[RP]Le dernier combat du Hohenstaufen

La scène se déroula à une vitesse fulgurante . Schmitt tenait encore la blonde en joug , lorsqu'il reçu un violent coup sur le bras suivi d'un manche d'épée envoyé d'une violence sans égale sur son épaule , ce qui finit par le faire s'écrouler à genou devant les gardes territoriales .

Schmitt releva la tête , une main par terre l'autre frottant son épaule et son regard porté vers le Maire de Angoulème qui n'avait qu'une seul envie qui était largement percevable dans ses yeux.

Nos acolytes défendent fièrement la terre du Périgord Angoumois et ses habitants face à des gens tel que vous.

Tu va rejoindre ton ami maintenant.

Schmitt laissa échapper l'un de ses nombreux rictus en entendant les paroles de l'homme qui tenais sa vie au bout de sa lame. C'est alors que le Hohenstaufen implora la justice temporel.

Dans tout comté , homme à droit à procès pour définir l'étendu de son crime . Il en est de même par ces terres . Je ne rejoindrais pas le très haut grâce à votre lame ... La justice est ma vie ... Je veut un procès digne de mon nom !

Sa main sur son épaule repoussa lentement l'épée et les yeux de Mittys faisait face au regard de Sinik , en attendant la réponse de celui-ci.
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Mittys auprès des ses ancêtres pour l'éternité

Aux cris de la blonde, l'homme s'arréta et se retourna, lui faisaint face. Il sorti un couteau et s'avança menaçant, tout en l'insultant et lui crachant aux pieds

...allez pourrir sur la Lune espèce de vermine de bas étages !

Elle restait là interdite, quand ses compagnons débarquèrent. Miss désarma le forcené d'un coup de bâton, tandisque Sinik, le frappa en pleine face. orka vit la résolution se peindre sur le visage de Lulu. Il allait le tuer... Il approchait la lame de son épée, et la rage se lisait dans ses yeux; Mittys leva la main, repoussant doucement la lame


Dans tout comté , homme à droit à procès pour définir l'étendu de son crime . Il en est de même par ces terres . Je ne rejoindrais pas le très haut grâce à votre lame ... La justice est ma vie ... Je veut un procès digne de mon nom !

Sourd à ces paroles, tout à sa rage, Sinik ne semblait pas entendre. Elle s'approcha alors doucement, et posa sa main sur la poignet du maire...

Sinik, non ......ne te transforme pas en assassin...... Ca n'en vaut pas la peine...... Il a raison, la justice décidera. Donne moi ton épée, et ligotons le pour le ramener au château, cela vaudra mieux

Ce disant, elle baissa la main pour la poser sur la garde de l'épée, essayant de dénouer les doigts crispés de Sinik qui fixait toujours l'homme d'un regard assassin, les dents serrées et les mâchoires crispées, sans vraiment le voir..;
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Quand on est plus de quatre on est une bande de cons. A fortiori, moins de deux, c'est l'idéal.

L'homme mit hors de combat par Sinik implorait un procès, mais avait-il laissé cette même chance au garde. Non, celui-ci avait une femme, des enfants qui maintenant auront une vie bien difficile sans le soutien de leur homme.

Sinik, non ......ne te transforme pas en assassin...... Ca n'en vaut pas la peine...... Il a raison, la justice décidera. Donne moi ton épée, et ligotons le pour le ramener au château, cela vaudra mieux
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Miss fulminait de rage et heureusement qu'Orka était là pour tempérer Sinik car elle en aurait été incapable.

La vie de l'homme était toujours suspendue au bout de l'épée de Sinik, malgré les efforts d'Orka celui-ci était toujours crispé dessus, tergiversant entre l'envie de trucider l'individu et celle de le présenter au château pour laisser la justice faire son travail

Sinik .... Orka a raison .... ne nous faisons pas assassin .... bien que ce n'est pas l'envie qui m'en manque .....
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Garde Territoriale
Conseillère Filière Fruits & Responsable du verger
Propriétaire de l'auberge "A la Belle Angoulême" et du "Pigeonnier"

Son cœur battait vite, la rage accompagnant chaque pulsion.

Il savait que ses deux collègues avaient raison mais il mit un certain temps avant de renoncer à lui trancher la gorge.

Il éloigna la lame au sol du tueur de revers de son pied.

J'espère que le tribunal te réservera une sentence plus douloureuse que celle que j'aurais pu t'infliger ici.

Bon, on ramène monsieur à la caserne, pour préparer son départ pour Périgueux.
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Schmitt écoutait les réactions suite à sa demande de justice équitable , tout autant qu'elle pourra l'être . La première des deux femmes s'interposa devant le maire afin de ne pas s'abaisser au même actes que l'homme à ses pieds.

