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[rp]Questions au conseil Comtal

Stiv
Stiv l'Archidiacre de Toulouse avait eu vent de la nouvelle du décès du Bourgmestre de Toulouse Angelo06400 fort apprécié dans le Bon Village Toulousain et voulut faire une prière, il chanta le Crédo :





Puis il entendit Messire Kaly du Bayet tacler Messire Aldin de Thau, une fois n'était pas coutume on dirait.

Il écouta la discussion puis leur dit :


Messires, je viens d'apprendre la triste nouvelle au sujet de Toulouse notre Capitale a une nouvelle fois un souci, l'armée a du intervenir et je félicite les soldats et les habitants pour leur courage. J'ai appris également que c'était Messire Little_dheimet qui prend le pouvoir.

Est ce que Le Nouveau Bourgmestre ne pourrait point icelieu faire un appel fort au peuple Toulousain pour que notre Capitale puisse être aidé. Je pense que l'aide à notre prochain est primordial, qu'en pensez vous ?


Stiv écouta attentivement la réponse du Conseil Comtal à ce sujet épineux.

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Neyco
La petite Neyney, passant par une estrade, ou tout le peuple posait question, elle aperçut l'Archidiacre Stiv.

Bonjour mon ami, je suis ravie de vous voir ici même.

SI vous le permettez je pense pouvoir répondre a votre question facilement.

Notre Bâtonniers et désormais Maire de notre bonne capitale, se devrai probablement durant les prochains jours, faire fasse a une étude complète des comptes de la mairie.

L'ancien maire paix a son âme ayant disparut tellement subitement qu'un calcul complet ainsi qu'une vérification du marche sera nécessaire. Aussi je ne doute pas un instant après ses quelques jours dans le pire des cas une fois que tous seront rassurer de la situation alors il se présentera a nous tous.

Aussi je souhaite de tous cœur que nous l'encouragions lui qui risque hélas de par sa fonction être cloitrer tout en restant en communication avec notre bonne CAC Dame Bea.


Souriante a son ami, la tite miss, espéra que réponse serai suffisante.

_________________
En construction pour ajout blason de nobliau et tout.
Logann
Kaly regardât neyco

Bon Neyo faut arrêtez ,

On sait tout que little est pas un gros bavards donc ne fait pas croire le contraire .Je comprends pas trop pourquoi parler d'une étude des compte de la mairie juste par ce qu'il serait mort.Il faut pensez que ça peut être aussi la personne qu'on a vus a Toulouse une certaine Xynthia qui souffle très fort a vos oreille qui urait assassiné le maire espérons qu'il ressuscitera vite et que tout sera mit en place pour lui rendre la place qui lui revient de droit"



"Xynthia= la tempête qui est tombé sur la france et a coupé l'électricité dans certaine parties "


Note censoriale :
Post remis dans son intégralité, explications et excuses données par MP au joueur
{LeFaucheur}
Stiv
Messire Stiv était écoeuré d'avoir entendu Kaly du Bayet et chanta le crédo en signe de deuil et laissa une minute de silence.

Après avoir fait quelques jours de deuil, il voulut reprendre au sujet de la Ville de Toulouse notre Capitale.

Il reprit le parchemin du Capitaine de Tolosa.




Citation:
Ausissètz, ausissètz,

Braves Gens del Comtat de Tolosa ! Poble de Tolosa

A tous, Nòblas, Sénher e dòna, Gus e Gusa, Jovenet, e Joveneta, passats,estant e a encorrir,


Nous Vonlichtenchein Capitaine de Toulouse vient à vous pour annoncer

Que ce jour, Messire Little_Dheimet prendra en charge la mairie de Toulouse jusqu'au prochaine élection, le précedent maire Angelo06400 ayant quelques soucis et ne pouvant plus assurer cette fonction.

