait sûrement un peu niaisement devant ce conte de fée qui prenait vie ...mais que voulez-vous, elle était fleur bleue et puis un peu soulagée aussi en un sens ... elle; elle cherchait toujours celui avec qui elle aurait envie de s'engager pour la vie ... Elle soupira songeuse puis sourit largement aux autres convives.
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---fromFRwilbur

Wilbur un instant avait craint que le silence ne se prolongeât trop. So n estomac gargouillait. Manger trop vite ne lui réussissait pas. La comtesse s'exprima à temps.

Il était heureux pour elle. Son bonheur avait quelque chose de contagieux. Son sourire était radieux.
Discrètement, il posa sa main sur le ventre de son épouse. Très vite on lui répondit. Faréna souriait, un peu mal à l'aise quand même.

Il lui chuchota à l'oreille:

- C'est pour leur porter bonheur. C'est parce que je leur souhaite de connaître au plus rapidement semblable bonheur. Il aura fallu du temps pour qu'ils se trouvent.C'est une chance pour vivre un grand amour et un mariage heureux. Elle le mérite assurément.

Puis il se tut, mais ne retira pas sa main.
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Thegregterror

Beaucoup moins tendu qu'au début de la cérémonie, le Comte prit l'alliance destinée à Deedlitt du coussin tenu par Patience. Il regarda un instant son aimée dans les yeux avant de prendre sa main et de lui passa la bague sans hésitation au doigt.
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Deedlitt

Ayant attendu le geste de son bien aimé, deedlitt avait mal aux bras pour dame patience.
Elle saisit l'alliance et la passa au doigt de Grégoire émue et heureuse.
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---fromFRFaréna

Faréna souriait en tenant la main de son époux dans la sienne. Deedlitt était une femme mariée et le bonheur se lisait sur son visage.

"Je vous souhaite d'être heureuse Comtesse, murmura la future mère. Le bonheur parfois, c'est aussi facile que cela."

Faréna serra un peu plus la main de son époux dans la sienne, repensant à leur propre mariage, début d'un bonheur sans fin.
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---fromFRbilbokine

Bilbokine écouta avec attention le consentement mutuelle des deux futurs époux...

Elle en avait quasi oublié ce qui ce passé dans la cathédrale ....

Un silence intense mais apaisant se faisait ressentir, son regard dirigé vers les marié elle écouta avec attention ....
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Cyann

Cyann arriva et découvrit ce fabuleux spectacle de ces deux êtres qui se liaient ensemble pour l'éternité. Elle admira ce regard empli d'amour qu'il se jetaient l'un l'autre, remarqua l'émotion de celui qu'elle aimait comme un frère désormais et fut heureuse pour lui. Trouver l'âme soeur n'était pas donné à tout le monde ... Elle jeta un coup d'oeil à l'assistance, le joie et les belles tenues étaient de rigueur. D'autres merveilleux couples étaient ici, déjà mariés ou en instance de le devenir ou bien vivant simplement leur amour ... Elle sembla chercher quelque chose ou plutôt quelqu'un du regard puis se ravisa et posa à nouveau son regard sur les héros du jour.
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Maeva83

Émue, Roxy essuya une larme qui perlait au coin de son oeil. Elle se demandait bien à quoi pouvait penser Luzi en cet instant si émouvant. Loin d'avoir les yeux embués, il affichait plutôt un sourire dont lui seul à le secret.
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---fromFRAltho

Alors que la cérémonie touchait à sa fin, que l'heure de manger, boire & fêter approchait, le père ne pu s'empêcher d'observer ce magnifique, ce splendide, ce merveilleux & mystérieux couple de roses qui dépassaient du bouquet tenu par le témoin de madame.

Il est maintenant temps pour vous d'échanger vos alliances, symboles de la fidélité & de l'unité du mariage. Que les témoins s'avancent & délivrent leur alliance.

Ca brillait sur le coussin rouge, le curé en était tout émoustillé, il aimait l'or, & tout ce qui brillait, autant que le vin & ce n'était pas ici du clinquant, parole de connaisseur.
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GAF
Archives Berrichonnes

Ylalang

C'était apparement à son tour d'agir. Dotch avait déjà les bras chargés du bouquet, il ne restait que Patience qui pouvait donner les alliances aux deux époux. Elle se glissa alors aussi discretement que possible, ce qui signifiait pas du tout, surtout avec la coiffure que Deedlitt lui avait faite quelques jours plus tôt, derrière Patience et lui glissa le coussin avec les deux alliances.
Elle retourna discretement à sa place ensuite.

Luzifer

Le comte de Ponthieu buvait avec délice les paroles du père Atho.
Il pensait déjà à la merveilleuse fête qui allait suivre la cérémonie, et au magnifique bal où il pourrait faire tourner la tête a sa douce fiancée.
Puis il revînt sur terre pour assister à la fin de la cérémonie.
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Crystale2609

Luzi et Rox étaient venu les saluer, elle était heureuse de le voir.
Ses précieux conseils lui manquaient depuis qu'ils étaient parti tous les deux.
Crystale surprit le regard de Luzi, il descendait un peu de trop...
Elle tourna la tête vers son mari... il devait évoir vu...
Ce cher Luzi incorrigible, mais tellement amoureux de Rox.
Il formaient un beau couple tous les deux.
Elle saurait le faire marcher droit, elle avait la poigne pour.
Elle les laissa aller à leur place et se plongea dans la cérémonie.
Enfin...

---fromFRpatience

Patience écouta les voeux échangés, aperçut les étoiles dans les yeux de Deedlitt et de Greg, et sourit doucement, persuadée qu'ils seraient heureux ensemble. Ce ne fut que lorsque le Comte prononça "oui, je le veux", que des larmes inattendues lui brûlèrent les yeux. Elle se tint droite, tentant de se retenir d'éclater en sanglots, ce qui paraitrait plutôt étrange, surtout venant de sa part. Elle se raisonna et reporta son attention sur la Comtesse de Lille.
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Sibella

Une larme roulait sur les joues de Sibella, ce moment était toujours très émouvant, échanger des consentements pour une vie durant, quel engagement, il faut vraiment être certain de s'aimer.

Elle regarda Azdrine qui suivait la cérémonie, perdu dans ses pensées.

---fromFRDotch

Dotch afficha sourire à la réponse du Comte. le bouquet dans les mains, qui l'embêtait quelque peu, elle l'aurait bien jeté dans la foule, mais après tout ce n'était pas son mariage ni son rôle, elle écouta la réponse de sa soeur.
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en cours

Deedlitt

Deedlitt qui paniquait toujours un peu, trouva que le prêtre affichait un sourire étrangement béat, sans doute avait il eut une bonne nouvelle... Mais quel genre de bonne nouvelle...le mystère restait entier... Quand il lui posa la question, elle ne pu s'empêcher d'avoir les yeux plein de larme. Ce qui fit attendre l'assemblée un petit moment.

Oui, c'est ce que je souhaite le plus au monde.
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Luzifer

Luzifer se demanda pourquoi sa douce lui donna ainsi des coups de coude.
Aurait il trop regarder dans le décolleté de crystale ?
Il se tourna vers sa douce et lui fît un petit clin d’œil.
Avec un large sourire il regarda les mariés se dire oui pour la vie.
Un cours instant traversant l’esprit de Luzifer, il se posa la question serait il un jour à la place du comte ?
Seul l’avenir nous le dira.
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Melinda

Mélinda retenait son souffle le moment était si intense, elle continuer à bercer la petite héritière tout contre son coeur.
Que la mariée était somptueuse, une robe magnifique... et Aristote seul sait à quel point la Vicomtesse s'y connaissait en matière de robes... Aristote et Vandusse!

Le silence qui règnait dans la cathédrale n'était pas de ceux qui opressent, il était solennel et rassurant. Et quel cérémonie!

---fromFRNerag_de_Montfort

Maintenant installé, Nerag vit dans le regard de Whitechief une expression dont il comprit immédiatement tout le sens.
Il ne pouvait plus cependant réflechir à la moindre chose, l'odeur de l'encens, la chaleur, la foule, et l'immensité du lieu rendait la concentration impossible.
Grace aux places réservées par leur ami, ils avaient une vue relativement bonne sur les mariés.
Lorsque sa fiancée regarda pour la première fois dans la direction des deux mariés, il senti une lègere pression dans sa main, à laquelle il répondit de la même manière....
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Vaut mieux être bourré que con, ça dure moins longtemps.

Sardanapale

Alleluia!!!!!!!!!, se dit sardanapale. Enfin un qui a tenu jusqu'à l'autel!

Le plus dur était fait, il ne restait plus qu'à attendre une portée, il fallait bien que Deedo trouve un exutoire à son énergie débordante. Ce mariage était un vrai tournant dans sa vie, et ravissait le ghentois. Il arrivait presque à partager cette émotion unique du don et de la consécration d'un amour.
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---fromFRAltho

L'homme avait répondu vite, trop vite peut-être. Le prêtre priait pour que cela soit favorable à l'avenir des deux jeunes gens, il aurait été dommage, pour ce joli couple, que finalement l'un d'eux décide de rejoindre les ordres, comme c'était la coutume lorsque des difficultés étaient traversées. Ce soir, le père Altho était aux anges, dame Dotch avait accepté, avant la cérémonie, de se rapprocher du Très-Haut en devenant diaconesse ou même, que la foi est puissante, nonne dans un monastère cistercien, le fameux monastère de Noirlac, au Berry.

Se tournant maintenant vers la dame.

Deedlitt veux-tu prendre Grégoire pour époux, dans la sainteté et la confiance, pour vivre avec lui dans l'amour de chaque jour ? Veux-tu faire dépendre ton bonheur de son bonheur et donner par l'exemple de votre union un signe visible de l'amitié de Dieu sur terre ?
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GAF
Archives Berrichonnes

Maeva83

La mariée qui semblait un peu tendue, était resplendissante.
Roxy glissa à l'oreille de Luzi "Greg a trouvé là une perle rare dirait-on?" Sa promise rayonne de beauté, à regarder les invités, ils n'ont d'yeux que pour elle, il dégage de sa personne autant de bonté que de beauté. Je trouve qu'ils forment un très joli couple, qu'en pensez-vous?"

Luzi toujours occupé à des mondanités, papotait avec Crystale, et n'avait pas encore eu le temps d'admirer le couple de futurs mariés. Rox lui donna discrètement un petit coup d'épaule pour qu'il suive enfin la cérémonie. Elle fit un petit signe de la main à Crystale et des gros yeux, en épelant un "bonsoir" sourd
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Ylalang

Le moment des voeux fut des plus beaux. Ceux du futur époux emurent Ylalang, qui laissa rouler une larme sur sa joue rellement l'émotion était intense.
Enfin Deedlitt avait trouvé un homme à sa mesure, enfin allait-elle trouver le bonheur qu'elle recherchait depuis si longtemps.

Thegregterror

Les paroles du Grand Aumonier le ramenèrent à la cérémonie, et se rendit compte que c'était déjà l'heure du 'oui'.

Grégoire veux-tu prendre Deedlitt pour épouse, dans la sainteté et la confiance, pour vivre avec elle dans l'amour de chaque jour ? Veux-tu faire dépendre ton bonheur de son bonheur et donner par l'exemple de votre union un signe visible de l'amitié de Dieu sur terre ?

Oui, je le veux... plus que tout.
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Alazaïs

Les dernières discussions sur le statut de Calais avaient retenu Alazaïs jusqu'à bien tard! Le temps de passer dans le boudoir accolé à son bureau pour se changer et se recoiffer, elle quitta le Château pour la Cathédrale située à 2 pas; 2 pas pendant lesquels elle faillit tomber à plusieures reprises, se prenant les pieds dans les pavés. Elle n'avait pas l'habitude de porter de telles chausses!

Finalement, elle arriva à la Cathédrale au moment où la mariée quittait la sacristie pour rejoindre la nef... Comme à son habitude, elle s'installa au fond de la Cathédrale, avec le peuple artésien. Le silence se fit... On entendait plus que le curé, les mariés et leurs témoins!

Cassandre_louna

Whitechief fronça les sourcils, il avait eu toutes les peines du monde à garder deux places libres pour Sheilla et Nérag. Il espérait que personne ne lui en tiendrait rigueur, il n'aimait pas être au milieu d'inconnus dans une église. Heureusement leur entrée avait à peine été remarqué, c'était un vrai miracle la connaissant...
La cérémonie continuait d'avancer, bientôt le moment fatidique allait arriver, Whitechief se teint attentif.
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---fromFRAltho

C'en était presque émouvant, en de tels instants le prêtre aurait presque regretté de ne pouvoir prendre compagne. Presque. Presque. Encore aurait-il fallu qu'il trouve femme qui saurait lui dire «joui moi ca me fait le même effet»...

En revenant à la cérémonie, il se tourna vers le sieur comte.

Grégoire veux-tu prendre Deedlitt pour épouse, dans la sainteté et la confiance, pour vivre avec elle dans l'amour de chaque jour ? Veux-tu faire dépendre ton bonheur de son bonheur et donner par l'exemple de votre union un signe visible de l'amitié de Dieu sur terre ?
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GAF
Archives Berrichonnes

Thegregterror

Le Comte frissonna lorsque son aimée pris ces mains, il fut comme ramener à la réalité, lui certifiant que le rêve n'était autre que celle-ci. Souriant, les mots l'émouvant, il récita à son tour ce qu'il s'était evertué à répéter de nombreuses fois, d'une voix forte et clair également.

