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[Vie religieuse]-Eglise "Notre -Dame de Nantilly "

Vendettal
Voilà, nous sommes liés...pour le meilleur, ça c'est pour moi...et pour le pire...ça c'est pour toi .

Vendettal décroche enfin un large sourire niait qui disparaît aussitôt à la vue de l’arme.

Bon, Vendetta, je t'ai forgé une dague mais je me demande si elle fera plus peur que tes dents quand tu es en colère.
je l'ai baptisée Kastoi.


Les yeux presque exorbités et la bouche grande ouverte devant le présent, elle hésite à le prendre, regarde Sarmite pour avoir son approbation, puis saisit d’un geste brusque l’objet en murmurant merci.
Un dague !! Elle en avait rêver… Scotchée devant l’objet, elle reste quelques minutes à le contempler.

Erf, des chausses, un dague, et un bonne Bouteille à partager avec Fizt… Elle réfléchit un instant et se retourne vers sa mère avec malice.


Moman ! On annule le baptême et on recommence dimanche prochain ?

Petit rire moqueur, Vendettal attrape le bras de Sarmite et sort de m'église.

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Vendettal Charnée-Chandos de Penthièvre
---fromFRFitzounette
Les conditions dans lesquelles Fitzounette fut baptisée sont rocambolesques. Faut dire que la blonde n'a pas une mémoire suffisante pour se rappeler de tout les évènements qui doivent émailler son existence. Toujours est il que grace à la bienveillance de sa maternelle, et baldinguée comme un paquet de linge sale, elle avait quand même reçu le baptème. Une gratouille de papy et un petit mot de Chabinne plus tard, l'existence reprend son court normal. Un petit sourire mielleux à papy tout de même :

Je croyais que j'étais ta préférée ! Pourquoi tu es la marraine de Vendettal ????
Je veux des sous

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Fitzounette est un papillon de lumière !
Messiah
[ Devant l'Eglise ]

Assis sur un rocher, une choppe à la main, Messiah attend, se demandant pourquoi il est venu.

Il était tranquillement installé en taverne quand on lui avait dit que ce soir les deux gamins de son ami le Duc de Charnée se faisaient baptiser.
Il était donc venu immédiatement aux alentours de l'Eglise, espérant voir quelques amis susceptibles de venir boire une petite choppine avec lui.

Seulement, une fois devant le bâtiment, aucun mouvement à signaler, seuls quelques bruits s'en échappent.
Espérant toujours trouver un compagnon de beuverie, Messiah s'est donc installé sur un rocher grognant dans sa barbe :


Se faire baptiser ! Mais quelle idée ! *BURP* Ils vont finir par mal tourner ces deux là, vont finir cureton et *HIPS* bonne soeur !

J'espère au moins que y'aura quelqu'un là dedans qui veut *HIPS* boire un coup


Des chants s'échappent de l'Eglise, continuant à maudire les jumeaux d'avoir eu une aussi mauvaise idée, Messiah attend que la cérémonie finisse pour voir enfin les gens sortir.
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Vendettal
Les portes de l'église passée, Vendettal aperçut un homme assis sur une pierre. Il avait l'air déjà saoul et en y regardant à 2 fois elle le reconnut. Un petit sourire en coin, elle l'interpella :

Hey!! Messi! t'es venu ?
Rhooo mais t'as commencé sans moi ? Erf!
Bon j'espère qu'il te reste des écus pour me payer à boire! Aller viens, il parait que j'ai un truc à fêter !

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Vendettal Charnée-Chandos de Penthièvre
Mmelamarquise
Marquise était de passage à Saumur. Arrivée ce matin, il était fort possible qu'elle reparte ce soir. Mais on était dimanche. Il était impossible pour elle de ne pas aller communier en ce jour. Et pourtant, elle se souvenait qu'il n'y avait pas de curé à Saumur.
Peu importe, elle prit la direction de l'église. Les portes étaient ouvertes. Quelques badauds entraient et sortaient de l'édifice mais point de curé en vue. Dommage.

