Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 25, 26, 27, 28, 29, 30   >   >>

[RP] Eglise du Feu d'Albi

Fofinha
Fofinha, qui etais sur le chemin pour venir a l'eglise, a etendu les cloches qui sonne, voilà quelque chose qu'elle n'avez pas entendu depuis logtemps...

Elle acoura jusque là, car voilais pas arrivée en retard, une fois dedans elle regarde partout et apreçois Bouche qui est present, tiens voilà quelque chose de neuf, se n'est pas de ses habitude d'etre dans ce lieu, elle va s'assoir a coté de lui en etant discrete car voulais pas pertubé la messe et les presentation se Monseigneur Ijarkor....

Fofinha l'ecoute parlé du plus vieux péché du monde,à vrai dire elle n'avez jamais entendu parlé, mais elle etais sur d'une chose c'est qu'il fallais travaillé,s'occupé de soi et des autres, mais...profité aussi des noubreux plaisir que la vie nous offre.

Elle regarde Bouche et sourit.....
Ledigue
Le Digue entra dans l'église, son fils dans les bras.
Son chien aristotélicien, Dagobert,
Dut tout de même rester au-dehors et attendre sur le parvis.

Ils prirent place, écoutant l'évêque de Rodez, en ce lieu vaste et silencieux....
Le bonheur particulier et le bien de la communauté... oui, en effet...
Agir pour soi dans la sphère privée et cela, que jamais ne soit au détriment de la cité, bien au contraire...

A la fin de l'office, il ira saluer celui qui tient un si plaisant discours.

Ensuite, il irait voir ses champs dorés le soir, pour discuter avec ceux qui y auront travaillé.
Puis il ira avec plaisir dans sa boulangerie pour préparer bois et farines.

Le soir, en sa maison Saint-Biose avec sa tendre et douce et son fils Diwan, ils dîneront avec plaisir, à la lueur des chandelles, dégustant les légumes de leur potager, les fruits de leur labeur.
Avec joie, plaisir, sourire, bonheur.
Au coucher, il livrera ses pensées dominicales avec sa Bourginette, celle qui partage sa vie, en Albi.
Fregouille


Les grosses cloches d'Albi sonnaient pour la première fois depuis de longues semaines...
Curieux, Freg se dirigea vers l'église...

Encore un curé de passage, songea-t'il...

Il fut à peine surpris lorsqu'il se rendit compte qu'il s'agissait d'un évêque...
Il ne pu s'empêcher de repenser à ses amis évêques, parti rejoindre le Très Haut...
Décidément, les hommes de Dieu lui semblaient faire des passage de plus en plus bref sur cette terre...

Il entra et se plaça sur un banc pour écouter la cérémonie et pria

_________________
Ijarkor
Tout en parlant, Ijarkor regardait les paroissiens. Certains écoutaient... religieusement, vu que c'est l'expression consacrée. D'autres faisaient la grimace, et semblaient agités de diverses pensées, mais celles-ci restaient bien au chaud dans leur crane, et paraissaient incapables de franchir le seuil de leur bouche... peut-être s'exprimeront-ils plus durant la communion, pensa l'évêque.

Justement, le moment de la prière étaient passé, et celui de la communion arrivait.


Et maintenant, partageons ensembles ce repas et par cette communion, manifestons notre Foi et notre espoir de voir la véritable amitié aristotélicienne régner sur le monde. Et que ceux qui souhaitent entamer le dialogue, quel que soit le sujet, qu'ils n'hésitent pas à le faire. Car c'est par le dialogue que l'esprit s'enrichit de la connaissance de l'autre, et ainsi le pratiquait Aristote, jadis, en son académie.



Et Ijarkor fit signe aux paroissiens de s'approcher, afin de partager un frugal repas à base de pain, de vin, d'un jambon et de quelques fromages qu'il avait amené du Rouergue.
_________________
Ciboulette
Ciboulette entendit le son des cloches, son qu'elle affectionnait particulièrement ! Noon !?! Que se passe t-il ?
Cà réveille un village çà ! tiens !

