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[RP] Eglise de Bayonne

Lysee
Lysée, presque pas réflexe, haussa les sourcils d'un air dédaigneux et lança un regard interrogateur à Sir Watelse:

-Vous voyez Messire, vous avez une si mauvaise image des femmes, que vous oubliez que certaine sont un tant sois peu intelligente. Je ne prie point pour avoir des robes, des bijoux ou des verroteries, et encore moins pour avoir un homme.

Elle avait gardé les mains croisés, et continuait de toiser le Sieur avec un regard mélancolique, mais elle fit vite disparaitre cet air là, sachant que cela pourrait être un prétexte pour que l'homme trouve encore à redire d'elle.

-Si vous voulez savoir, je prie pour ma mère et mon père, en espérant qu'ils aillent bien, ou bien pour mon demi-frère, le "chien" comme vous l'avez surnommé il y a peu de temps. Mais venant de vous, je me demande si ce ne sont pas des futilités aussi...

Elle referma les yeux et recommença a prier le plus calmement possible.
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Mag2701
Après de longues semaines passées chez les soeurs, Mag s'accordait une petite trêve dans ces longues (trop longues) réflexions.
Elle savait qu'elle devrait retourner au couvent quelques temps avant de pouvoir enfin reprendre sa petite vie à Bayonne. Elle avait traversé la ville et vu quelques changements déja... Elle espèrait tant revoir sa fille, son époux et ses amis qu'en passant devant l'église, elle ne put s'empêcher d'entrer...
Elle poussa la porte et se dirigea vers le petit autel des causes perdues pour y déposer un cierge "1 suffirait-il...? " Elle sourit envoyant qu'un cierge brulait déja "surement Solore..., 1 par jour ca serait surement mieux... en s'y mettant tous..."
Entendant des voix, elle se retourna et aperçut ... des visages inconnus. Surement les nouveaux venus dont lui avait parlé Solore...
"Revenons à nos moutons, sinon Aristote ne t'ouvrira jamais les portes et tu seras condamnée a finir tes jours au couvent..."
Elle s'agenouilla et se plongea dans sa prière au Très Haut.


Oh toi le Très Haut, si tu pouvais dénouer les noeuds dans les fils du réseau de la toile d'araignée qui m'oblige a rester au couvent...
C'est pas que j'aime pas les nonnes, mais ici j'ai aussi une fille et un mari... Et ils me manquent tous les 2 sans parler de mes amis....
Je sais bien qu'il faut être patiente, mais combien de temps...?


"Ca devrait suffir pour aujourd'hui... En route vers le hameau, en espérant qu'il soit toujours debout...
Madcat
Cela faisait déjà plusieurs jours que Madcat était arrivée à Bayonne avec sa fille. Leur déménagement s'était fait sans encombre et elles avaient pris contact avec leurs amis bayonnais. Il ne restait qu'à faire une visite à l'église pour prier Aristote et leur installation à Bayonne serait un fait accompli. Elle poussa la lourde porte, qui grinça légèrement, mais pas assez pour faire remarquer son entrée. Plusieurs personnes étaient là, fort occupées à leurs dévotions. * sans doute pas toutes* pensa Madcat avec un petit sourire en coin. En marchant sur la pointe des pieds, elle passa entre les rangées de bancs et choisit la place qui lui était habituelle dans une église, dans un coin sombre derrière un pilier. Elle se signa avant de s'asseoir, joignit les mains et se plongea dans une prière, qui, bien que muette, n'en était pas moins fervente.
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Aimedefos
Aimé rentre dans l'église presque sur la pointe des pieds, intimidé.
il pose son baluchon dans un coin. A peine assis, il repense aux péripéties de ces dernières semaines, à son voyage
Sur! tout à bien commencer...
Sur! tout à mal finit...
il joint ses mains et après une lente respiration, récite


A drugarez Doue, te diwall me. Falc'het gant an Ankoù, kariadez...te repuin hi. Diwall ni bev, Diwall ni bev.

il se signe et s'en va, soucieux mais confiant
Lysee
Cela faisait longtemps que Lysée n'avait pas était à l'église, mais depuis quelques temps pourtant, une chose la préoccupait et elle voulait confier cela a Dieu. Elle passa la grande porte, et après avoir comme à son habitude examiné le bâtiment, elle alla s'assoir a la place où elle était les fois précédentes. Joignant les mains, et fermant les yeux, elle récita à voix a peine audible:

Deus in adjutorium meum intende
Agnus Dei
qui tollis peccata mundi
dona nobis pacem

Elle savait pourquoi elle disait sa, et ce n'était pas des paroles dites au hasard. Elle les répéta plusieurs fois, espérant que sa prière soit entendu, puis elle leva la tête et regarde le plafond un instant, avant de reposer le regard sur le dossier du banc devant elle. Puis elle soupira et referma les yeux avant de dire d'une voix éteinte:

