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[RP] Quand tout se qui doit aller bien tourne mal...

Valric
"Et Norf!!! Qu'est-ce qui l'avait le monde à virer cul par dessus tête?!"

Le Berry était en Paix et il avait plongé en guerre... Il était en couple et avait mit fin à tous ça... Le Berry était revenu en Paix et lui en couple... Du moins ça se courtisait grave dans l'Castel du Plaix! Quand tout semblait revenir à la normal, tout basculait d'un coup... Le Berry recevait une fausse déclaration de Guerre; Lui ses blessures qui ne lui faisaient plus souffrir le tiraillaient d'un coup et alors qu'il avait diminué sa consommation des herbes de Saint-Hilaire en Lignières le voilà qui était obsédé par la pensée de s'en prendre plein la gueule... Boire aussi... Oui... Une bouteille de grandes fêtes! Une bouteille comme celles que l'on ouvre avec la meilleure des compagnies!


Et Norf!!!!

Où était-elle sa meilleure compagnie?! Sa meilleur, sa belle, sa Grenat... Il plongea la main dans un pli de son mantel en approchant les écuries fraîchement rénovés pour en sortir un petit sachet et sa pipe... Juste une bouffée... Juste un peu pour faire passer... Il sera le sachet dans sa main et entra dans l'écurie allumant une lanterne... La tige de bois toujours allumée... Le temps de bourrer la pipe...

Préparons les chevaux d'abord...

Départ pour Saint-Aignan ce soir... Il devait passer là bas, un prêt, une promesse à remplir... Et elle? Où elle serait l'heure du départ venu?! En taverne? Encore? Avec l'autre drôle? À rigoller et à boire et... Boire oui..! Dans la caisse du box du fond à droit il y avait une de ces bouteilles! Savez une de l'est! Un charmant Gamay d'un rouge Grenat...

Et NORF!!!!!!!

Quand tout lui rapelle elle... Quand même Esteban son écuyer a été assez bon dans son travaille pour remettre la bouteille hors de l'écurie dans sa cave au Plaix... Quand les rayons de la lanterne sur le foin vous rapelle les reflets blonds de ses cheveux... Qu'au regard jetté sur l'azur de votre blason vous y voyez l'émeraude de ses yeux... (on fait du vert avec du bleu pardit!) Il devait partir... Plus d'âge à jouer les coqs et il avait des chevaux à préparer... Connerie encore! Se mettre dans un état pareille et tout ça parce qu'au fond il... l'aimait?!

Reste calme....

Parole pour le cheval ou pour lui?! Il passa la selle sur le dos du fort mérens noir... Finit l'attelage et maintenant ... Il se tourna vers un deuxième... Devait-il vraiment espérer qu'elle vienne?! Il ne croyait pas vraiment qu'elle se pointe... Ils s'étaient embrûmés solidement... Embrûmé oui... Un regar porter au sachet d'herbes... Un coup seulement...

Un deuxième au cas...

Il prépara le deuxième cheval qu'il remit dans son box... Il enleva le mantel qu'elle n'avait pas voulu prendre et le jeta sur une balle de foin. Il prit son épée bâtarde qu'il posa près à partir et délassa un peu son gilet... Il prit place à son tour sur la balle de foin, passa une main dans ses cheveux en bataille et de l'autre ouvrit les doigts sur un sachet lui promettant tant de tranquilité... Retrouver la paix... Ou juste partir...
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Grenat
[ Début de soirée avant l'engueulade]

La soirée avait sympa et très animée en taverne surtout quand Chlo, son ami, son suzerain ou futur époux comme ces deux là s'amusaient à dire fit son entrer. D'abord ils étaient assez calme et sérieux, puis ils devaient sans doute s'ennuyer ou se dire que ce n'était pas eux, ils décidèrent de mettre l'ambiance.

Il arriva en taverne, son côté d'ange déchu se calma quelque peu, elle lui sauta au cou et l'embrassa puis retourna s'asseoir. Elle était plus calme prés de lui, Valric avec son regard savait la faire s'assagir. Mais voilà que c'était plus fort qu'elle, après c'était une sale gosse parait il.