Fait en l’enceinte du Château Narbonnais, le 3 mars 1458 par nous, Lily-Jane de Cognin-Franchesse Casaviecchi Von Waldershut, Comtessa de Tolosa,

Fa dins lo Castèl de Tolosa par nous, Lily-Jane de Cognin-Franchesse Casaviecchi Von Waldershut, Comtessa de Tolosa, lo 03 mars de la annada 1458

Parteg e Grandesa nos menaran a la Glòria





Il se tourna vers dame Neyco et lui demanda quand est ce qu'il verrait le Bourgmestre Actuel qui a été reconnu légitime par le Comté.

Avez vous vu Messire Messire Little_Dheimet car j'aurais apprécié tout comme Vous cher Neyco qu'il puisse s'exprimer après avoir reprit la Capitale, le bilan de Trésorerie a du être vu. Nous apprécierions savoir de quoi notre Capitale a besoin et nous souhaiterions appeler à la solidarité inter-Comté.

Quand allons nous voir le Bourgmestre de Toulouse ? L'avez vous vu au Grand Capitoul dîtes moi ?


L'Archidiacre était toujours dans l'attente sachant les nouvelles au sujet de notre Capitale Toulousaine.

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Cassandres


Pour le moment le conseil comtal se réunit et travaille dans le castel privé de chez privé
Nouvelle conseillére élue par le peuple toulousain Cassandres fait parvenir un parchemin au propriétaire du dit castel et à son gérant

Citation:
Bonjour , nous sommes conseillère comtale et nous demandons acces à la salle de transition
Nous vous remercions également de bien vouoir donner un trousseau de clefs à Messere Kaly_du_bayet et messere Valére
Nous vous remercions de faire le nécesaire
Toulouse ce samedi 6 mars 1458
Cassandres
Conseilère comtale du Comtat de Tolosa
Baronne d'Aurensan
Dame Du Lac Des Rouges Truites
Dame De ka Baume Cornillane

_________________
Cassandres


Un nouveau messager repart pour le castel privé de chez privé

Citation:
Au propriétaire castel Narbonnais et à son gérant

Nous vous remercions d'avoir fait diligence afin de nous remettre les clefs
Respectueusement

Toulouse ce samedi 6 mars 1458
Cassandres
Conseilère comtale du Comtat de Tolosa
Baronne d'Aurensan
Dame Du Lac Des Rouges Truites
Dame De ka Baume Cornillane

_________________
Le.jaccot
Jaccot arriva devant les portes du château pour se retrouver face à une paire d'hallebardes baissées lui barrant l'entrée. Il s'adressa donc aux gardes, leur demandant libre passage pour rejoindre la salle du conseil où il avait à faire avec le nouveau comte mais, manifestement, ceux-ci ne prêtaient que peu de foi aux dires d'un loqueteux en guenille, fût-il porteur de chausses et d'un beau chapeau.

Quelques maigres écus eurent finalement raison de ce que les mots ne pouvaient vaincre et, malgré ses réticences, un garde accompagna Jaccot jusqu'à la salle du conseil, dans laquelle il le poussa sans ménagement, l'envoyant trébucher sur le sol.


Hé !

Jaccot se releva en jetant un regard mauvais au garde, puis fit face au conseil en se courbant à en toucher le sol avec son nez et en agitant son chapeau en signe de salutations.

Ben l'bonjour à vous, nobles gens qui z'occupez d'nos destinées pis d'nos sous, j'viens voir mon ami m'sieur Hélios, que c'est l'meilleur conteur qu'j'ai jamais vu, pis qu'j'y dois une paire d'bouteilles, pis qu'j'ai une doléance pour lui, parce que qu'ça m'turlupine quand même un peu qu'on peut même plus bouger d'chez soi sans qu'y faut justifier où c'est qu'on va et pis pourquoi.


Il passa les conseillers en revue, sortit deux bouteilles que certains reconnaîtront peut-être de sous sa tunique crasseuse et se dirigea vers celui qu'il reconnut comme messire Helios qui avait, il s'en souvenait, fort bien animé sa soirée d'avant nomination.