Promesse devant Aristote de suivre vos étoiles et de ne jamais les perdre de vue,
Promesse devant Aristote d'un amour vrai, et d'être toujours à vos côtés,
Promesse devant Aristote de vous aimer pour l'éternité, vous seule, celle qui détient la clé de mon coeur.

Que nos âmes fusionnent,
Que nos coeurs résonnent,
De l'écho de notre union,
Pour pouvoir dire...
...nous nous aimons.
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Luzifer

Le comte de Ponthieu regarda l’assistance avec grand plaisir.
Il y avait du beau monde pour le mariage du comte.
Au bras de sa douce il vît son élève Crystale qu’il salua.
Après une légère discussion ils prirent place pour suivre la cérémonie.
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---fromFRDotch

D'une voix claire et forte cette fois ci la Duchesse reprit

Oui, je comprends et j'accepte de veiller à la droiture de Deedlitt

quelle responsabilité, ça ne serait pas facile avec une mer entre elle...
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en cours

---fromFRbilbokine

Avec beaucoup de retard Bilbokine arriva enfin dans la cathédrale et se faufiler jusqu'aux bancs les plus proches....
Une tenue de circonstance et un sourire était de mise. Quelle joie de voir le comte vivre ceci, Elle espérait au fond d'elle qu'un jour cela lui arriverait...

Elle s'assise au fond de la cathédrale jetant un coup d'oeil a l'assemblée espérant qu'elle le trouverai et le verrais sans un bruit elle écouta la cérémonie....
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---fromFRpatience

Je le comprends et je l'accepte.

Patience glissa un bref regard à son ami. De sa droiture elle n'avait jamais douté. Puis elle reposa ses yeux sur les mains crispées de l'aumonier et attendit. Dans le dos de la baronne, tout était pourtant silencieux : que redoutait l'homme ? Quelqu'un s'était-il levé pour ... hum ... mais non, mais non, tout ira bien, se dit-elle.
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---fromFRKyane

Kyane comme a son habitude arrivait une fois de plus en retard. En effet son carrosse avait eu des problèmes durant son voyage depuis son départ de Marmande.

Arrivant dans la cathédrale, elle se fit des plus discrète s'asseyant au fond pour ne pas déranger le reste de la cérémonie en regardant sa marraine permettre un amour éternel a son futur époux qui lui promettait tout également.
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---fromFRAltho

Il faisait bien chaud dans ce batiment de pierres taillées, & la légion de présents rendaient l'air éttoufant ; en cet instant, le prêtre aurait tout donné pour une cérémonie en plein air.
Reprenant, visiblement satisfait des réponses des deux dames & témoins, après s'être tourné vers les futurs époux.

Avant de passer à la question fatidique pour chacun d'entre vous, je suis persuadé que vous avez tout deux des voeux à prononçer, l'un envers l'autre &/ envers notre Créateur, aussi la présente assemblée, très honnorée d'être présente & moi-même, vous écoutons, vous regardons. Allez-y, nous sommes de tout coeur avec vous, pour les siècles des siècles...
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GAF
Archives Berrichonnes

Kirah

Les portes de la Cathédrale étaient closes... la cérémonie était déjà bien entammée semblerait-il. Plutot que de déranger celle-ci par une arrivée intempestive, Kirah préféra se renfoncer dans le véhicule qui l'avait amenée là et se recueillir discrètement, toutes ses pensées dirigées vers le jeune couple

Deedlitt

Deedlitt toussota un peu, donna son bouquet à Dotch afin qu'elle puisse prendre les mains de son époux. Elle chercha son regard bleu azur et une fois trouvé elle ne le lacha plus. Elle prit une ultime inspiration et parla d'un voix forte et clair.

Je promets devant Aristote et les personnes ici présentes, de veiller sur toi quelques soit les circonstances.
Je jure ici qu'il n'y existe qu'un seul être à qui mon coeur est acquis, cet être exceptionnel c'est vous. Je jure que jusqu'à ma mort il ne pourra en être autrement.
Je promets de faire en sorte que chaque jour renforce notre amour dans la Sainte Lumière d'Aristote.
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Sheilla

Sheilla était très très en retard, accompagnée de son fiancé Nérag, ils se dépêchèrent de trouver la cathédrale, la ville d'Arras était terre inconnue pour eux, et c'est avec peine qu'ils finirent par arriver devant la porte.
Ils prirent soin de se débarrasser de la poussière sur leur vêtements et le temps de reprendre leur souffle avant d'entrer dans la majestueuse cathédrale.
Là, voyant que la cérémonie avait débutée, ils marchèrent sans bruit pour ne pas se faire remarquer.
Apercevant Whitechief, ils le rejoignirent et prirent place.
Sheilla admira la beauté de l'enceinte, c'était la première fois qu'elle voyait un endroit comme celui ci, son regard se posa sur la future mariée, elle la trouvait magnifiquement vêtue dans sa robe, cela la changeait radicalement.
Elle écouta la cérémonie tout en serrant sa main dans celle de son fiancé.

Sibella

La cathédrale était pleine, tous les bancs étaient occupés. La cérémonie se déroulait avec beaucoup d'émotion et de recueillement. Les mariés étaient magnifiques et émus avec la tension des préparatifs et le déroulement de la cérémonie.

Sibella écoutait attentivement le déroulement de la messe et par moment elle laissait vagabonder son esprit sur des sujets qui lui tenaient à coeur.

De temps à autre, elle regardait son compagnon en lui faisant un sourire, en attendant la fin de la cérémonie.

L'échange des voeux était très émouvant et Sibella ne pu s'empêcher de verser quelques larmes comme à son habitude.

---fromFRpatience

Les chuchotements s'étaient tus. Seule la douce lumière des vitraux dansait dans l'immensité des lieux. Patience joignit ses mains ... et leurs cinq voix récitèrent le crédo à l'unisson :

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.
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Thegregterror

Récitant les paroles du Credo tous en choeur...

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Le Comte se détendit un peu au fur et à mesure qu'avancait la cérémonie... il y prenait plaisir, c'était sans nul doute les plus beaux moments de sa vie.
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---fromFRDotch

Dotch commença à réciter d'une voix douce et basse la prière. Les mains jointes, elle récita la prière.
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en cours

pnj

La cérémonie venait de débuter et le Duc, alors resté silencieux, en retrait des convives, en profita pour venir rejoindre la foule et s'asseoir dans les premiers rangs afin d'assister au mariage de son amie Deedlitt.

Le voyage depuis la Lorraine n'était pas de tout repos, mais ne l'empecha nullement d'etre envahi d'une joie profonde lorsqu'il la vit entrer, rayonnante, magnifique. Elle était heureuse, elle était amoureuse, il pouvait le voir, et enfin de compte, c'est tout ce qu'il lui importait.

Il décrocha un rapide regard dans le reste de la Grande Cathédrale Artésienne ou il lui sembla reconnaitre certains visages familiers, des visages flamands de toute évidence. Seulement il ne désirait pas gacher toute cette belle cérémonie et il préféra attendre la fin de cette derniere avant d'aller les saluer et prendre de leur nouvelle.

Il détourna la tete et se replongea dans la cérémonie...

---fromFRAltho

Dès lors que les quatre se furent éxécutés, le prêtre poursuivit, tout en dévisageant tour à tour les présents, en quête d'un qui aurait l'intention de nuire à la cérémonie.

Dame Dotch, dame Patience, par vos caractères d'amies & d'aristotéliciennes, vous vous apprêtez à témoigner en faveur de cet homme & cette femme, avec toute la signification que cela implique. Désormais, votre rôle sera de veiller à la droiture de cet homme & de cette femme, l'un envers l'autre, & envers notre Seigneur, ainsi qu'au respect du Dogme & du Droit-Canon de notre Ste-Eglise. Comprennez-vous cela & l'acceptez-vous ?

Le prêtre s'apprêtait à envoyer valser le St-Livre en direction du premier qui répondrait par la négative...
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GAF
Archives Berrichonnes

Deedlitt

Deedlitt sourit et reprit la prière du saint homme.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Elle ne se sentait pas mieux mais elle tenait bon.
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Melinda

Après quelques péripéties Mélinda pu enfin entrer dans la cathédrale et se faufiler jusqu'aux bancs les plus proches. Une robe de circonstance et un sourire radieux l'accompagnaient, un mariage... un des plus beaux événements qui lui avait été donné de vivre. Quelle joie de voir Grégoire vivre ceci à son tour!
Derrière la Vicomtesse une de ses suivantes portait la jolie petite Aude dans les bras, une fois la Dame assise elle lui confia la petite et s'éclipsa.

L'absence de son époux en surprit plus d'un mais la jeune maman qui ne voulait y penser écouta aussi sérieusement que possible le déroulement de la cérémonie.

Charlesdelatour

Pareil moment était inoubliable. bien installé sur son aristotélicien de banc, le flamand avait reconnu pas mal de monde et était content d voir tout ses compatriotes venu assister à cet heureux évènement.

Main dans la main de son épouse Charles était content pour tout le monde ... valait mieux pas qu'il pense à ce qu'il aurait à faire à son retour.

très belle cérémonie... se dit il tout bas comme pour lui même.

Sardanapale

La rumeur qui bruissait dans la cathédrale se tut enfin lorsque Deedlitt fit son apparition, dans une somptueuse parure vert pâle. Alors que les derniers invités s'installaient enfin et regagnaient leurs bancs, Sardanapale pu voir la Comtesse de Lille, drapée d'émotion et de majesté, s'avancer vers l'autel.

Balayant l'assistance du regard, il put constater que sa prestance laissait tout le monde admiratif. Les yeux s'agrandissaient, des "hooooo" montaient des rangs, et tous les visages restaient accrochés au couple qui venait de se réunir en face du maître autel.

Avant que la cérémonie ne commence, Sardanapale distingua de loin la silhouette de Faréna, et une touffe de cheveux qui ne pouvait appartenir qu'au Comte de Tourcoing. Il sourit et se retourna.
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---fromFRSanAntonio

La cérémonie allait commencer, la fiancée venant d'arriver. Il fallait faire silence dans la cathédrale pour la solennité de l'instant. Poliement, il répondit néanmoins, chuchottant, à sa voisine et non moins cousine.

Et bien, il connait une petite interruption. Le Dauphin a dut prendre un peu de repos. Je l'ai laissé quelques temps, le temps de venir assister à ce mariage. Je pars dès demain pour le rejoindre, et nous repartirons de Flandres. Je ne sais pas encore où nous irons. Mais le voyage se passe bien, les flamands accueillants. En revanche, nous continuerons la discussion plus tard si tu le veux bien, je pense qu'il vaut mieux faire silence pour le moment...

Le vicomte se tut alors, et se concentra sur la cérémonie, des idées tournant dans son esprit...
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Sibella

Le Baron d'Usson et Sibella se tenaient dans les premiers rangs de la Cathédrale, écoutant le Père Altho entamer ses prêches.
Sibella tenait la main du Chevalier de Pardaillec, toujours très émue lors de ces cérémonies et néanmoins heureuse comme jamais d'être en sa compagnie.

De temps en temps, elle le regardait, lui faisant un sourire ou un clin d'oeil et reprenait la messe en accompagnant de différents cantiques.

---fromFRguigui72260

Guigui aussi attendais impatiemment l'arrivée de la mariée ! Tout en écoutant, il enlacait Nenou doucement. Mais Guigui n'était pas attentif, il pensait, comme souvent depuis un moment. Il revait de pouvoir se marier un jour, avec Nenou...
Soudain il revint a la réalité, regarda discretement autour de lui si il était remarqué, puis se mit a écouter, attentivement cette fois ci
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Lothaire_de_cassel

Lothaire ne quitta pas des yeux sa cousine dès lors qu'elle sortie de la sacristie, elle était plus rayonnante que jamais, a mesure qu'icelle avançait, Lothaire se remémora ses souvenirs de jeunesse commun avec la futur mariée, un sourire, déforma son visage plutôt habitué a être vide d’expression, il jeta un rapide coup d’œil à ses côtés puis son regard retourna en direction de la mariée.

---fromFRAltho

Chers fidèles, ce jour présent en la Ste-Cathédrale d'Arras, pour unir dame Deedlitt de Cassel, Comtesse de Lille, Baronne d'Aire-sur-la-Lys & Dame de Dammarie-les-Lys, au sieur Grégoire d'Ailhaud dict Thegregterror, Comte d'Artois, Comte de Sainct-Omer & Baron d'Arques, afin que nul doute ne puisser subsister, assurons-nous de prime qu'aucun manquement au Droit-Canon de notre Ste-Eglise n'a eu lieu.

Sur ces bonnes paroles, le père Altho se fit porter les documents nécessaires, par le diacre Arcin.

Citation:

Certificat de Baptême

En ce jour du 6 Août MCDLV,
Que soit reconnu par tous que le sieur Grégoire d'Ailhaud a rejoint la grande communauté des croyants en reçevant le premier sacrement des mains de Msg Lodovicus, en la cathédrale d'Arras.

Archives Romaines

Citation:

Certificat de Baptême

En ce jour du 30 décembre MCDLIII,
Que soit reconnu par tous que dame Deedlitt de Cassel a rejoint la grande communauté des croyants en reçevant le premier sacrement des mains de du père Jeandalf, en la paroisse de Gent.

