Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 14, 15, 16, ..., 23, 24, 25   >   >>

[RP] Eglise de Bayonne

Lysee
Lysée regarda longuement la porte de l'église d'un air distrait, elle n'était pas vraiment pressé de partir. Elle lança un regard rapide à son frère, et fut étonné qu'il n'ai plus l'air d'avoir 20, ni 16 ans, mais on aurait dis plutôt un garçon de 14 ans tout au plus. Elle sentit l'étreinte de son frère et la lui rendit avec un sourire, puis, elle lui fit signe de sortir ou d'attendre sur un banc pendant qu'elle lançait un regard au valet Mathusin, qui se décala pour la laisser entrer dans le confessionnal. Elle attendit un instant avant de dire:

-Vous vous appelez sir Watelse ou non ? Et j'attends toujours vos questions moi, alors si vous n'avez pas fini votre interrogatoire je vous prie de le finir ou me laisser partir.

Elle fit un air accablé, cet homme était vraiment un idiot qui ne pensait qu'à sa petite personne. Amusant néanmoins, dans l'absolu.
Watelse
De cet interrogatoire, G.L.Watelse voulait tirer certaines conclusions. En voyant la jeune femme, il l'avait tout de suite pris pour sa promise. Quoi de plus pertinent alors de lier sa réelle promise et la donzelle par un lien quelconque. Si la première venait à dépérir, l'autre prendrait bien vite sa place, et ce faisant, Watelse ne serait plus jamais veuf. La "roue de secours" montrait quelques impatiences, mais Watelse estimait qu'à cet âge "on a tôt fait de les briser, ces démones":

Je cherche une dame de compagnie pour ma promise, Ellya de la Duranxie . Vous avez sensiblement le même âge, et même si vous ne semblez point avoir développé les mêmes qualités hautement appréciées chez les nobles, il est rassurant de contempler votre calme et votre acceptation partielle devant les hommes: d'autres péronnelles m'auraient déjà volé dans les plumes depuis belle lurette! Votre prix sera le mien, je ne suis pas à traiter mes gens comme des esclaves, fussent-elles par malchance femelles. Il faudra néanmoins réduire dès à présent votre caquetage, vous me ruinez les oreilles, et risquez d'ennuyer Madame Watelse.

Il n'était à douter, pour Watelse, que son offre était d'un extraordinaire non refusable : quel prestige, quelle gloire de servir sa famille!
_________________
Lysee
Lysée regarda l'homme dans les yeux pendant quelques instants, peut être quelques secondes, avant de se mettre a lui rire au nez.

-Est-ce une blague ? Vous voulez que je vous serve ? Comme une servante ? Et en étant payé ?

Elle avança vers l'homme, et se mit devant lui, les mains sur les hanches, en lui lançant un regard noir, puis après l'avoir bien observé pour voir s'il plaisantait ou non, elle du admettre qu'il était d'un sérieux plutôt inquiétant.


-Je n'ai pas la noblesse de certain, néanmoins je sais rester un tant sois peu, digne. Or voyez vous, si vous aviez grandit chez des gens normaux comme moi, vous sauriez qu'on ne m'achète pas. Si vous voulez que je vous rende service messire, ce sera gratuitement, et j'aurai à cœur de le faire. Je vie pour servir les autres, et nous pour leur arracher leur bien comme une sangsue. Me suis-je bien fait comprendre ?

Elle croisa les bras, puis termina:


-Je serai ravi de vous aider, mais sa sera gratuitement.
Solore
Entend la voix forte de Sieur Watelse, mais n’en a cure. Il fallait qu’elle trouve ! Vite !