Le Hohenstaufen gardant toujours les yeux fixés vers Sinik qui ôta l'instrument du destin de son épaule et demanda aux gardes qui l'accompagnait d'emmener Mittys au geôle .

je vous remercie de votre .... votre sagesse sire . Vous auriez fait un bon réformé

juste avait-il prononcé ses dernières paroles que les gardes lui mettaient les mains au fer . Schmitt enjamba alors le pas au hommes qui l'emmenaient au prison de la citée angoumoise , son regard se tourna vers Orkaange

j'espère avoir le plaisir de vous revoir au tribunal...Votre beauté ne pourra que illuminé cet endroit austère.

Il se tu et avec la force des gardes qui tiraient sur les chaines il avança au pas


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Mittys auprès des ses ancêtres pour l'éternité

Enfin Sinik leva son épée, à contrecoeur; Soulagée, Orka aidée de Miss mit les fers aux pieds et aux mains de Myttis, afin d'éviter qu'il ne s'échappe de nouveau. Sinik les regardait faire, pas encore calmé

J'espère que le tribunal te réservera une sentence plus douloureuse que celle que j'aurais pu t'infliger ici.

Bon, on ramène monsieur à la caserne, pour préparer son départ pour Périgueux.

je vous remercie de votre .... votre sagesse sire . Vous auriez fait un bon réformé

A ces mots, la troupe grossie par la foule qui s'amassait autour d'eux se mit en branle vers la caserne pour confier Myttis aux geoles de la prison de périgueux. Elle marchait derrière, la tête basse, pensant à cet homme qui gisait dans son sang plus loin là bas, à sa femme et à ses enfants qui ne le verraient pas revenir ce soir, à sa ville qui de tranquille virait à l'enfer ces derniers temps. Tout à coup, l'unijambiste se retourna vers elle et lui lança


j'espère avoir le plaisir de vous revoir au tribunal...Votre beauté ne pourra que illuminer cet endroit austère.

La blonde qui était restée étonamment calme jusque là sentit la moutarde qui lui montait au nez

Le plaisir?,Messire, je ne suis pas sûre que cela sera un plaisir pour vous. Seule la courtoisie la plus élémentaire me retient de ne pas vous dire ce que je pense de vous. Vous auriez mérité de mourir dans d'atroces souffrance lors de la bataille d'Angoulême. Des angoumoisins vous ont soigné, et permis de vous remettre. La ville vous a accueilli, vous et votre taverne, et je vous permet au moins d'avoir un procès et de ne pas mourir comme un chien, égorgé en place publique, comme le garde que vous avez assassiné tout à l'heure.. Et vous osez continuer à jouer les matadors?? gardez votre salive pour le tribunal, vous en aurez besoin.

Elle se tut , emboitant le pas aus gardes qui emmenaient le futur condamné vers son destin (ouééé c'est ton destin^^pff crevée moi chuis nulle) qui elle le pensait, ne serait pas très rose, ni peuplé de papillons et d'étoiles
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Schmitt qui venait tout juste de terminer son éloge vers la dame avec une certaine moquerie de la coquetterie local , vit celle-ci répondre avec une certaine virulence .Chose qui fit sourire le Hohenstaufen , cela était sans doute assez étrange au vue dans la situation ou il se trouvait...Mais il aime tellement à se moquer de la douce et lente réalité.

Sur la place publique , les badaud , les manant , marchant et autre artisan épiaient la scène depuis le début et sous des hourra du peuple local...un peu moins des marchands que se fit le départ du franc-comtois escorté par la Garde de la ville. Quelques heures plus tard , Mittys passait sa dernière nuit dans la ville qui l'aurait accueilli durant tant de jours de souffrance.



[Chapitre second : Un char vogue vers Périgueux]

Au dehors le soleil devait avoir fait son apparition , sans doute l'heure pour les plus fêtard et habituer des tavernes d'aller se coucher. Mittys lui venait de quitter les trois murs et ses douze barreaux une vingtaine de minute auparavant et fut jeté dans ce char qui devait le mener vers la cours de justice du comté.

De l'intérieur seul très peu de lumière filtrait , l'endroit était sombre et humide , même pas sur que CaterPillar aurait aimé se disait-il . Assis par terre , regardant un bout de mois légèrement décroché qui voyait coulé en son long la neige quelque peu fondu vers l'intérieur de cette prison roulante . Au dehors il semblait y avoir quelque personne et plusieurs chevaux , sans doute une escorte comtal bien armée afin d'amener le truand vers son procès sans aucune intervention de quelques amis du meurtrier de la veille.

