Afficher le menu
Information and comments (0)

Info:
Unfortunately no additional information has been added for this RP.

Nouveau départ, Confession

Minlawa
Le ciel était gris, la pluie menaçait de tomber. Personne n’osait mettre le nez dehors, sauf le Père Minlawa, tout fraichement sortie du monastère.
Il ne reconnaissait plus personnes dans le village, ni même le paysage. Il était temps de sortir de la brume qu’était la retraire spirituel.
Il fit le tour du village, pour mieux cerner l’environnement dans lequel il vivait maintenant car il avait l’intention de faire beaucoup qu’au part avant.
Finit le temps où les remontrances pleuvaient de la part des ses supérieurs, il voulait plus être prit pour un moins que rien, qui ne faisait pas son travail, et qui n’était, au final, qu’un bon à rien.

Il s’assit au pied d’un arbre devant l’église, regarda la porte fermée, visiblement depuis pas mal de temps. N’y avait il pas de curé ? Se demanda t-il. Apparemment non. Il pensant à tous les habitants de Chinon qui n’avaient pas l’occasion d’aller à la messe. Peut-être y avait-il un diacre, mais il n’en savait rien.

Soudain il se souvint la demande qu’une personne lui avait faite, en taverne : « Pratiquez vous la confesse ? ». Evidemment sa réponse fut positive. Il décida donc de se mettre à la disposition des habitants ayant besoin de se libérer de leurs fautes.

Il se leva brusquement, resta bloquer pendant quelques minutes, il n’était plus si jeune, et parti en direction de sa maison pour aller chercher de quoi écrire.
Il revint un long moment après avec une grand pancarte sur laquelle on lisait
"Confesse à toute heure, contactez Père Minlawa "

Il était fière de lui, peut-être allait il pouvoir rattraper les erreures faites dans le passer.
Bitterly
[[Une ballade dans les rues de Chinon]]

Il était environ midi, ou peut-être un peu plus, en tous les cas le soleil - lorsqu'on parvenait à l'apercevoir - était haut ! Bitterly était allée en taverne, dans la matinée. Elle y avait rencontré une certaine Sadnezz Corleone et un certain Ma... Humpf elle n'avait pas trop la mémoire des noms... Minawala ou Maniwala. Oui, c'était ca, Maniwala, ou quelque chose dans ce goût là !

Elle avait fini par partir afin d'envoyer moults et moults pigeons comme d'habitude, mais également pour potasser sur une proposition de traité et d'autres choses tellement confidentielles que mieux vaut ne pas même y penser... On n'sait jamais avec les sorciers.

En tous les cas, lassée, mal au poignet, les doigts douloureux et crispés à force de tenir la plume, elle avait décidé de s'accorder une petite pause et de se ballader dans la ville. Elle avait effectivement lu dans ses carnets que jadis elle venait régulièrement ici voir un certain Kadrick. Qui était-il elle n'en avait aucune idée. Mais si elle y venait souvent, cette ville tourangelle devait valoir le détour.

Déambulant donc en halle chinonaise, la Baronne de Saint Paterne observait les poissons pêchés au lac avec un intérêt non feint. Plus loin, elle put admirer une très belle boutique de vins et ne su resister à la tentation d'acheter une bouteille.

La seule chose qui la désolait quelque peu était que personne ne lui adressait la parole. Elle en venait, tout en marchant, à se demander si elle puait tant que cela, sa derniere toilette remontait tout de même à deux semaines ! Elle devait sentir meilleur que la plupart des gens présents. Soudain, non loin d'un étal de légumes, une affichette attira son oeil. Non pas pour la brillance de l'écriture, mais pour le nom que son inconscient capta comme connu.


Confesse à toute heure, contactez Père Minlawa Pouvait-on y lire. Perplexe elle fila le contacter. Heureusement pour elle, et quel heureux hasard, ce dernier relisait vraisemblablement sa pancarte et était donc juste devant. Jouant des coudes pour s'en approcher - car a cette heure les halles sont bondées de monde - elle le salua.

