Annalorel
Au travers des rues de Genève, le ciel partiellement couvert de nuages engrisés, les gens ne traînent pas. Silencieuse, calme, les rues de Genève le sont dans la présente période.
La neige fraichement tombé couvre lentement les pas des gens qui sont passé dans ces même rues. Principalement des soldats et des marchants assoifés d'affaire s'y aventurent. Rarement seuls, les soldats font des rondes s'assurant que la présente trève n'est pas trahis. Certains marchants eux, au contraire, s'aventurent seuls question de s'enrichir avec les présent évènements.
Une longue houpelande blanche traine au sol. Des bottes de cuirs teintent vertes piétinant la délicate blancheur de la route vers les murs de la gigantesque Genève. Épée bien attaché à sa taille, la jeune femme à la chevelure écarlate s'approche et dépose une main contre le mur de pierre gelé. Elle remonte doucement son col emeraude sur sa bouche laissant échappé un petit soupire.
Elle pense à sa famille, ses enfants plus particulièrement. Venu en tant que soldat, suivant et surtout soutenant l'homme qui partage sa vie depuis un bon moment déjà, elle ressent un vide presque totale sans ses petites boules d'énergies près d'elle. Avant tout fermière, elle reste plutôt du genre calme et presque docile. Peut-être sans intérêt pour ses mercenaires assoifés d'action, elle espère que tout ceci se terminera sans avoir besoin de voir couler du sang.
Elle s'arrête et écoute le calme. Un zephyr plutôt nordique se fait sentir, et elle entend se qui semble des voix, d'autre gens de l'autre côté des murs? Très possiblement les soldats ennemis. Elle se rapel pourquoi elle est venu, et surtout avec qui. Des gens à qui elle tien, et des gens pour qui elle se batterait pour les soutenir.
Elle lève la tête vers le ciel, pensant à son compagnon au passé troublé mais aux idées toujours bien et reprend la route vers le campement. Doucement la chevelure de feu blanchit sous la pureté qui tombe du ciel assombrit.
Une autre nuit glaciale s'annonce...
Traversant les gardes du campement, les saluant avec son doux sourire habituel, voir presque maternel, elle voit le brasero presque éteint devant sa tente. Cherchant le tisonnier pour ramener le feu à vie et amplir la tente d'un peu de sa chaleur, elle se perd doucement, sous la fixation de cet élément à la fois pertubarteur et calmant.
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Rencontre a Grandson
La neige fraichement tombé couvre lentement les pas des gens qui sont passé dans ces même rues. Principalement des soldats et des marchants assoifés d'affaire s'y aventurent. Rarement seuls, les soldats font des rondes s'assurant que la présente trève n'est pas trahis. Certains marchants eux, au contraire, s'aventurent seuls question de s'enrichir avec les présent évènements.
Une longue houpelande blanche traine au sol. Des bottes de cuirs teintent vertes piétinant la délicate blancheur de la route vers les murs de la gigantesque Genève. Épée bien attaché à sa taille, la jeune femme à la chevelure écarlate s'approche et dépose une main contre le mur de pierre gelé. Elle remonte doucement son col emeraude sur sa bouche laissant échappé un petit soupire.
Elle pense à sa famille, ses enfants plus particulièrement. Venu en tant que soldat, suivant et surtout soutenant l'homme qui partage sa vie depuis un bon moment déjà, elle ressent un vide presque totale sans ses petites boules d'énergies près d'elle. Avant tout fermière, elle reste plutôt du genre calme et presque docile. Peut-être sans intérêt pour ses mercenaires assoifés d'action, elle espère que tout ceci se terminera sans avoir besoin de voir couler du sang.
Elle s'arrête et écoute le calme. Un zephyr plutôt nordique se fait sentir, et elle entend se qui semble des voix, d'autre gens de l'autre côté des murs? Très possiblement les soldats ennemis. Elle se rapel pourquoi elle est venu, et surtout avec qui. Des gens à qui elle tien, et des gens pour qui elle se batterait pour les soutenir.
Elle lève la tête vers le ciel, pensant à son compagnon au passé troublé mais aux idées toujours bien et reprend la route vers le campement. Doucement la chevelure de feu blanchit sous la pureté qui tombe du ciel assombrit.
Une autre nuit glaciale s'annonce...
Traversant les gardes du campement, les saluant avec son doux sourire habituel, voir presque maternel, elle voit le brasero presque éteint devant sa tente. Cherchant le tisonnier pour ramener le feu à vie et amplir la tente d'un peu de sa chaleur, elle se perd doucement, sous la fixation de cet élément à la fois pertubarteur et calmant.
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