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[rp]Questions au conseil Comtal

Natale
Aujourd'hui Castelnaudary, un page au couleurs toulousaines rejoignit prestement le Vicomte et lui remis la missive de son suzerain.
Le vicomte l'invita à patienter quelques instants en taverne, un godet de vin en échange de l'attente d'une réponse a leurs épistolaires:





De Nous, Natale Adriano di Foscari Widmann d'Ibelin, Vescoms de Rabat & Senher de Santa-Maxima
A Sa Grandeur Aldin de Thau, Coms de Tolosa & Senher de Montségur.
En la Bonne Ville de Castelanudary, le Vingt-troisième Jour du Mois de Mai, l'An du Seigneur Mille Quatre Cent Cinquante Huit.


Votre Grandeur,

Voici le deuxième courrier que nous recevons de vous, le deuxième où vous vous portez encore en victime par devant nous.
Certes nous sommes Tolosans et chacun bien campé sur nos positions respectives et je serai sot de croire que mes correspondance pourraient vous faire changer d'avis de la sorte.
Pour autant je crois dur comme fer que de l'échange d'idées et du débat peut naitre de grandes choses, sachez qu'en aucun cas je n'insulte ou je n'accuse mais j'expose simplement des faits, plaisants ou pas.
On a coutume de dire que toute vérité est bonne à entendre et je crois que cela est véridique.

Il est donc facile de se poser en victime quand on reçoit un avis différent du notre, de même que de rejeter l'avis de son prochain en le disant purement destructeur. C'est votre manière de faire Votre Grandeur, votre campagne électorale est finie pourtant.
Je ne juge point votre avis pour l'évaluer selon mes propres critères personnels en fonction des aléas, comme vous le faites avec le miens pourtant, je me contente simplement d'échanger des idées avec vous.

Votre Grandeur, vous évoquez ensuite notre passé politique commun, je dirai juste que c'est lorsque l'on croit connaitre les gens le mieux que l'on se trompe.
Aussi puisque vous nous rappeler Notre Règne en tant que Cinquième Coms de Toulouse par devant Sa Majesté, par la volonté des Toulousain et pour la Gloyre du Très Haut je vous rappellerai la chose comme je l'ai vécu.
Souvenez vous qu'alors le pays était beaucoup plus habité et vivant que cela d'abord, que durant notre règne nous avons fait peu de loys mais nous sommes contenté d'agir afin de rattraper un certain retard et de pallier à certains problèmes récurrents. Que des décisions ont du être prises et que la discussion s'organisait librement à travers la campagne toulousaine. Pour autant il m'a fallu essuyer des pamphlets, des critiques et autres, me suis-je pourtant pausé en victime à l'époque ? Ai-je réduit, limité, caractérisé, ou stigmatisé l'avis de mes co-sujets et vassaux quand il n'allait point en mon sens ? Au contraire ces débats permettaient d'expliquer les choses, cela en tout bien tout honneur.
Ensuite vous n'étiez point en place et la sécurité n'était point de votre ressort à l'époque. Aussi vous ne savez point les alertes et menaces que nous avons connu nous même. Faut-il vous rappeler les guerres de Gascogne ? L'instabilité de la Guyenne et du Rouergue ? Les compagnies franches faisant leur chemin, les pilleurs de la vallée du Rhône et d'outres monts ? Et que dire des échos que j'avais sur la situation interne également ? Pour autant Toulouse a tenu et s'est révélé un véritable ilot de stabilité sans pour autant s'abimer dans la peur et la crainte.
On a toujours des mots avec quelqu'un pour autant malgré cela j'ai toujours eu confiance en l'action de la force toulousaine.
La confiance Votre Grandeur, est un bien rare. Avoir confiance en les Toulousains, avoir confiance en les forces vives du pays, avoir confiance en ses idées, avoir confiance en nos partenaires. Tout cela est important et ne veut point dire pêcher par excès de confiance, c'est simplement tendre la main et rendre possible ce qui ne l'est pas. Ce que nous avons pu faire alors.
Aujourd'hui comme naguère le loup est dans la bergerie Votre Grandeur, aujourd'hui comme naguère l'on a que ce que l'on mérite. Aujourd'hui comme naguère vos choix guident tout un pays.