Entre de nouveau dans la pièce et se penche sur le grand registre dont elle tourne les pages une à une, les écritures changeant au fil du temps et des curés …
Reconnait au passage celle du Père Oroch, « cet imposture de Curé » comme l’appelait Condemned. Rit silencieusement à ce souvenir … Le curé le plus drôle et le plus spécial qu’ait eu Bayonne, mais on ne s’ennuyait jamais avec lui ! Secoue la tête, toute à ses souvenirs …

Ah ! 1429 … Tourne quelques pages … Tant de morts cette année-là ? En tourne encore quelques-unes, suivant de son index chaque nom, chacun le rapprochant sûrement de Dame Watelse. Tourne encore une page, puis une autre … 1428 …Décembre … descend le doigt lentement … puis le remonte doucement sur la page de gauche … Novembre … Sent son cœur qui s’affole … Ca y est, elle est là ! Soudain fébrile, lit les quelques lignes :




En ce jour de 21 Novembre 1428, le corps sans vie de Dame Blanche, Douce épouse de Sieur George Léonard Watelse a été retrouvée sur le sentier des dunes menant à Bayonne et mise sous la protection du Très-Haut en ce même jour.


Tourne la page avant, lut le décès de la personne précédente, relut celui de Blanche, puis le suivant … Fronce soudain les sourcils … Vérifie rapidement qu’ils se trouvent sur tous les autres actes … Oui ! Ils sont là, sauf sur celui de Dame Watelse !

Referme le registre, le replace dans l’armoire dont elle referme les portes et le dos appuyé dessus, se force à reprendre une respiration régulière et essaie de réfléchir calmement.
--Ordeon
Ordéon écoutait d'une oreille, et fut prit de colère quand il entendit l'homme proposé a sa sœur de devenir son esclave. Il croisa les bras et continua d'écouter la conversation et sa sœur proposant de travailler pour lui gratuitement. Il sentit un frisson glacé lui traverser le corps, et hérissant ses cheveux, puis d'un bon il se leva et tira sa sœur par le bras pour l'écarter de l'infâme bonhomme.

-Mais es-tu folle Lysée ? Quitte a travailler pour cet homme, demande au moins de l'argent, ne serait-ce que pour ta dignité, et pour montrer que tu défendra tes droits et ton honneur. jusqu'au bout. Tu ne va quand même pas te laisser faire par ce vieux sénile qui veux se servir de toi comme si tu étais son esclave ? Ce n'es pas parce que tu es ma demi-sœur que cela m'empêche de te protéger contre des hommes tel que celui-là.

Il la tira un peu plus par le bras, avec une tel force qu'il aurait pu lui casser les poignets, mais il lâcha vite sa prise quand il aperçu une main arriver avec une telle vitesse sur sa joue qu'il fut précipité au sol, à un mètre au moins de sa sœur. Celle-ci lui avait mis une gifle dont il était sur de se souvenir toute sa vie et même après.

Watelse
Aux dires de la gamine, Watelse se gaussa : une gueuse à son service, et aucun sou à débourser.

Aux protestations du gamin, Watelse ricane. Un autre esclave en devenir. Esclave des femmes. Il avait une de ces envies de lui cracher dessus son dégout...

Gratuitement vous dites? A ce moment là, je ne peux qu'acquiescer, mais ne saurais imposer votre horrible bavardage à Madame Watelse, si elle ne vous souffre! Vous passerez donc dans notre demeure dans la semaine, que je vous la présente, et nous verrons bien si votre présence lui donne de l'urticaire. Ou pas.

Watelse se fit plus sérieux et plus dur de ton:

Mais quoiqu'il sorte de votre bouche de vipère, je ne VEUX en aucun cas que vous entachiez sa pureté de votre bave, de vos insinuations sur la liberté des sexe, et de l'équité entre toute personne: Il n'y a qu'un Ordre: La femme reste à genoux devant l'homme, et le gueux baise les pieds de son seigneur.

Watelse ponctua ses dernières paroles d'un geste hautain lui signifiant de s'en aller.

Que ma volonté soit faite... Mon serviteur viendra vous quérir. ... Et n'amenez en aucun cas votre chien... ajouta-t'il désignant du menton le demi-frère de Lysée.

hrp: Désolé pour le contretemps de cette réponse. Au plaisir de vous lire toujours... LJD Watelse
_________________
Lysee
Lysée n'aimait pas la façon dont lui avait parlé l'homme, autant a elle qu'a son frère. Elle remarqua que le Sir Watelse avait une irrépressible envie de lui cracher au visage, quand a Ordéon lui, on aurait dit qu'il voulait simplement le voir rotir en enfer dans les plus terribles souffrances, ce qu'elle pensa aussi pendant un cour instant. Alors que l'homme semblait vouloir partir, elle le retint par l'épaule, sachant parfaitement que celui ci en serai dégouté, puis dit d'un air hautain:

-Je n'ai rien dis sur l'équité des sexes. Je serai une femme soumise à l'homme que j'aimerai, mais pour le moment...