Archives Romaines

Citation:

Certificat de Baptême

En ce jour du 14 Juin MCDLIV,
Que soit reconnu par tous que dame Patience a rejoint la grande communauté des croyants en reçevant le premier sacrement des mains du père Kolmar, en la paroisse de Bertincourt .

Archives Romaines

Citation:

Certificat de Baptême

En ce jour du 1er Décembre MCDLIII,
Que soit reconnu par tous que dame Dotch d'Appérault a rejoint la grande communauté des croyants en reçevant le premier sacrement des mains du père Poljonh, en la paroisse de Langres.

Archives Romaines

Citation:

En ce jour saint de dimanche, nous Altho von Atreus, Grand Aumônier de France, declarons avoir bénis & fiancés dame Deedlitt de Cassel, Comtesse de Lille, Baronne d'Aire-sur-la-Lys & Dame de Dammarie-les-Lys, & le sieur Grégoire d'Ailhaud, Comte de Sainct-Omer & Baron d'Arques, en prévision de leur mariage annoncé pour le onze semptembre de la même année, en la cathédrale d'Arras en Artois.

Rédigée, Signée & Scellée à Arras, Berry,
Le vingt-sixième jour d'Août de l'an de grâce MCDLV,

Altho von Atreus,
Grand Aumônier de France,

Les bans ont bien été rédigé il y a maintenant plus de quinze jours, les fiancés & leur témoin ont été baptisé selon le rite Aristotélicien & il a été averré que les deux fiancés sont bien de sexes différents. Cela ayant été dit, rien ne semble pouvoir désormais compromettre cette cérémonie.

Que les deux jeunes gens & leur témoin daignent réciter avec moi le Crédo de notre Eglise, tel que nous l'enseigna Olcovidius, au deuxième siècle de notre ère.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

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GAF
Archives Berrichonnes

Thegregterror

Tendu devenait vraiment trop faible pour décrire sa tension... il n'avait pas encore prêté attention aux restes des invités préférant attendre en silence.
La venue de son aimée vint le rassurer... elle était merveilleuse... il resta rêveur autant qu'il était anxieux. Si elle était là, tout irait bien... rien ne pourrait aller contre leur amour.

Il respira profondément pendant que Altho prit la parole. Malgré son état il écouta tout correctement, cela avancait... Le moment était fort et il avait du mal à y croire... A lui-même, "Faites que je ne me réveilles pas, que le rêve perdure à jamais..."
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---fromFRDotch

A l'invitation du prêtre Dotch alla aux côtés du Furet et du Flamand Rose, pour la suite de la cérémonie.

Sa cousine, soeur de coeur était bien plus belle qu'un simple Flamand Rose, dans sa robe elle rayonnait, tout comme son futur époux le comte.
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en cours

---fromFRmaxencedec

Maxence était enfin arrivé en la cathédrale d'Arras après de longues heures d'un voyage qui lui semblait interminable...interminable mais pas tant.

Car il savait qu'au bout du chemin se trouvait un heureux évènement!

Cela faisait quelques lieux déjà qu'il apercevait le cloché du prestigieux monument, et voici à présent qu'il était à son porche, cherchant du regard les personnes qui lui étaient familières.

Le début de la cérémonie approche, et le voilà qui entre dans l'immensité des lieux avec les yeux collés au plafond, reluquand la moindre oeuvre d'art qui l'ornait.

Il s'assit alors sur un banc au hasard, qui se trouvait au fait être celui de quelques connaissances flamandes. Il se permis alors, en attente de l'ouverture de la cérémonie, de chuchoter avec eux.
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---fromFRDazibao

Dazibao arrivait juste à temps. Il trouva une "place debout" dans le fond (près de la sortie).

Heureusement que sa vue était bonne. La Cathédrale était fourmillante... et que de noblesse aux premiers rangs.
Il apperçut la future mariée rejoindre son fiancé devant l'autel.

Pour une fois qu'il n'était pas en retard à un mariage !
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Ylalang

Ca y était, la future mariée malgré les hésitations de dernière seconde, était à coté de son promis devant l'autel. Ylalang poussa un petit soupir, et se faufila silencieusement pour rejoindre sa place. Elle reconnut le style particulier du Grand Aumonier Altho, qui l'avait elle aussi mariée, et eut un sourire en repensant à ce jour qui lui paraissait lointain.
Elle regarda silencieusement aux alentours, cherchant du regard des personnes familières, puis se reconcentra sur la messe, serrant le petit paquet qui contenait les alliances dans sa main.

Aeliana

Aéliana remarqua que Damoiselle Zya gissait docilement sur le banc.
Avec un regard féroce, elle lui dit à voix basse :

Puis je Vous aider Damoiselle Zya ?

Aéliana la récupéra in extremis, alors qu'elle était près à pouvoir fuire vers d'autres belles robes en soie.

---fromFRGanju

Ganju arriva tres en retard et chercha des yeux des connaissances ou tout simplement une place. Il vit celty et gnia prenant place sur un banc.Il alla en leur direction impressioner par tout ces personnes.

Bonjour gnia, bonjour celty, bonjour lolo, comment allez vous ?
Tu es tres belle gnia

Il prit place a coté d'eux en attendant le début de la cérémonie

Delvine

Aux questions de son Vicomte de cousin, Delvine sourit, et d'un mouvement de sa main, repoussa une boucle de ses cheveux derrière son oreille.

Bien le bonsoir mon cousin,

Oui mon voyage s'est bien passé, sans tumultes pour une fois dit-elle en repensant à son voyage bien périlleux en Alençon, malgré sa longueur.

Je suis en effet venue seule ... Elle laissa un silence, pensant à son tendre qui était au loin, puis elle reprit. ... Je dois me rendre en Normandie demain, pour une invitation diplomatique, mon ambassadeur me rejoindra sur place. J'ai fais halte en Artois pour l'occasion de ce mariage, première occasion de me rendre dans ce Comté je dois avouer, bien que mon filleul y vit. Peut-être aurais-je l'occasion de le voir.
Mais je devrais reprendre la route aussitôt après. J'aurais peut-être l'occasion de dormir dans le coche qui me conduira cette nuit ... enfin si le cocher ne se trompe pas de route, comme la dernière fois.

Et vous ... toi, comment se passe ton voyage dont tu m'as un peu parlé avant ton départ de Champagne ?
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Cassandre_louna

La cérémonie avait enfin commencé, ce n'était vraiment pas trop tôt, déjà il n'aimait pas les lieux remplis de monde, mais en plus il n'avait personne avec qui discuter... Il était impatient de voir apparaître Deedlitt dans sa tenue de mariée et espérait pouvoir se retenir de pouffer de rire.
Il suivit la cérémonie religieusement.
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Napo76

Napo s'était tout d'abord étonné du nombre de personnes sur les lieux. Etaient-ils tous invités ?

Après tout, c'était plus que probable, un Comte et une Comtesse se mariant, cela devait forcément provoquer un rassemblement des têtes couronnées du Royaume, voire d'ailleurs.

C'était bien la première fois que Napo voyageait en Artois. Il fallait dire qu'il n'avait pas exactement d'affinités avec ses voisins nordistes et que le contexte historique ne favorisait pas les échanges entre les deux provinces, d'autant que la parution de liste d'indisérables en Artois avait profondément outré Napo, celle-ci laissant une part appréciable à des personnalités champenoises et quelques autres que le langrois connaissait quelque peu.

Malgré tout cela, il se promit de faire taire ces pensées trop belliqueuses pour un évènement de ce genre, le mariage de son amie Deedo.
Qu'il remontait loin le temps où ils s'étaient rencontrés... Cela datait bien de la Roulotte, des amours de la Flamande avec Mötorhead et des histoires désormais anciennes del Bandito sanglanto...

Il eut un petit sourire en repensant à ces épisodes. Allons, revenons au présent...

Il prit la main d'Oksana, lui souriant tendrement avant de s'engouffrer dans la foule, en direction de la Cathédrale. Un retard serait mal vu et lui vaudrait quelques réflexions bien placées de quelques unes de ses connaissances dans le coin...

Zya62

Zya suivait ses parents en la demeurre de Dieu... nullement impréssionnée pour autant!
Aussi, tiraillait-elle le bras de sa mère afin d'arriver au plus vite près des autres invités!
Là, les grandes dames du Royaume se pressaient, parée de leurs plus beaux atours, ce qui impressionna la petite. Elle n'avait jamais vu plus belles étoffes. Cela avait l'air tellement doux...
Elle se mit alors à essayer d'atteindre discrètement les jupes et pantalons de ces gens, mais bientôt, elle fut prise en main par Aeliana...
Alors, un sourire aux lèvres, elle suivit docilement la jeune Dame d'Atours et, aussitôt assise et la main lâchée, se retourna vers la dame à ses côtés et commença à toucher discrètement la soie de sa robe...délicieux! Vivement qu'elle soit une grande Dame à son tour!
Alors, doucement, elle commença à s'éloigner pour faire de mesme ailleurs...

Deedlitt

Deedlitt qui paniquait affreusement n'osait pas passer la porte de la sacristie. Elle entendit alors les parole du prêtre sans doutes pour enjoindre les invités à s'assoire..

Bien ma fille c'est maintenant ou jamais !

Elle hésita a s'enfuir puis non. Elle ouvrit la porte le bouquet à la main et avança dans l'allée de la cathédrale nerveuse, les yeux brillants. Elle avait les jambes en coton et les mains tremblantes. Elle rejoignit son bien aimé devant l'autel le sourire un peu crispé.
Elle se répétait 'tous va bien se passer, tout va bien se passer"
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---fromFRNenou

Nenou sourrit a Guigui , et lui sert la main plus tendrement, elle se tourne alors du coté de l'hotel afin d'ecouter ce que le pére lit.D'une attitude attentive et ne voulant pas se gâcher la journée, elle profite avec les yeux de se mariage,en attendant avec hate de voir la mariée...
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Karpatz est sous son aîle ainsi que Raphaels
Infirmiére de l'ost Dunkerquois
Guigui est l'homme qui lui fait vivre un rêve
Mére d'Aléna,Albéric et Charles,Baptisé

---fromFRpatience

Patience sourit au Comte en s'approchant, puis se plaça auprès de lui. Pour rien au monde elle n'aurait voulu manquer cet instant. Tout comme lui avait été là pour elle, à cet endroit même, lors de son mariage avec Olivier, elle était là pour lui et en éprouvait une grande fierté.

Elle eut à peine le temps de murmurer "bonjour" aux futurs mariés et à l'autre témoin, que déjà le grand aumonier commençait la cérémonie. Elle se dit que, oui, elle était bien en retard. Par Aristote, quelle honte. Enfin, heureusement, personne ne l'avait vue tomber de cheval, et elle trouverait bien un moyen de rejoindre Saint Omer, sans Malta qui avait dû fuguer.
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---fromFRLe_celte_noir

Le_Celte_noir etait dépassé par les évènements.... Il avait eu une dur journée et était a coté de la plaque. Il suivit Gnia qui le tira encore une fois et s'assit a coté d'elle. En effet ils n'étaient pas bien placé mais cetais mieux que rien et c'est ça detre en retard. Il chuchota a Gnia:

Merci de m'avoir attraper en chemin je ne serais toujours pas la sinon ..... C'est pas mon jour .....

Apres lui avoir dit ces quelques mots a l'oreille, il regarda la cathédrale. Tout autour de lui il y avait des nobles bien habillés. A cet instant il se dit qu'il faisait bien tâches ..
Il vit le comte qui etait resplendissant pour ce jour. On pouvait discerner un certain stress et une certaine joie sur son visage....
Il attendit de voir avec hate la mariée......
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Amoureux de sa douce a ne plus pouvoir vivre sans elle ....

Aeliana

Aéliana était en retrait, elle vit le regard de Sa Dame, Dame Mormynette Gilraen de Saint ange.

De suite, elle s'avança et approcha de Damoiselle Zya.

Damoiselle Zya, regardez par la bas, Voulez Vous venir avec moi ? ainsi on pourra mieux voir.

Aéliana fit signe à Sa Dame qu'elle pouvait se tranquilliser. Elle s'occupait ainsi de Sa fille.

---fromFRguigui72260

Guigui était assis a coté de Nenou, en train de regarder ca et la, quand il sentit une pression très forte dans sa main

Ouille !

Ce n'est rien mon coeur...

Guigui embrassa Nenou sur la joue lorsqu'il vit Farena, enceinte de surement déjà pas mal de temps. Nenou suivait Farena du regard. Guigui ne comprit pas tout de suite a quoi pouvait penser Nenou, mais après quelques minutes de silence ou il y pensa, il se rappella soudain : Wilbur/Nenou/Farena. Guigui fit une grimace semblable a celle qu'il avait faite lors de la pression sur sa main.
D'un geste tendre, Guigui détourna le regard de Nenou pour ne pas qu'elle se torture toute seule. Pour lui faire penser a autre chose, Guigui ne trouva que quelques mots a dire :

Je t'aime ma zamour

Tout en surveillant de temps a autre le regard de Nenou pour s'assurer qu'elle n'y pensait plus, meme si c'était sans doute difficile
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---fromFRAltho

Le second témoin venait d'arriver, tout le monde était maintenant présent, aussi Altho commença.

