Carmen_esmee.
Carmen pleurait à chaudes larmes, incapable de s'arrêter, tout lui revenait en mémoire, l'absence de sa mère... L'annonce de sa disparition... les responsabilités de son père qui le forcèrent à l'envoyer au couvent...
Son mauvais caractère et elle furent transféré de couvent en couvent, tant d'épreuve pour une si jeune fille... L'espoir vain de retrouver sa mère...
Il y avait si longtemps que Carmen avait enfoui ses souvenirs dans sa tête, elle pensait ne jamais y repenser.. En vain bien sur... recroquevillée sur elle même, elle laissait aller ses sanglots...
La fillette s'approcha si discrètement que Carmen ne l'entendit pas avant qu'elle ne lui adresse la parole, elle ne releva d'abord pas la tête, honteuse de ses larmes... écoutant l'enfant.
Veuillez m'excuser... Je ne voulais pas vous faire pleurer.
Tenez vous allez prendre froid, c'est l'automne.
Carmen se redressa, calant son dos contre le tronc de l'arbre, La fillette lui tendit une étole, une cape sans doute. Carmen la saisit et la serra contre elle.
La petite vint s'asseoir près de Carmen, cette dernière la regardait seulement du coin de l'il de temps en temps, préférant regarder droit devant elle, pour se calmer et fixer ses pensées sur des souvenirs plus joyeux, la tête maintenant posée sur ses genoux.
Vous ne saviez pas ? Vous savez, il faut pas avoir peur. Moi aussi je suis une de La Serna, même si je m'appelle Toggenburg-Marigny, ma maman, elle a prit le nom de mon papa. Je m'appelle Eléa.
Une main se posa délicatement sur son dos, un geste qui se voulait réconfortant, elle le lu dans les yeux d'Eléa.
Moi aussi j'ai perdu quelqu'un que j'aime, c'est ma marraine, j'étais toute petite... Ca doit pas vraiment faire pareil.
Vous savez vous êtes la bienvenue ici, c'est aussi chez vous. Maman elle ne vous laissera pas dehors. Elle...Estimait beaucoup votre maman.
Carmen tourna la tête, un petit sourire se dessinait sur ses lèvres, la fillette avait posé sa tête sur son bras, l'image de cette petite fille était charmante, elle prononça une phrase qui toucha profondément Carmen Esmée,
Vous allez rester avec nous dites ?
Carmen eut un frisson, elle passa son bras doucement autour d'Eléa et lui chuchota,
Je pense que oui, enfin la décision ne m'appartiens pas et puis je crois que je ne mérite pas d'avoir une ... Famille ... Je n'en suis pas digne Eléa.
Son mauvais caractère et elle furent transféré de couvent en couvent, tant d'épreuve pour une si jeune fille... L'espoir vain de retrouver sa mère...
Il y avait si longtemps que Carmen avait enfoui ses souvenirs dans sa tête, elle pensait ne jamais y repenser.. En vain bien sur... recroquevillée sur elle même, elle laissait aller ses sanglots...
La fillette s'approcha si discrètement que Carmen ne l'entendit pas avant qu'elle ne lui adresse la parole, elle ne releva d'abord pas la tête, honteuse de ses larmes... écoutant l'enfant.
Veuillez m'excuser... Je ne voulais pas vous faire pleurer.
Tenez vous allez prendre froid, c'est l'automne.
Carmen se redressa, calant son dos contre le tronc de l'arbre, La fillette lui tendit une étole, une cape sans doute. Carmen la saisit et la serra contre elle.
La petite vint s'asseoir près de Carmen, cette dernière la regardait seulement du coin de l'il de temps en temps, préférant regarder droit devant elle, pour se calmer et fixer ses pensées sur des souvenirs plus joyeux, la tête maintenant posée sur ses genoux.
Vous ne saviez pas ? Vous savez, il faut pas avoir peur. Moi aussi je suis une de La Serna, même si je m'appelle Toggenburg-Marigny, ma maman, elle a prit le nom de mon papa. Je m'appelle Eléa.
Une main se posa délicatement sur son dos, un geste qui se voulait réconfortant, elle le lu dans les yeux d'Eléa.
Moi aussi j'ai perdu quelqu'un que j'aime, c'est ma marraine, j'étais toute petite... Ca doit pas vraiment faire pareil.
Vous savez vous êtes la bienvenue ici, c'est aussi chez vous. Maman elle ne vous laissera pas dehors. Elle...Estimait beaucoup votre maman.
Carmen tourna la tête, un petit sourire se dessinait sur ses lèvres, la fillette avait posé sa tête sur son bras, l'image de cette petite fille était charmante, elle prononça une phrase qui toucha profondément Carmen Esmée,
Vous allez rester avec nous dites ?
Carmen eut un frisson, elle passa son bras doucement autour d'Eléa et lui chuchota,
Je pense que oui, enfin la décision ne m'appartiens pas et puis je crois que je ne mérite pas d'avoir une ... Famille ... Je n'en suis pas digne Eléa.