Ah, ben j'vous trouve, m'sieur Helios ! Figurez-vous qu'vot' garde, là,
(il désigna le garde du doigt) y voulait pas m'laisser passer, rapport à que chuis crasseux pis qu'j'ai rien à faire ici pis que j'sens pas bon, y paraît, mais moi j'viens lui payer un pot au m'sieur Helios, que j'y ai dit, ben croyez moi ou pas, mais lui y m'a pas cru !

Comme pour appuyer ses mots, et en jetant un regard par dessus son épaule au garde qui le surveillait toujours, Jaccot déboucha une bouteille et s'avança pour l'offrir au comte, puis déboucha la deuxième et en bu une bonne lampée pour lui-même.

Enfin bon, une parole c't'une parole pis j'avais dit qu'j'viendra vous payer un pot au castel si qu'c'étaient pas des bobards vos menteries, et ben maint'nant, c'est fait !

Pis tant qu'j'y suis, j'ai une question à vous poser, pass'qu'j'ai vu affiché dans mon village qu'on osait plus sortir d'not' pays sans d'mander l'autorisation. Mais farceur comme qu'vous êtes, c'est encore une blague d'vot' grandeur, que j'me suis dit, pass'que chais bien qu'vous zêt' ben bon pis qu'jamais vous garderiez vot' bon peuple prisonnier chez lui, que ça vous r'ssemble pas pis qu'ça s'rait pas digne de vous...


Il regarda le comte avec des yeux suppliants, tenant son chapeau à deux mains devant ses cuisses, les jambes serrées.

Dites, c'est bien une blague, c't'affichoir, hein ? Vous nous f''riez pas ça, quand même, hein ? Pas vous... Pis si qu'c'est pas une blague, comme vot' histoire qu'vous zêt' coms et pis tout ça, ben vous voudriez pas rend' sa liberté à vot' peuple, çui-là même qu'a voté pour vous, pis donner un laissez-passer général à toute la populace ?

'Savez bien que t'façon on y r'viendra, dans not' bon pays, qu'c'est ici qu'on est nés pis qu'on y est tant bien, mais si faut d'mander un papier pour aller saluer l'cousin d'laut' côté d'la frontière, ben z'imaginez l'nombre d'paysans pis d'vagabonds qui vont s'retrouver coupés d'leur famille ? Alors qu'elle a ptêt ben en train d'mourir d'la peste vu l'état d'délabrement des contrées alentour !


Gardant sa posture suppliante, il se tut, dans l'espoir d'une réponse.
Cassandres


Le porte parole a entendu un bruit étrange à l'entrée , celà ressemblait à un homme jeté brutalement à terre

S'adressant aux hallebardiers

Que vous a fait cet homme pour être si brutal avec lui?

L'homme à terre gémit

Avec difficulté il parle , quelques mots sortent de sa bouche il nous semble que c'est Helios


Nous nous dirigeons vers le malheureux homme et nous nous agenouillons auprés de lui


Messere , tout d'abord nous vous demandons d'excuser la brutalité de ces gardes

Ils ont charge de garder la porte du castel et non de brutaliser les visiteurs

Sachez que dans le Comtat de Tolosa nul agression n'est permise et nous ferons le nécessaire pour que l'accueil que vou avez eu ne se reproduise plus


Permettez que nous vous aidons à vous relever et dites nous ce qui vous ammène ici messere

En souriant nous voyons qu'il n'a nul besoin de remontant


Vous souhaitez voir le Comte de Tolosa Heliorphee , nous allons le prévenir de votre venue

Installez vous sur ce banc mais n'abusez pas de ce breuvage que tenez dans vos mains

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Heliorphee
Entendant du bruit devant son bureau, le comte ouvrit la porte et laissa entrer un homme qu'il avait rencontré une soirée en taverne à Castres, mais avec qui il avait agréablement discuté et refait le monde comme ils aimeraient qu'il soit. L'homme fort sympathique entra et commença à servir des verres. Mais avant que le Comte ne puisse répondre à la question, la porte parole avait déjà dit qu'il fallait prévenir le dit Comte debout devant la table des conseillers.