Tout avait commencer quand ils s'amusèrent comme dans les soirées artésiennes, les soirées chaudes de Cambrai pour être précis, bref ces deux là s'arrosèrent avec leurs bières pour commencer, rien de bien méchant, puis elle avait eu le malheur de tirer la langue , puis bah comme le veut la coutume artésienne celui qui fait ça doit se faire galocher, donc ce que fit Chlo. Elle l'avait mordu en retour, juste à ce moment il était sortit, elle avait regarder Valric sortir, sa sortie ne lui avait pas plu.

Chlo lui avait piquer le tonneau puis arroser, ces deux là ensemble étaient terrible, un vrai carnage pour tout dire, puis une fois que le calme était de retour, comme par magie Valric était revenu... Le calme avant la tempête oui... Cette fois ci elle ne lui sauta pas au cou, non pas qu'elle lui en voulait de sa sortie mais tout simplement car elle était tremper, bref elle alla le voir et lui prit un baiser. Tout allait bien pour le moment, il la vit tremper et en galant homme qu'il était il lui avait prêter son mantel pour pas qu'elle prenne froid.

Tout les trois étaient assis quand soudain elle eu l'impression d'assister à un combat de coqs, elle s'énerva et leur fit la remarque qu'elle n'était pas un gibier ni même un trophée. Ces mots avait jeter un froid, c'était pas ce qu'elle avait voulu... De nouveau il se leva et lui dit qu'il devait partir des chevaux à préparer, elle avait mal prit ses propos.

D'autres mots avait fusé, puis il se prépara à sortir, mais avant il lui fit un baise main, cela l'a blessa profondément, dieu sait comment réagit une femme blessait, elle lui rendit son mantel en lui disant au "revoir et prenez pas froid.."

Il avait tourner les talons en lui disant partir à SA..Elle lui avait seulement qu'elle prendrait note du baise main.. Elle l'avait regarder sortir, et avait soupirer.


[ Après l'engueulade ]

Son regard était fixé un moment sur la porte, elle avait espérer le voir revenir, elle avait espérait entendre certains mots..ses mots qu'une jeune fille aime entendre.. Il n'était pas revenu, têtu comme elle l'était elle décida de ne pas aller à SA.

Elle avait discuter un moment avec Chlo encore, puis lui avait demander à ce qu'il la reconduise chez elle, ils quittèrent la taverne tout les deux. Ils étaient rentrer , qu'elle se laissa tomber sur son lit sans prendre la peine de se changer, sa robe empester la bière mais pas grave.


J'y crois pas.. Il l'a fait!

Elle soupira, regarda la tête de lit, puis soupira encore.

Mais comment a t'il pu partir de la sorte sans penser à moi..

Elle était déçue, son regard balayait la pièce, elle ferma les yeux se disant qu'elle devait dormir car demain une journée charger l'attendait. La jeune fille pour pas dire sale gosse du moment, ferma les yeux et chercha le sommeil mais en vain..Ses pensées revenait sans cesse vers lui..son visage se dessinait en sa mémoire..son sourire qu'elle aimait tant.. Mais pourquoi pensait à lui alors qu'ils s'étaient quittés en mauvais terme...Cette question la taraudait...

Mais pourquoi est ce que je me sens mal.. Pourquoi est ce que je pense à Valric au lieu de dormir.. Faut pas que je pense à lui..C'est facile à dire mais pas à faire..

Vu comment je ne fais que penser à lui cela voudrait dire que..


Elle secoua la tête négligemment, c'était impossible, elle ne pouvait pas être amoureuse... Elle s'était promis de ne plus l'être et voila que ses pensées gambadaient vers lui..son coeur battait la chamade, c'était un signe que cela..

Elle ne dormirait pas et elle le savait, elle se releva, marcha sur la pointe des pieds pour ne réveiller personne, puis sortit. Elle marchait dans les ruelles sombres de la ville sans prendre garde ou elle se rendait. Elle marchait machinalement, elle voulait savoir en avoir le coeur sur..

Grenat tourna à gauche puis à droite, puis de nouveau à droite, ses pas avaient été trahi par ses pensées puisqu'elle se retrouva là elle était attendu. Elle posa sa main contre la lourde porte, celle ci était fermée et heureusement d'ailleurs.