Qu'Aristote vous protège et que Sainte-Boulasse vous éclaire.

Virtus Unita Fortior

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Aldindethau


Peu avant de se préparer pour la cérémonie d'allegeance de la noblesse toulousaine, un page porta une nouvelle missive du Vicomte de Rabat. Il prit une plume pendant que le tailleur etait encore en train de prendre des mesures du pourpoint et ecrivit une derniere missive.


Citation:
De Nous, Aldin de Thau Montségur, Coms de Tolosa,
A Vous, Natale Adriano di Foscari Widmann d'Ibelin, Vescoms de Rabat & Senher de Santa-Maxima

Messire Natale

Je ne pense pas qu'il faille aller plus avant dans cet échange qui tombe dans la rancoeur et autres grieffes.

Je ne releverais qu'une chose dans tout cela,


Citation:
vous évoquez ensuite notre passé politique commun, je dirai juste que c'est lorsque l'on croit connaitre les gens le mieux que l'on se trompe.



Je vous le confirme, bien des fois j'ai été déçu par l'attitude et les actions de gens auquels je croyais qui avaient promis bien des choses qui se sont révélées fausses uniquement pour acceder à des terres ou des titres.
Je ne m'impose pas en victime comme vous vous plaisez à me l'ecrire mais je vous invite à me dire personnellement en privé et de vive voix les grieffes que vous avez à l'encontre de ma personne. Peut etre pourrions nous dissiper des malentendus ou confirmer des vérités.

Revenant au sujet initial, j'ai bien entendu vos arguments et les soumets aux personnes en charge de notre sécurité. Nous examinerons la possibilité ou non d'une ouverture de frontieres en l'etat actuel des évenements.

Qu'Aristote vous accompagne.


Aldin de Thau Montségur
Comte de Toulouse

Parteg e Grandesa nos menaran a la Glòria.

Fait en l'enceinte du chateau le 23 mai de l'an de grace 1458
Citation:

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Natale
Avant la cérémonie le Vicomte fit prestement parvenir un petit pli à son suzerain



Votre Grandeur,

Je vous l'assure je n'ai aucune affaire contre vous.
Relisez bien mes missives et vos réponses à tête reposée et vous vous rendrez compte qu'il n'y a aucun mal.
Où vous voyez de la "rancœur et des griefs" il n'y a que constats et conseils. Vous vous rendrez compte qu'il n'y a aucune victime et aucun bourreau.
Par les présentes je venais vous parler de "Laisser Passer" et vous me contez des attaques personnelles, relisez je vous en prie.
Ce que je vous écris tout à chacun devrait être en mesure de vous le dire de vive voix sans craindre quoique ce soit ni passer pour ce qu'il n'est pas par quelques procès d'intention.
Je suis également tout disposé à en parler avec vous.

Natale

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Aldindethau


Une reponse ne tarda pas à revenir alors que le tailleur mettait sa touche finale à l'habit du Coms.


Citation:
De Nous, Aldin de Thau Montségur, Coms de Tolosa,
A Vous, Natale Adriano di Foscari Widmann d'Ibelin, Vescoms de Rabat & Senher de Santa-Maxima

Messire Natale,

Les choses étant dites, je pense que nous pouvons désormais repartir sur des bases de collaboration constructive pour l'avenir. Les choses bougent dans notre Comté et la noblesse dont vous faites partie est cordialement invité à participer à ces changements notamment en salle de la noblesse.

Il est heureux de savoir qu'aucun grieffes personnels nous opposent et nous pourrons à l'avenir travailler ensemble à la Grandeur de Toulouse.
Nous nous verrons tres certainement à la cérémonie d'allégeance préparée par Tolosa notre Héraut.

Qu'Aristote vous guide dans sa sagesse.


Aldin de Thau Montségur
Comte de Toulouse

Parteg e Grandesa nos menaran a la Glòria.

Fait en l'enceinte du chateau le 23 mai de l'an de grace 1458

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Stiv


Stiv Rieux était venu dans le bureau du CaM car il n'avait pas vu celui ci encore depuis sa prise de fonction. Il était venu donc dans son bureau et vit devant l'entrée un amas de poussière et des toiles d'arraignée à n'en plus savoir ou est l'entrée.



