Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3   >   >>

[RP] Aux portes de la ville... Benvenguda en Arle

Rixende
La jeune Normande marchait tranquillement le long des remparts qui se trouvait au côté de la porte d'Arles. Suniva avait insisté pour que Rixe quitte un peu l'auberge et vienne avec elle faire un petit tour afin de vérifier qu'il n'y avait pas de problème. L'ayant tout de même suivi la petit Normande pestait, se demandant à quoi pouvait bien servir les maréchaux si c'est elles qui devaient surveiller la ville.

Ce que c'est barbant ton machin Suni, la seule fois ou j'ai mis les pieds parmi les maréchaux pour aider, on m'a envoyé surveiller la place du village, au moins y'avait du monde c'était plaisant.
Mais là franchement, c'est d'un ennuie innommable
.

Elle se penche quelque peu puis de relève un vaste sourire aux lèvres.

Et si on faisait un peu de sport pour faire passer le temps.
On descend les escaliers en courant on touche la porte là bas et on revient en courant.
La première qui revient à gagné
.

Sans même attendre la réponse de sa frangine elle s'élance dévalant les escaliers à tout allure, légère glissade en touchant le sol de terre et elle repart à fond de train vers la grande porte.

Attention laissez passer , urgence, attention......

Et voilà qu'un encapuchonné de première reste planté pile à l'endroit où Rixende déboule telle une furie, malgré son freinage d'urgence elle ne peut s'arrêter et c'est en hurlant qu'elle s'aplatit contre l'encapuchonné qui n'avait rien demandé à personne. Sous le choc l'encapuchonné perd pied et glisse contre le rempart qui amortit sa chute. Rixende quand à elle continue sa course dans un des buissons qui se trouvaient à côté de la porte.

Elle grommèle en sortant de son buisson et fixe l'homme qui la regardait étonné. Le sang de Rixende ne fit qu'un tour alors qu'elle s'en retourne auprès de lui, passablement énervée et la tignasse garnit de magnifique reste du buisson percuté.
.

Pouviez pas faire attention non, z'avez pas entendu comme je hurlais, tout le monde est parti sauf vous.
Si je courrais après un brigand là, il se serait enfuie parce que vous n'êtes pas foutu d'ouvrir vos oreilles, c'est votre capuche qui vous empêche d'entendre peut être
.

Elle n'avait même pas fait attention à la personne qui se tenait devant elle. Dommage il aurait été mieux pour elle qu'elle le reconnaisse.
Cherchant du regard Suniva elle attendait bras sur le ventre
.
_________________
--Artacoquillus


Ainsi fut son premier contact avec la milice du village, bousculé par une milicienne courant après... après quoi d'abord ? Artacoquillus se le demandait bien. Il se releva, soupira, remit sa capuche confortablement sur la tête, puis répondit, le plus calmement possible..

Et bien je me fais vieux. Voyez. Pas l'oreille fine. Je suis sur que vous ne m'en tiendrez pas rigueur, et... me laisserait poursuivre chemin. Votre traque au brigand prime.


L'envie d'envoyer promener la jeune écervelée se faisait de plus en plus forte, mais ce n'était surement pas le lieu le plus adéquat pour faire cela. Il devait retrouver Edwald, l'héritier de la coquille, et seul cet objectif l'importait...

Puis je poursuivre ma route ? ou bien avez vous encore une envie subite de courir après le vent et de bousculer les pauvres vieux comme moi ?


___________________________
Artacoquillus, car une coquille qui roule n'amasse pas moule !
Suniva
Elle avait réussi à faire quitter sa chambre à Rixende. Les deux jeunes femmes arpentaient les remparts en devisant. Comme d'habitude, Suniva ne pouvait placer un mot et sa future belle-soeur trouvait à peine le temps de respirer entre deux râlerie.

Tout à coup, après un regard au bas de la murailles, la Tornade décrêta qu'il était temps de passer à autre chose et organisa une course.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Suniva n'eut pas le temps de répondre qu'elle ne pouvait quitter son poste ainsi que la gamine était déjà partie à fond de train. La jeune milicienne s'élança à sa suite avec un temps de retard et c'est arrivée au bord de l'escalier qu'elle put suivre la suite des évènements. Passé la surprise, chacun put entendre un grand éclat de rire quand une Rixende hirsute réapparu du fond d'un buisson après avoir percuté un pauvre quidam.

C'est entre deux hoquets de rire que Suniva toujours dominant la situation du haut de l'escalier, lança à sa frangine...


" - Je n'ai peut-être pas gagné ta course mais en tous cas, j'ai assisté à du grand spectacle, Damoiselle catastrophe !! "


Et voila que la reine de la galipette apostropha le pauvre homme vêtu d'un large capuchon. Suniva lui trouvait drôle d'air à cet homme mais malgré tout elle protesta tout en dévalant les degrés de pierre.