Marquise entra à son tour, se signa et ouvrit des yeux curieux sur ce qui l'entourait. Elle aperçut de jolies statues, dont une de Maria qui l'attira aussitôt. Marquise sourit, pensa à sa fille qu'elle avait laissée aux soins de la nourrice à Durtal. D'autres pensées allèrent à son autre fille, laissée quant à elle aux soins du Très Haut.

Après quelques instants, Marquise s'assit sur un banc et ferma les yeux. Elle s'agenouilla ensuite, pria beaucoup. Pour Kask, pour Liloche, pour Idaline, pour Jule et Lilou, pour elle aussi, et pour l'Anjou.

Lorsqu'elle eut termina, elle jeta un dernier coup d'œil autour d'elle, et s'en alla.

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Marquise, Baronne de Durtal

Je ne porte plus le deuil, mais je vous porterai toujours dans mon cœur.
Feemelusine
Bonjour,

Je souhaiterai être baptisée dans les meilleurs délais, y aurait il un curé a Saumur? Mon doux Jayjay me voudrait pour femme et je ne peux pas lui refuser car depuis le temps qu'il attend, je l'aime et j'espère plus que tout être son épouse, dites moi vite qui je peux contacter; Merci d'avance.
Mariee_laig
Mariee arriva doucement dans l'église de Saumur et un sourire éclaira son visage. La jeune femme s'assit sur un banc, ferma les yeux et se mit à genoux pour prier. Depuis longtemps elle était triste de la mort de sa soeur, elle les larmes se mirent à couler sur ses joues.

Faites quelle soit heureuse là-haut...

Longtemps elle continua à prier, ses lèvres soufflaient ses mots qui étaient comme un murmure. Une heure plus tard, vidée, elle se leva et se dirigea vers la sortie pour se rendre chez elle.
Verty
Citation:
Monseigneur Verty Chandos de Montfort Toxandrie, évêque d'Angers,

Vous invitons, Patity de Charnée-Chandos , Duchesse d'Anjou, ainsi que chacun des conseillers ducaux, la noblesse demeurant Saumur et les habitants de cette ville, à assister à l'office qui se tiendra ce mercredi 10 de ce mois en l'église de saumur.

Cette messe sera dite en la présence de Monseigneur Poltau archevêque de Tour en visite dans notre diocèse.

Nous espérons que vous honorerez cette cérémonie afin de démontrer, en la Maison du Tout Puissant, votre insatiable désir d'oeuvrer pour la Vraie FOY.

Par avance, nous vous remercions de bien vouloir assurer diffusion de ce courrier en les chambres du conseil et de la noblesse.

In via virtuti nulla est via !

Scellé le dixième jour de septembre de l'an mil quatre cent cinquante six en le palais épiscopal d'Angers.


pnj


L'Archevêque, accompagné de ses deux gardes, arrivait en ce lieu saint.
Il s'engouffra dans la sacristie, afin de revêtir sa tenue de cérémonie.
Il fallait qu'une messe soit célébrée ce jour en ce lieu, c'était symbolique.

Une fois en tenue, Poltau s'approchant de l'autel, les bras écartés, et s'adressant à l'assemblée :


Bonjour Mes Enfants, soyez la Bienvenue.
En ce jour, je suis avec vous, et votre Evêque, Monseigneur Verty, également.
Vous savez que nous sommes proches de vous, nous sommes toujours à votre écoute.
Alors mes Enfants, n'hésitez pas à nous interpeler à la fin de cette cérémonie.
Nous serons avec vous durant 3 jours, alors profitez en mes Enfants.


Ceci dit, l'Archevêque continua la cérémonie.
pnj




Je tiens tout d'abord à remercier votre Evêque pour son accueil, ainsi que votre Duchesse.

C'est cela l'Amitié Aristotélicienne, qu'ils en soient remerciés.

Nous parlerons aujourd'hui des péchés, de l'avarice et de la nécessité de donner aux autres.