-Amen.
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Aimedefos
Aimé chargé par ses sacs court avec peine jusqu'à l'église. Arrivé à la porte, il reprends son souffle, pose ses affaires et se poste devant l'autel. D'un geste brusque, il s'agenouille. Il prie les yeux fermés et marmonne
A drugarez Doue, te diwall me, diwall Pat, diwall Loola. Selaou me
Se relève. Reprenant ses sacs à la sortie, il se retourne une dernière fois vers l'autel et dit
Selaou me, a drugarez Doue
Mu1ere
Mu arriva a l'église sa sacoche en bandoulière et son cœur remplit d'espoirs.
La pauvre église avait mal vécu ces années de solitude ou quelques cérémonies l'avait animée. Mu repéra des toiles d'araignée entre les poutres et le sol était jonché de boue. Qu'a cela ne tienne, sa charrette garée devant la porte contenait tout ce qu'il fallait.
Elle commença par dépoussiérer la croix Aristotélicienne et le reste se fit avec le plaisir qu'elle avait imaginé.

Une fois tout cela fini, elle sortit ses livres qu'elle déposa sur l'autel.
Elle alla s'assoir sur un banc.Elle avait prit le livre des vertus, au chapitre de "la création", elle commença a lire "Les Créatures"...

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(ban en construction)
_ermeline_
la Bâtisse imposante, le parvis désert. La Blonde restait assise en face de la maison d'Aristote pensive.
L'était bien grosse cette maison là par rapport aux autres! Devait y avoir au moins tous les sans abris et les vas nu pieds de la ville.
Mais même pas, elle paraissait vide.

Pensive, les jambes se balançant dans le vide elle regardait les quelques allées et venues dans cet édifice.

Paraissait froid , terne et gris ... pas un lieu pour le plaisir ça . Plutôt un lie triste, sans bruit ...

Elle était sceptique la gamine quant à l'utilité qu'une telle chose existe... peut être plus tard en comprendrait elle la signification.

Pour l'heure, elle retrouva le chemin des tavernes où le partage de certaines choses lui tenait à coeur .

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Oroch
-Au nom du clément, cette église n'est pas encore brulée ?!
c'est pas grave j'y veillerais personnellement
annonça le clerc avec un sourire narquois


-Mais monseigneur, Rome va poursuivre pour destruction des biens de l'église.. et puis.. et puis les villageois ne connaissant pas vos intentions vont mal réagir.
répondit le valet du clerc


-heuuuu ! ce que tu peux être rabat-joie quand tu t'y met, mais t'as raison je brulerais juste les bancs, la croix, l'autel ... et on en fera d'autres. Ah oui les rideaux je les aimes pas. je vais pas officier dans un endroit pareil !


-Vous êtes sage monseigneur !


-pffff ! va ! commence par arracher les rideaux ! je sors les bancs on fera un jolie feu de camp


-est ce que mon seigneur envisage de déterrer le second trésor de Bayonne ?


-.....

plus tard


monseigneur on allumera avec du vin ou on utilisera le ...
interrompu par le clerc

idiot comme toujours les rideaux sont suffisant.
dit il en jetant un petite flamme sur le tas de bric-à-brac, placer un peu loin devant l'église, donnant naissance a un grand feu !





le clerc ne semblait pas être amusé ce qui étonnât le valet


-Monseigneur on ajoute quelque chose ? on brule l'église ensuite ?
-non aide moi a entré les nouveaux bancs on fixera les rideaux et la croix plus tard mon épaule me fait mal
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Lilou_corsu
Lilou se dirigeais vers la mairie avec son fils dans le couffin quand elle vit au feu près de l'église. Elle s'y hâta un peu terrifiée à cette idée.
Arrivée devant l'édifice, elle resta à distance pour ne pas accommoder le nourrisson et parla fort aux hommes présents.

Mais Messieurs que faites vous??? Vous n'avez pas honte, c'est un sacrilège!!! Qui êtes vous??


Les yeux écarquillés, Lilou ne savait pas trop quoi faire ni qui prévenir...
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Oroch
Qui suis-je ? en riant .
moi je suis moi, le fameux moi ! alors laissez-nous travailler on a des bancs à remplacer ! termina le clerc son discours en ignorant la dame

le valet lui par contre s'arrêta excusez le ! c'est monseigneur Oroch de XHAARD il est de mauvaise humeur ce matin, mais sinon c'est une personne très sympathique

tu viens ou dois-je terminé tout seul
beugla Oroch

excusez moi, on a une décoration a refaire, et votre bébé doit pas réster la près de la fumée c'est pas bien !