Un peu éberlué par l'annonce du fait qu'il fallait aller le chercher, il répondit quand même au Messire Jaccot.


"Mon ami, cette affiche est un rappel aux étrangers et non aux habitants. Les habitants de notre beau Comté ont tout à fait le droit de se promener dans nos terres.

Par contre, nos frontières étant toujours fermées pour un soucis de sécurité, nous demandons à chaque personne entrant dans nos terres de se signaler pour ainsi connaître l'identité des personnes présentes et ainsi assurer la sécurité de nos citoyens. Moi, comme les conseillers qui me côtoient, avons une obligation envers le peuple qui nous a élu, à savoir éviter que l'on ne vous agresse et qu'on laisse partir les brigand comme cela.

C'est pourquoi nous voulions juste rappeler que nos frontières ne sont pas ouvertes et que notre Comté n'est pas un gruyère que l'on peut traverser sans autorisation ni même se signaler.

Maintenant, mon ami, j'ai hâte de gouter à cette bouteille en trinquant à l'avenir de notre Comté. Qu'il soit comme nous le rêvions."
Le.jaccot
HRP :
LJD Heliorphee a écrit:
Un peu éberlué par l'annonce du fait qu'il fallait aller le chercher,

C'est à cause de moué, pris par ce RP, j'ai brûlé des étapes et privé certains PJ de leur droit d'intervention. Toutes mes confuses à LJD Cassandres pour avoir privé son perso de l'usage de ses fonctions.




Citation:
Vous souhaitez voir le Comte de Tolosa Heliorphee , nous allons le prévenir de votre venue

Installez vous sur ce banc mais n'abusez pas de ce breuvage que tenez dans vos mains
L'était prévenante, la gente dame, et Jaccot tenta de refouler son incompréhension face à un monde où les gueux peuvent vaquer librement dans le castel comtal sans être outre-mesure inquiétés par la garde. Quoi qu'il en soit, la sympathie de la porte-parole l'émut et il devint tout rouge lorsque celle-ci l'aida à se relever mais si elle comptait sur lui pour mesurer sa consommation d'alcool... il lui faudrait plus qu'une armée de gardes et de hallebardes pour ce faire.

Jaccot fut content d'être enfin introduit auprès du comte Hélios, dans un endroit un peu plus privé que la très fréquentée salle du conseil. Cela laisserait plus de bon vin pour eux deux et il ne perdait certes pas au change. Tiens, il aurait bien dû offrir une gorgée ou deux de nectar à la porte-parole pour la remercier, d'ailleurs, mais il n'y avait pas pensé, et il était trop tard à présent.


Citation:
Par contre, nos frontières étant toujours fermées pour un soucis de sécurité, nous demandons à chaque personne entrant dans nos terres de se signaler


Le regard de Jaccot se fit sombre et son visage afficha un air de tristesse profonde.

D'accord, donc c'est les gens d'ici qu'attrapent la peste pis c'est nos parents d'à côté qui peuvent pas v'nir nous voir... z'avez d'jà attrapé la peste, m'sieur Hélios ? Chuis sûr qu'si c'était l'cas, vous s'riez content qu'vot' cousine puisse v'nir vous soigner à vot' chevet pis qu'a soit pas r'foulée, ou ben même violée, par un soudard qui y d'mande son laissez-passer à la frontière.

Y est ben triste, l'comté qui ferme ses portes à ses voisins... j'savais pas qu'z'étiez un type comme ça, vot' Altesse, pis j'crois qu'j'vais ranger mes affaires pis m'en aller r'trouver mon garde, qu'y m'botte le train hors d'ce castel. J'ai ren' à faire avec les gens comme vous.


Jaccot se leva, ramassa "ses" bouteilles tant qu'il pût et se dirigea vers la porte.













