Mittys
[Chapitre premier : Le début du chemin de croix.]
[A quelques centaines de mètres des remparts]
Schmitt fraichement relâché des geôle du tribunal de Périgueux , était revenu dans la ville de Angoulème , pourquoi il ne le savait pas , mais il voulait revenir , quelque chose le tenait encore en ces lieux . Ses idées avaient changés , sa vision même du monde c'était assombri de mois en mois , l'espoir qui l'avait fait vivre si longtemps l'avait elle aussi quitté ... même les biens matériaux , il ne les avaient plus .
La coche arrivée aux portes de la citée , le Hohenstaufen , fit arrêter le cocher afin de terminer sa route à pied . Il donna quelque deniers au marchand ambulant qui l'avait gracieusement escorté durant ce petit périple , celui ci repartit en direction des murailles . Mittys le regardait partir puis se retourna , les yeux portés vers la campagne de ce pays dont-il était l'hôte malencontreux depuis quelque semaine , il été venu ici avec des idéaux , il repartira encore une fois déçu et cela il l'avait compris . Jamais , oh grand jamais , il ne trouvera le bonheur , tout ceci s'était focalisé dans sa tête depuis quelque temps , maintenant qu'il est de retour sur le sol ou ses parents avaient été tués voila maintenant plus d'un an déjà .
En parcourant de ses yeux la campagne , il remarqua non loin de la , une colline , un semblant de bosse qui sortait de la terre , tout la haut se trouvait un pommier . La faim au ventre le franc-comtois en prit la direction , la main dans les poches de son mantel il en sortit un vieux papier , tout chiffonné , qu'il lut pendant qu'il gravissait ce bout de terre .
Le regard sombre il décolla la tête de ce parchemin pour les poser sur l'arbre , il prit le papier dans ces deux mains , l'écrasa et le lança en arrière , le laissant planer sur la douce brise de la soirée Angoumoise . S'approchant de l'arbre , il ne vit que les branches dénudées , et quelques pommes assez pourrîtes au bord du bout de bois . Sans doute quelqu'un les avaient cueilli , mais les auraient oublié au bonheur du jeune homme qui en prit une et la croqua avec une certaine envie non dissimulée . C'est alors qu'il repensa à cette lettre , ces désirs qu'il n'avait jamais remplis , son dernier jour à Genève , son dernier regard vers Lausanne , vers cette amour qui avait disparu , qu'il avait laissé filé pour simple idéal politique ...Et les larmes lui coulèrent tout doucement le long de ses joues , ni sanglots , ni cris , il resta de marbre avec ces quelques gouttes qui visitait les cavités de son visage, assis le dos posé sur le tronc du pommier .
il passa ses mains sur ses yeux mouillé et essaya de s'émerveiller de la scène qui se jouait devant lui ; des paysans fatigué à travailler dans leur champs , le soir venant sur une campagne sensible au froid hivernal . s
Seul endroit ou les doux mots des poèmes disparaissaient dans l'amertume de Schmitt et d'un soupire qui en disait long sur ses rêves
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Mittys auprès des ses ancêtres pour l'éternité
[A quelques centaines de mètres des remparts]
Schmitt fraichement relâché des geôle du tribunal de Périgueux , était revenu dans la ville de Angoulème , pourquoi il ne le savait pas , mais il voulait revenir , quelque chose le tenait encore en ces lieux . Ses idées avaient changés , sa vision même du monde c'était assombri de mois en mois , l'espoir qui l'avait fait vivre si longtemps l'avait elle aussi quitté ... même les biens matériaux , il ne les avaient plus .
La coche arrivée aux portes de la citée , le Hohenstaufen , fit arrêter le cocher afin de terminer sa route à pied . Il donna quelque deniers au marchand ambulant qui l'avait gracieusement escorté durant ce petit périple , celui ci repartit en direction des murailles . Mittys le regardait partir puis se retourna , les yeux portés vers la campagne de ce pays dont-il était l'hôte malencontreux depuis quelque semaine , il été venu ici avec des idéaux , il repartira encore une fois déçu et cela il l'avait compris . Jamais , oh grand jamais , il ne trouvera le bonheur , tout ceci s'était focalisé dans sa tête depuis quelque temps , maintenant qu'il est de retour sur le sol ou ses parents avaient été tués voila maintenant plus d'un an déjà .
En parcourant de ses yeux la campagne , il remarqua non loin de la , une colline , un semblant de bosse qui sortait de la terre , tout la haut se trouvait un pommier . La faim au ventre le franc-comtois en prit la direction , la main dans les poches de son mantel il en sortit un vieux papier , tout chiffonné , qu'il lut pendant qu'il gravissait ce bout de terre .
Citation:
Ce matin encore les fleurs encore sont fanées ,
Et avec la rosée , encore les pétales sont tombées
Oh mon amour reviens vite
Le temps prend encore la fuite
Rentre chez moi
Je n'attend que toi
Et avec la rosée , encore les pétales sont tombées
Oh mon amour reviens vite
Le temps prend encore la fuite
Rentre chez moi
Je n'attend que toi
Le regard sombre il décolla la tête de ce parchemin pour les poser sur l'arbre , il prit le papier dans ces deux mains , l'écrasa et le lança en arrière , le laissant planer sur la douce brise de la soirée Angoumoise . S'approchant de l'arbre , il ne vit que les branches dénudées , et quelques pommes assez pourrîtes au bord du bout de bois . Sans doute quelqu'un les avaient cueilli , mais les auraient oublié au bonheur du jeune homme qui en prit une et la croqua avec une certaine envie non dissimulée . C'est alors qu'il repensa à cette lettre , ces désirs qu'il n'avait jamais remplis , son dernier jour à Genève , son dernier regard vers Lausanne , vers cette amour qui avait disparu , qu'il avait laissé filé pour simple idéal politique ...Et les larmes lui coulèrent tout doucement le long de ses joues , ni sanglots , ni cris , il resta de marbre avec ces quelques gouttes qui visitait les cavités de son visage, assis le dos posé sur le tronc du pommier .
il passa ses mains sur ses yeux mouillé et essaya de s'émerveiller de la scène qui se jouait devant lui ; des paysans fatigué à travailler dans leur champs , le soir venant sur une campagne sensible au froid hivernal . s
Seul endroit ou les doux mots des poèmes disparaissaient dans l'amertume de Schmitt et d'un soupire qui en disait long sur ses rêves
ljd cheyenne , si vous lisez ce Rp , sachez que c'est ici que j'ai prévue de ce que nous avons parlé...je vous dirais les dernière modalités à prendre en conséquence....on va s'amuser
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Mittys auprès des ses ancêtres pour l'éternité