Est ce qu'il sera là..ou sera partit..

Non mais qu'est ce que je fais là moi..en tant normal jamais je n'aurais fait cela..le premier pas..Tss..


Elle posa son front la porte elle venait de comprendre une chose, elle tenait à lui..Pour qu'elle soit venu jusque là en pleine nuit c'était qu'elle l'aimait et elle avait la réponse à sa question.

Le vent se levait faisant voletait quelques unes de ses mèches libre, elle ne sentait pas la froideur du vent qui la faisait frissonner à cause de sa robe qui était encore mouillé et qu'elle n'avait pas prit le temps de changer, elle était partit si vite qu'elle en avait oublier sa cape...

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Ca va péter !!!Il va pleuvoir du sang par hectolitre.C'est le bon vieux temps qui rapplique,La malchance,Les jours de guigne où tu crèves,la poisse!!! Sa revient mais aujourd'hui j'ai plus le choix ,je suis prêt pour la guerre.
Valric
Assied sur la balle de foin la main tendu tenant un sachet d'herbes... Ça l'aurait pu autrement... Ils auraient pu non auraient du être ensemble à ce moment... Lui fier comme pas un de prendre la route pour Saint-Aignan avec la plus belle des femmes qui il était...

Norf!!! Amoureux?! Norf t'es rendu trop vieux pour ça Val!

Lui? Amoureux? Vraiment... Il n'y avait jamais cru... Le travail lui en avait fait perdre des gazoutes... Encore ce soir... Il aurait du rester toute la journée avec elle en taverne mais le travail... Les devoirs... Et là les chevaux qui se devaient d'être préparés... Et il avait toujours su s'arranger seul après tout! Il était le Gambiani après tout! Il y avait... il y avait cette pouliche qui lui mordait le gilet...

Hey la bestiole t'arrête de me mordre du bout des dents!?

Une vague de souvenirs... Leurs baisés, les morsures dans le cou... Ces moments si bons où ils étaient réunient tout les deux... C'étaient bien... C'étaient ce qu'il souhaitait et désirait... Et tout ça devrait se terminer avec peine et nouvelle douleur?

AÏE!!!!!

Il se leva ainsi que sa main en direction de la pouliche qui avait tôt fait de rejoindre sa mère pour boire un peu de lait...

P'tite peste!!! Mais j't'aime bien... Comme l'autre d'ailleurs hein... Deux vrais pestes! Les deux à me mordre et tout faire pour que je rage et je sais pas pourquoi toi la bestiole à quatre pattes pourquoi je t'ai pas vendu... T'es comme Grenat... Trop belle pour être échangée. Tu me fais sourire et tu reviens toujours me voir pour me tirailler... Elle est où tu crois ma Grenat hein?

La pouliche releva la tête et retourna boire...

Bah c'est ça! Ignore-moi toi aussi fichu canasson! Va boire du lait à ta mère... T'as bien plus besoin d'elle que de moi en effet... Mais merdouille le cheval moi c'est de Grenat j'ai besoin tu comprends ça? Toi tu as ta mère sur qui compter et retrouver quand tu vas pas mais moi? T'a pensé à moi? Bon sang c'est pas la mer à boire un peu d'attention et de respect!

Il ramassa son mantel, enleva le foin sur celui-ci et alla ouvrir la porte pour sortir un seul cheval... Il posa la main sur la poignée et la tourna...
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Grenat
[ Devant la fameuse écurie ]

Le front appuyer contre la porte elle fut surprise par un museau qui vient toucher sa cuisse, instinctivement elle prit sa dague à sa ceinture.

Norf! Je l'ai oublier aussi tout comme ma cape.. Pour un prêvot ça la fout bien tient...

Elle baissa le regard, un énorme boule poil se tenait prés d'elle, la jeune fille l'a reconnu de suite, c'était sa bestiole à elle, sa plus fidèle amie.

Laska que fais tu ici ? Mais comment es tu sortit.. Norf! T'es pire que moi ma belle.

