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[RP] Eglise de Bayonne

Misteart
Misteart vit Solore s'approchait d'elle. Elle l'attend alors et l'écoute. Personne ici? comment va t - elle faire? Elle demande alors a Solore.


Et bien voila je m'occupe de l'enterrement de Morpion. Et donc je me dois de venir ici, meme si moi je n'aime pas ca, mais la je le fais pour elle. Alors je voudrai savoir comment ca se passe pour les enterrements, et quand je pourrai le faire car la il faut vraiment la mettre en terre. Puis je faire une ceremonie ici? et puis-je savoir a quel endroit on pourrait la placer dans le cimetiere?


Misteart ne parlait pas trop fort, elle esperait que Solore l'aide a resoudre ce detail.
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L'art et rien que l'art, nous avons l'art pour ne point mourir de la vérité.
Solore
- Morpion ? Mais quand est-elle décédée ?

Pendant quelle pose cette question, réfléchit rapidement à la demande inhabituelle de Misteart.

- Te souviens-tu de l'enterrement de Opium ? Elle avait été informelle et pourtant, nous nous en souvenons toutes. Pourquoi ne pas faire la même chose pour Morpion et lorsque nous aurons un prêtre ou un diacre, nous ferons dire une messe à sa mémoire. Qu'en penses-tu ?
Misteart
Misteart tentait de se souvenir d'u jour où elle a été vérifié le corps. Sans pouvoir donner la date exacte Misteart pu lui répondre tout de meme.

Elle est décedée depuis 4jours. Enfin c'est ce que j'en ai conclu. Bon tu as raison je vais l'enterrer informellement vu que l'on a personne pour la messe. Mais il faudra faire une liste des personnes qui nous ont quitté pour ne pas oublier leur hommage. Merci du renseignement, je m'en vais donc l'enterrer.

Misteart remercie Solore et quitte l'église en direction du dispensaire.
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L'art et rien que l'art, nous avons l'art pour ne point mourir de la vérité.
Watelse
L’église n’avait sans doute jamais eu autant de monde. Une autre venue. Une autre femme. Pouah ! Mais Bayonne n’avait-elle que des femmes en son sein ?

Et ni des mieux éduquées, ni des plus accueillantes les unes que les autres: La mairesse cherchait des noiseries dans son passé malgré ses avertissements « polis » en taverne ; la petite jeunette, Lysée, s’en venant semblait ne plus vouloir se passer de sa présence malgré l’air dégouté qu’elle simulait… Watelse ne pouvait s’empêcher de penser qu’elle aurait été une serviable bonniche, accroupie à frotter le sol de sa demeure ; l’ancienne tribun ne se révélait pas un talent de masseuses, et faisait preuve d’une grande mauvaise volonté à plaire au Sieur Watelse ; quant à la dernière, elle ne faisait que chuchoter à l’oreille de la garce Solore, conspirant avec elle contre le beau Sir certainement. Et voilà qu'elle s'en allait. Pas trop tôt.


A la douanière qui lui cherchait querelle :

Petiote, vous semblez bien brave pour votre âge et votre sexe, mais croyez bien que je retiens ma gifle qui vous ferait ravaler votre morgue… Vous avez besoin d’un maitre, d’un homme, d’un porteur de canne vous intimant le respect des valeurs masculines, un guide ! Aristote était homme, comme le Très-Haut, et le pape ! Voyez vous-même les guides spirituels porteur d’attributs virils !

Se retournant vers Solore qui n’en finissait pas en chuchotis douteux :

Vous de même, arriviste infâme, souilleuse de réputation sans vergogne, laissez donc ma Blanche où qu’elle soit ! Ou vous tâterez de ma canne !!


Ne la laissant pas répondre, il se tourna vers Lysée :


Et Vous souillure, qui ne pipez mot, sans parents, sans attache, sans passé, … qui préfère l’oisiveté, assisté par la générosité idiote d’autrui que gagner soi-même sa croute par son labeur…. Vous venez certainement en ce lieu saint quêter pitance en tendant la paume plutôt qu’en levant le petit doigt devant le labeur… Ma proposition est toujours ouverte à un changement de volonté de votre part : Je vous paye. Vous frotterez mes biens jusqu’à ce que cela luise de mille feux, à l’image de mon esprit éclaire ceux qui m’entourent…

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Anna295
Anna le regarda de haut puisqu'il etait toujours allongé.
La main sur la poignée de son épée qu'elle ne sortirait pas dans un lieu consacré, elle serrait le poing pour ne pas céder à son envie de le frapper.


Adressez vous donc à moi sur un autre ton je vous prie Messer.
Nous n'avons pas gardé les oies ensemble et l'uniforme que je porte mérite un minimum de respect.
Si vous n'en avez pas pour la personne qui est dedans, vous vous devez au moins de vous fendre d'un peu de ce respect pour l'Ost.
Sans parler des galons de lieutenant que j' ai.