Il regarda le lieu lugubre et se demanda comment quelqu'un pouvait travailler dans de tel condition

Il écrivit un mot sur un parchemin et laissa son serviteur le rendre au CaM en espérant le voir icelieu pour avoir plus ample discussion.



Citation:
Cher Conseiller aux Mines,

Je suis passé dans votre bureau mais il n'y avait point l'ombre de lumière ni mesme un souffle de vie.

Il semblerait que celui ci soit abandonné par vos soins.

J'ai été accueillit avec vos serviteurs de seconde zone qui ont prit place, vous n'étant point disponible.

Je souhaitais juste que nous discutions des mines pour savoir ce que nous souhaitions faire pour celle ci. Je vois que c'est peut être pas votre préoccupation du moment mais pourtant, nous Bourgmestre de Foix, nous sommes attaché au bon fonctionnement de celle ci, nous aurions apprécié voir une représentation des mines de la semaine passée par exemple mais elle a du vous dépasser, voilà peut être une explication.

Dans l'attente de vous voir prochainement à Foix ou dans votre Bureau si par hasard vous avez l'occasion d'y venir.

J'espère que les mines ne sont pas aussi poussièreuses que le bureau dont vous faites accueil au Grand Capitoul.

Fait par Stiv Rieux, Bourgmestre de Foix et Senher de Réalmont, devant le bureau gras du CaM, ce vingt cinquième jour du mois de mai de l'an de grasce 1458




Il laissa son parchemin privé à son serviteur loyal et lui informa que lorsqu'il trouva le CaM, qu'il me fasse signe.

Il lui souhaita bon courage voyant que celui ci n'avait jamais osé mettre les pieds dans son bureau.


Le Messager privé du Maire de Foix ariva aux Questions du Conseil Comtal, cela tombait bien, il voulait voir le CaM car celui ci dédaignait répondre dans son bureau au Castel Narbonnais et ce depuis qu'il était Conseiller aux Mines. Il vu un homme travaillant pour le Conseil Comtal et lui dit :

Je souhaiterais voir le Conseiller aux Mines et lui seul je vous prie. J'ai un parchemin pour lui de mon maistre le Senher de Réalmont et Bourgmestre de Foix.

Le Messager attendit patiemment que celui ci arrive.


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Cassandres


C'est avec une mine triste que la jeune baronne vient s'adresser au conseil comtal toulousain

Membres du conseil comtal bonjour nous avons appris ce matin que la jolie ville de Castres avait été prise par des malfrats

Nous sommes surprise d'avoir appris cette terrible nouvelle tant pour la ville que pour le comté de Toulouse et nous tentons de comprendre pourquoi une telle chose est arrivée

Nous espérons membres du conseil comtal toulousain que vous apporterez des réponses

Nous apportons notre soutien aux Castrais et Castraises qui traversent cette pénible épreuve


Qu'Aristote les aide

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Le.jaccot
Ayant appris la nouvelle concernant la prise de Castres, Jaccot se mit prestement en route pour cette dernière, faisant néanmoins un "rapide" crochet par la salle du conseil afin d'y venir quérir de l'aide. Entendant les propos de dame Cassandres, il ne put retenir la colère qui le consumait.

Pourquoi ça s'est passé !? C'est important, ça, d'savoir pourquoi qu'ça s'passe !? En c'moment même, les malfrats sont en train d'maltraiter les habitants d'Castres, d'piller leurs récoltes et pt'êt même d'violer leurs enfants et vous voulez savoir pourquoi qu'ils le font ?

J'vais vous l'dire, ma'm Cassandres, pourquoi qu'Castres a été prise, c'est parce que les gens comme vous passent leur temps à palabrer au lieu d'agripper leur fourche et d'défendre leur terre ! Si vraiment vous voulez apporter vot' soutien aux Castrais, comme vous dites, alors j'vous invite à prend' la route de Castres sur l'heure ! J'm'y rends moi-même, p'têt souhait'rez vous m'accompagner, afin que non Aristote mais dame Cassandres leur vienne en aide ?