Elle se prépara en toute hâte...puis se mit à courir...mais juste devant la porte... se prit les pîeds dans sa robe et patatra sur les marches de l'église !

Ouïlle ouïlle ouïlle ! Sa robe se déchira, elle s'égratigna les genoux.
Mais qu'à celà ne tienne, s'il y a une messe, elle y sera !
Elle était déjà assez en retard comme çà !
Elle irait ainsi et se soignera après !

Elle ouvrit la porte au moment ou un homme en sortait ...oh zut c'est déjà fini ?...se dit-elle
Elle entra
Un messe ! oui c'est une messe !
Elle aperçu au loin l'officiant : leur évêque ! il était venu en personne !

Elle s'installa discrètement car le moment du partage de la communion avait commencé...
Elle saluerait leur nouvel évêque Ijarkor, à la fin de la messe.

_________________
Bouchenbiais
Tout décontenancé par le sermon du prêtre, Bouche était sorti après avoir adressé un clin d'oeil à Fofinha, qui était venue s'assoir à ses côtés.

Sur le perron de l'église, il voit une belle dame, qu'il n'a encore jamais rencontré, se précipiter tellement à la messe que la pauvrette se prend les pieds dans sa robe et en tombe, s'égratignant, au passage, ses frêles genoux sur la pierre dure des marches.

Catastrophé, il vole à son secours, frotte un peu sa main noire sur sa tunique, toute aussi crasseuse en vérité, et la lui tend volontiers dans un geste secourable. Voyant la maladroite inquiète de sa sortie, il souhaite la rassurer.


Ne craignez rien damoiselle, je suis un fort mauvais sujet d'aristote, mais l'office est toujours en cours.

Pour éviter à l'inconnue d'entrer dans l'église à cloche-pied, il lui propose son bras pour l'accompagner à sa place.

Pas très content de rentrer dans l'église pour la seconde fois, Bouchenbiais fait la moue et après avoir accompagné la dame jusqu'à son banc, il retourne s'assoir auprès de sa gentille Fofinha.

L'évêque en termine alors justement avec le sermon et commence à sortir moultes victuailles qu'il dépose sur ce que Bouche nommerait une table, quand d'autres l'appellent l'Autel.

Le gaulois Bouchenbiais se frotte le ventre et se lèche les babines d'avance. Finalement, il se pourrait bien qu'il ne regrette pas d'être resté encore un peu car il ne mange que tous les deux jours et autant de nourriture réunie en un seul endroit, pourrait conduire un saint à la damnation.

Chacun, s'approchant du "buffet" et allant de son petit commentaire sur le sermon de l'évêque et sur la foi qui l'anime, Bouche se garde bien de l'ouvrir et commence à piocher discrètement mais d'une main assurée. Un verre de vin à la main, dans l'autre une belle tranche de pain avec du fromage, le tout surmonté d'une épaisse tranche de jambon, il regarde incrédule autour de lui et a les yeux qui sourient à la place de sa bouche pleine, trop occupée à mastiquer.

Un Grand aurait dit un jour que "Paris vaut bien une messe". Bouchenbiais ne regrette pas cette messe là en tout cas, il espère bien pouvoir se rassasier encore un peu.
Missie
Missie entra dans l'église se fie toute discrète pour pas déranger les autre se mie tous au fond derrière une colonne.
N était point devotte oublier toujours d aller a la messe.

Écouter et priez vaguement passer parfois pour déposer un cierge se recueillir.

Soupira regardez les vitraux se dit quelle etait mauvaise pratiquante avait bien a faire dans champs,ou son échoppe.
Ramzam
Ramzam en avait un peu soupé des offices, les retraites successives lui ayant donné tout son saoul de prière, méditation, recueillement et lecteures de missels. Mail il fallait l'admettre, un curé à Albi était une surprise, une heureuse surprise. Il se hâta donc de rejoindre l'église et se faufila entre les fidèles. Il trouva une petite place non loin de Bouchenbiais et recita son credo a voix basse.