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Aellfall
Une odeur de fumée comme de celle qui attire les gens puis les regards, la jeune femme se rendit ni une ni deux dans la direction d'où semblait provenir l'odeur puis vit doucement la fumée légèrement noirâtre au dessus des toits des maisons, elle contourna la rue pour aller voir de plus près encore. Arrivé près de l'église elle fit une moue de déception en voyant un joli brasier dehors puis fermement décider de voir de quoi il retourne s'approcha.

Il y avait des gens dont la Bourgmestre du village et son petit. Un autre qui semblait coincé et un second qui avait l'air fort mécontent ou de mauvaise humeur. Elle se pointa devant la mairesse un sourire en coin.

Bonjour Dame ! Je ne savais pas qu'il y avait une fête au village. Joli le feu de joie !
C'est pour l'arrivée de votre petit ? Vous devriez peut être vous éloigné un petit peu...enfin pour le bébé...Elle observa dans le brasier des objets puis ajouta : Nettoyage on dirait, je me trompe ? Un petit coup de main ?

Elle se tût, laissant aux autres le temps de répondre, voilà que ça lui reprenait un vrai moulin a paroles. Aellfall attendit sagement de voir puis au pire retournerait chez elle ou finirait sa promenade, mais la curiosité aidant elle avait envie de savoir ce qui se passait vraiment.
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Solore
Etait en train de refermer la fenêtre de sa maison lorsque une odeur de feu la prend au nez. Se penche vers la rue et voit un épais rideau de fumée ne provenance de l'église. Ferme bien la fenêtre et descend en trombe les escalier.

- Cond, il y a le feu à l'église ! Si ça se propage, Bayonne ne sera plus que cendres ce soir !

Attrape son châle et se met à courir vers l'édifice, heureusement à quelques pas de chez elle.

Y voit Lilou et la jeune femme vu au cadastre dont elle ne se souvient plus du nom. S'approche d'elles et regarde dans un silence catastrophé, brûler les bancs et les rideaux et entend :


Citation:

excusez le ! c'est monseigneur Oroch de XHAARD il est de mauvaise humeur ce matin, mais sinon c'est une personne très sympathique


Pose sa main sur sa bouche et murmure :


- Le Père Oroch ... ici ... il est devenu complètement fou ...
Oroch
le cureton lâcha un banc puis lui donna un coup de botte pour le poussé a l'intérieur
-Monseigneur c'est du bois pas du fer on risque de l'abimer, on va pas rechanger les banc encore y a plus de bois

Tu la ferme !! Mon église est debout moi qui voulait la rebâtir ! des bestioles mangeaient mes bancs et mes rideaux étaient hideux et sales et la une folle me crie dessus et ignore même qui je suis !


De grâce ! c'est le bourgmestre monseigneur et vous êtes parti avant son arrivé, excusez son ignorance. et puis on a pas avisé avant de faire ça, les gens ont droit de se poser des questions.
un moment d'hésitation puis il demanda c'est la venu de votre...

le curé avança en vitesse vers le jeune valet, le pris du colle de son chemiser de la main droite et un banc de l'autre main et tirez les deux vers l'intérieur de l'église, qu'il ferma en donnant un coup de pied sec a la porte. il balança le banc et souleva le valet qui avait l'aire de mal respiré


un mot sur ma fille, un mot sur le trésor de Bayonne, un mot sur quoique se soit et je te tue de ses mains avant de bruler toute la cité avec toi ... COMPRIS !!

voyons qu'il a du mal pour répondre le clerc lâcha le jeune qui aussitôt repondit

com ... compris !


Bien on a du travail a terminé
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_ermeline_
[ Mettre le feu à ... ]


En taverne elle devise sur le paraitre et non le devenir mais le plaisir ou plutôt les plaisirs ... comme à son habitude,n elle s'en lasse pas encore.
Les jambes allongées, cuisses qui reposent sur le fauteuil d'en face, celui avec un coussin épais, elle regarde par la fenêtre et reste un moment interdite sur le mot : miel.

Faut dire que plus tôt elle a embrassé le Prince au bois dormant qui est resté endormi, ce qui l'a limite vexée mais les lèvres de miel sont restées .....

De la fumée là bas, du côté de l'église . Son voisin parle de feu de feuilles ... beaucoup de feuilles donc . C'est en sortant de la taverne, qu'elle vit que ce n'était point des feuilles .
Et puis ... c'était grand comme brasier , avec du monde tout autour. C'était pas la Saint Jean pourtant!

Tiens son Prince au bois dormant qui gesticule dans tous les sens ... et qui crie fort de surcroit. Il a fini par se réveiller! Tant mieux . Alors de son lieu de prédilection , le muret en face de l'église, elle vient observer, son séant bien calé

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