La voila qui parlait à sa louve, elle s'agenouilla et la caressa. Les poils de son loup était toujours aussi soyeux, elle se plaisait à la caresser et à enfouir son visage dans ce doux et chaud duvet quand ça n'allait pas.

Tandis que sa louve lui léchait le visage elle entendit une voix provenant de l'intérieur il s'agissait d'une voix d'homme, elle l'a reconnu de suite, mais pourquoi avait il aïe!

Grenat se releva rapidement, posa sa main sur la poignée entrouvrit à peine la porte, elle entendit tout ce qu'il avait dit certaines paroles l'avait fait rougit, puis ce fut le silence, puis des bruits de pas avait il sentit sa présence?

Elle resta figé sur place, puis la poignée de la porte tourna, elle poussa la porte et se retrouva nez à nez avec lui.


En effet c'est pas la mer à boire ce que tu demandes... Mais quand comptes tu tenir ta promesses..Tu m'avais promis de passer plus temps avec moi dés ton retour de SA..

Elle soupira et baissa la tête.

Depuis que nous sommes allés à Gien et revenu t'es un vrai fantôme, je te vois à peine et quand je te vois tu me dit quoi " Norf je dois y aller j'ai des affiches à mettre" ou " encore j'ai les chevaux à préparer"...

Tu as des gens qui peuvent faire cela à ta place.. Si tu as pas envie de passer du temps avec moi dit le et se sera vite régler on ne se verra plus et tu auras tout le temps que tu veux pour tes chevaux ou tes affiches...


Ce n'était pas ça qu'elle aurait voulu lui dire, elle aurait préférer lui dire " En effet ce n'est pas grand chose ce que tu demande, je suis là pour toi car je t'aime et te respecte mais une petite voix lui avait rappeler de garder sa fierté pour elle et de ne pas parler de sentiments...

Elle aurait voulu entrer et lui sauter au cou tout en l'embrassant et lui dire que cette engueulade avait été trop loin..mais elle n'avait pu le faire et lui dire cela...

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Ca va péter !!!Il va pleuvoir du sang par hectolitre.C'est le bon vieux temps qui rapplique,La malchance,Les jours de guigne où tu crèves,la poisse!!! Sa revient mais aujourd'hui j'ai plus le choix ,je suis prêt pour la guerre.
Valric
La porte s'ouvrit et certe il ne s'attendait pas à la voir là... Elle, sa Grenant...

Norf!!

Il était du genre à parler de ses sentiments trop trop... Ni même s'exprimait avec beaucoup de vocabulaire... "Norf" était très voir trop souvent l'expression qui sortait à chaque fois qu'une émotion lui traverçait l'corps. Il l'écouta serrant le menton pour ne pas laisser paraître qu'il était réjouit de la voir. Il aurait certe voulu s'excuser de ne pas avoir été trop là... Comment lui expliquer qu'il ne pouvait pas blairer l'autre, Chlo?!

M'enfin... Il l'a regarda baissé la tête comme souvent elle faisait... Souvent pour masquer une émotion... Souvent pour faire la moue... Son p'tit caractère pestelleriel d'enfant gâtée mais au fond... Il pouvait rien lui refuser quand elle faisait ça...


Je vous ai effectivement promit du temps... J'essais de vous en donner le plus que je le puie... Il est vrai qu'aujourd'hui j'étais quelques peu... Fâché... Je m'en excuse... Triste journée que j'aurais voulu éviter pour en passer une merveilleuse à vos côtés... C'est là mon souhait... Vous me rendez heureux et j'aime par dessus tout votre compagnie...

Il lui souleva le menton plongeant son regard gris-bleu en ses émeraudes... Se raprochant d'elle posa une main à sa hanche...

Vous aime vous... Vous voulez plus de temps? Je ne peux promettre des choses que je ne controlle pas... Par contre... Le temps ensemble je souhaite qu'il soit de qualité, l'un pour l'autre sans obstacles ni embrouille... C'est avec vous que je suis bien et que je veux passer le clair de mon temps... Et de çà, je ferai tout pour en passer le plus possible à vos côtés... Et à côté de moi je vous veux en selle si vous souhaitez toujours m'accompagner à Saint-Aignan... Aurais du mal à me passer de vous en ce voyage...

