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[RP] Cérémonie d'allegeance en Franche-Comté

Fccasper
Le Comte, voyant que le "Franc-Comte", cet espèce d'incapable, ne bougeait pas, tourna les talons et quitta précipitamment la salle.

Pour sur, Foi de Fccasper, cela n'en resterait pas là !

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Valaraukar
Le héraut suivait d'un oeil las les évènements.
Il n'avait pas, mais alors pas envie de participer au debat stérile qui se déroulait sous ses yeux. Vu la tournure des evenements, il se dit qu'avec un peu de chance il y aura beaucoup moins de nobles, bien qu'a la vue de l'amour de certains pour leur titre, il doutait que la plupart prenne le risque de voir leur titre leur etre retiré.

Il pinça la fesse d'une soubrette pour lui demander une nouvelle coupe de vin, la cérémonie allait être longue.
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--Servantesse
C'est y quoi qu'on fait maintenant ?

La jeune petite servante ne savait plus quoi faire , elle était venue pour servir au buffet , comme l'avait demandé son maitre et hop ! Plus rien !
Plus de buffet , plus de boisson , plus de chaise , plus de table , plus de banc ! Plus rien .
Une grande salle vide remplie que d'humain . Enfin si les personnes réunis ici pouvait porter ce mot d'humain .................

Ne sachant que faire , la servante se faufiler à travers la foule , piquant ça et la , une petite bourse qui dépassait de la ceinture des nobles .
Ces petits doigts agiles détachait aisément leur bourse et ils étaient tellement occupés à se quereller que personne n'y voyait rien .

Au moment ou elle passa derrière un Vicomte , il lui pinça les fesses .


Va me chercher une coupe de vin .

Aie ! Screugneugneu ! Tous ces nobles ! Ils se croient tout permis !

Et c'est y ou que je va chercher une coupe de vin ?
T'y a pas vu qut y'a que de chique !
Le Comte la , qu'tu vois en plein milieu , y a tout enlevé !
Y'a pus rien à boire ni manger .
Sirius7
D'un geste habile et sûr, le creu de sa main vint réceptionner la pomme lancée en sa direction. Une pomme qui ressemblait fortement à celle que la rouquine venait de peler quelques instants plus tôt ; il semblerait que la jeune femme soit une adepte des vergers. Amusé par ses paroles, le Vicomte ne put que lui sourire, pensant au fond de lui-même "qu'un des ces jours" était sans doute plus proche qu'elle ne pouvait l'imaginer.

Alors qu'il regardait les trois compères partir - puisqu'apparemment le dernier venu était l'une de leur connaissance -, un gros fauteuil de bois passa soudainement devant son nez. Ou plutôt deux manants portant un gros fauteuil de bois passèrent devant lui. Il n'eut pas le temps de se poser davantage de questions qu'il reconnut le Comte de Beaufort dirigeant l'exceptionnel convoi. Il le salua d'un léger signe de tête, avant de s'en retourner vers sa garde, plus qu'étonné. Que se passait-il encore ? Déjà qu'il semblait ne pas avoir de buffet, selon Ivori, fallait-il en plus ramener soi-même de quoi poser son séant ?

Perplexe, le Vicomte intima à ses hommes l'ordre de prendre position à l'entrée, tandis que lui irait accomplir son devoir dans la salle. Ainsi il se dirigea vers les portes, quand un homme sortant en trombe manqua de peu de lui faire lâcher sa pomme qu'il s'amusait à lancer à de faibles hauteurs, puis de rattraper avec la même dextérité. Le Comte de Saint-Amour ne semblait pas de bonne humeur. Tout sourire, le Vicomte pénétra dans la salle d'un pas nonchalant, le fruit du pommier cette fois confortablement installé dans la paume de sa main. Mais ses pas s'arrêtèrent immédiatement lorsque son regard eut balayé la salle.