Heliorphee
Helios retint l'homme avant qu'il ne sorte.

"Non, vous n'avez pas saisi. Bien sur qu'ils peuvent toujours venir vous voir, mais ne pensez vous pas qu'il est mieux qu'on ne les traite pas comme les brigands qui vont et viennent sur nos terres? La seule chose que nous demandons est de demander un laisser passer à notre connétable pour que nous sachions que nous avons des personnes qui respectent nos lois en guise de respect mutuel. En échange de ce fameux papier, les personnes le possédant recevront la même protection que les habitants du Comté.

Ainsi, nous ne restons pas fermées sur nous, nous prenons juste une précaution quant à mieux connaître nos invités. Et pis, mes gardes sont surement bêtes comme leur pieds, mais si j'apprends qu'ils tentent des choses pour assouvir leur envies bestiales, je connais une bonne tenaille qui arrachera cette envie...

Non, mon bon Jaccot, nous voulons juste la sécurité dans nos terres et évitez ce qui s'est passé il y a peu pour Lily-Jane, notre ancienne comtesse. En interdisant nos terres à des crapules et des bandits reconnus, nous pouvons donc leur faire passer le goût de brigander. Et ainsi votre cousine qui vient vous voir malade ne se fera pas violer et déposséder de ses biens par un brigand sur la route."
Le.jaccot
Jaccot se retourna, apaisé, pour faire face au comte. Il avait su trouver les mots justes et sa méfiance naturelle se fit moins forte.

Ah, bah vu comme ça... mais moi je l'sais, qu'ma cousine, ça va ben l'embêter de d'voir passer voir vot' connétab' avant d'venir, pis chuis sûr qu'des gens comme ma cousine, y en a ben plus que d'vos bandits que chuis sûr qu'y trouv'ront toujours un moyen détourné d'passer la frontière quand même.



Jaccot partit d'un grand rire.

Ah bah vous m'voyez rassuré m'sieur Hélios, chuis sûr qu'y réfléchiront à deux fois, avec ça !

Il redéposa les bouteilles sur le bureau.

Bon, ben j'vous laisse ça, moi j'en ai plus b'soin.
--Rosay


Citation:
2010-04-01 17:01:28
Abdication du Roi de France
PARIS (AAP) -
Citation:
Selon une information exclusive de la rédaction, le Roi de France, Sa Majesté Lévan III de Normandie, a l'intention d'abdiquer. Sans descendance, il a désigné comme successeur le Grand Duc de Bretagne.

Devant le conseil des feudataires, la pairie et la curia regis réunis en conseil extraordinaire, Lévan a annoncé avoir assez profité du pouvoir dont il dispose en tant que roi, et s'avoue las des troubles qui agitent en ce moment le royaume. Il évoque ainsi en vrac la guerre en Provence, les exactions du Lion de Juda, et la félonie des provinces vassales de l'Alliance du Ponant.

Évoquant aussi des raisons morales et altruistes, le Roi explique qu'il espère que son «abdication en faveur du grand duc de Bretagne permette au royaume de France de tirer un trait sur une page sombre de sa longue histoire, ». Une déclaration publique est attendue d'ici la fin de la semaine.

Kartinal, pour l'AAP


http://aap.lesroyaumes.com/depeches/depeche332269360.html

1er avril?
Citation:










--Rosay


Est il possible de savoir ce qu'en pense le Conseil comtal de Toulouse ?
Sebastien


Bonjour, je ne donnerais là que mon opinion personnel et non au nom du Conseil dans sa généralité.

Mais en toute franchise, je dirais qu'il s'agit tout bêtement d'une farce pour ce 1er avril.

Rappelons-nous que l'an passé, nous avons eu un cas similaire avec la presse..

En tous les cas, je ne peux que conseiller de ne pas s'emballer et de laisser quelques jours s'écouler pour en avoir le cœur net à travers les prochains articles.

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