Citation:
Pré-Histoire IV: Les péchés

Les humains avaient découvert l’acédie. Ils avaient dédaigné l’amour de Dieu pour lui préférer les choses matérielles qu’Il avait créées. Ils avaient pris goût à une part du divin, en oubliant qu’il fallait aimer l’ensemble. Oane n’était plus là pour les guider, lui qui avait été le seul à comprendre ce qu’était l’amour du Très Haut. Maintenant seuls, privés de leur guide, les humains ne savaient plus différencier la vertu de l’erreur.

Certains se mirent alors à manger plus que la faim ne le leur demandait, y prenant un plaisir qui ne faisait que s’amplifier. Le gout sucré des fruits, la chaleur de la viande et l’ivresse de l’alcool prirent le pas sur les plaisirs simples de la vie. Il n’y avait plus la moindre place dans leurs plaisirs pour la douce senteur des fleurs, ni pour la beauté des paysages. Ils en arrivèrent à un tel point que même les si nombreux fruits de leur labeur ne suffisaient plus à combler leurs envies.

C’est alors que la gourmandise brisa les liens qui unissaient les hommes et les femmes. Chacun gardait pour soi les fruits de son propre labeur et refusait de les partager. Le fort produisait plus, mangeait plus, buvait plus, et devenait plus fort encore. Le faible produisait moins, mangeait moins, buvait moins, et s’affaiblissait. La communauté des hommes et des femmes se divisait à cause de leur gout immodéré des choses matérielles, qui les conduisit à l’avarice.


Nous voyons mes enfants dans ce passage que le plaisir excessif mène au chaos, que le non-altruisme mène à la destruction et aux enfers.

Nous devons toujours privilégier l'amour immatériel aux choses et nous détacher des choses matérielles qui nous entourent.

C'est à ce prix là que nous suivrons la voie du Trés Haut et que nous vivrons en paix avec nous mêmes.

je l'ai déjà dit en ces lieux, n'hésitez à donner aux gens dans le besoin ou à donner un peu de votre temps pour aider les autres.

Vous vous en porterez mieux et contribuerez au bonheur sur Terre.

Je vous laisse méditer sur ces paroles.

Récitons maintenant ensemble notre Crédo :



Que ceux qui désirent communier s'approchent maintenant :



Maintenant mes Enfants, allons discuter ensemble...






















Verty
L'évêque d'Angers se joint à l'archevêque de Tours pour le partage du pain, puis avec la permission de ce dernier elle s'avança vers la lice fit face aux quelques fidèles qui avaient osé pénétrer dans l'église et s'adressa à eux.

Merci Monseigneur d'être venu officier ici, à Saumur, en Anjou, merci d'avoir osé venir dans le duché le moins religieux de tous les royaumes.
J'ai honte, Monseigneur ! Non pas honte du peuple Angevin, mais honte de ses dirigeants honte de sa noblesse à quelques rares exceptions.
Cet Après midi en taverne où je suis rentrée pour me désaltérée, je me suis faites insulter par un Duc..Un duc que je ne nommerais point il n'a pas de nom, c'est juste un numéro.
Hors cette personne qui se prétend Duc se trouvant en face d'un Evêque en cette année 1456, lui tient des propos infamant sur l'église et lui manque de respect...Vous voyez toute l'intelligence et la crédibilité de la scène !
Voilà Monseigneur des "lourd d'esprit" comme celui-là l'Anjou en est rempli.
Ils ne pensent qu'à eux, et eux seuls, ne font rien ne savent rien , ne savent même pas en quelle époque ils vivent, ne sont ni plausibles ni crédibles.
Je reviens de Bretagne , et du Maine, je suis passée en Poitou ...Savez vous comment l'on qualifie l'Anjou dans les Royaumes ? Un "nid de c..."
Voilà Monseigneur, le peuple est croyant, voudrait l'être, et tous les conseils successif que j'ai connu sans exception se sont évertuer à dire ...Le peuple ne veut pas de Dieu, le peuple n'a pas besoin du très Haut le peuple n'a pas besoin d'église.