Dwiral le fondement au sol, Jontas installé sur son fauteuil de bois, Leconquerant debout et immobile en plein centre de la pièce, à côté de lui un page aux couleurs de Voiteur, et une jeune femme encore inconnue se tenant à l'écart. Voilà ce dont on pouvait apercevoir. Rien à part ces personnes. Aucune table, aucune chaise, aucun mets à déguster, rien. Rien du tout. Le Margny laissa échapper un long sifflement d'entre ses lèvres, puis jura à voix suffisamment haute pour que chacun puisse l'entendre (inutile de préciser que de toute façon, l'écho était important dans une salle aussi vide).


Foutredieu...
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Leconquerant
Sirius venait de s'exclamer, étonné par la pièce vide

Bonjour Sirius, je me suis dis qu'il sera plus simple d'assurer l'ordre si la pièce est vide. Ainsi les voleurs ne se cacheront plus sous les tables et l'on ne risquera plus de se prendre un projectile sur la tête.

Voyez je prends en compte les demandes de chacun

Puis il vit la serveuse continuer ses méfaits.

Gardes, arrêtez là...

Aussitôt 2 gardes s'emparèrent de la serveuse voleuse de bourse...

Vous voyez, ça a du bon une pièce vide, la sécurité est assurée de manière optimale, ce qui me permet de réduire la surveillance ici et de disposer mes autres gardes en d'autres points de Dole. Nous optimisons, avez vous une autre requête ?
Monifred
Alors qu'elle écoutait les exclamations de chacun , Monifred vit une servante se faufiler à travers la foule .Elle était trop loin pour voir ce qu'il se passait .
Elle entendit soudain le Comte appeler les gardes .


Gardes, arrêtez là...

Sans attendre , Monifred se dirigea vers le milieu de la pièce , l'aspirant Chriskhan se trouvant de l'autre coté de la porte , elle lui fit signe de venir .
Suivant le regard et le geste du Comte , elle vit de suite de qui il parlait .
Elle prit la femme à bras le corps et lui mit les mains derrière le dos .


Aspirant , emmenez cette personne au poste et fouillez la comme il se doit .

Monifred regagna sa place s'étant assurer que Chriskhan la tenait fermement .

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Infirmière de la prévôté

Adjudant de Pontarlier
Chriskhan
Deux clés de bras, simplement exécutées, suffisaient à maintenir fermement la drôlesse...

A vos ordres, Adudante Monifred !

Une fouille rapide de la jeune pécheresse conduit à la conclusion, toutefois sommaire, que nul autre objet de valeur n'avait alors été dérobé.
Chriskhan de Huy, gendarme à Pontarlier, n'avait point à juger mais simplement à exécuter.
Toute la journée, il était resté à deux pas de sa chef, prêt à intervenir au moindre de ses gestes.

En bon gendarme, fidèle au poste, il s'exécuta et s'apprétait à emmener la soubrette.

Allons toi, manante, tu vas venir tater des geoles de Pontarlier et crois-moi tu ne regretteras pas ton séjour et on te trouvera bien de quoi occuper là bas tes mains bien indélicates en attendant ton jugement.
Joignant les gestes à la parole, après un signe de tête en guise de respect envers son Maréchal et l'Adjudante, il sortit de la pièce, la servante collée à son torse ... Elle sentait bon, c'était déjà cela !
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Conseiller à l'Animation et à la Pêche à Pontarlier - Aspirant Gendarme de Pontarlier
Sirius7
Une autre requête ? Sa pomme toujours en main, Sirius regarda le Franc-Comte avec méfiance, étonné qu'il ait pu prendre de telles mesures. Ne plus se prendre un projectile sur la tête... Tant mieux, même si la pièce manquait cruellement de cuisses de poulet. Le Vicomte s'osa à une réponse, feignant de grimacer.

Et bien, j'ai comme une faim soudaine, si vous pouviez arranger cela ? Mais pas de.. Hum.

Il lui montra la pomme d'un geste dédaigneux.

Enfin, quelque chose de nourrissant en fait. Je n'ai pas pour habitude de manger des graines.