Parents, amis, pic-assiettes, vous voilà aujourd'hui réunis pour célébrer l'union de deux âmes, deux âmes pures, pour lesquelles un lien fort & unique existe & ne se rompera pas. Ce mariage, en soit un accomplissement, n'en est pas pour au tant un achèvement mais bel & bien le commençement d'un septième truc encore plus divin.

Comme nous l'enseigne le Livre des Vertus, dans le livre second, la Vita de Christos, chapitre XIII, le Mariage est un acte beau, un acte d'amour, non seulement envers notre conjoint, mais également envers notre Créateur.
Ouvrons maintenant le St-Livre & ensembles, lisons, verset 1 à 10.

Citation:

Et oui ! Cet homme là semblait capable de prodiges. Sa foi était si forte qu'il semblait être en communion avec le Très Haut. Lorsque nous cherchions à mieux le comprendre, et que nous l’interrogions, il nous répondait toujours, inlassablement :

" Mes amis, Dieu habite toute chose car il en est le créateur, qu'il s'agisse d'humains, de brins d'herbe, de papillons, de nuages, de la brise du vent... "

Mais Christos, lui, contrairement à nous, semblait presque atteindre la perfection divine ; il ressentait l'existence divine avec tant de foi qu'aucun prodige ne semblait lui être impossible.

Ainsi, après le départ mystérieux des soldats romains, qui, aujourd’hui, je m’en rends compte mes amis, devaient être tout simplement partis chercher du renfort, Christos nous guida vers une grande maison cossue et bourgeoise qui faisait taverne et gîte pour la nuit. Il avait décidé que nous nous établirions là pour loger jusqu’au lendemain.

Or, la fille de nos hôtes vint avec une cruche pour nous servir du pain et du vin, et Christos reconnut celle qui se nommait Natchiachia, et qui lui avait adressé la parole précédemment, lorsqu’elle était dans la foule.

Natchiachia versa le vin de sa cruche dans la corne de Christos, et lui demanda :
" Maître, je suis en proie à un profond tourment de l’âme. Je voudrais te suivre dans tes enseignements, mais j’aime un homme qui habite ici et qui se nomme Yhonny, je l’aime d’un amour pur comme le diamant… Que dit Aristote sur cette question que dois-je faire ? "

Christos lui répondit: " Lorsque deux êtres s’aiment d’un amour pur et qu’ils souhaitent perpétuer notre espèce par la procréation, Dieu leur permet, par le sacrement du mariage, de vivre leur amour. Cet amour si pur, vécu dans la vertu, glorifie Dieu, parce qu’Il est amour et que l’amour que les humains partagent est le plus bel hommage qui puisse lui être fait. Mais, comme le baptême, le mariage est un engagement à vie, aussi, Natchiatchia, choisis judicieusement, car une foi que tu auras épousé Yhonny, vous ne pourrez plus vous y soustraire. "

Comme cette dernière parole frappa d’étonnement l’assemblée, car l’époque était à l’inconstance… Natchiatchia reprit :

" Mais, Maître, serons-nous assez forts pour respecter ce choix et vivre sans pécher ? "

Alors, Christos répondit :
" Sachez que l’humain doute par nature, que l’amour qu’il éprouve pour Dieu et pour son prochain peut connaître autant d’aléas que la vie comporte d’épisodes. Mais la vie vertueuse est un idéal vers lequel l’homme doit tendre. Et, dans son chemin, il peut s’aider de la prière. La prière peut en effet être le moyen pour tous de renforcer cet amour lorsque cela est nécessaire. N’oubliez pas non plus la puissance de la miséricorde, qui est accordée grâce à la repentance. "

La lecture achevée, le père Altho invita les futurs mariés & leur témoin respectif à s'approcher.
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GAF
Archives Berrichonnes

Mormynette

Un peu en retrait du Comte de Hazbourg, Mormy adressa un sourire à Deedo...d'une main elle tentait de retenir la petite Zya qui du haut de ses neuf ans, impressionnée par les dames et leurs belles toilettes voulait toucher à tout...

Elle chercha du regard sa dame d'atours et lui lança un regard non équivoque...l'enfant se faisait par trop nerveuse et fatiguait sa mère en son dernier stade de grossesse.

Il était urgent qu'elle intervienne...

Telya

La cathedrale se remplissait et les invités tous plus prestigieux les uns que les autres, se pressaient sur les banc de bois ciré.
La famille Saint Ange arriva , Mormynette en tete , au bras de son époux Charles, suivit de leur fille Zya qui s'accrochait timidement aux jupes de sa mere. Telya donnait le bras à son pére qui n'en finissait pas de raler . Ils se trouvérent une allée ou un banc etait libre et s'assirent le plus silencieusement possible .
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Thegregterror

Voyant les portes s'ouvrirent et laisser apparaître la Baronne de Richebourg, le Comte fut un peu mal à l'aise vis-à-vis de Reigninblood qui semblait avoir reçue la demande initiale. Il espérait qu'il n'y aurait pas de problèmes par après...

Maintenant que son témon était là, la suite ne devrait pas tarder. Il n'aurait su décrire ce qu'il ressentait en cette instant tant c'était confus... même s'il n'aurait échangé sa place pour rien au monde.

Bientôt il la verrait...
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Barahir_de_malemort

Reign, assit sur le banc, la tête tourné de trois quart pour apercevoir Blanche Marche du coin de l'oeil se retourna prestement lorse qu'il sentit des petite coups sur son epaules gauches. Un jeune page a la livré de Saint Omer se tenait pret de lui et lui chuchota

Le Comte vous demande comme temoin vu qu'il n'y a nul trace de votre soeur

Surpirs, mais touché d'un telle honneur de la part du comte, Greg entrprit de se lever lorsque les porte s'ouvirir une fois de plus, pour laisser entrer la Baronne de Richebourg, vestu du magnifique roble bleu et se pressant vers l'autel en essayant de ne pas tenir compte des regards qui se posait sur elle. Reign se tourna alors vers le page

Retourne aupres du comte il pourrait avoir besoin de toi... son temoin vient d'arriver

Puis il se rassit bien comme il fallait, evitant de poser ses fesses sur la mailles ce qui était fort douloureux, et regarda la suite de la messe

---fromFRSanAntonio

Le vicomte attendait toujours, impatient. Tôt demain, il repartirait vers le Nord, vers les Flandres. Il espérait donc que la cérémonie ne s'éterniserait pas, et qu'il aurait droit à son quota de sommeil. Il sentit bientôt une présence, sur son épaule, puis à ses côtés. Delvine. Il n'aurait pas crut la voir ici, la voir seule, et encore moins qu'elle vienne à ses côtés. Il inclina légèrement la tête, pour la saluer, il hésita un instant, et dit quelques mots à voix basse.

Et bien, enfin un visage connu et non artésien. Je suis surpris de vous...de te voir ici. J'espère que ton voyage s'est bien passé. Tu es venue seule ?
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---fromFRNenou

Nenou assise a coté de son bien aimé Guigui, regarde la cathédrale avec des yeux emervillé, la cérémonie va bientot commancer, la mariée va enfin faire son entrée

...Lorsque un couple de personne a l'allure qui lui semble familiére entre en la cathédrale ....

Wilbur et Faréna qui a un ventre bien arrondis!Nenou regarde le pére de ces enfants entrer avec son épouse, machinalement elle sert la main de guigui un peu plus fort ...

"Elle est enceinte de son deuxieme enfants... et il ne m'a meme pas prevenu qu'Aléna et Albéric allait avoir un autre petit frére ou soeur ... sa va en faire de la famille pour noél" Pense t'elle ...

Elle regarde guigui relachant la pression de la main en voyant sa tête faire une drole de grimace, elle lui chuchote a l'oreille d'un air confus :

pardon , excuse moi , je ne voulais pas te faire mal !

Puis elle detourne son regard du coté de l'hotel, la pensée ailleurs que au mariage... elle se sent un peu mal a l'aise mais elle reste en tant qu'invité et par amour pour Guigui
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Karpatz est sous son aîle ainsi que Raphaels
Infirmiére de l'ost Dunkerquois
Guigui est l'homme qui lui fait vivre un rêve
Mére d'Aléna,Albéric et Charles,Baptisé

---fromFRDotch

azdrine a écrit:

Duchesse, je suis heureux de vous revoir, cela faisait fort longtemps que nous n'avions eu l'occasion de nous croiser.

Je vous présente ma compagne, Dame Sibella.

Sibella, voici la Duchesse Dotch d'Appérault, ma suzeraine. Une femme remarquable quoiqu'elle en dise.

Mais, le temps passe si vite que cela ?Dit Azdrine en voyant les deux enfants près de leur mère.

Dotch salua Azdrine et Dame Sibella, Dame quelle avait déjà eu l'occasion de voir il y a fort longtemps.

Madame, bien le bonsoir.

Azdrine, voilà un réel plaisir de vous revoir. Puis elle rajouta plus bas

Il faut dire de Cassel, un membre de ma famille m'a soigneusement dit avec toute sa délicatesse, que de part mon mariage je ne pouvais plus m'afficher en tant que d'Appérault.... blablabla.... s'en suit un petit clin d'oeil discret envers Azdine

et oui le temps passe vite mon cher vassal, voilà bien longtemps que je ne vis plus en France. Je ne reçois même plus les ragots, c'est pour dire au combien le temps m'a oublié. Ca ne me rajeunit pas tout ça au final En un lieu plus privé, la Duchesse aurait bien mis une petite claque sur l'épaule de son vassal mais elle ne se le permit pas.

Dame Sibella, je me disais bien que votre visage ne m'était pas inconnu. Je n'arrivais pourtant pas à me savoir où et quand... ma mémoire me fait de plus en plus défaut je crainds. Mais c'est un plaisir de vous revoir également. Dotch, très respectueuse, fit une petite courbette à Sibella
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en cours

Oksana

Oksana et Napo étaient partis en retard de Bourmont, celui-ci ayant été retenu au tribunal par quelques affaires visiblement urgentes. A son arrivée au domaine, tout était prêt. Oksana, changée et coiffée, lui proposa de partir sans perdre plus de temps. Il aurait bien le temps de se changer durant le voyage, ne le voyant pas arriver, elle avait pris l'initiative de lui préparer quelques habits.

Heureuse de ce petit voyage avec lui, elle accepta la main qu'il lui tendait pour monter dans le petit carosse et s'assit à ses cotés.

Le trajet fut fort agréable, le temps était favorable et les chemins à peu près carossables. Napo se changea avec son aide et, comme toujours, elle ne put s'empêcher de le trouver magnifique.

A leur arrivée à la cathédrale d'Arras, elle remarqua le faste des carosses déjà présents. La foule se pressait déjà à l'entrée. Elle se regarda rapidement, ne put réprimer une moue en se voyant, craignant de ne pas être à la hauteur des autres invités. Sans lui donner le temps de réfléchir, Napo l'invita à descendre du carosse et l'entraina, mains entrelacées, à l'intérieur de la cathédrale.
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Gnia

La cérémonie allait commencer d'une minute à l'autre. Le prévôt n'avait pas l'air pressé d'entrer. Gnia décida de prendre les devants et entra dans l'édifice, traînant derrière elle Le Celte Noir et Lolodrogba.
Elle se demandait ce qu'elle avait pû faire pour courroucer Aristote au point qu'il lui inflige un cavalier d'humeur taciturne et un ami tête en l'air...

Elle trouva tout de même de la place, au fond de la Cathédrale. Evidemment, de là où ils étaient assis, on ne voyait pas grand chose. Mais peu importe, le comte d'Artois se mariait et elle y assistait...
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Crystale2609

Ayant laissé les enfant à Bertincourt, Crystale et Edge avaient pris le chemin de la Capitale.
Crystale fut étonnée de voir autant de monde venu de part le royaume.
Passant son bras autour de celui de son mari, ils rentrèrent dans la cathédrale et s'assirent se faisant le plus discrets possible.
Elle reconnu des Artésiens ayant fait le déplacement pour l'occasion.
Quelle ne fut pas sa surprise de voir Rox et Luzi, ils avaient du voyager une bonne partie de la nuit pour être présents.
Ce jour resteraient à jamais marqué pour l'Artois.
Elle fut heureuse de voir Greg, il était resplendissant et le bonheur se lisait sur son visage, quoi que on dirait que quelque chose le tracassait...

---fromFRpatience

La porte s'ouvrit dicrètement et la baronne de Richebourg entra, l'air de rien, d'un pas léger, mais on voyait bien qu'elle était essouflée. Ses joues étaient trop rouges et un pan de sa magnifique robe bleu sombre était éraflé. Elle s'avança et chercha son époux du regard, puis leva les yeux vers l'autel et eut la vague impression que tout le monde la regardait. Etait-elle donc si en retard ...
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Ylalang

Au questionnement de la future mariée, Yla alla jeter un coup d'oeil. Toujours pas de dame Patience, mais le Comte d'Artois semblait en grande conversation avec Artois justement. Probablement que le problème était en cours de résolution.
Elle referma la porte. La future épouse était prête. Mais pas elle !

Attends deux minutes !

Elle passa derrière le paravent et passa la toilette qu'elle avait amené à toute vitesse. Une longue robe decolletée lie-de-vin, rehaussée de dentelle noire. Elle se dirigea vers le miroir pour tout verifier, et ses mains se portèrent machinalement vers ses cheveux qu'elle comptait mettre en chignon, avant de se rendre compte qu'elle n'avait plus la longueur nécéssaire.