Jaccot fumait et trépignait en sortant ses paroles. Il n'attendit pas de réponse, ne s'attendant que trop à la teneur de cette dernière et estimant qu'il n'y avait pas de temps à perdre. Il agrippa son bâton pour courir en direction de Castres. Peut-être arriverait-il à temps pour encore faire quelque chose, et sinon, il pourrait toujours participer à la reconstruction.
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Le secret... est l'armure de ceux qui font des plans mal rôdés...
Iurek
Iurek fut bousculé dans la sortie par Sieur Jaccot, et l'attrapa par l'épaule, le retenant sur place. Le soldat, barbu a souhait, l'air bourru en diable, posa sa main sur sa lourde hache avec un sourire en coin.

"Ne vous inquiétez pas, Messire, la ville de Castres ne restera pas longtemps aux mains de ces bandits. L'armée veille et, si je puis m'avancer, je suis sur que nous agirons au plus vite. En attendant, n'allez pas risquer votre peau la bas ni sur les chemins. Vous m'avez l'air d'être un homme courageux : Rejoignez notre armée plutôt que de prendre des initiatives malheureuses seul."


Il lui adressa un sourire de franche sympathie.

"En principe c'est le sergent qui s'occupe d'vous bourrer le mou pour que vous vous engagiez, mais si je peux essayer de vous convaincre en vous payant un verre, ce sera avec plaisir."

Il ne l'avait toujours pas lâché, le maintenant fermement sur place. Soldat, bourreau : Le lourd guerrier, venu du nord, décrocha sa gourde emplie de piquette réconfortante et la tendit à Jacot, tout en lui rajoutant un parchemin pour qu'il puisse trouver au plus vite le chemin vers la caserne.
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" Jamais d'aultres armes nous prendrons que celles que nous élizons,
Et nous disons pour réconfort nous voulons la liberté ou la mort. "
Le.jaccot
Jaccot regarda l'homme qui l'avait arrêté dans sa course. Plutôt intimidant... S'il n'avait pas été sous le coup de la colère, il se serait aplati devant lui, mais voilà, il était sous le coup de la colère, et il trouva donc la force de lui répondre :

J'vous r'mercie... messire, et j'remercie aussi l'armée pour c'qu'à fait pour nous, mais moi, chuis ni un gens d'armes, ni d'uniforme, et du temps qu'j'aille voir vot' lieut'nant à la caserne, pis qu'on m'équipe, et bah j'peux déjà franchir la moitié du ch'min qui m'sépare de Castres.

Vous faites donc pas d'soucis pour moi, j'saura bien planter mon bâton sur la tête des brigands qui pourraient m'attendre en ch'min...


Il se décontracta un peu, sans pour autant perdre l'énergie que lui procurait le feu qui l'animait, et sourit au géant qui lui faisait maintenant face, une gourde à la main.

Pis... j'ai pas l'temps pour boire non-plus, mais vous inquiétez pas, si j'arrive à Castres avant vous, j'vous gard'rai un brigand ou deux pour vous passer la main avant d'vous r'trouver à la taverne pis d'compenser l'temps qu'j'vous ai pas consacré ici.

Il affichait à présent un grand sourire sardonique et posa la main sur le bras du guerrier pour l'inviter à le libérer de son étreinte..

Maint'nant, si vous voulez bien m'excuser, y a des brigands qui m'attendent, à Castres, pis j'voudrais pas êt' indélicat au point d'les faire patienter un jour de plus...
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Le secret... est l'armure de ceux qui font des plans mal rôdés...
Iurek
Iurek lui lacha l'épaule et l'invita à s'en aller, en buvant un plein trait a sa gourde.
Il rajouta :


"Eh bien si vous venez à changer d'avis, l'armée recrute, et on vous fournira equipement et viande pour coller de meilleures dérouillées, et en plus on saura qu'on peut compter sur vous pour répondre toujours au vibrant appel du comté en danger... Foix, le plus beau régiment de l'armée ! Frappez fort et juste et si vous me voyez pas venir d'ici a quelques jours, je vous don ne le droit express de tuer les deux trois brigands que vous m'aurez gardé... "


Puis il le laissa partir, en s'écartant d'un pas, se tournant vers la sortie avant de s'en aller en silence.
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" Jamais d'aultres armes nous prendrons que celles que nous élizons,
Et nous disons pour réconfort nous voulons la liberté ou la mort. "
Le.jaccot
En entendant les mots du colosse, Jaccot su qu'il ne fallait pas l'attendre à Castres, il ne ferait pas le déplacement, et l'armée probablement non-plus...