- Rebonjour messire, vous vous souvenez de moi ? Bitterly, la taverne ce matin... Hé bien, dites donc, j'ignorais que vous étiez prêtre...
_________________
Bannière en cours.
Merci de cesser de lire dans les pensées.
Merci d'éviter le coup bas du post en pensées pour attaquer Bitterly
Sadnezz
[ Une incruste dans les rues de Chinon]

Sad sortait tout juste de sa sieste quotidienne, le visage encore empreint de sommeil elle décida d'aller prendre un peu l'air, béquille en main. C'est vrai que vu comme ça elle méritait fermement son sobriquet de "vielle pleine d'expérience" mais elle s'en moquait. La convalescence était déjà assez dure à supporter comme ça. La matinée s'était déroulée sans trop de soucis, presque habituelle. Quelques clients fuyant son accueil toujours aussi déplorable et ses grognements sur le compte de ses douleurs... Elle avait presque réussit à écouler son stock de bière de noël éventé hors de prix. Tout chemin se faisant, elle poussa malgré tout la chansonnette, éloignant ainsi les derniers téméraires qui osaient s'approcher de par sa voix si... bref.
"Elles vieillissent à petits pas, De petits chiens en petits chats, Les bigoteuuuuh
Elles vieillissent d'autant plus vite qu'elles confondent l'amour et l'eau bénite comme toutes les bigoteuuuuh
Ah si j'étais diable en les voyant parfois Je crois que je me ferais châtrer Si j'étais Dieu en les voyant prier Je crois que je perdrais la foi Par les bigoteuuuuh
Elles processionnent à petits pas de bénitier en bénitier Les bigoteuuuuh
Et patati et patata mes oreilles commencent à siffler
* gronda t-elle en passant devant une mère et son nourrisson braillant et en lui faisant les gros yeux, ce qui le fit encore plus hurler * Les bigoteuuuuh
Vêtues de noir comme monsieur le curé qui est trop bon avec les créatures elles s'embigotent les yeux baissés comme si Dieu dormait sous leurs chaussures de bigoteuuuuh
Le samedi soir après le turbin on voit l'ouvrier parisien mais pas de bigoteuuuuh
Car c'est au fond de leur maison qu'elles se préservent des garçons
Les bigoteuuuuh qui préfèrent se ratatiner De vêpres en vêpres, de messe en messe
Toutes fières d'avoir pu conserver le diamant qui dort entre leurs f...
De bigoteeeeeeuuuuh"


Son entrain stoppa à la vue d'une pancarte. Sad leva le nez, apercevant Milnawa, ou miwlana, bref le clerc du matin et la Bitterly. Elle y alla de son petit commentaire, comme toujours.


Ha si, même que c'est pas un de ceux qui mangent des racines qu'il dit!

Sad prit un air très grave, bien que se doutant de ne pas être comprise.

Vous faites la queue pour la confesse Bitterly? J'vous voyais pas adepte des bondieuseries.

Elle lacha un petit rire nerveux et reprit appui sur sa béquille.
_________________
Bitterly
Une voix féminine qu'elle avait déjà ouïe auparavant la fit se retourner sur : Sadnezz. Le trio du matin déjà réuni. Waow, à croire que parfois le destin... Le destin quoi ? Mouais bref.
Petit sourire à la tavernière de La garce aux nières.


- Hé bien rebonjour. Pas de racines ? Mmmh la soupe de racines c'bon...
Huhu.


A la deuxième remarque de Sadnezz, la Vendômoise redevient perplexe. Ca lui arrive souvent on notera.


- Bah j'en sais rien à dire vrai, mais j'sui baptisée, pis j'suis pas pour les amuseries fin j'veux dires les amusements privés avant mariage, j'suis prude sur ces choses là comme dirait Jades. Fin euh ouais donc j'suis pas forcément la femme la plus pieuse du Royaume, ni la plus généreuse ou je ne sais quoi d'autre, mais je suis baptisée donc je vais à l'eglise uhhu. Cela dit là j'avoue que c'est juste parce que je connaissais le nom que j'me suis approchée, j'ignorais qu'il était membre des ecclesiastiques. Donc curieuse que je suis, je venais m'enquérir des faits héhé.