Quand à mon seul maitre possible, je ne vois qu'un superieur pour tenir ce rôle. Ce que vous ne semblez pas etre le moins du monde, vous n'avez pas la prestence de l'homme habitué à porter un uniforme...


Elle regarde sa posture. Il ressemble plus en effet à un sac de farine avachit qu'à un officier... peut etre l'age en fait... qui peut savoir ce que les ravages du temps font sur les etres sans panache?

Elle avait écouté jusqu'au bout la tirade de Georges Leonard Watelse.
Cet homme ne pouvait il donc pas croiser une représentente de la gente feminine sans l'honnir d'injures? et cette tendance à tout ramener aux attributs masculins...


Vous avez un problème avec votre propre animal ma parole!
Voulez vous une consultation médicale d'un membre de l'Ost de Gascogne? je promets de ne pas rire, ni meme d'afficher le degout qu'il m'inspirera certainement...
On regarde ça rapidement, que vous soyez rassuré sur ça normalité une bonne fois pour toute, afin que cela n'occuppe plus votre esprit à ce point.

Peut être ensuite aurons nous la chance de ne plus vous entendre parler ainsi à notre maire ou aux jeunes filles innocentes qui ont le malheur de passer à votre portée.

Vous vous comparez à des hommes qui sont bien au dessus de vous ou moi... Aristote , le Très Haut et même le pape! Ce sont des hommes de bien!
Et vous que faites vous , vous, pour le bien de la communauté?


Elle le toisa encore et attendit calmement une réponse... parfois utiliser les mots de façon si abondente lui laissait le temps de ne pas réagir avec violence.
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Semper fidelis...
Xavier0690
xavier entra dans l'église la capuche rabaisser sur la tête car la pluie était plutôt mouillante. il y aperçu Anna qui avais l'aire plutôt énerver a coter d'elle un dame qu'il ne connaissait pas et un homme qui regardait les gens des haut comme si il était un roi la vue de se type le fit sourire.
un peut plus loin il vis sa sœur qui discutait avec soly
xavier se dirigea vers anna qui semblait très énerver


- ça va anna ?que ce passe t'il ?

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Watelse
Enfin un homme! Cela manquait de poils par ici.. Bien que la barbe naissante de Dame Solore pourrait ravir n'importe quel barbier local!
Anna, elle, préférait lancer encore de vaines piques qui ne touchait guère l'homme dans la force de l'âge et à l'égo démesuré. Par ailleurs, il se plaisait à croire qu'à se fâcher ainsi, elle perdait toute chance de deviner, à l'inverse de la mairesse, le passé de Sieur Watelse... Et ses plans futurs
. "Que la chienne grogne, elle n'en devient que plus inoffensive, " se dit-il.

Lysée avait perdu sa langue, ou bien réfléchissait elle de nouveau à sa proposition plus qu'honnête et honorable?


Jeune homme, vous me voyez bien heureux de vous rencontrer, car votre odeur respire l'homme, le vrai. Je me nomme Georges Léonard Watelse, grande figure locale de Bayonne. Sûrement avez-vous déjà entendu parlé de moi. Je suis si... inoubliable... Vous êtes?

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Lilou_corsu
L'église étant avant tout un lieu de prière et de recueillement, Lilou passa les portes et s'avança vers l'autel sans faire attention à ce qu'il se passait.
Faisant le signe aristotélicien devant l'autel elle s'assit sur le banc le plus proche et pria.

O seigneur, protegez mes amis et mon compagnon.
Protégez les de la menace qui gronde
Protégez tous ces soldats qui vont se battre tantôt pour la liberté de la Gascogne et pour votre gloire Seigneur.
Donnez leur la force et le courage de vaincre l'envahisseur.

O Seigneur, protégez également l'enfant que je porte en moi. Donnez lui force et santé.
Merci Seigneur de m'avoir écouté.


Lilou se leva, refit la signe et pris la direction de la sortie. La main sur son ventre, elle espérait que sa prière fut entendu.
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Solore
Passe près du capitaine et lui plaque un bisou sur la joue

- Ca va, toi ?

Puis, regarde longuement Sieur Watelse. L'homme semble mal à l'aise lorsque l'on parle de son passé ... Mais que chercher ... Ne se fait-elle pas des idées ? Non, quelque chose s'est passé il y a trente ans et que Watelse ne veut pas que l'on déterre. Se fait-elle des idées ? Où chercher ? Par quoi commencer ? Que chercher ?