Bon ben ils resteront comme ça eux...

Bon allez, à toi l'honneur ma grande ! Je crois qu'il est temps d'y aller !

Damienus

Le comte de Seclin arriva en la cathédrale d'Arras. Le voyage avait été long depuis Barcelone. Il s'installa dans la cathédrale, ne prétant guère attention aux personnes présentes. La fatigue du voyage sans doute. Le comte avait revêtu un pourpoint avec ses armes dessus. Il attendait que la cérémonie commence.
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---fromFRFaréna

La Comtesse Faréna d'Harlegnan pestait après son époux en descendant en catastrophe du carosse qui les avait conduit du Pérogord vers l'Artois. Ils étaient en retard et malgré cela il avait fallu faire une halte pour que Wilbur puisse faire un encas, dans une aubarge en arrivant en Artois.

Elle avait espéré pouvoir parler à la Comtesse Deedlitt avant l'union, mais il était surement plus temps. Faréna s'avança au bras de son époux dans la Carhédrale, cherchant du regard d'autres flamands.

C'était leur premier retour dans le Nord de la France depuis qu'ils étaient partis peuplés la Guyenne, et ce mariage était la meilleure des occasions pour revoir des amis, et assisiter à un évènement heureux.

Le ventre bien arrondie par sa deuxième maternité, Faréna suivit son époux, qui leur cherchait une place se demandant s'ils pouvaient se mettre où bon leur semblait.
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Sibella

Sibella était ravie et intimidée à la fois de rencontrer autant de personnes et surtout d'être en compagnie du Baron d'Usson devant tout le monde.

Néanmoins, elle reconnaissait certaines personnes avec lesquelles elle avait oeuvré quand elle était ambassadrice en Champagne.

Quand Azdrine lui présenta la Duchesse Dotch d'Appérault, Sibella fit une profonde révérence.

Mes hommages Duchesse, je suis heureuse de vous revoir. J'ai eu le grand priviliège de vous rencontrer quand vous étiez Chambellan en Champagne et c'est un plaisir pour moi de vous revoir aujourd'hui en circonstances aussi joyeuses.

Sibella regarda les deux enfants qui étaient magnifiques, deux petites têtes blondes, tout le portrait de leur magnifique Mère.

Thegregterror

Pas de trace de Patience... il avait beau chercher du regard, il ne trouvait son amie. Il n'aimait guère cela, d'une part car elle était son témoin et d'autre part car si elle n'était pas là c'est qu'il avait du arriver quelque chose... Il fit une grimace mais préfèra chasser cette idée, après tout elle s'en sortait toujours bien.

Evidemment à ce moment là, il vit le prêtre lui indiqua qu'il fallait un autre témoin. Sans témon pas de mariage... Mais qui? Il avait beau chercher, il ne voyait pas... Arf, cela serait quand même bête... Il tourna la tête et... c'était bien sur. Un autre Richebourg.

D'un signe de main, il appela un page qui restait sur le côté en retrait et lui murmura d'aller lui quérir rapidement Reigninblood en l'indiquant du doigt...
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---fromFRAltho

Le père Altho, intrigué, se demandait où était passé le témoin du futur marié, dame Patience. Priant silencieusement pour que rien de grave ne lui soit arrivé, il apostropha discrètement le comte & futur époux pour se renseigner sur la marche à suivre pour assurer la continuité de la cérémonie...
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GAF
Archives Berrichonnes

Delvine

Après son arrivée à la Cathédrale artésienne, elle avait aperçut son cousin parmi les invités et c'est ainsi qu'elle se dirigea vers lui, posant une main sur l'épaule du Vicomte de Melun et de Meaux, avant de s'assoir à ses côtés.

Sur le chemin la menant en Normandie, elle avait fait halte en Artois pour assister à la cérémonie, espérant croiser son cher filleul adoré. Son séjour en Artois en était l'occasion.

Parmi les invités elle reconnut le Duc de Bourgogne et sa fiancée, la comtesse Nebisa, qu'elle avait croisé à la chapelle des hérauts quelques jours auparavant, et bien évidemment sa soeur en pleine conversation, accompagné de ses neveux.
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Azdrine

Azdrine échangea quelques paroles avec Lothaire qui semblait au mieux de sa forme. Ylalang arriva vers eux et tous se saluèrent.

Lothaire fidèle à lui même repartit en courant et Azdrine et Sibella se dirigèrent vers la Duchesse de Saint Florentin qui, comme à son accoutumé était magnifiquement parée.

Duchesse, je suis heureux de vous revoir, cela faisait fort longtemps que nous n'avions eu l'occasion de nous croiser.

Je vous présente ma compagne, Dame Sibella.

Sibella, voici la Duchesse Dotch d'Appérault, ma suzeraine. Une femme remarquable quoiqu'elle en dise.

Mais, le temps passe si vite que cela ?Dit Azdrine en voyant les deux enfants près de leur mère.

Eleusis

Eleusis avait vu revenir à ses côtés un Lothaire essouflé et tout rouge. Elle se demanda ce qui avait bien pu le mettre dans un tel état, il lui semblait l'avoir vu sortir et rentrer en courant du lieu saint mais elle n'osait s'enquérir de la raison de cette précipitation pour ne pas ajouter à la confusion de son cavalier.

Elle manqua d'exploser de rire quand il tua net une chaise sous lui et eut bien du mal à reprendre son sérieux. Mais le lieu et l'occasion lui permirent de se calmer et elle attendit avec impatience le début de la cérémonie.

Lothaire_de_cassel

Lothaire était complètement essoufflé, il n'eu pas le temps de dire quelque chose que les alliance lui firent reprise et la porte claquée, il essaya de reprendre sa respiration et fit un signe au comte que tout était bon, il retourna auprès de sa cavalière, encore essoufflé. C'était la dernière fois qu'on lui prenait, il espérait surtout que l’officiant ne demanderais pas trop a se lever ... Il se dit que s'asseoir était le meilleur moyen de se reposer et trouva une chaise à l'écart, il s'affala dessus, mais manque de chance celle ci était cassée (pas pour rien qu'elle était à l'écart) et Lothaire se retrouva par terre, c'était vraiment pas son jour de chance, il tenta de sauver les apparence, bien que le céans à terre, il ne le pouvait. Il ne dit donc rien espérant que le moins de monde possible l'ai vu, il se mit alors, sagement auprès de sa cavalière et se jura de ne plus rien faire, bouger le moins possible et vérifier la solidité de toute les chaises avant de s'asseoir. Il maudit alors intérieurement les chaises artésiennes, puis les pots de fleur artésiens mais aussi le parvis de la cathédrale artésiennes, etc. Espérant ne plus faire de catastrophe. Il se sentait des plus honteux et tentait toujours de reprendre sa respiration. Car en plus d’être ridicule, on aurait dit qu’il imitait un bœuf.

Deedlitt

Deedlitt soulagée

Oui magnifique, pfiou j'ai bien cru que ca allait être une catastrophe..Heureusement tu es là? bon tout le monde est là je peux faire mon entrée?
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Deedlitt

Deedlitt qui se demandait bien pourquoi Yla avait claqué la porte aussi vite et ce qu'elle avait attendu jusque là en lui disant que tout allait bien.

Hum t'es sur que tout va bien hein?
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Ylalang

Vite, détourner l'attention de la mariée du drame qui avait failli avoir lieu.

Oui oui, tiens, regarde les jolies alliances !

Elle montra les alliances, recuperées de justesse.

Elles te plaisent ?

Barahir_de_malemort

Assit sur son banc, notant les va-et-viens des noble dans l'Eglise, Reignreconnu deux t^te "heraldique"... "St Jean" ou San Antonio d'Apperaut se tenait isolé, mais au pommeau. Comme si il allait êtes attaqué dans de lieu saint... Bien que le Capitaine le detestait, comme tout les apperaut, jamais idée ne lui serait venu d'une attaque en ces lieux, ni non plus en ce faste periode de paix et de bonheur... Le comte était heureux, l'Artois l'était et il aurait été le pire des crime que de troublé ce bonheur

Le regard dans le Vague, le Vicomte ne preta aucunement attention au regards de Reign fort heureusement, et apres quelques plissemet d'oeil encore envers le grand pére du Dauphin, il se tourna pour voir un autre forme connu... la "Belle blanche" Marche était là charchant visiblement un banc l'artois l'avais quand même attiré....

Ylalang

Arrivée devant la sacristie avec Lothaire, celui-ci se rendit compte qu'il ne les avait pas, et partit aussitôt en courant.
Ylalang se tapa le front de la paume de sa main. Mais quel benêt celui-là ! Oublier les alliances, probablement la seule chose à laquelle il devait penser en ce jour.
Elle rentra dans la sacristie pour rassurer la mariée tant bien que mal, et la faire patienter. Quelques minutes plus tard, elle entendit toquer à la porte, et l'ouvrit pour voir un Lothaire tout rouge et essouflé. Elle se retint de rire devant sa tête, et opta pour les remontrances.

Et ben pas trop tôt ! Bon, c'est moi qui vais les garder à ce compte-là !

Elle prit le petit paquet des mains de Lothaire et lui claqua la porte de la sacristie au nez. Elle se tourna vers Deedlitt.

Bon, tout est pret. Prête à entrer dans l'arène ?

---fromFRLe_celte_noir

Le_celte_noir aperçut Gnia vétu d'une magnifique robe rouge. La robe lui allait a ravir mais il n'eut pas le temps de la contempler longuement. La scène ne dura que quelqu'un seconde. Gnia lui parla en toute hate d'un retard.

Mais quelle heure est il ??? On est si en retard que ça ???

Gnia n'écouta meme pas ce qu'il dit et le prit par la main en le tirant. Quelle force il trébucha au début sur les galets manquant de se retrouver par terre avec Gnia .... Il se reprit et coura ensuite a coté de Gnia. Elle l'emmena devant le prévôt Lolodrogba.

Bonjour Lolodrogba..... Je suis désolé mais Gnia m'a prit par la main et en fait je n'ai pas trouvé de personne pour m'accompagner..... Je pensais etre a lheure mais en retard comme a mon habitude.
Comment allez vous ???

Le_Celte_noir attendit la réponse du prévôt et en profita pour souffler un coup.....
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Amoureux de sa douce a ne plus pouvoir vivre sans elle ....

Maeva83

Luzifer et Roxy avaient chevauché près de deux jours sans repos pour ne pas être en retard à la cérémonie.
Arrivés en fin d’après midi, ils avaient à peine pris le temps d’une collation et avaient commencé à se parer pour l’évènement.

On ne parlait que des épousailles au village, et ils eurent vite fait de retrouver bon nombre de leurs amis sur le parvis de la cathédrale.

Roxy monta les marches au bras de Luzifer, le cœur battant. Elle affectionnait particulièrement Greg et s’impatientait de faire la connaissance de Deedlitt de Cassel qu’elle n’avait pas encore eu le privilège de rencontrer.

Très émotive et un rien maladroite, elle prit appui discrètement sur le bras de Luzi pour ne pas défaillir où trébucher en montant les marches.
La cathédrale était merveilleusement décorée de cierges et de roses blanches.
Rox et Luzi prirent place en silence, et d’un signe de tête saluaient les artésiens qui entraient à leur tour.
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Thegregterror

Le Comte qui se calmait intérieurement, ou du moins essayait comme il pouvait, fut fort surpris de voir Ylalang venir à la recherche des alliances, ce qui remonta le stress de plus belle, avant de se rendre compte que c'était Lothaire qui devait les avoir... Ouf ! La frayeur !

La foule commencait à grossir de plus en plus... tant de monde... il n'avait pas encore apercu Patience, ni le curé... ni sa douce... L'attente est toujours trop longue, se dit-il.

Les cris de Lothaire aurait pu le laisser pour mort de surprise, mais son estomac se décontracta quelque peu, trop peu, lorsqu'il comprit que les alliances étaient bien là...
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---fromFRkremroat

Aprés une longue absence en Artois où le duc Kremroat fû à plusieurs reprise membre du conseil comtal Artésiens d'abors comme porte parole puis comme CAC, où il montra l'exemple en allant chercher lui même avec son ami le défun F'tarkin chercher fer et pierre dans d'autres duché pour la remonté des mines artésiennes, et aussi remonter le trou de l'époque.
Son retour fu ému par tous ces souvenirs.
Seul cette invitation à un mariage heureux aurai pu faire venir le duc sur le sol Artésiens qui est mélancolique de ce passé.
Il en profita donc pour faire visiter ce comté à ses enfants Telya et Charlesdelatour ainsi que leurs conjoints rescpectifs, Lunconnu et Mormynette et donné un cours d'histoire à se petite fille, sa chère chouchoutte Zya.
Le duc était aussi accompagné par Maguelonne la soeur de Mariemagnes, il profita ainsi pour lui montrer les débuts de sa soeur en Artois, des débuts prometteurs qui ont fait de sa soeur une grande comtesse des Flandres et une merveilleuses épouse du marquis Urbs.
Sans oublié la visite de l'abaye connu pour sa bière, Jyscal voulait à tout prix faire un détour dans cette institution.
Aprés cette dur Journée, la Famille de Saint Ange était enfin arrivé à la cathédrale pour fêter le mariage d'une amie de la famille Deedlitt de Cassel.