Et vous ? Vous venez faire confession ?


La brune se frictionna les épaules, il caillait grave quand même.
_________________
Bannière en cours.
Merci de cesser de lire dans les pensées.
Merci d'éviter le coup bas du post en pensées pour attaquer Bitterly
Sadnezz
Sad appuya les déclaration de Bitterly par des "mmmmh" et des hochement de têtes , froncement de sourcils et autres onomatopées de rigueur. Elle évita tout de même son air vénérable, la d'moiselle semblait bel et bien avoir quelques trous de mémoire, mais pas être de celle à qui on la fait.

Ouep ! La confesse , tout à fait! D'ailleurs allez hop, M'sieur l'curé, c'est quand vous voulez , où vous voulez, je suis à vous.


Sad toussota un peu.

Pour.. La confesse. n'est-ce pas.


Elle brandit un chapelet qu'elle sorti de l'une de ses poches trouées et lui fourra presque sous le nez pour appuyer qu'elle était fraîche et dispo, parée pour un entretient avec le Très Haut. D'un geste presque innocent, elle poussa une petite vieille qui lui collait un peu trop au train, surement candidate aux bonnes grâces du seigneur.

Doucement ma p'tite dame, chacun son tour, vous l'aurez vot' part de propreté d'âme, pas la peine de ... Comment? Mais elle va se calmer la vioque, croyez bien que ce chapelet n'a pas vu que des tours de cou, j'vous conseille de surveiller votre langage.


Chapelet au poing, elle fit les petits yeux à la vieille peau qui grommelait derrière et se retourna , toute sourire vers le clerc.
_________________
Minlawa
A peine eut il le temps de se relire, que des personnes se pressaient derrière lui. Au premier abord, il pensait que ce n’était que pour quelques remarques désagréables, mais après s’être retourner, il constata la présence des deux dames qu’il avait rencontré ce jour.

A bien le bonjour, ou le « re » bonjour !

Il sourit agréablement et écouta quelque peu la conversation.

Oui je me souviens très bien. L’habit ne fait pas le moine !?!

Content de lui, il montra ses jolies dents à toute l’assemblée.

Pour la confesse, c’est quand vous voulez !

Il ne put s’empêcher de rire légèrement. La plaisanterie n’a jamais tué personne.
Il pencha la tête et regarda derrière dame Sadnezz, les gens se bousculaient. Etes-ce par curiosité ou simplement pour se donner bonne conscience ?? Le père n’en savait encore rien, mais il n’allait pas tarder.


Doucement, il va y en avoir pour tout le monde dit-il en regarda la vieille dame toute agitée.
Bon, je suis prêt, reprit-il. C’est quand vous voulez.
Sadnezz
parfait. c'est parti.

Dès ce mot lâché, elle se mit à débiter comme un fût qui fuyait, parlant de plus en plus vite, passant du sourire au presque larmes, du visage grave à l'hystérie.