--Ziste




Ziste et ses compagnons étaient arrivés assez tard dans la soirée...
Après s'être arrêté à la tour de guet, où ils n'avaient croisé personne, Ziste se dirigea vers l'église de la ville, point de repère et lieu de rencontre évident pour lui...

Il poussa la lourde porte de l'édifice, celle-ci grinça sous son poids...
Cette maison de Dieu semblait avoir été visitée il y a peu, des bougies et des cierges brûlaient encore dans la nef...
Pourtant, à bien y regarder, Ziste avait l'impression que ce lieu n'était pas des plus courrus...
Le curé de la ville était il, comme il en avait connu tant, homme à se perdre dans moultes activités, plus que dans la prière, le travail et le recueillement ?

Ziste espérait bien rencontrer quelque habitant pour se faire indiquer ce qu'il cherchait...
Il s'inclina respectueusement face au choeur puis alla s'asseoir pour prier quelques instants.
--Ziste


Après avoir passé un long moment à prier silencieusement,
le père Ziste redressa la tête, toujours encapuchonné, pour constater que rien ni personne n'était venu troubler sa prière.

Il appréciait de prier dans le calme, mais il était resté dans cet édifice depuis un bon moment et le fait qu'il ne fut pas troublé lui rappela ce que lui avait dit la jeune femme à l'hospice...
*Cette ville doit être bien malheureuse...*
*Que font donc les authorités religieuse ?...*
*Sans doute trop occupé à courrir après quelque pouvoir ou authorité politique...*

Ijarkor
[ Messe du dimanche 3 octobre ]

Cloué au lot par une fièvre catarrhale, Ijarkor était resté plus longtemps qu'il ne l'aurait voulu à Albi, et sans même pouvoir profiter des distractions offertes par les lieux. Il devait maintenant reprendre la route vers Castres, mais il ne le ferait pas sans dire une dernière messe.

Encore un peu faible, il monta péniblement au clocher afin de sonner le début de l'Office.




Puis il redescendit, et en attendant les paroissiens, il s'occupa d'ouvrir et d'aérer le vin de Gaillac qu'il allait verser dans le calice pour la communion. Car que diable ! se disait-il. Il y a quelques jours, c'était la Sainte-Boulasse ! N'était-ce pas la sainte qui avait dit « C’est pas parce que la communion est gratuite, qu’il faut se moquer des fidèles et distribuer du picrate » ?

Une fois tous les fidèles installés, Ijarkor put commencer la cérémonie.

Fidèles d'Albi, bienvenue dans cette Eglise, qui est l'un des lieux remarquables de notre cité. Mais ce n'est pas le seul, et il en est d'autres qui participent à la vie joyeuse de votre cité, et apportent un juste bonheur à ses habitants. Je veux parler bien sur de Tavernes.

Alors, en récitant le Credo, ayons tous une pensée pour les Taverniers et propriétaires de tavernes albigeoises. Qu'Aristote bénisse vos tonneaux et que Christos pardonne les excès de ceux qui les vident !



Vous savez tous pourquoi ce jour je parle des Tavernes et des Taverniers : c'est parce qu'il y a quelques jours, le 21 septembre, c'était la Sainte-Boulasse. Cette Sainte, qui sut concilier Religion et Oenologie, n'eut jamais de crise de Foi ! Voici sa vie, telle que les Saint-Pères de l'Eglise l'ont consignée:

Vie de Sainte-Boulasse a écrit:
La jeune Boulasse est né en 552 à Beaune en Bourgogne. Ses parents, païens, tenaient une taverne respectable sur la place du marché, la « Taverne des Hospices » (bière à 0,60 écus et menus à 6). Gens sérieux et respectables ils n’en priaient pas moins les idoles et méconnaissaient le message de L’Eglise. Cependant ces braves taverniers s’approvisionnaient en vin et bière auprès des moines des environs et Boulasse qui s’occupait de la réserve avait de fréquents contacts avec eux.

