Carmen_esmee.
Dans un couvent auvergnat, une dernière dispute causa le départ ou plutôt l'expulsion d'une jeune fille...
Une religieuse hurlait,
- Ce n'est plus possible Damoiselle ! Nous vous avons assez supporté ! Vous nous avez tout fait ! Absolument tout ! Vous avez osé mettre vos idées saugrenues de voyage dans les caboches de vos amies pensionnaires ! Elles sont là pour apprendre a devenir des épouses !
- Non des Femmes ma sur ! Ce que vous ne serez jamais !
- Il suffit ! Prenez vos affaires ! Vous avez 16 ans Carmen, vous êtes en âge de partir.
- Parfait ! Je n'attendais que cela ! Cria t-elle tandis que la religieuse se retirait afin d'annoncer le départ de Carmen au jeune homme qui s'occupait des chevaux. Il la conduirait au village le plus proche...
La jeune fille ramassa le peu d'affaire qui lui appartenait... Une de ses camarades vint lui chuchoter quelques mots :
- Tu pars ?
- Oui... Enfin... dit-elle un petit sourire aux lèvres
- Enfin ? Mais comment vas tu vivre ?
- Je ne sais pas mais se sera toujours mieux qu'ici...
- Cesse un peu, ici tu as de quoi manger ! Restes !
- C'est trop tard, tu as entendu toi même, personne ne veut de moi ici..
Sur ses mots la jeune pensionnaire l'étreignit, Carmen la serra bien plus fort...
- J'ai peur Gabrielle...
Les jeunes filles pleurèrent jusqu'à ce que la religieuse appelle Carmen...
C'est ainsi que Carmen Esmée quitta le couvent, ce n'était pas le premier qui se débarrassait d'elle loin de là.. Mais c'était la première fois qu'elle ne savait pas ce qui l'attendait... Si loin de chez elle, de sa Normandie... qu'allait elle faire... ?
Tant de question occupèrent son esprit sur la route qui la conduisait à son nouveau village.
Le jeune homme demanda à Carmen de descendre, son départ semblait l'affecter, sa compagnie lui manquerai surement, il déposa un baiser sur sa joue et lui souhaita bonne chance...
- Essaie de faire bonne impression... d'accord ?
Carmen ne quitta pas le chariot des yeux jusqu'à ce qu'il disparaisse... abandonnée elle se retourna, elle vit alors qu'elle n'était pas en ville, mais devant une propriété.. des nobles sans doute...
Mais pourquoi l'avait il déposé là ? Elle fit quelques pas... Il fallait qu'elle trouve quelqu'un qui lui indiquerai le village le plus proche et qui sait remplira son estomac vide...
Une religieuse hurlait,
- Ce n'est plus possible Damoiselle ! Nous vous avons assez supporté ! Vous nous avez tout fait ! Absolument tout ! Vous avez osé mettre vos idées saugrenues de voyage dans les caboches de vos amies pensionnaires ! Elles sont là pour apprendre a devenir des épouses !
- Non des Femmes ma sur ! Ce que vous ne serez jamais !
- Il suffit ! Prenez vos affaires ! Vous avez 16 ans Carmen, vous êtes en âge de partir.
- Parfait ! Je n'attendais que cela ! Cria t-elle tandis que la religieuse se retirait afin d'annoncer le départ de Carmen au jeune homme qui s'occupait des chevaux. Il la conduirait au village le plus proche...
La jeune fille ramassa le peu d'affaire qui lui appartenait... Une de ses camarades vint lui chuchoter quelques mots :
- Tu pars ?
- Oui... Enfin... dit-elle un petit sourire aux lèvres
- Enfin ? Mais comment vas tu vivre ?
- Je ne sais pas mais se sera toujours mieux qu'ici...
- Cesse un peu, ici tu as de quoi manger ! Restes !
- C'est trop tard, tu as entendu toi même, personne ne veut de moi ici..
Sur ses mots la jeune pensionnaire l'étreignit, Carmen la serra bien plus fort...
- J'ai peur Gabrielle...
Les jeunes filles pleurèrent jusqu'à ce que la religieuse appelle Carmen...
C'est ainsi que Carmen Esmée quitta le couvent, ce n'était pas le premier qui se débarrassait d'elle loin de là.. Mais c'était la première fois qu'elle ne savait pas ce qui l'attendait... Si loin de chez elle, de sa Normandie... qu'allait elle faire... ?
Tant de question occupèrent son esprit sur la route qui la conduisait à son nouveau village.
Le jeune homme demanda à Carmen de descendre, son départ semblait l'affecter, sa compagnie lui manquerai surement, il déposa un baiser sur sa joue et lui souhaita bonne chance...
- Essaie de faire bonne impression... d'accord ?
Carmen ne quitta pas le chariot des yeux jusqu'à ce qu'il disparaisse... abandonnée elle se retourna, elle vit alors qu'elle n'était pas en ville, mais devant une propriété.. des nobles sans doute...
Mais pourquoi l'avait il déposé là ? Elle fit quelques pas... Il fallait qu'elle trouve quelqu'un qui lui indiquerai le village le plus proche et qui sait remplira son estomac vide...