En tant que chef de famille, le duc kremroat s'approché de son amie Deedlitt qui lui présenta sa main, et tres délicatement le duc lui fi un baise main trés elegant.
Et murmura quelques mots:
"Chère amie, je vais pas prendre plus de votre temps à vos amis, mais je tiens à vous féliciter et vous souhaiter tout mes voeux de bonheur."
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merci à ma fille et à tous!

Lothaire_de_cassel

Lothaire salua Azdrine et dans un sourire lui dit :

Je n'avais pas trop le choix, on m'a obligé

sourit de plus belle et fit un baise main à la compagne de Saint Esprit, en lui disant :

Damoiselle, c'est un plaisir de vous rencontre "enfin" !

Alors que Lothaire allait dire quelque chose la vicomtesse Ylalang le coupa il lui dit du tac au tac:

Les Alliance, oui c'est bon, je préviens ma cavalière et je vous rejoins pour les lui donner et la rassurer

Sur ces mots il fit quelques pas pour dire à Eleusis qu'il partait quelques instant et la laissait en bonne compagnie de la Duchesse Dotch puis parti accompagné d'Ylalang vers la sacristie avant d'entrer, Lothaire s'arrêta net et dit :

Je vais peut estre vous les donner, sinon je vais me prendre la troisième claque de ma cousine ...

Il chercha alors les alliance, puis commença a s'inquiéter.

BIGRE, LA CALECHE !!!! Dite à ma cousine que je les ai, je vais aller les chercher, je les ai oublié dans la poche de la calèche, rassurez ma cousine, je revient !

Lothaire courra dans la Cathédrale bousculant au passage quelques personnes, une fois sur le parvis, il manqua de glisser tellement la pierre était polie, il parti en direction de la route, chercha la calèche et en vit une bonne dizaine aligné devant une écurie, il se dirigea vers cette attroupement et chercha celle avec laquelle il était arrivé. Il chercha donc activement, entrant dans deux ou trois ressemblante puis trouva enfin la "sienne'. Il en sorti avec un petit paquet, puis se dirigea vers la Cathédrale. Il fit tomber un pot de fleur dans sa course et entra dans la Cathédrale, tellement bondée qu’il était difficile de se faire un chemin, affolé, Lothaire cria (oui je sais ça se fait pas, mais bon …)

PLACE !!! PLACE !!!

Les gens surpris de ses cris firent la plasse au jeune noble, qui arriva enfin devant la porte de la sacristie, il toqua, profitant de l’arrêt pour reprendre sa respiration, haletante après sa course, il mit une main sur le mur, il avait du mal a se remettre de cette course.

Gnia

Gnia sortit avec précipitation de la mairie d'Arras.

Elle était en retard, comme à chaque fois qu'il fallait veiller à sa tenue. Le dilemme avait été de taille, robe de cotonnade bleue clair ou robe de cotonnade rouge sombre, essayées chacune à trois reprises et aussitôt enlevées. Du coup, le chignon était évidemment à refaire...
Lasse de tergiverser et passablement en retard, Gnia opta finalement pour le rouge sombre.

Relevant sa robe, elle se faufila dans les ruelles d'Arras en direction de la cathédrale. Au détour d'une ruelle, elle tomba nez à nez avec Le Celte Noir, lui aussi vêtu de ses plus beaux atours.

Allez viens, suis-moi, tu es en retard toi aussi...

Sans attendre, Gnia lui attrappa le bras et ils filèrent à la cathédrale.
La place était noire de monde. Se faufilant parmi les badauds, les carrosses et les hommes de l'Ost, ils arrivèrent enfin sur le parvis. Le prévôt semblait s'impatienter...

Bonsoir Lolodrogba. Je suis désolée de vous avoir fait attendre.
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Sibella

Sibella suivant Azdrine en le tenant par le bras. Elle était heureuse d'être avec lui, sa vie changeait et ces nouvelles perspectives la rendait joyeuse et terriblement bien.

Le couple se dirigea vers un groupe de personnes et Azdrine fit signe particulièrement à quelqu'un vers qui ils se dirigèrent. Il fit les présentations et Sibella salua respectueusement le Héraut qu'elle avait croisé à la Chapelle.

Je suis enchantée de vous rencontrer Messire et votre Cousine est fort belle

Elle fit un grand sourire au Seigneur de la Madeleine et regarda Azdrine

---fromFRDotch

Eleusis de Cluny a écrit:

Bonjour ma petite élève ! Toujours aussi jolie malgré ce temps qui passe !
Je crois que votre charmant beau-frère ne savait pas que nous nous connaissions... regardez son air interloqué.

Les deux jeunes femmes pouffèrent de plus belle.

Dotch regarda Lothaire son sourire greffé jusqu'aux oreilles

Je ne savais point que vous connaissiez mon beau-frère également. Comme quoi ce grand royaume est petit au final...

Peut être ne connaissez vous point mes deux derniers

Les jumeaux regardaient depuis cinq minutes leur mère rire avec une Dame, sans pour autant la connaître. Dotch fit donc les présentations.

Anne et Aymerick, mes petits jumeaux... enfin petits est un grand mot, à huit ans ils ne sont plus si petits que cela. Dame Eleusis, une grande Dame, qui m'aura appris beaucoup Les jumeaux dirent en coeur comme souvent "bonjour" à la Baronne.
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en cours

Toultoutim

Le Duc de Bourgogne Guillaume de Talensac, arriva après un long voyage en compagnie de sa fiancée Diane de Cohan.

Ils avaient fait la route depuis Macon et étaient parti très tôt hier pour se rendre à cette cérémonie qui s'annonçait somptueuse. Pour eux, c'était un peu une répétition avant le test grandeur nature, car ils devaient se marier dans deux semaines. Aussi auraient ils un oeil particulièrement attentif sur l'organisation du mariage, la cérémonie, les invités... etc... etc...

Le carosse aux armoiries bourguignonnes s'arrêta sur le parvis de l'église d'Arras. Le long voyage avait rendu le carosse habituellement rutilant plein de poussière, et la garde rapprochée du Duc stoppa. Un cavalier descendit pour ouvrir la portière et laisser Diane, la fiancée du Duc en descendre. Talensac lui emboita le pas, et c'est ainsi, que le couple Ducal, main dans la main, entra dans l'église pour assister à la cérémonie

Daresha

Bien sur...
Ne cessant de lui sourire, elle le suit à l'intérieur de l'edifice. Majestueux batiment construit à la gloire de Dieu. Si beau et si empreint de sérénité. Grand mais atmosphère reponsante malgré la foule qui afflue. Il lui semble que cela fait si longtemps qu'elle n'a pas trouvé refuge dans un tel lieu. Oui cela fait longtemps. De moins, depuis qu'ils lui ont pris le Vicomte. Tout est allé si vite.
Oublie... Oublie.. N'y pense plus. Pas maintenant et profite de l'instant.
Encore cette petite voix qu'elle entend par moment. Elle essayera de suivre ses conseils.
Son regard parcourt les pierres taillées soigneusement et les portes en bois soignées..
Majtestueux endroit pour une majestueuse union.
Fermant les yeux un instant, sans lacher la main de Guillaume, elle se signe avant que tous deux gagnent le banc qui a attiré l'oeil du Chevalier. Le remerciant d'un signe de tête léger, elle prend place à côté de lui. Un faible soupire s'echappe de ses lèvres rosées. Elle n'a pas envie de rendre sa liberté à cette main qu'elle tient. Et pourtant il le faut. Cachant ses regrets par une attitude droite, sa main finit par délaisser la sienne. Etrange sensation qui refait a nouveau surface et qu'elle tente d'effacer en priant intérieurement. Pour son fils. Pour son père. Pour elle et pour qu'Aristote lui montre le bon chemin a suivre..

Nebisa

Espérant que pour une fois elle ne sera pas trop en retard, la Comtesse de Ségur quitte son coche pour rejoindre le lieux de la cérémonie. Bien que connaissant peu la Comtesse de Lille, elle avait eu le plaisir de confectionner les invitations pour la noce, ses faibles dons d'enlumineuses lui aillant procuré le bonheur de ces travaux de plume.

Lissant les plis de sa robe, elle avait opté pour une teinte gris bleuté qui atténuait légèrement l'austérité de sa mise. Le décolleté généreux, comme toujours, laissé libre sa gorge, soulignant le doux vallon sans l'exposer plus que la décence ne le permettrait et la blancheur de sa peau d'albâtre alors qu'à son cou brillait la larme d'ambre qu'elle ne quittait plus. Remontant légèrement l'étolle immaculée qui entourait ses épaules nues également, elle repoussa d'une main une méche de ses cheveux plus sombres que la nuit, seulement retenus par un fin diadéme d'argent. Son regard curieux parcourrait l'assemblée du regard, s'attardant également sur les décorations de la cathédrale pour sa premiére visite en la Capitale Artésienne...

Aprés s'être assurée que le bénitier ne contenait pas de biérre, on sait jamais, elle chercha des yeux un banc de libre...
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Azdrine

Et bien j'en suis fort aise alors ! D'ailleurs allons rejoindre les invités.

Prestant son bras à Sibella, Azdrine se dirigea vers un groupe d'invité. Il vit beaucoup de monde qu'il connaissait et il aperçut Lothaire lui faisant signe de tête et il se dirigea vers lui.

Bonjour Lothaire, je ne savais point que tu serais la dis moi !

Il accompagne d'un clin d'oeil puis lui dit :

Je te présente ma compagne, Sibella de Beaumont de Comborn. Sibella, voici Lothaire de Cassel, le frère de Lilin, mon seigneur et donc le cousin de la mariée.

Ylalang

Bon bon, le "Furet" va aller voir...

Elle ressortit de la sacristie, à la recherche du futur marié, qu'elle trouva. Après une courte discussion, celui-ci lui apprit que c'était le cousin de la mariée qui devait s'en charger. Après un froncement de sourcil, elle se mit en quête du-dit cousin, et trouva finalement Lothaire en conversation avec Azdrine. Elle salua St Esprit et sa compagne, et se tourna vers St Michel.

Rassurez-moi, j'espère que vous êtes bien allé chercher les alliances chez le joaillier, la mariée commence à paniquer...

---fromFRAnonymous

Un page venait informer le vicomte .Le BA était rentré en Guerre .Il devait rejoindre le duc et la duchesse du Berry pour prêter assistance et conseil .La politesse était de prévenir .Il écrivit un message

Citation:

Ma chère Amie je suis navré de ne pas pouvoir rester pour ton mariage mais le Bourbonnais Auvergne à déclarer la Guerre au berry .N'étais je pas devin de dire que la fête était le salut de la france et la paix ?

Je te souhaite beaucoup de belle chose et je viendrais te voir quand j'aurais le temps.

Ton Ami de toujours Menefer Vicomte de Valençay seigneur de Pacé

Il remit la lettre à un page et remontât dans son carrosse en direction de son vicomté et de ces frères

---fromFRSanAntonio

Installé dans la cathédrale, le vicomte SanAntonio attendait la cérémonie. De passage, avant de repartir chercher le Dauphin en Flandres pour reprendre son escorte, il en profiterait pour assister au mariage de dame Deedlitt. Dans une tenue aux couleurs de Meaux, de gueules et de sinople, il restait ainsi, assis, seul, la main gauche sur le pommeau de l'épée qu'il tenait au côté, le regard perdu dans des pensées vers une loitaine personne.
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Ylalang

D'accord, je vais faire un tour, et rassure-toi, je reviens vite !!!

La jeune femme sortit de la sacristie en catimini, et commença à parcourir les allées à la recherche des deux témoins. Elle vit Dotch en conversation avec Eleusis, et fureta encore un peu, mais ne trouva point Patience. Elle salua de la main les visages familiers, mais ne s'attarda pas.

De retour dans la sacristie...

Le Sanglier de Cornouailles est bien arrivé, mais pas Patience. Je pense qu'elle ne devrait plus tarder.

Bon, on va faire une vérification pour savoir si on a rien oublié...

Elle sortit un bout de parchemin avec plein de choses griffonnées dessus.

Alors, la robe, on a, le bouquet, la coiffure, les bijoux, les voeux...
Ensuite, les alliances... Les alliances ? Tu les a prévues ???

Deedlitt

Deedlitt devint alors toute pâle et écarquilla les yeux

Ou je les ai mises ????? Bonté divine c'est pas possible.. Grégoire !!!

Deedlitt regarda Yla affolée

Mon furet j'ai besoin de toi, va trouver gregroire et pitié revient ici en me disant qu'il les a.
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Eleusis

Dotch a écrit:

Chère amie, Dame Eleusis de Cluny, voilà fort bien longtemps que nos chemins ne s'étaient point croisés. Je suis fort heureuse de pouvoir rencontré de nouveau mon maître en matière d'Université. Dotch rigola très discrétement, en souriant

Eleusis joignit son rire à celui de son amie. Elle était tellement heureuse de la retrouver ici, apparemment en pleine santé. Son départ au Royaume d'ANgleterre l'avait un peu effrayée mais visiblement elle s'en portait bien.

Bonjour ma petite élève ! Toujours aussi jolie malgré ce temps qui passe !
Je crois que votre charmant beau-frère ne savait pas que nous nous connaissions... regardez son air interloqué.

Les deux jeunes femmes pouffèrent de plus belle.

