Mahaut
Et vous, Damoiselle Mahaut, je vous autorise à vous asseoir auprès de votre promis. J'aime voir les gens heureux autour de moi. De plus, vous devez être fatiguée de masser ainsi mes épaules douloureuses. Je vous libère de votre charge.
Hé mais nan ! Nan ! Elle devait bouder encore 43 jours normalement ! C'était comme ça qu'il fallait faire ! C'était comme ça qu'elle avait toujours fait en tous cas. Bon à la réflexion était-ce le moment de rehurler, de repleurer etc. ?
C'était toujours amusant, certes, mais vue la situation, Presque Père risquait de se mettre soudainement à oublier le lien de parenté qui les reliait. Pour autant qu'il existât, évidemment. (notez un peu l'accord ^^)
Bref, c'est sans grande motivation qu'elle alla s'assoir à côté de Matpel, toujours en gardant la bouteille. Petit froncement de sourcils d'Elayne. Pfff. Elle servit le Baron de Monbazillac avec un sourire forcé-mais-poli.
Ou peut être pourriez vous reprendre du début afin que je puisse suivre ? Cette histoire a l'air passionnante.
Elle écouta le silence s'appesantir un instant. Y'a pas à dire, les soldats, même quand ils sont chefs... Elle lui tapota la main.
Je vous raconterai, Baron, je vous raconterai. Un jour.
"Quand vous serez à terre à vous tenir l'entrejambe" pensa t-elle intérieurement. L'idée la ravit et elle lui fit un grand sourire.
Allez-y, pèr... Comte, nous sommes pendus à vos lèvres. Façon de parler.
Hé mais nan ! Nan ! Elle devait bouder encore 43 jours normalement ! C'était comme ça qu'il fallait faire ! C'était comme ça qu'elle avait toujours fait en tous cas. Bon à la réflexion était-ce le moment de rehurler, de repleurer etc. ?
C'était toujours amusant, certes, mais vue la situation, Presque Père risquait de se mettre soudainement à oublier le lien de parenté qui les reliait. Pour autant qu'il existât, évidemment. (notez un peu l'accord ^^)
Bref, c'est sans grande motivation qu'elle alla s'assoir à côté de Matpel, toujours en gardant la bouteille. Petit froncement de sourcils d'Elayne. Pfff. Elle servit le Baron de Monbazillac avec un sourire forcé-mais-poli.
Ou peut être pourriez vous reprendre du début afin que je puisse suivre ? Cette histoire a l'air passionnante.
Elle écouta le silence s'appesantir un instant. Y'a pas à dire, les soldats, même quand ils sont chefs... Elle lui tapota la main.
Je vous raconterai, Baron, je vous raconterai. Un jour.
"Quand vous serez à terre à vous tenir l'entrejambe" pensa t-elle intérieurement. L'idée la ravit et elle lui fit un grand sourire.
Allez-y, pèr... Comte, nous sommes pendus à vos lèvres. Façon de parler.