Considérant ensuite dans quelles positions se trouvaient les autres nobles de la pièce, le Margny resta quelques instants les yeux fixés sur Dwiral qui était assis par terre. En attendant que le Comte daigne faire venir de la nourriture digne de ce nom, Sirius croqua à pleines dents dans sa pomme, l'air désabusé.


Mmh, dites. Vous ne le relevez pas lui ?

Il désigna du regard le Seigneur de Chenevrey, tandis que la garde s'emparait avec délicatesse de la soubrette voleuse de bourses.
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Valaraukar
Je tiens a signaler a tout les vicomtes et barons qu'ils ont l'obligation de prêter serment devant le franc-comte.

Je rappelle aussi que vous pouvez vous contenter d'entrer rapidement, preter serment et repartir aussi sec.

Pour finir, à tout les nouveaux ou à ceux qui serait impressionnés ou se demandant quoi faire ou comment réagir, contentez vous de faire votre devoir et ignorez les fauteurs de trouble.

Je suis a votre disposition pour ton renseignement.



vu que quelques personnes m'ont contacté un peu deboussoulées vu le deroulement de cette cérémonie, je rappelle que je me tiens à leur disposition pour répondre à leurs interrogations

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Leconquerant
Pour le repas, monsieur le vicomte, cela va se montrer complexe, mais après cette cérémonie je veux bien en revanche vous inviter dans la taverne de votre choix, histoire de boire et manger à foison.

Pour le seigneur dwiral, voyez vous... ce n'est pas à moi de lui dire la façon de se tenir.
Imladris
Dole : Bureau du Droit - Secrétariat

Imladris n'arrivait pas à travailler. Il aimait pas cette tournure des évènements. C'est la première depuis qu'il sert la Franche-Comté qu'on lui refuse un serment. La Prévôté l'avait accepté, l'Armée Franc Comtoise aussi. Il avait été un législateur actif alors pourquoi refuser une allégeance...

Il ne comprenait pas non plus pourquoi le Franc Comte la refusait... Seul le héraut avait le droit de le faire... Et pourquoi cet acharnement du Franc Comte à se mettre à dos toute la noblesse ? Il ne comprenait pas mais il agirait.

Il descendit toutes les marches du Chateau et arriva à la salle des allégeances. Il y reconnut quelques nobles notamment son Excellence Valaraukar, le Seigneur Dwiral et le Vicomte Sirius.

Il alla droit directement vers le Franc Comte et dit :


Votre Grandeur, ma conscience m'ennuie de ne point être présent mais je suis venu renouveler mon serment d'allégeance.

Il s'agenouilla et dit :

Moi, Imladris Van Ansel, Baron de Voiteur, Seigneur d'Archelange, prête à l'allégeance à l'Empereur, à la Franche-Comté et à son peuple. Je leur jure fidélité, service armé et conseil.

Il attendit l'autorisation de partir avant de se relever. Il n'avait pas que ça à faire.
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Elfriede.
Tout s'était passé rapidement, Elfriede n'avait pas compris comment elle s'était retrouvé en dehors de la salle des allégeances. Elle décida de rentrer chez elle, après tout, elle ne savait pas si elle devait ou non prêter allégeance.

Une fois chez elle, elle fut surprise de trouver un pigeon portant une missive du héraut Valaraukar. Elle la lu attentivement. Elle avait donc le droit de porter le titre de son père et était invité à prêter allégeance.

Elle reprit donc la route pour Dole. Elle monta lentement les marches et entra. Imladris était en train de prêter allégeance. Elle pensait qu'il ne la referait pas. Elle haussa les épaules mais écouta pour pouvoir répéter ... c'était la première fois qu'elle faisait cet exercice et ne savait pas ce qu'elle était sensé dire.

Une fois qu'il eut fini, elle s'avança, fit une révérence.


Moi, Elfriede. de Sparte, Vicomtesse de Valentigney, prête à l'allégeance à l'Empereur, à la Franche-Comté et à son peuple. Je leur jure fidélité, service armé et conseil.


Elle se redressa, espérant ne pas avoir fait d'erreur.
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