Aradiia
Aradiia savait quil était temps douvrir son officine de médecine à Blaye. Ayant obtenu brillamment sa licence, Diia ressentait le besoin duvrer pour sa bourgade. Dès son entrée dans la voix de la médecine, létudiante sétait fixée ce but, se disant souvent.
*Les habitants devraient pouvoir être soigner sans être obligé de voyager vers des lieus lointains qui les mènent sur des chemins souvent dangereux. Et puis les blessés et les malades ou bien les femmes prêtent à accoucher de Blaye ou de passage, devaient pouvoir être soignés ici sur place.*
La jeune femme passionnée de médecine depuis sa plus tendre enfance, passerait cinq ou six ans en tout sur les bancs de l'université, déjà bachelière, puis licenciée et enfin dans deux ans peu être, obtiendrait lultime diplôme de doctorat. Elle nen était pas encore là, mais sen approchait doucement et surtout se sentait capable de soigner les habitants. Kro lencourageait chaque jour dans sa quête, toujours aussi attentionné.
Les années à luniversité se composaient de cours divers et variés sur les fondements de la médecine de la biologie et lanatomie ainsi que létude des maladies. Tout la passionnait et malgré le coût élevé de ses études, elle y allait chaque jour, sans faire un tour au marché pour acheter quelques babioles a ses yeux de toute façon inutiles. Tantôt élève où professeur elle potassait avec acharnement dans de gros livres poussiéreux ; les planches finement dessinées et les formules compliquées, ou enseignait ce quelle savait déjà aux nouveaux élèves.
Elle avait pu lire par exemple que « les deux grands ennemis de lespèce humaine étaient le rat noir et la puce. »
Quelle révélation La puce !!!! Et dire que Kro et elle avaient baladés ces petites créatures de Christos pendant tout leur voyage vers la champagne
Avant cela létudiante pensait que le pire ennemi était sûrement la guerre, elle prie donc un certain temps avant de reconnaître que pire encore se trouvait ici bas Sans compter les démangeaisons hystériques qui la rendant folle, surtout le soir en taverne.
Et dans le livre, elle avait appris que ces charmantes petites bêtes transmettaient toutes deux à lhomme le bacille causant la peste
Ils avaient donc échappé à ce grand fléau grâce à la pisse de son ânesse « Carotte ». Diia restait souvent à contempler avec admiration lanimal qui lui avait sauvé la vie, ainsi que celle de son prince adoré.
Cest avec ces pensées foisonnantes quelle scrutait en déambulant dans les ruelles de Blaye chaque recoins et devantures de maisons susceptibles daccueillir sa future officine.
Il fallait que ce soit bien situé au centre du village près de la mairie, très accueillant pour ne pas effrayer les malades et surtout pas loin des tavernes (Diia pourrait passer souvent pour appâter le client mais surtout elle ne se lasserait pas de trinquer avec lui, même mourant .). Non ! je nai aucun penchant pour la boisson .quoique !
Elle tourna deux fois dans le quartier de la grande place, cétait tout a fait ce quelle recherchait. Quelques passants discutant non loin couvraient presque le cri des mouettes. Un large sourire se posa sur son visage, regardant à sa droite puis à sa gauche elle simmobilisa devant une maison ensoleillée à un étage.
Une petite porte quelle devra repeindre mais qui avait lair de tenir debout. Pas moins de deux tavernes, tout a coté. Elle sapprocha dune des deux fenêtres et après avoir frotter la vitre avec sa manche y plaqua son front. Elle essaya de voir lintérieur qui semblait remplis de toiles daraignées et de poussière.
Cest salubre !! Juste un bon lavage et ce sera près Parfait !!
Diia recula de quelques pas, et visualisa une dernière fois la bicoque, avant de partir en courant au cadastre afin dobtenir les clés de sa nouvelle activité, le cur palpitant.
*Les habitants devraient pouvoir être soigner sans être obligé de voyager vers des lieus lointains qui les mènent sur des chemins souvent dangereux. Et puis les blessés et les malades ou bien les femmes prêtent à accoucher de Blaye ou de passage, devaient pouvoir être soignés ici sur place.*
La jeune femme passionnée de médecine depuis sa plus tendre enfance, passerait cinq ou six ans en tout sur les bancs de l'université, déjà bachelière, puis licenciée et enfin dans deux ans peu être, obtiendrait lultime diplôme de doctorat. Elle nen était pas encore là, mais sen approchait doucement et surtout se sentait capable de soigner les habitants. Kro lencourageait chaque jour dans sa quête, toujours aussi attentionné.
Les années à luniversité se composaient de cours divers et variés sur les fondements de la médecine de la biologie et lanatomie ainsi que létude des maladies. Tout la passionnait et malgré le coût élevé de ses études, elle y allait chaque jour, sans faire un tour au marché pour acheter quelques babioles a ses yeux de toute façon inutiles. Tantôt élève où professeur elle potassait avec acharnement dans de gros livres poussiéreux ; les planches finement dessinées et les formules compliquées, ou enseignait ce quelle savait déjà aux nouveaux élèves.
Elle avait pu lire par exemple que « les deux grands ennemis de lespèce humaine étaient le rat noir et la puce. »
Quelle révélation La puce !!!! Et dire que Kro et elle avaient baladés ces petites créatures de Christos pendant tout leur voyage vers la champagne
Avant cela létudiante pensait que le pire ennemi était sûrement la guerre, elle prie donc un certain temps avant de reconnaître que pire encore se trouvait ici bas Sans compter les démangeaisons hystériques qui la rendant folle, surtout le soir en taverne.
Et dans le livre, elle avait appris que ces charmantes petites bêtes transmettaient toutes deux à lhomme le bacille causant la peste
Ils avaient donc échappé à ce grand fléau grâce à la pisse de son ânesse « Carotte ». Diia restait souvent à contempler avec admiration lanimal qui lui avait sauvé la vie, ainsi que celle de son prince adoré.
Cest avec ces pensées foisonnantes quelle scrutait en déambulant dans les ruelles de Blaye chaque recoins et devantures de maisons susceptibles daccueillir sa future officine.
Il fallait que ce soit bien situé au centre du village près de la mairie, très accueillant pour ne pas effrayer les malades et surtout pas loin des tavernes (Diia pourrait passer souvent pour appâter le client mais surtout elle ne se lasserait pas de trinquer avec lui, même mourant .). Non ! je nai aucun penchant pour la boisson .quoique !
Elle tourna deux fois dans le quartier de la grande place, cétait tout a fait ce quelle recherchait. Quelques passants discutant non loin couvraient presque le cri des mouettes. Un large sourire se posa sur son visage, regardant à sa droite puis à sa gauche elle simmobilisa devant une maison ensoleillée à un étage.
Une petite porte quelle devra repeindre mais qui avait lair de tenir debout. Pas moins de deux tavernes, tout a coté. Elle sapprocha dune des deux fenêtres et après avoir frotter la vitre avec sa manche y plaqua son front. Elle essaya de voir lintérieur qui semblait remplis de toiles daraignées et de poussière.
Cest salubre !! Juste un bon lavage et ce sera près Parfait !!
Diia recula de quelques pas, et visualisa une dernière fois la bicoque, avant de partir en courant au cadastre afin dobtenir les clés de sa nouvelle activité, le cur palpitant.