Ceseargl

Cesear entra dans la cathédrale d'Arras avec sa femme. Il était ravi pour la comtesse de Lille sa suzeraine, et une grande amie.

Il regarda curieusement la cathedrale, c'était la premiere fois qu'il venait en cette belle cathedrale. Il alla s'assoir à sa place.
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Cesear d'Arnèke, baron d'Estaimbourg, seigneur d'Arnèke, et de Mons en Baroeul

Cassandre_louna

le Baron de Loos arrivait enfin devant ce qu'il lui semblait vraisemblablement être la cathédrale d'Arras. Heureusement qu'il était parti bien en avance car pour lui l'Artois était aussi bien organisée qu'un labyrinthe après avoir chevauché à travers bois.

Il y avait foule, le nombre d'invitations pour ce mariage a dû être important, et la plupart des invités n'étaient pas n'importe qui apparemment.
Il s'épousseta, s'assura qu'il ne sentait pas le vieux cheval, puis pénétra dans l'édifice.
Avec la foule il ne parvenait à distinguer aucun visage familier, il s'assit donc sur la première place qu'il trouva libre assez proche de l'avant.
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Guillaume_de_jeneffe

- Oui, en effet. Vous voici devant la cathédrale d'Arras. Me permettriez-vous de vous y mener? sourit-il en la guidant par la main. Pénétrant en la demeure du Seigneur, Guillaume se sentit écrasé. Etait-ce la majesté de l'endroit, la solennité de la cérémonie, ou alors sa cavalière et les regards qui portaient sur eux? Il ne savait le dire, mais se sentait étonnament mal à l'aise, maquillant ses sentiments sous un sourire de circonstance, rendant leur salut à ses connaissances, et aux autres.

Enfin, il avisa deux places et y mena Daresha, restant silencieux dans ce bâtiment qui ne semblait pas tolérer la moindre parole.
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Lolodrogba24

Lolodrogba arriva devant la cathédrale pour le grand jour du Comte.
Il atacha son cheval et attendit sur le parvis l'arrivée de Dame Gnia, la mairesse d'Arras.Il avait prévu de venir ensemble au Mariage de leur ami.
Pendants son attente , il vit arriver de sublimes carosses, plus beau les uns que les autres.

Lothaire_de_cassel

Le jeune Lothaire sourit à sa charmante cavalière et l’invita a prendre son bras. Il lui dit :

Madame la baronne, je suis bien aise d’avoir réussi a vous amener séant … En Artois … Enfin trêve de bavardage.

Apercevant sa belle sœur en train de prier, Lothaire s’approcha de cette dernière en lui disant, pas trop fort :

Ola Duchesse, ma sœur, c’est un réel plaisir de vous voir ! Permettez moi de vous présenter mon amie, Eleusis Mercoeur de Cluny …

Barahir_de_malemort

Arras, la nuit precedent les lances Artesienne y était arrivé, Reignounet à la tête de celle de Bertincourt. Deux jours dans la campgnes artesienne, depuis que le Comte lui avait dit "mobilisations de l'Ost", et c'etait chose faite, l'ost était à Arras.Rassembler au pied de l'Eglise Saint-Vaast, les soldats, dans leur tenu de ceremonie attendait, digne la lance au poing

sergrent Leo, vous allez prendre la t^te de la lance, je vais aller assisté à l'Office

Manteau oter et deposer sur le cheval, il était entré dans l'Eglise qui se remplissait petit a petit, ,et reussis malgré ses mailles a se glissé a quelques pas de l'autel, ayant juste deux bancs devant lui. Gantelet oter, hallebarde reposant avec celle des soldats de la lance, sur la place, le capitaine attendit que la ceremonie debutasse

Lothaire_de_cassel

Lothaire fit un baise main à sa belle, belle sœur (faut comprendre). Puis laissa les deux femmes, qui au final avait l'air de se connaître, parler entre elles. Il chercha son frère Zamday et se déplaça de quelques pieds, il venait d'apprendre sa récente nomination et tenait à le féliciter au plus tôt, et surtout avant que l'office commence.

Il salua de la tête au passage quelques personne qu'il connaissait : Saint Esprit, Sardanapale, Guillaume de Jeneffe et Guigui entre autre, puis revint, sans avoir trouvé personne auprès de sa cavalière, ne voulant la laisser trop seule au milieu de tous ces gens ...

Puis il dit à l’adresse aux deux femmes :

Peut estre faudrait il rejoindre nos bancs, de toute façon, nous seront proches je suppose, et cela désengorgera l’allée …

Ylalang

Dans la sacristie...

Ylalang tentait tant bien que mal de rassurer une Deedlitt paniquée.

Ne t'inquiètes pas, tout est sous contrôle, tout est pret, les gens que tu aimes sont présents pour toi et Greg en ce jour...

Elle rajusta la robe de son amie, trouvée juste à temps pour faire les retouches. Elle se recula d'un pas.

Tu es vraiment magnifique. Laisse toi porter par ce jour, tu ne le revivras pas de sitôt !

Deedlitt

Deedo avait les yeux brillants mais tenta de faire un sourire plutôt que de s'effondrer en larme.

Ylaaaaaaaaa, comment t'as fais pour survivre à ca ?

Soufflant doucement.

Bon alors merci d'être venu avec moi, merci prou la robe et pour tout le reste.

Elle fit la bise à Yla.

Bon toi qui a le droit de te balader, tu pourrais me dire si y'a du monde? et si mon témoin Dotch et celui de Grégoire sont là ? C'est dame Patience son témoin.
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---fromFRDotch

Pendant son moment religieu la duchesse entendait les bruits de pas gagner petit à petit la bâtisse. Elle sortit de sa prière en entendant une personne l'appeler "ma soeur". Une voix masculine cela ne pouvait être que le dernier frère de son époux. Tant bien que mal elle se releva, se signa puis afficha un large sourire en voyant Dame Eleusis de Cluny.

Mon cher beau-frère, bien heureuse de vous revoir, comment allez vous? Dit elle en lui faisant petite courbette. La Duchesse posa son regard sur Eleusis, le visage rayonnant.

Chère amie, Dame Eleusis de Cluny, voilà fort bien longtemps que nos chemins ne s'étaient point croisés. Je suis fort heureuse de pouvoir rencontré de nouveau mon maître en matière d'Université. Dotch rigola très discrétement, en souriant
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en cours

Sardanapale

La foule commençait à se presser aux alentours de la cathédrale. Le parvis, décoré pour la circonstance, signalait aux yeux du peuple artésien le grand événement qui allait se dérouler en ces vénérables murs.

Sardanapale descendit de cheval et fit tout d'abord un tour de la place. Rènes en mains, il s'approcha d'un palefrenier et lui confia Appolodore. Il regarda la bête s'éloigner et se dirigea vers les marches de l'église. Pour l'occasion, il s'était fait confectionner un nouveau pourpoint azur en velour frappé, brodé de fils argentés. Ses bas de chausses étaient un peu moins récents, mais le pourpre restait éclatant.

Pénétrant dans l'édifice, il lui fallut quelques minutes avant de s'habituer à la différence de luminosité. C'était difficile de reconnaître qui que ce soit.

Sardanapale commença à remonter l'allée centrale et stoppa net au bout de deux mètres. Se retournant, il repartit en direction inverse et s'approcha du bénitier où il trempa quelques doigts. Certaines habitudes avaient bien du mal à prendre chez lui.

L'allée centrale étant à présent très emcombrée, il emprunta une des traverses et s'approcha le plus près possible de l'autel.

Mmmmm, ce sera difficile de retrouver des amis dans cette foule, remarqua-t-il avant de prendre place en bout de banc.
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Sibella

Sibella vêtue d'une robe de couleur parme ornementée de fils d'or, quelques perles fines dans ses cheveux tombant sur ses épaules, donna sa main en souriant à son ami le Baron d'Usson.

La route avait été un peu longue, venant du Limousin et du Poitou, mais voyageant ensembles, ils en avaient profité pour deviser et parler de l'avenir.

Elle descendit du carosse aux armes de la Baronnie d'Usson, et donna la main à Azdrine en regardant les différentes personnes déjà présentes.

Non je n'ai point peur, je suis tellement heureuse d'être là et il me fait plaisir de connaitre les personnes qui te sont chères.

Isadora.da.vinci

Isadora se trouvait présente sur l'invitation de la mariée qui avait convié à cette cérémonie en grande pompes ses frères et soeurs de l'Ordre du Sainct Esprit. La sulfureuse italienne avait voyageait toute la nuit en compagnie du frère Grinwold pour parcourir la distance depuis Tournai en Flandres ou une mission au service du Dauphin les avait retenu jusqu'à la veille du grand jour.

N'ayant aucune famille ou connaissances à Arras la belle avait trouvé refuge dans un hostel où elle avait pu trouver quelques minutes seulement pour donner un peu de fraîcheur à sa toilette. Elle portait donc une robe de soie rouge mordorée, aux manches finissant en pointes sur ses mains grâcieuses, tandis qu'un décolleté oval assez profond mettait en exergue ses épaules rondes et découvrait à la limite du convenable le sillon de sa poitrine au-dessus duquel était accroché la croix de l'Ordre du Sainct Esprit au bout d'une chaîne d'or torssadée. Elle n'avait pas trouvé le temps de parfaire sa coiffure que le vent de la cavalcade depuis Tournai avait échevelée, mais elle y avait accroché une voilette en résille de soie, assortie à sa robe et parsemée d'étoiles d'or, qui lui couvrait le visage jusqu'à sa bouche pulpeuse.

Prenant place dans la nef du côté des invités de la mariée elle profita de l'attente avant la cérémonie pour tenter de découvrir des visages familiers parmi les personnes présentes. Elle avisa le marié qui semblait fort à son aise malgré les circonstances et un léger pli des lèvres indiquant une anxiété bien compréhensible. L'ayant rencontré récemment au Château d'Arras elle conclut à part elle qu'il était décidément très bel homme quoiqu'elle même avait un penchant pour les mâles un peu plus bourrus...

L'heure avançait, la cérémonie n'allait plus tardée... Isadora laissa son regard erré sur les admirables vitraux de l'édifice tout en essayant de se rappeler les leçon de Frère Antoine sur la vie des Saincts...

Azdrine

C'est dans un carrosse commun que le baron d'Usson et la Dame de Beaumont de Comborn arrivèrent en Artois et plus précisément Arras devant la cathédrale.

Azdrine était revêtu d'une de ses plus belles tenues de cérémonies car aujourd'hui était un jour particulier. Sa soeur d'armes se mariait mais surtout et avant tout, c'était un jour de fête dans la famille de son suzerain et connaissais nombre de membre de la famille, cela lui faisait plaisir de se trouver la.

Le carrosse s'arrêta non loin du parvis et le Baron en descendit, tendant sa main à sa compagne. Afin de la rassurer quelque peu, il lui dit :

N'ai point peur, tu ne dérangeras pas et je tiens à te présenter à des personnes qui me sont très chers.

---fromFRAnonymous

Le carrosse aux armoiries des Chambray s'arrêtât devant le Perron de la cathédrale.Le vicomte Menefer en sorti..La comtesse de Lille l'avait invitez et pour l'amitié qu'il avait pour elle ,il était venu

Eleusis

Une main fine se posa sur celle du jeune de Cassel :

Merci mon ami ! Nous voici donc arrivés j'en suis bien aise !

Achevant de sortir du carosse, la baronne de Lorris secoua de son autre main sa longue robe aux verts changeants pour en ôter les plis et regarda autour d'elle. Elle ne connaissait pas la cathédrale artésienne et se sentait, elle la Champenoise de naissance, un peu mal à l'aise en ces terres.

Daresha

A peine arrivée et déjà partie de Tournai pour assiter aux épousailles d'une amie. Ce n'était pas le fait d'etre partie à peine installée qui la tourmentait. C'était d'avoir laissé son fils. Elle avait l'impression de l'avoir abandonné, lui qui vivait si mal la mort de son père. Elle ne l'abandonnait pas vraiment. Il était avec Ilmarin, Kalian, Aurora et le jeune Luthi. Oui, certes. Mais la Comtesse ne pouvait s'empecher de culpabiliser. Si le regard et les propos de la dame d'Azayes n'avaient pas été si désapprobateurs, elle en aurait annuler son voyage. Mais revenir sur une invitation ne se fait pas et elle ne pouvait pas abandonner son cavalier.

Heureusement, Guillaume lui fut oublier sa tourmente. Cela faisait si longtemps que tous deux n'avaient point autant discuté. Il faut dire que chacun avait ses obligations et que le temps est bien la seule chose qui ne se prete pas à la rallonge. Chose bien dommage. Etrangement la Comtesse était détendue. Elle se sentait même bien, et le Chevalier lui apportait cet apaisement qui lui manquait tant ces derniers temps. Elle aurait pu, elle serait bien restée avec lui dans ce cocon formé par le carosse. Mais c'était sans compter l'arrivée à destination.