Comme elle était ouverte et intelligente, les moines l’initièrent, à la fois à la foi et à l’œnologie. C’est au cours d’une de ses très longues nuits de formation et discussion théologiques dans l’arrière salle de ses parents qu’elle fût éblouie par la lumière divine dans le reflet d'une pinte.

Convertie et sure de sa foi, Boulasse quitta ses parents et choisi la voie de l’Eglise. Elle fut formée par un des moines qui l'avaient pris sous leur aile, fort impressionnés par sa force de conviction. Ressentant le besoin impérieux de prêcher pour sa nouvelle foi, elle se fit ordonner secrètement prêtre en 582 , en dépit des interdictions et consciente des risques mais sure de suivre les desseins divins. Ne pouvant devenir curée, elle ouvrit une taverne « au bon croyant » où elle fit des conversions et donna des cours de catéchisme, et même dit-on, elle y aurait baptisé des croyants avec l'aide et le soutien du curé de Mâcon.

Rompue aux prêches de grande écoute et gérant sa taverne de main de maître, elle eut une action missionnaire d’envergure sur la ville et convertit les masses à la vraie religion. On se souviendra longtemps de son action charitable envers les vagabonds et de l’organisation de ses quiz religieux en taverne avec ses lots de bière à gagner.

Après avoir converti la plupart des habitants de Mâcon, Boulasse ressentit le besoin de voyager et de propager le message d’Aristote. Elle dirigea ses pas et son chariot plein de pains et de vin vers le pays alamand voisin, dans le SERG actuel, , pour les initier au repas de l’amitié aristotélicienne.

Cependant les habitants furent moins réceptifs à sa prédication et elle se trouva face à un roi cruel et païen, Childehald, qui refusa de renier les faux dieux de ses pères. Ne se décourageant pas , la sainte prêcha en public, construisit la première église à Cologne et voulut créer une taverne pour faciliter sa sainte tâche missionnaire.

Mais Childehald ne l’entendit pas ainsi et prit un arrêté anti-prédication. Boulasse l’ayant enfreint, elle fut déférée par le procureur et condamnée pour haute trahison. La sentence d’éradication devait être exécutée en place publique, pour édifier la population, et en utilisant l’outil de son crime : ses saintes victuailles. Le bourreau lui fit boire de force du vin en grande quantité mais la sainte ne faiblissait pas, soutenue par Aristote, elle supportait vaillamment son martyre, tout en prêchant encore depuis l’échafaud.

Childehald, fou de rage, décida d’en finir et ordonna de la noyer dans le dernier fut de Hautes-côtes de Beaune qu’il restait.

Quand on retira Boulasse du fût, son visage resplendissait de bonheur. Devant ce spectacle surprenant, Childehald fut frappé de repentir et, touché par la grâce, il se converti et fit convertir tout son peuple. Ayant accompli sa tâche terrestre et ouvert la voie à la conversion des alamands, Boulasse décida de cuver tranquillement auprès du Seigneur et de rejoindre le soleil.

Depuis, Sainte Boulasse est devenu la patronne des vignerons et surtout des Taverniers et elle est encore invoquée par ceux-ci ou par leurs clients lorsqu’ils doivent faire face à une soirée harassante de travail ! Il n’est pas rare d’entendre dans nos Tavernes, l’exclamation familière et pleine d’affection pour la Sainte : « Que la Boulasse soit avec toi ! »



Illumination de Sainte-Boulasse par la Divine Bière

Ce que nous apprend ce récit, c'est que le Vin et la Foi peuvent faire bon ménage, et qu'il n'y a pas de mauvais lieu pour adorer le Très Haut. Ses bienfaits se manifestent dans toutes les merveilles de l'Univers, et les boissons finement brassées en font partie.