Doucement, il se pencha vers elle l'enlassant doucement... Sa robe était encore humide... Il déposa un légé baisé à ses lèvres et enleva ensuite son mantel. Il lui passa sur les épaules et l'embrassa cette fois tendrement...*
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Grenat
Elle l'écouta attentivement, lorsqu'il lui releva le visage, leurs regards se croisèrent, elle se pinça la lèvre car son regard la faisait fondre. Elle souhaitait aussi qu'il n'y ai pu d'embrouille dans le temps qu'ils passeraient ensemble, plus de nuages d'ombres au dessus de leurs têtes...

Elle était dans ses bras et c'était tout ce qui importait, ce qui compter, c'était ce qu'elle désirait, elle prolongea le baiser. Grenat posa son front contre le sien, l'enlaçant tendrement, lui prit un autre baiser puis lui se dit qu'elle avait aussi des excuses à faire.


Je m'excuse aussi.. Juste une chose.. Je ne puis voyager jusqu'à SA avec une robe trempée et qui sent la bière à plein nez on penserait que je suis tomber dans le fut de bière..

Elle ne quittait toujours pas son regard, elle vint lui caresser la joue du revers de la main.

Vous aime aussi vous...

Elle venait de le lui dire qu'elle l'aimait, ce qu'elle avait du mal à dire auparavent, son regard était tendre elle lui mordilla les lèvres doucement puis murmura contre celle ci : Je me change, je prends quelques affaires et nous y allons c'est d'accord?

Tandis qu'elle était aux anges dans ses bras, un museau vint de nouveau froler sa cuisse, elle se dit que se devait être sa louve encore qui faisait des siennes, elle baissa le regard, bingo elle avait gagner.

Tss mais t'es terrible toi, t'arrête de m'embêter et file faire un tour!

La louve lui fit un regard de chien battu, Laska voulait rester prés de sa maitresse et ferait tout pour l'amadouer, elle se roula sur le dos les pattes en l'air lui réclamant des caresses.

Norf!

Laska t'abuse, va voir la pouliche la bas et laisse moi en paix!


L'animal comprit que sa maitresse avait mieux à faire que de s'occuper d'elle aussi, la louve au pelage de neige entra dans l'écurie et contre toute attente elle alla se coucher, mais pas n'importe ou, sur la balle de paille, la même que celle ou était assit Valric.

Grenat ne regardait plus l'animal elle était concentrée sur lui..son Valric.. Elle enleva un brin de paille de ses cheveux en bataille, le lâcha celui ci retomba au sol. Elle posa sa tête contre son torse profitant du moment présent.

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Ca va péter !!!Il va pleuvoir du sang par hectolitre.C'est le bon vieux temps qui rapplique,La malchance,Les jours de guigne où tu crèves,la poisse!!! Sa revient mais aujourd'hui j'ai plus le choix ,je suis prêt pour la guerre.
Valric
Il sourit quand elle lui parla de sa robe qui sentait la bière... Norf elle ne sentait pas elle empestait la bière... Il vit aussi la louve aller s'installer dans l'écurie sur la botte de foin. Curieusement cela n'énerva pas les chevaux et il haussa les épaules en la regardant.

Oui va te changer et prend le nécessaire au voyage. Je vais aller porter une gamel à ta louve et sortir nos cheveaux...

Elle alla pour gagner le Castel mais lui prit la main et la ramena à lui pour l'embrasser tendrement de nouveau

Vous aime vous...

Il lui sourit et fit signe de partir ce changer... Ce soir ils allaient être à Saint-Aignan et tout était enfin clair...
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Grenat
[ Dans les écuries juste avant le départ]

Elle était dans ses bras que demander de plus, elle souria contre ses lèvres, un autre baiser avant d'aller se changer. A peine avait t'elle fait quelques pas, qu'il l'avait rattrapper par la main et attirer à lui pour un autre baiser, il avait du mal à la laisser partir.

Vous aime aussi...

Bon je vais me changer sinon on partira jamais...


Elle s'éloigna à peine, se retorne et lui envoya un baiser de la main, puis disparu dans la nuit sombre et froide, direction le Castel. Elle entra sur la pointe des pieds, ne voulant réveiller personnes.