" - Ah ben tu parles d'un accueil ! Heureusement que tu n'es pas le tribun d'Arles toi !! En plus de maladresse, tu fais maintenant preuve de mauvaise foi Rixende."


Ayant rejoint les deux "accidentés", Suniva se tourna vers l'homme tentant de bien voir ses traits dissimulés par la capuche, après avoir admonester la gaffeuse.

" - Excusez-là, Sieur, elle ne sait pas ce qu'elle fait, elle est encore qu'une jeune donzelle sans cervelle.... Sieur.... ? Moi, je suis Suniva, milicienne d'Arles certains jour et tavernière quand la surveillance m'en laisse le temps. Benvenguda en Arle, Sieur..."


Puis je poursuivre ma route ? ou bien avez vous encore une envie subite de courir après le vent et de bousculer les pauvres vieux comme moi ?


" - Bien sûr !! Allez y. Et si je peux vous renseigner... "

_________________

Tu aimes lire les RP ? Alors une bonne adresse : RPartage
Rixende
A peine eu t'elle finit de s'énerver que Suniva débarque. Toujours au bon moment celle là pour enguirlander la petite Rixe.

Ah c'est maintenant que t'arrives toi. Une fois que tout est finit.
C'est toujours pareil c'est quand les autres ont fait les bêtises pour toi que tu débarques
.

Puis se tournant vers l'encapuchonné.

Bon j'avoue je suis de mauvaise de foi, pardonné moi, mais ouvrez vos oreilles la prochaine fois.
Ah oui puis bienvenu à Arles
.

Puis revenant vers Suniva.

Euh t'es pas censée surveiller les remparts toi?
Hum, c'est pas mon problème ceci dit.
Suni désolé mais tes remparts je supporte plus, je vais retourner à l'auberge voir si Ed n'a pas besoin d'aide.
Remarque y'a pas foule au tas de coquille.
Tiens maintenant que j'y pense elle porte bien son nom
.

Elle fixe à nouveau l'encapuchonné en souriant.

Si vous passez à l'auberge un de ces jours, mon frère, Suniva et moi même vous accueilleront avec plaisir.

Elle regarde Suniva espérant que cette dernière la laisserait quitter les remparts.
_________________
--Artacoquillus


C'était donc elle, la soeur du Coquillard, et à ses cotés la compagne d'Edwald, l'homme ne pensait pas les rencontrer de cette manière. Le coquillard aurait il tourner sa veste ? des miliciennes dans sa famille, l'étrangeté de la situation laissa sans voix le brigand durant quelques minutes...

Vous êtes donc la soeur et la compagne d'Edwald de la Coquille... Et bien je vais me rendre à cet auberge... Ed est un vieil ami .. je dois le rencontrer.

Il ignora clairement la demande cachée sur son identité, préférant poursuivre sa route et constater de lui même ce qu'était devenu le jeune apprenti. Depuis le bourbonnais Auvergne les deux hommes n'avaient pas eu l'occasion de se rencontrer, Artacoquillus reprit son chemin après avoir aimablement saluer les deux femmes..





___________________________
Artacoquillus, car une coquille qui roule n'amasse pas moule !
Suniva
Suniva ouvrit la bouche pour laisser passer un flot de question. Cet homme semblait connaitre Edwald mais ne semblait pas enclin aux présentations... La coquille... Le petit bijou d'or et les confidences de son tendre lui revinrent en mémoire...

L'individu louche s'était déjà éloigné ; Suniva devait assurer son service... Elle observa la sombre silhouette, réprima un sentiment d'inquiétude et haussa les épaules... Edwald devait savoir ce qu'il faisait et qui était ce voyageur sans nom... Elle lui en parlerait en rentrant.

La jeune milicienne se tourna vers Rixende...


" - Allez va. Je te laisse aller arranger un peu ta toilette ! T'es aussi touffue que le buisson dans lequel tu as plongé, Rix. Je retourne là-haut à la surveillance des murs... A plus tard et n'oublies pas la vaisselle ! "


Accompagnant ses derniers mots d'un rire moqueur, Suniva retourna à l'escalier de pierre qu'elle gravit lestement, main posée sur le pommeau de son épée pour la relever légèrement afin qu'elle n'entrave pas sa course...
La relative solitude du chemin de ronde lui permettrait de réfléchir à cette rencontre étrange

_________________

Tu aimes lire les RP ? Alors une bonne adresse : RPartage
Reiner
Petit matin, Reiner fait sa promenade à cheval comme à l'accoutumée.