C'est convaincu qu'il avait mieux à faire que de perdre son temps à attendre des ordres qu'il tourna le dos pour se précipiter sur la route de Castres.

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Le secret... est l'armure de ceux qui font des plans mal rôdés...
Duflan
Duflan grimpé sur son ânesse "marchopas" attendait juste à l'entrée du château le père Jaccot, il commençait à s'inquiéter pour ce pôvre bougre.

Ah ! foutu couillon pourqu'oi d'on a t'il fallu qu'il perde son temps à discutailler là bas, pis avec son foutu caractère..va finir pas se faire pendre c'est t'ou ce qui va gagner voilà ....

Enfin il l'aperçu, il avait l'air de mauvais humeur sur !, Duflan avala une bonne gorgée de vin blanc

Allez le jaccot dépêche toi d'on ils vont finir tout le vin sans nous attendre c'est sur ! ah je me demande ben ce que t'a dans la tête d'aller perdre ton temps....

Duflan lui on lui avait raconté que le vin coulé à flot à Castres ! et que c'était gratuit en plus....voilà pourquoi il était pressé d'y aller...Jamais on lui avait parlé de brigands
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Aldindethau




Aldin qui etait a ses préparatif de départ avec les soldats quand Dame Cassandres vint demander des explications à un bien mauvais moment.

Dona Cassandres, la ville a été prise car les Castrais ont elu un incapable à la tête de la mairie, un inconnu qui n'a meme pas daigné donner signe de vie depuis son élection. L'aubaine etait trop belle pour des brigands chevronnés qui ont bien préparé leur coup. Se grimmant, rasant les murs sous des cagoules, ils sont passés inaperçu et ont frappé au moment on la ville s'y attendait le moins.
Les caisses ont été vidés, le stock vendu au quatre vent a des prix cassés, ils recrutent des miliciens. Mais nous auront leur peaux, ils se feront ouvrir les tripes ou traduit au tribunal dans lequel notre bourreau s'occupera d'eux.
Maintenant si vous voulez aider, la ville aura besoin de volontaires ou de dons de solidarité. Voulez vous collecter des fonds pour la villes de Castres?? Ca aiderait vraiment a la reconstruction.
Sur ce dame, le bonsoir

Aldin repartit vers les chevaux et les soldats qui préparait leur paquetage.

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Cassandres


Nous vous remercions de votre réponse votre grace
Nous avions prévu de monter sur Castres dans les prochains jours car nous avons quelques épis de blé ainsi qu'un peu de mais
Mais nous ne voudrions pas que notre aide nous entraine les foudres de la justice toulousaine

Nous allons lancer un appel à la solidarité pour Castres dans la ville de Toulouse

Nous ne pouvons pas prendre la route ce jour car nous sommes à la milice de la ville de Toulouse
Nous ferons de notre mieux pour les castrais et nous espérons que les malfrats seront traduits rapidement devant le tribunal toulousain

Nous allons lancer un appel à la solidarité pour Castres dans la ville de Toulouse



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Cassandres


Le voyage avec sa soeur s'est bien déroulé et toutes les deux sont bien arrivées à Castres avec quelques marchandises pour la ville qui a été pillée il y a peu
Ne pouvant contacter personne la jeune fille laisse un parchemin à l'attention du Comte de Toulouse et de la prévoté

Citation:
A l'attention de Messere le Comte de Toulouse Aldindethau
A l'attention de Messere Chugoalpha Prévôt des maréchaux


Salutation

La petite colombe qui ne cesse de nous accompagner pendant nos voyages vient de partir afin de vous remettre un message d'importance qui nous l'espérons retiendra toute votre attention

Nous espérons que le nécessaire sera fait rapidement
Qu'Aristote vous guide dans sa sagesse

Castres ce samedi 5 juin 1458


Cassandres De Sigognac
Baronne d'Aurensan

Dame de La Baume Cornillane
NULLA:TENACI:INVIA:EST:VIA

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