Grenat avait regagner rapidement ses appartements, elle avait enlever sa robe la laissant sur une chaise, puis en profita pour faire un brin de toilette, cette odeur de bière commençait à lui donner mal à la tête.

Elle enfila une robe confortable pour le voyage, dans un sac de voyage y glissa quelques affaires, puis avant de sortir elle prit sa dague qu'elle attacha à sa taille, puis attrapa sa cape l'enfila et sortit de nouveau sur la pointe des pieds.

Elle se dépêcha de rejoindre les écuries, entra.
Tadam c'est moi je suis prête. Lui dit elle amusé.

Elle fixa son sac à la selle de sa monture, lui ouvrit les portes de l'écurie, ils sortirent leurs montures, elle tena les rennes des deux montures, il referma les portes, puis il l'aida à monter en selle, il en fit autant.

Ils chevauchaient côte à côte direction SA, la louve suivait de prés de sa maitresse, enfin SA, ils étaient arriver...


[ Séjour à Saint Aignan ]

Tout se passait bien, trop bien même, ils étaient ensemble, elle avait retrouver Balth un vieil ami cela lui avait fait plaisir. Un peu loin de son bureau de prêvot pour gérer quelques dossiers elle reçevait quand même les missives les plus urgentes et y répondait.

Ses journées se ressemblaient , promenade en ville, boulot, des moments avec lui c'était tout ce qu'elle demandait, rencontre de personnes intéressantes puis elle avait apprit quelque chose. Elle prit cette nouvelle assez mal.


C'est une plaisanterie j'espère!

Le rouge s'emparait de ses joues, apparement c'était pas une plaisanterie, quel affront lui faisait il ça n'allait pas en rester là.

Il me dit pas de secret et tout et lui en fait, là il va rester seul avec ses secrets!

Elle était au domaine de Plaix, à son retour il aurait une surprise et de taille, elle ne pouvait tolérer cela, elle fourra ses affaires dans son sac. Elle sortit des appartements où elle logeait, sur une commode elle avait oublier un bracelet...

Puis entra dans le bureau de Valric prit un parchemin et une plume puis rédigea une missive.


Citation:
A vous Messire Valric Gambiani de Valrose Seigneur de Saint Hilaire de Lignière,

Par la présente missive je vous informe mon départ de vos terres, vous ne m'y reverrais point, pareil affront je ne puis tolérer. J'ai ouïe dire qu'une damoiselle viendrait vivre chez vous, soyez heureux avec celle ci, vos mots n'étaient que mensonges, j'ai été idiote de les écouter et d'y avoir cru.. On ne m'y reprendra plus sachez le, voici la seule chose que je vous laisse.

Au revoir Seigneur de Saint Hilaire de Lignière

Grenat Von Strass
Dame de Marcoing


Elle laissa la missive sur le bureau sans doute la verrait il ou peut être pas, là toute de suite ça lui était égal, elle se sentait blesser, elle retenait ses larmes, les larmes ne servait à rien et ne changerait rien surtout.

Elle sortit du bureau, referma la porte derrière, à l'intérieur flottait une odeur de parfum, le sien peut être le sentirait il en rentrant...

La jeune fille quitta le Castel avec son escorte, dans l'attelage une larme coula sur sa joue, du revers de la main elle l'essuya.. La louve vint la réconforter, elle mit ses bras autour de son cou et laissa ses larmes coulaient, personne ne la verra pleurer au moins là..


Laska..pourquoi a t'il besoin de faire cela ? Pourquoi me dire qu'il m'aime alors qu'une femme s'installe chez lui..

La louve ne pouvait certes pas lui répondre mais elle était son réconfort son amie, sa confidente, elle était la seule qui connaissait tout ses secrets à part ses soeurs.. Ses soeurs lui manquait elle aurait aimer leur dire ce qu'elle venait de faire et donner le motif de cela mais elles étaient pas là..

L'attelage se diriger vers SA, pendant la route elle repensa à leurs baisers passionés, ces baisers qui avaient l'air si sincère, elle pensa aussi à chaque fois qu'il l'avait prit dans ses bras.. tout cela n'avait été que chimère se dit elle...