Des bannières, des tentes, devant la ville !...
Les couleurs de notre comtesse et celles Dame Hersende !...
Allons nous avoir grande réception ?
Normalement oui. Un banquet pour le moins.
Vite, allons voir ce qui se dit, l'événement a dû réveiller tout Arles.

_________________

Rêveur de Noves - Entre Rhône et Durance
Ledzeppelin
Leurs deux chevaux arrêtés en vue de la ville de Arles, les deux Comtesses échangèrent un sourire.

Voici Arles !

Une silhouette près des portes semble les regarder arriver et tenter de reconnaître les fanions. Ne serait-ce pas Messire Reiner qui vécut il y a peu à Aix avant de devenir arlésien ?
_________________

Suniva
Suniva était aujourd'hui encore milicienne. Depuis l'aube, elle avait parcouru le chemin de ronde tout en observant avec curiosité le campement coloré qui peu à peu sortait de terre.

Palefrois et destriers, bannières claquant dans le mistral, silhouettes vêtues de couleurs chatoyantes allant d'un pas lent de l'un à l'autre, hommes en armes côtoyant des personnages affairés : servante allant puiser de l'eau, valets en livrée portant blason et parchemins en main qui courent accomplir leur devoir de messagers...
Brouhahas, cliquetis métalliques, hennissements donnent vie à la scène.
Magnifique spectacle qui s'étale sous les yeux de Suniva dans la pâle lueur du soleil de cette fin d'année...

Depuis trop peu de temps en Provence pour reconnaitre les armes, la jeune normande déracinée souriait à l'idée des affaires qu'allait faire la taverne de son tendre. Heureusement que l'auberge avait désormais assez d'allure pour prétendre à recevoir des voyageurs de marque. Pour sûr que le Tas de Coquilles allait être envahi.

Les multiples étendards continuaient d'attirer le regard de la jeune femme, penchée au bord d'un créneau, elle cherchait vainement à savoir qui étaient les nobles personnes sitôt arrivées en Arles sans s'être annoncées.

Elle en était à se promettre de poser la question au gentil Reiner quand, se tournant vers la ville, elle l'aperçut allant fièrement sur le beau Fangio. Ni une ni deux, voici notre Suniva, longue traine de cheveux bouclés la suivant qui descend la volée de marche en apostrophant le cavalier.


" - Reiner !!! Hoooo !! Reiner !!!"


Arrivée devant Reiner qui a stoppé sa monture, Suniva tout sourire, prend le temps de caresser le chanfrein du destrier, une lueur admirative dans les yeux puis salue l'arlésien.


" - Bonjour Sieur Reiner !! La bonne journée ! Dites... Nous avons de la visite hors les murs. Vous avez vu ce campements ? Je les observe depuis que j'ai pris mon tour de garde... Sont arrivés tôt. Pourriez-vous me dire de quelle noble compagnie il s'agit ? Quelqu'un d'important sans doute au vu de l'escorte de soldatesque et de petites gens... "

_________________

Tu aimes lire les RP ? Alors une bonne adresse : RPartage
Reiner
"Oh, bonjour Suniva. Comment allez vous ?

Oui, vous avez vu ces belles tentes et ces oriflammes.
Je pense bien que voilà des personnes importantes. Ni plus ni moins que notre comtesse Dame LedZeppelin et l'accompagnant, Dame Hersende notre prévôt et comtesse elle-même.
Sûr qu'il va y avoir belle réception en ville, du moins, j'imagine.

Je vais écourter un peu la balade de Fangio et aller voir ce qu'il en est.
Mais peut-être vais-je faire un petit détour par ce campement avant, histoire d'aller goûter quelque bon vin. Dans pareil équipage, même les tables des soldats doivent être appétissantes.
Je vous raconterai. Hé hé !"

Souriant, le jeune homme fait faire volte-face à sa monture et l'engage vers les portes de la ville.

_________________

Rêveur de Noves - Entre Rhône et Durance
Suniva
Et bien oui. Reiner est au courant lui. La Comtesse, la Comtesse de Provence est en Arles et on n'en a rien dit !

Suniva n'en revient pas et c'est le bec cloué par la surprise qu'elle regarde Reiner qui ne s'est pas privé de la taquiner, s'en aller au pas alerte de Fangio.


" - Par la morbleu... Faut que je prévienne ma grosse motte de beurre normand avant qu'il ne fasse la sieste. Je parie qu'il y a des affaires possibles pour la taverne !"


Et de remonter à son poste, la tête basse pour continuer d'observer de loin le riche campement... Finit par grommeler, deux mains posées sur les pierres des remparts, que la Comtesse a sans doute peur des arlésiens pour ne pas oser rentrer dans sa ville.