Monseigneur, la ville de Saumur, voudrait un curé le peuple le demande, les notables de la ville, et quelques nobles à l'esprit creux s'y opposent de toutes leurs forces.
Ils en ont fait fuir plus d'un.
Voilà Monseigneur pourquoi je n'ai nommé personne à Saumur.
Comptez les fidèles présents ce soir et vous comprendrez ce qu'est l'Anjou.
Sur ce Mgr Verty se retourna vers Monseigneur Poltau et alla reprendre sa place.
Wilhem49
Le maire de Saumur qui c'était arrangé pour se mettre au fond de l'église, se fit le plus petit qu'il le pût.

Lui qui avait apprécié le choix du texte de l'Archevêque, qui approuvait pleinement cette notion de de partage et d'équité qu'il essayait d'appliquer au niveau de la mairie, devint rouge comme un pivoine lorsque l'évêque Verty fit son sermon.

Il se dit que ce n'était pas demain la veille qu'il y aurait un prêtre pour officier tout les dimanches dans l'église de Saumur, et il pensait qu'il aurait encore plus de difficultés pour épouser Laleis devant le Très Haut, si Saumur avait une telle mauvaise réputation.

Il ne pût s'empêcher de lâché un juron de dépît.


Et défection, que la malepeste m'emporte...
pnj


Poltau avait entendu Monseigneur Verty, et des paroles qui faisaient penser à un découragement.
Accompagnant l'Evêque vers la sortie de l'Eglise, l'Archevêque aperçu le Maire de la Ville.
Enfin, un élu présent dans ce lieu Saint...

Devant le porche de l'Eglise, Poltau s'adressa alors à Monseigneur Verty, il saluerait le Maire ensuite :


Monseigneur, je comprend, je comprend tout à fait, et il ne faut pas laisser faire cela.
Si les Nobles et les Conseillers Ducaux font barrage à nostre Sainte Eglise, sachez que nous nous en occuperons.

Que pensez vous que d'inviter tous ces gens autour d'une table, dans une salle de notre province, afin d'en discuter et de statuer ?


pnj


Poltau, se tournant alors vers le Maire :

Bonjour Monsieur le Maire.
Voyez par vous même, il n'est pas évident que cette eglise puisse trouver un Curé pour s'en occuper, et s'occuper des fidèles.
Ce soucis semble bien être du fait de vos élus, et ce ne pourra être rectifié qu'avec la volonté de tous.

D'ailleurs, je vais reprendre la route ce soir, je ne pense pas qu'il soit nécessaire que je passe une journée de plus dans cette ville.
Vous vous doutez bien, en effet, que d'autres paroisses et d'autres fidèles ont eux, besoin d'aide et de soutien tout comme d'encouragement.

Monsieur le Maire, je reste bien sur à votre écoute, vos pigeons sauront me trouver, si vous vouliez quelques conseils pour changer la vie aristotélicienne dans votre ville.


Après avoir salué le Maire de Saumur, l'Archevêque pris la route accompagné de Monseigneur Verty...
Damelina
De retour à Saumur, Lina s'en vient se recueillir à Notre-Dame-de-Nantilly... Elle retrouve avec plaisir la petite chapelle vouée à Maria, que sa mère prisait tant.

Mère venait y prier pour le salut de son épousé. Lina ne prie pour personne mais pour l'Anjou.

Ayant eu vent des propos tenus en ces lieux, répétés par tout un chacun icelieu en Saumur, son regard s'attriste.
Pour elle, le message d'Aristote est parole d'amour et de tolérance.

Qui sont donc ces gens pour juger un duché ainsy ? Qui sont-ils pour fuir et renoncer ? C'est donc ça, les gens d'Aristote ?

Lina sait son village peut-être indiscipliné, peut-être parfois ailleurs qu'en l'église mais sûrement pas impie.

S'agenouillant devant Maria, elle récite une petite prière qu'elle termine en ces mots :


"Maria, donnez de votre amour et de votre tolérance à ses gens... rappelez-leur qu'ils n'ont point à juger et que tout homme se vaut aux yeux d'Aristote...
Accordez-nous un curé..."
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