Ne plus penser à cela, ne plus penser à lui car ça faisait mal.. Elle se dit qu'une fois à SA elle irait voir sa cousine puis qu'elle quitterait la ville... Sans doute avait elle réagit de manière excessive ou en enfant gâtée, mais elle était amoureuse norf!

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Ca va péter !!!Il va pleuvoir du sang par hectolitre.C'est le bon vieux temps qui rapplique,La malchance,Les jours de guigne où tu crèves,la poisse!!! Sa revient mais aujourd'hui j'ai plus le choix ,je suis prêt pour la guerre.
Valric
À Saint-Aignan il avait de ses quartiers la "vieille bicote au toit qui coule"... Le bureau y était toujours et avait même trouver des parchemins et de l'encre pas trop sèche pour faire son travail... Plusieurs messives devaient être érites et il avait donner l'ordre aux gens de la maison de faire le ménage en leurs absence...

Il était à son bureau... Rédigeant un texte pour la Famille Valrose. Bah vous savez une histoire de Compagnie Portuaire à mettre en branle ... et un Garde du Plaix entra une missive à la main. Le Seigneur de Saint-Hilaire en Lignières haussa un sourcil... À voir comment le papier était plié, l'écriture... et la signature ne fit aucun doute... Grenat lui avait écrit et norf! Ça poitrine se sera. Son coeur ne fit qu'un bond et se gorge rétricit voulant protester aussi fort qu'il pouvait pour qu'elle l'entente!

Un foutu mal-entendu... Une parole dite mais mal-comprise et voilà... Il croyait revivre le même sénario qu'en Poitou mais là c'était pas au nom du Berry qu'il en prenait plein la gueule mais en son nom propre... Comme pour le Berry il ne se sentait pas vraiment coupable... Juste besoin d'expliquer les choses comme elles l'étaient...


Norf!

Il passa sa main en ses cheveux en bataille... Puis bon, il était homme de guerre, avait vécu des moments diffciles et enfin, ses expériences passées lui permit de voir claire... De penser juste et il plaqua un parchemin sur le bureau, trempa la plûme et commença à écrire...

Citation:
À la femme que j'aime,
Ma belle et chère,
Grenat Von Strass,

Il y eu je crois un fort mal-entendu. Jamais de ma vie et je le jure sur celle-ci il m'est passé l'idée de vous froisser et encore pire de vous blesser. Alors même que le toit de la cabane où j'ai élu domicile à Saint-Aignan me coule sur la tête, je peux déjà imaginer le triste spectacle de vos larmes à vos joues. Voilà quelques choses que je regrette mais laissez-moi maintenant la chance d'expliquer ce qui ce le doit.

Il y a effectivement une femme, que dis-je, une fillette qui s'installe au Castel du Plaix. Elle se nomme Merymerry. Elle fut confiée à la charge de la Duchesse de Chantôme Ysandre de Mystra pour qu'elle lui trouve un digne Parrain et Marraine. La Duchesse dans son immense sagesse a reconnu la valeur de la Famille Gambiani de Valrose faisant de ma soeur et moi ses Parrains & Marraines. Puisque la jeune Merymerry a de la Famille en Berry, puisque son père m'a confié sa tutelle et son éducation, j'ai prit sur moi la charge qu'il incombe de la loger et de la nourrir jusqu'à ce que son éducation soit complètée et qu'ainsi je me libère de cette tâche confiée.

Si vraiment vous m'aimez, vous reconnaîtrez la bonté du geste que j'ai posé ainsi je l'espère, vous rendrais-je fier quant au choix de la Duchesse de me faire confiance pour cette tâche.

Je suis homme de biens et d'honneurs,

Ces qualités furent reconnues et maintenant je dois remplir ce devoir.

Puissiez-vous retrouver les sentiments d'amour qui comme moi enflamme votre coeur et me retrouver à mes quartiers à Saint-Aignan.

Je vous aime,
Ne l'oubliez jamais...

Val.....