Alors mon père laissez moi déjà vous prévenir que j'ai péché. Oui oui, j'ai énoooormément péché. D'ailleurs hier je me suis fait20 ecus qui ne furent que le fruit de mon labeur. 20 écus oui c'est peu me direz vous, et je ne savais plus si je devais être fière de moi une fois l'argent en bourse. Vous auriez vu comment j'ai mené l'affaire, en deux temps trois mouvements ce fût peut-être même trop court à mon gout. Quand je l'ai vu, je m'suis dit: " toi mon coco, tu passeras pas entre les mailles du filet! viens voir Sad hin hin hin"je l'ai sérré tellement fort que j'ai cru qu'il allait me rester collé aux doigts, de peur qu'il ne parte trop tôt et me laisse comme une imbécile, la belle affaire! Vous savez, à mon âge, on a plus trop l'occasion de faire de telles rencontres! C'est que j'ai des douleurs dans le dos tous les soirs, je peux vous dire que depuis j'en ai de ces courbatures! Ho je sais, vous pensez que c'est de l'argent facile, mais vous savez aussi bien que moi que les temps sont durs! je le vois encore frétiller, l'oeil brillant, pour sûr que la prochaine fois il passera par deux fois à la casserole. Bref une fois l'argent empoché, je n'ai pas résisté à le dépenser en vinasse, que d'ailleurs j'ai mis de coté pour la prochaine fois ou je devrais me faire arroser comme ça, un petit remontant apres l'effort quoi. Tirer comme ça, c'est une hérésie, ça engourdit les guiboles et raffermit le fessier, mais qu'est ce que ça crève! Encore un peu et je me faisait un tour de rein. Alors pardonnez moi mon père car j'ai péché je le confesse, J'ai vendu ce brochet en faisant croire à un goujon de chine - qui n'existe même pas d'ailleurs- , et ai empoché 20 écus au lieu des 8 qu'il valait en réalité.


Elle reprit son souffle et ramena une mèche collée à son front empourpré derrière son oreille.
_________________
Ruthenix
c etait le période préféré de ruthenix . c etait l heure de la levé des impots ,ce matin la il partit donc faire le tour des fermes environnantes avec une paire de garde ,en espérant que la cueillette fut bonne . il avait arnaché son ane reménoussa de deux gros sacs qu il espérait voir rempli a son retour .
mais la réalité fut tout autre ,les paysans commençaient a connaitre le bonhomme et prenaient un malin plaisir a planquer leurs écus dans les endroits les plus divers. malgré les paillasses retournées,malgré avoir retournés des tonnes de terre,malgré les touchés rectals ,ce matin la ,cueillette d écus fut bien maigrichonne.
le cac de touraine revint au village furibond quand il tomba sur une affichette . qu il essaya de lire

con.. con.. con.. fes fes fesse?fesse?hum ,arf encore une de ces fille de joie qui cherche des clients. a non confesse a tu touttoutou tout heu heuuuu reuuuh heure .CONFESSE A TOUT HEURE ,MORTECOUILLE c est ca qu il me faut un cureton

ruthenix ce mis donc de suite a la recherche de l homme d église ,en arrivant sur les halles il vit un attroupement il fendit la foule tout en braillant

laissez passer ,bande de vaurien ,urgence,c est une question de vie ou de mort.

il bousculait tout le monde pour se faire un passage,passant meme devant la baronne de saint paterne qu il ne reconu pas dans sa furi,il arriva enfin devant le saint homme qui écoutait une dame qui semblait etre la tenancière de La garce aux nières .fi de toute manière et sans aucune gène il l apostropha.

allez hop hop hop donnez lui trois ou quatre notre pere un ou deux ave aristote qu on en parle plus.faut que vous m aidiez a ramener tout ces paysans a la raison ,ils me privent de mon bel argeeeeeeeeennnnt.ils vous ecouteront vous monsieur l eveque
Sadnezz
Sad qui voyait le père se concentrer pour lui accorder le pardon fut tout à coup sortie de ce moment de communion avec le très haut par la laide voix d'un homme. Elle ouvrit de grands yeux lorsqu'elle l'entendit débiter ses phrases et le serina du regard en se retournant vivement.

Non mais HO ! C'est ça la politesse Chinonaise ? J'vous botecule moi quand vous faites votre travail? allez donc fatrouiller ailleurs ventre dieu! V'voyez pas qu'on est occupé?!!

Elle se détourna de l'arriviste et en haussant les épaules marmonna:

Pis depuis quand il est évêque notre curé tsss ? J'ai du rater un truc moi.


Ha quel manque de politesse! Elle ne supportait pas trouver plus impoli qu'elle, l'idée avait le don de la faire grincer des dents. Sans le regarder, les yeux fixés à ceux du curé elle acheva par un:

Une petite confesse vous ferez pas d'mal mon petit bonhomme, à mon avis vous fréquentez point trop les bancs de l'église vous....

_________________
See the RP information
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)