Schmitt reclus sur lui même tel un fœtus frissonait durant ce voyage , mantel et cape lui avait été destitué lors de la mise au fer au sein des geôle angoumoise . Il était maintenant habillé d'une paires de braies et d'un habit donné habituellement au personne devant passer au pilori , chose qui ne rassurait pas l'ancien général mais qui l'amusait tout de même.
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Mittys auprès des ses ancêtres pour l'éternité

Depuis qu'on avait mis l'unijambiste dans le char, Miss trouvait le temps bien long jusqu'à Périgueux. Se disant à chaque pas de son cheval *pourquoi tant d'égard pour un assassin de soldat*

Le convoi se déplaçait lentement et le prisonnier ne devait pas être à son aise, il faisait froid, la route était chaotique et à chaque nid de poule le char tanguait dangereusement.

Miss en avait raz le bol, elle n'avait qu'une hâte c'est que l'on dépose le colis à bon port et qu'on n'entende plus parler de lui, même Orka ne pipait mot et encore moins Lulu.

D'un autre côté, Miss n'était pas rassurée, il y avait eu beaucoup de monde pour assister à l'altercation en place d'angoulême et il devait bien y avoir quelques acolytes du bonhomme a avoir assisté à la scène. Miss jetait des regards de temps à autres derrière eux, s'attendant à tout moment à une attaque de gredins voulant délivrer leur ami
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Le char sautillait tel un gamin qui venait de recevoir son dernier jouet. Mittys n'était vraiment pas à son aise et essaya de voir par la fente de bois qui laissait pénétrer ce brin de lumière il ne vit que le ciel, toujours aussi gros , toujours morose .

Le franc-comtois se laissa retomber sur le sol dur de chêne , s'approcha de la porte par laquelle il avait eu l'honneur d'être projeté à l'intérieur de sa prison sur roue.

Eh ! Vous la dehors ? L'est bientôt fini ce calvaire de chemin ?

Il se recula un peu de la porte craignant une entrée fracassant d'un des gardes pour l'assommer . Le char continuait sa trotte , personne ne semblait vouloir lui répondre , alors que les bruits de la campagne était toujours aussi atroce , des bout de bois qui se brisait , le vent qui sifflait , une vrai ambiance de cimetière.

Eh , z'allez répondre ? ou je dégomme cette porte !

Ce voyage l'exaspérait au plus haut point , et l'impatience guettait .
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Mittys auprès des ses ancêtres pour l'éternité

Orka restait silencieuse, à accompagner le fourgon dans le froid. Elle était songeuse et frissonnante, et jetait des regards en coin à ses compagnons de voyage; Certes le char était bien escorté, et elle se sentait en sécurité entourée de ses compagnons, mais un elle restait mal à l'aise en repassant en revue les derniers événements. L'image du garde baignant dans une mare de sang ne quittait pas son esprit. Depuis un mois, les violences devenaient presque quotidiennes, et Ork se demandait si Angoulême allait un jour retrouver la paix. Tout à coup, un grand bruit se fit entendre de l'intérieur du fourgon, avec des cris

Eh ! Vous la dehors ? L'est bientôt fini ce calvaire de chemin ?

Eh , z'allez répondre ? ou je dégomme cette porte !

Voyant que personne ne réagissait Ork, se rapprocha de la porte comme elle pouvait

Ben messire, non pas encore bientôt.. prenez votre mal en patience, je ne suis pas sûre que vous vouliez arriver si vite que ça; Quant à moi le temps me tarde d'arriver. Mais peut etre que le temps passerait plus vite si nous discutions un peu..La pluie et le beau temps, peut être, à moins que vous n'acceptiez de parler des questions qui fâchent...
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Quand on est plus de quatre on est une bande de cons. A fortiori, moins de deux, c'est l'idéal.

Schmitt dans sa cage boisé eut enfin une réponse extérieur , cette voie ne lui était pas inconnu , une des gardes de Angoulème venait à lui répondre.

Hum !...les douces dames angoumoise ont eu l'honneur de m'escorter au chateau comtal ? quel plaisir

Un rire presque diabolique quitta le fond de sa gorge pour résonner dans le char , il était assis contre la porte à lancer un bavardage qui il l'espérait ferait passer le temps jusqu'à cette arrivée en la capitale

Vous savez , je préfère très vite en finir....Et puis je ne crains rien , le Très Haut est toujours avec les justes , de Genève jusqu'au bout des terres connus. Il repensait à cet instant au propriétaire de la pension des mimosa et de son éternel bonne humeur réformatrice

Vous croyez vraiment qu'ils vont osez défier l'honneur des Vilains au point de me trancher la gorge en votre capitale ? Il rit en s'écoutant parler Vous savez tout comme moi qu'ils ne feront jamais un tel acte ,...vous avez bien trop peur d'un retour inattendu des rescapé de la bataille de Angoulème.

Pour le Hohenstaufen , aucun doute n'existait , il serait renvoyé à la frontière sans armes , sans bien , mais cela ne le gênait guère . Une fois qu'il aurait quitté ce comté il ira se remplir les poches ailleurs et continuera son combat pour la Réforme.
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