Lekaiser
- Aux abords de Genève : Nord-Est - Campement de l'Ost Orléanais -
Venant tout droit du Périgord-Angoumois, le Connestable de France avait fait longue route. Nombreuses furent les Provinces traversées, toutes sans encombre, jusqu'à venir en terres franc-comtoises. Un épisode dont il se serait bien passé, jamais de sa longue existence il n'avait vu pareil Comte girouette. Un jour blanc, le suivant noir, tailladant dans le dos de la Curie et du Royaume de France en périodes de négociations... Pauvre Franche-Comté ne pouvait-il s'empêcher de penser. Car c'était elle qui faisait les frais des débordements du Franc Comte Debenja. Malgré les errances de ce dernier, le Connestable de France s'efforçait de rester calme, lucide, de ne point perdre de vue ce pour quoi il avait fait déplacement. Il poursuivit sa route jusqu'aux remparts de Genève. Un bref coup d'il en arrière, en direction de son frère cadet.
Wencelsme, devant toi, entre ces murs grouille l'hérétisme. Tous n'en sont pas, fort heureusement, mais ils ont hélas main mise sur Genève. Nous aiderons la ville a s'en défaire.
Quelques pas plus tard, il tira sur sur les rênes, faisant stopper net son frison noir. Les consignes données a ses officiers, les quatre Armées Saintes se scindèrent, venant se positionner aux quatre coins de la ville. LeKaiser prenant la direction du Nord-Est, tel qu'il l'assigna a l'Armée Orléanaise.
Les heures se succédèrent, dans l'attente. Un coursier vint finalement a lui, tout droit de Genève, rapportant la dernière annonce en date de la maire de Genève. L'écoutant attentivement, il sourit quant a la sortie de son silence. La présence des croisés y étant pour quelque chose, sans nul doute. Il constata néanmoins l'aspect incomplet de l'annonce ainsi que l'absence de garanties. Les quatre Armées Saintes n'avaient pas fait tout ce déplacement pour prendre le risque de voir les hérétiques et les réformés toujours présents a Genève. Il envoya un messager rapporter au plus vite ses inquiétudes a la Curie. Inquiétudes que la Curie partagerait certainement. Ci-fait, son regard vint alors se porter sur les croisés. Admiratif, il l'était, pour tous les volontaires ayant répondus présent a l'appel de Rome.
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Venant tout droit du Périgord-Angoumois, le Connestable de France avait fait longue route. Nombreuses furent les Provinces traversées, toutes sans encombre, jusqu'à venir en terres franc-comtoises. Un épisode dont il se serait bien passé, jamais de sa longue existence il n'avait vu pareil Comte girouette. Un jour blanc, le suivant noir, tailladant dans le dos de la Curie et du Royaume de France en périodes de négociations... Pauvre Franche-Comté ne pouvait-il s'empêcher de penser. Car c'était elle qui faisait les frais des débordements du Franc Comte Debenja. Malgré les errances de ce dernier, le Connestable de France s'efforçait de rester calme, lucide, de ne point perdre de vue ce pour quoi il avait fait déplacement. Il poursuivit sa route jusqu'aux remparts de Genève. Un bref coup d'il en arrière, en direction de son frère cadet.
Wencelsme, devant toi, entre ces murs grouille l'hérétisme. Tous n'en sont pas, fort heureusement, mais ils ont hélas main mise sur Genève. Nous aiderons la ville a s'en défaire.
Quelques pas plus tard, il tira sur sur les rênes, faisant stopper net son frison noir. Les consignes données a ses officiers, les quatre Armées Saintes se scindèrent, venant se positionner aux quatre coins de la ville. LeKaiser prenant la direction du Nord-Est, tel qu'il l'assigna a l'Armée Orléanaise.
Les heures se succédèrent, dans l'attente. Un coursier vint finalement a lui, tout droit de Genève, rapportant la dernière annonce en date de la maire de Genève. L'écoutant attentivement, il sourit quant a la sortie de son silence. La présence des croisés y étant pour quelque chose, sans nul doute. Il constata néanmoins l'aspect incomplet de l'annonce ainsi que l'absence de garanties. Les quatre Armées Saintes n'avaient pas fait tout ce déplacement pour prendre le risque de voir les hérétiques et les réformés toujours présents a Genève. Il envoya un messager rapporter au plus vite ses inquiétudes a la Curie. Inquiétudes que la Curie partagerait certainement. Ci-fait, son regard vint alors se porter sur les croisés. Admiratif, il l'était, pour tous les volontaires ayant répondus présent a l'appel de Rome.
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