C'est pensive, qu'elle quitte l'église. Fait quelque pas sur le parvis et soudain, part d'un bon pas vers le bureau du Lieutenant de Police. Elle va chercher dans les archives ! C'est ça, les archives ! ... Pourvu que "l'incident" soit inscrit sur un registre ... Mais trente ans ... Pourvu qu'il y est encore un registre ...


Baisse la tête contre le vent de mer qui s'engouffre entre les ruelles et presse le pas, tout en serrant son châle, plus serré, autour de ses épaules.
Lysee
Lysée regardait les gens d'un air détendu, fermant les yeux, joignant ses mains, et commençant par prier pour sa famille, pour ses parents, et son frère. Mais en tendant l'oreille elle put entendre les grognements du Sieur Watelse qui lançait des quolibets a n'importe qui. Celui ci après quelques phrases, se tourna vers elle pour continuer ses grommellements.

- Vous savez Messire, je ne réclame pas pitance moi. C'est juste que je me suis attaché à ce lieu, elle fit un geste pour représenter cette église, car je ne me rappelle pas en avoir vu de près avant. De plus je travail beaucoup dans mon champ, je n'ai donc pas le loisir de venir ici et j'aimerai bien profiter de ces maigres instant que vous prenez me semble-t-il, plaisir a gâcher par votre mauvaise humeur.

Elle ferma les yeux quelques secondes pour se détendre et rejoignit ses mains avant de reprendre:


-Je suppose que c'est trop vous demander à vous, Sir Watelse, mais si vous le souhaitez vous pouvez me tutoyer. Vous devez savoir que le vouvoiement est dans un sens, une marque de respect. Mais vu la façon dont vous me parlez, on dirait que ce n'est pas indispensable.

Elle lui fit un léger signe de tête pour le saluer et referma les yeux pour reprendre sa prière.

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Xavier0690
xavier se tourna vers l'homme et le salua d'un signe de tête

je suis Xavier de la Linda chevalier de la compagnie du dragon noir, maître charpentier, propriétaire du navire qui crèche au port.
que ce passe t'il ici ?


il sentait de la nervosité dans l'aire de ce lieu saint

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Xavier0690
xavier regarda dehors et vit que le soleil désandait dans le ciel, il avais des chose a faire c'était ça dernière soirée a Bayonne avent longtemps

-je vous laisse j'ai des chose a faire

xavier les quitta et alla au centre de l'église devant la crois, il s'agenouilla avec humilier et se recueilli devant dieu, lui demandant de veiller sur sa famille et ses amie pendant son absence, il lui demanda aussi de lui permettre de revenir un jour a Bayonne.
ensuite xavier s'en alla vers son navire

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Lysee
Lysée avait regardé l'homme du coin de l'oeil, en haussant les sourcils d'un air dédaigneux. Elle ne savait pas pourquoi mais elle n'aimait pas cet homme, ce Xavier, même si elle avait une toute petite idée. Elle haussa les épaules quand il parti, puis pensa qu'elle détestait les gens qui énonce leurs titres de cette sorte. C'était des gens plutôt prétentieux, qui, ne sachant afficher d'autres qualités, préfère montrer leur appartenance au monde. Elle se tourna vers le Watelse avant de dire:

-Bon hé bien, avez vous perdu votre langue Sir Watelse ?

Elle avait eu un ton impérieux qu'elle se détestait, et elle sentait ses traits se durcir. Ne comprenant pas sa colère, elle reposa les yeux sur le dossier du banc devant elle, avec un regard assassin, et elle sentit la colère la quitter petit à petit.

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Solore
Profite d'être en ce lieu et va, comme elle le lui a promis, et mets deux cierges.



Y pense très très fort et croise les doigts ... et tente de ne pas écouter ce qu'il se dit un peu lus loin.
Watelse
Appuyé contre un pilier de pierre, WatelseNon, non, Damoiselle, je n'ai pas perdu ma langue. Mais je vous contemplais dans vos prières et je me disais: "Ah! qu'il est doux, une femme silencieuse... je goûte ce moment paisible"... Même si nous savons tous que vos prières sont la plupart du temps remplies de futilités telles que :

Il prit une voix de gamine niaise :


" ô grand Aristote, faites que je puisse m'acheter cette belle robe, rouge comme Satan, dans la vitrine de la Rue des Coquettes..."


Poussant l'imitation à son comble, il rentre dans les aigus et joins les mains avec une ferveur ridicule:

"ô Majetueux Aristote, faites qu'un beau prince pose les yeux sur moi, fasse battre mon coeur et me couvre de bisous et de bijoux!!"

Reprenant son souffle de vieillard, sa dignité d'homme, et sa canne comme appui, il conclut:

Non, Damoiselle Lysée, je n'ai pas perdu ma langue... Mais je souhaiterais que vous perdiez la-vôtre dans vos prières... Car finalement, même votre silence religieux hurle de faidaise!
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