Elle resta quelques secondes a regarder son cavalier. Puis elle posa sa main sur la sienne et commença a descendre. Un drole de sentiment sembla l'envahir, mais elle le chassa rapidement d'un doux sourire et d'une rougeur aux joues. Elle avait voulu lui faire honneur en ce jour de réjouissance et elle avait troqué ses habituelles robes aux couleurs du deuil, pour une houpellande en soie pourpre, agrémentée d'une fine ceinture écrue de meme tissu qui soulignait ses hanches. Ses cheveux chatains avaient été tressés et quelques perles et fils d'or. La tenue était des plus simples malgré tout. Pas un seul bijou ne venait s'y ajouter, excepter les deux alliances qu'elle portait a son cou et dont elle n'avait pas le courage de se séparer.
- Je crois que... nous voila arrivés Messire... s'adressa t elle à Guillaume sur un ton legerement emprunt de timidité.

Thegregterror

Ce jour était arrivé, celui-là même qui resterait à jamais signe d'union avec celle qu'il aimait. Cela faisait déjà quelques temps que le Comte avait rêver de ce moment... et maintenant qu'il y était, il était plus heureux que jamais, mais également très anxieux. Il était sur de ce qu'il voulait mais avait un peu peur qu'il n'y ait un quelconque problème.

Mais la joie qu'il éprouvait chassa rapidement ses pensées un peu trop sombre pour l'occasion. Autant profiter au maximum de tous ces moments de bonheur ! Il était impatient, et inquiet, en pleine excitation mais surement un peu agité, où du moins intérieurement.

Il n'avait pas eu beaucoup le temps pour le Comté en cette journée... chose bien rare. Quelques courriers ou autres écritures pour ne pas omettre des détails de discussions ou affaires de la veille, suivi de l'arrivée à Arras d'une partie de l'Ost. Il était surement plus tranquille d'esprit en sachant qu'il n'y aurait nul problème sur ce point.

Il avait revêtu les couleurs artésiennes, bien sur, mais portait une cape qui lui était chère, offerte par sa future épouse, aux couleurs de Cassel. Bien qu'il ne l'était pas encore, il était fier de pouvoir la porter, en plus des souvenirs que cela pouvait l'évoquer... toujours plus heureux.

Un peu tendu, il attendit au premier rang que l'ange passe et arrive...
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Lothaire_de_cassel

Une voiture arriva en Artois, le cocher semblait fatigué par la route, le dos voûté et la voix cassée, tentant, tant bien que mal de sortir quelque « ya-ya », ne servant strictement à rien, mais ça à le mérite d’écarter les gens. Une fois devant la cathédrale le coché donna, de sa voix cassée du « ola … ». Alors que le carrosse commençais à s’arrêter, la porte s’ouvrit et en sorti un jeune noble frais et pipent, bien peigné et habillé pour l’occasion , on ne marie pas sa cousine au comte d’Artois tout les jours …. Lorsque le carrosse s’arrêta totalement il en sorti par un petit saut, mit le marche pied et tendit la main, a une autre passagère en disant :

Voilà mon amie, vous pouvez descendre.

---fromFRDotch

Arrivée depuis Stafford quelques jours auparavant, un carosse aux couleurs de la Duchesse de Cassel, s'arrêta devant la Cathédrale. Un marche pied fut déposé devant la porte droite du carosse, puis la porte ouverte. Ceux sont les deux jumeaux qui sortirent en premier de voiture, heureux de pouvoir enfin se dégourdir les jambes. Avec un peu plus de difficulté la Comtesse sortit plus lentement de voiture. Avec son sourire habituel accroché sur son visage, Dotch admira l'architecture de la Cathédrale, jetant de rapide coups d'oeil à droite à gauche pour regarder les personnes déjà présente.

Activant le pas, Dotch, vêtue noblement d'une longue roble blue nuit brodée de ses armes, monta les marches de l'entrée de la Maison du Seigneur, en compagnie de ses enfants, puis pénétra à l'intérieur.

Elle se signa très pieusement, avant de s'avancer le plus possible, en tant que témoin, du coeur de la cathédrale artésienne. La cathédrale restait encore silencieuse, la Comtesse en profita pour prier, remerciant le Seigneur que la traversée de la mer se soit correctement déroulée, malgré les nombreuses tempêtes subies.
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en cours

---fromFRguigui72260

Guigui avait chercher pendant quelques minutes ou se trouvait la cérémonie de mariage. Après avoir passer son temps sur la halle de Arras, un paysan lui avait indiquer que beaucoup de personnes bien habillés se dirigeaient vers la Gargote.
Il s'empressa d'aller chercher Nenou qui était restée près du cheval. Entrelacés, les 2 amoureux se dirigèrent vers la Gargote. Ils repèrèrent tout de suite l'imposante cathédrale ! Ils entrèrent donc... La cérémonie n'était pas commencée, mais tout le monde ou presque se retourna a leur entrée. Il faut dire que c'est extremement silencieux et résonnant, et donc le moindre bruit ne passe pas inapercut !
Les regards étaient donc tournés vers Guigui et Nenou, qui s'avancaient et prirent place assise...

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---fromFRAltho

Depuis le début de l'après-midi, le père Altho s'affairait dans la toute artésienne Cathédrale, assisté de son fidèle & ami, le diacre Arcin, préparant méticuleusement la cérémonie du soir. Des cierges & des roses blanches avaient été disposés partout, y compris dans l'allée attenante. Le père Altho n'avait jusqu'alors jamais mis les pieds en Artois, aussi cette cérémonie lui avait-elle donnée l'occasion de découvrir ce lieu, un temps soit peu pluvieux, mais cependant pas moins agréable. Seuls pour le moment, l'ambiance n'allait pas tarder à être lourde, le mariage aurait bientôt lieu, aussi le prêtre se pressait-il d'achever ses préparations, tout en révisant les paroles liturgiques...
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GAF
Archives Berrichonnes

Deedlitt

Deedlitt finissait de se préparer dans la sacristie dans la Cathédrale. Elle relisait ses voeux pour les apprendre par coeur. Elle paniquait légèrement. Elle avait une robe vert pâle et les cheveux onduler pour l'occasion, elle les avait attachés pour se dégager le visage mais n'avait pas voulu faire de chignon. Les laissant tomber en cascade dans son dos.
Elle vérifia au moins une centaine de fois ou était sont bouquet, et ses bijoux.

Elle paniquait complètement.

Le jour le plus beau de ma vie, le plus stressant oui !
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Guillaume_de_jeneffe

C'est en carosse qu'ils avaient fait route depuis Tournai, Guillaume ne voulant surtout pas que le chemin fatigue son amie, la comtesse Daresha. La route avait été longue, "Bien plus longue que si j'eus pris mon cheval", songea le chevalier, mais elle avait permis aux deux voyageurs de converser, évoquant moults souvenirs plus ou moins heureux, et forgeant quelques projets pour le futur. La vie leur avait réservé bien des surprises, et aujourd'hui ils étaient cavalier et cavalière aux épousailles de la seigneur du seigneur de Wavrin et ancienne collègue de la comtesse.

Le chevalier avait revêtu ses atours les plus élégants, lui qui était plus habitué aux plattes et cottes de mailles, un pourpoint de gueule parcouru de fils blancs, évoquant discrètement les couleurs de Lille et Saint-Omer, un pantalon reprenant le rouge comme couleur et ses longs cheveux bruns soigneusement peignés, enfin, aussi soigneusement qu'il était possible à un homme qui cotoyait plutôt les armes que les bals... Il avait également disposé son collier de Grand Maistre de la Licorne autour de son cou.

Puis enfin vint l'arrivée. Le coche s'imobilisant, Guillaume en descendit prestement afin de conduite sa cavalière à la cathédrale, lui tendant la main afin de lui faciliter la descente...
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Crystale2609

A la fin de la cérémonie, Crystale s'approche de l'évèque

Merci, merci pour ces bonnes paroles.
Cette messes fut magnifique.

elle lui prit la main et lui sourit, heureuse.

Edge

Edge assistait en silence, mais en grommelant dans sa tête... Seules les messes avec Monseigneur Kolmar l'avaient jusqu'à présent fait bouger...

Il soupira attendant la fin...

---fromFRAnonymous

Fixa l'Archevêque dans les yeux.

- Oui je me sens prête ! Dit-elle d'une voix claire.

Ombeline

Ombeline avait chevauché à bride abattue afin d’arriver à la cathédrale d’Arras, pour assister au mariage de Patience et d’Olivier. Elle avait promis d’y être et tenait à ne point faillir à sa promesse, de même pour le lendemain, ou un autre mariage l’attendait dans une autre contrée. Elle laissa sa jument près de l’église, attachée à une modeste barrière depiètre facture, et marcha vers la porte d’entrée de cet immense lieu austère, les joues un peu roses et le souffle court.

Avant de pousser doucement la lourde porte en bois, elle remit en place sa tenue, la dépoussiéra à la hâte et se recoiffa. Délassant sa capeline pourpre, elle s’avança dans l’une des allées, à pas feutré. La cérémonie avait déjà commencée. Elle aperçut le futur marié sur les « starting block » dans son costume noir. Il semblait des plus émus, et cela était tout à fait normal au vu des circonstances. Ombeline chercha du regard Patience… la belle se faisait attendre.

Ses pas la conduirent vers un banc un peu en retrait où elle s’assit silencieusement. La jeune femme reconnut quelques visages familiers qu’elle salua, puis déposa son regard sur l’autel, la nef, les statues autour d’elle, le flot de fleurs. Les cierges ornant l’église scintillaient, donnant encore un peu plus de chaleur à ce lieu de culte.
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http://nsa22.casimages.com/img/2011/10/16/111016024800109917.jpg

---fromFRHenael

Henael s’avança jusqu’à l’autel. Comment allait il commencer sa messe ce matin ? Il avait tant de choses à dire, et surtout tant d’incertitudes. Il s’avança vers ses fidèles.

http://trecanum.free.fr/telechargements/Salve_Regina.mp3

Platon et Aristote dans l'Ecole d'Athènes de Raphaêl

Mes très chers enfants,

Je suis si heureux de vous retrouver. Pour ce dimanche matin, la messe sera différente de ce que je fais d’habitude. J’imagine qu’elle s’ameliorera au file du temps. Pour le moment, je ne sais plus trop comment m’y prendre.

Certe, nous prierons toujours Dieu. Dieu Unique et tout-puissant. Mais les symboliques employés seront différents. En effet, notre pape, Eugène V, vient de décider que tous les symboles religieux employés jusqu’ici devait disparaître. La religion est Aristotélicienne. Nous voilà donc avec nouveau cadre à créer.

Certe c’est une tache interessante, mais elle nous demande à tous de quitter nos repairs. C’est pourquoi, je m’attacherais au cours de la semaine prochaine, à redefinir et expliquer les concepts de cette religion qui nous semble pour le moment si étrangère. Cela nous permettra d’en débattre, puisqu’en effet, au dela de la religion Aristotelicienne, c’est avant tout la votre, celle du peuple…

Si je vous propose ces mini-débats la semaine prochaine, c’est parce que nous rentrerons dans la grande semaine de Noël. Bien sur, nous gardons cette fête. (Nous y placerons symboliquement la naissance d’Aristote… On va pas tout casser, non plus !!! lol). Le Comté, à l’initiative de Dame Bardamu, va organiser une grande semaine de festivité, qui se prolongera surement le semaine suivante.

Au progamme :Des jeux, bien sur, mais aussi une grande campagne de Baptême (Les prêtres d’Artois, et moi-même seront à votre disposition pour vous baptiser. ), des céremonies religieuses, mais aussi, pleins d’autres surprises. (Non, je ne dévoilerais pas tout) Les festivités se déroulerons sur le forum du Comté. Inscrivez vous y dès maintenant si ce n’est déjà fait…

http://conseil-artois.frbb.net/

Aristote contemplant le buste d’Homère

Bien, prions.

Le Seigneur soit avec vous.
Et avec votre esprit.

Citation:

Nul homme heureux ne saurait devenir misérable, puisque jamais il n'accomplira des actions odieuses et viles.

Citation:

Le bonheur est bien un présent divin.

Soyons heureux nous recommande Aristote.

Citation:

Le bien pour l'homme consiste dans une activité de l'âme en accord avec la vertu

Prions pour ne pas nous éloigner du droit chemin.

Notre Père qui est aux cieux, que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne, que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd'hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous soumets pas à la tentation, mais délivre-nous du Mal.
Amen

Le Seigneur soit avec vous.
Et avec votre esprit.
Que Dieu tout-puissant vous bénisse,
Amen.
Allez, dans la paix pronée par Aristote
Nous rendons grâce à Dieu.

http://www.jr-international.fr/kiosque/SON/sondeclocher.wav

Henael se dirige vers la sortie et regarde partir un à un ses fidèles.

Balisé RP par {Belzébuth}, Censeur Artésien.
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Shaïna (RAD)

---fromFRSupershadow

Un cheval arriva sur les lieux devant la cathédrale...
Un homme descendit et monte lentement les marches,ouvre les portes et appercu un couple devant lui...

Bonjour à vous,j'espère que je n'arrive pas trop tard...
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Ange Déchu revenu sur terre pour trouvé ces assassins.
Malgré son coté démonique,son coeur reste à jamais à celle qui aime,Eléonore
Veille sur sa famille entre les cieux et les ténêbres.
Famille Montfort

{Lin_corruptible}

Petit ménage d'automne. Les sujets ne peuvent pas dépasser 50 pages.

Vous avez 60 jours (environ) à partir de ce message pour faire toute copie à votre convenance, avant délestage automatique.
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{Lin_corruptible}, censeur.

"Il ne faut pas croire : j'ai un coeur, moi aussi !
Il est juste un peu... desséché."

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