Mais de même que l'Amour de Dieu ne doit pas détourner l'homme et la femme des autres préoccupations de la vie, et en particulier de l'Amour des autres, l'Amour de la Boisson ne doit pas être trop exclusif et conduire à une ivresse trop intense. Car si le Créateur nous a donné un esprit, ce n'est pas le perdre en l'imbibant d'alcool. Aussi, sachons apprécier la bienfaits des tavernes avec modération !

D'ailleurs, je vous conseille un truc: le Foilcotest ! Après quelques verres à la taverne, récitez-vous le Credo. Si vous pouvez le faire sans bafouiller, vous pouvez continuer à boire... sinon, c'est qu'il est temps de saluer la compagnie et d'aller retrouver son logis.

Ijarkor marqua une pause, puis continua sur un autre sujet.

Pour ma part, après quelques semaines passées dans votre cité, il est temps pour moi de continuer ma route pour visiter les autres paroisses de mon diocèse. Je vais donc partir pour Castres, mais je repasserais ici à mon retour.

Durant mon séjour ici, des albigeois sont venus me demander si je pouvais nommer un curé ici. Malheureusement, aucun n'est venu se proposer pour servir l'Eglise, que ce soit comme curé, diacre, ou même simple sacristain. Je ne peux donc pas faire grand chose... mais je reste à la disposition de quiconque voudra se consacrer à la vie spirituelle de ses concitoyens. Qu'il n'hésites pas à m'écrire dans ce cas.

A présent, je vous invite à venir communier en toute amitié aristotélicienne... d'autant plus qu'il y a dans le calice un cru 1441: une excellente année comme chacun sait !

Et Ijarkor rompit le pain qu'il partagea entre les fidèles qui s'étaient rapprochés de l'autel.



Je rappelle que le Droit Canon - malgré son nom - ne permet pas de communier plusieurs fois ... mais que les Tavernes restent ouvertes le dimanche !

Alors bon dimanche et Allez en Paix
_________________
Ramzam
Ramzam vînt à la messe, trop heureux d'avoir enfin un prêtre pour officier. Il ecouta attentivement le sermon de ce drôle de curé et fut fort interéssé par l'histoire de Sainte Boulasse. En tout cas, ça le rassurait sur son sort, etant lui-même loin d'êtee faché avec la bonne vigne du tres haut. Il se recueillit pour reciter le notre père...





...puis vînt communier devant l'autel. Ensuite, il alluma une cierge pour la paix de la ville, du royaume et de son âme.




C'était une belle journée que ce 3 octobre 1458...
Fregouille


Fregouille entendit le son des cloche de cette bonne vieille église...
Le fait était de plus en plus rare par ces temps troublés...

Il se précipita vers l'édifice, se signa et alla rejoindre un banc.

Il récita le crédo avec ferveur puis écouta le sermont du curé de passage.
*Fort intéressante cette Sainte Boulasse...*



Freg écouta donc la suite de la cérémonie, attendant que le curé ait terminé avant de quitter l'église...

_________________
--Ziste


Le vieux moine était resté un long moment à prier...
Sa méditation l'avait amené bien plus loin que ce qu'il imaginait...

C'est l'arrivée du célébrant qui le tira de son recuillement.

Il récita son crédo à la suite du célébrant

puis attendit la fin de la messe, espérant s'entretenir avec lui...
Ijarkor
La messe était terminée, et les Albigeois étaient repartis vaquer à leurs occupations habituelles, ou aller fêter la Sainte-Boulasse en taverne. Seul un moine restait là à attendre.

Ijarkor s'avança vers lui.


Bien le bonjour mon frère. Puis-je vous être utile ?
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 25, 26, 27, 28, 29, 30   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)