Elle écarta les bras d'un air disant "j'ai la vie devant moi pour trouver quelqu'un."


-Mais vous, vous ne méritez pas qu'on sois a vos genoux. De plus vous pouvez me traiter de tout les noms, mais pas mon frère. Donc non Sir Watelse, je ne travaillerai pas pour vous, pas avant que vous ayez appris la politesse. Et si vous recommencez a insulter Ordéon, je vous jure que vous vous prendrez une raclée dont vous vous souviendrai toute votre vie... enfin pour le peu qu'il vous reste a vivre vu votre age avancé.

Elle attrapa Ordéon par le bras, le releva, sortit de son sac une pommade pour sa joue rouge, puis sortit la tête haute, mais le regard sombre.
Watelse
Watelse commença par s'épousseter du bout des doigts sa veste élégante que les pattes de l'oie blanche avait ternie. L'arrogance de la fillette lui faisait penser à ces derniers cris des condamnés avant qu'on les égorge. C'était d'ailleurs la destinée de plus de la moitié des gueux qui croisait le chemin de G.L.Watelse. La piaffeuse ne ferait certainement pas exception à la règle, avec un tel irrespect des grandes gens et un mépris total des règles de convenance devant un homme tel que Georges Léonard Watelse.

Néanmoins, Georges Léonard Watelse n’avait cure de ces bisbilles sans but.

Il se sentait en veine. Il prendrait bientôt femme, et retrouverait par là, et par d’autres biais plus cachés, toute sa dignité d’homme. Seule la pugnacité de la mairesse le préoccupait : ses derniers débordements au cimetière avait mis le doute sur son passé, et il ne pouvait que se douter qu’elle irait lui chercher noiseries à ce sujet. Un coup d'œil vers la sacristie où elle s'est enfermée.

Il crie, sans prendre garde à la présence de Lysée et de son frère, ni de l'écho de sa voie dans la nef, multipliant par dizaine ses exclamations:


Que diable ! Je ne crains rien d’une femelle. Et si elle en appelle aux juridictions religieuses pour trancher sur mon sort, je me ferai maitre d’un nouveau dogme.


Et voici le mégalomane rêvant d’une nouvelle religion où il tiendrait fièrement la place de demi-Dieu sur Terre:

Demi-Dieu ? Non ! Soyons fou, Georges ! s’écria t’il , ignorant avec dédain, le regard d'un Aristote de pierre près de lui. Soyons fou ! répéta t’il, parlant de lui-même comme d'un autre, une entité sacrée. Faisons de Georges un Dieu vivant, il ne fait jamais rien à demi…

Plus bas:

Ah Douce Ellya… Vous auriez l’honneur de toucher à mes divins muscles ! M’honorant de caresses autant que de gratitudes…

Un soupir. Son visage respirait la joie. Un sourire presque niais aux lèvres il commença à inventer au fil de l’eau les premiers commandements de son dogme, les récitant tout haut, déambulant parmi les bancs :

« Courir aux poules et aux oies blanches tu ne devras point
A moins que cela ne soit pour en apporter une cuisse au Dieu Watelse »

« La femelle ne parlera que pour citer louange à son Dieu et mari
Dont elle devra masser les doux pieds après un long chemin entrepris »


Se pourrait-il qu’il ait trouvé sa vocation, si tard dans le cours de sa vie ?
Tiens, voilà quelqu’un à qui faire part de ses projets. Il l’accosta.


HRP: que celui qui veut que Watelse l'accoste, vienne.. Il serait ravi de lui tailler bavette.
_________________
Anna295
Anna entra dans l'église de Bayonne afin de tenter d'y trouver Monseigneur Zouzouille à propos de sa pastorale en cours.
Ayant poussé la porte son regard se porta aux alentours. Pas de Zouzouille!