_________________

Tu aimes lire les RP ? Alors une bonne adresse : RPartage
Vivivivi
Sucetteaunutella a écrit:
Su était ravie d'être de retour, contente de son voyage certes, mais néanmoins ravie d'être rentrée. La route avait été dangereuse, surtout pour Ise partie trop tard et qui n'avait pas pu profiter de la protection qu'offrait un groupe.
Nîmes avait été accueillante, surtout par d'autres voyageurs, de même que Montpellier, ville fantôme où parler en taverne semblait un délit.

Vive Arles !! Vive Arles, ses habitants, ses tavernes, sa halle, son marché, sa mairesse !!!!


Se dit qu'après cela, même si elle ne voulait pas faire un 8ième mandat donc une fois de plus le 3ième d'affiler,..... qu'elle ne pourrait que, se reproposer à sa propre suppléance.


VIVE ARLES ! MAIS SURTOUT, VIVE LES ARLESIENS
Suniva
[Ronde d'hiver... ]

Une fois de plus, Suniva s'était cuirassée de cuir bouilli, avait ceint son baudrier, attaché son bouclier ; son carquois à l'épaule et l'arc à la main, elle s'était rendue sur les remparts d'Arles.

Les ordres pris, elle s'était postée entre deux créneaux, face au chemin menant en Avignon.

Le ciel était aussi bleu qu'en été, mais le soleil bien qu'éclairant la Provence était bien trop faible pour réchauffer quoique ce soit. Le nez rougit par le gel, Suniva avait posé son attirail de milicienne en appui contre la muraille et tentait de se protéger de la froidure en s'enroulant dans sa cape de gros drap. Les yeux rivés sur les abords du village, elle grelottait attendant un éventuel voyageur... En cette saison, danger et climat n'incitait que peu d'aventuriers. Seuls ceux que les déplacements faisaient vivre prenaient la route... Colporteurs, marchands ambulants et autres menestriers parcouraient la Provence à la recherche de la fortune...

D'autres étaient à l'affut, la faim aidant : Les brigands et les loups. Suniva tout à sa surveillance, songeait à tout ceci : Brigands et loups devraient se manger les uns les autres. Tout le monde serait content, surtout les voyageurs. Un gloussement s'échappa de dessous le capuchon qui protégeait les boucles auburn suivit aussitôt par un hurlement qui fit frémir la jeune femme.


" - Un loup... Manquait plus que ça !"


La milicienne prit son arc et se pencha vers l'orée des bois environnants, cherchant d'un regard acéré l'auteur de cet appel angoissant...

_________________

Tu aimes lire les RP ? Alors une bonne adresse : RPartage
--Artacoquillus


Voici plusieurs semaines que la question le taraudait. A de nombreuses reprises, Artacoquillus le vaillant sac à vin mais néanmoins ancien membre de la coquille se plaisait à observer la milice du village et à reconnaitre régulièrement Suniva, compagne d'Edwald.

Caché sous son épais imper et toussotant de manière maintenant régulière, il grimpa les marches qui amenaient aux murailles et reconnut une nouvelle fois la milicienne de l'auberge de la coquille.

D'un pas plutôt lent il s'avança vers elle, cette dernière semblait scruter l'horizon à la recherche de quelque chose.

Artacoquillus se colla à la muraille et observa...


Y'a rien là bas ! Gneu !

Il n'y voyait surement pas assez bien pour pouvoir voir si loin mais c'était là une petite occasion gratuite de raler, et ça, il adorait.

Sunioua. Fais un moment que je souhaite t'parler de la milice et tout... Toussotement ... c'genre de truc que tu fais tous les jours. T'as un moment pour un vieil homme comme moi ?



___________________________
Artacoquillus, car une coquille qui roule n'amasse pas moule !
Suniva
Sunioua. Fais un moment que je souhaite t'parler de la milice et tout... Toussotement ... c'genre de truc que tu fais tous les jours. T'as un moment pour un vieil homme comme moi ?

Perdu dans sa recherche d'une silhouette ressemblant à un loup, Suniva n'a pas entendu arriver Arta. Vexée de se laisser surprendre et reconnaissant le vieil ivrogne, son sang ne fait qu'un tour ; la main toujours crispée sur son arc, elle se tourne vivement vers le vieillard, prête à mordre.
Le ton doucereux de l'homme ne lui plait pas et donc... elle mord !


" - SUNI-V-A !!! Je me nomme SU-NI-VA !! C'est pourtant simple !! Si vous êtes là pour essayer de me convertir au vin chaud, c'est pas la peine ! Si c'est pour vous faire embaucher dans la milice, c'est pas la peine non plus ! On recrute que des gens vaillants ! Et si c'est Edwald qui vous envoie... Vous perdez votre temps ! Na !"

_________________

Tu aimes lire les RP ? Alors une bonne adresse : RPartage
See the RP information <<   <   1, 2, 3   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)