La final du tracé du "L" s'allongea sur le papier... Une tâche d'encre à son extrémité et il lâcha la plûme... Ses mains tremblaient mais encore il pensait clair. Il plia la missive et la confia à un garde lui disant de se poster aux portes de la ville. Sa Famille à elle était ici, elle passerait par Saint-Aignan il était pret à parier!
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Grenat
[ Sur la route entre le Plaix et Saint Aignan ]

Elle sécha ses larmes, arrivaient les yeux rouges et gonflés devant sa cousine ça ne le faisait pas. Grenat continuait de caresser sa louve, pensant à mille et une chose, machinalement elle voulu remettre son bracelet dans le bon sens, norf elle ne l'avait pas, elle se redressa et commença à le chercher dans l'attelage, mais rien...

Elle fronça les sourcils, elle réfléchit à se qu'elle avait fait, repassa sa journée en détail et impossible qu'elle l'est perdu, elle y tenait trop... Seule explication elle l'avait oublier à Plaix, elle se dit qu'elle enverrait quelqu'un le chercher...

Sa tête appuyer contre la porte de l'attelage regardant le paysage bérrichon défiler.. Des soupirs se faisaient entendre, elle baissa légèrement la tête c'était sa louve.. Une caresse derrière ses oreilles et puis elle eu le droit à une léchouille cela lui rendit un peu le moral et un très léger sourir.

En regardant de nouveau par la fenêtre elle aperçu Saint Aignan, elle y ferait une halte, passerait du temps avec sa cousine avant d'aller à Bourges rejoindre son père et ses soeurs...


[ Saint Aignan ]

A peine son attelage atteignit les portes de la ville qu'il fut stopper, mais bon sang qui pouvait bien l'arrêter et pour quiel motif surtout, le Berry n'était plus en guerre, les Auvergnats étaient partis, c'était sans doute un soldat qui venait la voir et lui dire qu'on l'attendait au Château de Bourges.

La jeune prêvot passa la tête par la fenêtre et ô surprise, devant elle se tenait un homme au couleur de Saint Hilaire de Lignière, elle fronça les sourcils.


Que voulez vous?

L'homme d'arme s'approcha et lui tendit la missive, elle reconnu le sceau de Valric.

Mon Seigneur m'a charger de vous la transmette.

Elle lui prit la missive et la posa prés d'elle.

Vous pouvez rejoindre votre maîstre et lui dire que j'ai bien reçu sa missive et que je la lirais si j'ai le temps.

A présent je vous laisse j'ai des millers de choses à faire.


L'attelage reprit sa route, à peine l'homme d'arme était hors de sa vue, elle prit la missive, elle était impatiente de savoir ce qu'il lui avait dit. Son coeur faisait des bons énorme en sa poitrine, des larmes..Comment avait il su? Norf! Il la connaissait bien, sans doute trop bien...

Il l'aimait et le lui avez redit dans la missive, dans sa tête tout se busculer, avait elle réagit avec impulsivité ? Avec jalousie sans doute? Valait mieux qu'elle arrête les questions car au fond elle même elle connaissait la réponse.

Elle fit arrêtait son attelage en ville, descendit, puis marcha dans les rues de la ville qui était assez calme, trop calme à son goût. Elle souria en voyant une petite fille se promenait avec sa mère, la gamine avez sans doute fait une bêtise car elle amadouer sa mère.

Grenat reprit son chemin, arriva en taverne, peu après son arriver, il l'avait rejoint, c'était parler de vive voix, s'était expliquer, il lui avait dit qu'il ne voulait pas la voir loin de lui, et qu'il l'aimait cela suffit à la faire taire...

Elle avait garder le silence de longues et interminable secondes, ils échangés des regards qui en disaient long, elle l'aimait et s'éloigner de lui ne lui réussit pas, elle posa son front contre le sien et lui avait chuchotter qu'elle l'aimait aussi. Ils s'étaient embrasser, réconcilier, un nouveau cap de franchit, une nouvelle épreuve de passer et réussit dans leur histoire qui continuer de s'écrire...

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Ca va péter !!!Il va pleuvoir du sang par hectolitre.C'est le bon vieux temps qui rapplique,La malchance,Les jours de guigne où tu crèves,la poisse!!! Sa revient mais aujourd'hui j'ai plus le choix ,je suis prêt pour la guerre.
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