Elle s'avançat donc le long de la nef pour atteindre le confessional, sait on jamais peut être est elle en train de soulager des consciences....
Son regard fut attiré par la personne qui lui donnait le plus de frissons d'horreur à Bayonne, mais la politesse voulait qu'elle le salut tout de même.

Adishatz Messer Watelse! Vous sentez vous mieux? Etes vous calmé?
J'ose esperer que vous avez trouvé la sérénité dans notre église...


L'examinant de plus près, et malgrés la penombre environnante, elle remarqua la mine enjouée de l'homme.
Se demandant bien quel coup pendable il pouvait encore mijoter dans sa tête tortueuse, elle attendit toutefois la réponse.
Elle se tenait prête à réagir, sentant l'épée à son coté, la langue prête à répondre à une nouvelle follie.


(hrp : j'ai été un peu longue et peut etre esperiez vous quelqu'un d'autre...)
Watelse
La grande bringue à la croupe large l’aborde avant même que Georges Léonard Watelse n’ouvre les lèvres.

Me calmer? Moi? Georges Léonard Watelse garde toujours osn calme. Un être divin regarde avec mansuétude toutes les créatures aussi bêtes et insipides soient-elles… du moment qu’elles Me servent avec le plus grand dévouement.

Watelse s’allonge sur un banc.

Massez ! Massez, vous dis-je ! Massez votre maitre, votre dieu vivant!


Son corps se trouvait ainsi bien bas tandis que son esprit communiquait avec l’Ailleurs. Il bavardait gaiement avec Aphrodite, déesse de l’amour, qui, plus il la regardait, ressemblait à s’y méprendre au roi Levan. Il gambadait maintenant parmi les nuages, le bourru Héphaïstos accroché solidement à sa taille, essayant de dépasser le rapide Osiris sur son chariot de feu. Tous les dieux anciens, même Toutatis, s’étaient réuni autour du plus Grand, le plus respectable des Respectés, le plus honorable des Honorés, le plus puissant des Puissants… le dieu suprême Watelse. Applaudissements par-ci, lancées de fleurs par là. Son torse n’en finissait pas de se bomber de fierté et d’égo en pleine expansion.

Il ouvre les yeux dans une église silencieuse.


Seriez-vous dure de la feuille, mamelle ambulante ?!


HRP: Attendre quelqu'un d'autre? Non, vient celui qui veut jouer, voilà tout.
_________________
Solore
Regarde depuis un moment, Anna et Sieur Watelse en pleine discussion. Celui-ci, soudain, défait ses bottes et s’allonge sur le banc. Mais que va-t-il encore nous faire, cet énergumène ?

S’avance vers eux, plus à réfléchir sur ce qu’elle a lu ou plutôt pas lu sur le registre. Regarde Anna qui semble ne plus vouloir riposter, puis s’infiltrant entre le banc où est allongé Watelse et le suivant, penche son visage au dessus du sien.

L’observe sans mot dire. L’homme est en extase, les yeux dans le vague et le sourire aux lèvres. L’homme pourrait être beau, s’il n’arborait sans cesse cet air dédaigneux, cette arrogance, ce sourire méprisant. Soudain, le voici qui, d’une voix forte :


Massez ! Massez, vous dis-je ! Massez votre maitre, votre dieu vivant!


Lui pose alors, la main sur l’épaule et se penchant encore plus vers lui, ses lèvres affleurant l’oreille de Watelse, lui murmure :

- Qu’est-il arrivé à Dame Blanche, Sieur Watelse ?


Relève légèrement le buste et avant que l’autre n’ait pu répondre, à peine plus fort que sa première question :

- Certaines choses me troublent … mais je trouverai

- Attache un moment son regard à celui de l’homme et sans plus en attendre, se redresse et va rejoindre Anna dans l’allée. Le regarde silencieusement et se demande si à Bayonne, quelqu’un à souvenir de Dame Watelse … Va aller chercher aussi au bureau de police … Il doit bien y avoir trace de cet accident … En était-ce un ...
Anna295
Anna regarde quelque peu éberluée le sieur Watelse qui lui demande de lui masser les pieds. Elle n'en revient pas d'une telle demande et dans une église en plus!

Elle se dit qu'il faut être bien dérangé de la tête pour faire une demande pareil à un lieutenant de l'Ost, et dans un lieu tel que celui ci.

Et puis petit à petit les paroles entendues entrent dans son cerveau et font leur chemin... Il a parlé de lui comme d'un être divin? Se croit il vraiment au dessus des autres?


Je constate que vous deraisonnez encore Messer... ou alors c'est que vous avez oublié la très sainte inquisition... Vous devriez garder pour vous des follies de la sorte. Sans compter que vous profanez ce lieu en parlant ainsi...

Elle regarde ses pieds débottés, fronce le nez eut égard à l'odeur mais n'en fait aucun commentaire.

Vous voulez vraiment que moi, je vous masse les pieds?
Il est temps pour vous de reprendre femme, je le concède... Cela vous apporterais surement un peu de sagesse, vous en manquez tout particulièrement ces temps ci!


Un Dieu? Mais comment un homme tel que lui, qui ne sait se maitriser, pourrait etre un Dieu? Il semble plutot ressembler à un homme, avec tous ses défauts...fièreté mal placée, vindicatif, tout sauf altruiste et indulgent.... Un homme perfectible comme tous les autres...

Et physiquement? comment pourrait elle s'exclamer au premier regard Ecce Homo?
Non, auncun doute là dessus Messer Georges Léonard Watelse devra bien d'une façon ou d'une autre se rendre compte qu'il ne vaut pas mieux qu'un autre... Bref il est largement dans la moyenne et l'avis d'Anna le pousserais même plutôt dans la moyenne basse.

_________________
Semper fidelis...
Misteart
Misteart venait a l'église non pas pour y prier... mais pour y rencontrer un gérant,.. celui qui s'occupe des morts.. de les envoyer dans leur dernières demeures. Misteart se devait de préparer ces enterrements afin de leur rendre un dernier hommage. Elle entre alors dans l"église discretement. Elle y contourne alors par la droite pour ne pas se faire reperer de ses amis presents en train de discuter et des autres croyants. Elle cherche donc après divers affiches ou tout renseignement a ce sujet. Ne trouvant rien elle se permet donc de se rendre au petit bureau ou peut etre elle y trouvera quelqu'un. Elle frappe donc a la porte et attend sagement tout en scrutant ce qui se passait autour d'elle.
_________________
L'art et rien que l'art, nous avons l'art pour ne point mourir de la vérité.
Solore
Se retourne au bruit de la porte qui s'ouvre et suit des yeux la silhouette de Mist qui se dirige vers la sacristie, qui frappe à la porte et qui attend devant.

Laissant Watelse et Anna à leur conversation, se dirige vers Misteart. Lui parle à voix basse.


- Il n'y a personne à l'intérieur ... Nous n'avons plus de curé depuis fort longtemps,ni diacre, ni sacristain, ni bedeau ... Qui cherches-tu exactement ?

Lysee
Lysée se baladait comme à son habitude sur les chemins, croisant des gens, essayant de retenir leur visage, une chose qu'elle détestait mais qu'elle devait faire, simplement pour se rappeler des personnes à qui elle s'adresse. Il était vrai qu'elle n'était pas sorti de chez elle ces derniers temps, trop occupé à travailler dans son champ ou a faire des gâteaux. Elle se dirigeait donc sans grande conviction vers l'église où elle avait été il y a peu de temps. Elle espéra ne pas croisé le Sieur Watelse qui l'avait réellement ennuyé la dernière fois.

-Foutaises. C'est la seule personne qui m'ai vraiment distraite jusqu'à présent, pensa-t-elle à voix haute.

Elle regarda autour d'elle, ravi que personne ne l'ai entendu, et entra dans l'église d'un air discret. Cette fois son frère ne pourrait pas venir la déranger, trop occupé a manger des tartes au pomme, et elle pourrait donc méditer sans vraiment être déranger. C'est au bout de quelques secondes qu'elle aperçu le Watelse.

-Oh non pas encore lui.

Elle mit une main sur sa bouche, se maudissant elle même d'avoir encore une fois pensé a voix haute, et doucement elle se dirigea vers le banc le plus éloigné du Sieur et s'assit pour méditer à voix basse cette fois-ci.

_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 14, 15, 16, ..., 23, 24, 25   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)